Littérature scientifique sur le sujet « Italians – Belgium »
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Articles de revues sur le sujet "Italians – Belgium"
ZAVATTARO, M., C. SUSANNE et M. VERCAUTEREN. « INTERNATIONAL MIGRATION AND BIODEMOGRAPHICAL BEHAVIOUR : A STUDY OF ITALIANS IN BELGIUM ». Journal of Biosocial Science 29, no 3 (juillet 1997) : 345–54. http://dx.doi.org/10.1017/s0021932097003453.
Texte intégralBeyers, Leen. « From Class to Culture : Immigration, Recession, and Daily Ethnic Boundaries in Belgium, 1940s–1990s ». International Review of Social History 53, no 1 (avril 2008) : 37–61. http://dx.doi.org/10.1017/s0020859007003331.
Texte intégralScioli1, Giuseppe A., José A. Carmona-Torres, Alex Paniccia, Andrea Battista, Ilaria Cavicchia et Rachel M. Bishar. « A study on the perception of the stigma related to drug use in a sample of Italians and Belgians ». Psychology, Society, & ; Education 7, no 1 (30 avril 2015) : 1. http://dx.doi.org/10.25115/psye.v7i1.536.
Texte intégralMarzo, Stefania. « Rethinking italiano popolare for Heritage Italian ». Quaderni d'italianistica 36, no 2 (27 juillet 2016) : 201–28. http://dx.doi.org/10.33137/q.i..v36i2.26905.
Texte intégralEsherick, Joseph W. « The Origins of the Boxer War : A Multinational Study. By Lanxin Xiang. [London : RoutledgeCurzon, 2003. xvii +382 pp. $80.00. ISBN 0-7007-1563-0.] ». China Quarterly 176 (décembre 2003) : 1110–12. http://dx.doi.org/10.1017/s0305741003370638.
Texte intégralDeschouwer, Kris. « Waiting for 'The big one' : The uncertain survival of the Belgian Parties and Party Systems(S) ». Res Publica 38, no 2 (30 juin 1996) : 295–306. http://dx.doi.org/10.21825/rp.v38i2.18636.
Texte intégralBuzás, György Miklós. « Helicobacter pylori – 2012 ». Orvosi Hetilap 153, no 36 (septembre 2012) : 1407–18. http://dx.doi.org/10.1556/oh.2012.29443.
Texte intégralVander Mijnsbrugge, Kristine, Marc Schouppe, Stefaan Moreels, Yorrick Aguas Guerreiro, Laura Decorte et Marie Stessens. « Influence of Water Limitation and Provenance on Reproductive Traits in a Common Garden of Frangula alnus Mill. » Forests 13, no 11 (22 octobre 2022) : 1744. http://dx.doi.org/10.3390/f13111744.
Texte intégralFoubert, Petra, Alexander Maes et Michelle Wilms. « Qualitative employment relationships for Ph.D. students in the EU ? » European Labour Law Journal 11, no 1 (21 janvier 2020) : 48–65. http://dx.doi.org/10.1177/2031952519900995.
Texte intégralClycq, Noel. « ‘I’m a genuine Italian, but not a genuine Italian’ : Complex and shifting strategies of ethnic and moral boundary making in the narratives of Italian minority parents in Flanders ». Current Sociology 67, no 3 (31 octobre 2018) : 365–82. http://dx.doi.org/10.1177/0011392118807521.
Texte intégralThèses sur le sujet "Italians – Belgium"
Cumoli, Flavia. « Periferie e mondi operai : immigrazione, spazi sociali e ambiti culturali negli anni '50 ». Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2009. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210345.
Texte intégralLa thèse développe une analyse parallèle des deux études de cas en suivant un fil argumentatif unitaire, qui s’ouvre avec une enquête sur les flux migratoires et les contextes d’accueil des migrations. Dans les deux premiers chapitres nous avons analysé le contexte économique, social et territorial dans lequel s’inscrivent les processus migratoires. Pour le cas belge, nous avons analysé le cycle de l’industrie charbonnière, le processus de dépopulation de la Wallonie et les mécanismes qui règlent les flux, c'est-à-dire une migration contractée par les deux gouvernements. En ce qui concerne le cas milanais, nous avons tracé les contours de la très rapide urbanisation, qui a conduit toute une série de communes limitrophes à Milan à entrer dans l’orbite métropolitaine et à se qualifier comme des pôles périphériques.
Après avoir tracé les contours du cadre général, nous avons fait face, dans la deuxième partie, à la question plus spécifique du logement et des formes d’installations. Pour le cas louviérois, nous avons reconstruit les conditions de logement et la très difficile confrontation des premiers immigrés avec le monde du travail charbonnier, l’absence d’une initiative publique dans le secteur du logement jusqu’en 1954, faiblement compensé par l’initiative patronale, et la phase suivante des années 1950, qui a mené à la stabilisation des immigrés dans la région. De Sesto San Giovanni nous avons reconstruit la transition complexe vers la périphérie métropolitaine, à partir des installations rurales jusqu’aux politiques publiques locales et nationales de construction de grands ensembles, en soulignant comment cette intervention urbanistique était au centre d’un débat très vif sur l’aménagement du territoire, qui a débouché sur la création d’institutions administratives régionales. Dans la dernière partie de la recherche nous avons plutôt approfondi les aspects sociaux et culturels des parcours d’installation et d’intégration dans les deux tissus urbains. C’est en cette partie que nous avons utilisé davantage les sources orales, afin d’analyser les perceptions de soi, les mécanismes de construction de l’identité sociale et donc tous les changements que la migration, le rencontre avec la ville et l’industrie ont entraîné dans les organisations familiales, dans les perspectives de vie, les aspirations et les projets des migrants. À partir de l’analyse de ces parcours, dans le chapitre conclusif nous avons interrogé quelques catégories historiques et sociologiques classiques des études migratoires: d’abord le sens d’appartenance à la communauté d’origine et le développement d’un sens d’identité nationale, ensuite le processus de formation d’une solidarité de classe, qui dans les deux contextes a pris des formes sensiblement distinctes surtout par rapport aux différences dans la mémoire de l’expérience migratoire.
Doctorat en Histoire, art et archéologie
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Baldi, Giada. « Una migrazione controllata : selezione e controllo politico dei migranti italiani in Belgio nel secondo dopoguerra (1946-1956) ». Thesis, Paris 10, 2017. http://www.theses.fr/2017PA100199.
Texte intégralThe thesis deals with the post-war Italian assisted migration to Belgium (1946-1956) and it is particularly focused on the "political aspects" of the selection of migrant workers and on the "political control" of their activities in the receiving country. Despite the economic origins of this migration flow, my intention was in fact to study all the political issues concerning the management of the phenomenon, with reference both to the two national contexts of departure and arrival, and to international political circumstances, marked by the Cold War. The principal aims of my research were, therefore, to reconsider the interconnection between economic and political factors; to delve into the divergent strategies and political interests of the two countries involved in organising such working exodus; and to examine the real implications of political questions on migrants’ lives. The dissertation is composed of two main parts. In the first part, I have examined the recruitment system implemented in Italy, as well as the selection of candidates carried out by the Belgian Commission and by other Belgian officials at the Migration Centre in Milan. In the second part, instead, I have studied the political control over Italian migrants with respect to associations, social care and services, trade unions and newspapers on the one hand, and on the other hand, I have taken into account police surveillance and expulsion measures related to the Belgian ban on foreigners getting into politics
La tesi tratta dell'emigrazione assistita italiana verso il Belgio nel primo decennio del secondo dopoguerra (1946-1956) e, in particolare, degli "aspetti politici" del reclutamento dei lavoratori migranti e del "controllo politico" delle loro attività nel Paese di destinazione. Nonostante la matrice essenzialmente economica dell’esodo lavorativo in esame, mi sono proposta di incentrare lo studio sulle questioni di natura politica che caratterizzarono l’amministrazione del flusso migratorio, legate tanto ai due contesti nazionali di partenza e di arrivo, quanto al contesto internazionale della Guerra fredda. La ricerca intendeva insomma riconsiderare l’intreccio tra fattori politici ed economici nell’organizzazione dell’emigrazione organizzata postbellica verso il Belgio, esaminare le strategie e gli interessi politici dei due Paesi coinvolti, nonché indagare il concreto impatto di tali questioni politiche sulle vite dei migranti. La trattazione si articola quindi in due parti. Nella prima parte ho analizzato il sistema di reclutamento dei lavoratori sul territorio italiano, oltre che le operazioni di selezione dei candidati all’emigrazione effettuate dalla Commissione belga e dai vari funzionari belgi presso il Centro di emigrazione di Milano. Nella seconda parte invece sono state prese in esame, da un lato, le strategie di "contenimento politico" della collettività italiana nel Royaume – nell’ambito dell’assistenza, dell’associazionismo, del sindacalismo e della stampa – dall’altro lato, la sorveglianza da parte della polizia belga e le espulsioni di immigrati italiani per motivi di ordine politico
Pratelli, Elena. « L'emigrazione italiana in Belgio (1946-1956) ». Bachelor's thesis, Alma Mater Studiorum - Università di Bologna, 2017. http://amslaurea.unibo.it/14161/.
Texte intégralCasano, Nicoletta. « Les réseaux unissant francs-maçons et laïques belges et italiens de la fin du XIXe siècle jusqu'à la Deuxième guerre mondiale : prémisses et réalisation de l'accueil en Belgique des fuorusciti italiens ». Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2013. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/209510.
Texte intégralEn effet, les premières associations qui ont été poursuivies légalement par le dictateur italien ont été les associations maçonniques et celles de la Libre Pensée. Jusqu’au il y a quelques années, l’historiographie ne pouvait pas analyser davantage les conséquences de cet exil, faute d’accès aux archives de ces associations.
À présent, il nous a été possible d’étudier cette documentation qui nous a permis de démontrer que certains francs-maçons et libres-penseurs italiens, qui ont pris la décision de quitter leur pays afin suite aux persécutions de la dictature, avaient été des exilés politiques et avaient trouvé asile dans certains pays européens grâce aux réseaux maçonniques et laïques qui y existaient déjà depuis la fin du XIXe siècle. La Belgique a été l’un de ces pays d’accueil, mais en outre elle avait été le pays où ces réseaux étaient nés et s’étaient le plus efficacement développés.
C’est cette généalogie des réseaux maçonniques et laïques qui nous a permis d’expliquer pour quelles raisons, même si la Belgique n’a pas été le principal pays d’accueil des exilés maçons et laïques italiens, un certain nombre d’entre eux y sont passés ou s’y sont installés avec l’aide de la Franc-maçonnerie et de la Libre pensée belges, pendant leur exil./
The aim of my research project is to investigate further into the experience of the Italian free-masons and free-thinkers who had to go on exile as a consequence of their persecution by the Mussolini dictatorship. As a matter of fact, the first associations to be persecuted by the Italian dictator were the free-mason and free-thinkers associations, but till few years ago, the contemporary historiography hadn’t really focused on the consequences of these actions because of the limited access to the Archives of these associations.
It was only at the beginning of this century that these documents were found and have been left at the disposal of the researchers.
The study of part of these documents allows me to demonstrate that these free-masons and free-thinkers who had taken the decision to leave their country, in order not to accept the dictatorship, were political emigrants and
that they found asylum in some European countries thanks to the free-mason and free-thinker networks that they had established since the end of 19th century. Belgium was one of these countries, but more importantly the one
where the relation networks concerned were born and developed.
This fact allows us to explain the reason why a lot of Italian free-masons and free-thinkers passed in Belgium or some of them lived. Even if Belgium wasn't the country to which the most of these people exiled.
Doctorat en Histoire, art et archéologie
info:eu-repo/semantics/nonPublished
Ganci, Elisa. « Comunisti e socialdemocratici a confronto. L'emigrazione italiana in Belgio (1946-1969) ». Doctoral thesis, Università di Catania, 2014. http://hdl.handle.net/10761/1588.
Texte intégralBoxhoorn, Abraham. « The cold war and the rift in the governments of national unity : Belgium, France and Italy in the spring of 1947 : a comparison / ». Amsterdam : Historisch seminarium van de Universiteit van Amsterdam, 1993. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb366730321.
Texte intégralAgostinis, Sara <1996>. « The impact of Big Data on the audit profession. A research in the Italian and Belgian context ». Master's Degree Thesis, Università Ca' Foscari Venezia, 2020. http://hdl.handle.net/10579/17495.
Texte intégralMerlo, Jonathan-Olivier. « Diatopie et représentations linguistiques des enseignants de langue étrangère : regards croisés sur les enseignants de français en Italie et au Tessin et les enseignants d’italien en Belgique francophone, France et Suisse romande ». Thesis, Université Grenoble Alpes (ComUE), 2017. http://www.theses.fr/2017GREAL004/document.
Texte intégralQuale ruolo dare alla variazione, in particolare diatopica, nell’insegnamento / apprendimento della L2 ? Malgrado una riflessione abbondante e pluridecennale in Français langue étrangère o più discreta in Italiano lingua straniera, l’introduzione del discorso variazionale di tipo sociolinguistico in classe di L2 rimane a tutt’oggi assai delicata, tanto più che accennare alla diatopia permette di fatti di innescare dibattiti nei quali osservare opinioni e stereotipi sulla lingua. Partendo dalla nozione di comunità linguistica intesa come comunità di norme condivise da tutti i membri, abbiamo considerato 3 tipi di contesti sociolinguistici: 1. lo spazio francese, fortement monocentrico, il cui modello di lingua largamente diffuso all’interno dei confini dello Stato tende alla neutralità dal punto di vista diatopico; 2. lo spazio francofono europeo, fuori dalla Francia, ai margini della lingua sebbene vi si possa osservare in tempi recenti l’emergere di un lento fenomeno di auto-legittimazione delle comunità francofone periferiche; 3. l’Italia e il Ticino, dove la dimensione diatopica fa da sfondo al continuum dell’italiano contemporaneo ed è omnipresente negli usi linguistici quotidiani dei parlanti.Considerato che l’istituzione scolastica è il principale agente di riproduzione, diffusione e rielaborazione costante dell’ideologia dello standard e dell’unilinguisme, abbiamo voluto indagare in direzione degli atteggiamenti e delle opinioni degli insegnanti d’ILS in contesto francofono europeo e dei loro colleghi insegnanti di FLE in contesto italofono.Un questionario realizzato in due lingue è stato diffuso online tra il 2013 e il 2014 presso tutte le scuole superiori o di livello equivalente – gymnases, athénées, lycées, etc. – del Belgio francofono, di Francia, della Svizzera francofona, d’Italia e del Cantone del Ticino. Questa inchiesta, alla quale più di 1100 insegnanti di FLE e di ILS hanno partecipato, ha permesso di raccogliere un gran numero di dati che hanno necessitato un’analisi in più tappe.Abbiamo potuto in primo luogo cogliere in quale misura l’appartenenza dell’insegnante ad un contesto sociolinguistico più o meno aperto alla diatopia è suscettibile di influenzare la sua percezione di questa variazione e delle proprie abitudini didattiche. Poi, le informazioni raccolte ci hanno consentito di meglio capire la dialettica che esiste, all’interno dell’immaginario linguistico della professione, tra vissuto linguistico individuale e adesione all’ideologia linguistica dominante dello standard. Infine, l’analisi ed il confronto dei dati quantitativi e testuali hanno permesso di mettere finalmente in evidenza il fatto che gli insegnanti dei differenti contesti sociolinguistici presi in considerazione condividono delle rappresentazioni linguistiche del tutto simili ma soprattutto un solo e unico immaginario professionale
CARTA, Dario. « “Non più cose ma protagonisti”. L’associazionismo tra gli emigrati italiani in Belgio e Svizzera, 1945-‐2001. Il caso di Bruxelles e Ginevra ». Doctoral thesis, Università degli studi di Bergamo, 2013. http://hdl.handle.net/10446/28979.
Texte intégralSgambelluri, Rosa. « Lo sport educativo in alcuni sistemi scolastici europei. Analisi comparativa tra Italia, Belgio, Spagna e Regno Unito ». Doctoral thesis, Universita degli studi di Salerno, 2011. http://hdl.handle.net/10556/231.
Texte intégralLe nuove generazioni, soprattutto quelle nate a cavallo tra la fine degli anni 80’ e gli inizi degli anni 90’ del secolo scorso, sono state formate in Italia all’interno di una tensione ideale, quella di dover contribuire alla costituzione di una nuova dimensione sociale e culturale nonché nazionale: l’Unione Europea. Tra gli adolescenti e i giovani italiani questo imperativo educativo è stato letto e tradotto in una percezione alquanto peculiare della storia recente: i “nonni”, ovvero i costituenti dell’Unione Europea, all’indomani della II guerra mondiale, erano quelli che guardavano all’Europa solo in termini di abbattimento di frontiere, creazione strutture economiche interdipendenti e di un corpus legislativo comune, in quanto elementi atti a garantire la pace in Europa e scongiurare per sempre gli orrori dei campi di battaglia, delle città bombardate, delle popolazioni deportate; i “padri”, alias l’establishment governativo che conduceva verso l’euro, la comune moneta europea, erano quelli che guardavano all’Europa solo in termini di possibilità di crescita economica all’interno di un comune spazio di libera circolazione delle merci. Di contro la cultura adolescenziale e giovanile, intesa come un insieme di valori, definizioni della realtà e codici di comportamento condivisi da persone che hanno in comune uno specifico modo di vita , era già europea. I nonni e i padri non dovevano, per creare una nuova identità comunitaria, che rincorrere! Nello specifico i membri delle nuove generazione, proiettati nell’orizzonte geografico europeo, si percepivano già come comunità sentendo di avere in comune, pur nelle diversità, stesse origini, una cultura condivisa, un canale di comunicazione linguistica comune, valori, costumi, forme di alimentazioni, forme letterarie e artistiche gruppali, adolescenti e giovani europei erano consapevoli di ascoltare la stessa musica, leggere gli stessi autori e le stesse riviste, guardare gli stessi programmi televisivi, avere stessi valori e modelli culturali di riferimento, bere, mangiare e vestire le stesse cose e, nelle rispettive forme linguistiche nazionali, parlare con strutture gergali similari. Nell’incontrarsi sul comune suolo europeo queste generazioni, le prime a muoversi con grande disinvoltura tra una capitale e l’altra, grazie anche al codice comunicativo inglese, scoprivano velocemente che ciò che accomunava era di gran lunga superiore a ciò che differenziava. I giovani europei sentivano d’agire già come un unico popolo, insistente su di uno spazio geografico omogeneo, e, in virtù di tale comunanza, gli adulti dovevano e potevano, nel rispetto del loro ruolo di garanti della trasmissione intergenerazionale, organizzarsi in stato sovrano. In realtà i costituenti dell’Unione Europea, nel creare i presupposti comunitari, avevano come obiettivo quello di costruire un quadro comune di valori universali ai quali ispirarsi per edificare una “casa comune” fatta non più di mattoni condivisi ma condivisibili. Nel loro ambito riflessivo i costituenti attribuivano al termine valori, come in una parabola discendente, un significato che andava da quello di orientamenti, a fatti sociali e a fatti propri. Nel primo caso, per essere chiari, i valori sono intesi come orientamenti dai quali discendono i fini delle azioni umane, fini trascendenti rispetto all’esistente ed indicanti, pertanto, un dover essere, una tensione verso uno stato di cose ritenuto ideale e desiderabile, ma che non è, o non ancora, realizzato; nel secondo i valori sono intesi come fatti sociali in quanto fatti di gruppi sociali i quali orientano in base ad essi il proprio agire, e quindi valori come motivazioni dei comportamenti; nel terzo i valori sono intesi come fatti propri, adottati da individui o gruppi mediante processi, più o meno consapevoli, di scelta . Quanto più, in una società, i valori slittano da fatti propri a fatti sociali e, infine, ad orientamenti, divenendo la tensione di cui sopra, tanto più essi cessano di essere particolari per assurgere ad universali, espressione non più di una forma mentis soggiacente ad un dato spazio e ad un dato tempo ma presupposto di una società giusta nella sua derivazione etimologica da ius (ossia il diritto e quindi patto). Secondo i costituenti la nascita dell’UE doveva avvenire non solo in riconoscimento dei profondi legami storici che accomunavano le sorti delle popolazioni europee a partire dal IV secolo d.c., non solo per i profondi legami culturali letterali, artistici, ecc., che si erano creati nel trascorrere dei tempi, per la comune religiosità, per lo spazio geografico e climatico alquanto omogeneo, ma quanto per la scelta effettuata dai popoli comunitari: valori universali, valori “ di tutti” cui aspirare, in cui riconoscersi e specchiarsi, presidi dei confini del vivere civile, base, irrinunciabile e imprescindibile, definente la natura del patto sociale. In tal senso i costituenti definirono la pace come valore per la nascente UE poiché ripudiarono l’idea dell’esaltazione, presente nella cultura europea dalla caduta dell’Impero Romano sino alla prima metà del Novecento, della guerra come valore sul quale misurare la virtù e la dignità e l’onore dei popoli. Accanto al valore della pace nei rapporti tra i popoli europei, posero il valore della reciprocità e del rispetto, della libertà, dell’eguaglianza e della dignità della persona umana. Riconobbero, altresì, proprio perché si era alla presenza di una collettività di cittadini che stavano scegliendo un insieme di diritti e doveri alla base della loro società ideale, che nella costituzione dell’Unione la formazione dello stato avrebbe preceduto quello di costituzione della nazione. Avvertirono subito anche il pericolo di un soffocamento della formazione di una coscienza europea, di un’area culturale europea che potesse chiamarsi nazione, da parte di un apparato eurostatale qualora non controbilanciato da processi di interazione e integrazione dei meccanismi degli stati membri. Una siffatta situazione agli italiani, così come alle genti germaniche, è nota, giacché rammenta la formazione di uno stato nazionale come unificazione di una pluralità di stati regionali sotto la spinta egemonica di uno di essi . Per ovviare a ciò, per superare gli egoismi dei vari stati membri, previdero un lungo periodo di incontro-confronto tra gli apparati nazionali grazie al quale ciascuno potesse analiticamente conoscere e ri-conoscere l’altro, avviare un processo di accettazione e giustificazione delle diversità e un processo orizzontale di acculturazione nel suo significato di cambiamento culturale e psicologico dovuto al contatto duraturo con persone appartenenti a culture differenti (Sam, D.L. 2006). In tal senso attribuirono grande importanza alle istituzioni scolastiche come mezzo attraverso cui creare, nella centralità della persona, una nuova cittadinanza, un nuovo umanesimo, un nuovo patrimonio culturale di ispirazione valoriale universale. Negli ultimi anni la materia legislativa comunitaria, per l’istruzione e la formazione, si è limitata però a delle direttive per aumentare il grado di competizione dei cittadini europei, la mobilità sociale e, quindi, la coesione sociale. Nulla o poco è stato fatto in termini di un confronto, politicamente programmato, sistematico e non occasionale, tra i diversi sistemi scolastici che ne evidenziassero le specificità, i punti di contatto, i punti di forza e debolezza, rispetto ad esempio alle competenze, come riflessione sul concetto di competenza, rapporto tra sapere e saperi, conoscenza conoscenze e competenze, ruolo delle competenze trasversali nel processo di apprendimento, rapporto tra saperi disciplinari e competenze, o piuttosto alle metodologie, come motivazione degli alunni, metodi per un apprendimento consapevole, organizzazione di tempi, luoghi, strumenti e modalità della didattica, come necessità di mettere in rete le scuole, o infine alle scelte valoriali. Eppure come è possibile pensare un processo di integrazione tra i sistemi formativi nazionali al fine di creare strutture comunitarie che diano, equamente, ad ogni cittadino dell’UE le stesse possibilità se non si parte dalla reciproca conoscenza? Stesse possibilità intese non solo come spendibilità competitiva ma come piena espressione del sé di ogni cittadino, delle individuali potenzialità all’interno di una cornice di reciprocità, di dignità umana e libertà e universalità valoriale come pensato dai costituenti. Il presente lavoro vuole, anche solo in parte, provare ad ovviare a ciò offrendo una comparazione tra sistemi scolastici nazionali dell’UE e quindi consentire una maggiore comprensione delle modalità di cura del fanciullo, vero specchio di una società, nei diversi luoghi comunitari. Le nazioni che sono state prese in esame, oltre all’Italia, sono state la Spagna, il Regno Unito e il Belgio. La scelta è innanzitutto ricaduta sulle nazioni non di recente adesione all’UE sia per motivazioni strettamente correlate alla reperibilità di fonti sia perché si tratta di paesi che, in una certa misura, hanno già avviato politiche di integrazione se non altro per ciò che concerne gli obiettivi competitivi formativi comunitari. La scelta è stata fatta poi tenendo conto che molteplici credenze e abitudini intellettuali concorrono a formare lo spazio culturale comunitario, che tale variabilità rappresentino, ad un tempo, un fattore critico ed un elemento di ricchezza e che esse si riflettono tutte nell’agenzia formativa per eccellenza: la scuola. Ad esempio, l’Italia, la Spagna e il Belgio sono paesi a prevalenza cattolica, il Regno Unito invece è prevalentemente rientrante in quell’ambito religioso che per semplicità definiamo protestante. Pur assistendo nelle società moderne ad un processo di secolarizzazione è indubbio che esista un’interazione tra aspetti religiosi ed ordine morale. Sebbene lo spazio geografico europeo sia improntato alla tradizione giudaico-cristiana, i paesi cattolici hanno, in termini di mentalità, una maggiore correlazione con la tradizione cristiana e, di contro, quelli protestanti con la tradizione giudaica. Ne consegue un atteggiamento diverso, come substrato culturale, nei confronti della ricchezza (e della povertà) che si riflette nei fini valoriali formativi. Ancora, tutti e quattro i paesi presi in esame devono confrontarsi al loro interno con istanze autonomistiche che trovano la loro massima espressione nelle aspirazioni via via sempre più separatiste della componente francofona e fiamminga belga. Al di là degli elementi di attualità è interessante vedere come il Belgio ha provato ha riflettere il riconoscimento dell’alterità e della dignità umana delle “minoranze” nelle strutture formative, banco di sfida delle future strutture comunitarie. L’esistenza di una componente non minoritaria belga fiamminga, ovvero olandese, ovvero del germanico ovest, rimanda, inoltre, in termini linguistici (e non solo) alla maggiore vicinanza tra l’inglese e l’olandese (nonché tedesco) rispetto alla componente francofona di derivazione latina come lo spagnolo e l’italiano. Le strutture linguistiche, che rimandano a ceppi diversi del tipo europide, riflettono, poiché è la parola che struttura il cervello, habitus mentali differenti, approcci alla conoscenza diversificati. La comparazione tra sistemi scolastici apre così interessanti spunti di riflessione non solo sul concetto di competenze ma su come la correlazione tra cultura e corporeità modifichino il concetto stesso di competenze nel quadro comune di riferimento europeo. Gli esempi fatti rimarcano come la comparazione tra i sistemi scolastici non abbia solo un valore di ontologica conoscenza ma possa offrire spunti interessanti di riflessione sulle diverse modalità di intendere l’apprendimento, gli obiettivi formativi, i fini valoriali, ma anche di risolvere la sfida del ventunesimo secolo ossia la multiculturalità. Tutti elementi da cui una scuola comunitaria non può prescindere. [a cura dell'autore]
2009 - 2010
Livres sur le sujet "Italians – Belgium"
From challenging culture to challenged culture : The Sicilian cultural code and the socio-cultural praxis of Sicilian immigrants in Belgium. Leuven, Belgium : Leuven University Press, 1987.
Trouver le texte intégralPetrantoʼ, Arcangelo. Histoire des Italiens en Belgique : De César à Paola. Bruxelles : ACLI Belgio, 2000.
Trouver le texte intégralPetranto, Arcangelo. Histoire des italiens en Belgique : De César à Paola. Bruxelles : Associations chrétiennes des travailleurs internationaux, 2000.
Trouver le texte intégralRobert O. J. van Nuffel. Léon Kochnitzky : Umanista belga italiano d'elezione, 1892-1965. Bruxelles : Institut historique belge de Rome, 1995.
Trouver le texte intégralNicole, Dacos, et Dulière Cécile, dir. Italia Belgica : La Fondation nationale Princesse Marie-Jose et les relations artistiques entre la Belgique et l'Italie, 1930-2005, 75e anniversaire. Bruxelles : Institut Historique Belge de Rome, 2005.
Trouver le texte intégralPerrin, Nicolas. Italiens de Belgique : Analyses socio-démographiques et analyse des appartenances. Louvain-la-Neuve : Academia-Bruylant, 2005.
Trouver le texte intégralPerrin, Nicolas. Italiens de Belgique : Analyses socio-démographiques et analyse des appartenances. Louvain-la-Neuve : Academia-Bruylant, 2002.
Trouver le texte intégralGola, Sabina. Un demi-siècle de relations culturelles entre l'Italie et la Belgique (1830-1880). Bruxelles : Institut historique Belge de Rome, 1999.
Trouver le texte intégralLeadership et pouvoir dans les communautés d'origine immigrée : L'exemple d'une communauté ethnique en Belgique. Paris : L'Harmattan, 1992.
Trouver le texte intégralCaserta, Reggia di, dir. Pittura dopo il Postmodernismo : Belgio - USA - Italia. Napoli (Italy) : Colonnese editore, 2018.
Trouver le texte intégralChapitres de livres sur le sujet "Italians – Belgium"
Nagl, Manfred. « Niederlande, Belgien, Italien, Spanien, Portugal ». Dans Gotik und Informatik, 99–108. Berlin, Heidelberg : Springer Berlin Heidelberg, 2019. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-662-55518-7_10.
Texte intégralAzevedo, Mario J. « The Health of Africans : Portuguese, Belgian, Italian, Spanish, and German Rule ». Dans Historical Perspectives on the State of Health and Health Systems in Africa, Volume I, 283–330. Cham : Springer International Publishing, 2017. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-319-32461-6_7.
Texte intégralFabry, A., H. Aït Abderrahim, P. D’Hondt, S. De Leeuw, G. De Leeuw-Gierts, G. Minsart, P. Moioli, M. Angelone et M. Carta. « Learnings from a joint Italian-Belgian neutronic characterization of the TAPIRO source reactor ». Dans Proceedings of the Seventh ASTM-Euratom Symposium on Reactor Dosimetry, 677–86. Dordrecht : Springer Netherlands, 1992. http://dx.doi.org/10.1007/978-94-011-2781-3_78.
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Texte intégralActes de conférences sur le sujet "Italians – Belgium"
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