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1

Aramburu, Francisca, Catherine Despres et Javier Benito. « La déclaration amoureuse dans la littérature médiévale ». La déclaration amoureuse au Moyen Âge, no 15 (1 avril 2022) : 71–94. http://dx.doi.org/10.54563/bdba.1452.

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NGA, Agnès Olivia. « Impostures amoureuses et identitaires chez Beyala et Bugul ». Revue Mosaïques, Volume 1, Numéro 5 (22 décembre 2022) : 7–18. http://dx.doi.org/10.17184/eac.3014.

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Résumé :
La relation amoureuse afropéenne dans la littérature africaine du siècle finissant et la première décennie de ce siècle fait état de l’influence que la différence des cultures exerce sur la perception de l’amour par les amants. Cet article vise à montrer que malgré la volonté de vivre une relation amoureuse paisible, les amants ne peuvent se soustraire ni aux préjugés raciaux et culturels ni aux regards sociaux sur ces relations « atypiques ». Dans ces conditions, l’amour apparaît comme un jeu dans lequel chaque amant, véritable imposteur, use de toutes les stratégies pour en devenir le maître.
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3

Lorimier, Renée-Claude. « Le secret dans le Misanthrope de Molière : agrément courtois ou arme politique ? » Analyses 28, no 2 (12 avril 2005) : 97–106. http://dx.doi.org/10.7202/501124ar.

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Résumé :
L'objet de cet article est de montrer que la portée critique du Misanthrope de Molière réside dans la reprise d'un thème cher à la littérature galante, le secret, pour lui opposer une autre signification, celle-là plus politique. Nous aborderons d'abord la thématique du secret dans la littérature amoureuse et nous établirons un rapport avec le mythe de Psyché, repris par Molière sous différentes formes, dans plusieurs pièces. Nous ferons ensuite une lecture de l'intrigue amoureuse du Misanthrope et nous analyserons la singularité du langage d'Alceste. Nous verrons ainsi que, à la différence des autres comédies, le Misanthrope propose une nouvelle interprétation du motif précieux en se référant à une autre tradition: celle des traités de courtisans. En face des beaux esprits qui fréquentent le salon de Célimène, Alceste brandit une interprétation plus politique du secret et c'est ainsi qu'il nous semble beaucoup plus moderne que les autres personnages.
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4

Viau, Robert. « L’araignée dans le plafond ». Santé mentale au Québec 15, no 2 (19 octobre 2006) : 47–72. http://dx.doi.org/10.7202/031562ar.

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Résumé :
Résumé Cet article sur l'image de la folie dans le roman québécois porte sur les rapports entre la littérature québécoise et la folie. On y décèle l'histoire du Québec où la folie suit le courant social qui passe graduellement d'un courant religieux à un courant politique. Ainsi, de 1837 à 1920, dans les romans, la folie est causée par un choc émotif, une contrariété amoureuse ou une ambition déçue. Dans la période entre les deux guerres, la voie menant à diverses folies comprend les mondanités, l'argent et les femmes. Pendant plus de cent ans, la folie a donc une valeur punitive. Pendant les années cinquante, pour la première fois dans notre littérature, le fou devient un éveilleur de conscience; de négative, la folie devient une valeur positive. Finalement, de 1960 à nos jours, la folie découle de l'échec, qu'il soit amoureux, social ou politique. Dans la majorité des romans, le fou finit par mourir. C'est comme si les romanciers avaient voulu renforcer la notion de punition, d'échec et de désespoir, reliée à la folie. Pourquoi?
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5

Delacomptée, Jean-Michel. « La jalousie au prisme de la littérature ». Littérature N° 214, no 2 (29 mai 2024) : 91–99. http://dx.doi.org/10.3917/litt.214.0091.

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Résumé :
Pour étudier les affects, la littérature offre un prisme susceptible d’être renforcé par l’apport de la psychanalyse, même quand cet apport reste modeste. Ainsi en va-t-il de la jalousie amoureuse, centrale dans La Princesse de Clève s ou dans A la recherche du temps perdu . Cependant, les lectures fondées sur les réactions individuelles des personnages peuvent laisser place à des approches de nature socioculturelle, par exemple, chez Diderot, la vengeance de Mme de la Pommeraie fomentée par jalousie. La convergence des deux approches, de nature psychologique ou psychanalytique d’une part, historique ou socioculturelle d’autre part, ouvre à l’analyse « psycho-politique » de textes de fiction.
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6

Decout, Maxime. « Contre une littérature de l’épuisement ». Études littéraires 44, no 1 (25 septembre 2013) : 81–92. http://dx.doi.org/10.7202/1018467ar.

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Résumé :
Résumé Alors que le début du XXe siècle tend vers une intériorisation de l’aventure qui en diminue la prégnance au sein du réel, Albert Cohen choisit, avec Solal, de s’opposer à tout ce qui pourrait ressembler à une forme ou une autre de littérature de l’épuisement. Faisant du héros qu’est Solal le pivot du romanesque, ce récit tente le pari risqué de maintenir ensemble toutes les formes possibles de l’aventure : épique, chevaleresque, amoureuse, sociale, mythique, biblique, imaginaire, discursive, symbolique… Avec ce roman, Cohen multiplie, pour les essayer et les mettre à l’épreuve, les modèles intertextuels de l’aventure pour en refonder les possibilités. Dans ce jeu de tous les excès, c’est bien une autre façon de concevoir le roman qui est en germe et qui livrera tous ses fruits avec le chef-d’oeuvre de l’auteur, Belle du Seigneur.
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7

Tremblais, Mathilde. « Une Fille amoureuse de Pauline Réage, ¿una autoficción avant la lettre ? » Anales de Filología Francesa 27, no 1 (15 novembre 2019) : 365–84. http://dx.doi.org/10.6018/analesff.381761.

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Résumé :
Este artículo propone interesarse por Une Fille amoureuse de Pauline Réage, un texto que se inscribe en el ámbito muy amplio de las escrituras del yo. Entre los diferentes modelos de literatura íntima existentes, Une Fille amoureuse se acerca a la autoficción, un tipo textual que progresivamente ha invadido el paisaje literario de principios del siglo XXI. La obra fue publicada en 1969, es así anterior a los primeros intentos de conceptualización a los que la autoficción ha dado lugar y también es anterior a la aparición misma de la noción de autoficción. Este artículo analiza los rasgos distintivos de la autoficción que reúne Une Fille amoureuse, un relato en el que Pauline Réage explora las fronteras entre la ficción novelesca y la realidad autobiográfica y deja expresarse una voz femenina que se desvela inventándose a través del juego de la escritura. This article examines Pauline Réage’s Une Fille amoureuse, a text that can be categorized as belonging to the vast field of writings on the self. Among the various types of current intimate literature, Une Fille amoureuse is closer to autofiction, a kind of text that has progressively taken over the literary landscape of the 21st century. It was published in 1969, which makes it not only prior to the first conceptualization tentatives that resulted from autofiction, but also prior to the appearance of the very notion of autofiction. This study enquires into the distinctive traits of autofiction present in Une Fille amoureuse, in which Pauline Réage explores the boundaries between novel and autobiography, allowing a feminine voice to unfold as it is revealed by the writing itself. Cet article propose d’étudier Une Fille amoureuse de Pauline Réage, un texte qui s’inscrit dans le champ très vaste des écritures du moi. Parmi les différents modèles de littérature intime existants, Une Fille amoureuse se rapproche de l’autofiction, un type textuel qui a progressivement envahi le paysage littéraire du début du XXIe siècle. L’œuvre a été publiée en 1969, elle est donc antérieure aux premières tentatives de conceptualisation auxquelles l’autofiction a donné lieu et elle est aussi antérieure à l’apparition même de la notion d’autofiction. Cet article analyse les traits distinctifs de l’autofiction que réunit Une Fille amoureuse, un récit dans lequel Pauline Réage explore les frontières entre la fiction romanesque et la réalité autobiographique et laisse s’exprimer une voix féminine qui se dévoile tout en s’inventant par le jeu de l’écriture.
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Dubois, Anne-Lydie. « L’amour fou est le propre de l’homme. La folie masculine dans le discours des médecins et des clercs aux derniers siècles du Moyen Âge ». Fabriquer les masculinités 25 (2024) : 147–63. http://dx.doi.org/10.4000/1217j.

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Dans les derniers siècles du Moyen Âge, la raison et la faculté de jugement sont au cœur de la construction d’un modèle de masculinité valorisé par les clercs, à destination des laïcs. Si la littérature pastorale et les sermons produits par les frères mendiants érigent en impératif la capacité des hommes à aimer leur épouse de manière mesurée, la passion amoureuse est autant condamnée par ces textes cléricaux que par les traités médicaux et les chapitres consacrés à la médecine dans les encyclopédies du xiiie siècle. Menant selon leurs auteurs à la folie et à la déraison, l’amour excessif va à l’encontre du modèle de perfection qu’incarne la masculinité. Or, la folie amoureuse et la maladie d’amour, en tant que pathologie mentale, sont spécifiquement assimilées à l’essence même de la masculinité dans ses dispositions physiologiques et sont attribuées aux hommes à la suite du commentaire de Girardus Bituricensis. Cet article instaure un dialogue entre le discours médical et les sources cléricales autour de cette ambivalence.
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Lacroix, Michel. « « Ne croyez pas ce que je viens de vous dire » Maximes et essayistes fictifs contre la pensée dogmatique ». @nalyses. Revue des littératures franco-canadiennes et québécoise 15, no 1 (23 juillet 2020) : 54–72. http://dx.doi.org/10.18192/analyses.v15i1.4761.

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Rarement utilisées jusque-là dans la littérature québécoise, les formes brèves aphoristiques sont explorées par plusieurs écrivains, à la fin des années trente et au début des années quarante. Entre « maximes et papillotages », réflexion intemporelle, bons mots et confession sentimentale, ce corpus hétéroclite met en évidence une commune tendance au morcellement, à la discontinuité, en même temps qu’une volonté de savoir passant par le travail de la phrase. Ce faisant, ce corpus s’écrit en marge ou à rebours des doctrines, manifestant à la fois l’aspiration à l’autonomie littéraire et l’affirmation de la subjectivité amoureuse.
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Nys-Mazure, Colette. « Lisez-vous le belge ? » Études Septembre, no 8 (11 septembre 2024) : 95–107. http://dx.doi.org/10.3917/etu.4318.0096.

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Bon nombre de lecteurs et de lectrices ne connaissent de la Belgique que Tintin, Brel, Maeterlinck, Michaux, Yourcenar, Simenon, Devos et Nothomb ; mais aussi le surréalisme, le fantastique et l’autodérision. La poétesse et écrivaine belge arpente la littérature francophone de son pays, non pas en experte mais en amoureuse, qui désire mettre l’eau à la bouche. On découvre une multitude d’auteurs et d’autrices aussi inventifs en poésie qu’en cinéma, roman, essai, théâtre ou bande dessinée ; et sur tous les tons, du tragique à l’absurde, du social à l’onirique, du burlesque au grave.
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Peel, Stéphanie. « La Réinterprétation du thème de "la morte amoureuse" dans la littérature spirite ». French Forum 47, no 1 (mars 2022) : 23–40. http://dx.doi.org/10.1353/frf.2022.0004.

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Avenatti de Palumbo, Cecilia. « Wonder in the Face of Beauty and the Poetic Word. An Aesthetic and Theological Perspective ». Studia Universitatis Babeș-Bolyai Theologia Catholica 67, no 1-2 (30 décembre 2022) : 25–39. http://dx.doi.org/10.24193/theol.cath.2022.02.

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Résumé :
"L’émerveillement devant la beauté et la parole poétique. Une perspective esthétique et théologique. L’objectif de cet article est de montrer que Hans Urs von Balthasar et Karl Rahner ont présenté une esthétique théologique centrée sur l’émerveillement : tous deux le considèrent comme une réponse du sujet à la révélation divine, qui révèle une belle figure à voir et une parole poétique à entendre. La paire esthétique émerveillement/réponse correspond à la paire anthropologique amour / liberté, de sorte que le mouvement de l’émerveillement s’enracine dans la disposition amoureuse et la réponse dans la liberté. Dans l’horizon épistémologique du dialogue interdisciplinaire entre Littérature, Esthétique et Théologie de notre propre recherche, nous appliquerons ces médiations aux Quatre Quatuors de T.S. Eliot, en le trouvant comme représentatif de l’émerveillement esthétique théologique décrit en son sein. Mots clés : Paul Ricoeur - Hans Urs von Balthasar - T.S. Eliot - Les Quatre Quatuors - Merveilleux - Esthétique théologique – Littérature "
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Cortey-Lemaire, Mathilde. « Philippe Vilain, à la recherche de l’amour perdu… ». Dalhousie French Studies, no 124 (2023) : 63–76. http://dx.doi.org/10.7202/1113354ar.

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Le narrateur des romans de Philippe Vilain est toujours soit un perdant passif de l’amour, dépossédé de l’être qu’il a aimé, soit un perdeur actif : il ruine la relation amoureuse qui s’est construite. Mais que perd-il ? Ne perd-il que l’objet de son amour ? Se perd-il lui même ? S’agit-il de perdre un amour pour mieux retrouver l’amour ? pour mieux se retrouver soi ? Ou s’agit-il de retrouver autre chose et quoi ? Vers quelle vérité conduit cette recherche, cette quête, infiniment recommencée, cette tentative d’épuisement de ce topos. Les amours perdues, comme le temps perdu, quand elles sont retrouvées dans la mise en récit littéraire, redonnent, finalement, à l’amour, tout son absolu, toute sa puissance et toute sa grandeur : l’amour perdu et retrouvé, c’est le fondement de la création et de la Littérature selon Philippe Vilain.
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Glinoer, Anthony. « Le Journal des Goncourt en 1857 : le règne paradoxal de la Bohème1 ». Études françaises 43, no 2 (1 octobre 2007) : 59–72. http://dx.doi.org/10.7202/016473ar.

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Résumé :
Résume À l’inverse de leurs prédécesseurs, qui n’y voyaient qu’accident de l’histoire, les sociologues Pierre Bourdieu et Nathalie Heinich ont accordé une importance majeure à la Bohème littéraire et artistique dans le processus de constitution d’un champ littéraire autonome, pour l’un, et d’un régime de singularité, pour l’autre. Mais n’ont-ils pas accrédité, ce faisant, une représentation de la Bohème qui prévalait déjà dans les histoires littéraires les plus traditionnelles ? Sous la plume des frères Goncourt, en 1857, on découvre une Bohème à la fonction et à l’aspect tout différents : la Bohème apparaît ici munie d’un pouvoir dévorant (et non plus sympathiquement marginale), vénale (et non plus amoureuse de sa pauvreté), bref symptomatique d’un mal littéraire moderne. Analysant ce portrait en regard de la posture des frères Goncourt et de leur idéologie d’une littérature pure, cet article interroge, au-delà, le statut des prises de position des acteurs en tant que documents sociologiques.
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Koble, Nathalie, et Adriana Nicolau. « Voix d’eau : Pascal Quignard et « la voix perdue » des lais bretons ». Tangence, no 110 (23 décembre 2016) : 107–25. http://dx.doi.org/10.7202/1038500ar.

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Résumé :
Les liens que l’oeuvre de Pascal Quignard entretient avec la littérature médiévale sont à la fois discrets et multiples, au sein d’une écriture de part en part travaillée par la confrontation à de multiples univers esthétiques et littéraires. Élaboré par l’écrivain contemporain, le concept de « jadis », d’inspiration lacanienne, engage néanmoins une réflexion sur la mémoire qui entretient avec le Moyen Âge perdu des contes, mais aussi, avec la conception médiévale de la mémoire littéraire, une résonance particulière. Cette étude se propose de mettre au jour cette résonance en confrontant deux récits qui reposent sur une intrigue en grande partie similaire : « La voix perdue » de Quignard et le lai anonyme de Tydorel. Cette lecture croisée met en évidence une réflexion en miroir sur l’inaccessibilité de l’origine, figurée dans les deux textes par des lieux/personnages aquatiques. Antérieure à la langue, cette origine fantasmée est dans les deux contes au coeur d’une poétique du détour qui tente de cerner, par la langue littéraire, les eaux les plus troubles de la rencontre amoureuse.
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Kaczmarek-Wiśniewska, Anna. « La pré-structure diégétique et le théâtre de la plénitude amoureuse ou deux visions de l’arbre dans la série romanesque d’Émile Zola, "Les Rougon-Macquart" ». Annales Universitatis Paedagogicae Cracoviensis. Studia Poetica 8 (23 décembre 2020) : 172–86. http://dx.doi.org/10.24917/23534583.8.10.

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L’article analyse deux formes que prend le motif de l’arbre dans Les Rougon-Macquart, série de romanesque d’Émile Zola. La première, celle que l’on peut appeler « sociale » correspond à l’arbre généalogique des personnages formant la famille romanesque ; la création de cet arbre et la préparation d’informations détaillées sur chaque héros et ses destinées ont précédé le début des travaux sur la série, ce qui en fait de lui une sorte de sa pré-structure. La deuxième forme sous laquelle l’arbre apparaît dans les textes analysés est la forme « naturelle », associée à la nature (l’arbre comme plante) et saturée de symboles liés à l’amour et à la fertilité. Les deux formes partagent une référence à la vie comme valeur suprême et thème de base de la littérature naturaliste.
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Resmond-Wenz, Évelyne. « De quelques amours et amoureux célèbres en littérature jeunesse ». Spirale 28, no 4 (2003) : 119. http://dx.doi.org/10.3917/spi.028.0119.

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Lamontagne, André. « La médiation intertextuelle ». Dossier 40, no 3 (11 août 2015) : 53–67. http://dx.doi.org/10.7202/1032634ar.

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La vie provisoire et À quoi ça rime ? ont en commun un parcours diégétique qui s’ouvre sur une scène extraterritoriale (respectivement la République dominicaine et le Portugal), retourne à Montréal et se déplace dans les Laurentides, lieu de retraite et d’ermitage littéraire. Dans chacun des deux romans, le personnage central fait une multitude de deuils (oncle, épouse, ami, relations amoureuses, vie antérieure) et aspire au détachement, à devenir autre. Cette découverte de l’autre en soi prend une dimension hautement intertextuelle : le protagoniste de La vie provisoire lit et relit les auteurs russes dans son refuge et invente un conte sur le modèle des Mille et une nuits, tandis que le narrateur d’À quoi ça rime ? suit les traces de Fernando Pessoa (lui-même connu pour ses hétéronymes) dans Lisbonne et cherche des vecteurs identitaires dans la littérature. Cet article se propose d’étudier la représentation de la lecture dans les deux derniers romans d’André Major : ses modalités et ses dispositifs intertextuels, ses incidences diégétiques et son potentiel d’altérité. Comme le montre l’auteur, l’acte de lire prolonge l’axe thématique des oeuvres antérieures de l’écrivain, ainsi l’idée de désertion, et reprend certaines questions récurrentes de la littérature québécoise, notamment les oppositions vie-écriture (Réjean Ducharme, Jacques Godbout) et nature-culture (Louis Hamelin).
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Prot, Bénédicte. « Le travail de la nature. La convalescence dans quelques poèmes et textes médicaux du long XVIII e siècle français ». Diogène 279-280, no 3 (5 février 2024) : 86–103. http://dx.doi.org/10.3917/dio.279.0086.

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Investie tout à la fois par les littérateurs et les médecins, la convalescence se prête à l’approche des « sciences diagonales » chères à Roger Caillois. Cet article se concentre sur un choix de textes poétiques et médicaux permettant d’étudier la façon dont le processus de recouvrement de la santé s’articule avec les représentations d’une nature en mouvement au cours du long xviii e siècle français. Nous étudions à cette fin une épître que Jean-Baptiste Gresset compose sur sa convalescence (1738), où s’entremêlent retour à la santé, reverdie printanière et réveil des désirs amoureux. Pour le docteur Claude-Denis Balme, en 1778, la convalescence mérite d’être pleinement inscrite dans la pratique du médecin, qui doit considérer et observer les mouvements de la nature qui travaillent le patient recouvrant la santé. Dans le chant consacré au printemps des Saisons (1769) de Jean-François de Saint-Lambert, le poète convalescent s’identifie à l’environnement naturel renaissant et en dépeint le tableau mouvant. Ce parcours nous conduira jusqu’à une thèse de médecine de 1822 consacrée à la convalescence, qui cite les vers de Gresset et s’appuie sur ceux de Saint-Lambert. En appliquant les outils de l’analyse textuelle à des sources sélectionnées sur la base de critères formel et disciplinaire - critères dont on montre, en fin de compte, les limites -, cet article fait apparaître des liens entre différents textes sur la convalescence ; il éclaire en particulier les rapports entre littérature et médecine sur le plan des thèmes, des discours, des savoirs et des représentations.
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Defraeye, Julien. « Paris dans l’optique : cadre photographique et cadre littéraire chez Philippe Delerm ». Voix Plurielles 13, no 1 (14 mai 2016) : 2–12. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v13i1.1365.

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« Ajoutez deux lettres à Paris : c’est le paradis » (Renard 202) : tel est l’engouement qui motive le projet de tant d’ouvrages qui prétendent à capturer la capitale française. Des photographies de Doisneau aux textes canoniques de la littérature de Zola ou d’Hugo, il faut à tout prix documenter la Ville-Lumière afin de saisir cet espace protéiforme. Les amoureux de l’Hôtel de Ville de Philippe Delerm et Paris l’instant, ouvrage photo-littéraire réalisé conjointement avec sa femme Martine Delerm, s’inscrivent dans la continuité de cette tradition qui saisit le lieu, d’une manière ou d’une autre. Bien que très différents, ces deux projets explicitent un questionnement quasi-millénaire : Qu’est-ce que Paris ?
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Lecco, Margherita. « Le Dotte Fonti Del »Lai Du Trot« ». Romanische Forschungen 134, no 4 (15 novembre 2022) : 491–505. http://dx.doi.org/10.3196/003581222836064154.

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Le »Lai du Trot« développe un thème qui apparemment appartient au folklore, le ’défilé des femmes mortes‘. Mais – comme l'avaient vu les éditeurs Grimes et Burgess-Brook – il retravaille un passage du De Amore d'André le Chapelain (vers 1180). L'article vise 1) à savoir d'où vient le même passage du De Amore, qui réécrit sur un ton ’courtois‘ (selon les règles de la culture et de la littérature courtoises) un passage de l' Historia Ecclesiastica d'Orderic Vital (première moitié du XII e siècle), qu'André transforme en ’thème amoureux‘ du cadre ecclésiastique d'origine, 2) à établir ensuite comment la dépendance du »Trot« relève du passage du De Amore peut-être d'un involontaire erreur (ou malentendu) de l'auteur du lai.
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Armianov, Gueorgui. « L’amour et la sexualité dans les variétés non-standard bulgares ». Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica, no 16 (19 mai 2021) : 95–103. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.16.09.

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L’article propose un regard critique sur le vocabulaire lié à l’amour, à l’acte sexuel, aux personnes impliquées dans des relations amoureuses, aux étapes et aux rôles dans le jeu de l’amour. L’analyse porte sur une période de plus de 100 ans – de la fin du 19e siècle jusqu’à nos jours en passant par l’époque du régime communiste. Pendant cette période, le vocabulaire spécifique argotique et familier lié à l’amour et au sexe a subi d’importants changements, tant au regard de la richesse des mots et de leurs significations, qu’au regard de l’origine, de la diffusion et de l’utilisation de ces unités lexicales. L’emploi dans le cinéma, la littérature, les chansons populaires, les médias et même dans le discours politique officiel des termes argotiques est aussi étudié. Une attention particulière est accordée à la désargotisation de plusieurs lexèmes et à leur intégration progressive dans le langage familier et la pratique langagière de personnes de tous les âges, professions et statuts sociaux.
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Rescia, Laura. « De la fable à l'emblème ». Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 12 (15 septembre 1999) : 163–71. http://dx.doi.org/10.1075/rein.12.13res.

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Résumé La philautie s'est incarnée dans la tradition mythologique classique à partir du Ie siècle dans l'image du beau chasseur Narcisse, qui tomba amoureux de son reflet. La fable d'Ésope "La guénon et ses petits", reprise par Avianus et ses imitateurs, a également illustré le miserable sort de l'homme aveuglé par l'excès d'amour de soi même. Reprise par les auteurs des bestiaires à partir du XIIe siècle, non sans glissements sémantiques importants, l'iconologie du singe côtoie, s'associe et enfin se superpose à celle du "beau demoiseau": le phénomène se produit dans la littérature d'emblèmes de la fin du XVIe au début du XVIIe siècle. Nous avons retrouvé l'origine de l'association des deux héros philautiques tout en suivant leur traces dans trois textes de cette période: Discours des hieroglyphes... de Pierre L'Anglois (1583), Duodecim specula... du père jesuite Jean David (1610), Cinq livres des hiéroglyphiques... de Pierre Dinet (1614). Les trois éléments constitutifs de l'emblème (devise, image et epigramme) se composent ici de manière tout à fait originale pour dessiner l'horizon sémantique de l'amour de soi. On en retrouvra des échos dans la littérature romanesque.
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Cacchioli, Emanuela. « Anaïs Heluin, Littérature et désir dans le monde afro-caribéen. Un match amoureux ». Studi Francesi, no 175 (LIX | I) (1 avril 2015) : 205–6. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.653.

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Fortin-Tournès, Anne-Laure. « The War Against Cliché de Martin Amis : l’essai critique comme embrassement amoureux de la littérature ». Études britanniques contemporaines, no 38 (10 juin 2010) : 45–56. http://dx.doi.org/10.4000/ebc.3208.

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Mullin, Brianna. « « Est-ce que c’est ça, l’amour ? » : Le palimpseste amoureux dans L’amour, roman (2003) de Camille Laurens ». Voix Plurielles 18, no 1 (2 mai 2021) : 52–61. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v18i1.2567.

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Résumé :
Cet article s’intéresse à l’étude de l’amour menée dans l’ouvrage d’autofiction intitulé L’amour, roman (2003) de Camille Laurens. Il est question en particulier d’examiner en quoi l’idée courante et acceptée de ce que c’est « l’amour » fonctionne comme le point de rencontre entre différents points de tension qui s’orientent vers le même désir du pouvoir et de la domination. En dévoilant les influences personnelles et extérieures qui ont engendré son concept de l’amour, la narratrice le présente comme un palimpseste qui ne cesse d’accumuler des couches. Les strates principales de ce palimpseste étant la famille, le langage et les gestes acquis, Laurens illustre en quoi l’amour porte un héritage du passé dont les traces restent ineffaçables dans le présent, surtout chez les femmes pour qui l’amour reflète le déséquilibre et la lutte de pouvoir dans la société patriarcale. Mots-clés : l’amour au féminin ; palimpseste amoureux ; mémoire ; littérature française contemporaine ; autofiction ; Camille Laurens ; L’amour, roman
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LAROCHELLE, MARIE-HÉLÈNE. « RAS-LE-BOL DU CARE ». Dossier 43, no 3 (4 septembre 2018) : 29–40. http://dx.doi.org/10.7202/1051084ar.

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Résumé :
La littérature contemporaine des femmes est truffée de personnages féminins qui se placent en porte à faux avec les attentes écrites pour elles dans les contes traditionnels et cessent de « prendre soin » d’elles-mêmes comme des autres (pères, maris, enfants, ami.es et étrangers). Leurs identités se fondent sur une tension, sorte de dialectique constante entre le care et la violence (symbolique ou physique ; métaphorique ou réelle), qui trouve ses racines dans les archétypes des contes de fées. Les écrits contemporains des femmes, à travers l’exploration des thèmes comme les relations amoureuses, les relations familiales, la maternité, la sexualité et les usages de la drogue, présentent une violence qui, parfois tournée vers l’autre, parfois tournée vers soi, se comprend mieux une fois observée sous le prisme d’une éthique de la responsabilité puis du « prendre soin » que le discours sous-tend. Cet article démontre comment le care devient violence. Il s’agira de comprendre une certaine limite du care : le cas qui implique de briser la dynamique, de rompre avec le « prendre soin », violemment, et de rejeter une moralité cristallisée par les contes traditionnels. Sont ainsi analysés Les sangs d’Audrée Wilhelmy et Demoiselles-cactus de Clara B.-Turcotte, qui s’inspirent des codes du conte pour mieux marquer le moment où ils sont fracassés, afin de comprendre les racines de ce mouvement de révolte à l’égard de certains motifs du conte.
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López Bueno, Begoña. « Soledad/Soledades en la poesía española del Siglo de Oro (revisando a Vossler) ». Criticón 145-146 (2022) : 89–117. http://dx.doi.org/10.4000/12dlc.

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Résumé :
La solitude, en tant que l’un des sentiments essentiels de l’être humain, a, depuis toujours, a été un des thèmes littéraires les plus traités, en particulier dans le domaine poétique. En1940, elle a fait l’objet, pour ce qui est de la littérature espagnole, d’une célèbre monographie due au philologue allemand Karl Vossler. L’analyse effectuée dans cet article repose sur des hypothèses méthodologiques très différentes et ne vise pas tant à offrir un aperçu général, qui dépasserait ses limites, qu’à établir une approche systématique des tendances fondamentales de la poétique de la solitude au Siècle d’or. Après avoir passé en revue les formulations rhétoriques les plus productives, reprises de tant d’autres topos séculaires (Âge d’or, beatus ille, aurea mediocritas, natura paucis contenta, etc.), il propose de les inscrire dans deux orientations fondamentales : la solitude comme voie de perfectionnement personnel, qui est vécue comme une conquête ; la solitude référée à l’abandon, qui est perçue comme une perte. La solitude humaniste et la solitude élégiaque. La première est fondamentalement associée à la poésie morale, aux racines stoïciennes et parfois aux dérives transcendantales, tandis que la seconde se nourrit avant tout de l’expression des expériences amoureuses. Quoi qu'il en soit, toutes deux constituent un excellent reflet littéraire des désirs et des émotions que la solitude suscite chez les êtres humains.
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Roccati, G. Matteo. « Anna Kukulka-Wojtasik, La dame et l’amour au Moyen Âge. Symbolique du portrait amoureux dans la littérature courtoise du xiie siècle ». Studi Francesi, no 160 (LIV | I) (1 avril 2010) : 121. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.7132.

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Zou, Ying. « Talent, Identity, and Sociality in Early Qing Scholar-Beauty Novels ». T’oung Pao 102, no 1-3 (3 octobre 2016) : 161–208. http://dx.doi.org/10.1163/15685322-10213p06.

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Résumé :
This article rereads early Qing scholar-beauty novels from the perspective of a new interest in self-fashioning and resocialization right after the dynastic transition. It analyzes the particular ways in which these works reflected on the late Ming notion of qing (feelings) and moved to a new sense of self through an emphasis on innate cai (talent), and suggests that they employed romance to express a sense of community and male sociality based on talent, thereby striking a complex balance between the autonomy of elite communities and their accommodation with the new regime. The talented woman figure is both agent and product of the early Qing Han elite’s self-fashioning project in reaction to the Manchu conquest. Sexual relations are channelled into newly responsible ends. Historically, scholar-beauty novels developed a romantic discourse that helped construct personal identities, promote cultural autonomy, and eventually reintegrate literature into the new political order of the Qing dynasty. Cet article propose une relecture des romans du début des Qing associant un lettré talentueux et une jeune beauté (caizi jiaren) à la lumière de l’intérêt nouveau pour la construction du soi et la resocialisation apparu immédiatement après la transition entre les Ming et les Qing. Est analysée la façon particulière dont ces ouvrages s’interrogent sur la notion de qing (sentiment) caractéristique de la fin des Ming et élaborent un nouveau sentiment du soi en mettant l’accent sur le talent inné (cai). Le recours à l’idylle, est-il suggéré, aide à faire passer la notion d’une communauté et d’une sociabilité masculine basées sur le talent, créant du même coup un équilibre complexe entre l’autonomie des communautés de l’élite et les compromis qui les lient au nouveau régime. Le personnage de la femme de talent est à la fois l’agent et le produit du projet de construction du soi des élites chinoises réagissant à la conquête mandchoue. Les relations amoureuses sont canalisées au service de buts nouveaux et responsables. Historiquement, le roman caizi jiaren a développé un discours sentimental facilitant la construction d’identités individuelles, la promotion de l’autonomie culturelle, et en fin de compte la réintégration de la littérature dans l’ordre politique nouveau de la dynastie des Qing.
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Grossel, Marie-Geneviève. « Anna KUKU?KA-WOJTASIK, La dame et l’amour au Moyen Âge. Symbolique du por- trait amoureux dans la littérature courtoise du XIIe siècle , Varsovie, Université de Varsovie, 2007 ; 1 vol. in-8°, 303 p. ISBN : 978-83-926459-4-8. » Le Moyen Age Tome CXIV, no 3 (23 février 2009) : LI. http://dx.doi.org/10.3917/rma.143.0647zy.

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GOCKO, X. « TU FINIRAS GENERALISTES DANS LA CREUSE ». EXERCER 34, no 191 (1 mars 2022) : 99. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2023.191.99.

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Résumé :
Le 14 février 2023, certains ont fêté l’amour, d’autres ont fait grève. Cette grève a réuni les syndicats dont le Syndicat national des enseignants de médecine générale1, les sociétés savantes à travers le Collège de la médecine générale2, le Collège national des généralistes enseignants3 et même le Conseil national de l’Ordre des médecins. Dans la sémantique syndicale, l est classique d’utiliser les termes « union sacrée » et « tous ensemble ». Les revendications étaient aussi diverses que les fameux « 50 euros » de « Médecins pour demain » et la volonté de pouvoir former des maîtres de stage des universités. Pour une fois, la grève n’était peut-être pas contre quelque chose mais pour quelque chose : la reconnaissance des soins de santé primaires. La littérature scientifique4, les usagers de la santé reconnaissent l’importance des soins de santé primaires, capables de réduire la mortalité liée aux cancers et aux maladies cardiovasculaires, mais pas les tutelles. La médecine générale est la spécialité médicale qui a le plus perdu de médecins actifs entre 2010 et 20225. Comment notre ministère de la Santé et de la Prévention répond-il à la question complexe de cette crise démographique et de ce manque de reconnaissance ? Par une réponse simpliste, apaisant les plus populistes : des obligations, de la permanence de soins, des samedis, des gardes, de la téléconsultation, des objectifs chiffrés d’activité, etc. À aucun moment, il n’est question de sécurité ou de qualité des soins… Que faut-il aux tutelles pour comprendre le rôle des soins de santé primaires ? Les plus utopistes d’entre nous pensaient que l’universitarisation de ces soins – médecine générale, infirmiers en pratique avancée, etc. – allait changer les choses. Si vous ajoutez à l’universitarisation, certes très laborieuse, un ministère qui change de nom et fait de la place à la prévention, les soins de santé primaires se sentaient pousser des ailes. Tous les acteurs des soins de santé primaires, médecins, pharmaciens, infirmiers, par essence acteurs de prévention, étaient à même de diminuer les maladies chroniques cardiovasculaires et cancéreuses et leurs gradients sociaux6. Des champs de recherche multidisciplinaire s’ouvraient, et une autre organisation du système de santé, une autre vision de la santé était possible. Et qu’ont fait les tutelles ? Des mesurettes au relent coercitif et populiste, incapables de répondre aux réels besoins en santé des populations et dénotant au mieux une ignorance crasse, au pire une volonté de favoriser de grands groupes assurantiels. Comment changer les choses ? Probablement en ayant un jour un conseiller ou un ministre acteur de soins de santé primaires, mais là nous rejoignons les utopistes… Malgré le manque de reconnaissance, des acteurs de soins de santé primaires exercent, avec des moyens restreints et pendant de longues années, parfois bien après les 67 ans « de la retraite », faute de successeur. Malgré le manque de reconnaissance, les plus engagés de ces acteurs, dans les sociétés savantes, dans les syndicats, dans la formation se battent depuis de nombreuses années pour l’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins. Pourquoi le font-ils ? Probablement par amour de leur métier. Le 14 février, parmi les acteurs de soins de santé primaires, amoureux et grévistes, les médecins ont dit quelle fierté ils avaient à être généralistes, dans la Creuse ou ailleurs.
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GOCKO, X. « TU FINIRAS GENERALISTES DANS LA CREUSE ». EXERCER 34, no 191 (1 mars 2022) : 99. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2023.190.99.

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Résumé :
« Je sais, je sais, je suis en retard. » Dr Jean-Pierre Werner, à une salle d’attente bondée dans le film Médecin de campagne. Le 14 février 2023, certains ont fêté l’amour, d’autres ont fait grève. Cette grève a réuni les syndicats dont le Syndicat national des enseignants de médecine générale1, les sociétés savantes à travers le Collège de la médecine générale2, le Collège national des généralistes enseignants3 et même le Conseil national de l’Ordre des médecins. Dans la sémantique syndicale, l est classique d’utiliser les termes « union sacrée » et « tous ensemble ». Les revendications étaient aussi diverses que les fameux « 50 euros » de « Médecins pour demain » et la volonté de pouvoir former des maîtres de stage des universités. Pour une fois, la grève n’était peut-être pas contre quelque chose mais pour quelque chose : la reconnaissance des soins de santé primaires. La littérature scientifique4, les usagers de la santé reconnaissent l’importance des soins de santé primaires, capables de réduire la mortalité liée aux cancers et aux maladies cardiovasculaires, mais pas les tutelles. La médecine générale est la spécialité médicale qui a le plus perdu de médecins actifs entre 2010 et 20225. Comment notre ministère de la Santé et de la Prévention répond-il à la question complexe de cette crise démographique et de ce manque de reconnaissance ? Par une réponse simpliste, apaisant les plus populistes : des obligations, de la permanence de soins, des samedis, des gardes, de la téléconsultation, des objectifs chiffrés d’activité, etc. À aucun moment, il n’est question de sécurité ou de qualité des soins… Que faut-il aux tutelles pour comprendre le rôle des soins de santé primaires ? Les plus utopistes d’entre nous pensaient que l’universitarisation de ces soins – médecine générale, infirmiers en pratique avancée, etc. – allait changer les choses. Si vous ajoutez à l’universitarisation, certes très laborieuse, un ministère qui change de nom et fait de la place à la prévention, les soins de santé primaires se sentaient pousser des ailes. Tous les acteurs des soins de santé primaires, médecins, pharmaciens, infirmiers, par essence acteurs de prévention, étaient à même de diminuer les maladies chroniques cardiovasculaires et cancéreuses et leurs gradients sociaux6. Des champs de recherche multidisciplinaire s’ouvraient, et une autre organisation du système de santé, une autre vision de la santé était possible. Et qu’ont fait les tutelles ? Des mesurettes au relent coercitif et populiste, incapables de répondre aux réels besoins en santé des populations et dénotant au mieux une ignorance crasse, au pire une volonté de favoriser de grands groupes assurantiels. Comment changer les choses ? Probablement en ayant un jour un conseiller ou un ministre acteur de soins de santé primaires, mais là nous rejoignons les utopistes… Malgré le manque de reconnaissance, des acteurs de soins de santé primaires exercent, avec des moyens restreints et pendant de longues années, parfois bien après les 67 ans « de la retraite », faute de successeur. Malgré le manque de reconnaissance, les plus engagés de ces acteurs, dans les sociétés savantes, dans les syndicats, dans la formation se battent depuis de nombreuses années pour l’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins. Pourquoi le font-ils ? Probablement par amour de leur métier. Le 14 février, parmi les acteurs de soins de santé primaires, amoureux et grévistes, les médecins ont dit quelle fierté ils avaient à être généralistes, dans la Creuse ou ailleurs.
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Pujante González, Domingo. « Ouverture : Connais-toi toi-même ». HYBRIDA, no 3 (31 décembre 2021) : 3. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.3.22917.

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"Comme Barthes qui pensait que la littérature devait céder la place à l’auto-écriture de tous, je pense que tout le monde devrait faire la même chose : raconter sa vie. Connais-toi toi-même. Mets-toi en forme. Mets-toi en ordre". Dustan, Guillaume (1999). Nicolas Pages (p. 400). Balland. Guillaume Dustan et sa particulière vision de la littérature (« en littérature, soit c’est soi, soit c’est du bidon », Dustan, 1999, p. 384) me permettent de commencer cette Ouverture du troisième numéro de la revue HYBRIDA. Revue scientifique sur les hybridations culturelles et les identités migrantes dont le Dossier central est intitulé SIDA/S – 40 ans. Pour suivre les conseils de Dustan, je vais raconter (un peu) ma vie : en 1994, étant ce que l’on appelle « jeune chercheur », j’ai présenté un projet sur « sida et littérature » qui m’aurait permis d’obtenir une bourse aboutissant à une thèse doctorale. Je n’ai pas eu la bourse et j’ai dû changer de sujet pour candidater à nouveau l’année suivante. J’ai finalement obtenu cette bourse, ce qui m’a permis de commencer ma « carrière » universitaire en 1996. Le fait est que, même si je me suis centré sur le corps dans le discours artistico-littéraire d’avant-garde, notamment dans le théâtre (« panique »), je n’ai jamais quitté ce premier projet et me suis toujours intéressé aux écritures liées à l’expérience de la maladie, et plus concrètement aux « récits de sida », surtout d’écrivains homosexuels ayant pour la plupart disparu à cause de l’épidémie. Le souvenir du congrès Sida y cultura (Sida et culture) à l’Université de Valence en 1997, organisé, il y a 25 ans, par Ana Monleón et Ahmed Haderbache, restera donc toujours comme un moment important dans ma mémoire affective et académique. Je leur serai toujours reconnaissant de m’avoir permis de publier mon premier article de recherche intitulé « Escribir en el apremio » (« Écrire dans l’urgence »). Malheureusement, ce « modeste » volume, qui a même été exposé au Musée d’Art Moderne de Valence (IVAM), n’a pas eu une large diffusion. C’est donc un privilège de pouvoir le rééditer comme Annexe à ce numéro d’HYBRIDA. Nous avons respecté l’édition originale de 1997, même si elle ne répond pas aux normes éditoriales de la revue ni aux critères actuels de « qualité » concernant les publications scientifiques. Le volume est composé d’un bel ensemble de dix-neuf contributions de personnes venues de générations, de formations et d’horizons différents, ce qui a permis une réelle circulation des savoirs et un échange intéressant entre l’activisme et l’Université. Certains d’entre eux nous ont quittés, prématurément. La mort nous surprend toujours. Voici donc toute ma reconnaissance (nunc et semper) à la Professeure de littérature française Elena Real, ma directrice de thèse, qui s’était spécialisée, entre autres, dans l’autobiographie contemporaine, concrètement dans l’écriture des femmes et les thématiques du corps et de la séduction ; et au journaliste et historien de la déportation homosexuelle Jean Le Bitoux, figure emblématique du militantisme en France et fondateur historique, avec d’autres intellectuels et activistes comme Frank Arnal (décédé à 42 ans en 1993) et Jean Stern, du magazine Le Gai Pied dont le premier numéro de 1979 contenait un article de Michel Foucault qui aurait suggéré le nom. Le magazine a été une grande fenêtre ouverte à la liberté d’expression et à l’activisme homosexuel jusqu’à sa disparition en 1992. Il comptait sur la collaboration habituelle d’intellectuel·le·s et d’auteur·e·s comme Jean-Paul Aron, Renaud Camus, Copi, Guy Hocquenghem, Nathalie Magnan, Hugo Marsan ou Yves Navarre, pour n’en citer que quelques-un·e·s. Même Jean-Paul Sartre lui a accordé une interview en 1980. Mais revenons à Sida y Cultura pour ajouter que les approches ont été riches et variées, aussi bien sociologiques que culturelles, sous une perspective historique (en comparant le sida avec d’autres maladies antérieures), du point de vue de l’analyse du discours sur le sida ou de l’analyse concrète d’œuvres et d’auteurs touchés par le sida comme Cyril Collard (mort en 1993 à 35 ans), Copi (mort en 1987 à 48 ans), Pascal de Duve (mort en 1993 à 29 ans), et bien évidemment Hervé Guibert (mort en 1991 à 36 ans). Nous avons eu la chance également de compter sur la collaboration de Juan Vicente Aliaga, critique d’art espagnol réputé, spécialiste en études de genre et LGBT, qui avait publié quelques années auparavant (1993), aux côtés de José Miguel G. Cortés, le premier essai fait en Espagne sur l’art et le sida intitulé De amor y rabia (D’amour et de rage) qui reste un référent important dans ce domaine. Concernant la coordination du Dossier central SIDA/S – 40 ANS, je tiens à remercier sincèrement Didier Lestrade, journaliste, écrivain et militant reconnu, fondateur d’Act Up-Paris, ainsi que du magazine Têtu, possédant une longue trajectoire et une importante production intellectuelle sur l’activisme LGBT. Ses trois derniers essais portent les titres suggestifs de : Minorités. L’essentiel (2014), Le Journal du Sida. Chroniques 1994-2013 (2015), « mon dernier livre sur le sida », affirme-t-il ; et I love Porn (2021), excellent essai qui reprend la forme du témoignage pour retracer une histoire particulière de la sexualité à partir des années 1970 par l’intermédiaire de la pornographie comme instrument politique de contestation. Je remercie également de tout cœur Ahmed Haderbache, traducteur de Guillaume Dustan en espagnol et grand spécialiste de son œuvre, d’avoir accepté de coordonner ce Dossier qui nous a paru nécessaire pour réactiver la mémoire d’une maladie et d’une production artistico-littéraire qui semble lointaine, voire révolue, surtout pour les jeunes générations, mais qui prend toute sa signification dans le contexte pandémique actuel. Ce Dossier, qui débute par un bel Avant-propos de Didier Lestrade intitulé « Sida : une épidémie presque oubliée » et par une Introduction d’Ahmed Haderbache, est composé de sept articles. Il part du fait sociologique et politique pour aborder la production littéraire, en passant par l’analyse filmique et théâtrale. Thierry Schaffauser s’intéresse aux personnes invisibles, voire oubliées, pour nous proposer une pertinente étude sur l’histoire des mobilisations des travailleuses du sexe contre le VIH en France et au Royaume-Uni ; Romain Chareyron fait une riche analyse des images du sida dans le film 120 battements par minute (2017) ; Henry F. Vásquez Sáenz aborde avec précision la pièce Une visite inopportune (1988), ce qui lui permet de restituer et de resituer la figure du dramaturge franco-argentin Copi en tant qu’auteur subversif et engagé, pionnier du théâtre autobiographique lié au sida. Les deux articles suivants, de Daniel Fliege et de l’écrivaine Ariane Bessette respectivement, proposent d’intéressantes analyses littéraires d’œuvres « autobiographiques » d’auteurs « controversés » car défenseurs des rapports sexuels non protégés ou barebacking : Guillaume Dustan (mort en 2005 à 39 ans) et Érik Rémès. Puisque HYBRIDA s’intéresse particulièrement aux contextes francophones ou comparés, nous avons créé une petite section à la fin du Dossier intitulée Autres regards afin de publier deux articles spécialement attirants. Le premier, écrit par Thibault Boulvain dont la thèse doctorale a été publiée en 2021 sous le titre L’art en sida 1981-1997, aborde les dernières années d’Andy Warhol (décédé en 1987) sous la perspective du sida ; le dernier, proposé par Caroline Benedetto, se penche sur les journaux intimes de l’artiste pluridisciplinaire américain David Wojnarowicz (mort en 1992 à 37 ans), en soulignant les influences françaises. Dans la section Mosaïque, où nous publions des études sur les hybridations culturelles et les identités migrantes qui ne correspondent pas à la thématique centrale du Dossier, nous publions trois articles. José Manuel Sánchez Diosdado analyse profondément les récits coloniaux des voyageuses françaises de la première moitié du XXe siècle qui se sont inspirées du Maroc. Feyrouz Soltani aborde le roman Verre Cassé de l’écrivain franco-congolais Alain Mabanckou pour y déceler les traces du métissage linguistique et culturel et, enfin, Rolph Roderick Koumba et Ama Brigitte Kouakou nous présentent la langue française comme instrument positif dans la construction de l’altérité à travers l’analyse des œuvres de l’écrivaine franco-sénégalaise Fatou Diome et de l’écrivaine franco-camerounaise Léonora Miano. La section Traces de la revue HYBRIDA est consacrée à la création littéraire et s’éloigne volontairement de l’esprit d’évaluation en double aveugle, bien que les soumissions soient strictement analysées et révisées par le comité éditorial. Dans ce numéro 3, nous publions quatre textes aussi différents qu’intéressants. Leurs auteur·e·s se sont inspiré·e·s de la thématique du Dossier central autour du sida. Nous avons l’honneur de publier un court récit de l’écrivaine québécoise Catherine Mavrikakis intitulé « Évitons de respirer l’air du temps » qui nous met en alerte par rapport aux préjugés qui perdurent de nos jours concernant le sida. Nous voudrions rappeler au passage que, partant de la pensée de Michel Foucault sur la santé et l’organisation sociale, ses recherches sur les écrits du sida, ainsi que sur les notions de contamination, d’aveu et de souffrance, sont d’une grande importance pour la thématique qui nous occupe. Nous ne pouvons que rester admiratifs face à sa double facette de professeure universitaire et d’écrivaine ; et souligner la force de ses romans « autofictionnels » dont Ce qui restera (2017), L’annexe (2019) et L’absente de tous bouquets (2020), pour n’en citer que les derniers. Ensuite, nous avons deux « témoignages » sincères et touchants. Le premier, intitulé Les spectres d’ACT UP, nous propose un parcours émotionnel et académique autour de l’expérience du sida. Son auteur, David Caron, Professeur à l’Université du Michigan, a fait une importante recherche dans le domaine des études LGBT et concrètement sur le VIH. Il s’est intéressé également aux études sur l’holocauste. Parmi ses dernières publications, nous trouvons The Nearness of Others. Searching for Tact and Contact in the Age of HIV (2014) et Marais gay, Marais juif. Pour une théorie queer de la communauté (2015). Le court et intense « témoignage » de Lydia Vázquez Jimémez (écrit en espagnol) intitulé « Filou, te fuiste demasiado pronto » (« Filou, tu es parti trop tôt ») nous montre la difficulté de l’aveu et de s’exprimer par rapport au sida, en nous dévoilant son expérience intime et douloureuse face au deuil dû à la perte de l’être aimé. Au-delà de sa brillante carrière universitaire en tant que spécialiste dans l’étude de l’érotisme et de la sexualité (notamment au XVIIIe siècle), avec une focalisation particulière sur les femmes et le collectif LGBT, je ne voudrais pas négliger sa facette de traductrice en espagnol de l’œuvre d’auteur·e·s admiré·e·s comme Abdellah Taïa, Annie Ernaux, Jean-Baptiste del Amo, Gabrielle Wittkop ou Fatima Daas, entre autres. En tant qu’auteure, j’aimerais signaler son livre illustré Journal intime (2019). Pour clore cette section de création littéraire et dans le but d’encourager l’écriture des jeunes écrivain·e·s, nous publions en espagnol la pièce inédite de Javier Sanz intitulée Reset. Volver a empezar (Reset. Repartir à zéro). Avec une fraîcheur et une franchise touchantes, la pièce aborde, en 2021, la problématique de l’incommunicabilité et de la difficulté à établir des relations amoureuses sincères, ainsi que la découverte de la séropositivité. Je suis persuadé que ce numéro d’HYBRIDA, 25 ans après Sida et Culture, marquera notre trajectoire en tant que revue universitaire. Il ne me reste qu’à remercier très sincèrement notre excellente équipe d’évaluation qui se nourrit et se diversifie à une grande vitesse grâce aux apports de spécialistes du monde entier. Et un sincère merci à José Luis Iniesta, Directeur Artistique de la revue, pour son investissement et son savoir-faire ; sans lui rien ne serait possible… Je vous propose un prochain rendez-vous pour fin juin 2022 pour le numéro 4 d’HYBRIDA. Salus in periculis
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Mayer, Ariane. « Digital : a love story, de Christine Love ; Intelligence Artificielle et cœur humain à l’épreuve de la littérature numérique ». Imaginaires de l'IA 22 (2024). http://dx.doi.org/10.4000/11tfk.

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Cet article explore l’imaginaire de la romance entre un humain et une intelligence artificielle à travers un exemple original, emprunté à la littérature nativement numérique. Dans sa nouvelle interactive de 2010, Digital, a love story, l’autrice canadienne Christine Love invente une intrigue amoureuse mêlée d’une enquête policière dans les labyrinthes du cyberespace dont l’un des protagonistes, *Emilia, est une IA qui apparaît puis disparaît mystérieusement sur les BBS, ces Bulletin Board Systems qui ont précédé les forums et autres espaces de messagerie tout au long des années 1980. Notre objectif est d’analyser de quelle manière Christine Love revisite le motif très codifié de l’amour homme-machine à l’aune des spécificités de son médium d’écriture. En effet, tout en s’inscrivant dans un dense réseau intertextuel truffé de clins d’œil à l’œuvre de William Gibson et au rétrogaming, Digital, a love story propose une réinterprétation très contemporaine de ce topos narratif grâce à son interface interactive et immersive, sa mise en avant d’un féminisme cyberpunk et le trouble qu’elle jette sur le genre de la protagoniste *Emilia, ouvrant la voie à une lecture queer de la romance avec une IA.
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Fonseca, Nicole de Queiroz Lima, et Bruno Quintino de Oliveira. « Liaison traumatique : concepts, causes et mécanismes dans les relations intimes ». Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento, 16 novembre 2021, 60–78. http://dx.doi.org/10.32749/nucleodoconhecimento.com.br/psychologie-fr/liaison-traumatique.

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Lorsque, après un incident violent, des liens émotionnels forts sont établis afin de connecter deux personnes, il y a l’installation d’un traumatisme appelé par la littérature comme un liaison traumatique. C’est une dépendance émotionnelle entre deux personnes, dans une relation caractérisée par des périodes d’abus, de violence et de déséquilibre de pouvoir, avec des liens de connexion intense, de distorsion cognitive et de stratégies comportementales des deux individus qui renforcent et maintiennent paradoxalement le lien, ce qui se reflète dans le cercle vicieux de la violence. Cependant, il y a un manque de littérature et de recherche scientifique sur le sujet au Brésil, ce qui souligne la nécessité d’une étude affinée et approfondie, car les causes et les effets du liaison traumatique ne sont pas encore exactement clairs, ce qui rend la compréhension et le traitement des individus, ainsi que leur rétablissement, un processus lent et douloureux. Ainsi, cette recherche est guidée par la question : qu’est-ce qu’un liaison traumatique et quels sont ses mécanismes ? Ainsi, il a été défini comme l’objectif général d’analyser le liaison traumatique dans les relations amoureuses, afin de donner naissance aux processus neuropsychobiologiques de traumatisme générés dans les relations intimes et d’étudier les raisons pour lesquelles les victimes restent dans des relations pathologiques, nous aborderons également le fonctionnement du syndrome de Stockholm et le stress post-traumatique chez les victimes d’abus dans les relations amoureuses en tant que facteurs générant un liaison traumatique. Pour la contextualisation, la problématisation et la validation du cadre théorique utilisé dans la recherche entreprise, la méthodologie utilisée était la revue de littérature ou la revue bibliographique, à partir de la lecture, de la sélection et de l’analyse de textes de différents genres, tels que des documents, des revues et des articles scientifiques liés au sujet et qui ont été publiés dans des revues et des journaux de la région. Il a été conclu que plusieurs facteurs émotionnels et neuropsychobiologiques sont la cause du liaison traumatique à établir au sein d’une relation.
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Levasseur, Jean. « La poésie humoristique : Rémi Tremblay et les relations amoureuses au XIXe siècle canadien ». @nalyses. Revue des littératures franco-canadiennes et québécoise, 1 mai 2006. http://dx.doi.org/10.18192/analyses.v1i2.455.

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Résumé :
L’étude du XIXe siècle littéraire canadien-français s’est traditionnellement effectuée sur des bases critiques presque entièrement tournées vers l’Hexagone. Avec, comme toile de fond, les théories sur la littérature de l’exiguïté de Bourdieu, Casanova, Dubois, Paré, Biron, etc., l’auteur se penche ici sur les chansons et poèmes d’un important journaliste et écrivain canadien-français et franco-américain du XIXe siècle, aujourd’hui oublié, Rémi Tremblay (1847-1926). Par l’examen de sa vision de la femme et des relations amoureuses, il fait ressortir le caractère primordial de cette poésie plus populaire pour les connaissances scientifiques, qui fait revivre des aspects de l’histoire que l’Histoire a trop souvent oubliés.AbstractThe study of nineteenth-century French-Canadian literature has traditionally been based on critical texts and philosophies almost wholly inspired by French theoretical works. Theories on littérature de l'exiguïté (literature of the margins) by Bourdieu, Casanova, Dubois, Paré, Biron and several others make up the scholarly background which the author relies on to focus on the songs and poems written by Rémi Tremblay (1847-1926), an important French-Canadian and Franco-American journalist of the nineteenth century, practically unknown today. By examining Tremblay's portrayal of women and of romantic relationships, the author brings to light the essential contribution to scientific knowledge of this popular poet, whose works serve to remind us of certain aspects of our history too often forgotten.
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Foerster, Maxime. « Différence des sexes et désordre amoureux dans la littérature romantique française ». Itinéraires, no 2014-2 (17 juillet 2015). http://dx.doi.org/10.4000/itineraires.2455.

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Luneau, Marie-Pier, et Jean-Philippe Warren. « Une littérature qui refuse de se laisser parler d’amour ? Les romans québécois et l’expression de la passion avant 1960 ». Captures 7, no 1 (22 août 2022). http://dx.doi.org/10.7202/1091535ar.

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Résumé :
Plusieurs critiques ont constaté l’absence de « grand roman d’amour » dans le corpus québécois avant les années 1960. En mettant en dialogue le roman sentimental paralittéraire et quelques oeuvres aujourd’hui considérées comme des « classiques », nous souhaitons montrer que, dans la période qui précède la Révolution tranquille, le triomphe ou l’échec de l’amour importe moins que la représentation des conditions du bonheur amoureux, conditions que nous examinons en nous concentrant sur le point de vue de l’héroïne.
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Dockx, Justine. « Conteurs, soufflez ! Variations entre écoute et lecture silencieuse ». Mosaïque, no 14 (7 avril 2017). http://dx.doi.org/10.54563/mosaique.2128.

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Résumé :
Cet article cherche à démontrer que la mise en prose par David Aubert, au XVe siècle, de la chanson de geste consacrée au personnage épique Anseÿs de Gascogne s’inscrit dans une période charnière où la littérature épique passe de l’exclusive oralité à l’écrit pour l’écrit. Si les traces d’oralité sont irréfutables et omniprésentes tout au long du récit, nous constatons à la lumière du manuscrit que le texte est aussi pensé pour l’œil. Le commanditaire, le duc de Bourgogne Philippe le Bon, était d’ailleurs un grand lettré, amoureux des livres. Ainsi, le copiste ne lèse ni les auditeurs ni les lecteurs. Ce manuscrit est, par ailleurs, un témoin de l’apparition des signes graphiques permettant de ponctuer, car on voit le système se mettre en place au sein même de l’élaboration du récit.
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Djenane, Amina. « Symbolique anthroponymique des figures féminines dans l’œuvre de Habib Tengour ». Multilinguales 21 (2024). http://dx.doi.org/10.4000/126rg.

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Résumé :
Nous analysons dans ce présent article, la symbolique onomastique de quelques figures féminines importantes dans l’œuvre de l’écrivain algérien Habib Tengour, à travers l’étude des choix des prénoms des personnages féminins représentants des figures plus ou moins stéréotypées, notamment dans la littérature algérienne. La femme chez Habib Tengour, incarne, l’image de l’amante ou de l’épouse, ou une fusion entre les deux, elle peut aussi représenter le stéréotype de la séductrice, qui exalte les atouts féminins naturels et sophistiqués de la femme. Les figures féminines incarnent également, à travers leurs prénoms choisis intentionnellement pour représenter des symboliques littéraires et poétiques, relatifs à la terre patrie et aux points d’attaches de l’auteur à ses racines, directement ou à travers ses personnages masculins. Les personnages féminins à travers leurs prénoms et la nature de leurs relations avec leurs amants et amoureux, peuvent aussi, symboliser certaines tendances idéologiques ou conflits culturels.
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Gomez, Leticia. « Les deux amoureux par G. Tibo ». Deakin Review of Children's Literature 4, no 1 (22 juillet 2014). http://dx.doi.org/10.20361/g2003s.

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Résumé :
Tibo, Gilles. Les deux amoureux. Soulières Éditeur. Collection : ma petite vache à mal aux pattes. Saint-Lambert (Québec), 2014. Imprimé.Les deux amoureux est le dernier roman jeunesse de Gilles Tibo qui s’est inspiré de sa propre enfance pour écrire ce petit ouvrage de quarante-six pages aux illustrations très réalistes. Gilles Tibo est un auteur productif qui a déjà quatorze romans à son actif. C’est un écrivain à succès dont sept de ses livres ont été traduits en coréen et dont trois sont maintenant épuisés, signe incontesté de son talent.Claire et Gilou sont deux jeunes écoliers qui tombent amoureux l’un de l’autre à la récréation. L’amour va les rendre plus fort, notamment envers les adultes qui ne semblent pas comprendre l’intensité des sentiments partagés par ces deux élèves. Peu importe ce que les grandes personnes en pensent, Claire et Gilou ont décidé de ne pas se lâcher la main et de tout faire ensemble; ce qui ne va pas être sans conséquence.Leur histoire d’amour commence dans la cours de récréation alors que tout le monde jouait. Soudain, comme par miracle, les yeux de Claire rencontrèrent ceux de Gilou et le coup de foudre fût instantané. L’amour les tétanise et les empêche même de retourner en classe lorsque la cloche sonne. Ils sont donc envoyés chez monsieur le directeur qui tente de leur faire entendre raison. Mais c’est peine perdu, les deux amoureux n’ont que faire du discours des adultes. À bout de patience, le directeur fait appel à l’orthopédagogue qui à son tour fait appel au professeur de gym. Mais aucun d’eux n’arrivent à convaincre les tourtereaux de se lâcher la main, ni même leurs parents qui finissent par perdre patience.L’histoire d’amour entre ces deux jeunes enfants parait peu réaliste du fait de l’intensité du coup de foudre. Il semblerait que la romance du Claire et Gilou soit plutôt de l’ordre du symbolique mais elle n’en demeure pas moins poignante. En effet, Claire et Gilou peuvent se comprendre sans même se parler, indice d’une maturité émotionnelle hors du commun voire même surnaturelle. L’histoire d’amour racontée dans ce roman jeunesse, fait sans aucun doute réfléchir sur la force et le pouvoir du sentiment amoureux chez les enfants. Il nous montre que l’amour est un sentiment universel qui n’est pas uniquement réservé aux adultes, bien au contraire. L’histoire est racontée pour la plus part par un narrateur externe, dans un français standard, facilement compréhensible pour les enfants âgés d’au moins six ans. La présence de courts dialogues vient animer ce petit livre que je recommande à tous les parents dont les enfants, garçons et filles, seront un jour ou l’autre amoureux.Note : 3 étoilesAuteur de la critique : Leticia GomezLeticia étudie au Campus Saint-Jean depuis deux ans où elle effectue un baccalauréat en éducation secondaire avec une majeure en littérature. Elle écrit également des critiques littéraires pour le Franco, un journal francophone local.
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Boulègue, Laurence. « La place de la femme et la question du mariage dans la réflexion sur l’amour et les femmes du début du Cinquecento ». Varia, no 10 (1 janvier 2020). http://dx.doi.org/10.54563/eugesta.289.

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Au tout début du Cinquecento italien, le De mulieribus (1501) de Mario Equicola offre une défense des femmes fondée non seulement sur l’opposition, répandue chez les humanistes, aux thèses misogynes héritées de la tradition médicale antique et médiévale, mais sur une critique vive de la société patriarcale et de la soumission des femmes, en particulier au sein de l’institution du mariage. Ce thème apparaît comme un critère intéressant pour évaluer les thèses sur la condition féminine à une époque où les femmes sont particulièrement représentées dans la nouvelle littérature d’amour et de cour. Expression maximale du renouveau du débat sur la question féminine, l’ouvrage d’Equicola reste cependant une exception au sein des traités et des dialogues italiens qui fleurissent alors, bien que le modèle philosophique de la réflexion sur les rapports amoureux, remis à l’honneur par Marsile Ficin dans le Commentaire sur le Banquet de Platon (1469), soit peu à peu effacé au profit d’une célébration du couple hétérosexuel et du mariage conçu idéalement comme le lieu harmonieux d’un partenariat entre les époux. Cet article se propose d’étudier les principaux témoins de cette évolution non rectiligne dans les premières années du xvie siècle en Italie de façon à mettre en perspective la singularité du De mulieribus de Mario Equicola.
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Goff, Myriam White-Le. « Anna Kukulka-Wojtasik, La Dame et l’amour au Moyen Âge. Symbolique du portrait amoureux dans la littérature courtoise du XIIe siècle ». Cahiers de recherches médiévales et humanistes, 24 novembre 2008. http://dx.doi.org/10.4000/crm.10613.

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Subbotina, Galina. « Natalia Golovkina and Franco-Russian cultural mediation : The destiny of a women’s epistolary novel in nineteenth-century Russian literature ». Slovo Unlabeled volume (18 septembre 2024). http://dx.doi.org/10.46298/slovo.2024.14293.

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Résumé :
It is generally admitted that the epistolary novel genre does not exist in Russian romantic and pre-romantic literature. As the exception to prove the rule, the novel The Letters of Ernest and Doravra (1766) by Fyodor Emin, an emigrant of uncertain origin who arrived in Russia in 1761, is sometimes mentioned. Natalia Golovkina’s Elisabeth de S***, or the History of a Russian girl narrated by one of her compatriots , which appeared in its original French version in Paris in 1802 and in Russian in Moscow in 1803-1804, is cited even more rarely and always as an example of a weak or insignificant work. In the context of the recent revaluation of the place of women in Russian literary history, this opinion hardly seems justified. Among the Russian fiction of the 1800s, Golovkina’s novel stands out for its innovative character. First, Elisabeth de S*** is an original example of Franco-Russian cultural mediation: the writer created a novel about Russian life based on French (and European) literary models and published it in two different countries. Golovkina’s work is also characterized by an interest in the psychology of her characters and in the evolution of love. Finally, it is a vast novel (some 600 pages), remarkable for its complex plot and the number of characters. In paying tribute to this unjustly forgotten writer, we will seek to understand why her work did not become part of the Russian literary canon. Il est généralement admis que le genre du roman épistolaire n’existe pas dans la littérature romantique et préromantique russe. Comme l’exception qui confirme la règle, on évoque parfois le roman Les Lettres d’Ernest et de Doravra (1766) de Fiodor Emine, un émigré d’origine incertaine arrivé en Russie en 1761. Le roman de Natalia Golovkina Elisabeth de S***, ou L’Histoire d’une Russe publiée par une de ses compatriotes , qui paraît dans sa version originale française à Paris en 1802 et en russe à Moscou en 1803-1804, est cité encore plus rarement et toujours en tant qu’exemple d’œuvres faibles ou insignifiantes. Dans le contexte de la réévaluation récente de la place des femmes dans l’histoire littéraire russe, cette critique semble peu justifiée. Parmi les œuvres russes de la première décennie du XIXe siècle, le roman de Golovkina se distingue par son caractère novateur. Tout d’abord, Elisabeth de S*** est un exemple original de médiation culturelle franco-russe : l’écrivaine crée un roman consacré à la vie russe d’après les modèles littéraires français (et européens) et elle le publie dans deux pays différents. L’œuvre de Golovkina se caractérise, ensuite, par l’intérêt pour la psychologie des personnages et pour les sentiments amoureux. Enfin, c’est un roman d’envergure (quelque 600 pages) remarquable pour son intrigue complexe ainsi que pour un personnel romanesque important. En rendant hommage à l’écrivaine injustement oubliée, nous chercherons à comprendre pourquoi son œuvre n’a pas été intégrée dans le canon littéraire russe. Общепризнанно, что в русской романтической и преромантической литературе жанр романа в письмах не получил распространения. В качестве исключения, подтверждающего правило, упоминают иногда роман «Письма Эрнеста и Доравры» Федора Эмина, эмигранта, приехавшего в Россию в 1761 году, чье происхождение в настоящее время точно не установлено. Роман Натальи Головкиной «Елизавета из С***, или История одной россиянки, рассказанная её соотечественницей», опубликованный на французском языке в Париже в 1802 и на русском языке в Москве в 1803-1804 годах, упоминается ещё реже, и всегда в качестве примера произведений слабых и незначительных. В контексте недавней переоценки места женского творчества в истории русской литературы такая критика кажется малообоснованной. Среди произведений первого десятилетия XIX века роман Головкиной выделяется скорее своим новаторским характером, чем недостатками. В первую очередь, он является примером культурной медиации, поскольку писательница создает роман, рассказывающий о жизни в России, опираясь на французские (европейские) литературные модели, и публикует его в двух странах. Произведение также характеризуется интересом к психологии персонажей и к эволюции любовного чувства. Наконец, роман отличается своими размерами (около 600 страниц), замысловатой интригой, а также сложной системой персонажей. Отдавая дань уважения незаслуженно забытой писательнице, мы пытаемся ответить на вопрос, почему её роман не вошёл в русский литературный канон.
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Després, Isabelle. « La déconstruction du stéréotype de la vieillesse dans l’œuvre de Vladimir Makanin ». Modernités russes, no 22 (12 juin 2024). http://dx.doi.org/10.35562/modernites-russes.819.

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Résumé :
Vladimir Makanin (1937-2017) est le représentant d’un nouveau réalisme littéraire. Dans ses récits et romans, il revient constamment sur certains thèmes et motifs, de sorte que l’on peut parler d’un métatexte. Un de ces motifs récurrents est celui de la vieillesse. La figure du vieillard est communément associée, sur le plan sémantique, à la faiblesse, la maladie et l’approche de la mort, par opposition à celle de l’homme jeune qui, particulièrement dans le mythe soviétique, est beau, fort, travailleur et joyeux. Le métatexte de Makanin déconstruit le stéréotype qui ressort des associations langagières communes, tout d’abord par l’érotisation des corps des vieux (dans Les Voix), puis par une réflexion sur le tragique de la perte du pouvoir (politique autant que sexuel), sur la responsabilité et la culpabilité, sur le renoncement (dans La guerre d’un jour). Enfin, Makanin construit dans La frayeur un personnage qui s’inscrit dans la lignée du « petit homme » de la littérature russe, celui du vieillard Alabin. Cet alter ego de l’auteur est considéré par la société comme « inadéquat », c’est à dire inapte et marginal, mais l’auteur combine ce regard extérieur avec le point de vue du personnage lui-même, qui ne cesse de manifester son désir érotique, son énergie vitale, sa capacité d’agir et sa liberté. Ainsi, s’écartant des canon moderniste et réaliste, Makanin interroge et retourne les associations traditionnelles de la vieillesse avec la solitude, la faiblesse, l’incapacité et la folie et en propose plusieurs regards, parfois contradictoires. N’hésitant pas à bousculer le lecteur, il l’invite à un décentrement et à une remise en question, en lui offrant la figure originale, paradoxale et dérangeante d’un vieillard érotomane, libéré, impliqué, et amoureux de la vie.
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