Littérature scientifique sur le sujet « Jura - Vignoble »

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Articles de revues sur le sujet "Jura - Vignoble"

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Husson, Jean-Pierre. « S. Boulanger, Le vignoble du Jura ». Revue Géographique de l'Est 44, no 3-4 (1 juin 2004) : 169. http://dx.doi.org/10.4000/rge.857.

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Barral-Baron, Marie. « Érasme et le vin ». Annales de Bourgogne Tome 95, no 2 (16 novembre 2023) : 81–95. http://dx.doi.org/10.3917/anbo.232.0081.

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Résumé :
La référence au vin est constante dans l’œuvre d’Érasme, aussi bien dans sa correspondance que dans ses textes majeurs ( Colloques, Adages, Traités de civilité …). Érasme ne s’est jamais présenté comme un anachorète et croit au contraire profondément que la présence du Christ jaillit lorsque des amis se réunissent autour d’un verre de vin. Habité par les textes des Anciens et par les Évangiles, Érasme sait que le vin a été célébré bien avant lui et il ne cesse de se référer aux paraboles bibliques ou aux adages grecs. Convaincu que le vin est source de vie et de bienfaits, il boit chaque jour sa boisson préférée, issue des terres de Bourgogne, qui embrassent alors aussi les vignobles du Jura et de Besançon. Lorsque la vieillesse le frappe, le vin n’apparaît plus seulement comme un délicieux nectar qui permet d’oublier les tourments du siècle, mais aussi comme un puissant remède. Associé à des aromates, appliqué en compresses, le vin est définitivement pour Érasme le symbole de la joie, de la foi et de la charité.
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Thèses sur le sujet "Jura - Vignoble"

1

Fassier-Boulanger, Sylvaine. « Paysages et viticulture : le vignoble jurassien ». Paris 10, 2000. http://www.theses.fr/2000PA100121.

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Résumé :
Le vignoble jurassien se présente sous la forme d'archipels. Il s'agit alors de comprendre ce qui a procédé à cet état de fait. La première étape de notre travail permet de positionner la démarche quant à la définition du terme "paysage" à envisager. L'élaboration d'une grille de lecture et d'analyse des paysages viticoles est aussi une étape préalable à notre travail. Les premiers éléments de différenciation du vignoble apparaissent dans l'habitat viticole. D'une façon générale, les paysages actuels connaissent une stabilisation sur le plan des superficies viticoles : les droits de plantation octroyés chaque année depuis dix ans sont faibles, de même que la mobilité fonçière. Une typologie des paysages du Revermont peut être établie en fonction de la place tenue par la vigne dans les finages, des terroirs où elle est cultivée, de l'importance des bois, enfin, en fonction du dynamisme des communautés vigneronnes locales. Le paysage du Revermont est alors d'un dynamisme inégal, lié aux structures d'exploitation et aux Appellations d'Origine Contrôlée. Quelle est l'origine de ces paysages inégalement viticoles? Tout au long du XIXe siècle, les paysages du Revermont sont carctérisés par une nette continuité des surfaces viticoles et, jusqu'au phylloxéra, les façons culturales sont similaires. Pourtant, avant même l'arrivée du puceron dévastateur, des signes de fragilité existent dans le vignoble jurassien : le morcellement de la propriété viticole, de même que le métayage à mi-fruits ne permettent pas à l'ensemble de la communauté vigneronne de vivre décemment. Le phylloxéra se manifeste en 1879 dans le sud du vignoble, mais cause la plupart de ses méfaits entre 1893 et 1900. Il engendre de nouveaux paysages. Au cours des premières années du vingtième siècle, la reconstitution du vignoble s'effectue à l'aide de producteurs directs et de plants greffés, et ce, malgré une conjoncture économique tendue. La première, puis la seconde guerre mondiale, vont alors jouer un rôle indirect dramatique pour le vignoble. Au cours des années 1950, quelques initiatives, toutes localisées dans la zone d'Arbois, entament la nouvelle ère du développement du vignoble jurassien. S'ensuit, dans les années 1960-1970, un programme public de relance viticole qui permet un redémarrage plus étendu de la viticulture dans le Revermont. Pourtant, de cette entreprise naît un vignoble à deux vitesses.
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Borgeaud, Olivier. « Être bourgeois dans le vignoble du Jura au XIXè siècle ». Electronic Thesis or Diss., Lyon, 2021. https://books.openedition.org/pufc/51708.

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Résumé :
Alors que la France est largement rurale au XIXe siècle, l’historiographie a négligé l’observation de la bourgeoisie des villages qui se distingue d’une bourgeoisie des villes amplement explorée. A partir de sources publiques et privées, et particulièrement plusieurs fonds importants de correspondances, cette recherche permet d’approcher toutes les facettes de la famille bourgeoise qui vit à l’année à la campagne. Plus que par son appartenance à un groupe social, c’est par sa position au sein de la société rurale que se définit le bourgeois rural, dans un temps long et selon un ordre social en continuité avec le XVIIIe siècle. « Être bourgeois » implique avant tout un avoir bourgeois et se confond souvent par « être propriétaire ». La notion de travail pour les hommes, essentielle dans la définition du bourgeois urbain, est nuancée pour le bourgeois rural car l’éventail de professions à sa disposition au village est réduit. En revanche, les correspondances révèlent des femmes bourgeoises actives, et pas seulement dans la sphère domestique.La vie à la campagne induit un type de bourgeois proche de ses terres et de la nature. Les cultures, les vignes, les fermages, les ventes de vins, les animaux de la ferme et les foires régissent le quotidien. Les bourgeois des villages sont confrontés à la brutalité de l’univers rural qui les entoure : les corps sont mis à l’épreuve, tout autant que les sens. L’histoire du ressenti aux bruits, aux odeurs, au froid, aux déplacements, aux voyages, au temps et à la maîtrise d’un environnement prégnant est ici abordée. La maison de famille prend une valeur symbolique et de prestige pour la bourgeoisie de village. Sa mise en scène reflète la position et l’ancrage héréditaire, et indique un mode de vie facilité par des domestiques à la fois proches et distants. A la campagne, les bourgeois hommes et femmes se distinguent de leurs contemporains citadins et évoquent sans tabou de nombreux sujets liés à l’hygiène, à l’intimité, à la sexualité. L’image qu’ils souhaitent projeter dans leur apparence, leur attitude pondérée vis-à-vis de la religion, l’emploi de leur temps libre souvent loin des stéréotypes genrés, les rites de la table, leur engagement politique sont autant de thèmes approfondis. De sa petite enfance à sa mort, en passant par son éducation, la construction de son mariage, sa santé et sa vieillesse, chaque phase de la vie du bourgeois rural est décrite. Sa relation aux autres est tout autant interrogée. Dans une région viticole mêlant toutes les strates de la société rurale, il compose aussi bien avec la pauvreté extrême qu’avec l’aristocratie foncière. Du fait de son relatif isolement à la campagne, une particularité que ne connaît pas le bourgeois urbain, sa sociabilité est large. Elle dépasse grandement le cercle bourgeois et s’oriente sur son voisinage rural. Cette étude s’attarde sur la psychologie du bourgeois dans son rapport à l’autre. Parce qu’il est conditionné à être à l’aise dans la relation sociale, il est capable de gérer plusieurs strates de relations et se crée son propre écosystème.La chute de la rente de la terre, associée au désastre du phylloxéra, entraîne dès 1880 la quasi-disparition d’une bourgeoisie rurale plus tournée vers le passé que vers le futur. Elle est remplacée au village par de nouvelles familles bourgeoises. Un champ lexical inattendu découvert dans les courriers et la sémantique sui generis qui en découle permettent à chaque étape une analyse fine, au plus près du bourgeois rural dans le vignoble du Jura au XIXe siècle
France was still largely a rural country in the 19th century, yet historiography seems to have favoured a thorough study of the bourgeoisie in towns while neglecting to turn its attention to the bourgeoisie in villages. Drawing on public archives, private sources and extensive correspondence, this research seeks to draw together all aspects of bourgeois family life as lived year-round in the countryside. More than a social grouping of the middle class, the rural bourgeoisie can be defined through its position at the heart of rural communities over an extended period of time, in continuity with the social order of the 18th century. “To be bourgeois” strongly implies prosperity and in most cases the ownership of land and property. The notion of work may be essential to a definition of the city bourgeois, but makes less sense in villages where the range of available professions is limited. On the other hand, correspondence reveals the active nature of life for the ladies of the rural bourgeoisie, reaching well beyond the domestic sphere. Life in the countryside engenders a type of bourgeois who is close to his land and to nature. Daily life follows the rhythm of farming, tending the vines, managing the estate, trading wine, animal husbandry and local fairs. Village bourgeois are confronted with the brutality of their rural surroundings: the body and the senses are put to the test. This study explores the history of experience of noises, smells, the cold, local travel and longer journeys, the passage of time and the handling of a pervasive environment.The family home takes on particular importance as a symbol of the village bourgeois' value and prestige. It is a stage on which the family's position and heredity are played out. The implied lifestyle within is one assisted by servants, with whom close yet distant relationships exist. In the countryside, bourgeois ladies and gentlemen differ from their urban counterparts in their uninhibited discussion of many subjects relating to hygiene, intimacy, sexuality. We will explore their use of outward appearance to project a certain image, their nuanced attitudes towards religion, their enjoyment of free time often in contrast to gender stereotypes, their mealtime rituals and their political engagements. Each phase of a rural bourgeois' life will be portrayed, from childhood to death, from education to the making of a marriage, from health to old age. We shall also investigate the bourgeois' relationship with others, in a wine-growing area where the extremely poor as well as with the landed aristocracy can be encountered. His social circle is wider than that of the urban bourgeois, because of his relative isolation in the country, and stretches far beyond the bourgeoisie to encompass his rural neighbours. This study concentrates particularly on the psychology of the bourgeois’ relationship with others. Conditioned as he is to be at ease in any social situation, he is able to operate on many different levels and create his own ecosystem.Following the collapse in land revenue and the outbreak of the phylloxera blight, by 1880 the rural bourgeoisie, more concerned with the past than the future, had all but disappeared. A new bourgeoisie came to replace them in the villages. A quite unexpected vocabulary emerges from the correspondence, revealing a particular semantic apparatus and offering detailed insights into many aspects of rural bourgeois life in the 19th century wine-growing Jura
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Berche, Grégoire. « Le vin liquoreux, un produit de terroir en marge dans la hiérarchie vitivinicole française : étude comparée des petits vignobles de vins liquoreux de Bergerac, Jurançon, Jura et Corrèze : géographie d’une distinction ». Thesis, Paris 10, 2016. http://www.theses.fr/2016PA100182/document.

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Résumé :
En reconnaissant dès 1936 l’Appellation d’Origine Contrôlée de vin liquoreux « Monbazillac », l’Etat, par le biais de l’INAO, définit officiellement le vin liquoreux comme un produit de terroir, élaboré par un savoir-faire humain sur un espace aux aptitudes agronomiques et aux conditions climatiques particulières. Pourtant, malgré la mode des « produits de terroir », en France, le vin liquoreux semble très loin d’avoir acquis l’image d’un produit de terroir et se situe en bas de la hiérarchie vitivinicole. Sa production est fragmentée dans l’espace productif viticole français, alors que ce vin est majoritairement produit dans les aires d’influence des vignobles de Bordeaux et Bourgogne. Le vin liquoreux est ainsi élaboré au sein de petits vignobles de vins liquoreux, qui s’inscrivent dans de petits voire très petits vignobles, à l’image des vignobles de Bergerac, Jurançon, Jura et Corrèze. Les vins liquoreux français semblent donc constituer des « impensés » de la géographie du vin, puisque non reconnus en tant que produit de terroir, et puisque élaborés au sein de vignobles de l’entre-deux, de périphéries dominées, voire de marges viticoles. Or, le terroir vitivinicole est une représentation de la société qui le fait vivre. Au sein des différents systèmes spatiaux que constituent les terroirs viticoles étudiés, les acteurs du vin élaborent de nouveaux modèles territoriaux, dans des territoires recomposés par la réforme de la filière viticole impulsée entre 2006 et 2008 et d’espaces ruraux marqués par les conséquences de la mondialisation. Des stratégies de distinction émergent alors à toutes les échelles au sein de ces espaces pour mieux se positionner dans la hiérarchie, dont le haut est incontestablement occupé par Château d’Yquem, célèbre cru de Sauternes, dont la réputation n’a jamais été aussi forte. Ainsi, au fond, les petits vignobles de vin liquoreux étudiés ne permettent-ils pas de répondre à une question presque existentielle lorsqu’on veut vivre aujourd’hui d’une production vitivinicole en France ou même ailleurs : comment vendre du vin aujourd’hui ?
By acknowledging from 1936 the controlled designation of origin of the sweet wine "Monbazillac", the State, by means of the INAO, officially defines sweet wine as a local product, developed by a human know-how in an area of agronomic skills and in particular weather conditions. Nevertheless, in spite of the "produits du terroir" trend, in France, sweet wine seems very far away from having acquired the image of a local product and is situated at the bottom of the wine sector hierarchy. Its production is split up within the French wine-making productive space while this wine is mainly produced in the areas of influence within Bordeaux and Burgundy vineyards. Sweet wine is thus developed within small sweet wine vineyards, which are part of small sometimes even very small vineyards, just like the vineyards of Bergerac, Jurançon, Jura and Corrèze. Therefore, French sweet wine seems to forman "unthought" of wine geography, because it is not recognized as alocal product, and because it is developed within vineyards that are between larger ones, which are more dominant, on the outskirts of the wine-making zone. However, the wine terroir is a representation of the society that keeps it alive. Within the various spatial systems which constitute the wine-making terroirs being examined, wine professionals develop new territorial models, in territories recomposed by the reform of the wine-making sector promoted between 2006 and 2008 and rural spaces marked by the consequences of globalization. Strategies of distinction emerge then on all scales within these spaces to be better positioned within the hierarchy, the top of which is unmistakably occupied by the Château d’Yquem, a famous Sauternes vineyard, the reputation of which has never been so strong. So, in fact, do not the small sweet wine vineyards under study enable ananswer to an almost existential question when we want to live off wine production today in France, or even somewhere else: how can we sell wine today?
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Livres sur le sujet "Jura - Vignoble"

1

Brisis, Bruno de. Vins, vignes et vignobles du Jura. [Besançon] : Cêtre, 1992.

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Anonyma. Jura : Bresse jurassienne, Haut Jura, Petite-Montagne, Vallée du Doubs, Vignoble. Renaissance du livre, 1998.

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Chapitres de livres sur le sujet "Jura - Vignoble"

1

Borgeaud, Olivier. « Sources imprimées : Presse et périodiques locaux au xixe siècle ». Dans La bourgeoisie rurale dans le vignoble du Jura au xixe siècle, 359–60. Presses universitaires de Franche-Comté, 2023. http://dx.doi.org/10.4000/books.pufc.51833.

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2

Borgeaud, Olivier. « Deuxième partie : En prise avec la ruralité ». Dans La bourgeoisie rurale dans le vignoble du Jura au xixe siècle, 75–141. Presses universitaires de Franche-Comté, 2023. http://dx.doi.org/10.4000/books.pufc.51808.

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3

Borgeaud, Olivier. « Première partie : Une position au sein de la société rurale ». Dans La bourgeoisie rurale dans le vignoble du Jura au xixe siècle, 35–74. Presses universitaires de Franche-Comté, 2023. http://dx.doi.org/10.4000/books.pufc.51803.

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Borgeaud, Olivier. « Introduction générale ». Dans La bourgeoisie rurale dans le vignoble du Jura au xixe siècle, 13–34. Presses universitaires de Franche-Comté, 2023. http://dx.doi.org/10.4000/books.pufc.51798.

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5

Borgeaud, Olivier. « Quatrième partie : de la naissance à la mort, interactions bourgeoises ». Dans La bourgeoisie rurale dans le vignoble du Jura au xixe siècle, 265–338. Presses universitaires de Franche-Comté, 2023. http://dx.doi.org/10.4000/books.pufc.51818.

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6

Borgeaud, Olivier. « Conclusion générale ». Dans La bourgeoisie rurale dans le vignoble du Jura au xixe siècle, 339–54. Presses universitaires de Franche-Comté, 2023. http://dx.doi.org/10.4000/books.pufc.51823.

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7

Borgeaud, Olivier. « Épilogue ». Dans La bourgeoisie rurale dans le vignoble du Jura au xixe siècle, 355–58. Presses universitaires de Franche-Comté, 2023. http://dx.doi.org/10.4000/books.pufc.51828.

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8

Borgeaud, Olivier. « Bibliographie ». Dans La bourgeoisie rurale dans le vignoble du Jura au xixe siècle, 361–70. Presses universitaires de Franche-Comté, 2023. http://dx.doi.org/10.4000/books.pufc.51838.

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9

Borgeaud, Olivier. « Troisième partie : La maison de maître ». Dans La bourgeoisie rurale dans le vignoble du Jura au xixe siècle, 143–264. Presses universitaires de Franche-Comté, 2023. http://dx.doi.org/10.4000/books.pufc.51813.

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10

Mayaud, Jean-Luc. « Préface ». Dans La bourgeoisie rurale dans le vignoble du Jura au xixe siècle, 9–11. Presses universitaires de Franche-Comté, 2023. http://dx.doi.org/10.4000/books.pufc.51788.

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