Articles de revues sur le sujet « Langue des signes – Cinéma »

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1

Leduc, Véro. « Est-Ce Vraiment une Bande Dessinée ? Langues des Signes, Déconstruction et Intermédialité ». Canadian Journal of Disability Studies 8, no 1 (21 février 2019) : 58–97. http://dx.doi.org/10.15353/cjds.v8i1.471.

Texte intégral
Résumé :
La bande dessinée est un medium pensé en 2D et souvent déployé sur papier (Falardeau, 2008). Comment en créer une en langue des signes québécoise (LSQ), cette langue tridimensionnelle (3D) dont la vidéo s’avère la meilleure forme d’écriture ? Une bande dessinée vidéo… est-ce encore une BD ? C’est tombé dans l’oreille d’une Sourde est une bande dessignée, néologisme créé pour désigner cette bande dessinée bilingue vidéographiée en langue des signes québécoise (LSQ) et en français. Produite à partir d’extraits de rencontres avec des personnes sourdes et des membres de ma famille entendante réalisées dans le cadre de ma thèse de recherche-création, elle propose diverses réflexions sur la sourditude (Ladd, 2005), ce concept qui englobe les diverses manières de vivre comme personnes sourdes et de réfléchir aux enjeux que cela soulève. Chassé-croisé entre écriture créative en français, citations thématiques en LSQ et extraits de ma thèse inédite, cette contribution propose une réflexion, dans une posture de déconstruction, sur la création signée (en langues des signes) et l’intermédialité, en prenant comme site particulier la production d’une BD en LSQ, une création aux confins de la bande dessinée, de la littérature et du cinéma. L’article aborde notamment un survol des systèmes d’écriture en langue des signes, une réflexion sur la déconstruction de la bande dessinée entendante et une exploration de l’intermédialité comme site d’agentivité. Si « l’écriture est la condition de l’epistémè » (Derrida, 1967), la recherche-création à travers les médias numériques favorise cette écriture signée nécessaire à la création de savoirs et de productions culturelles en langues des signes.
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2

Cellura, Thaïs. « Être aesh pour un étudiant sourd ». Empan 132, no 4 (14 décembre 2023) : 50–57. http://dx.doi.org/10.3917/empa.132.0050.

Texte intégral
Résumé :
Un aesh doit s’adapter à l’étudiant ou l’enfant qu’il accompagne. Comment faire lorsque l’étudiant accompagné ne parle pas la même langue que ses professeurs et camarades ? Les étudiants sourds sont dans cette situation et nous soulignons ici l’importance de recruter des aesh connaissant la langue des signes et la culture sourde pour accompagner les Sourds. Spécialisée en langue des signes, j’ai accompagné un étudiant sourd en master de cinéma et témoigne de la nécessité de ma présence à ses côtés comme de l’absence de formation pour devenir aesh .
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3

Gendrot, Monique. « Langue des signes et administration de la justice : le cas des Seychelles ». MOARA – Revista Eletrônica do Programa de Pós-Graduação em Letras ISSN : 0104-0944 1, no 45 (2 septembre 2016) : 159. http://dx.doi.org/10.18542/moara.v1i45.3714.

Texte intégral
Résumé :
Jusqu’en 2013-2014, les Seychelles sont un pays où aucun citoyen sourd ne pouvait être poursuivi ou poursuivre en justice, faute d’une accessibilité en langue des signes. L’article montre comment, sous l’impulsion d’un programme des Nations-Unies, s’est mise en œuvre la formation puis la constitution d’une équipe mixte interprètes langues vocales du pays/langue des signes seychelloise et médiateurs sourds. Il s’attache à exposer les problématiques rencontrées, dont entre autres une langue des signes en danger, non encore renseignée via un dictionnaire qui lui permette d’être reconnue, puis décline les solutions et les stratégies développées afin de les contourner, pour ensuite conclure sur les objectifs atteints.MOTS-CLÉ: Justice. Interprète. Langue de Signes. Seychelles. Médiateur sourd. Schématisation.
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4

Lavoie, Charlen, et Suzanne Villeneuve. « Acquisition du lieu d’articulation en langue des signes québécoise chez trois enfants sourds : étude de cas ». Revue québécoise de linguistique 28, no 2 (30 avril 2009) : 99–125. http://dx.doi.org/10.7202/603200ar.

Texte intégral
Résumé :
RÉSUMÉ Cette étude est la première en acquisition du lieu d’articulation en langue des signes québécoise (LSQ). Il existe peu de recherches sur le sujet en langues signées : Frishberg 1975 ainsi que Siedlecki et Bonvillian 1993 pour la langue des signes américaine, et Takkinen 1994 pour la langue des signes finlandaise. Notre objectif est d’observer les manifestations de la maturation linguistique de trois garçons sourds profonds de naissance enregistrés à un an d’intervalle (à trois et à quatre ans). Les lieux d’articulation de 3 386 signes ont été divisés en classes, et nous tenterons d’expliquer les lieux les moins réussis par des contraintes perceptuelles, articulatoires ou linguistiques.
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5

Séro-Guillaume, Philippe. « La langue des signes française (LSF) ». Meta 42, no 3 (30 septembre 2002) : 487–501. http://dx.doi.org/10.7202/002984ar.

Texte intégral
Résumé :
Résumé La langue des signes française (LSF) présente, sur le plan du lexique et de la rhétorique, des caractères inhérents aux langues non écrites parlées par de petites communautés. Par ailleurs, les sourds ont également élaboré leur idiome à partir des moyens de communication offerts par l'environnement entendant. Si la majorité des signes ont été élaborés à partir des procédés relevant de l'imitation, l'utilisation de l'espace et la séquentialité des signes ont une motivation sémantique. La motivation visuelle des signifiants manuels n'est pas plus présente à l'esprit des locuteurs de la LSF qu'elle ne l'est chez les locuteurs des langues dites naturelles. La langue des signes permet d'exprimer toutes les opérations mentales qui caractérisent !' intelligence adulte.
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Cuxac, Christian. « Apprendre une langue des signes ». MOARA – Revista Eletrônica do Programa de Pós-Graduação em Letras ISSN : 0104-0944 1, no 45 (2 septembre 2016) : 05. http://dx.doi.org/10.18542/moara.v1i45.3703.

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Monteillard, Nathalie. « La langue des signes internationale ». Acquisition et interaction en langue étrangère, no 15 (2 décembre 2001) : 97–115. http://dx.doi.org/10.4000/aile.1347.

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8

Gendrot, Monique, et Alain Gebert. « Missions en faveur de la protection des Langues des Signes en danger dans la région de l’Océan Indien : la Langue des Signes Mauricienne (République de Maurice) et de la Langue des Signes Seychelloise (République des Seychelles), en lien avec le Pôle LSF de l’INJS de Paris ». MOARA – Revista Eletrônica do Programa de Pós-Graduação em Letras ISSN : 0104-0944 1, no 45 (2 septembre 2016) : 46. http://dx.doi.org/10.18542/moara.v1i45.3706.

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Résumé :
Le 4 Mai 2006, la publication du premier tome du Dictionnaire de la Langue des Signes Mauricienne (MSL) était officiellement lancée par son Hon. S.Bappoo, Ministre de la Sécurité Sociale à l’Ile Maurice. Le 17 Mars 2007, le premier Journal Télévisé Hebdomadaire en MSL interprété par des présentatrices Sourdes voyait le jour sur les chaînes nationales mauriciennes de la Mauritius Broadcasting Corporation. Ces deux évènements majeurs ont participé à la reconnaissance officielle de la MSL par le gouvernement mauricien d’abord, puis par l’ONU. Ils ont été réalisés dans le cadre d’une convention signée entre le gouvernement mauricien, l’INJS de Paris, l’Ambassade de France à Maurice et l’Université de Düsseldorf pour le Développement de la Langue des Signes Mauricienne et ce, pour une durée de 3 ans, de 2005 à 2007. Ce projet œuvrait en conformité avec les Règles des Nations Unies portant sur l’Egalisation des Chances pour les Personnes Handicapées. MOTS-CLÉ: Dictionnaire de langue des signes. Langue en danger. Langue des signes mauricienne et seychelloise. Accessibilité TV. Schématisation.
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Van Herreweghe, Mieke, et Marijke Van Nuffel. « Sign (Language) Interpreting in Flanders, Belgium ». Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 45, no 4 (31 décembre 1999) : 318–44. http://dx.doi.org/10.1075/babel.45.4.05van.

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Résumé :
Abstract In this article the authors give an overview of sign language interpretation in Flanders, Belgium. After a short introduction on Flanders and its linguistic situation, the authors spend some time discussing sign language in Flanders from a historical perspective and discussing its current situation and especially outside influences on Flemish-Belgian Sign Language. The next chapter concentrates on the training of sign language interpreters. There are two training programmes in Flanders, both evening courses at post-secondary/higher education level. Both programmes are relatively new and are thus facing a number of problems still. Both programmes are moving away from teaching Signed Dutch to teaching Flemish-Belgian Sign Language, but do not have any pedagogically or methodologically trained teachers (whether hearing or Deaf), do not have sufficient materials to work with and can only rely on the limited amount of sign language research that has been done in Flanders during the last decade. Another problem concerns the choice of the signs themselves (regional signs or "unified" signs?). Nevertheless, both programmes are attracting more and more students. In the last chapter the authors concentrate on the field of sign language interpreting in Flanders. Attention is paid to the development of the profession of sign language interpreting, the central interpreting agency, the profile of the sign language interpreter in Flanders, the language of the interpreter, the financial situation and their working conditions. Finally, the authors briefly focus on the issue from the deaf consumer's point of view. Résumé Dans cet article les auteurs donnent un aperçu de l'interprétation en langue des signes en Flandre, Belgique. Après une brève introduction sur la Flandre et sa situation linguistique, les auteurs en viennent à la discussion de la langue des signes en Flandre d'un point de vue historique et décrivent sa situation actuelle et plus particulièrement les influences extérieures sur la langue des signes flamande-belge. Le chapitre suivant traite de la formation des interprètes de la langue des signes. Il existe deux programmes de formation en Flandre, enseignés sous forme de cours du soir au niveau post-secondaire/enseignement supérieur. Les deux programmes sont relativement récents et sont donc encore confrontés à quelques problèmes. Les deux programmes remplacent l'apprentissage du néerlandais signé par l'apprentissage de la langue des signes flamande-belge, mais ils ne disposent ni de professeurs (Sourds ou non) qualifiés au niveau pédagogique ou méthodologique, ni du matériel suffisant. Ils peuvent uniquement compter sur un nombre limité de recherches faites sur la langue des signes en Flandre durant la dernière décennie. Un autre problème relève du choix des signes mêmes (signes régionaux ou "uniformisés"?). Néanmoins, les deux programmes attirent de plus en plus d'étudiants. Dans le dernier chapitre, les auteurs se concentrent sur le domaine de l'interprétation de la langue des signes en Flandre. Une attention est prêtée au développement de la profession de l'interprétation de la langue des signes, au service central pour interprètes, au profil de l'interprète de la langue des signes en Flandre, au langage de l'interprète, sa situation financière et ses conditions de travail. Pour terminer, les auteurs examinent brièvement le point de vue du consommateur sourd.
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Nilsson, Anna-Lena. « Sign Language Interpreting in Sweden ». Meta 42, no 3 (30 septembre 2002) : 550–54. http://dx.doi.org/10.7202/003738ar.

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Résumé :
Résumé Cet article évoque certaines des ressemblances et des différences qui caractérisent l'exercice effectué par les interprètes en langue des signes et par les interprètes en langues orales. Il se termine par un bref historique de l'évolution des services d'interprétation en langue des signes en Suède et donne un aperçu de la situation actuelle.
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Sennikova, Yana, et Brigitte Garcia. « Statut et rôle des composants sublexicaux dans la structuration du lexique en langue des signes française (LSF) ». Tendances actuelles en morphologie, no 23 (1 décembre 2018) : 131–59. http://dx.doi.org/10.54563/lexique.923.

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Résumé :
Nous abordons la question d’une description de la structure du lexique en langue des signes française (la LSF), langue sans forme écrite propre, au-delà de la représentation réductrice qu’en donnent les « dictionnaires » de cette langue, dont les entrées sont, depuis l’origine, des mots du français écrit. Notre hypothèse, par ailleurs récurrente dans une partie de la littérature linguistique sur les langues des signes, est que les composants sublexicaux, classiquement considérés comme phonémiques, sont en fait porteurs de sens de manière régulière en LSF, le lexique de cette langue ne se limitant pas à la liste des « signes-mots ». Nous présentons les premiers résultats d’études en cours fondées sur l’analyse croisée d’un corpus dictionnairique et de deux corpus de discours métalinguistiques de locuteurs sourds de LSF. Corroborant nos hypothèses, ils convergent dans le sens d’une structuration fine du lexique de la LSF en familles de signes articulées sur un noyau forme-sens sublexical constitué d’un, deux ou trois composants paramétriques. L’identification de ces composants et/ou associations de composants sublexicaux sur l’ensemble du lexique de la LSF est l’une de nos perspectives de longue haleine, de même que la théorisation de leur statut linguistique, notamment en termes morphologiques.
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Schmitt, Pierre. « Une langue en situation de handicap ». Emulations - Revue de sciences sociales, no 8 (10 septembre 2018) : 57–70. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.008.003.

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Résumé :
La langue des signes est aujourd’hui reconnue en France au sein d’une loi dite sur le handicap. Victoire pour certains, impasse pour d’autres, la diversité de ses inter-prétations nous invite à réfléchir aux conditions de la catégorisation de la surdité comme handicap afin de mieux comprendre pourquoi les sourds la refusent, et pourquoi l’institutionnalisation de liens entre langue des signes et handicap est inquiétante. En premier lieu, à la recherche de discours et mobilisations ayant contribué à l’émergence d’une telle législation, nous prêterons attention au tournant initié par les « disability studies » puis à l’état des lieux de l’agenda politique du « réveil sourd ». Nous poursuivrons en exposant la stigmatisation de la langue des signes qui caractérise selon nous la loi, ce qui nous amènera à discuter la position du chercheur « militant » ainsi que les relations entre le politique, le social et la recherche.
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Vanbrugghe, Anne. « La langue des signes française, langue du monde, langue de la République ? » Raison présente N° 221, no 1 (5 avril 2022) : 45–54. http://dx.doi.org/10.3917/rpre.221.0045.

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Dunant-Sauvin, Claire, et Jean-François Chavaillaz. « bilinguisme particulier : français/langue des signes ». Travaux neuchâtelois de linguistique, no 19 (1 mars 1993) : 61–78. http://dx.doi.org/10.26034/tranel.1993.2344.

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Le Corre, Geneviève. « La langue des signes française (LSF) ». Enfance 59, no 3 (2007) : 228. http://dx.doi.org/10.3917/enf.593.0228.

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De Vriendt-De Man, Marie-Jeanne, et Séra De Vriendt. « L 'interprétation en langue des signes ». Équivalences 27, no 2 (1999) : 81–88. http://dx.doi.org/10.3406/equiv.1999.1216.

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Virole, Benoît. « La langue des signes des sourds ». Les Lettres de la SPF N° 40, no 2 (3 décembre 2018) : 195–204. http://dx.doi.org/10.3917/lspf.040.0195.

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Ethis, Emmanuel. « Cannes, un festival des signes de l’identité spectatorielle ». Protée 31, no 2 (9 août 2004) : 37–46. http://dx.doi.org/10.7202/008752ar.

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Résumé :
Résumé Le Festival de Cannes est, depuis plus de 50 ans, l’une des plus importantes manifestations consacrées au cinéma. Si son accès semble limité aux « professionnels de la profession », il existe néanmoins des spectateurs qui parviennent à franchir certaines barrières pour participer pleinement à la production du sens du festival. Ceux-ci tentent à travers une multiplicité d’attitudes d’accéder au temple du cinéma. Partant des expériences cannoises de ces spectateurs, on peut décrire un ensemble de tactiques et de stratégies, révélatrices de l’identité spectatorielle saisie dans les signes qui la conforment.
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Gaucher, Charles. « Les Sourds ne gesticulent pas, ils « signent » ». Anthropologie et Sociétés 36, no 3 (19 février 2013) : 153–70. http://dx.doi.org/10.7202/1014170ar.

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Résumé :
Réfléchir sur la spécificité langagière sourde et au sentiment identitaire qui l’accompagne, c’est d’abord et avant tout interroger le sens commun qui veut que les Sourds gesticulent pour communiquer. Pourtant, les Sourds ont une langue qui ne se résume pas à un ensemble de mouvements substituant le geste à la parole ou à des adaptations de l’oralité à la gestualité. En fait, cette différence linguistique est plurielle : il existe des langues, qui véhiculent et sont véhiculées par autant de communautés identitaires sourdes. Le rapport des Sourds à ces langues se fait à travers une rhétorique ancrant paradoxalement la différence langagière sourde dans une caractéristique qui serait naturelle aux Sourds, une sorte d’inclination spontanée ramenant bien souvent la langue des signes à des gestes quasi instinctifs et souvent conçus comme innés. La langue des signes serait en quelque sorte une essence qui relie les Sourds entre eux. Le présent article propose d’explorer trois axes d’interprétation du lien entre langues des signes et corps sourds.
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Cuxac, Christian. « Langue et langage : un apport critique de la langue des signes française [La langue des signes est-elle une langue ? Petite histoire d'une grande question ] ». Langue française 137, no 1 (2003) : 12–31. http://dx.doi.org/10.3406/lfr.2003.1054.

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BRÛLÉ, Michel. « Les impacts du cinéma américain sur le cinéma et la société québécoise ». Sociologie et sociétés 8, no 1 (30 septembre 2002) : 25–42. http://dx.doi.org/10.7202/001110ar.

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Résumé :
Résumé Le cinéma québécois n'est pas une industrie autonome. Le cinéma québécois dépend d'exploitants et de distributeurs qui ne sont pas québécois. Le cinéma québécois dépend pour sa production de capitaux qui viennent de l'extérieur du Québec et ce " non-Québécois " qui conditionne notre cinéma à ces trois niveaux est majoritairement américain. Ceci dit l'auteur essaie d'analyser l'impact qualitatif que le cinéma américain produit sur la société québécoise et sur l'industrie du cinéma au Québec. Ce problème cependant n'est pas particulier au Québec. " C'est à l'échelle internationale, y compris les pays de l'Est, que se pose le problème de l'impact du cinéma américain. Le cinéma, comme médium, est devenu américain ". Pourtant, et malgré tout, il y a dans le cinéma québécois des signes évidents d'une certaine volonté de garder ses distances vis-à-vis la production de type américain.
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Quancard, Christine. « La langue des signes en formation initiale ». L'Aide-Soignante 32, no 195 (mars 2018) : 26–27. http://dx.doi.org/10.1016/j.aidsoi.2018.01.009.

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Tano, Angoua Jean-Jacques. « Etude d’une langue des signes émergente de Côte d’Ivoire : l’exemple de la Langue des Signes de Bouakako (LaSiBo) ». Sign Language and Linguistics 20, no 1 (6 novembre 2017) : 146–55. http://dx.doi.org/10.1075/sll.20.1.07tan.

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Fischer, Renate. « Le dictionnaire de l’abbé de l’épée et les ‘signes méthodiques’ ». Historiographia Linguistica 26, no 1-2 (10 septembre 1999) : 73–88. http://dx.doi.org/10.1075/hl.26.1-2.05fis.

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Résumé :
Résumé L’objectif de cette contribution est d’examiner le statut linguistique des ‘signes méthodiques’ de l’abbé de L’Épée (1712–1789), son dictionnaire à l’appui. Ces signes apparaissent comme la tentative d’établir un code visuogestif dont la tâche essentielle est de rendre les ‘idées’ et qui, du point de vue de sa fontion et de sa structure, ne saurait être identifié au français, au français signé ou à la langue des signes française.
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Viguier, Sabine. « L'enfant sourd immigré ». Migrants formation 66, no 1 (1986) : 33–36. http://dx.doi.org/10.3406/diver.1986.6461.

Texte intégral
Résumé :
La difficulté supplémentaire à laquelle se heurte l'enfant sourd de parents immigrés : la rééducation se fait en français et non pas dans la langue de la communauté familiale. Une méthode permettant une base de communication entre l'enfant et sa famille : la langue des signes.
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Benvenuto, Andrea. « Entre affirmation et contestation, la citoyenneté des sourds en question / Between affirmation and contestation, deaf people's citizenship in question ». Revista Polis e Psique 5, no 1 (20 février 2015) : 134. http://dx.doi.org/10.22456/2238-152x.53664.

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Résumé :
Depuis le mouvement de reconnaissance de la langue des signes française des années 1980 et la législation promouvant l'égalité des chances des personnes handicapées (loi du 11 février 2005), les sourds locuteurs d'une langue visuo-gestuelle se sont mobilisés pour réclamer la présence de la langue des signes française comme condition d’accès au plein exercice de leur citoyenneté, sur un pied d’égalité avec les entendants. Cette revendication, liant langue et instruction à l'accès à la citoyenneté des sourds, remonte à deux siècles. Afin d’explorer l'idée de citoyenneté, la place des sourds en tant qu’êtres parlants et « capables de » s'exprimer comme n’importe qui, servira ici d'analyseur. Dans cette contribution, nous nous efforcerons de déplacer la perspective : pour nous dégager de la conception statique du citoyen sourd comme sujet de droit ressortissant des lois et des institutions, nous tenterons de l’inscrire plutôt dans un processus de subjectivation politique toujours soumis à l'épreuve de l'égalité.
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Wunderli, Peter. « Ferdinand de Saussure : La sémiologie et les sémiologies ». Semiotica 2017, no 217 (28 août 2017) : 135–46. http://dx.doi.org/10.1515/sem-2017-0087.

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RésuméFerdinand de Saussure postule une science générale des signes qu’il ap-pelle sémiologie. La langue n’en serait qu’un cas particulier caractériée par l’arbitrariété totale de ses unités. Cette caractéristique reviendrait aussi à l’écriture qui n’est cependant pas un systéme sémiologique primaire, mais un système secondaire dont la fonction est de représenter un système pri-maire (la langue). Il existe en outre des systèmes tertiaires comme, par example, l’alphabet Morse, l’écriture Braille, les systèmes de chiffrage, etc. Les modes de manifestation peuvent être soit acoustique soit visuel. Tandis que la langue et l’écriture sont totalement arbitraires, les autres systèmes sémiologiques peuvent être motivés jusqu’à un certain de-gré. À côté des sémiologies utilitaires il existe aussi des sémiologies esthé-tiques comme, par example, les légendes. La sémiologie elle-même n’est qu’un cas particulier de la sémiotique qui tient aussi compte des signes (ou indices) naturels. Les frontières entre langue, sémiologie et et sémiotique sont souvent flottantes et imprécises.
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Gendrot, Monique, et Alain Gébert. « Les projets de développement de la Langue des signes mauricienne (MSL) et de la Langue des signes seychelloise (SSL) ». La nouvelle revue de l'adaptation et de la scolarisation 49, no 1 (2010) : 171. http://dx.doi.org/10.3917/nras.049.0171.

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Gaillard, Emmanuel, et Charles Gaucher. « L’acquisition de la langue des signes française par l’enfant sourd en Suisse romande : l’investissement parental, son impact et ses limites ». La nouvelle revue - Éducation et société inclusives N° 96, no 4 (24 août 2023) : 117–34. http://dx.doi.org/10.3917/nresi.096.0117.

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Résumé :
Depuis les années 2000, la plupart des enfants sourds de Suisse romande sont scolarisés en classe ordinaire sans langue des signes. Malgré ce contexte, certains parents s’engagent pour accorder une place à la langue des signes française dans le projet éducatif de leur enfant sourd. Cet article propose d’une part de se pencher sur l’impact et sur les limites de l’apprentissage parental et de l’usage familial de la langue des signes française et, d’autre part, d’explorer les freins à la création par les parents de liens entre l’enfant et la communauté sourde. Se fondant sur les résultats d’une recherche qualitative plus large, cet article s’intéresse notamment aux questionnements identitaires suscités chez les parents par les langues signées et la communauté sourde.
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Millet, Agnès. « La langue des signes française (LSF) : une langue iconique et spatiale méconnue ». Recherche et pratiques pédagogiques en langues de spécialité - Cahiers de l APLIUT, Vol. XXIII N° 2 (15 juin 2004) : 31–44. http://dx.doi.org/10.4000/apliut.3326.

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Schetrit, Olivier. « La reconnaissance de la langue des signes comme langue à part entière ». Cahiers français 419, no 1 (23 février 2021) : 113–19. http://dx.doi.org/10.3917/cafr.419.0113.

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Rios, Luiz Maurício, et Valdirene Maria de Araújo Gomes. « Une étude comparative de la langue des signes Québécoise (LSQ) et la langue brésilienne des signes (Libras) : quelques aspects linguistiques, socio-politique-culturels et historiques ». Revista Sinalizar 2, no 2 (20 décembre 2017) : 235. http://dx.doi.org/10.5216/rs.v2i2.50656.

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Résumé :
L’objectif principal de cet article est de promouvoir la connaissance et la comphéhension des Études Sourdes au Canada et au Brésil, à partir d’études comparatives de la Langue des Signes Québécoise (LSQ) et la Langue Brésilienne des Signes (LIBRAS). Nous faisons, aussi, une brève approche de quelques aspects linguistiques, socio-politique-culturels et historiques de la Culture Sourde, avec l’aspiration de démontrer quelques études liées aux questions de l´enseignement des langues des signes et à l´inclusion de l´individu sourd à la société, en spécial, l´histoire de l´origine de l´enseignement et des recherches dans ce domaine. Il est pertinent de signaler que cet article s´inscrit dans le cadre des études comparées, ce qui pourra être une ouverture au dialogue entre les différentes recherches et approches sur ce thème, développées dans ces deux pays américains, afin de chercher ensemble des solutions stratégiques d´inclusion sociale et d´élaboration de politiques de diversité culturelle : la culture orale et la culture des sourds
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Encrevé, Pierre. « À propos des droits linguistiques de l’homme et du citoyen ». Diversité 151, no 1 (2007) : 23–30. http://dx.doi.org/10.3406/diver.2007.2818.

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Résumé :
Depuis une vingtaine d’années, insensiblement, et sans le dire, l’État français a modifié pour certains aspects non négligeables sa pratique et sa doctrine en matière de droits linguistiques, aussi bien concernant les droits des locuteurs à l’égard de la langue nationale qu’à l’égard de la langue des signes ou des langues régionales.
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Dubuisson, Colette, Johanne Boulanger, Jules Desrosiers et Linda Lelièvre. « Les mouvements de tête dans les interrogatives en langue des signes québécoise ». Revue québécoise de linguistique 20, no 2 (7 mai 2009) : 93–121. http://dx.doi.org/10.7202/602706ar.

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Résumé :
Résumé Parmi les trois procédés par lesquels les langues marquent les interrogatives, deux concernent les mots ou les signes (particules interrogatives et ordre des constituants) et un se superpose aux mots ou aux signes (intonation/comportement non manuel). Des recherches sur les langues signées ont déjà montré que ni les particules interrogatives ni l’ordre des constituants n’étaient suffisants dans la formation des interrogatives. Seul un comportement non manuel spécifique permet de distinguer les interrogatives des déclaratives correspondantes. Ce comportement non manuel est basé sur des mouvements de la tête et des sourcils et la direction du regard. Nous montrons dans cet article que les mouvements de tête permettent de distinguer les interrogatives fermées des interrogatives ouvertes en langue des signes québécoise (LSQ).
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Quipourt, Christine, et Patrick Gache. « Interpréter en langue des signes : un acte militant ? » Langue française 137, no 1 (2003) : 105–13. http://dx.doi.org/10.3406/lfr.2003.1059.

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Schick, Brenda. « Le développement de la langue des signes américaine ». Enfance 59, no 3 (2007) : 220. http://dx.doi.org/10.3917/enf.593.0220.

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Surbezy, Agnès, et Bruno Péran. « Surtitrage et Langue des Signes : l’expérience d’une complicité ? » Traduire, no 223 (15 décembre 2010) : 78–88. http://dx.doi.org/10.4000/traduire.295.

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Gobet, Stéphanie. « Comment les parents perçoivent la langue des signes ». La nouvelle revue - Éducation et société inclusives N° 96, no 4 (24 août 2023) : 135–49. http://dx.doi.org/10.3917/nresi.096.0135.

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Résumé :
L’annonce de la surdité est un évènement majeur pour les parents car ils se retrouvent face à un enfant qui n’entend pas, situation linguistique inédite. La préconisation, suite au diagnostic, est, pour la plupart du temps, l’appareillage afin que l’enfant devienne entendant. La non (ou mé-) connaissance de la langue des signes et de la culture sourde fait que la modalité visuo-gestuelle est regardée au travers d’ a priori liés aux conflits linguistiques. Les parents étant entendants, l’enfant doit l’être afin d’assurer un équilibre comunicationnel au sein de la famille et de la société. À partir de données recueillies lors d’entretiens semi-guidés avec des parents de Canada et de France, nous souhaitons explorer les rapports que les parents peuvent avoir avec l’apprentissage de la langue des signes, voire l’immersion dans la communauté sourde et par conséquent dans le bilinguisme sourd, et définir s’ils établissent des liens antinomiques entre l’oralisation et la langue des signes.
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Trabant, Jürgen. « La pensée scientifique contre les langues ». European Journal of Language Policy : Volume 13, Issue 1 13, no 1 (1 avril 2021) : 7–16. http://dx.doi.org/10.3828/ejlp.2021.2.

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Résumé :
Dès son début, la pensée scientifique européenne se méfie de la langue. Elle se veut universelle et, en effet, semble l’être dans son monolinguisme grec ou latin. Mais, avec la découverte des langues vulgaires et des langues du monde et de leurs sémantiques particulières, cet universalisme est en danger. Une nouvelle langue scientifique doit être créée. La philosophie scientifique moderne exige de dépasser la langue naturelle, de transformer les mots en signes.
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Petiot, Geneviève. « Le cinéma américain et la langue française ». Meta : Journal des traducteurs 32, no 3 (1987) : 299. http://dx.doi.org/10.7202/003829ar.

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Dubuisson, Colette. « Signer ou le sort d’une culture ». Le dossier : la surdité 6, no 1 (22 janvier 2008) : 57–68. http://dx.doi.org/10.7202/301196ar.

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Résumé :
Résumé Cet article aborde le problème de la reconnaissance des cultures et des langues minoritaires dans une société et explique l'importance de cette reconnaissance en donnant des arguments qui prouvent qu'une langue est indissociable d'une culture, dont elle est le reflet. On y démontre ensuite que la communauté sourde constitue une minorité un peu différente des autres au Québec, mais qu'elle a une langue, la langue des signes québécoise (LSQ), dont on peut affirmer qu'il s'agit d'une langue à part entière. Pour terminer, on insiste sur l'importance de la reconnaissance de la LSQ.
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Gonzalez, Mathilde, et Christophe Collet. « Segmentation semi-automatique de signes à partir de corpus vidéo en langue des signes ». Traitement du signal 29, no 3-4-5 (28 octobre 2012) : 333–58. http://dx.doi.org/10.3166/ts.29.333-358.

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Parma Carvalho, Deborah. « L’observation et l’enregistrement des cours de langue des signes française comme langue étrangère ». SHS Web of Conferences 20 (2015) : 01017. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20152001017.

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Cuxac, Christian. « Compositionnalité sublexicale morphémique-iconique en langue des signes française ». Recherches linguistiques de Vincennes, no 29 (1 mai 2000) : 55–72. http://dx.doi.org/10.4000/rlv.1198.

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Nana Gassa Gonga, Aurélia. « Traduire en langue des signes française : un acte militant ? » Traduire, no 240 (20 juin 2019) : 59–68. http://dx.doi.org/10.4000/traduire.1688.

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Boëdec, Morgane, Vivien Fontvieille et Manon Rossetti. « Traducteur en langue des signes-vidéo, un métier d’avenir ». Traduire, no 237 (1 décembre 2017) : 33–37. http://dx.doi.org/10.4000/traduire.941.

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CUXAC, Christian. « Une manière de reformuler en langue des signes française ». La linguistique 43, no 1 (2007) : 117. http://dx.doi.org/10.3917/ling.431.0117.

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Parisot, Anne-Marie, et Julie Rinfret. « Recognition of Langue des Signes Québécoise in Eastern Canada ». Sign Language Studies 12, no 4 (2012) : 583–601. http://dx.doi.org/10.1353/sls.2012.0013.

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Coudry, Anastasia, Armand Lotte, Charlène Rebel et Adeline Duvic. « Acquérir les bases de la Langue des Signes Française ». La Revue de l'Infirmière 64, no 211 (mai 2015) : 51–52. http://dx.doi.org/10.1016/j.revinf.2015.02.020.

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Limousin, Fanny, et Marion Blondel. « Prosodie et acquisition de la langue des signes française ». Language, Interaction and Acquisition 1, no 1 (30 juillet 2010) : 82–109. http://dx.doi.org/10.1075/lia.1.1.06lim.

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Résumé :
L’étude présentée ici vise à déterminer les paramètres gestuels de la prosodie et leur évolution dans deux études longitudinales, celle d’une enfant sourde (LSF) et celle d’une enfant entendante bilingue (français-LSF), entre 8 et 25 mois. Nous proposons que l’intensité, la fréquence et la durée sont des paramètres prosodiques pertinents pour l’étude des gestes vocaux, manuels et non-manuels. Nous soulignons les tendances dans les changements progressifs de la structure prosodique observés dans ces deux études de cas : un changement continu dans la combinaison des articulations manuelles et non-manuelles avec des frontières d’unités dessinées de façon de plus en plus précise et une maîtrise de plus en plus grande des valeurs contrastées de durée, d’amplitude et de tension musculaire. L’acquisition précoce présente des séquences spécifiques qu’on ne retrouve pas chez l’adulte et offre ainsi un effet loupe sur les patrons prosodiques émergents.
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