Articles de revues sur le sujet « Littérature photographique »

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1

Paigneau, David. « « Sauver l’imaginaire » : littérature et photographie face à face ». e-Scripta Romanica 6 (28 décembre 2018) : 30–43. http://dx.doi.org/10.18778/2392-0718.06.03.

Texte intégral
Résumé :
Si l’on peut définir, de la manière la plus générale, une oeuvre d’art comme ‘expression d’un imaginaire, cette définition posa le problème du statut de la photographie lors de son apparition : document purement objectif ou potentielle forme artistique. Écrivains et critiques littéraires prirent part à ce débat, d’autant plus que des photos furent utilisées pour illustrer des livres, notamment des romans, à partir des années 1880. Cet article tente de confronter « l’imaginaire littéraire » à « l’imaginaire photographique » à travers des points de vues d’écrivains, critiques, philosophes et médiologues, afin de tenter de mieux comprendre leurs points de convergence et de divergence.
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2

Lavoie, Vincent. « Le fardeau des mots, le choc des photos ». Hors dossier 36, no 3 (14 janvier 2009) : 89–97. http://dx.doi.org/10.7202/019637ar.

Texte intégral
Résumé :
L’essai photographique, une forme de narration visuelle reposant sur la succession de plusieurs images étroitement liées par un contexte graphique et textuel, constitue la principale nouveauté introduite par le photojournalisme dans les années 1930. Émancipée de sa stricte fonction illustrative, la photographie devient alors pleinement constitutive du récit historique. Dans la littérature spécialisée de l’époque, cette autonomie est décrite comme un affranchissement de l’image vis-à-vis du texte en même temps qu’une reconnaissance du statut professionnel du photojournaliste. Cet article propose d’examiner les modalités au moyen desquelles l’image photographique se constitue en écriture journalistique, cela en posant l’hypothèse que le photojournalisme, indissociable de la montée en puissance du paradigme de la communication dans les années 1940 principalement, reconfigure les rapports d’autorité que le texte entretient avec l’image.
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3

Pinard, Marie-Josée. « Du pictural au photographique. Une rencontre re-visitée ». Protée 28, no 3 (12 avril 2005) : 23–29. http://dx.doi.org/10.7202/030601ar.

Texte intégral
Résumé :
De cette rencontre entre le pictural et le photographique advenue au XIXe siècle, la littérature ne semble avoir retenu que le « portrait » défait du pictural : une défection, à la fois proposée comme un « manque qui s’inscrit » dans l’ordre de sa performance mimétique et comme une symbolique de son « re-trait » de l’autre vers soi. De l’avènement de cette prolongation mécanique du geste de l’artiste, on a décrié haut et fort à la mort de la peinture ! Que cela soit par le manque de transférabilité de son vocabulaire analytique ou par l’insuffisance de son rendu mimétique, toute la problématique de cette rencontre s’est échafaudée autour de l’adéquation platonicienne du rapport au même. « Autre » est cette lecture que nous proposons – lecture différentielle de cette rencontre « originaire » qui, en utilisant comme élément vectoriel la portabilité, s’inscrit davantage comme une des étapes médiatiques d’un monde qui se veut de plus en plus idéel.
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4

Defraeye, Julien. « Paris dans l’optique : cadre photographique et cadre littéraire chez Philippe Delerm ». Voix Plurielles 13, no 1 (14 mai 2016) : 2–12. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v13i1.1365.

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Résumé :
« Ajoutez deux lettres à Paris : c’est le paradis » (Renard 202) : tel est l’engouement qui motive le projet de tant d’ouvrages qui prétendent à capturer la capitale française. Des photographies de Doisneau aux textes canoniques de la littérature de Zola ou d’Hugo, il faut à tout prix documenter la Ville-Lumière afin de saisir cet espace protéiforme. Les amoureux de l’Hôtel de Ville de Philippe Delerm et Paris l’instant, ouvrage photo-littéraire réalisé conjointement avec sa femme Martine Delerm, s’inscrivent dans la continuité de cette tradition qui saisit le lieu, d’une manière ou d’une autre. Bien que très différents, ces deux projets explicitent un questionnement quasi-millénaire : Qu’est-ce que Paris ?
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5

De Jesus, Samuel. « L’image-saudade : iconographie photographique d’un sentiment ambigu ». Voix Plurielles 11, no 1 (30 avril 2014) : 12–19. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v11i1.913.

Texte intégral
Résumé :
Quels liens la saudade, expression majeure de la littérature portugaise du XVIe siècle peut-elle à priori entretenir vis-à-vis de la photographie contemporaine ? Difficilement traduisible, la saudade nous éveille un être ou un lieu cher dont l’absence ou la perte nous cause autant de tristesse que joie. Pourtant la saudade se révèle aussi comme une pensée singulière opérant une synthèse temporelle et spatiale de l’expérience éprouvée vis-à-vis du monde, par un agencement « virtuel » d’images. Ce sentiment construit, au fil du temps, un imaginaire dont la poïétique révèle paradoxalement présent, par son absence, tout ce qui fut mais qui n’est plus, ou encore la nostalgie de ce qui ne serait pas encore advenu ? The image-saudade: photographic iconography of a double-edged feeling Which relations can the saudade, a major expression of the Portuguese literature of the 16th century, maintain a priori with contemporary photography? If the saudade remains not easily translatable, it wakes up the remembrance related to a beloved being or place – whose absence, lack or loss cause us as much sadness as joy. However, the saudade also appears as a singular thought operating a temporal and spatial synthesis coming from man’s experience of the world, a “virtual” collage governed like a true layout of images. This feeling has built, all long time, an imaginary field revealed as present by poetry, paradoxically through its own absence — all that was, one day, but which is not anymore, or perhaps, the nostalgia for what has not occurred yet.
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Léger, Benoit. « Traduction négative et traduction littérale : les traducteurs de Poe en 1857 ». Études françaises 43, no 2 (1 octobre 2007) : 85–98. http://dx.doi.org/10.7202/016475ar.

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Résumé :
Résume Le vaste corpus des traductions publiées en 1857 comprend des versions distinctes des mêmes contes d’Edgar Allan Poe, traduits par William Hughes et par Baudelaire. Ces versions s’opposent, le poète des Fleurs du mal choisissant une combinaison de littéralisme et d’accentuation du caractère morbide de l’oeuvre de son confrère américain, tandis que Hughes, pétri de culture française et spécialiste de la littérature pour la jeunesse, choisit la rationalisation du texte, l’étoffement et la paraphrase, pour transformer les Tales en lieux communs du conte. Baudelaire, en étroite communion avec l’oeuvre de Poe, procède, quant à lui, par identité d’esprit et cherche à produire une traduction-texte. À la traduction « positive » de Hughes, s’oppose ainsi chez le poète français une pratique de la « traduction négative » (entendue au sens photographique du terme) qui cherche à révéler la nature profonde du texte.
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7

Auboiron, Pierre. « La lumière, un agent particulier de l’histoire des arts ». Figures de l'Art. Revue d'études esthétiques 17, no 1 (2009) : 249–57. http://dx.doi.org/10.3406/fdart.2009.882.

Texte intégral
Résumé :
Parler de la lumière dans l’art contemporain peut paraître un lieu commun tant le terme revient tel un leitmotiv dans la plupart des traités sur l’art – qu’il soit contemporain ou non d’ailleurs. À y regarder de plus près, ces textes se contentent souvent d’aborder le thème de la lumière sous ses seules expressions techniques, que sont la lumière picturale, et plus récemment la lumière photographique. Ce faisant, la littérature a longtemps occulté, pour ne pas dire ignoré un pan majeur de la place qu’occupe la lumière dans la création artistique depuis la seconde moitié du XXe siècle : l’émergence d’une lumière devenue un matériau plastique à part entière. Questionner le rôle que tient aujourd’hui ce médium place l’historien d’art devant une série de dilemmes, parfois inconfortables, tant la nature même de la lumière demande de s’ouvrir à une multitude de choix, de définitions et de paradigmes, lui demandant ainsi de remettre en question certains fondements théoriques de sa discipline.
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Mavrikakis, Catherine. « L’apparition du disparu ». Études françaises 42, no 2 (25 octobre 2006) : 47–60. http://dx.doi.org/10.7202/013863ar.

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Résumé :
Il s’agira ici de penser la place de la musique et de la photographie principalement dans deux recueils : Tombeau de Lou (2000) et Cimetières : la rage muette (1995). Ces poèmes pour les morts se veulent habités par des ritournelles musicales, des clichés photographiques, des images, véritables lieux communs de la mémoire. L’on pourrait dire que chez Desautels la photographie, la musique et la littérature viennent s’entraider, se mêler dans leur désir commun de montrer ce qui ne peut exister que dans l’insistance de plusieurs médias : la disparition. Le livre veut faire voir et faire entendre ce qui s’est englouti dans l’absence. Il cherche à faire apparaître le disparu dans la disparate de ses dispositifs. Il y aurait une esthétique moderne de la prosopopée à l’oeuvre dans ces livres photographiques, ces livres musicaux où parlent et apparaissent les morts.
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9

Grojnowski, Daniel. « Littérature et photographie ». Critique 678, no 11 (2003) : 865. http://dx.doi.org/10.3917/criti.678.0865.

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Soulages, François. « Littérature et Photographie ». Neohelicon 35, no 1 (juin 2008) : 85–95. http://dx.doi.org/10.1007/s11059-008-3006-x.

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Forcolin, Francesca. « Aa. Vv., Littérature et photographie ». Studi Francesi, no 158 (LIII | II) (1 juillet 2009) : 461–63. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.8139.

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Ansón, Antonio. « Photos de famille. Littérature et photographie ». Les Lettres Romanes 63, no 3-4 (janvier 2009) : 201–9. http://dx.doi.org/10.1484/j.llr.3.204.

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Ouattara, Siriki. « Photographie et représentation de soi dans W ou le Souvenir d’enfance de Georges Perec ». Voix Plurielles 11, no 1 (30 avril 2014) : 138–50. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v11i1.924.

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Résumé :
W ou le souvenir d’enfance convoque ouvertement en son sein des éléments paralittéraires comme la photographie qui le déconstruit. Le désir de Georges Perec de reconstituer ou de reconstruire son histoire est si ardent qu’il lui a consacré ce roman particulier. Dans cette œuvre autobiographique atypique, l’auteur fait appel à diverses techniques de représentation de soi, la photographie. Cette dernière est un élément nouveau en littérature (même s´elle y est prise en compte depuis le dix-neuvième siècle) qui redéfinit nombre d´habitudes littéraires. Ainsi, elle occasionne un renouvellement de l´écriture à travers l´institution de nouveaux rapports qui, tout en changeant les vieux rôles narratifs, invitent à dire autrement, voire à raconter différemment. La photographie offre alors l´occasion d´expérimenter une nouvelle discursivité de la représentation.
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Thijsen, Mirelle. « Dérivations de l'allégorie dans la photographie contemporaine ». Protée 33, no 1 (12 mai 2006) : 49–57. http://dx.doi.org/10.7202/012266ar.

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Résumé :
Résumé Quelle est la place occupée par l'allégorie dans la photographie contemporaine ? L'utilisation du mode allégorique marque, depuis le début de ce siècle nouveau, un tournant décisif. Les pratiques photographiques actuelles s'imprègnent de dérivations allégoriques : de nombreux artistes photographes, des femmes surtout, majoritairement britanniques, font ouvertement usage de l'allégorie dans leurs oeuvres, assurant ainsi à la suite des travaux des générations d'artistes photographes des années 1980 et 1990 (Evergon, Sherman, Knorr, Buckland, Richon, Cohen, Leriche, etc.) la survie de ce mode « académique ». En cela ils s'appuient sur des conventions de représentation et de figuration héritées de la tradition de l'art occidental, fondées donc sur une esthétique bien établie. Alors que l'on dispose de nombreuses études qui alignent l'allégorie sur les productions du théâtre, de la littérature, de la sculpture, de la peinture et du cinéma, on s'est très peu intéressé d'un point de vue sémiotique aux stratégies et aux méthodes de travail des artistes qui adoptent le mode allégorique, et partant aux discours critiques qui leur sont consacrés. C'est là la préoccupation principale du présent article. On cherchera donc à dégager la très grande variété d'outils empruntés par des artistes impliqués à fond dans des projets esthétiques très divers et souscrivant à des positions politiques différentes, et à étudier la manière dont ils génèrent dans l'imagerie fixe des effets narratifs et le sens allégorique. Il sera également opportun de mettre en évidence certains thèmes récurrents, liés à la culture, aux institutions, au pouvoir, à la diversité sexuelle, et la manière dont ces artistes ont su dépasser et étendre les codes de représentation classiques.
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Ortel, Philippe. « Note sur une esthétique de la vue : Photographie et littérature ». Romantisme 32, no 118 (2002) : 93–104. http://dx.doi.org/10.3406/roman.2002.1164.

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Galeti Mauro, Fillipe Augusto. « ADELINE WRONA : « LE PHÉNOMÈNE CONTEMPORAIN DU NOUVEL INDIVIDUALISME EST RELATIF » ». Non Plus, no 8 (8 février 2016) : 87–92. http://dx.doi.org/10.11606/issn.2316-3976.v4i8p87-92.

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Résumé :
Adeline Wrona est responsable de la formation en Journalisme de l’Université Paris Sorbonne (Celsa, Paris 4). Depuis des années, elle a consacré ses recherches aux relations entre littérature et communication. L’un des plus importants de ses nombreux travaux est le livre Face au Portrait : de Sainte-Beuve à Facebook. Paru en 2012, il a touché une bonne partie des intelectuels français en se confrontant à la question des écrivains journalistes et leurs modes de médiation. Selon la professeure Fiona McIntosh, de l’Université Lille, en surmontant l’approche historique et en analysant la méthode de construction des portraits, Adeline Wrona a été capable d’établir un lien original entre les portraits en littérature, dans les Arts plastiques, la photographie et, plus récemment, l’univers numérique. Dans cet entretien avec Non Plus, Adeline Wrona a discuté les concepts qu’elle a employé pour analyser l’évolution des portraits et nous offre une conclusion inquiétante : ce qu’on appele un nouvel individualisme n’est qu’un concept relatif face aux portraits littéraires parus dans les premiers médias modernes.
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Delvaux, Martine, et Jamie Herd. « Comment faire apparaître Écho ? Soeurs, saintes et sibylles de Nan Goldin et Autoportrait en vert de Marie Ndiaye ». Protée 35, no 1 (27 juin 2007) : 29–39. http://dx.doi.org/10.7202/015886ar.

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Résumé :
Résumé Cet article étudie l’usage du portrait photo-textuel dans l’écriture autobiographique au féminin, par le biais de l’analyse parallèle de Soeurs, saintes et sibylles de Nan Goldin, et de Autoportrait en vert de Marie Ndiaye. Grâce au jeu entre photographie et littérature, ces objets intermédiatiques présentent une structure en écho (et reposent sur une série d’échos) qui permet de revoir le mythe d’Écho et de Narcisse ainsi que le rapport entre le visuel et le verbal. Goldin et Ndiaye fondent leur travail sur l’indécidabilité de la photographie pour écrire entre le mythe et l’histoire personnelle, le sacré et le profane. Par ailleurs, les oeuvres étudiées peuvent être lues comme des légendes et des échos dans le cadre du corpus de chacune des auteures. Ces pratiques intermédiaires mettent en place une série de résonances qui permettent aux femmes, à l’intérieur des deux textes, d’être vues et entendues. Par le vacillement entre portrait et autoportrait, ces pratiques réussissent à faire apparaître des visages là où il y avait des voix.
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Caraion, Marta. « Littérature et photographie orientaliste, ou la mémoire égyptienne de Maxime Du Camp ». Romantisme 33, no 120 (2003) : 57–65. http://dx.doi.org/10.3406/roman.2003.6105.

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Canovas, Frédéric. « « On ne m’atteint pas » : Nadja ou l’insaisissable photographie ». Tangence, no 124 (23 septembre 2021) : 113–29. http://dx.doi.org/10.7202/1081690ar.

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Résumé :
Une des raisons pour laquelle Nadja d’André Breton constitue un texte emblématique de la littérature moderne vient du fait que le récit est accompagné de 48 photographies en noir et blanc ponctuant la rencontre entre le narrateur et une jeune femme. De nombreux critiques ont tenté de décrypter le sens de ces photographies et de les faire entrer dans différentes grilles de lecture avec pour objectif de dévoiler certains non-dits du texte. En se basant sur trois articles consacrés à la photographie dans Nadja ces trente dernières années, notre étude propose de démontrer comment toute tentative d’interprétation des photographies est vouée, sinon à l’échec, au moins à la confusion et à l’ambiguïté, et débouche en fait sur plus de questions qu’elle n’apporte de réponses. En voulant donner à son récit un caractère plus troublant, Breton a aussi brouillé les pistes et créé un système de signification qui lui échappe en grande partie ainsi qu’aux lecteurs. Interpréter les photographies insérées dans Nadja, tenter de les faire entrer dans un réseau plus global, revient pour chaque lecteur et chaque lectrice à projeter ses propres dispositions sur l’écran textuel et visuel du livre au risque d’aboutir à une lecture qui se caractérise davantage par ses aspects subjectifs que par la rigueur scientifique.
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Gaiotti, Florence. « Les futurs enseignants face à leurs classiques : résultats d’enquête, en guise d’ouverture conclusive ». Ondina - Ondine, no 9 (29 décembre 2023) : 209–19. http://dx.doi.org/10.26754/ojs_ondina/ond.202399744.

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Résumé :
Parce que les classiques, dans l’une de leur définition, sont les ouvrages que l’on étudie ou que l’on côtoie dans le cadre scolaire, il nous a paru intéressant d’observer ce que des étudiants, futurs professeurs des écoles en formation, estimaient être des albums classiques en littérature de jeunesse. L’hypothèse initiale pourrait être qu’ils vont par la suite investir ce qu’ils identifient comme des classiques dans leur enseignement à venir. Mais il s’agirait alors de mener une enquête au plus long court. Plus modestement, nous cherchions à établir une sorte de photographie d’un moment et d’une génération d’étudiants afin de faire apparaître des récurrences dans leurs réponses et éventuellement pouvoir croiser celles-ci avec d’autres bibliothèques de classiques en albums. Leurs réponses pouvaient aussi confirmer certains processus de classicisation.
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Roussarie, F., et G. Douady. « Effet indésirable des fils de contention collés : le « syndrome du fil » : observations, théories, conséquences cliniques : 2e partie ». Revue d'Orthopédie Dento-Faciale 52, no 4 (octobre 2018) : 327–41. http://dx.doi.org/10.1051/odf/2018028.

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Résumé :
Parfois les dents se déplacent alors qu'elles semblent parfaitement stabilisées par un fil de contention, nous avions appelé ce phénomène le « syndrome du fil ». Ce phénomène a été décrit dans toutes ses formes, aussi bien à la mandibule qu'au maxillaire dans la partie I de cet article. La littérature ne propose actuellement aucune explication mécanique pour ce phénomène. Après analyse de documents photographiques, provenant de confrères spécialistes et de notre cabinet, nous avons élaboré une théorie permettant d'expliquer la partie mécanique. Nous évoquons deux familles d'hypothèses, non excluantes, qui peuvent se combiner. La première hypothèse dite « intrinsèque » recense toutes les erreurs de procédures aboutissant à la pose d'un fil collé « actif ». Le fil est alors responsable des mouvements. Il agit comme un appareil orthodontique directement collé sur les dents. La seconde hypothèse dite « extrinsèque » montre qu'une dent, collée par l'intermédiaire d'un plot de résine à un fil parfaitement passif, peut tourner si la liaison fil/colle se rompt et qu'il est soumis à une force. La connaissance des conséquences cliniques qui en découlent permettra de lutter efficacement contre ce phénomène.
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Topa, Francisco. « VISIONS PORTUGAISES DU MAROC ». Macabéa - Revista Eletrônica do Netlli 12, no 1 (30 mars 2023) : 63–81. http://dx.doi.org/10.47295/mren.v12i1.674.

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Résumé :
Pour des raisons qui ne sont pas faciles à comprendre, le Maroc n’est pas un thème fréquent, ni dans la bibliographie ni dans la littérature portugaise. Cet article essaye d’analyser le peu qui a été publié sur le sujet au siècle dernier, suggérant que la vision du Maroc peut être envisagée en deux moments. Le premier, en plus de dévaloriser le territoire, sa culture et ses habitants, tend à souligner les traits portugais restés au Maroc et même à revendiquer les prétendus droits historiques du Portugal. Dans une seconde phase, le Maroc est désormais perçu comme un pays complexe et séduisant, marqué par un compromis entre tradition et modernité. Cette vision apparaît dans des albums photographiques (comme celui d’Alexandre Alves Costa et Álvaro Siza) et dans des livres de voyage (par des journalistes comme Miguel Sousa Tavares et Maria João Ruela ou par des philologues comme Fernando Venâncio). Fait intéressant, et peut-être à contre-courant, le Maroc apparaît aussi dans deux romans récents d’auteurs peu connus (Luís Soares et Miguel Velha Braga) comme un scénario lié au trafic de drogue.
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Edelman, Nicole. « Philippe ORTEL, La littérature à l'ère de la photographie. Enquête sur une révolution invisible ». Revue d'histoire du XIXe siècle, no 24 (1 juin 2002) : 197–200. http://dx.doi.org/10.4000/rh19.393.

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Crichfield, Grant. « Pour fixer la trace. Photographie, littérature et voyage au milieu du xixe siècle (review) ». Nineteenth-Century French Studies 36, no 1 (2007) : 150–51. http://dx.doi.org/10.1353/ncf.2007.0074.

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Conant, Chloé. « La Littérature à l'ère de la photographie : Enquête sur une révolution invisible (review) ». L'Esprit Créateur 43, no 2 (2003) : 105. http://dx.doi.org/10.1353/esp.2010.0417.

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Cristini, Corinne. « Émergence et rôle de la photographie dans la littérature espagnole de 1839 au début des années 1870 ». Mélanges de la Casa de Velázquez, no 35-1 (15 avril 2005) : 330–33. http://dx.doi.org/10.4000/mcv.1454.

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Guidée, Raphaëlle. « Disparaître dans les ruines du capitalisme. L’imaginaire de Détroit dans la photographie et la littérature françaises contemporaines ». Études françaises 56, no 1 (2020) : 91. http://dx.doi.org/10.7202/1069803ar.

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Van de Wiele, Aurélie. « Du surréalisme à la photographie contemporaine : au croisement des arts et de la littérature par Pierre Taminiaux ». French Review 92, no 1 (2018) : 268–69. http://dx.doi.org/10.1353/tfr.2018.0176.

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Haine, Malou. « Le magazine américain Vanity Fair (1913-1936) : vitrine de la modernité musicale à Paris et à New York ». Les musiques franco-européennes en Amérique du Nord (1900-1950) : études des transferts culturels 16, no 1-2 (25 avril 2017) : 23–37. http://dx.doi.org/10.7202/1039610ar.

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Résumé :
De sa création en 1913 à sa fusion avec Vogue en 1936, le magazine américain Vanity Fair a pour vocation de parler de l’art contemporain européen et américain par de courts articles de vulgarisation, des photographies et des caricatures. Plusieurs domaines artistiques sont couverts : musique, danse, opéra, littérature, peinture, sculpture, arts graphiques, cinéma, photographie et mode. La France constitue tout à la fois le rêve, l’attraction et le modèle des Américains : elle reste omniprésente jusqu’au milieu des années 1920, puis cède la place aux artistes américains. Vanity Fair reflète plus particulièrement la vie culturelle à New York et à Paris, même si ses ambitions sont plus largement ouvertes sur l’Europe et les États-Unis. Dans la rubrique intitulée « Hall of Fame », il n’est pas rare de trouver un Français parmi les cinq ou six personnalités du mois. La France est présente davantage pour ses arts plastiques et sa littérature. Le domaine musical, plus réduit, illustre cependant plusieurs facettes : les Ballets russes de Diaghilev, les ballets de Serge Lifar, les ballets de Monte-Carlo, les nouvelles danses populaires (tango, matchiche), l’introduction du jazz, la chanson populaire, les lieux de divertissements. Quant à la musique savante, le Groupe des Six, Erik Satie et Jean Cocteau occupent une place de choix au début des années 1920, avec plusieurs de leurs articles publiés en français. Dans les pages de Vanity Fair, des critiques musicaux américains comme Virgil Thomson et Carl Van Vechten incitent les compositeurs à se débarrasser de l’influence européenne. John Alden Carpenter ouvre la voie avec The Birthday of the Infanta (1917) et Krazy Kat (1922), mais c’est Rhapsody in Blue de Gershwin (1924) qui donne le coup d’envoi à une musique américaine qui ne copie plus la musique européenne. À partir de là, la firme de piano Steinway livre une publicité différente dans chaque numéro qui illustre, par un peintre américain, une oeuvre musicale américaine.
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Posa, Stephanie, et Fiona Moola. « “Illustrating” the Role of the Expressive Arts Among Children and Youth with Cystic Fibrosis : A Narrative Review ». Canadian Review of Art Education / Revue canadienne d’éducation artistique 47, no 1 (30 décembre 2020) : 32–49. http://dx.doi.org/10.26443/crae.v47i1.91.

Texte intégral
Résumé :
Abstract: In this paper, the authors conduct a narrative review of the literature to explore the role of the expressive arts in the lives of children and youth with cystic fibrosis (CF). While most research designs in this review were case studies, researchers used a variety of art forms in their studies, including poetry, photography and drawing. Our findings reveal that researchers used the expressive arts to understand and address the psychosocial states, social health, physical health, and coping patterns of children with CF. The expressive arts might be a powerful tool to explore the facets of health in this population. Key Words: Cystic Fibrosis; Expressive Arts; Narrative Review; Child; Youth. Résumé : Les autrices proposent dans cet article une revue narrative de la littérature afin d’étudier le rôle des arts de la scène dans la vie d’enfants et de jeunes atteints de fibrose kystique. Si la plupart des études liées à cette revue relèvent d’études de cas, les chercheurs ont utilisé pour leurs études plusieurs formes d’art, notamment la poésie, la photographie et le dessin. Nos résultats démontrent que les chercheurs ont fait appel aux arts de la scène pour comprendre et aborder les conditions psychosociales, la santé sociale, la santé physique et les modes d’adaptation des enfants atteints de fibrose kystique. Les arts de la scène pourraient bien être un excellent outil pour étudier les diverses facettes de la santé au sein de cette population. Mots-clés : fibrose kystique, arts de la scène, revue narrative, enfant, jeune.
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Sebbane, D. « Identité professionnelle de l’interne en psychiatrie : résultats de l’enquête de l’AFFEP auprès des internes ». European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013) : 77. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.205.

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Résumé :
« L’interne de psychiatrie n’est pas là par hasard », « il préfère la littérature à la science ! », « il a raté l’Examen Classant National non… ? » Voilà nombre de représentations qui sous-tendent les nombreux préjugés portés sur les jeunes psychiatres en formation et qui semblent questionner les motivations pour l’exercice de la profession. La psychiatrie semble en effet être une spécialité médicale « à part », qui se distingue des autres par sa spécificité et l’originalité de sa pratique. Les internes de psychiatrie se distinguent-ils tout autant de leurs confrères ? Aucune étude ne s’est encore intéressée au profil identitaire du jeune psychiatre en formation, pourtant les représentations, parfois stigmatisantes, sont nombreuses bien que non objectivées. Alors aujourd’hui, pourquoi devient-on psychiatre ? Quelle est la spécificité des contours de la photographie socio-démographique de l’interne en psychiatrie ? Existe-t-il des prédispositions ou des facteurs communs à ceux qui se destinent à devenir psychiatre ? Aussi, comment l’interne en psychiatrie se projette-t-il dans l’exercice de son futur métier ? Pouvons-nous dresser une esquisse de ce que sera le paysage de la pratique des psychiatres à l’avenir ? Voilà autant de questions auxquelles l’Association Fédérative Française des Étudiants de Psychiatrie (AFFEP) a tenté de répondre à travers une enquête nationale menée auprès de 1299 internes dont 760 internes de psychiatrie, 253 internes de médecine générale, 124 internes d’anesthésie-réanimation, 60 internes de neurologie et 45 internes de chirurgie orthopédique. La méthodologie a consisté en l’envoi d’un questionnaire anonyme par mail à tous les internes français inscrits sur les mailing-listes nationales des cinq spécialités citées. Les résultats de cette enquête viennent certes confirmer quelques idées mais en bousculent aussi beaucoup d’autres.
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Lavoie, Claude, Annie Saint-Louis, Geneviève Guay et Elisabeth Groeneveld. « Les plantes vasculaires exotiques naturalisées : une nouvelle liste pour le Québec ». Botanique 136, no 3 (30 mai 2012) : 6–32. http://dx.doi.org/10.7202/1009237ar.

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Résumé :
Nous présentons, dans cet article, la liste des taxons de plantes vasculaires exotiques (espèces, sous-espèces, variétés, hybrides) qui sont naturalisés sur le territoire du Québec. Cette liste a été constituée à partir de listes publiées précédemment, d’une revue de littérature, de bases de données accessibles sur Internet et grâce à des renseignements fournis par des botanistes professionnels. Un taxon a été inclus dans la liste uniquement s’il existait une preuve valable de la présence de la plante sur le territoire québécois, que ce soit sous la forme d’un spécimen d’herbier ou par le biais d’une mention attestée par un botaniste, photographie à l’appui. Plusieurs informations ont été colligées pour chaque taxon de la liste, soit le continent d’origine, le motif d’introduction et l’année de la plus vieille preuve de naturalisation. Un total de 899 taxons de plantes vasculaires (880 espèces, auxquelles s’ajoutent 18 hybrides), groupés au sein de 95 familles, ont été introduits au Québec depuis le début du xviie siècle et se sont par la suite naturalisés. La plupart des taxons (63 %) sont des plantes vivaces et la vaste majorité (82 %) proviennent d’Eurasie. Environ 39 % des taxons ont été introduits à des fins ornementales et 18 % à des fins utilitaires ; il n’a pas été possible de découvrir un motif d’introduction pour 403 taxons (45 % du total). La flore du Québec serait constituée d’environ 26 à 28 % de plantes exotiques, un pourcentage similaire à celui estimé pour l’Ontario ou pour plusieurs autres États voisins de la province. Cette mise à jour de la liste des plantes vasculaires exotiques naturalisées du Québec n’est probablement pas complète, mais sa publication vise à inciter les botanistes québécois à l’enrichir au cours des prochaines années.
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Védrine, Hélène. « Philippe Ortel, La littérature à l’ère de la photographie. Enquête sur une révolution invisible, Nîmes, Éditions Jacqueline Chambon, coll. « Rayon Photo », 2002, 382 p. ISBN 2-87711-236-5. » Tangence, no 71 (2003) : 107. http://dx.doi.org/10.7202/008554ar.

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Pujante González, Domingo. « Apertura : No hay palabras... » HYBRIDA, no 5(12/2022) (27 décembre 2022) : 3. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.5(12/2022).25813.

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Résumé :
Il me regarde. Parfois il murmure des mots que je ne comprends pas. Et puis il s’assoit sur le lit, et il rabat les couvertures. Il dit mon nom tout bas, tu dormais, mon amour ? Là il n’y a plus d’espoir, je sais que ça commence. J’ouvre les yeux sur le noir de la chambre qui peu à peu s’éclaire et dévoile le visage de papa. Il n’y a pas de mots pour ce qu’il me fait dans la chambre. Voix coupée, je ne pourrai jamais le dire. À moi seule je le dis pour ne pas me perdre de vue. Lori Saint-Martin (1999). Mon père, la nuit (p. 7). L’instant même. Nous voilà au troisième solstice d’hiver pour la revue HYBRIDA. J’ai eu la chance de passer mon anniversaire à Montréal, de recevoir l’automne aux couleurs changeantes, de savourer l’énergie du jaune, ma couleur préférée, décliné à l’infini : citron, cadmium, moutarde, ocre, auréolin, indien, de Naples, de Sienne, de Cambodge… L’Association Internationale des Études Québécoises, incarnée dans la précieuse figure de Suzie Beaulieu, a contribué à la réussite de ce séjour d’un mois à l’Université de Montréal, accueilli par une personne magnifique et généreuse, écrivaine prestigieuse à juste titre, Catherine Mavrikakis, qui venait de publier son dernier roman Niagara (2022), ainsi que par son entourage académique et familial, son frère Nicolas Mavrikakis, perspicace critique d’art ; son conjoint, l’insigne professeur de littérature Terry Cochran, et leur fille Loulou, toujours le sourire aux lèvres et aux yeux… Le mois d’octobre est spécialement animé du point de vue culturel à Montréal ce qui m’a permis de participer à une intense vie culturelle : nouvelles publications, activités théâtrales, expositions artistiques, cycles organisés par la cinémathèque québécoise (dont la superbe rétrospective sur l’œuvre du canadien Bruce LaBruce)… Je me suis plu à visiter les intéressantes librairies montréalaises toujours en ébullition. J’ai eu la chance d’entrer en contact direct avec le monde éditorial québécois qui connaît certainement un nouvel âge d’or, des maisons d’édition d’une longue tradition comme Gallimard, dont l’ancien directeur Rolf Puls m’a parlé de tant d’anecdotes littéraires en nous régalant avec des huîtres et des oursins des mers du Nord, et dont l’actuelle directrice générale, Florence Noyer, m’a ouvert également les portes. Tout comme les éditions du Boréal où je suis passé plusieurs fois, reçu magnifiquement par Jean Bernier, avec qui j’ai passé des moments d’intense complicité où j’ai pu partager la passion pour Marie-Claire Blais, qu’il connaît dans le moindre détail, et le deuil à cause de la disparition douloureuse, cet intense mois d’octobre, du jeune écrivain Simon Roy, qui était venu à Valence présenter son premier roman Ma vie rouge Kubrick (2014) ; ainsi que celle de Lori Saint-Martin quelques jours plus tard. Il me reste à mentionner la maison d’édition Héliotrope. Un vrai bijou. J’ai eu le privilège de partager quelques conversations littéraires et humaines de haut niveau et une belle promenade du côté du Mont Royal, avec une halte dans la petite pâtisserie du quartier portugais pour prendre un vrai café, avec sa directrice, écrivaine elle-aussi, Olga Duhamel-Noyer, une âme sœur, qui dirige cette maison respirant sans aucun doute un air nouveau, fortement stimulant. Ma valise était donc bien pleine au retour à Valence et j’aurai de quoi lire dans les prochains mois. Tout cela m’a permis de rencontrer, parfois intensément, dans divers contextes, plusieurs écrivain·e·s, tous les âges confondus, dont je signalerai, par ordre alphabétique, Martine Audet, Arianne Bessette (écrivaine discrète et sensible avec qui j’ai connecté immédiatement), Lula Carballo (« ma Lula », mon double), David Clerson, Pierre-­André Doucet (charmant auteur et musicien acadien spécialement remarquable), Clara Dupuis-Morency, Benjamin Gagnon Chainey, Julien Guy-Béland (personne exceptionnelle, engagée, et écrivain percutant), Monique Proulx, que j’ai reçue à Valence et que j’apprécie énormément comme écrivaine et comme personne, avec qui j’ai partagé des croissants et de la confiture faite maison sur son balcon en regardant les arbres perdre leurs feuilles lorsqu’elle me dédicaçait son dernier roman Enlève la nuit (2022) ; et, bien entendu, Lori Saint-Martin. Je ne voudrais pas oublier le professeur de l’Université de Montréal Alex Noël, qui s’intéresse à la littérature québécoise récente et à la mémoire queer, et qui m’a fait découvrir le travail de l’artiste multidisciplinaire canadienne, originaire de l’île Maurice, Kama La Mackerel et le professeur espagnol de l’Université du Québec à Montréal Antonio Domínguez Leiva, écrivain lui-aussi, dont j’avais perdu la trace et avec qui je partage bien des intérêts littéraires autour du corps, de la monstruosité et du « panique ». Une dernière mention spéciale pour deux danseurs : Francis Paradis, personne instruite et empathique qui est restée tout le temps à mon écoute et m’a fait découvrir des lieux remarquables ; et, enfin, le danseur tunisien Achraf El Abed, en asile politique à Montréal à cause des persécutions LGBT dans son pays, n’ayant pas pu venir à Valence pour ces raisons lors du Colloque Queer Maghreb que nous avons organisé en juin 2022. Il a dansé pour nous en privé chez moi dans le quartier du Red Light de Montréal, pas loin de l’emblématique Café Cléopâtre, le jour de mon anniversaire, en compagnie de ma collègue et amie Adela Cortijo, qui était venue pour l’occasion. Je n’oublierai jamais ce moment magique. Merci à tous et à toutes pour avoir contribué à rendre ce séjour montréalais si spécial et si riche dans tous les sens. Comme je l’annonçais, nous avons perdu Lori Saint-Martin, excellente professeure, traductrice et écrivaine canadienne, ayant choisi le français comme langue d’asile et de refuge, d’identité réinventée, et surtout personne proche et généreuse, disparue dans la Seine, subitement. Des ombres spectrales ont envahi mon cœur et mes pensées à cause de ce destin trop funeste, trop tragique, trop romanesque, tellement j’ai envie de ne pas y croire… et, pourtant, Lori n’est plus là. Juste un dernier message sur WhatsApp quelques jours avant l’hécatombe : « Aquí todo bien » (« tout va vient ici »). Elle adorait l’espagnol, sa nouvelle demeure, sa nouvelle passion. Lori, mon amie, tu as troublé mon âme et laissé un grand vide difficile à combler. Je n’ai que des mots de gratitude envers toi. Et, pourtant, la vie continue à couler, elle coule et coule… comme les larmes des mères qui perdent leurs enfants dans toutes les guerres de la planète. Cette planète Terre qui pleure de plus en plus fort pour que l’on prenne soin d’elle, pour que l’on développe une conscience écologique efficace et durable… Temps catastrophiques, oui… excessifs, oui… scandaleux, oui… Et, pourtant, temps de Saturnales et de Noël, de fêtes, de chants et de vœux, de décorer les maisons, d’allumer les bougies et d’offrir des cadeaux, de rêves de santé, de paix et d’amour… tellement on a besoin de diluer les tensions que l’on ressent ; temps d’apaiser nos esprits… de se ressourcer, de reprendre haleine… de se projeter dans un meilleur avenir… malgré… Revenons à nos moutons… Le Dossier central de ce cinquième numéro de la revue HYBRIDA, coordonné par Fabio Libasci, vise à s’interroger sur les multiples enjeux de la notion d’extrême, que ce soit du point de vue chronologique que du point de vue conceptuel. En effet, l’expression « extrême contemporain », étant en perpétuel déplacement, reste spécialement attirante mais problématique, depuis sa création attribuée à Michel Chaillou, à la toute fin des années 80 du siècle dernier. On assisterait, de nos jours, à une « deuxième génération » de l’extrême contemporain. On pourrait donc l’actualiser pour faire référence aux productions littéraires et culturelles récentes au sens large. Du point de vue thématique, l’extrême est vite associé à la notion de limite, de démesure, voire de violence. En ce sens, force est de constater une tendance et une présence des esthétiques de rupture et des formes de l’excès chez des auteur·e·s contemporain·e·s, plus ou moins jeunes, ce qui nous a menés à nous pencher sur les usages et, peut-être les abus, de cette notion poreuse et changeante. Ce Dossier est composé de quatre articles venus de Côte d’Ivoire, de Finlande et de France. Ils abordent l’œuvre des écrivain·e·s Azo Vauguy, Koffi Kwahulé et Hélène Cixous et des cinéastes tels qu’Anne Fontaine, Christopher Doyle ou Julien Abraham. Dans la section Mosaïque, nous publions quatre articles très intéressants également. Hassna Mabrouk, de l’Université Chouaïb Doukkali (Maroc), en s’appuyant sur le révisionnisme historique proposé par les études postcoloniales et subalternes, s’empare de la figure historique de l’explorateur et interprète du début du XVIe siècle Mostafa Al-Azemmouri ou Estevanico, connue essentiellement en Europe sous l’angle de la relation de voyage de Cabeza de Vaca, trop eurocentrée, pour y opposer d’autres représentations de l’explorateur comme celle du personnage Al-Azemmouri qui apparaît dans le roman de Kebir M. Ammi, Les Vertus immorales (2009) où les représentations artistiques qui perdurent dans la ville marocaine d’Azzemmour où il est né. Ahmed Aziz Houdzi, de l’Université Chouaïb Doukkali également, analyse les transformations identitaires du sujet diasporique par rapport aux événements historiques dans le contexte français marqué par les attentats terroristes qui ont eu lieu à Paris en 2015. Il fait une fine lecture de Ce vain combat que tu livres au Monde (2016) de Fouad Laroui où le personnage principal se débat entre le désir d’intégration dans la société laïque et la tentation intégriste incarnée par l’État islamique. Lourdes Rubiales Bonilla de l’Université de Cadix (Espagne) se penche sur « l’affaire Batouala ». Dans son article, elle analyse avec précision les clés de la réception et de la diffusion dans la presse du moment du Prix Goncourt de 1921 octroyé au roman Batouala. Véritable roman nègre de René Maran. Ainsi, elle s’efforce de démontrer les mécanismes de la censure pour essayer de neutraliser le discours politique de l’auteur. Enfin, Diana Requena Romero de l’Université de Valence (Espagne) revient sur la problématique liée à l’étude des personnages féminins dans l’œuvre de Boris Vian. Pour ce faire, elle prend un corpus peu étudié qui est celui des nouvelles de l’auteur afin d’y déceler les processus de métamorphose du corps et les images de l’hybridation de la femme-animal située dans des espaces intermédiaires. Dans la section Traces, plus créative, nous publions trois contributions. Nous avons l’honneur de publier un texte fragmentaire bilingue (en français et en espagnol) de l’écrivaine québécoise, originaire de l’Uruguay, Lula Carballo intitulé restos de barrios (« des restes de quartiers ») où les bribes du passé se mélangent à la rupture du discours à la recherche de nouvelles voies d’expression littéraire. Son premier roman Créatures du hasard (2018) a été spécialement apprécié par la critique. Elle a aussi publié l’album illustré Ensemble nous voyageons (2021), co-écrit avec Catherine-Anne Laranjo et illustré par l’artiste Kesso. Carballo explore avec délicatesse et subtilité la mémoire liée aux souvenirs d’enfance et d’adolescence dans un contexte social spécialement marqué par la pauvreté et la migration, ainsi que les hybridations culturelles et la quête identitaire guidée par l’émotion et par un clair positionnement féministe aux côtés des minorités. Alexandre Melay nous offre [Timescapes], un document photographique présenté par l’auteur où il met en valeur ses préoccupations environnementales et nous fait partager son regard engagé face à « l’impossibilité du paysage » et « l’implacable déconstruction structuraliste du sujet ». Ces photographies en noir en blanc, sorte de cartographie de villes grises, polluées, envahies par les déchets et les éléments inhospitaliers, à l’ère du « Capitalocène », constituent un bel exemple de l’« extrême urbain contemporain ». Enfin, Natalia L. Ferreri de l’Université Nationale de Cordoba et Francisco Aiello de l’Université Nationale de Mar del Plata (toutes deux en Argentine) ont eu la générosité de choisir notre revue pour publier un long entretien en espagnol avec l’écrivaine française (née en Argentine en 1968) Laura Alcoba intitulé « ¿Para qué sirven las historias ? » (« À quoi servent les histoires ? »). Après l’évocation de son sixième et dernier roman intitulé Par la forêt (2022) où la narratrice évoque des expériences traumatiques telles que l’infanticide, le suicide et l’exil, Ferreri et Aiello passent en revue, d’une manière savante et subtile en même temps, les questions essentielles qui traversent l’écriture d’Alcoba où le geste de la traduction, la langue maternelle et la matière des histoires occupent une place prépondérante. Nous inaugurons la section Éventail, où nous voudrions, par le biais des recensions ou des comptes rendus, aérer et diffuser des publications de recherche ou de création proches des intérêts et des perspectives qui animent notre revue. En ce sens, nous publions l’intéressante et complète recension de Martine Renouprez de l’Université de Cadix (Espagne) sur le livre de Laurence Hansen-Love (2022), Planète en ébullition. Écologie, féminisme et responsabilité. Notre revue commence à décoller, à être indexée, répertoriée, présente un peu partout dans le monde grâce au grand intérêt démontré particulièrement par les chercheur·e·s africain·e·s. Un grand merci à vous. Bonne lecture et rendez-vous en juin 2023 pour questionner les « frontières » dans un Dossier intitulé LIMES. Sol invictus.
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Zinder, Gaëtan. « Rendre au photographique sa visibilité : pour un renouvellement esthétique de la photolittérature ». Acta fabula Octobre 2023 24, no 9 (23 octobre 2023). http://dx.doi.org/10.58282/acta.17287.

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Résumé :
Cet article est un compte-rendu du livre : Basile Pallas, Le Miroir aberrant. Littérature et photographies au xixe siècle, Paris, Classiques Garnier, coll. « Études romantiques et dix-neuviémistes », 2022, 600 p., EAN 9782406133155
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Pujade, Robert. « Une lettre aux aveugles : la critique photographique d’Hervé Guibert ». @nalyses. Revue des littératures franco-canadiennes et québécoise, 16 avril 2012. http://dx.doi.org/10.18192/analyses.v7i2.360.

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Résumé :
La critique photographique d’Hervé Guibert au journal Le Monde (1977-1985) s’adresse à un lectorat privé d’illustrations. Tout au long de sa rubrique, il met en place une méthode destinée à développer l’intérêt du public pour des photographies non publiées dans le journal. Cette méthode n’est pas sans liens avec le thème récurrent de la cécité dans ses romans, depuis Des Aveugles jusqu’à Cytomégalovirus. À partir de ce thème, cet article propose une relecture de ce parcours critique qui, par référence à Diderot, prend l’aspect d’une Lettre aux aveugles, à l’usage de lecteurs privés d’images. Il analyse aussi les résonnances de cette attitude critique dans une œuvre partagée entre littérature et photographie.AbstractHervé Guibert, the critic in photography in Le Monde (1977-1985), addresses readers who do not have access to any pictures, since the photos he is referring to are not published in the newspaper. He then sets up a method intended to develop the interest of this particular readership, which is closely linked to a recurring theme in his novels from Des Aveugles to Cytomégalovirus: blindness. This article is a rereading of his career as a critic from this theme, thanks to a reference to a Letter to the blind by Diderot. This article also analyzes the echo of this critical study in his whole work as a writer and as a photographer.
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Déry, Chantal. « De lecteurs à producteurs d’images ou pourquoi et comment introduire l’essai photographique en géographie au primaire ». Revue de recherches en littératie médiatique multimodale 15 (17 août 2022). http://dx.doi.org/10.7202/1091403ar.

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Résumé :
Dans le champ de la littératie multimodale et médiatique (LMM) en enseignement des sciences humaines et sociales (SHS), le pôle réception de l’image a fait l’objet de nombreuses études au cours des dernières années. Toutefois, malgré son importance pour développer une réelle littératie visuelle, le pôle production a très peu été étudié. Dans le cadre d’un article prenant la forme d’une réflexion didactique, nous mettons en lumière la place de l’image, plus particulièrement de la photographie, dans la géographie et son enseignement. Nous expliquons ensuite les raisons pour lesquelles il nous apparaît souhaitable d’introduire l’essai photographique dans l’enseignement de la géographie et nous exposons les différentes formes que peut prendre l’essai photographique. Finalement, nous présentons certaines des balises qu’il faut prendre en compte afin d’intégrer l’essai photographique dans le contexte québécois de l’enseignement de la géographie au primaire de façon à mettre de l’avant le rôle de producteur de l’élève et ainsi contribuer à valoriser la littératie visuelle chez les élèves du primaire.
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Genon, Arnaud. « Photographie de la littérature d’aujourd’hui ». Acta Mars-Avril 2007 8, no 2 (19 mars 2007). http://dx.doi.org/10.58282/acta.2713.

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Lyon-Caen, Boris. « La photographie mise en pages ». Acta Printemps 2006 7, no 1 (10 mars 2006). http://dx.doi.org/10.58282/acta.1236.

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Raynal, Mireille. « Le xixe siècle à la lumière de la photographie ». Printemps 2003 4, no 1 (31 mars 2003). http://dx.doi.org/10.58282/acta.11266.

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Résumé :
Cet article est un compte-rendu du livre : Philippe Ortel, La Littérature à l’ère de la photographie, enquête sur une révolution invisible, Nîmes, Éditions Jacqueline Chambon, coll. « Rayon Photo », 2002, 382 p., EAN 9782877112369.
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Gouritin, Patricia. « Littérature et photographie, du lisible qui fait voir au visible qui narre ». Acta Avril 2009 10, no 4 (28 avril 2009). http://dx.doi.org/10.58282/acta.5017.

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Résumé :
Cet article est un compte-rendu du livre : Jean-Pierre Montier, Liliane Louvel, Danièle Méaux et Philippe Ortel (éd.), Littérature et photographie, Rennes : Presses Universitaires de Rennes, coll. "Interférences", 2008, 576 p., EAN 9792753507456.
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Chevalier, Karine. « Les gueules cassées ou l’éthique de l’écran crevé : du masque au visage cinématographique ». Intermédialités, no 32 (2 avril 2019). http://dx.doi.org/10.7202/1058471ar.

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Résumé :
Cet article analyse comment le cinéma représente les gueules cassées en relation avec les autres médias (actualités, photographie, littérature, peinture, bande dessinée). À partir de la distinction de Levinas entre « la face » et « le visage », l’auteure questionne le recours au camouflage. Les blessures de guerre sont ainsi cachées par une esthétique du masque, telle que la surimpression, qui permet selon une approche éthique ambivalente de révéler le « visage » au-delà de la défiguration.
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Cardinal, Serge. « Le dernier des discrets ». 19, no 1 (18 mars 2009) : 109–26. http://dx.doi.org/10.7202/029501ar.

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Résumé Cofondateur de la revue Cinémas, Michel Larouche a enseigné au Département d’histoire de l’art et d’études cinématographiques de l’Université de Montréal jusqu’en 2005. Ses travaux nous ont fait découvrir des cinémas méconnus (le cinéma expérimental ou d’Afrique), des cinémas ignorés (celui de Jodorowsky ou le cinéma indépendant québécois), des cinémas hybrides (ceux qui s’approprient la photographie, les nouvelles technologies ou la littérature). Mais quelle méthode, quels problèmes et quels concepts Michel Larouche nous laisse-t-il en héritage ? Surtout, quelle éthique de la pensée a-t-il discrètement laissée aux études cinématographiques ?
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Maazouzi, Djemaa. « Le motif de « L’Algérie malgré tout » Littérature, cinéma, photographie, chanson ». Nouvelle Revue Synergies Canada, no 6 (7 novembre 2013). http://dx.doi.org/10.21083/nrsc.v0i6.2865.

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Le Guen, Laurence, et Christine Rivalan Guégo. « Contes en habits neufs. La littérature jeunesse patrimoniale à l’ère de la photographie ». Captures 8, no 2 (2023). http://dx.doi.org/10.7202/1109858ar.

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Allemand, Roger-Michel. « Montier, Jean Pierre ; Louvel, Liliane ; Méaux, Danièle ; Ortel, Philippe (dir.) : Littérature et photographie, 2008 ». Kritikon Litterarum 37, no 3-4 (janvier 2010). http://dx.doi.org/10.1515/kl.2010.004n.

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Bon, Bérénice. « Photographier les villes à venir : diffusion des économies urbaines et morcellement des terres au Kenya ». EchoGéo 67 (2024). http://dx.doi.org/10.4000/11y06.

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Résumé :
En Afrique sub-saharienne, l’intensité des ventes, achats et reventes de terres dans les périphéries métropolitaines est inédite. Au Kenya, sur les fronts d’urbanisation de la capitale, Nairobi, sur de très vastes espaces, la terre est morcelée en petites parcelles clôturées par des barbelés, des tranchées, de la végétation, des bouts de bois. Les transactions marchandes opérées sur ces terres ne conduisent pas toutes à des constructions sur les parcelles. Ces marchés fonciers sans construction participent à l’expansion urbaine. Ils sont moins pris en compte dans la littérature académique que l’extension du bâti et l’accès aux services dans les périphéries métropolitaines. La photographie arrête le regard sur ces parcelles laissées vides pendant plusieurs années. Les entretiens et les observations diachroniques questionnent ensuite les profils, les trajectoires et les motivations des acteurs impliqués dans les transactions marchandes des terres. Ces terres appropriées et laissées sans construction jouent un rôle central dans la création et le stockage de l’argent en lien avec la diffusion des économies urbaines.
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Duwa, Jérôme. « Pierre Taminiaux, Du Surréalisme à la photographie contemporaine : au croisement des arts et de la littérature ». Critique d’art, 20 novembre 2017. http://dx.doi.org/10.4000/critiquedart.23474.

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Goudet, Anna, et Catherine Paquette. « Quand la « voix » des nouveaux·elles arrivant·e·s est exprimée et entendue grâce à la photographie : réflexions sur la méthode de recherche « photovoice » ». Nouvelle Revue Synergies Canada, no 15 (4 février 2022). http://dx.doi.org/10.21083/nrsc.v2022i15.6538.

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Résumé :
Cet article propose un retour réflexif sur la démarche Photovoice et son potentiel à faire émerger la « voix » de personnes immigrantes, au terme d’un projet de recherche portant sur les perceptions et les expériences de l’accueil de nouveaux·elles arrivant·e·s dans deux territoires montréalais (Canada). L'objectif était de faire identifier aux participant·e·s des lieux accueillants ou moins accueillants par la prise de photographies. Nous revenons ici sur deux éléments qui permettent de réfléchir à la démarche Photovoice : d’une part, l’importance donnée à la dimension émotionnelle et symbolique des lieux pour les participant·e·s, ce qui détonnait de notre revue de littérature de départ sur les « collectivités accueillantes » (Esses et al) ; d’autre part, les différentes modalités d’appropriation de la démarche Photovoice par les participant·e·s. Nous concluons sur les défis et certains enjeux épistémologiques liés à l’emploi du Photovoice dans le cadre d’une recherche dont le point de départ se veut être la « voix » des participant·e·s.
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Le Guen, Laurence. « Abolir les frontières en littérature jeunesse : la tentative des albums photographiques des années 1950 à travers l’exemple d’Horoldamba le petit Mongol ». Strenae, no 11 (20 octobre 2016). http://dx.doi.org/10.4000/strenae.1670.

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