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Godin, Yves. « Précis pour une écologie de la lumière par le corps ». Cahiers de danse N° 0, no 1 (5 avril 2023) : 20–21. http://dx.doi.org/10.3917/cdd.001.0020.

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Résumé :
L’éclairagiste Yves Godin conçoit la transition écologique comme un impératif professionnel et artistique. Pour la scène, elle induit d’imaginer de nouveaux dispositifs lumineux, qui incluent le recyclage et le réemploi : ceux-ci permettent de rendre visible autrement les corps sur le plateau, et de mettre en lumière les interactions qui s’y tissent.
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Guío-Carrión, Ana, Almudena Martín, José Aguilera, María Matabuena, Diego Megias, Anne Laure Demessant, Isabel Castillejo, Françoise Bernerd et Maria A. Blasco. « Protection contre le raccourcissement des télomères induit par la lumière UV par un écran solaire à large spectre ». Annales de Dermatologie et de Vénéréologie - FMC 1, no 8 (décembre 2021) : A355. http://dx.doi.org/10.1016/j.fander.2021.09.428.

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Gourbier, Léonard, et Marcel Guenon. « Les transformations du package de contrôle en contexte austéritaire : les leçons de quatre études de cas longitudinales ». Comptabilité Contrôle Audit Tome 30, no 1 (12 février 2024) : 91–161. http://dx.doi.org/10.3917/cca.301.0091.

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Résumé :
La crise économique et financière de 2008 a favorisé l’émergence d’un management de l’austérité dans les organisations publiques. Celui-ci a induit des transformations profondes dans les pratiques et systèmes de contrôle de gestion. Basée sur quatre études de cas longitudinales dans des collectivités territoriales françaises, notre recherche mobilise une approche par les packages de contrôle qui met en lumière le nombre et la diversité des éléments de contrôle mobilisés pour « gérer » l’austérité. Nous montrons également qu’en contexte austéritaire, le package de contrôle des organisations oscille de façon cyclique entre une approche contraignante destinée à produire des économies rapides et une approche habilitante destinée à rechercher du consensus.
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Mierzejewski, Stéphan, Sylvain Broccolichi, Christophe Joigneaux et Christelle Dormoy. « L’école du désengagement ? Sur-responsabilisation et impuissance des enseignants face aux difficultés des élèves ». Retour sur les (dés)engagements enseignants 221 (2023) : 71–88. http://dx.doi.org/10.4000/11w0c.

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Résumé :
Différentes recherches et évaluations ont mis en lumière les doléances et les malaises croissants des professeurs des écoles (PE) face aux exigences en matière de réussite et d’inclusion des élèves qui leur ont été adressées depuis plusieurs décennies. Recoupant ces constats, nos recherches et les réflexions d’Howard Becker sur la genèse et les ressorts de niveaux d’engagements sociaux variables nous ont conduits à étudier les relations entre les buts assignés et les moyens attribués aux PE dans le système d’enseignement. Une recherche longitudinale sur les priorités d’action évolutives des PE débutants révèle que leurs socialisations et leur formation initiale les engagent fortement à tenter de prévenir et de réguler les difficultés de leurs élèves. Le caractère extrêmement chronophage et la complexité des opérations requises rendent toutefois cet engagement le plus souvent intenable dans la durée, au sein d’une organisation scolaire de plus en plus saturée par les injonctions contradictoires (jugées inconciliables par nombre de leurs collègues plus anciens). Des analyses complémentaires aident à comprendre que les politiques des dernières décennies ont de fait transféré aux enseignants la responsabilité d’assurer la réussite de tous leurs élèves par des aménagements pédagogiques locaux, sans veiller à favoriser les progrès attendus par des aménagements appropriés des formations et des conditions d’exercice de ces derniers. D’où la prégnance d’un sentiment d’impuissance pédagogique, avec les souffrances professionnelles et les risques de réactions défensives que ce sentiment induit face aux difficultés d’une fraction des élèves.
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Deschênes, Andrée-Anne. « Partager les connaissances malgré la distance : quel est l’effet de l’usage des technologies collaboratives ? » Ad machina, no 5 (14 février 2022) : 53–68. http://dx.doi.org/10.1522/radm.no5.1407.

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Résumé :
La pandémie de COVID-19 aura sans conteste bouleversé le monde du travail. Le déploiement massif du télétravail induit par cette crise sanitaire a nécessité d’importants ajustements sur les plans de la communication et de l’organisation du travail. Ainsi, les technologies collaboratives, comme la vidéoconférence et les outils de partage et de création de documents et de contenu, se sont imposées comme de nouveaux outils de travail quotidiens pour plusieurs. La rapidité de leur déploiement et de leur démocratisation suscite plusieurs enjeux quant aux conséquences de leur utilisation, notamment sur le plan du partage des connaissances. Cette étude vise à examiner l’effet de l’usage des technologies collaboratives sur les comportements de partage des connaissances dans un contexte inédit, celui d’un télétravail forcé par une pandémie mondiale. Pour ce faire, elle prend appui sur le modèle d’acceptation de la technologie (technology acceptance model [TAM]). Les résultats s’appuient sur une collecte de données menée auprès de 728 télétravailleurs québécois de divers secteurs d’activité à l’hiver 2021. Les résultats confirment les hypothèses du modèle théorique d’acceptation de la technologie : la facilité d’utilisation et l’utilité perçues des technologies collaboratives favorisent leur utilisation. Aussi, les résultats montrent l’effet positif de l’utilisation des technologies collaboratives sur les comportements de partage des connaissances à distance. Ces résultats sont discutés à la lumière de leurs contributions théoriques et pratiques. Des pistes d’études futures sont proposées.
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Djelloul, Ghaliya, et Delphine Masset. « De l’objet de désir aux sujets désirants ». Emulations - Revue de sciences sociales, no 14 (16 juillet 2015) : 29–39. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.014.003.

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Résumé :
Dans le cadre de références mobilisé par les écologistes, le mot « nature » est souvent convoqué. Celui-ci, de par sa polysémie, recouvre cependant une large palette de réalités. Il a acquis, au gré des constructions sociales et historiques, des significations diverses. Le mot « femme » renvoie, lui aussi, à un imaginaire pluriel et protéiforme. Dans cet imaginaire, cette « créature » a de nombreuses fois été associée à la nature. Il y aurait en effet une essence féminine caractéristique ; celle-ci l’amènerait à incarner la mère-terre, l’environnement. La femme se vivrait donc, pour certains, dans un rapport d’opposition à la culture. Mais quel est ce « naturel » féminin et qui plus est, s’il induit vraiment une quelconque forme de « nature », quels en sont ses présupposés ? Dans cet article, nous étudierons les différentes significations qui associent femme et nature (1). Ensuite, nous essayerons de relever les écueils propres à cette association (2). Le mobile sous-tendu par cet article étant d’éviter aux femmes de s’associer, parce qu’elles seraient écologistes, à des significations réductrices et décapacitantes de la nature. Notre postulat est en effet que les images mobilisées vis-à-vis de la nature et des femmes relèvent d’une vision du monde et des rapports de force genrés, autrement dit d’un « ordre social des sexes ». En effet, nous verrons comment l’essentialisation des femmes, par l’enfermement dans un type d’être inadéquat, les propulse en dehors de la sphère de la polis. Nous souhaitons mettre en lumière cette série d’associations et développer les incidences qu’elles peuvent avoir en matière de constructions identitaires de la féminité. Notre réflexion portera donc sur les représentations de la « féminité » relatives à la nature.
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Otis, Ghislain. « La protection constitutionnelle de la pluralité juridique : le cas de « l’adoption coutumière » autochtone au Québec ». Dossier : La reconnaissance de l’adoption coutumière autochtone 41, no 2 (22 septembre 2014) : 567–609. http://dx.doi.org/10.7202/1026934ar.

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Résumé :
Cet article examine dans quelle mesure le cadre constitutionnel canadien détermine les conditions et les modalités de la réception de la coutume autochtone dans le droit québécois. Dans la première partie, l’auteur analyse les enjeux de la reconnaissance de la coutume par le droit étatique à la lumière de la théorie du pluralisme juridique. Il s’attache aussi à démontrer que la pratique de l’adoption coutumière constitue pour plusieurs peuples autochtones du Québec un droit ancestral protégé par l’article 35 de la Loi constitutionnelle de 1982. Il explique ensuite comment l’obligation constitutionnelle de reconnaître l’adoption coutumière contraint la législature à faire une place au droit autochtone de l’adoption sans le dénaturer ni le subordonner à la culture juridique dominante. Dans la seconde partie, l’auteur montre de quelle manière la protection constitutionnelle de l’adoption coutumière peut être renforcée par les règles du partage des compétences entre le pouvoir fédéral et les provinces. La réglementation de l’exercice des droits ancestraux relevant du coeur de la compétence fédérale sur les « Indiens » aux termes de la Loi constitutionnelle de 1867, le Parlement du Québec ne peut régir directement les régimes autochtones d’adoption, ce qui ne le prive toutefois pas de tout pouvoir de protection des enfants adoptés selon la coutume. Les règles du fédéralisme donnent cependant à la province les pouvoirs nécessaires à la réception et à l’application des effets de la coutume dans le cadre des lois du Québec. En définitive, la constitution conforte la pluralité juridique en matière d’adoption et induit une obligation de dialogue des cultures juridiques autochtones et civiliste voire même, dans une certaine mesure, leur acculturation réciproque.
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Sadani, M., N. Ouazzani et L. Mandi. « Impact de la sécheresse sur l'évolution de la qualité des eaux du lac Mansour Eddahbi (Ouarzazate, Maroc) ». Revue des sciences de l'eau 17, no 1 (12 avril 2005) : 69–90. http://dx.doi.org/10.7202/705523ar.

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Résumé :
L'objectif de ce travail est d'étudier l'impact d'une année hydrologique très sèche (98/99) sur la qualité physico-chimique et l'évolution de l'état trophique du lac Mansour Eddahbi. Ce lac est situé dans la région de Ouarzazate, au sud du Maroc, caractérisée par un climat aride continental, avec des écarts thermiques hiver-été importants, des précipitations très faibles et une forte évaporation. Ceci induit une réduction considérable du volume total du lac et par suite une baisse de 14 m de son niveau. À la lumière des valeurs de températures enregistrées au niveau de la colonne d'eau, le lac peut être classé dans la catégorie des lacs monomictiques avec une seule période de mélange hivernale. Le pH est légèrement alcalin. La réduction du volume d'eau au niveau du lac a engendré une augmentation de la salinité des eaux. Une corrélation significative est enregistrée entre les deux paramètres (r2 =0,60 pour n=13 et p<0,05). Un déficit marqué en oxygène dissous (7,3 mg d'O2 /l comme moyenne en surface et des valeurs inférieures à 2 mg d'O2 /l voire nulles en profondeur durant la stratification), les teneurs en Chl "a" (24 µg/l) permettent de classer le lac dans la catégorie des lacs eutrophes. Selon les teneurs enregistrées en azote (0,2 mg/l) et en phosphores (0,02 mg/l), le lac est hyper-eutrophe. Deux années auparavant, le lac était considéré comme mésotrophe (ONEP/BRL, 1998). Les conditions climatiques sévères qui ont sévi durant l'année hydrologique 98/99 ont contribué à une évolution accélérée de l'état trophique du lac.
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St John, Graham. « Hyperespace dans le cyberespace : DMT et méta-ritualisation ». Drogues, santé et société 16, no 2 (13 novembre 2017) : 76–103. http://dx.doi.org/10.7202/1041854ar.

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Résumé :
La DMT (N,N-diméthyltryptamine) est une puissante tryptamine à effet de courte durée qui a gagné en popularité au cours de la dernière décennie, indépendamment de l’ayahuasca, un breuvage visionnaire d’Amazonie dont elle est un des principaux ingrédients actifs. Réputée pour sa capacité à déclencher des expériences extracorporelles et de profondes modifications de la perception sensorielle, de l’humeur et des pensées, elle est devenue l’inspiration de toute une communautéundergroundd’amateurs louant les vertus « enthéogènes » de la DMT et d’autres psychotropes. S’appuyant sur les témoignages des utilisateurs provenant de sites référentiels en ligne et d’autres sources, le présent article s’attarde à décrire l’évènement de percée (breakthrough event) ou l’hyperespace provoqué par la DMT. Dépeinte comme un évènement de gnose et parfois comparée à une expérience de mort imminente, l’expérience de la DMT est souvent associée à des contacts avec des entités et à des manifestations de communication visuelle. Les récits des voyages dans l’hyperespace mettent en lumière la manifestation fondamentale de la substance et nous aident à comprendre la phénoménologie liminale de la DMT et des autres tryptamines. Les comptes-rendus de ces voyages témoignent d’un processus transitionnel, interne et individualisé. Bien que la transe causée par la DMT soit privée, ses conditions ontologiques sont rapportées publiquement, généralement de manière anonyme, sur des sites comme Erowid et DMT-Nexus. Il s’agit aussi d’explorer ici le rôle d’Internet, moyen d’expression universel, dans la création d’une communauté mondiale d’usagers et d’amateurs de ce psychotrope. La navigation dans le cyberespace, sorte d’hyperespace numérique, s’apparente au phénomène de désincarnation propre au « voyage » dans l’hyperespace induit par la DMT. Or, l’ontologie liminale de cet hyperespace est bien plus qu’une simulation ou une réalité virtuelle. Les usagers la considèrent comme une expérience de transformation personnelle authentique. Par analogie, voyages, passages et transitions qui émaillent ces récits relèvent d’une rhétorique méta-ritualisée. Cet article se veut donc une discussion exploratoire sur ce phénomène peu documenté, et aborde l’hyperespace à partir des trois formes de transition qui caractérisent sa phénoménologie méta-ritualisée.
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CHEMINEAU, P., G. BARIL, B. LEBOEUF, M. C. MAUREL, F. ROY, M. PELLICER-RUBIO, B. MALPAUX et Y. COGNIE. « Implications des progrès récents en physiologie de la reproduction pour la conduite de la reproduction dans l’espèce caprine ». INRAE Productions Animales 12, no 2 (30 avril 1999) : 135–46. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.2.3873.

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Résumé :
Le contrôle de la reproduction caprine est intéressant pour des raisons techniques (synchronisation des mise bas, ajustements aux disponibilités fourragères ou aux contraintes économiques), et pour des raisons génétiques (identification et dissémination des génotypes améliorateurs). L’utilisation de rythmes photopériodiques accélérés conduit à une augmentation très importante des doses produites pour l’insémination artificielle (IA) et évite l’apparition d’une contre-saison sexuelle. L’identification récente d’une lipase bulbo-uréthrale dans le sperme de bouc offre de nouvelles perspectives pour la conservation de la semence. Chez la chèvre, les traitements " lumière + jours courts " permettent également l’induction de cycles oestriens et ovulatoires à contre-saison, ce qui conduit à une amélioration de la fertilité des troupeaux. En revanche, l’utilisation répétée de eCG (autrefois appelée PMSG) provoque l’apparition d’anticorps, retarde le moment de l’ovulation et induit une baisse de fertilité après IA, lorsqu’elle est réalisée après un délai fixe après la fin du traitement. Toutes les étapes de la production d’embryons, de leur congélation et de leur transfert sont maintenant maîtrisées et permettent d’atteindre des taux satisfaisants de chevreaux nés par femelle donneuse, qui sont compatibles avec le développement de la technique dans le but d’échanger du matériel génétique entre les pays. La production in vitro d’embryons permet des taux élevés de développement après maturation et fécondation in vitro des ovocytes et pourrait permettre l’obtention de populations synchrones de zygotes au stade unicellulaire, nécessaire à l’application des biotechnologies.
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Mion, G. « Pharmacologie de la kétamine ». Douleur et Analgésie 34, no 1 (mars 2021) : 3–15. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2021-0162.

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Résumé :
La kétamine bloque de façon non compétitive les récepteurs canaux N-méthyl-D-aspartate (NMDA). Elle induit une anesthésie particulière, dite dissociative, en activant le système limbique, mais en déconnectant les voies thalamonéocorticales, notamment les aires associatives. La molécule comporte un carbone asymétrique qui explique l’existence de deux énantiomères. L’isomère S(+) ou eskétamine, qui dévie la lumière à droite, bloque trois à quatre fois plus le récepteur NMDA que l’isomère R(-). Il vient d’obtenir une AMM en France et y possède une autorisation temporaire d’utilisation dans l’indication de la dépression réfractaire. La demi-vie de distribution de la kétamine, dix minutes, permet un réveil rapide. La demi-vie d’élimination est de deux à trois heures. Elle est métabolisée au niveau du cytochrome P450 hépatique. La norkétamine est un métabolite actif qui possède 20 à 30 % de l’effet analgésique de la molécule mère et qui explique l’efficacité de l’administration orale. La kétamine exerce peu d’effets dépresseurs cardiorespiratoires. La préservation de la pression artérielle et du débit cardiaque est aussi efficace qu’avec l’étomidate. Elle possède un effet bronchodilatateur et préserve l’oxygénation en maintenant la ventilation spontanée (VS) et la capacité résiduelle fonctionnelle. Une titration prudente en commençant par de très faibles doses (bolus de 2 à 5 mg), augmentées progressivement, permet la sédation en VS, associée au propofol ou au midazolam. Ses effets neurologiques ont été complètement réévalués depuis une quinzaine d’années, et elle n’a plus de raison d’être contre-indiquée chez le cérébrolésé. Ses propriétés analgésiques et antihyperalgésiques sont depuis une vingtaine d’années au centre de son utilisation périopératoire dans le cadre d’une stratégie d’analgésie préventive multimodale, voire du nouveau concept d’OFA (opioid free anesthesia) et dans le traitement de la douleur. Au blocage des récepteurs NMDA qui explique les propriétés antihyperalgésiques, dont l’opposition à l’hyperalgésie induite par les opioïdes, s’ajoutent l’activation des voies monoaminergiques descendantes, un blocage des canaux sodiques, des propriétés antipro-inflammatoires pléiotropes. Il semble qu’une relation dose-effet implique de maintenir une concentration plasmatique efficace (supérieure à 100 ng/ml) par une perfusion continue. Elle est particulièrement indiquée et efficace en cas de douleurs importantes qui ouvrent les canaux NMDA et chez les patients addicts aux opioïdes (use-dependence).
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PICARD, M., B. SAUVEUR, F. FENARDJI et I. ANGULO. « Ajustements technico-économiques possibles de l’alimentation des volailles dans les pays chauds ». INRAE Productions Animales 6, no 2 (28 avril 1993) : 87–103. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.2.4191.

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Résumé :
L’aviculture des régions chaudes doit tenir compte de deux facteurs limitants majeurs : le climat qui freine la consommation énergétique des volailles et modifie l’habitat et les cycles de productions (croissance ralentie, oeufs plus petits...) et l’importation, pour beaucoup de pays chauds, des céréales et du tourteau de soja avec des devises de plus en plus rares. Les solutions nutritionnelles viables à moyen terme, pour les volailles, sont celles qui tiennent compte de ces deux types de contraintes dans le choix des normes de formulation et qui intégreront l’aviculture dans le développement agro-industriel global de ces pays. Sept exemples expérimentaux illustrent la recherche de solutions adaptées, en collaboration entre l’INRA et plusieurs pays chauds. Pour être efficacement appliquées ces solutions requièrent une adaptation pratique par les professionnels de l’aviculture dans chaque situation. La distribution ad libitum d’un régime complet laisse peu d’espoir de pouvoir compenser les effets négatifs de la chaleur sur les performances par des ajustements de sa composition. Par contre, certaines erreurs comme l’augmentation de la teneur de l’aliment en protéines de mauvaise "qualité", c’est-à-dire avec des concentrations relativement basses d’acides aminés indispensables digestibles, peuvent aggraver les effets du climat. Le niveau d’ingestion énergétique faible des poules pondeuses permet d’envisager l’utilisation de régimes dilués, granulés, contenant des quantités plus importantes de sous-produits disponibles localement et ayant une valeur nutritionnelle, comme les issues de céréales. La combinaison de rythmes lumineux et de systèmes d’alimentation discontinue en supprimant l’accès à la mangeoire quelques heures avant et pendant le pic thermique quotidien permet de maîtriser les mortalités excessives des poulets de chair en période de finition. Le fractionnement du régime complet ouvre des voies de recherches stimulantes dont deux ont déjà prouvé un intérêt :- technico-économique, dans le cas de l’alimentation calcique séparée des poules pondeuses qui induit une augmentation de l’ingéré énergétique du matin et une amélioration de la ponte ;- économique par l’utilisation d’un aliment complémentaire unique pour le poulet et la pondeuse distribué en libre choix avec des céréales graines entières pouvant être produites par l’aviculteur ou acquises à moindre coût (et des coquilles d’huîtres pour la ponte). Cette solution permet de limiter les transports et les gaspillages de matières premières en concentrant l’effort technique sur un seul produit. La mise au point de modèles d’alimentation alternatifs prenant en compte les rythmes de températures et de lumière existant dans les poulaillers ouverts des pays tropicaux est un domaine d’avenir qui devrait stimuler les échanges scientifiques Sud-Nord.
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Vincent-Cassy, Cécile. « Soñar en la cárcel. La Liberación de san Pedro interpretada por los pintores en el siglo XVII ». Animaux et violence (époques médiévale et moderne) / Porosités et circulations dans les espaces d’enfermement (XVIe-XVIIe siècles) 48 (2024). http://dx.doi.org/10.4000/120ne.

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La délivrance de saint Pierre est un épisode bien plus rare dans la peinture espagnole que dans la peinture italienne, marquée par l’interprétation que Rafael Sanzio en a donné dans la chambre d’Héliodore (Vatican). Sa rareté a incité les peintres à faire de leurs compositions des morceaux de bravoure, à faire montre de leur capacité à traiter ce que la délivrance, en son instant, induit en termes émotionnels et formels. L’expression de la surprise, l’obscurité rompue, le percement de la lumière angélique dans un intérieur carcélaire, l’échange non verbal entre saint Pierre et l’ange, sont autant de sujets que Roelas, dans un unicum sévillan de 1612, puis Ribera répondant à une commande du milieu de la Cour en 1639, ont importé d’Italie. Alonso Cano, Antonio de Pereda et enfin Francisco Rizi ont rivalisé d’invention pour affronter l’épisode qui a octroyé à l’apôtre Pierre son statut de père de l’Église.
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Mazouz, Sarah. « Intersectionnalité ». Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.111.

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Résumé :
Notion aujourd’hui incontournable tant se sont multipliés les travaux scientifiques qui s’y réfèrent et les politiques publiques ou les recommandations internationales qui s’en réclament, l’intersectionnalité est d’abord l’héritière des débats portés dans un contexte militant par les féministes nord-américaines – plus particulièrement les féministes africaines-américaines et le courant black feminist. Dans sa prise de position de 1977, le Combahee River Collective critique en effet le « biais blanc de classe moyenne » du féminisme. Il introduit alors la question de la représentation politique de celles pour lesquelles la domination subie articule plusieurs rapports de pouvoir. Il pointe par conséquent le fait que les femmes blanches qui sont alors leaders dans les groupes féministes occupent en fait une position de domination. De même, la critique black feminist va mettre en lumière comment les hommes noirs sont également en position de dominants dans les mouvements antiracistes. En d’autres termes, être femme et noire induit une domination subie autre que celle éprouvée par les femmes blanches ou par les hommes noirs. C’est dans cette perspective de complexification de l’analyse des rapports de pouvoir que Kimberlé W. Crenshaw (1989) forge, en juriste, la notion d’intersectionnalité. L’enjeu est alors de rompre avec une lecture strictement arithmétique de la domination qui la conçoit comme l’addition systématique des facteurs d’oppression. Crenshaw suit en cela également ce que les New Slavery Studies ont pu montrer pour les sociétés plantocratiques : l’articulation de la race, du genre et de la classe ou du statut produisent une reconfiguration de la domination qui ne s’appréhende pas seulement comme une addition de handicaps pour les femmes ou comme un renforcement du patriarcat en faveur des hommes (Davis 1981, Carby 1982, Fox-Genovese 1988). La démarche de Crenshaw va donc consister à interroger la non-représentation de celles qui sont soumises à des formes plurielles et croisées de domination dans les catégories de l’action publique. Par exemple, en utilisant la catégorie générique de « femme », les politiques de lutte contre les violences domestiques occultent la situation spécifique des femmes racialisées. Elle montre ainsi comment ces catégories participent à la reproduction des rapports de pouvoir en favorisant les membres des groupes dominants mais aussi, et peut-être surtout, en contribuant à l’occultation des expériences d’oppression situées à l’intersection de plusieurs principes de hiérarchisation. D’ailleurs, ce que Crenshaw met en lumière à partir d’une analyse des catégories de l’action publique relève de phénomènes similaires à ce que la tradition francophone matérialiste a thématisé sous les concepts de consubstantialité ou d’imbrication – c’est-à-dire que le genre, la race, la classe ou encore l’âge et la catégorie de sexualité se déploient de manière liée en se renforçant ou en s’euphémisant (Kergoat 1978, 2001 et 2012 ; Galerand et Kergoat 2014). Deux textes sont ici fondateurs pour saisir la notion d’intersectionnalité. Le premier paraît en 1989 et s’intitule « Demarginalizing the Intersection of Race and Sex. A Black Feminist Critique of Antidiscrimination Doctrine, Feminist Theory and Antiracist Politics ». Inscrit explicitement dans l’héritage des théoriciennes du Black feminism comme Gloria T. Hull, Barbara Smith ou Bell Hooks, il en revendique la démarche radicalement contre-hégémonique en l’appliquant au raisonnement juridique. Son argument est le suivant : « les femmes noires sont parfois exclues de la théorie féministe et du discours antiraciste parce que l’une comme l’autre sont élaborés sur un ensemble d’expériences séparées qui ne reflète pas de manière précise les interactions qui existent entre la race et le genre » (1989 : 140 ; nous traduisons). Les discours et les pratiques militantes ou politiques qui ont pour but l’émancipation sont donc aussi en bonne partie aveugles aux rapports de pouvoir qu’ils (re)produisent en ne prenant pas en compte celles qui font une expérience de la domination à l’intersection de ces deux catégories. Le second, « Mapping the Margins : Intersectionality, Identity Politics, and Violence Against Women of Color » paraît deux ans plus tard, en 1991. Crenshaw y développe son analyse des mouvements sociaux et de la manière dont ils affirment des identités univoques et dominantes. Mais elle fonde ici sa critique en pointant l’essentialisme des catégories de l’action publique sur lesquelles s’appuient les politiques de l’identité promues par ces mouvements. En prenant le cas des violences conjugales que subissent les Africaines-Américaine, elle montre qu’elles se trouvent au croisement du racisme et du sexisme et que, dans la majorité des cas, elles ne sont pas prises en compte par les politiques de l’identité – c’est-à-dire les discours et les programmes qui visent à lutter soit contre le racisme soit contre le sexisme. Ce n’est donc pas tant l’incapacité de ces « Identity politics » à dépasser la différence qui pose problème, comme on aime habituellement à le souligner, mais c’est au contraire précisément parce qu’elles éludent les différences qui traversent le groupe des femmes qu’elles sont problématiques et critiquables. L’auteure pointe ainsi la principale conséquence de cette réification des identités car elle rend impossible la prise en compte de l’intérêt des personnes qui font partie de catégories nullement pensées comme sécantes. Ce texte a joué un rôle crucial dans la réappropriation universitaire de la notion d’intersectionnalité. En reprenant les formes de conceptualisation de l’intersectionnalité propres au Black feminism et plus largement aux mouvements sociaux, il a rendu possible leur traduction théorique et épistémologique suivant trois lignes de réflexion. D’abord, il affirme que l’étude des situations intersectionnelles relève d’une épistémologie du point de vue qui reconnaît le rôle des expériences individuelles – en l’occurrence celles des femmes noires mais plus largement celles d’autres groupes minorisés – comme instrument de production du savoir. On retrouve cette idée dans plusieurs travaux revendiquant une démarche intersectionnelle, comme ceux par exemple de Patricia Hill Collins (2000). Dans The Social construction of Black Feminist Thought, Hill Collins cite la parole de femmes conscientes de ce que leur condition permet de faire et de voir. Elle insiste sur le fait que cette situation est définie par la classe, le genre et la race et qu’elle complexifie par exemple le rapport patronne/aide-ménagère en l’articulant à la division des femmes entre blanches et noires. L’exigence d’un savoir situé en appelle également à une responsabilité de la chercheuse ou du chercheur dont Crenshaw donne une traduction pratique dans les initiatives d’« intersectionnalité en actes » (Intersectionnality in Action) mises en œuvre par les campagnes de l’African American Policy Forum comme #BlackGirlsMatter, #HerDreamDeferred, #SayHerName, #WhyWeCantWait ou #BreakingTheSilence. Ensuite, dès « Mapping the Margins », Crenshaw (1991) insiste sur l’importance de contextualiser l’intersectionnalité et d’en user comme un outil d’analyse dynamique – et non comme « une grande théorie ». Contrairement à certaines critiques qui lui ont été faites sur le caractère abstrait et statique du concept d’intersectionnalité, elle rappelle la nécessité de rapporter l’analyse intersectionnelle au contexte socio-politique et au cadre juridique et légal. Cet effort de contextualisation appelle d’ailleurs à faire preuve de réflexivité sur les usages qui sont faits de la notion d’intersectionnalité tout en prévenant l’effacement possible de l’une de ses dimensions par l’effet de son importation dans un autre contexte national que celui des États-Unis ou plus largement de l’Amérique du Nord (Crenshaw 2016). Ainsi, l’acclimatation de l’intersectionnalité au contexte européen et plus précisément la traduction de cette notion dans des travaux français et francophones ne doivent pas donner lieu à un oubli de la dimension raciale au motif que ce point serait spécifique au contexte états-unien. Il s’agit plutôt de réfléchir à la manière dont race, genre, classe et autres principes de hiérarchisation s’articulent dans des contextes qui ont connu des formes de structuration raciale des rapports sociaux autres que l’esclavage et la ségrégation (Rocca i Escoda, Fassa et Lépinard 2016). Enfin, sans se départir d’une approche juridique, Crenshaw revendique dès son texte de 1991 la plasticité disciplinaire de l’approche intersectionnelle qui s’inscrit d’ailleurs dans la lignée des Women Studies. Parmi les nombreux travaux qui enrichissent l’analyse intersectionnelle sur le plan méthodologique et conceptuel, on peut citer ceux de Candace West et Sarah Fenstermaeker (1995). Ceux-ci s’appuient en effet sur une démarche ethnométhodologique pour saisir à un niveau microsociologique et de manière dynamique l’actualisation des assignations de race, de genre et de classe. Dans cette veine, Julie Bettie (2000) montre pour sa part comment, dans le contexte états-unien, la renégociation de l’identité de classe passe pour des jeunes filles mexicaines par un jeu qui renforce les codes genrés et racialisés. En articulant arguments théoriques et enquêtes empiriques, l’anthropologue colombienne Mara Viveros Vigoya (2017) s’appuie sur le Black Feminism et les épistémologies décoloniales pour interroger la construction des masculinités au croisement de formes plurielles de domination (sociale, raciale et sexuelle). D’autres travaux proposent une complexification de l’approche intersectionnelle opérant un déplacement dans la manière même d’appréhender la notion d’intersectionnalité, qui devient un objet de recherche davantage qu’une méthode (Mazouz 2015). D’autres encore proposent une démarche plus théorique, comme l’atteste par exemple l’ouvrage de Floya Anthias et Nira Yuval-Davis (1992), ou encore celui de Chela Sandoval (2000). Enfin, certaines recherches adoptent une approche réflexive sur les usages de l’approche intersectionnelle, contribuant ainsi à enrichir son épistémologie. C’est le cas par exemple de Sébastien Chauvin et Alexandre Jaunait (2015). Les deux auteurs se demandent tout d’abord si l’intersectionnalité est vouée à faire partie du problème qu’elle décrit. Ils interrogent ensuite le sens épistémologique et politique d’un programme normatif intersectionnel constitué en impératif universel de prise en compte constante de toutes les formes de domination. En ce sens, l’intersectionnalité ne constitue pas tant une théorie unifiée qu’un champ de recherche transnational (Cho, Crenshaw et McCall 2013 ; Roca i Escoda, Fassa et Lépinard 2016 : 11). En témoignent d’ailleurs les débats et les désaccords qui persistent au sein des études féministes sur la manière de rendre opératoire le potentiel heuristique de cette notion. Si son succès lui fait courir le risque de ne servir qu’une fonction d’affichage, le principal défi lancé aux chercheur.e.s est « d’élaborer des méthodes à la fois rebelles et susceptibles d’être reconnues au sein des différentes disciplines » (Crenshaw 2016 : 47) seules à même de conserver la dimension « insurgée » du concept (Cho, Crenshaw et McCall 2013).
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Arturi, Carlos Schmidt, et Elisa de Santana Batalha. « MOVIMENTOS SOCIAIS TRANSNACIONAIS E REAÇÃO INTERESTATAL : considerações teóricas à luz do Fórum Social Mundial e da cooperação securitária na União Européia ». Caderno CRH 19, no 48 (10 mai 2007). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v19i48.18867.

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Résumé :
O fenômeno da globalização tem provocado novos debates no âmbito das Relações Internacionais como disciplina e induzem os pesquisadores da área a rediscutir seus paradigmas. O artigo analisa a necessidade de estudos mais aprofundados sobre temas de pesquisa antes marginalizados, por exigirem um enfoque menos estado-cêntrico: um desses temas é o da contestação internacional sob suas múltiplas expressões, que provoca, por sua vez, reações de cooperação securitária de caráter supranacional. Com efeito, a transnacionalidade de atores não estatais, a formação de redes globais de movimentos sociais, a cooperação interestatal em áreas até então de exclusiva competência e monopólio das soberanias nacionais, como as de segurança, justiça e inteligência, exigem o questionamento teórico e a relativização do papel do Estado nas relações internacionais na atualidade. Este trabalho aborda algumas facetas deste debate à luz dos resultados de pesquisas, sob o enfoque da sociologia das relações internacionais, realizadas pelos autores sobre o Fórum Social Mundial e sobre a cooperação policial e judiciária no seio da União Européia. PALAVRAS-CHAVE: relações internacionais, globalização, novos atores, altermundialismo, Fórum Social Mundial.SOCIAL TRANSNATIONAL MOVEMENTS AND INTERESTATE REACTION: theoretical considerations on the light of the World Social Forum and security cooperation at the European Union Elisa de Santana Batalha Carlos Schmidt Arturi The phenomenon of globalization has been provoking new debates in the extent of the International Relationships as discipline and they induce the researchers of the area to rediscuss their paradigms. The article analyzes the need for more in-depth studies on formerly marginalized, for demanding a less state-centric focus, research themes: one of those themes is the international contestations under their multiple expressions, provoking, in itself, reactions of securitary cooperation of a supranational character. In fact, the nonstate actors’ transnacionality, the formation of global networks of social movements, the interstate cooperation in areas until then of exclusive competence and monopoly of the national sovereignties, as public safety, justice and intelligence, demand the theoretical questioning and relativization of the current role of the State in international relations. In the light of the results of researches, focused on international relations sociology, made by the authors on the World Social Forum and on the cooperation policejustice in the European Union, this work approaches some sides of this debate. KEYWORDS: international relations, globalization, new actors, altermundialism, World Social Forum.MOUVEMENTS SOCIAUX TRANSNATIONAUX ET REACTION INTERETATIQUE: considérations théoriques à partir du Forum Mondial et de la coopération sécuritaire dans l’Union Européenne Elisa de Santana Batalha Carlos Schmidt Arturi Le phénomène de la globalisation, en tant que discipline, a provoqué de nouveaux débats dans le cadre des Relations Internationales et a induit les chercheurs en la matière à rediscuter leurs paradigmes. Dans cet article, on se propose d’analyser le besoin d’études plus approfondies sur des thèmes de recherche jusqu’alors marginalisés parce qu’il fallait les considérer sous un angle moins état-centré. L’un de ces thèmes est celui de la contestation internationale à partir de ses multiples expressions, ce qui provoque, à son tour, des réactions de coopération sécuritaire à caractère supranational. En effet, la transnationalité des acteurs non étatiques, la formation de réseaux globaux de mouvements sociaux, la coopération interétatique dans des domaines jusqu’alors exclusivement réservés à la compétence et au monopole des souverainetés nationales, tels que la sécurité, la justice et l’intelligentsia, exigent un questionnement théorique et la relativisation du rôle actuel de l’État dans les Relations internationales. Ce travail aborde certaines facettes de ce débat sur le Forum Mondial Social et sur la coopération policière et judiciaire au sein de l’Union Européenne, à la lumière des résultats des recherches effectuées par les auteurs, sous l’angle de la sociologie des relations internationales. MOTS-CLÉS: relations internationales, globalisation, nouveaux acteurs, alter mondialisme, Forum Mondial Social.Publicação Online do Caderno CRH:http://www.cadernocrh.ufba.br
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Gagnon, Éric. « Vieillissement ». Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.062.

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Résumé :
L’anthropologie de la vieillesse a contribué à remettre en question des idées reçues et plusieurs préjugés tenaces, dont celle voulant que les sociétés modernes déconsidèrent la vieillesse et abandonnent leurs vieux, alors que les sociétés dites traditionnelles valorisent leur ainés et leur font une place honorable. Elle a écarté certaines images d’Épinal, comme l’Ancêtre trônant au milieu de sa famille, ou des clichés, comme le vieillard abandonné à l’hospice. Elle a appelé à se méfier de la mémoire toujours sélective et parfois enjoliveuse («Le bon vieux temps»). Elle a rappelé qu’il faut distinguer les représentations des comportements, que le prestige accordé à la vieillesse ne se traduit pas toujours en un véritable respect ou une réelle affection, et cache parfois des conditions de vie matérielle difficiles. Elle a surtout montré que le vieillissement n’est pas un phénomène purement biologique, partout identique, et qu’il est extrêmement variable d’une société, d’un groupe, d’une classe ou d’un genre à l’autre. Cette fonction critique, l’anthropologie a pu l’exercer au moyen de ce qui demeure son principal outil théorique et méthodologique : la comparaison. En comparant deux communautés au sein d’une même société, un même groupe avant et après des bouleversements historiques, deux culture très éloignées l’une de l’autre, la condition des ainés dans un pays avec celle des ainés originaires du même pays mais ayant migré dans un autre pays, ou encore différentes communautés au sein d’une même diaspora, elle a montré la diversité des conditions et des expériences, le poids des facteurs culturels, politiques ou économiques sur le vieillissement (Solokovski 1990). L’étude de cette diversité a non seulement permis de mieux comprendre le vieillissement, mais également de nourrir la réflexion touchant quatre grandes questions de l’anthropologie, que sont l’articulation du biologique et du social, les échanges familiaux, ce qui fait une communauté et le rôle des sciences et des techniques. Sur la première question, l’anthropologie du vieillissement a montré comment les transformations du corps sont étroitement déterminées par les conditions de vie, comment les changements biologiques, leur compréhension et leur perception, la manière dont les individus en font l’expérience et les réponses que les collectivité y apportent, sont façonnés par la culture, les normes sociales, l’organisation économique et les politiques publiques. L’étude de Margaret Lock (1993) sur la ménopause au Japon et en Amérique du Nord est à cet égard exemplaire. La sénescence, c’est-à-dire la dégradation des capacités générales de l’organisme biologique avec l’avancée en âge, connaît d’importantes variations. Non seulement la définition et les critères du vieillissement varient selon les milieux, les époques, les secteurs d’activité ou le genre (nombre d’années vécues, altérations physiques, incapacités, apparence physique, naissance de petits-enfants…), mais également ce qui est tenu pour un vieillissement normal ou souhaitable, le statut des personnes âgées, leurs obligations et leurs rôles. Si les conditions sociales d’existence ralentissent ou accélèrent le vieillissement biologique, elles donnent aussi à ce dernier une importance et une signification, qui font varier jusqu’aux formes d’expression de la douleur, de son histoire et de son identité (Keith 1985; Fry 2010). L’étude du vieillissement met en lumière la «biologie locale», le façonnement du corps propre à une culture ou un groupe. Sur la seconde question, l’étude anthropologique de la vieillesse s’est beaucoup intéressée aux échanges intergénérationnels, ainsi que le statut et la protection dont les personnes âgées bénéficient. Goody (1976) s’est efforcé de montrer comment les systèmes de parenté et de résidence, les modes transmission et le type d’économie favorisent ou non la dépendance des ainés envers les plus jeunes pour leur subsistance, le contrôle sur les biens, la possibilité de continuer d’habiter la demeure familiale et l’autorité qu’ils continuent d’exercer. La perspective permet non seulement la comparaison entre des sociétés d’aires culturelles très éloignées, mais l’articulation des questions anthropologiques touchant le vieillissement à celles liées à la famille et à l’économie, ainsi qu’à des enjeux politiques contemporains touchant les soins et la «prise en charge» des personnes vieillissantes (Buch 2015). Dans une perspective plus historique, on s’est intéressé aux impacts de l’allongement de la durée de vie, des transformation de l’économie (salariat, travail des femmes), des mutations de la famille, de l’essor des politiques de protection sociale (retraite, pension, allocation) et des migrations, sur les solidarités familiales, la sécurité et l’autonomie des ainés (Fry 2010). Les recherches sur les grands-parents et les transformations de leur rôle et statut (Attias-Donfut et Segalen 2007) ont alimenté l’étude des échanges et de la circulation des biens et des services au sein des familles, mais également de la transmission de la mémoire et du patrimoine familial, matériel et symbolique. Sur la troisième question, les anthropologues se sont intéressés à diverses communautés résidentielles d’ainés, que ce soit les grandes habitations et les foyers, les établissement de soins de longue durée (Hendersen et Vesperi 1995), ou encore les quartiers et villages sécurisés (gated communities), qui regroupent exclusivement ou en forte majorité des ainés. Ils se sont interrogés sur l’homogénéité de ces populations, le fonctionnement et les rites de passage propres à ces regroupements, les hiérarchies, les clivages et l’exclusion par delà le discours égalitariste, les relations avec le monde «extérieur» (les familles des résidents et la société dans son ensemble), en somme: la continuité et la discontinuité de ces communautés. Ces travaux ont nourri la réflexion sur ce qui fait une communauté en général (territoire, sentiment d’appartenance et organisation sociale), et sur la formation de communautés spécifiques de personnes âgées et le contexte dans lequel elles émergent (Keith 1985). Enfin, sur la question la place des savoirs scientifiques et techniques dans les sociétés contemporaines, les anthropologues ont porté une grande attention aux phénomènes de médicalisation et de professionnalisation du vieillissement. Celui-ci est en effet l’objet de savoirs et d’expertises qui en changent la signification et la réalité. Les transitions et transformations liées à l’âge sont devenues des problèmes, qu’il appartient à la médecine et à d’autres disciplines (la gérontologie au premier chef) de guérir, de soigner ou de «gérer» (Corin 1982). Ces interventions visent la préventions des maladies et des incapacités (gestion des risques), l’évaluation des «déficits» (physiques ou cognitifs) au moyen d’instruments diagnostics et de protocoles standardisés, pour déterminer les services ou l’aide dont la personne âgée a besoin, l’aménagement des espaces, la distribution des services spécialisés, les critères d’admission en institutions, etc. (Kaufmann 1994; Lock 1993). Ces interventions et les politiques qui les fondent, changent non seulement la façon dont le vieillissement est conçu et perçu dans une société, mais la manière dont les personnes le vivent (identité, image de soi, conduites, attentes). La vieillesse est redéfinie autour des catégories d’autonomie, de fragilité, d’activité et de dépendance – en Occident du moins – qui changent le statut de la personne âgée, sa place, ses relations aux autres, les critères culturels du vieillissement «normal» ou «réussi». Les personnes âgées sont largement considérées comme des patients et des usagers de services, mais aussi comme un marché pour les biotechnologies qui promettent un ralentissement du vieillissement. L’étude des savoirs et pratiques touchant plus spécifiquement les démences (ex : Alzheimer), du point de vue des savoirs et des pratiques professionnelles (Leibing et Cohen 2006) ou sous un angle plus expérientiel (Taylor 2008), est révélatrice de la manière dont une société conçoit la «personne», ce qui fait son «humanité» ou son identité, et comment, selon le contexte culturel et institutionnel, cette personne et cette humanité se défont ou se maintiennent. Ces travaux rejoignent une riche tradition de recherche sur la construction sociale de la «personne» et du «soi», particulièrement de la personne âgée (Lamb 1997 pour un exemple). Ces quatre grandes questions sont liées entre elles. La médicalisation et la professionnalisation renvoient à l’articulation du biologique et du social, ainsi qu’au soutien et à la prise en charge des personnes âgées; la question des communautés est indissociable des solidarités familiales. Le vieillissement est un phénomène aux multiples facettes, touchant toutes les dimensions de l’existence. Il n’est d’ailleurs compréhensible que mis en relation avec à un ensemble de réalités qui le débordent, et auxquelles, en retour, il apporte un éclairage : la famille, l’économie, la démographie, les soins de santé, les politiques, l’imaginaire social et les valeurs, la personne comme construit culturel. Si, comme le soutient Simone de Beauvoir (1970), on se découvre vieux dans le regard des autres, il reste à comprendre ce regard : les représentations, les normes, les savoirs et les pratiques qui le cadrent et l’orientent, ceux qui posent ce regard et les contextes dans lesquels il est posé, ainsi que les comportements et les expériences que ce regard induit.
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