Littérature scientifique sur le sujet « Maquillage politique »

Le cinéma documentaire chinois et les politiques qui le régissent actuellement n’ont pas profité du vent de libéralisme intellectuel qui soufflait à l’heure des politiques de réforme et d’ouverture. L’analyse quantitative de la production de 1990 nous révèle les priorités du Bureau du cinéma; l’analyse rapide de quelques films nous dévoile les traits caractéristiques du genre documentaire tel que pratiqué par les « fonctionnaires » du cinéma chinois. On s’aperçoit que la réforme et l’ouverture, tout en permettant une diversification des tendances au sein du cinéma de fiction, ont par ailleurs provoqué une consolidation du rôle édificateur du documentaire. Celui-ci laissera aux générations suivantes l’image édulcorée d’une Chine idéalisée…

IntroduzioneLe valutazioni sui mutamenti determinati dalle elezioni politiche del marzo 1994 sono contrastanti. Molta pubblicistica politica ha affermato che le elezioni hanno provocato un profondo cambiamento nella composizione del ceto politico parlamentare, altri hanno sostenuto, invece, che era avvenuta solo un'operazione di maquillage che ha portato i «ragazzi del coro» in prima fila a cogliere la grande occasione offerta dal forzato ritiro dei leader identificati con l'odiata partitocrazia. Uno degli obiettivi di questo saggio è dimostrare che entrambe le interpretazioni sono sbagliate, la prima perché identifica il rinnovamento semplicemente con il cambio delle «facce» mentre esso va valutato in relazione alla composizione sociologica e alle caratteristiche professionali del nuovo ceto parlamentare; l'altra perché sopravvaluta le possibilità delle élite politiche di continuare a premiare ad libitum se stesse ed i fedeli, trascurando di contribuire al rinnovamento del personale politico in un periodo di transizione politico-istituzionale contrassegnato da una notevole crisi di legittimazione delle burocrazie partitiche.

En matière de segmentation, l’âge est souvent considéré a priori comme l'une des variables démographiques les plus explicatives du comportement du consommateur. Pourtant, la force des effets de l’âge sur le comportement du consommateur demeure relativement faible. Pour pallier un pouvoir prédictif limité, un courant de recherche s'est efforce de développer la théorie de l’âge subjectif. Selon elle, les différences de consommation s'expliquent davantage par l’âge perçu que par l’âge réel. L'écart entre ces deux variables permet de caractériser un biais d’âge subjectif, tendance à se percevoir plus jeune ou plus vieux que son âge. À partir d'un cadre conceptuel fondé sur les théories du soi, de la comparaison sociale et du symbolisme compensatoire, cette recherche propose de caractériser les antécédents et les effets de cette tendance sur la consommation des adolescentes et des femmes seniors. Une étude empirique montre l'influence de cette tendance sur les attraits pour des coloris de produits de maquillage en raison de leur capacité à véhiculer des symboles caractéristiques d'un âge de référence. Les résultats mettent à jour le rôle des déterminants du biais d’âge subjectif : aspirations développementales, estime de soi, importance accordée à l'apparence physique et représentation du contrôle

Cette thèse interroge la persistance d'un malaise professionnel, symptôme d'un « plafond de verre symbolique », au-delà du « plafond de verre » (hiérarchique), à travers les visions du monde de femmes cadres supérieures et dirigeantes. Par le biais du découplage potentiel entre les vécus hétéronomes de ces femmes et les pratiques managériales des trois entreprises observées, ce travail analyse également les raisons latentes de cette persistance, ainsi que la manière dont la protestation ou l'adaptation à ces situations de malaise, vécues par ces femmes, peuvent se manifester au sein des institutions. Trois hypothèses guident l'explication : vécu corporel, dimension culturelle et auto-plafonnement (autolimitation). Mobilisant une démarche phénoménologique, parfois avec des traits s'apparentant à une démarche praxéologique, cette recherche combine plusieurs types de matériaux et d'approches théoriques nourris par différentes disciplines. Les résultats montrent que, nonobstant l'enthousiasme égalitaire mis en avant par les entreprises analysées, elles semblent davantage préposées à améliorer leur image publique qu'à apporter des changements substantiels. La structure n'a pas véritablement changé malgré ce « maquillage politique » : ce sont les femmes qui se sont adaptées, en adhérant à la mobilisation de leur subjectivité et en acceptant de se conformer à la « neutralité masculine ». Si elles se sont appropriées hiérarchiquement du pouvoir, elles continuent cependant symboliquement à le subir, à travers notamment un processus d' « empowerment par procuration ». Alimentée par divers facteurs, la persistance d'un malaise professionnel bride les femmes cadres supérieures et dirigeantes dans une double contingence : à la fois capitaliste « cage d'acier » et patriarcale « corset invisible ». Dans cette situation professionnelle, pétrie de contraintes, de « shaming patriarcal » et d'autorisations de comportements sexistes accordées par la structure via un « pass misogyne », ces femmes se retrouvent coincées dans un mode de vie solidement établi, qu'elles ont consciemment créé et qui est conforme à la raison instrumentale qu'elles ont désirée. Elles n'ont pas d'autres possibilités que de s'adapter, en ayant recours à un « gender patchworking identitaire ». Quatre visions du monde découlent de cette adaptation : Caméléon, Ladyboss, Olympe et Cosette
This thesis examines the persistence of a professional malaise, symptomatic of a "symbolic glass ceiling", over and above the (hierarchical) "glass ceiling", through the worldviews of female senior managers and executives. Through the potential decoupling between the heteronomous experiences of these women and the managerial practices of the three companies observed, this work also analyses the latent reasons for this persistence, as well as the way in which protest against or adaptation to these situations of malaise, experienced by these women, may manifest themselves within the institutions. This thesis examins three hypotheses: bodily experience, cultural dimension, and self-ceiling (self-restraint). Using a phenomenological approach, sometimes with features resembling a praxeological approach, this research combines several types of material and theoretical approaches cultivated by different disciplines. Notwithstanding the egalitarian enthusiasm put forward by the companies analysed, the results show that the companies seem to focus more on improving their public image than to bring about substantial change. The structure has not really changed "political make-up". In fact, it is the women who have adapted, by adhering to the mobilisation of their subjectivity and accepting a mould of "masculine neutrality". Hierarchically they have appropriated power, but symbolically they continue to be subjected to these standards, notably through a process of "empowerment by proxy". Fuelled by a variety of factors, the persistence of a professional malaise traps female senior managers and executives in a double contingency; a capitalist "steel cage" and a patriarchal "invisible corset". In this professional situation, full of constraints and 'patriarchal shaming' as well as authorisations for sexist behaviour, granted by a "misogynist pass", these women find themselves trapped in a firmly established lifestyle, which they have consciously created, and which conforms to the instrumental reason they so desired. They have no choice but to conform, by resorting to "gender patchworking identity". Four worldviews emerge from this adaptation: Caméléon, Ladyboss, Olympe and Cosette
Questa tesi di dottorato esamina la persistenza di un malessere professionale, sintomatico di un "soffitto di vetro simbolico", al di là del "soffitto di vetro" (gerarchico), attraverso le visioni del mondo delle donne senior manager e dirigenti. Attraverso il potenziale disaccoppiamento tra le esperienze eteronome di queste donne e le pratiche manageriali delle tre aziende osservate, questo lavoro analizza anche le ragioni latenti di questa persistenza, nonché il modo in cui la protesta o l'adattamento a queste situazioni di malessere, vissute da queste donne, possono manifestarsi all'interno delle aziende. Tre ipotesi guidano la spiegazione: l'esperienza corporea, la dimensione culturale e l'autosoffitto (l'auto-limitazione). I risultati mostrano che, nonostante l'entusiasmo egualitario introdotto dalle aziende analizzate, questo sembra servire più a migliorare la loro immagine pubblica che a produrre un cambiamento sostanziale. La struttura non ha realmente cambiato "trucco politico", sono le donne che si sono adattate aderendo alla mobilitazione della loro e accettando uno stampo di "neutralità maschile". Si sono appropriate del potere gerarchico, ma simbolicamente continuano a subirlo, attraverso un processo di "empowerment per procura". Alimentata da una serie di fattori, la persistenza di un malessere professionale intrappola le donne dirigenti e manager in una doppia contingenza: la "gabbia d'acciaio" capitalista e il "corsetto invisibile" patriarcale in questa situazione professionale, piena di vincoli e di "shaming patriarcale" e di autorizzazioni a comportamenti sessisti, concessi dalla struttura attraverso un "pass misogino", queste donne si trovano intrappolate in uno stile di vita saldamente stabilito, che hanno consapevolmente creato e che si conforma alla ragione strumentale che hanno desiderato, non hanno altra scelta che adattarsi, ricorrendo al "gender patchworking d'identità". Da questo adattamento emergono quattro visioni del mondo: Caméléon, Ladyboss, Olympe e Cosette