Littérature scientifique sur le sujet « La Maison des auteurs (Angoulême, France) »

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Articles de revues sur le sujet "La Maison des auteurs (Angoulême, France)"

1

Dardy, Claudine. « De quelques usages sociologiques des récits en édition numérique ». Sociologie et sociétés 48, no 2 (24 octobre 2016) : 261–83. http://dx.doi.org/10.7202/1037724ar.

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Résumé :
Le site éditeur Raconter la vie a constitué en deux ans d’existence une collection de six cents récits. L’abondance narrative ainsi suscitée déploie une mosaïque faite des fragments de vies multiples qui peut se prêter au regard sociologique au gré des angles de vue décelant tel ou tel motif ou thème. On peut encore s’essayer à identifier des types de récits : témoignage, récit de vie sociale ou même performance artistique. On a choisi, par l’enquête, de rencontrer quelques protagonistes de cette scène numérique, à commencer par la web éditrice pivot du site, ses collaborateurs, dits éditeurs communautaires, et les auteurs. L’intention était de situer la production de ces récits et leur proposition à l’édition numérique au regard des pratiques d’écriture et de lecture de leurs auteurs, prenant acte d’une culture de l’écrit, voire d’une culture littéraire en référence. Les auteurs évoquent des pratiques variées des carnets personnels à l’expérience d’ateliers d’écriture, en passant par les écrits professionnels. Beaucoup sont habiles à utiliser les ressources du numérique, blog, réseaux, plateforme. L’ombre d’une maison d’édition traditionnelle prestigieuse, l’engagement d’un professeur au collège de France, la compétence éditoriale — double lecture des textes, aide à la mise en forme technique — servent un désir latent de publication largement partagé par les auteurs. De quoi, pour ces derniers, se concevoir comme auteurs amateurs et caresser l’espoir d’une reconnaissance d’écrivain. À défaut d’impulser un impossible parlement des invisibles, le site éditeur préserve la forme narrative en même temps qu’il promeut une figure d’auteur amateur. Il pourrait s’apparenter à un atelier d’écriture grand format aux prismes du numérique ; on y est privé d’une sociabilité de lectures partagées mais autorisé aux jeux d’identités multiples, celles de ces personnages et auteurs appelés à raconter le roman vrai de la société et si fort en quête d’éditeurs.
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2

Rouget, François. « L’assassinat de François de Lorraine (1563) et la polarisation des publics ». Renaissance and Reformation 42, no 1 (5 juillet 2019) : 95–112. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v42i1.32851.

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Résumé :
L’assassinat de François de Guise par Poltrot de Méré, le 24 février 1563, eut un retentissement considérable dans l’opinion publique. Pendant que les protestants se réjouissaient, les catholiques rendirent au défunt un hommage en vers français et latins. Celui-ci fut orchestré par la maison des Guises et prit la forme d’une salve de plaquettes imprimées par le libraire parisien Thomas Richard qui connurent une diffusion en France et hors de ses frontières. C’est ce corpus méconnu de vers manuscrits écrits par les protestants et des plaquettes imprimées publiées par les catholiques que nous analysons, afin d’identifier les motifs, les acteurs et les conséquences de la polémique de 1563. Il s’agira aussi d’observer les mécanismes de cette offensive, notamment par le moyen de l’édition, et de reconstituer les modes de constitution de « publics » (auteurs et lecteurs) que s’efforcent de fédérer les deux partis antagonistes.
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3

Peltier, Stéphanie, Françoise Benhamou, Christophe Cariou et François Moreau. « L’autoédition de livres francophones imprimés : un continent ignoré ». Culture études 6, no 1 (25 avril 2024) : 1–44. http://dx.doi.org/10.3917/cule.241.0001.

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Résumé :
L’offre de livres autoédités s’est considérablement développée au cours des deux dernières décennies, poussée par l’évolution de la technique dans la chaîne du livre, le développement du commerce en ligne et la désintermédiation dans les industries culturelles. L’autoédition et ses particularités sont pourtant assez mal connues. L’offre de livres autoédités privilégie-t-elle certains segments ou sous-segments éditoriaux ? Le profil sociodémographique moyen des auteurs autopubliés diffère-t-il de celui des auteurs publiés par les maisons d’édition traditionnelles ? Quel est l’appétit des acheteurs pour les livres autoédités et de quelle manière les éditeurs classiques utilisent-ils l’autoédition ? L’exploitation statistique inédite des données, pour les seuls livres imprimés, du dépôt légal et de l’institut GfK permet d’apporter des premiers éléments de réponse à ces questions avec, en creux, celle de savoir dans quelle mesure l’autoédition de livres diversifie l’offre éditoriale. Ainsi, en 2015, près du quart des livres papier déposés à la Bibliothèque nationale de France (BnF) sont autoédités, contre un dixième il y a 40 ans. La même année, 61 % des livres autoédités relèvent de la littérature et des techniques d’écriture contre 43 % des livres à compte d’éditeur édités traditionnellement. Si la part qu’occupe ce segment éditorial progresse pour les deux types de livres entre 2006 et 2015, la progression est plus forte en autoédition. En 2015, au sein de la littérature française, la poésie occupe une part deux fois plus importante parmi les livres autoédités que parmi ceux édités classiquement, 60 % des livres de poésie étant autopubliés. Les romans sont aussi surreprésentés en autoédition, à l’inverse de la bande dessinée et de la littérature jeunesse. Du côté des auteurs de littérature française ayant déposé au moins un livre entre 1970 et 2016, 49 % ne connaissent que l’édition traditionnelle, 40 % uniquement l’autoédition. Parmi ces auteurs, 72 % des 30 ans et moins ne connaissent que l’autoédition, contre 24 % qui ne connaissent que l’édition classique. La part des autrices est la même entre les deux modes exclusifs d’édition, autour de 41 %. Enfin, parmi les auteurs de littérature francophone hors traductions ayant publié entre 2007 et 2016, ceux exclusivement édités traditionnellement publient un nombre moyen de livres deux fois plus élevé que celui des auteurs exclusivement autoédités. L’autoédition est moins présente que l’édition classique dans les ventes de best-sellers et plus présente en queue de distribution des ventes. Le passage en maison d’édition traditionnelle pour les auteurs initialement autopubliés renforce significativement leurs ventes.
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4

Constant, Marie-Hélène, et Caroline Loranger. « Un nationalisme tourné vers l’Amérique et les colonies : l’exportation du « Roman canadien » des Éditions Édouard Garand ». Papers of The Bibliographical Society of Canada 55, no 2 (13 février 2019) : 309–34. http://dx.doi.org/10.33137/pbsc.v55i2.32289.

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Résumé :
En 1923, Édouard Garand fonde à Montréal une maison d’édition destinée à promouvoir la littérature canadienne au sein de la classe populaire et francophone à travers le pays. Gérard Malchelosse, membre du comité éditorial, dira à propos des visées de l’entreprise qu’elle promeut «une édition canadienne de Romans canadiens, écrits pour des Canadiens par des Canadiens et imprimés au Canada par des Canadiens. C’est une entreprise nationale destinée à fournir un stimulant de patriotisme, tout en aidant les auteurs de chez nous en propageant leurs ouvrages». Bien que cet ancrage résolument nationaliste pourrait laisser croire que les Éditions Édouard Garand s’adressent exclusivement à un public local, l’étude de la distribution de la collection « Le Roman canadien » nous informe sur ses réseaux commerciaux de distribution particulièrement étendus : au premier temps de ce rayonnement extérieur se trouvent les villes des colonies françaises et britanniques, ainsi que l’Amérique, depuis New York jusqu’à Buenos Aires. L’article propose d’étudier ces réseaux en regard de leurs positionnements coloniaux, politiques et marchands, tout en mettant en contexte ce rayonnement par rapport aux activités d’exportation de livres canadiens de l’époque. L’étude des documents du Fonds Édouard-Garand (Université de Montréal) permet de constater la mise en place de deux réseaux distincts. Dès 1926, on annonce que les Romans canadiens sont vendus dans des points de dépôt en France, en Grande-Bretagne, mais aussi, de manière plus surprenante, à Saigon, à Alger et au Cap. L’éditeur semble alors exploiter les réseaux marchands de comptoirs coloniaux français et britanniques pour participer à la diffusion, au sein de différentes librairies francophones, de la littérature canadienne outremer. Puis, à partir de 1944, alors que la France est encore sous l’Occupation, Montréal devient la plaque tournante de l’édition francophone mondiale, et Garand en profite pour ouvrir de nouveaux réseaux de distribution vers l’Amérique latine, convoquant un ensemble de relations diplomatiques et politiques canadiennes. L’éditeur cible alors notamment les dépositaires en Argentine, au Chili, en Colombie, à Cuba et au Pérou, par le biais des représentants commerciaux et des fonctionnaires du Ministère des Affaires extérieures du Canada. Cette entreprise ne vise toutefois pas, chez l’éditeur, une inscription dans des réseaux d’échanges intellectuels et culturels suivant l’axe nord-sud, étudiés notamment par Michel Lacroix et Michel Nareau. Résolument commercial, le système mis en place par Édouard Garand touche moins l’économie du savoir que la mise en marché de produits littéraires.
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Rannaud, Adrien. « La Revue moderne, creuset de la littérature en régime médiatique dans les années 1950 au Québec ». Papers of The Bibliographical Society of Canada 55, no 2 (13 février 2019) : 335–58. http://dx.doi.org/10.33137/pbsc.v55i2.32290.

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Résumé :
En 1923, Édouard Garand fonde à Montréal une maison d’édition destinée à promouvoir la littérature canadienne au sein de la classe populaire et francophone à travers le pays. Gérard Malchelosse, membre du comité éditorial, dira à propos des visées de l’entreprise qu’elle promeut «une édition canadienne de Romans canadiens, écrits pour des Canadiens par des Canadiens et imprimés au Canada par des Canadiens. C’est une entreprise nationale destinée à fournir un stimulant de patriotisme, tout en aidant les auteurs de chez nous en propageant leurs ouvrages». Bien que cet ancrage résolument nationaliste pourrait laisser croire que les Éditions Édouard Garand s’adressent exclusivement à un public local, l’étude de la distribution de la collection « Le Roman canadien » nous informe sur ses réseaux commerciaux de distribution particulièrement étendus : au premier temps de ce rayonnement extérieur se trouvent les villes des colonies françaises et britanniques, ainsi que l’Amérique, depuis New York jusqu’à Buenos Aires. L’article propose d’étudier ces réseaux en regard de leurs positionnements coloniaux, politiques et marchands, tout en mettant en contexte ce rayonnement par rapport aux activités d’exportation de livres canadiens de l’époque. L’étude des documents du Fonds Édouard-Garand (Université de Montréal) permet de constater la mise en place de deux réseaux distincts. Dès 1926, on annonce que les Romans canadiens sont vendus dans des points de dépôt en France, en Grande-Bretagne, mais aussi, de manière plus surprenante, à Saigon, à Alger et au Cap. L’éditeur semble alors exploiter les réseaux marchands de comptoirs coloniaux français et britanniques pour participer à la diffusion, au sein de différentes librairies francophones, de la littérature canadienne outremer. Puis, à partir de 1944, alors que la France est encore sous l’Occupation, Montréal devient la plaque tournante de l’édition francophone mondiale, et Garand en profite pour ouvrir de nouveaux réseaux de distribution vers l’Amérique latine, convoquant un ensemble de relations diplomatiques et politiques canadiennes. L’éditeur cible alors notamment les dépositaires en Argentine, au Chili, en Colombie, à Cuba et au Pérou, par le biais des représentants commerciaux et des fonctionnaires du Ministère des Affaires extérieures du Canada. Cette entreprise ne vise toutefois pas, chez l’éditeur, une inscription dans des réseaux d’échanges intellectuels et culturels suivant l’axe nord-sud, étudiés notamment par Michel Lacroix et Michel Nareau. Résolument commercial, le système mis en place par Édouard Garand touche moins l’économie du savoir que la mise en marché de produits littéraires.
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Constant, Marie-Hélène, et Caroline Loranger. « Un nationalisme tourné vers l’Amérique et les colonies : l’exportation du « Roman canadien » des éditions Édouard Garand ». Papers of The Bibliographical Society of Canada 55, no 2 (11 mars 2019). http://dx.doi.org/10.33137/pbsc.v55i2.29564.

Texte intégral
Résumé :
En 1923, Édouard Garand fonde à Montréal une maison d’édition destinée à promouvoir la littérature canadienne au sein de la classe populaire et francophone à travers le pays. Gérard Malchelosse, membre du comité éditorial, témoigne à l’époque de l’ancrage nationaliste des éditions : il s’agit d’« une édition canadienne de romans canadiens, écrits pour des Canadiens par des Canadiens et imprimés au Canada par des Canadiens. C’est une entreprise nationale destinée à fournir un stimulant de patriotisme, tout en aidant les auteurs de chez nous en propageant leurs ouvrages ». Bien que ces affirmations pourraient laisser croire que les éditions Édouard Garand s’adressent exclusivement à un public local à même de partager leurs préoccupations, l’étude de la distribution de la collection « Le Roman canadien » nous informe sur des réseaux commerciaux de distribution particulièrement étendus : au premier plan de ce rayonnement extérieur se trouvent les villes des colonies françaises et britanniques, ainsi que l’Amérique, depuis New York jusqu’à Buenos Aires.L’article propose l’étude de ces réseaux en regard de leurs positionnements coloniaux, politiques et marchands, tout en mettant en contexte ce rayonnement par rapport aux activités d’exportation de livres canadiens de l’époque. L’étude des documents constituant le Fonds Édouard-Garand (Université de Montréal) permet de constater la mise en place de deux réseaux distincts. Dès 1926, on annonce que les romans canadiens sont vendus dans des points de dépôt en France, en Grande-Bretagne, mais aussi, de manière plus surprenante, à Saigon, à Alger et au Cap. L’éditeur semble alors exploiter les réseaux marchands de comptoirs coloniaux français et britanniques pour participer à la diffusion, au sein de différentes librairies francophones, de la littérature canadienne outremer. Puis, à partir de 1944, alors que la France est encore sous l’Occupation, Montréal devient la plaque tournante de l’édition francophone mondiale, et Garand en profite pour ouvrir de nouveaux réseaux de distribution vers l’Amérique latine, convoquant un ensemble de relations diplomatiques et politiques canadiennes. Le roman canadien vise alors notamment les dépositaires en Argentine, au Chili, en Colombie, à Cuba et au Pérou, par le biais des représentants commerciaux et des fonctionnaires du Ministère des Affaires extérieures du Canada. Cette entreprise ne vise toutefois pas, chez l’éditeur, une inscription dans des réseaux d’échanges intellectuels et culturels suivant l’axe nord-sud, étudiés notamment par Michel Lacroix et Michel Nareau. Du côté du commerce, le système mis en place par l’éditeur montréalais touche moins l’économie du savoir que la mise en marché.
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Livres sur le sujet "La Maison des auteurs (Angoulême, France)"

1

Muñoz, Pili. Cinq ans de résidences. Angoulême : La Maison des autres, 2007.

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Actes de conférences sur le sujet "La Maison des auteurs (Angoulême, France)"

1

Pérez García, Juan Carlos. « ‘El vecino 4’ : “superhéroes” de barrio ». Dans III Congreso Internacional de Investigación en Artes Visuales : : ANIAV 2017 : : GLOCAL. Valencia : Universitat Politècnica València, 2017. http://dx.doi.org/10.4995/aniav.2017.4949.

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Résumé :
‘El vecino’ es una serie de novelas gráficas que realizo en colaboración con el guionista Santiago García (Premio Nacional de Cómic de 2015 por ‘Las meninas’). Planificada para cinco libros, hasta ahora se han publicado tres (Ediciones Astiberri), con un cuarto en proceso. El vecino está protagonizado por dos vecinos en una ciudad no identificada, una gran urbe occidental del siglo XXI, mezcla sublimada de Madrid y Málaga. La obra pretende arrojar una mirada tragicómica, a veces extrañada, hacia la vida cotidiana y las relaciones personales en la contemporaneidad, con la particularidad de que uno de los protagonistas es el “superhéroe” de la ciudad. Sin embargo, siempre que este se marcha para atender a la “tarea del héroe”, sus hazañas quedan fuera de la vista para el lector, un dogma creativo de la obra. De este modo, el elemento fantástico es solo un marco mítico que funciona como contrapunto poético a la cotidianidad. ‘El vecino’ investiga asimismo posibles significados sociales e ideológicos de los clichés de superhéroes a través de una lectura crítica, no exenta de ironía pero también de fascinación hacia uno de los géneros de ficción fundamentales en la historia del cómic. Sin embargo, ‘El vecino 4’ planteará una “vuelta de tuerca” en las estrategias artísticas previas, en la medida en que por primera vez muestra la ACCIÓN de los superhéroes de una manera franca que también se pretende inédita, con escenas insólitas en el género y con una forma experimental de múltiples lenguajes y texturas (dibujo, pintura, fotografía, collage digital, etc.). La comunicación expondrá el proceso creativo de este cuarto volumen.El Vecino obtuvo el Premio a Autor revelación (Pepo Pérez) en Expocómic de Madrid (2004) y fue nominado a diversos premios del Salón Internacional del Cómic de Barcelona: Mejor cómic español (2005; 2009) y Autor revelación (2005). Parte de la obra se ha expuesto en muestras nacionales e internacionales (Festival Internacional de Bande Dessinée de Angoulême, 2011; Instituto Cervantes de Varsovia, 2012; La Maison des Auteurs de Angoulême, 2015, entre otras).http://dx.doi.org/10.4995/ANIAV.2017.4949
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