Littérature scientifique sur le sujet « Littérature populaire – Afrique occidentale »

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Articles de revues sur le sujet "Littérature populaire – Afrique occidentale"

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Mulago, Jean-Pierre. « Les mourides d’Ahmadou Bamba ». Dossier 61, no 2 (2 décembre 2005) : 291–303. http://dx.doi.org/10.7202/011819ar.

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Résumé :
Certains chercheurs occidentaux et musulmans remettent en question la légitimité du mouridisme, cette tradition islamique lancée par Cheikh Ahmadou Bamba au Sénégal au tournant du xixe siècle. Par la théorie de la réception développée par Robert Jauss pour la littérature, le présent article formule l’hypothèse que le mouridisme en tant que réception de l’islam en Afrique noire est aussi valable que toute autre tradition islamique qui s’est développée depuis la mort du prophète Muhammad en 632 de notre ère. Grâce au charisme et au génie d’Ahmadou Bamba, l’islam est devenu la religion populaire qu’il était appelé à être parmi les populations noires d’Afrique. Se basant sur le potentiel idéologique de l’islam, A. Bamba a réalisé l’émancipation culturelle, religieuse, politique et économique du peuple wolof et, par extension, de tous les Sénégalais, qui sont fiers de sa contribution à la lutte pour l’indépendance de leur pays. La richesse de l’enseignement et de l’action de Cheikh Ahmadou Bamba est encore à découvrir par quiconque est intéressé par la recherche des moyens pour développer le continent africain.
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Habi-Boni, Daniel Sika, Sedjro Gilles Armel Nago et Armand Kouyéma Natta. « Typologie des activités de chasse et impacts sur les espèces fauniques en Afrique Occidentale : revue de littérature ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no 5 (24 janvier 2022) : 2141–60. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i5.34.

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Résumé :
Cette synthèse bibliographique vise à comprendre l’état des connaissances des pratiques de chasse et leurs effets sur les espèces de faune dans les périphéries des Aires Protégées d’Afrique de l’Ouest. Elle identifie également les lacunes dans les critères de classification des types de chasse et la prise en compte des aspects théoriques dans les diverses analyses. Trois types de chasse dont la chasse de subsistance (27,5% des documents), la chasse commerciale (63,75%) et la chasse sportive (8,75%) ont été identifiés. Si la chasse de subsistance prélève les oiseaux et les rongeurs en majorité, la chasse commerciale capture toutes les espèces rencontrées tandis que la chasse sportive abat les espèces avec les trophées comme les éléphants et les lions. L’impact négatif de la chasse est dénoncé par les auteurs lus. Bien que la prise en compte des aspects spatiaux et environnementaux et les caractéristiques biologiques des espèces prélevées soient importante dans la gestion de la faune, les documents analysés ont occulté ces aspects. Le présent travail suggère des études complètes sur la chasse traditionnelle en y intégrant les aspects spatiaux et environnementaux. This bibliographic review aims to understand the state of knowledge of hunting practices and their effects on species of fauna in the outskirts of West African Protected Areas. It also identifies the gaps in the criteria for classifying the types of hunting and the taking into account of theoretical aspects in the various analyzes. Three types of hunting including subsistence hunting (27.5% of documents), commercial hunting (63.75%) and sport hunting (8.75%) were identified. While subsistence hunting takes the majority of birds and rodents, commercial hunting captures all the species encountered while sport hunting cuts down species with trophies such as elephants and lions. The negative impact of hunting is denounced by the authors read. Although the consideration of spatial and environmental aspects and the biological characteristics of the species collected are important in wildlife management, the documents analyzed have overlooked these aspects. The present work suggests comprehensive studies on traditional hunting by integrating spatial and environmental aspects.
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Kagorora, Faustin, Valéry Psyché et Francisco A. Loiola. « État des lieux des conditions d’efficacité de la formation à distance en enseignement supérieur en Afrique ». Médiations et médiatisations, no 14 (25 mars 2023) : 28–45. http://dx.doi.org/10.52358/mm.vi14.318.

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Résumé :
La pandémie de COVID-19 a rendu la formation à distance (FAD) plus populaire à travers le monde et l’Afrique n’a pas fait exception. En conséquence, l’intérêt des chercheurs pour les moyens de rendre ce mode d’enseignement-apprentissage efficace s’est accru, notamment dans l’enseignement supérieur. Dans cet article, nous présentons, à partir d’une revue de littérature, un état des lieux des approches méthodologiques (quantitatives, qualitatives et mixtes) utilisées par les chercheurs pour étudier les conditions d’efficacité de la FAD dans l’enseignement supérieur en Afrique et les conditions proposées dans plusieurs des études recensées. Le résultat de notre recherche montre que ces conditions comprennent, entre autres, celles liées aux infrastructures et équipements technologiques, à la qualité d’accès à Internet, aux compétences technopédagogiques des étudiants et des enseignants, à la conception des cours, aux caractéristiques des outils d’apprentissage en ligne ainsi qu’aux ressources de soutien (pour les enseignants et les étudiants). Nous présentons également les propositions de chercheurs pour faire face à certains défis, dont les infrastructures technologiques inadéquates
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ONANA NTSA, Fabrice. « DES CONFÉRENCES AFRO-ASIATIQUES AUX ASSISES DU FOCAC (1955 – 2021) ». JOURNAL OF SINO-AFRICAN STUDIES 1, no 1 (31 octobre 2022) : 206–21. http://dx.doi.org/10.56377/jsas.v1n1.0621.

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Résumé :
La coopération multilatérale désigne l’ensemble des rapports de coopération qui unissent les Etats dans des organisations internationales ou régionales. Elle a pris son essor après la deuxième guerre mondiale dans le cadre du système onusien pour instaurer un climat de paix, d’entente et d’amitié dans les Relations Internationales. Par ailleurs, nonobstant l’existence des relations bilatérales avec les États africains, la République Populaire de Chine (RPC) a toujours perçu l’Afrique comme une entité. Elle savait que pour tirer véritablement profit de l’Afrique, il fallait la percevoir comme un bloc. C’est pourquoi depuis Bandung, la Chine a affectionné la démarche multilatérale en discutant avec les pays africains regroupés dans des cadres comme les conférences de solidarité des peuples afro-asiatiques ou encore les assises du Forum sur la Coopération Sino-Africaine (FCSA), en anglais Forum On China Africa Cooperation (FOCAC) initiées par elle-même. Cette étude qui s’adosse sur les théories du Bandwagoning et de la dépendance insiste sur la permanence du multilatéralisme dans la démarche anti-impérialiste chinoise en Afrique. Sur la base d’une analyse documentaire, l’article souligne que la création du FOCAC en 2000 par la Chine est la formalisation d’une démarche affectionnée par l’Empire du Milieu dans son projet africain depuis les conférences afro-asiatiques et mêmes les congrès des non-alignés qu’il suivait attentivement. Il s’agit des plateformes dont s’est servie la RPC pour progressivement monter sa stratégie africaine et démonter l’influence occidentale en Afrique.
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Diop, Abdel Kerim M., Mohamed S. Chrif Ahmed, Mohamed B. Biya, Mohamed Lemine Haki, Gaukhar Konuspayeva et Bernard Faye. « Comparaison des phénotypes camelins de Mauritanie aux écotypes d’Afrique et d’Asie ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 73, no 4 (25 novembre 2020) : 247–54. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31948.

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Résumé :
Afin d’évaluer la diversité phénotypique caméline en Mauritanie, des mensurations corporelles ont été réalisées sur 131 chamelles adultes amenées à l’abattoir de Nouakchott, animaux en provenance de l’ensemble du territoire mauritanien. En moyenne les mensurations corporelles ont été (en cm) de 51,5 ± 2,0 (longueur de la tête), 21,5 ± 1,5 (largeur de la tête), 108,4 ± 6,6 (longueur du cou), 65,6 ± 4,9 (tour du cou), 184,7 ± 8,1 (hauteur au garrot), 197,8 ± 8,2 (tour de poitrine), 147,1 ± 9,3 (longueur du corps) et 76,8 ± 5,2 (tour de cuisse). Par classification automatique, il a été possible d’identifier cinq phénotypes allant des animaux de petite taille, au petit gabarit et au cou fin et court, à des animaux longilignes de grande taille en passant par des gabarits de taille moyenne se distinguant par la grosseur de la tête ou des membres. Comparés aux données de la littérature, ces phénotypes apparaissent très proches des races décrites dans les pays du Maghreb et plus globalement des races africaines, et s’opposent aux races asiatiques, plus grandes et plus productives. La variabilité des phénotypes mauritaniens s’est avérée de faible ampleur, ce qui peut s’expliquer par la position de la Mauritanie, à l’extrémité occidentale de l’aire de répartition du dromadaire en Afrique, zone de brassage génétique important avec de faibles divergences rendues possibles par la topographie du pays.
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Pavón Benito, Julia. « ¿Es necesario seguir investigando sobre la muerte ? Una reflexión historiográfica y nuevas perspectivas ». Vínculos de Historia Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no 12 (28 juin 2023) : 65–83. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2023.12.03.

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Résumé :
RESUMENLa historiografía sobre la muerte, desarrollada entre finales de los años setenta y noventa de la pasada centuria, tuvo especial interés y proyección a partir de las investigaciones trazadas por la tercera generación de Annales. Los planteamientos de esta corriente, en sintonía con los modelos de dicha escuela y avalados por la renovación del objeto histórico tras el estructuralismo, giraron alrededor del estudio de las condiciones materiales, actitudes, imágenes y gestualidad del hombre medieval ante la muerte. El cuerpo de esta fructífera reflexión, como parcela de la “historia de las mentalidades”, albergó novedades metodológicas, facilitando una visión y proyección heurística, debido al impacto que tuvo dentro del diálogo de la historia con las ciencias sociales y otras disciplinas del quehacer humanístico. A finales del siglo xx y comienzo del presente, el giro producido en el quehacer histórico ha otorgado un mayor protagonismo a lo social y cultural, colocando en el lugar protagonista ocupado durante décadas por la “historia de la muerte” otros intereses. Compete, por tanto, plantearse qué horizontes cabría dibujar, dentro de las coordenadas historiográficas de la actualidad, para las investigaciones sobre la muerte, cuyas paradojas siguen vigentes como recurso para conocer los fenómenos y manifestaciones propias de la civilización medieval.Palabras clave: Muerte medieval, historiografía de la muerte ABSTRACTThe historiography of death developed between the late 1970s and the 1990s was of special interest and projection. It was based on research carried out by the third generation of the Annales. The approaches developed in line with the models of this school of thought and underpinned by the renewal of the historical object following structuralism, revolved around the study of material conditions, attitudes, images and gestures of the medieval man in the face of death. The core of this prolific reflection as part of the “history of mentalities” contained methodological novelties facilitating a heuristic vision and projection due to the impact it had on the dialogue between History and Social Sciences and other humanistic disciplines. At the end of the 20th century and the beginning of the current the shift in historical endeavour has given greater prominence to what is social and cultural, placing other interests in the key role for decades occupied by the “history of death”. For researching into death, it is necessary therefore to consider what perceptions can be drawn within the historiographical coordinates of the present day whose paradoxes are still valid as a resource to understand the phenomena and manifestations of medieval civilisation.Keywords: mediaeval death, historiography of death REFERENCIASActas de las I Jornadas de Metodología Aplicada de las Ciencias Históricas. V. Paleografía y archivística, Santiago de Compostela, Universidade de Santiago de Compostela, Servicio de Publicaciones, 1975.Alexandre-Bidon, D., La mort au Moyen Âge: xiiie-xvie, París, Editorial Hachette, 1998.Alexandre-Bidon, D. y Treffort, C. (dirs.), A reveiller les morts. La mort au quotidien dans l’Occident médieval, Lyon, Presses Universitaires de Lyon, 1993.Ariès, P., Essais sur l’histoire de la mort en Occident du Moyen Âge á nous jours, París, Éditions du Seuil, 1975 (trad. Historia de la muerte en Occidente. 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Meudec, Marie. « Résistance ». Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.063.

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Résumé :
La notion de résistance est utilisée dans des domaines comme la physique ou la mécanique, mais l’emploi qui nous intéresse ici est la résistance comme pratique sociale et comme concept, utilisé en sciences sociales pour décrire des mouvements sociaux et des pratiques individuelles de rébellion. D’abord souvent restreinte au monde politique (entendons par là les partis et les institutions politiques), la compréhension de la notion de résistance s’est élargie à toutes les sphères de la société. Résister, c’est ainsi mettre en pratique une forme d’opposition au pouvoir en place, au pouvoir dominant ou hégémonique. C’est ainsi par exemple que la sociologie politique (Neumann 2012) ou la philosophie politique (Rancière 1995) peuvent concevoir les révoltes, les rébellions ou les mouvements d’opposition au pouvoir d’État. Pensons aussi aux travaux de Wa Thiong’o (1987 : 2) qui étudie « les réalités africaines en tant qu’elles sont affectées par la grande lutte entre les deux forces mutuellement opposées en Afrique aujourd'hui: une tradition impérialiste d'une part et une tradition de résistance de l'autre ». Parler de résistance passe donc nécessairement par une analyse des formes d’oppression et d’impérialisme existantes, là où la résistance est conçue une forme de ‘réaction à’ une forme de contre-pouvoir. Comment les personnes qui ne sont pas du côté du pouvoir en place résistent-elles aux puissants ? L’analyse des pratiques de résistance vise dès lors à rendre compte de la participation sociale ou des actions des personnes dominées par le système politique et économique. Toutefois, la binarité domination / résistance doit être questionnée et réfléchie, entre autres pour mieux saisir les manifestations de pouvoir et de domination à l’œuvre (Ortner 1995 ; Foucault 1978). Dans sa célèbre ethnographie menée en Malaisie, le politologue James C. Scott (1985) étudie les relations de pouvoir au sein de mouvements de résistance paysanne. Scott montre notamment que les mouvements de résistance sont le fruit d’une réflexion éthique qui se base entre autres sur des notions d’injustice, et non – comme les intellectuels avaient plutôt tendance à penser les formes de résistance populaire – comme le résultat d’un attrait inné pour la violence ou d’une forme spontanée de rébellion. Cette perspective admet ainsi la possibilité généralisée d’actions contestatrices auparavant cantonnées aux sphères politiques formelles. Il évoque notamment les ‘formes quotidiennes de résistance’ pour rendre compte de ces pratiques de résistance qui paraissent moins organisées. Le concept de ‘résistance infrapolitique’ (Scott 1990) permet de penser le caractère privé de pratiques de résistance, autrement recherchées uniquement sur la scène publique. Le changement social et la lutte politique sont pensés comme des phénomènes ‘discrets’ et non plus seulement visibles dans la sphère publique. Il s’agit donc de comprendre les dimensions ordinaires ou quotidiennes de la résistance, et d’élargir les perspectives qui conçoivent la résistance comme des moments de crises, des pratiques transgressives au caractère exceptionnel, des émeutes et des soulèvements (Bertho 2010, 2013) ou des normes qui s’érodent (Neumann, 2012). Ainsi, concevoir les formes de résistance du point de vue de la vie quotidienne ou de la sphère culturelle constitue en partie une traduction ou une conséquence des perspectives critiques, féministes et postcoloniales en sciences sociales. En effet, alors que la résistance n’était conçue comme un phénomène possible qu'essentiellement du point de vue des institutions et du pouvoir officiel, valorisant ou rendant visibles certaines formes de résistance au détriment d’autres, ce sont les formes invisibilisées de la résistance qui sont aussi à ce jour étudiées. Prenons pour exemple le développement d’une historiographie féministe dans le champ des études caribéennes. Mimi Sheller (2012) y a par exemple montré comment, auparavant, les recherches sur la révolution haïtienne avaient essentiellement mis de l’avant des guerriers héroïques comme Dessalines ou Louverture alors que cette révolution a aussi été rendue possible par les efforts quotidiens des femmes, notamment pour éduquer, nourrir, soigner et ainsi contribuer à faire en sorte que ces guerriers puissent combattre, en plus d’avoir été totalement impliquées dans des combats armés et des mouvements publics de protestation. Cette historiographie de l’émancipation a aussi le mérite d’aller au-delà d’une simple dialectique oppression / résistance, subordination / résistance ou esclavage / liberté pour concevoir les continuités possibles entre ces deux pôles (Sheller 2012). La résistance devient un phénomène à la mode pour les études en sciences sociales et il faut se garder de voir de la résistance partout, en même temps qu’il faut continuer à remettre en question les façons de la penser, notamment en cherchant des formes de résistance dans des comportements apparemment passifs, des silences ou des inactions. Retenons ainsi que la façon dont les chercheur.e.s conçoivent la résistance a des conséquences sur leurs capacités à reconnaître (ou non) certaines pratiques et à les associer (ou non) à de la résistance. À l’instar de Patricia Hill Collins (citée par Wane, 2013), il faut aussi se demander si on serait capable de reconnaitre la résistance en la voyant. En effet, en quoi notre façon de définir la résistance ne réduit-elle pas nos capacités à l’observer, à la concevoir et à en rendre compte ? On pourrait par exemple penser à des formes de projection qui consistent à (vouloir) voir de la résistance là où les personnes concernées n’en voient pas. Dans le cas des études féministes intéressées aux formes de résistance, évoquons les riches travaux de Mahmood (2001) sur la capacité d’agir des femmes. Comment les femmes contribuent à leur propre domination et comment elles y résistent ou elles la subvertissent ? Elle y définit l’agencéité comme ‘une capacité pour l’action que des relations spécifiques et historiquement constituées de subordination permettent et créent’ (Mahmood 2001 : 203). Dans cette perspective, la résistance et le pouvoir sont intimement liés aux conditions de leur possibilité, ce qui signifie que dans différents systèmes de pouvoir, il y aura différentes possibilités de ‘résister’ ou de vivre dans ce système (Mahmood 2005). Cela signifie également que l’agencéité ne doit pas être réduite à de la résistance, dans le sens où elle ne constitue qu’une des formes que l’agencéité peut prendre (Bilge 2010). Les approches orientées vers la résistance sont biaisées par du romantisme et leurs analyses des modes de fonctionnement du pouvoir en sont de ce fait appauvries (Abu-Lughod 1990). Ces approches témoignent de critiques du féminisme mainstream / occidental / blanc, et notamment d’une forme d’exoticisation des femmes du Tiers-Monde en définissant leurs cultures et leurs modes de vie en termes de ‘résistance’, révélant du même coup leurs propres façons de concevoir ce qu’est la résistance et la tendance « chic et en vogue de formuler les actions des gens comme des formes de résistance puissantes » (Villenas 2000 : 80). Dans une analyse des formes de résistance – comme plus largement des pratiques sociales – la décolonisation du féminisme passe par une remise en question du fait de parler ‘au nom de’ (Mohanty 2003 ; Martin Alcoff 1991-1992). Les études postcoloniales et décoloniales se sont construites en parallèle aux mouvements de décolonisation politique des années 1950-1960. Résistance politique et résistance intellectuelle allant donc de pair, des auteurs comme Fanon, Césaire ou Sédar Senghor ont fourni des outils intellectuels pour penser les ‘cultures de résistance’ (Fanon 1952), pour réfléchir aux soulèvements et aux prises de parole des damnés de la terre (Fanon 1961) ou des subalternes (Spivak 1988). Dans son célèbre Discours sur le colonialisme, Césaire (1973) explique comment le concept de Négritude est apparu comme forme de résistance aux politiques françaises d’assimilation. Le champ des études décoloniales et autochtones (en anglais indigenous) se développe grandement ces dernières années, induisant un changement de perspective pour penser les relations de pouvoir et les mouvements de contre-pouvoir. Comme l’écrivent si justement Tuck et Wayne Yang (2012 : 23) à propos du mouvement Occupy de 2011, « pour de nombreuses personnes économiquement marginalisées (le mouvement Occupy) a été une expression bienvenue de la résistance aux disparités massives dans la répartition des richesses; pour de nombreux peuples autochtones, Occupy est une autre réinstallation de colons sur des terres volées ». Le champ des études décoloniales a aussi initié des concepts très importants autour de la décolonisation des savoirs (Smith 1999-2002 ; Harrison 1991, Luste Boulbina 2012 ; Todd 2016 ; Uddin 2011) et de l’esprit (Wa Thiong'o 1987). Il s’agit alors de questionner l’eurocentrisme des sciences sociales et de les retravailler pour une profonde transformation de ses théories et méthodologies (Meudec 2017). La résistance épistémique met alors de l’avant les savoirs indigènes comme forme de résistance au sein de l’université occidentale (Wane 2013) ou est plus largement constituée par toutes les formes de « résistance intellectuelle à la domination épistémique Occidentale », leurs buts étant de « donner de l’agencéité aux Africains à qui une histoire a été déniée en fournissant une historiographie alternative pour combattre l’hégémonie et l’impérialisme Occidentaux » (Ogot 2013 : 18). Mignolo (2013) suggère quant à lui une désobéissance épistémique comme « déprise » par rapport aux modèles politiques et économiques dominants. Encore là, la résistance à des formes d’impérialisme de la pensée, lesquelles ont longtemps mis sous silence les revendications – et tout simplement les voix – des personnes colonisées ou dominées, se fait par la prise de parole et la re-connection des personnes avec leurs propres histoires, paysages, langages et organisations sociales (Smith 1999/2002). Au sein des milieux académiques, plusieurs autres mouvements de résistance sont initiés depuis quelques années, en faveur du slow scholarship notamment (Shahjahan 2014 ; Hartman and Darab 2012 ; Mountz 2015) ou des autoethnographies pour réfléchir et survivre à la précarisation et à la privatisation du travail au sein des universités néolibérales (Reyes Cruz 2012).</description>
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Caroline, Hervé. « Réconciliation ». Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.113.

Texte intégral
Résumé :
La réconciliation est une préoccupation contemporaine qui oriente les politiques et les actions des institutions et des individus dans certains contextes nationaux et internationaux. Les politiques de réconciliation se déploient à la suite d’épisodes traumatiques dans le but de rebâtir des relations de confiance et de respect entre des États et des individus ou des groupes brimés. Elles se développent également dans les démocraties modernes dans le but de réparer la relation entre certains groupes et engager les pays dans des processus de démocratisation et d’inclusion des différents groupes culturels, ethniques et sociaux. Souvent édictées comme des politiques nationales, elles s’implantent à travers des mesures concrètes dans les différents niveaux institutionnels de la société et orientent les discours dominants. La question de la réconciliation a reçu l’attention des chercheurs en sciences sociales, en droit, en science politique, en philosophie morale, mais également en littérature ou en théologie. Il s’agit d’un objet dont l’anthropologie s’est emparé récemment en montrant la diversité des contextes dans lesquels il se déploie, les rapports de pouvoir sous-jacents et les significations variées que les différents groupes sociaux lui assignent. La réconciliation, comme projet politique national, est souvent mise en place à la suite des travaux d’une Commission de vérité et réconciliation (CVR) visant à éclairer certains troubles politiques et restaurer la justice sociale ou un nouvel ordre démocratique dans une optique de justice réparatrice. La Commission nationale d’Argentine sur la disparition des personnes (1983) est considérée comme la première d’une longue série de commissions qui ont enquêté sur des situations de troubles politiques, de guerres civiles, de répressions politiques, de génocide. Plus d’une quarantaine de commissions ont été dénombrées depuis cette date (Richards et Wilson 2017 : 2), principalement en Afrique (Tunisie, Burundi, Côte d’Ivoire, Togo, etc.), dans les Amériques (Canada, Pérou, Brésil) ou encore en Asie (Timor oriental, Népal, etc.). Parmi les plus importantes, on compte la Commission nationale de vérité et de réconciliation du Chili (1990-1991) qui a documenté les circonstances des milliers de disparitions et de morts sous la dictature d’Augusto Pinochet et préparé le pays vers une transition démocratique. La Commission de vérité et de réconciliation d’Afrique du Sud (1996-1998) visait quant à elle à recenser toutes les violations des droits de l’homme commises dans le pays au cours des décennies précédentes et à mettre fin à l’apartheid. La plupart du temps, ces commissions sont le résultat de pressions exercées par des groupes d’activistes au sein d’un État, ou, comme c’est de plus en plus souvent le cas, de pressions exercées au niveau international par les organisations non gouvernementales ou d’autres mouvements politiques. Elles constituent des organismes indépendants des appareils judiciaires et leur objectif premier est d’enquêter sur les coupables et les victimes et d’émettre des recommandations en vue de restaurer la paix (Richards et Wilson 2017 : 2). Ces Commissions de vérité et réconciliation s’appuient sur des principes de droit international, mais certains auteurs y voient aussi la résurgence d’une éthique religieuse à travers l’importance donnée au concept de pardon, central dans plusieurs religions du Livre, comme l’Ancien Testament, le Nouveau Testament ou encore le Coran (Courtois 2005 : 2). Les anthropologues ont montré qu’en fonction des méthodologies utilisées lors des enquêtes, les discours sur la vérité peuvent varier. Ainsi, certaines histoires ou expériences sont rendues visibles tandis que d’autres sont oubliées (Buur 2000, Wilson 2003, Ross 2002). Au fil du temps, les CVR ont eu des mandats, des prérogatives et des applications différents. En témoigne la CVR du Canada qui avait pour but, non pas d’assurer la transition d’un pays autocratique vers une démocratie, mais de lever le voile sur les expériences de déracinement et de violence vécues par les peuples autochtones au sein des pensionnats. À l’image du travail de Susan Slyomovics (2005) sur la Commission du Maroc, les anthropologues ont analysé les programmes de réparation et de restitution mis en place par certaines commissions. Ils ont aussi montré que certains groupes sociaux restaient marginalisés, comme les femmes (Ross 2002). Theidon (2013), dans son travail sur la commission de vérité et réconciliation du Pérou, a montré de son côté que les CVR oublient souvent d’inclure des enquêtes ou des discussions sur la façon dont les violences politiques détruisent les relations familiales, les structures sociales ou les capacités de production économique de certains groupes. Les anthropologues permettent ainsi de mieux comprendre les perspectives des survivants face au travail et aux recommandations de ces commissions en documentant la diversité de leurs voies et de leurs expériences. Ils montrent que la réconciliation est avant tout un projet construit politiquement, socialement et culturellement. La réconciliation est un objectif central à la plupart des CVR, mais elle est un objectif qui la dépasse car elle est la plupart du temps mise en place une fois que la CVR a achevé ses travaux et émis ses recommandations. Les CVR ont en effet rarement l’autorité de mettre en place les recommandations qu’elles édictent. Les anthropologues Richards et Wilson (2017) présentent deux versions de la réconciliation en fonction des contextes nationaux : une version allégée (thin version) à travers laquelle les politiques nationales encouragent la coexistence pacifique entre des parties anciennement opposées ; et une version plus forte (thick version) lorsque des demandes de pardon sont exigées à ceux qui ont commis des crimes. Si la réconciliation suppose qu’un équilibre puisse être restauré, il n’en reste pas moins qu’elle se base sur une interprétation spécifique de l’histoire (Gade 2013) et qu’elle participe à la construction d’une mémoire individuelle, collective et nationale. Cette notion permet donc d’offrir un cadre souple aux élites qui prennent en charge le pouvoir après les périodes de troubles pour que celles-ci puissent (re)légitimer leur position et les institutions politiques, souvent héritières de ce passé qu’on cherche à dépasser (Richards et Wilson 2017 : 7). Ce discours sur la réconciliation vise ainsi à instiller des valeurs morales publiques et construire une nouvelle image commune de la nation. Selon Wilson, les CVR seraient des modèles promus par les élites politiques pour construire une nouvelle harmonie qui permettrait d’occuper la conscience populaire et la détourner des questions de rétribution et de compensation financière. Le nouvel ordre politique est présenté comme étant purifié, décontaminé et déconnecté avec l’ancien ordre autoritaire, une façon de construire une nouvelle vision de la communauté en inscrivant l’individu dans un nouveau discours national (Wilson 2003 : 370). La réconciliation, comme projet politique national, ne fait en effet pas toujours l’unanimité. Par exemple, elle est devenue une véritable préoccupation collective au Canada depuis la remise du rapport de la Commission de vérité et réconciliation du Canada en 2015, mais le sens donné à celle-ci varie. Même si le rapport de la CVRC prévient qu’il n’y a pas une vérité ou une vision de la réconciliation (CVRC 2015 : 14) et que pour les Autochtones, la réconciliation exige aussi une réconciliation avec le monde naturel (CVRC 2015 : 15), ce processus national est vivement critiqué par certains intellectuels autochtones, comme Taiaiake Alfred (2016), pour qui la réconciliation est un processus de « re-colonisation » qui occulte la dynamique coloniale encore à l’œuvre (Alfred 2011 : 8). Cette critique se retrouve dans d’autres contextes postcoloniaux, comme en Nouvelle-Zélande ou en Australie, où les excuses proférées par les gouvernements concernant les différentes formes d’injustice subies par les peuples autochtones oblitèrent les enjeux les plus cruciaux, à savoir la nécessité d’abolir les politiques coloniales et de faire avancer les projets d’autonomie politique des Autochtones (Johnson 2011 : 189). La réconciliation est constitutive de toute relation sociale et en ce sens elle peut être instrumentalisée au sein de discours visant à faire ou défaire les liens sociaux (Kingsolver 2013). C’est donc aussi là que se situe l’enjeu de la réconciliation, sur la capacité à s’entendre sur ce qu’est une bonne relation. Borneman définit la réconciliation comme un au-delà de la violence (departure from violence), c’est-à-dire comme un processus intersubjectif à travers lequel deux personnes ou deux groupes tentent de créer une nouvelle relation d’affinité, non plus marquée par la violence cyclique, mais par la confiance et l’attention réciproques ; cela étant possible seulement si les États instaurent des politiques de réparation et que la diversité des points de vue des personnes concernées par ces politiques est prise en compte (Borneman 2002 : 282, 300-301). En ce sens, une lecture anthropologique au sujet de la réconciliation permet de développer une réflexion critique sur la réconciliation en la considérant avant tout comme une préoccupation politique contemporaine dont il s’agit de saisir le contexte d’émergence et les articulations et comme un processus à travers lequel les individus tentent, à partir de leurs points de vue respectifs, de redéfinir les termes d’une nouvelle relation. La discipline anthropologique est en effet à même de mettre au jour les rapports de pouvoir inhérents aux processus de réconciliation, de révéler les significations culturelles sous-jacentes que les différents acteurs sociaux attribuent au pardon, à la réconciliation ou encore à ce qui constitue les bases d’une relation harmonieuse. L’anthropologie peut enfin lever le voile sur les dynamiques de réciprocité et de don/contre-don qui se déploient au travers de ces processus et ainsi décrypter les multiples dimensions qui participent à la fabrique des sociétés.
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Thèses sur le sujet "Littérature populaire – Afrique occidentale"

1

Kone, Issiaka. « Le Mandenkaya : ou l'art d'exalter, de contenir et d'éteindre le conflit ». Bordeaux 2, 1997. http://www.theses.fr/1997BOR21006.

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2

Lolonga, Débora. « Défis Africains de l'éthique biomédicale : Réflexion à partir de la prise en charge du cancer de l'enfant en Afrique de l'Ouest, dans les unités pilotes du groupe Franco Africain d'oncologie pédiatrique ». Paris 11, 2009. http://www.theses.fr/2009PA11T098.

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3

Mendy, Charles. « La représentation de la religion (animisme, Islam et Christianisme) dans la littérature sénégambienne ». Limoges, 2008. http://www.theses.fr/2008LIMO2001.

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Notre thèse porte sur le débat religieux - Animisme, Christianisme et Islam. Par l'entremise des auteurs (trois sénégalais, le même nombre de Gambiens et d'autres écrivains ouest africains), nous avons effectué une comparaison pour montrer non seulement la présence de la religion, mais également pour divulguer les visions et les démarches des auteurs dans le traitement de ce thème qui ne cesse de passionner les Négro-Africains. Avant l'avènement des religions révélées en Afrique au sud du Sahara, les pratiques religieuses et culturelles y avaient cours. Certains romanciers ont évoqué le pouvoir unificateur des cultes africains qui mettent en valeur une véritable cohésion sociale et spirituelle. L'implantation de ces nouvelles religions a laissé des traces indélébiles dans la vie quotidienne des Négro-Africains. Les prosélytes les ont adaptées à leur vie privée et il en ressort un syncrétisme religieux qui perdure. Nous avons alors essayé de montrer comment les auteurs se sont attachés à faire part des bouleversements que cette question confessionnelle a entraînés.
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4

Mabon, Armelle. « L'action sociale coloniale : l'exemple de l'Afrique-Occidentale française du Front populaire à la veille des indépendances / ». Paris ; Montréal (Québec) ; Budapest [etc.] : l'Harmattan, 2000. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37642439t.

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Résumé :
Texte remanié de: Th. doct.--Hist.--Montpellier 3, 1998. Titre de soutenance : L'action sociale coloniale en Afrique-Occidentale française du Front populaire à la loi-cadre, 1936-1956, mythes et réalités.
Bibliogr. p. 197-216.
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5

Mabon, Armelle. « L'action sociale coloniale en afrique occidentale francaise du front populaire a la loi-cadre (1936-1956) mythes et realites ». Montpellier 3, 1998. http://www.theses.fr/1998MON30059.

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Résumé :
L'action sociale qui a pour vocation l'autonomie personnelle et l'harmonisation des relations sociales favorisant les promotions collectives n'a pas pu s'imposer dans le contexte colonial ou les peuples ne peuvent disposer de leur souverainete. Ainsi, en afrique occidentale francaise, alors que le bien-fonde des mesures sociales est reconnu parfois meme plebiscite pour calmer l'impatience des africains, leur mise en place est freinee par un lobby colonial puissant, par une inadaptation du travail parlementaire, par l'inaction des pouvoirs publics et par le refus d'integrer des prealables democratiques.
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Amoah, Félix. « Polygamie et conflits missionnnaires en Afrique occidentale : aspects littéraires et historiques ». Paris 3, 2000. http://www.theses.fr/2000PA030185.

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Le nouveau testament (nt) ne mentionne pas d'activite missionnaire en afrique, comme il le fait pour l'asie mineure et l'europe. Mais, plusieurs textes prouvent que des relations s'etablissent entre l'evangile et l'afrique (mat. 2. 13-15 : fuite de la sainte famille en egypte ; actes (. 26-40 : conversion d'un haut personnage africain). Bref, cette demonstration a pour objet la verification litteraire et historique des difficultes de l'oeuvre missionnaire catholique, ou protestante contre la polygamie au monde noir de l'afrique occidentale. Historiographiquement, la polygamie, en afrique occidentale, s'est instauree a cause de la superiorite numerique des femmes due, en partie, a une forte mortalite infantile, en partie, a l'importance de la guerre dans les societes traditionnelles. La majorite des hommes, etaient des guerriers, et pris en esclavage par les vainqueurs. On devient polygame pour des motivations de nature de caractere tres differentes, poussant l'homme, qui choisit une nouvelle epouse. Car la sterilite de sa premiere femme est la raison la plus imperative, a savoir dans la societe de l'afrique noire, la finalite du mariage est la procreation, lorsqu'un couple ne donne naissance a aucun enfant, le mari a le droit et, meme, le devoir de choisir une nouvelle epouse. En cas de sterilite du couple, la tradition demande que seule la femme soit tenue responsable. La femme est consciente que la sterilite du couple est suffisante pour qu'elle soit conduite a une situation de co-epouse, bien que son mariage soit contracte sous regime monogame.
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7

Bourlet, Mélanie. « Emergence d'une littérature écrite dans une langue africaine : L'exemple du poulâr (Sénégal/Mauritainie) ». Paris, INALCO, 2009. http://www.theses.fr/2009INAL0013.

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Résumé :
La thèse porte sur l’émergence d’une littérature écrite dans une langue africaine, en l’occurrence le pulaar (Sénégal/Mauritanie), l’une des variantes dialectales majeures du peul. La première partie analyse l’articulation entre l’histoire, la sociologie, le contexte politique ainsi que le statut de la langue peule par rapport à l’écriture littéraire en alphabet latin. Celle-ci s’organise en deux périodes. La première phase (1960-1989) est centrée sur l’appropriation de la langue par les intellectuels intégrant la culture dans leurs revendications nationalistes. La deuxième phase qui se prolonge jusqu’à nos jours voit l’émergence de nouveaux écrivains qui se sont appropriés l’écriture et l’ont désidéologisée, et qui sont moins politisés et plus attentifs à la question du statut de l’individu dans une société en mutation. La deuxième partie porte sur la création littéraire elle-même : une soixantaine de textes (essentiellement prose et poésie) a été recensée lors de plusieurs enquêtes au Sénégal et en Mauritanie. Face à cette abondance, le choix a été fait de centrer l’analyse sur la prose, plus particulièrement sur quatre romans de la deuxième période, afin d’illustrer la richesse des écritures à travers des auteurs déjà bien connus : Yero Dooro JALLO, Ndikkiri Joom Moolo (Ndikkiri le Guitariste), 1981 ; Ibraahiima DEM, Sahre Goonga (Le Monde de la Vérité), 1997 ; Saydu Bah, Sammba Jallo. Moni fof et feccere mum (Sammba Jallo. Chacun sa destinée), 2005 ; Mammadu Abdul SEK, Ngayngu Giɗli (L’Amour-Haine), 2004. L’annexe comprend les résumés détaillés des quatre romans et des informations biographiques sur une quinzaine d’auteurs
The thesis considers the development of a written literature in an African language, focusing on pulaar (Senegal/Mauritania), one of the major dialectal variants of Fulani. The first part treats the interface between political context, linguistic changes and literary writing on the Latin alphabet. It is divided into two parts and (1960-1990s) centred on the appropriation of the languages by scholars seeking to integrate the culture into their nationalist claims. A second period, which extends to the present, witnesses the appearing of new and less politicised writers who, more interested to the status of individuals in a mutating society, appropriated the art of writing while refusing to use it to express ideologies. The second part considers literary creativity, using some sixty texts (mostly prose and poetry) identified during fieldwork in Senegal and Mauritania. Given the wealth of texts obtained and the author’s desire to reveal their riches, the choice was made to focus on prose, and on four novels from already well-known writers belonging to the second literary period: Yero Dooro JALLO, Nidkkiri Joom Moolo (Ndikkiri le Guitariste), 1981 ; Ibraahiima DEM, Sahre Goonga (Le Monde de la Vérité), 1997 ; Saydu Bah, Sammba Jallo. Moni fof et feccere mum (Sammba Jallo. Chacun sa destinée), 2005 ; Mammadu Abdul SEK, Ngayngu Gid’li (L’Amour-Haine), 2004. The appendix contains the detailed summaries of the four novels and a biobibliography of fifteen authors
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Agyei-Kye, Lot. « Le conte akan : une étude sémio-linguistique ». Besançon, 2005. http://www.theses.fr/2005BESA1010.

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Résumé :
La thèse qui est une étude sémio-linguistique du conte akan, étudie les difficultés du passage de l'oral à l'écrit des contes akan avec emphase sur les problèmes liés à la transcription et à la traduction. Parmi les problèmes identifiés est celui de "l'altération" dû à la #reformulation" et au "transcodage" du texte original appartenant à un peuple avec une "vision du monde" différente. Les théories de Jean Peytard, Georges Mounin, Edward Sapir, Benjamin Lee Whorf aussi bien que les observations de Geneviève Calame Griaule servent de support. La recherche porte aussi sur l'analyse structurale des contes akan soulignant en particulier la notion de "polyphonie" à la lumière des observations de Vladimir Propp, Jean Michel Adam, Mikhaïl Bakhtine et Denise Paulme parmi d'autres. Enfin, un regard est jeté sur la notion de "variabilité" dans le conte akan et les facteurs qui la produisent surtout dans les pôles intra-conteur et trans-conteur, comme le décrivent Annikki Kaivola-Bregenhoj et Veronika Karady-Gorog
This dissertation which is a sémio-linguistic study of Akan tales, examines the passage from the oral to the written state of Akan tales especially through the processes of transcription and translation and the problems that the researcher encounters. Among the problems identified is that of “alteration” due to reformulation and trans-coding of the original text belonging to a people with a different “conception of the world”. The basis of the work is the theories of Jean Peytard, George Mounin, Edward Sapir, Benjamin Lee Whorf and Genevieve Calame-Griaule It further looks at the structural analysis of Akan tales in particular the notion of “polyphony” as underlined in the works of earlier researchers like Vladimir Propp, Jean Michel Adam and Denise Paulme among others. Finally, the work looks further at the notion of “variation” in the Akan tale examining the factors that cause these changes with regards to changes emanating from the same teller and those from different tellers. Earlier observations made by Annikki Kaivola-Bregenhoj and Veronika Karady-Gorog among others, are considered in this analysis
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Hounkanrin, Zountangni Yveline. « La littérature engagée de l'Afrique de l'Ouest contemporaine : renouvellements et adaptations interculturelles ». Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040213.

Texte intégral
Résumé :
La littérature de l’Afrique noire francophone a longtemps été perçue voire théorisée comme relevant d’une simple littérature d’engagement en raison de l’histoire même du continent. Cette conception, d’une certaine manière, a inconsciemment nui à l’image que l’on a pu se faire de cette littérature. C’est à partir des années 80, après l’effondrement du Communisme, que le concept d’engagement littéraire va semble t-il être contraint d’évoluer et de se renouveler mettant de plus en plus l’écrivain africain dans une situation inconfortable partagé qu’il est entre le désir de rester un écrivain politique, proche des préoccupations de son peuple, et celui de revendiquer une autonomie créatrice. De plus, aujourd’hui, si la question de l’engagement artistique fait à nouveau débat, c’est qu’il ne s’agit certainement pas du fruit du hasard au regard de l’époque confuse et incertaine à laquelle nous devons faire face. Nous assistons en effet, à une perte des repères et des idéaux conduisant les hommes de pensée (intellectuels, écrivains) à adopter des projets d’écriture, c'est-à-dire des engagements différents dans leur travail de création. Quelles sont les interrogations qui se sont posées ou se posent encore à la littérature engagée subsaharienne en cette ère de mondialisation? Notre étude tente donc d’analyser l’évolution de cette problématique jusqu’au malaise actuel des nouveaux écrivains africains en langue française, confrontés à un problème de redéfinition du ou des contenus de l’engagement littéraire
The literature of the French-speaking Black Africa was perceived for a long time even theorized like concerning an ordinary literature of engagement because of the history of the continent. This design, in a certain manner, unconsciously harmed the image which one could have of this literature. It is from the Eighties, after the collapse of the Communism, that the concept of literary engagement seems, to be constrained to evolve and to renew itself putting more and more the African writer in a rather uncomfortable situation divided between the desire to remain a political writer, near to his people concerns, and the desire to assert a creative autonomy. Nowadays, if the question of artistic engagement makes debate again, it’s certainly not a question of chance according to the confused and dubious time we must cope with. Indeed, we attend a loss of the reference marks and ideals leading the men of thought (intellectual, writers) to adopt writing projects, i. E. Engagements, different in their work of creation. What are the interrogations that were faced or are still faced to the sub-Saharan committed literature in this universalization era? Thus, our study tries to analyze the evolution of this problematic until the faintness current of the new African writers in French language, confronted with a problem of redefinition contents of literary engagement
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Bousbina, Saïd. « Un siècle de savoir islamique en Afrique de l'ouest (1820-1920) ». Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1996PA010621.

Texte intégral
Résumé :
La confrérie Tijaniyya a été fondée par Ahmad Al-Tijani vers 1780 dans le sud algérien. Depuis, elle n'avait pas cessé de se propager un peu partout dans le monde musulman. Cependant la propagation la plus spectaculaire de cette confrérie est celle qui a été enregistrée en Afrique de l'ouest durant la deuxieme moitié du XIXe et au début du XXe siècles, grâce notamment aux actions, militaire d'Alhajj 'Umar, et pacifique d'Al-Hajj Malik Sy. Parallèlement à cette propagation, une littérature produite par certains membres de cette confrérie - et donc dite littérature tijaniyya- s'était développée aussi dans cette région. C'est à cette littérature précisément que la majeure partie de cette thèse fut consacrée. Mais dans l'impossibilité de la traiter en entier, nous avons retenu quatre auteurs qui nous ont semblé les mieux représentatifs de cette littérature : Al-Hajj 'Umar, Yirkoy Talfi, 'Ubayda Ben Anbuja et Al-Hajj Malik Sy. Ces quatre auteurs couvrent une période d'un siècle d'"criture (1820-1920) et représentent toute l'Afrique de l'ouest (de l'actuelle Mauritanie jusqu'à l'actuelle Guinee). L'étude et l'analyse donc de leurs oeuvres permettent de suivre l'histoire de la confrérie Tijaniyya dans ces terres africaines, et surtout l'évolution et les fluctuations des thèmes de cette littérature. Elle permettent aussi de voir comment les auteurs tijanis présentaient et expliquaient leur confrérie à leurs lecteurs, quels arguments utilisaient-ils afin de decider les gens à s'affilier à la Tijaniyya, et, enfin, sur quelles sources se basaient-ils et à quelles autorités religieuses et juridiques se reféraient-ils pour renforcer et argumenter leurs dires. C'est ce que cette thèse essaie de montrer
The Tijaniyya order was founded by Ahmad Al-Tijani around 1781 in the algerian south. Ever since then, this order has spread in all directions amongst the muslim world. However, the most dramatic propagation of the Tijaniyya was felt in western africa during the second half of the 19th century and at the beginning of the 20th century, thanks, notably, to the military action of Al-Hajj 'Umar and the pacific gesture of Al-Hajj Malik Sy. Parallely to this spread, a few members of this order produced a type of literature, hence called Tijaniyya literature, which also developed in that region. And it is precisely the aim of this thesis to deal chiefly with the tijaniyya literature. However, because it proved impossible to deal with the whole of this literature, we chose four authors who seemed to be the most representative of this literature : Al-Hajj 'Umar, Yirkoy Talfi, 'Ubayda Ben Anbuja et Al-Hajj Malik Sy. The writings of those authors cover a century (1820-1920) and are representative of the whole of western Africa, from present day Mauritania to actuel Guinea. The study, hence, the analysis of their works enable one to follow the Tijaniyya order within its african realm, and more especially its evolution and the fluctuation of themes within this literature. This should show how the tijanis authors presented and explained their order to their readers, which arguments were used in order to convince people to became affiliated to the tijaniyya, and finally which sources did they base themselves on and which religious and juridical authorities did they refer themselves to, in order to strengthen and articulate their arguments. This is precisely what this thesis attempts to show
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Livres sur le sujet "Littérature populaire – Afrique occidentale"

1

Oralité, traditions et modernité en Afrique au XXIe siècle. Paris : L'Harmattan, 2019.

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2

Jervis, John. Exploring the modern : Patterns of western culture and civilization. Oxford, UK : Blackwell Publishers, 1998.

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3

Exploring the modern : Patterns of western culture and civilisation. Malden, Ma : Blackwell Publishers, 1998.

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4

Jervis, John. Exploring the Modern. HarperCollins Publishers, 1997.

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Chapitres de livres sur le sujet "Littérature populaire – Afrique occidentale"

1

Dan-Inna, Chaibou. « Interculturalité et plurilinguisme dans le théâtre populaire nigérien ». Dans Didactique des langues, plurilinguisme et sciences sociales en Afrique francophone : quelles places à l’interdisciplinarité ?, 27–40. Observatoire européen du plurilinguisme, 2020. http://dx.doi.org/10.3917/oep.agbef.2020.01.0027.

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Résumé :
La plupart des &#201;tats africains n&#233;s de la colonisation rassemblent en leur sein plusieurs ethnies, de langues et de cultures diff&#233;rentes, qui cohabitent avec la culture occidentale et la langue de l&#8217;ancien colonisateur. Cet article a pour objectif de s&#8217;interroger sur la mani&#232;re dont les cr&#233;ations dramatiques d&#8217;un pays comme le Niger refl&#232;tent cette diversit&#233; culturelle. On constate ainsi, &#224; partir de l&#8217;exemple des &#339;uvres th&#233;&#226;trales du dramaturge Yazi Dogo, que le th&#233;&#226;tre populaire nig&#233;rien illustre la situation d&#8217;interculturalit&#233; et de plurilinguisme de la soci&#233;t&#233; nig&#233;rienne.
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