Articles de revues sur le sujet « Insuffisance rénale – chirurgie »

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Guilbart, M., P. G. Guinot, E. Guinot, O. Abou Arab, E. Zogheib et H. Dupont. « Congestion veineuse et insuffisance rénale en postopératoire de chirurgie cardiaque ». Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 33 (septembre 2014) : A328—A329. http://dx.doi.org/10.1016/j.annfar.2014.07.556.

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Montagnac, Richard, Adeline Schendel, Vincent Vuiblet, Bruno Peilleron et Olivier Piot. « Chirurgie bariatrique, lithiase oxalo-calcique et insuffisance rénale par néphropathie oxalique ». Néphrologie & ; Thérapeutique 7, no 1 (février 2011) : 38–45. http://dx.doi.org/10.1016/j.nephro.2010.10.009.

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Chapman, David, Ron Moore, Scott Klarenbach et Branko Braam. « Residual renal function after partial or radical nephrectomy for renal cell carcinoma ». Canadian Urological Association Journal 4, no 5 (18 avril 2013) : 337. http://dx.doi.org/10.5489/cuaj.909.

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Résumé :
Renal cell carcinoma (RCC) is often detected incidentally andearly. Currently, open partial nephrectomy and laparoscopic totalnephrectomy form competing technologies. The former is invasive,but nephron-sparing; the other is considered less invasive but withmore loss of renal mass. Traditionally, emphasis has been placedon oncologic outcomes. However, a patient with an excellentoncologic outcome may suffer from morbidity and mortality relatedto renal failure. Animal models with hypertension and diabeticrenal disease indicate accelerated progression of pre-existing diseaseafter nephrectomy. Patients with RCC are older and they havea high prevalence of diabetes and hypertension. The progressionof renal failure may also be accelerated after a nephrectomy. Ouranalysis of the available literature indicates that renal outcomes inRCC patients after surgery are relatively poorly defined. A strategyto systematically evaluate the renal function of patients with RCC,with joint discussion between the nephrologist and the oncologicteam, is strongly advocated.L’hypernéphrome est souvent décelé fortuitement et au stade précoce.Actuellement, la néphrectomie partielle par voie ouverteet la néphrectomie totale par laparoscopie sont des technologiesconcurrentes. Tandis que la première est plus invasive, mais permetl’épargne des néphrons, la seconde est moins invasive maisentraîne une perte plus importante de masse rénale. Par le passé,on a mis l’emphase sur les résultats d’un point de vue oncologique.Cependant, un patient pour qui la chirurgie donne d’excellents résultatsen matière d’élimination de la tumeur pourrait présenter unemorbidité et une mortalité en lien avec une insuffisance rénale. Desmodèles animaux de néphropathie avec hypertension et diabèteindiquent une évolution accélérée des maladies préexistantes aprèsla néphrectomie. Les patients présentant un hypernéphrome sontplus âgés; la prévalence du diabète et de l’hypertension est élevée.L’évolution de l’insuffisance rénale peut aussi être accélérée aprèsla néphrectomie. Notre analyse des articles publiés montre que lesrésultats sur le plan de la fonction rénale après une chirurgie pourtraiter un hypernéphrome sont relativement mal définis. Une stratégiefondée sur une évaluation systématique de la fonction rénale despatients atteints d’hypernéphrome, avec discussion entre le néphrologueet l’équipe de soins oncologiques, est fortement encouragée.
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4

Frikha, M., I. Enriquez, P. Montravers, J. Vogel, B. Dureuil et J. M. Desmonts. « Valeur Prédictive d’une Insuffisance Rénale Observée en Réanimation Chirurgicale Aprés Chirurgie en Urgence ». Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 12, no 12 (1993) : R189. http://dx.doi.org/10.1016/s0750-7658(16)30189-7.

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Audren, N., A. Bataillard, G. Dessertaine, M. Rossi Blancher, A. Hebrard, M. Durand, J. F. Payen et P. Albaladejo. « Prédire la survenue d’une insuffisance rénale après chirurgie cardiaque : doppler rénal et/ou neutrophil gelatinase associated lipocalin (NGAL) ? » Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 32 (septembre 2013) : A192—A193. http://dx.doi.org/10.1016/j.annfar.2013.07.367.

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Galtier, Florence, Caroline Rugale, Valérie Lacroix, Patrick Lefebvre, Mélanie Deloze, El Mehdi Skalli, Jean-Michel Fabre, Hélène Leray Moragues et David Nocca. « Evolution de la fonction rénale après chirurgie bariatrique chez le diabétique de type 2 présentant une insuffisance rénale débutante ». Diabetes & ; Metabolism 43, no 2 (mars 2017) : A96—A97. http://dx.doi.org/10.1016/s1262-3636(17)30382-8.

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7

Fayolle-Pivot, L., P. F. Wey, P. Precloux, O. Eve, M. Puidupin, F. Petitjeans et J. Escarment. « Insuffisance rénale obstructive dans les suites d’une chirurgie hémorroïdaire réalisée sous anesthésie générale et bloc pudendal bilatéral : à propos d’un cas ». Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 27, no 12 (décembre 2008) : 1019–22. http://dx.doi.org/10.1016/j.annfar.2008.10.010.

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Claisse, G., J. M. Hougardy, E. Alamartine, P. Delanaye, N. Maillard, J. Morel et C. Mariat. « Évaluation d’un nouvel estimateur du débit de filtration glomérulaire cinétique (KeGFR) pour prédire la survenue d’une insuffisance rénale aiguë après chirurgie cardiaque : étude AKInetic ». Néphrologie & ; Thérapeutique 11, no 5 (septembre 2015) : 388. http://dx.doi.org/10.1016/j.nephro.2015.07.374.

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Lavoie, Marc-Alexandre, et Matthieu Touchette. « Évaluation de la pertinence de l’application de l’algorithme d’estimation du risque cardiaque périopératoire de la Société canadienne de cardiologie publié en 2016 chez les patients subissant une chirurgie élective non cardiaque avec insuffisance rénale chronique de stade 3b et plus ». Canadian Journal of General Internal Medicine 17, no 3 (15 août 2022) : 24–32. http://dx.doi.org/10.22374/cjgim.v17i3.590.

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Résumé :
RésuméEn 2016, la Société canadienne de cardiologie (SCC) a publié de nouvelles lignes directrices périopératoires s’appliquant aux patients qui doivent subir une intervention chirurgicale non cardiaque. Elle propose, entre autres, un algorithme décisionnel d’estimation du risque cardiaque périopératoire et de surveillance post-opératoire chez les patients subissant une chirurgie élective non cardiaque. Or, cet algorithme pourrait être moins pertinent à appliquer chez les patients avec une insuffisance rénale chronique (IRC) de stade 3b et plus (débit de filtration glomérulaire estimé (DGFe) < 45 mL/min/1,73m2) subissant une chirurgie élective non cardiaque. De fait, dans la présente étude, 145 sur 249 patients avec une IRC de stade 3b et plus, soit 58,2% (IC 95% : 51%–64%, p = 0,011) ont présenté un dosage préopératoire de NT-proBNP ≥ 300 mg/L. Parmi ces patients, 71,0% ont eu un dosage de troponines postopératoire complété. Bien que 24,3% d’entre eux aient subi un Myocardial Injury after Noncardiac Surgery (MINS), seulement 7,8% de ces patients ont bénéficié d’une intensification de leur thérapie antiplaquettaire ou hypolipidémiante afin de réduire leur mortalité à 30 jours postopératoire. La pertinence de l’application de cet algorithme décisionnel pourrait donc être remise en question chez les patients avec une IRC de stade 3b et plus, notamment quant au rapport coût-avantage. AbstractIn 2016, the Canadian Cardiovascular Society (CCS) released new perioperative guidelines for patients undergoing noncardiac surgery. The guidelines push on, among other things, a tree algorithm allowing estimation of perioperative cardiac risk and postoperative monitoring in patients undergoing elective noncardiac surgery. However, little is known about applying this algorithm to patients with stages 3b-5 chronic kidney disease (CKD) undergoing elective noncardiac surgery. In fact, the present study shows that 145 out of 249 patients with stages 3b-5 CKD (58.2% [95% CI: 51%-64%, p = 0.011]) presented preoperative NT-proBNP levels ≥ 300 mg/L. Of these 145 patients, 103 participants (71.0%) had a postoperative troponin measurement. Although 25 patients (24.3%) of the latter underwent myocardial injury after noncardiac surgery (MINS), only 8 patients (7.8%) benefited from a treatment intensification of their antiplatelet or lipid-lowering therapy to reduce mortality within 30 days following surgery. The CCS’ algorithm’s relevance can therefore be called into question in patients with stages 3b-5 CKD, particularly in regard to the benefit-cost ratio.
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Gabouga, Falmata Lénguébanga, Peggy Mboli-Goumba Guérendo, Edgard Djimbélé Béradjé, Battiston Juilis Ngombé-Kette, Alfred Gaudeuille et Léon Kobangué Grénguèto. « Aspects Epidemiologiques Cliniques et Paracliniques des Fasciites Necrosantes au Centre Hospitalo-universitaire Pediatrique de Bangui (CHUPB) ». European Scientific Journal, ESJ 19, no 9 (31 mars 2023) : 67. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n9p67.

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Résumé :
Introduction : La fasciïte nécrosante est une affection grave de la peau et des tissus sous cutanés. Son incidence est mal connue en République Centrafricaine. Le but de l’étude était de contribuer à l’amélioration de la prise en charge des fasciites nécrosantes à Bangui. Patients et méthode : Il s’agissait d’une étude transversale descriptive, réalisée au CHUPB du 1er Janvier 2019 au 30 Juin 2020. Après consentement éclairé des parents, les enfants âgés de 1 mois à 15 ans, présentant une fasciite nécrosante ont été inclus dans l’étude. Un questionnaire avait permis de collecter les données qui ont été analysées à l’aide du logiciel Epi Info 7 et Excel. Résultats : sur les 70 cas les, garçons représentaient 61% soit un sex-ratio de 1,6. La tranche de 0 à 5 ans était la plus touchée (62,9%). Les malades provenaient souvent des zones rurales (56%). Le syndrome inflammatoire du membre inférieur était le motif de consultation dans 78,5%. Les injections intramusculaires étaient la porte d’entrée cutanée dans 30% des cas. Le délai de consultation était supérieur à 7 jours dans 85,7% des cas. Plus de 50% des patients avait recours à l’automédication. La fasciite nécrosante était évoquée d’emblée chez 35,7% tandis que 64,3% des patients ont consulté pour des infections de la peau et/ou des parties molles. Une anémie microcytaire hypochrome de type inflammatoire et une hyperleucocytose étaient retrouvées dans respectivement 81,4% et 90% des cas. Une insuffisance rénale fonctionnelle était présente chez 15,7% des patients. Le streptocoque du groupe A était isolé chez 34% des patients. La chirurgie couplée à l’antibiothérapie était pratiquée chez tous les patients. L’évolution était satisfaisante dans 97,1%. Le taux de létalité était de 2,9%. Conclusion : La fasciite nécrosante est fréquente à Bangui. Des actions de sensibilisation sont nécessaires pour réduire l’impact de la maladie. Introduction: Necrotizing fasciitis is a serious condition of the skin and subcutaneous tissues. Its incidence is poorly known in the Central African Republic. The goal of the study was to contribute in improving the management of necrotizing fasciitis in Bangui. Patients and method: It was a descriptive cross-sectional study, carried out at CHUPB from January 1st, 2019 to June 30th, 2020. After the parents’ informed consent, children aged 1 month to 15 years with necrotizing fasciitis were included in the study. A questionnaire was used to collect the data, which were analyzed using Epi Info 7 and Excel software. Results: Out of the 70 cases, boys represented 61%, which was a sex ratio of 1.6. The 0 to 5 years old age group was the most affected (62.9%). Patients often came from rural areas (56%). Inflammatory syndrome of the lower limb was the chief complaint in 78.5%. IM injections were the cutaneous entry point in 30% of cases. The time from symptom onset to consultation was greater than 7 days in 85.7% of cases. More than 50% of patients resorted to self-medication. Necrotizing fasciitis was immediately evoked in 35.7% of patients. Inflammatory hypochromic microcytic anemia and hyperleukocytosis were found in respectively 81.4% and 90% of cases. Functional renal failure was present in 15.7% of patients. Group A streptococcus was isolated in 34% of patients. Surgery coupled with antibiotic therapy was performed in all patients. The evolution was satisfactory in 97.1%. The lethality rate was 2.9%. Conclusion: Necrotizing fasciitis is common in Bangui. Awareness actions are needed to reduce the impact of the disease.
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Amadieu, Romain, Adéla Chahine et Sophie Breinig. « Place et utilisation de la procalcitonine en réanimation pédiatrique et néonatale ». Médecine Intensive Réanimation 30, no 3 (23 août 2021) : 257–70. http://dx.doi.org/10.37051/mir-00072.

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Résumé :
La procalcitonine (PCT) est un biomarqueur d’infection bactérienne de plus en plus utilisé en pratique clinique. Dans un service de réanimation, l’interprétation des dosages sanguins de PCT peut être affectée par de nombreuses situations inflammatoires (brûlure, traumatisme, chirurgies extensives dont cardiaque, transfusion massive, insuffisance rénale…). Une revue de la littérature pédiatrique est réalisée et axée sur l’utilisation de la PCT dans trois domaines : marqueur diagnostique d’infection bactérienne ; marqueur d’exclusion d’infection bactérienne ; guide de la durée d’antibiothérapie. En réanimation pédiatrique, la PCT a une précision modérée pour le diagnostic d’infection bactérienne. La suspicion d’infection bactérienne doit rester clinique et conduire, quelle que soit la valeur de la PCT, à l’administration précoce d’une antibiothérapie probabiliste large spectre, secondairement adaptée à l’agent pathogène identifié et à son profil de sensibilité. De par sa valeur prédictive négative élevée, l’utilisation d’un algorithme guidé par la PCT semble intéressante en réanimation pédiatrique pour raccourcir la durée d’antibiothérapie totale et large spectre sans augmentation de réinfection, en utilisant des critères tels que PCT <0.5 ng/mL ou diminuant ≥50-80% par rapport à la valeur maximale. L'algorithme a démontré son efficacité et sa sécurité avec un haut niveau de preuve en réanimation adulte. Cependant, toutes les études pédiatriques publiées précédemment n’étaient pas randomisées. Deux essais contrôlés randomisés pédiatriques sont actuellement en cours : une large étude multicentrique française en réanimation néonatale et une étude monocentrique américaine en réanimation pédiatrique. Le nombre de sujet à inclure doit être suffisamment important pour valider l’objectif de sécurité (non infériorité en termes de mortalité). Enfin, le respect des recommandations pourrait à lui seul diminuer la durée d’antibiothérapie actuelle.
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Lakehal, Redha, Soumaya Bendjaballah, Radouane Boukarroucha, Farid Aimer, Rafik Nazal, Abdelmalek Brahami et Abdelmalek Bouzid. « Surgery of aortic Coarctation : about 40 cases ». Batna Journal of Medical Sciences (BJMS), 30 juin 2017, 53–57. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsoa.2017.4111.

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Résumé :
Introduction : La coarctation de l’isthme aortique est une cardiopathie congénitale (5-8%) dont la prise ne charge s’effectue à un âge précoce afin d’éviter les complications. Chirurgicalement, on distingue deux formes, celle de l'enfant et celle du nouveau-né. La prise en charge de ce type de pathologie dans notre pays souffre d’un retard de diagnostic et une chirurgie tardive, en conséquence, lors du suivi, deux problématiques se sont soulevés : devenir de l’HTA (quel est bénéfice de la chirurgie ?), et surtout, la constatation d’un gradient au niveau de la prothèse, s’agit-il d’un gradient fonctionnel ou d’un gradient organique (faut-il réintervenir ?). La particularité de notre étude réside dans la prise en charge de cette entité de certain âge, d’apporter nos résultats opératoires (morbi-mortalité) et à moyen terme (HTA, Récidive). Afin de répondre à cette problématique, nous avons mené cette étude rétrospective. Méthodes : De Janvier 2001 à Mai 2017, 40 patients ont bénéficié d’une chirurgie pour coarctation de l’aorte isthmique ; l’âge moyen est de 20 ans (4 à 46 ans), 32 hommes et 08 femmes ; HTA présente chez la majorité des patients ; le diagnostic établi à l’échographie Doppler cardiaque et l’angioTDM thoracique ; 04 patients ont été opérés sous CEC d’assistance ; le traitement avait consisté en une résection de la coarctation et mise en place d’un tube prothétique pour la majorité des patients. Résultats : La mortalité hospitalière globale est de 2,5 % (1 patient) ; Ventilation de 12,6 heures (3 heures à 24 j) ; Séjour en réanimation de 3,9 j en moyenne (1 à 24 j) ; Séjour hospitalier de15 j en moyenne (8 à 60 j). Complications hospitalières : deux patients ont présenté une insuffisance rénale aigue, les deux patients ont bénéficié d’une hémodialyse avec récupération de la fonction pour l’un et décès du second patient ; un patient a présenté une hémorragie digestive d’origine ulcéreuse (hémostase chirurgicale) ; saignement pleural chez 5 patients (contrôle chirurgical). Suivi moyen de 59 mois avec des extrêmes allant de 8 à 141 mois. Mortalité tardive de 1 patient. Conclusion : A l’heure actuelle, le traitement des coarctations fait appel à divers techniques (chirurgie, endovasculaire) ; l’essentiel dans la chirurgie des coarctations est d’éviter la survenue des complications majeures précoces (paraplégie, insuffisance rénale, complications ischémiques viscérales) et tardives (re-coarctation et anévrysme anastomotique). Néanmoins, l’indication opératoire doit être prise tôt par un diagnostic précoce afin d’éviter l’irréversibilité de l’HTA.
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Besnier, Emmanuel, Chadi Aludaat, Hélène Eltchaninoff et Éric Durand. « Ce qu'un réanimateur doit savoir des TAVI ». Médecine Intensive Réanimation, 24 décembre 2020. http://dx.doi.org/10.37051/mir-00047.

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Résumé :
Le rétrécissement aortique est la valvulopathie acquise la plus fréquente. Quand il devient serré et symptomatique, la mortalité à 2 ans est proche de 80% en l’absence de prise en charge. Le traitement repose sur le remplacement valvulaire, historiquement réalisé par voie chirurgicale. L’avènement des procédures percutanées par cathétérisme cardiaque TAVI (Trans-catheter Aortic Valve Implantation) a tout d’abord permis de traiterdes patients jugés inopérables, puis avec l’avancée des connaissances cette procédure s’est étendue aux populations à risque chirurgicale élevépuis intermédiaire, et a même été validée chez les patients à bas risque aux Etats-Unis suite à de grandes études multicentriques. Le principe consiste à implanter une bioprothèse aortique suturée sur un stent directement au sein de la valve native calcifiée, soit par un procédé de dilatation au ballonnet, soit par un procédé auto-expansé. Le TAVI présente l’avantage d’une procédure peu invasive, le plus souvent réalisée sous anesthésie locale et sédation, et une durée de séjour courte. La récupération fonctionnelle est plus rapide qu’après chirurgie cardiaque conventionnelle.Un autre avantage par rapport à la chirurgie cardiaque conventionnelle est un moindre taux de complications graves (choc cardiogénique, saignement majeure, accident vasculaire cérébrale, insuffisance rénale, décès toute cause). En revanche certaines complications sont plus spécifiques du TAVI comme l’apparition d’un trouble conduction de haut degré nécessitant la pose d’un pacemaker, et l’existence de complications vasculaires. La surveillance en soins intensifs en découlant est donc plus courte qu’après chirurgie et doit probablement être personnalisée selon le risque du patient. L’utilisation du TAVI chez les sujets à risque et/ou âgés semble parfaitement implanté en France. L’extension des indications à des sujets à bas risque et plus jeunes n’est pas encore autorisée en France et en Europe. L’étude de la durabilité des bioprothèses implantées par voie percutanée à long terme nécessite des investigations supplémentaires.
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Gabouga, Falmata Lénguébanga, Peggy Mboli-Goumba Guérendo, Edgard Djimbélé Béradjé, Battiston Juilis Ngombé-Kette, Alfred Gaudeuille et Léon Kobangué Grénguèto. « Aspects Epidemiologiques, Cliniques et Paracliniques des Fascilites Necrosantes au Centre Hospitalo-Universitaire Pediatrique de Bangui (CHUPB) ». European Scientific Journal ESJ 2 (28 février 2023). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.2.2023.p321.

Texte intégral
Résumé :
Introduction : La fasciïte nécrosante est une affection grave de la peau et des tissus sous cutanés. Son incidence est mal connue en République Centrafricaine. Le but de l’étude était de contribuer à l’amélioration de la prise en charge des fasciites nécrosantes à Bangui. Patients et méthode : Il s’agissait d’une étude transversale descriptive, réalisée au CHUPB du 1er Janvier 2019 au 30 Juin 2020. Après consentement éclairé des parents, les enfants âgés de 1 mois à 15 ans, présentant une fasciite nécrosante ont été inclus dans l’étude. Un questionnaire avait permis de collecter les données qui ont été analysées à l’aide du logiciel Epi Info 7 et Excel. Résultats : sur les 70 cas les, garçons représentaient 61% soit un sex-ratio de 1,6. La tranche de 0 à 5 ans était la plus touchée (62,9%). Les malades provenaient souvent des zones rurales (56%). Le syndrome inflammatoire du membre inférieur était le motif de consultation dans 78,5%. Les injections intramusculaires étaient la porte d’entrée cutanée dans 30% des cas. Le délai de consultation était supérieur à 7 jours dans 85,7% des cas. Plus de 50% des patients avait recours à l’automédication. La fasciite nécrosante était évoquée d’emblée chez 35,7% tandis que 64,3% des patients ont consulté pour des infections de la peau et/ou des parties molles. Une anémie microcytaire hypochrome de type inflammatoire et une hyperleucocytose étaient retrouvées dans respectivement 81,4% et 90% des cas. Une insuffisance rénale fonctionnelle était présente chez 15,7% des patients. Le streptocoque du groupe A était isolé chez 34% des patients. La chirurgie couplée à l’antibiothérapie était pratiquée chez tous les patients. L’évolution était satisfaisante dans 97,1%. Le taux de létalité était de 2,9%. Conclusion : La fasciite nécrosante est fréquente à Bangui. Des actions de sensibilisation sont nécessaires pour réduire l’impact de la maladie.
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Gabouga, Falmata Lénguébanga, Peggy Mboli-Goumba Guérendo, Edgard Djimbélé Béradjé, Battiston Juilis Ngombé-Kette, Alfred Gaudeuille et Léon Kobangué Grénguèto. « Aspects Epidemiologiques, Cliniques et Paracliniques des Fascilites Necrosantes au Centre Hospitalo-Universitaire Pediatrique de Bangui (CHUPB) ». European Scientific Journal ESJ 2 (20 février 2023). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.2.2023p321.

Texte intégral
Résumé :
Introduction : La fasciïte nécrosante est une affection grave de la peau et des tissus sous cutanés. Son incidence est mal connue en République Centrafricaine. Le but de l’étude était de contribuer à l’amélioration de la prise en charge des fasciites nécrosantes à Bangui. Patients et méthode : Il s’agissait d’une étude transversale descriptive, réalisée au CHUPB du 1er Janvier 2019 au 30 Juin 2020. Après consentement éclairé des parents, les enfants âgés de 1 mois à 15 ans, présentant une fasciite nécrosante ont été inclus dans l’étude. Un questionnaire avait permis de collecter les données qui ont été analysées à l’aide du logiciel Epi Info 7 et Excel. Résultats : sur les 70 cas les, garçons représentaient 61% soit un sex-ratio de 1,6. La tranche de 0 à 5 ans était la plus touchée (62,9%). Les malades provenaient souvent des zones rurales (56%). Le syndrome inflammatoire du membre inférieur était le motif de consultation dans 78,5%. Les injections intramusculaires étaient la porte d’entrée cutanée dans 30% des cas. Le délai de consultation était supérieur à 7 jours dans 85,7% des cas. Plus de 50% des patients avait recours à l’automédication. La fasciite nécrosante était évoquée d’emblée chez 35,7% tandis que 64,3% des patients ont consulté pour des infections de la peau et/ou des parties molles. Une anémie microcytaire hypochrome de type inflammatoire et une hyperleucocytose étaient retrouvées dans respectivement 81,4% et 90% des cas. Une insuffisance rénale fonctionnelle était présente chez 15,7% des patients. Le streptocoque du groupe A était isolé chez 34% des patients. La chirurgie couplée à l’antibiothérapie était pratiquée chez tous les patients. L’évolution était satisfaisante dans 97,1%. Le taux de létalité était de 2,9%. Conclusion : La fasciite nécrosante est fréquente à Bangui. Des actions de sensibilisation sont nécessaires pour réduire l’impact de la maladie.
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Cherif Benmoussa, Mahfoud, Zineb Rbibes, Lamia Hadj Safi, Riad Grari et Mustapha Benmansour. « A better dialysis for a more successful transplantation ». Batna Journal of Medical Sciences (BJMS), 30 juin 2017, 59–65. http://dx.doi.org/10.48087/bjmstfa.2017.4113.

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Résumé :
La transplantation rénale est une méthode de suppléance à l’insuffisance rénale chronique terminale. Elle offre bien des avantages à la dialyse, avec meilleure qualité de vie et une moindre morbi-mortalité. Cette alternative a dû se développer depuis le début du 20ème siècle. Les médecins ont dû résoudre des obstacles chirurgicaux, immunologiques, infectieux. La pratique a aussi connu des obstacles religieux, sociaux pour toujours céder à la promotion de la santé surtout devant des incidences de plus en plus importantes de la maladie rénale. Cette méthode doit être discutée avant même le stade terminal de la maladie. Des précautions et recommandations sont préconisées au cours du suivi de l’insuffisant rénal pour faciliter l’accès à la transplantation et pour garantir une bonne survie du futur greffon. Ces dernières sont représentées essentiellement par le dépistage et/ou le traitement des évènements cardiovasculaires, l’éviction de l’immunisation du patient et le diagnostic les néphropathies, surtout quand celles-ci risquent de récidiver. La transplantation d’organe nécessite un plateau technique bien établi, assez complexe avec la coordination de plusieurs intervenants : biologistes, microbiologistes, virologues, chirurgiens, radiologues, psychologues, immunologistes, équipes paramédicales et néphrologues. Il n’en est que cette activité est initiée au chevet d’un insuffisant rénal chronique qui peut être aperçoit la dialyse comme voie sans issue.
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