Littérature scientifique sur le sujet « Hormones corticosurrénaliennes – effets indésirables »

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Articles de revues sur le sujet "Hormones corticosurrénaliennes – effets indésirables"

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BRIANT, C., D. GUILLAUME, P. L. TOUTAIN et M. R. BLANC. « Superovulation chez la jument avec les hormones gonadotropes : le point sur la situation et nouvelles données ». INRAE Productions Animales 20, no 4 (7 novembre 2007) : 275–94. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.4.3466.

Texte intégral
Résumé :
Chez les espèces domestiques de rente, les traitements de superovulation sont destinés à augmenter le taux naturel d’ovulations, afin de produire plusieurs embryons au cours d’un même cycle et de les transférer chez des femelles receveuses. Pour l’espèce équine, aucun traitement n’est commercialisé car, d’une part, les gonadotrophines commercialisées pour les autres espèces de rente sont inefficaces chez la jument, d’autre part, les réponses aux traitements montrent une grande variabilité. Chez la jument, les traitements administrés utilisent la FSH équine (eFSH). La variabilité des réponses concerne à la fois les capacités de stimulation, représentées par le nombre de follicules préovulatoires, le nombre d’ovulations et le nombre d’embryons transférables. Comme pour l’ensemble des espèces de rente, les causes de cette variabilité sont multiples. Parmi celles-ci une posologie d’administration des gonadotrophines inadaptée est responsable d’anomalies de la folliculogénèse et de perturbations endocriniennes qui conduisent à une diminution de la production d’embryons. Partant des modèles proposés dans l’espèce bovine, de nouvelles études ont été conduites chez la jument afin de déterminer les interactions entre les altérations folliculaires et endocrines et de préciser quels étaient les paramètres agissant sur la production d’embryons. Une posologie idéale a ensuite été recherchée comme étant capable de reproduire des taux plasmatiques physiologiques de FSH, susceptibles d’induire une superovulation, sans effets indésirables. Cette posologie correspond à l’apport d’une quantité quotidienne de eFSH égale à environ 50 % du taux de production journalier de la jument ovariectomisée. A partir de l’ensemble de ces données, un protocole de traitement peut actuellement être proposé, avec l’espérance d’obtenir pour une jument et par cycle traité une moyenne de 3 à 4 ovulations et 1,8 à 2,5 embryons. Différentes stratégies sont ensuite abordées qui pourraient améliorer l’efficacité des traitements. Cependant la commercialisation future d’une préparation de eFSH pour l’espèce équine est incertaine, du fait de la fourniture limitée des hypophyses nécessaires, des contraintes sanitaires liées à ce type de produit et de la nécessité de préparer un produit spécifique pour cette espèce.
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Windisch, Paul A., Frank J. Papatheofanis et Karl A. Matuszewski. « Recombinant Human Growth Hormone for AIDS-Associated Wasting ». Annals of Pharmacotherapy 32, no 4 (avril 1998) : 437–45. http://dx.doi.org/10.1345/aph.17255.

Texte intégral
Résumé :
OBJECTIVE: To review the current literature regarding the role of recombinant human growth hormone (rhGH) in the treatment of AIDS-associated wasting and to briefly describe alternative therapies. DATA SOURCES: A literature search was performed on MEDLINE and AIDSLINE for the period from January 1985 through September 1997. Key words used in the search strategy were growth hormone, human immunodeficiency virus, acquired immune deficiency syndrome, wasting, and weight gain. STUDY SELECTION AND DATA EXTRACTION: All articles were considered for possible inclusion in this review. Abstracts were included only when they were judged to add critical information. Thereafter, the inclusion was restricted to English-language articles and abstracts on clinical trials and human studies in AIDS-associated wasting. DATA SYNTHESIS: Body wasting, characterized by an involuntary loss of body cell mass, is a well-recognized feature of many chronic diseases, including infection with HIV. AIDS-associated wasting is a metabolic disorder characterized by weight loss, depletion of lean body mass (LBM), and preservation of body fat, leading to muscle weakness and organ failure. rhGH has been approved by the Food and Drug Administration for use in treating AIDS-associated wasting. The adverse event profile is similar to that of other rhGH products. The recommended dosage of rhGH is 4–6 mg administered by subcutaneous injection daily. It offers a more expensive alternative to appetite stimulants such as megestrol acetate and dronabinol. CONCLUSIONS: Trials with rhGH on the control of wasting in patients with AIDS have been encouraging, but with limited conclusive evidence of sustainable positive outcomes. Studies demonstrate that rhGH increases LBM and decrease adipose tissue, but how these translate into long-term outcomes such as decreased hospitalization, morbidity, and mortality has yet to be determined. A formal health economic assessment is needed to properly determine the impact of rhGH on the healthcare system. OBJETIVO: Revisar la literatura actual sobre el papel que desempeña la hormona humana recombinante en el tratamiento del desgastamiento asociado al SIDA y también describir brevemente otras alternativas de tratamiento. FUENTES DE INFORMACIÓN: Se investigó la literatura entre el año 1985 y septiembre del año 1997 usando como fuentes de información las bases de datos MEDLINE y AIDSLINE. Las palabras claves empleadas en la estrategia de investigación fueron hormona de crecimiento, virus de la inmuno deficiencia humana (VIH), síndrome de la inmuno deficiencia adquirida, desgastamiento y pérdida de peso. SELECCION DE FUENTES DE INFORMACIÓN Y MÉTODO DE EXTRACCION DE INFORMACIÓN: Se incluyeron en la revisión todos los artículos identificados en la literatura sobre el tópico en cuestion. También se incluyeron extractos, sólo y cuando se consideraban que añadían información crítica. Después de emplear estos dos criterios de selección, la inclusión de artículos se restringió a publicaciones en inglés y extractos de estudios clínicos y estudios en humanos sobre el desgastamiento asociado al SIDA. SÍNTESIS: El desgastamiento humano, caracterizado por una pérdida involuntaria de la masa celular corporal, está bien reconocido como una característica de muchas enfermedades crónicas, incluyendo la infección con el VIH. El desgastamiento asociado al SIDA es un desorden metabólico caracterizado por pérdida de peso, vaciamiento de la masa corporal magra y preservación de la grasa corporal. Esto conlleva a debilidad muscular y falla de los órganos. La hormona de crecimiento humana recombinante es un agente aprobado por la Administracion de Drogas y Alimentos para el tratamiento del desgastamiento asociado al SIDA. El perfil de seguridad del medicamento es similar al de los otros productos de la misma clase. La dosis de la hormona de crecimiento humana recombinante recomendada es de 4–6 mg diarios administrados subcutáneamente. El uso de este medicamento representa una alternativa más costosa que el uso de estimulantes del apetito, tales como el acetato de megestrol y el dronabinol. CONCLUSIONES: Los estudios realizados con la hormona de crecimiento humana recombinante en el control del desgastamiento en pacientes con SIDA han sido muy estimulantes pero con limitadas evidencias conclusivas de que sus efectos positivos se sostengan por largo plazo. Los estudios demuestran que la hormona de crecimiento humana recombinante incrementa la masa corporal magra y disminuye el tejido adiposo. Falta por determinar el impacto que éstos efectos pueden tener sobre parámetros de evaluación a largo plazo tales como la disminución del número de hospitalizaciones, morbididad, y mortalidad. Se necesita de una evaluación económica sanitaria formal para determinar el impacto que la hormona de crecimiento humana recombinante puede tener en el sistema del cuidado de la salud. OBJECTIF: Revoir la littérature au sujet de la place de l'hormone de croissance humaine recombinée dans le traitement du syndrome de perte de poids inexpliquée chez les personnes ayant développé le SIDA et de décrire brièvement les autres thérapies. REVUE DE LITTÉRATURE: Une recherche a été effectuée dans les banques de données informatisées MEDLINE et AIDSLINE couvrant les années 1985 à septembre 1997. Les mots clés utilisés étaient: hormone de croissance, virus de l'immunodéficience humaine (VIH), syndrome d'immunodéficience acquise, perte de poids, et gain de poids. SÉLECTION DES ÉTUDES ET DE L'INFORMATION: Tous les articles pouvaient être inclus dans cette revue. Les résumés étaient inclus seulement lorsqu'ils apportaient de l'information additionnelle essentielle. Seuls les articles en langue anglaise ont été retenus et les résumés d'études cliniques chez l'humain concernant le syndrome de perte de poids inexpliquée chez les sidéens. RÉSUMÉ: La cachexie, caractérisée par une perte involontaire de masse corporelle, est une entité reconnue lors de plusieurs maladies chroniques, incluant l'infection par le VIH. La perte de poids inexpliquee accompagnant le SIDA est un désordre métabolique caractérisé par une perte de poids, une perte de la masse corporelle maigre, et la conservation des gras corporels conduisant à une faiblesse musculaire et à des troubles organiques. L'hormone de croissance humaine recombinée est reconnue par l'Administration des Drogues et Alimentaires pour le traitement du syndrome de perte de poids inexpliquée associée au SIDA. Le profil d'effets indésirables est similaire à celui des autres hormones de croissance. La dose recommandée est de 4–6 mg sous-cutané une fois par jour. Ce traitement est une alternative plus coûteuse que les stimulants de l'appétit comme l'acétate de mégestrol et le dronabinol. CONCLUSIONS: Les essais avec l'hormone de croissance humaine recombinée pour le contrôle de la perte de poids inexpliquée chez les sidéens sont encourageants, mais l'évidence de résultats positifs soutenus est limitée. Les études montrent que cette hormone augmente la masse corporelle maigre et diminue la masse adipeuse, mais la signification à long terme de ces effets sur l'hospitalisation, la morbidité et la mortalité est encore inconnue. Une évaluation pharmacoéconomique stricte est nécessaire pour déterminer correctement l'impact de ce traitement sur le système de soins de santé.
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Thèses sur le sujet "Hormones corticosurrénaliennes – effets indésirables"

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Rouzé, Anahita. « Impact de l'infection par SARS-CoV-2 sur l'épidémiologie des infections respiratoires bactériennes et des aspergilloses pulmonaires invasives chez les patients de réanimation sous ventilation mécanique ». Electronic Thesis or Diss., Université de Lille (2022-....), 2024. https://pepite-depot.univ-lille.fr/ToutIDP/EDBSL/2024/2024ULILS017.pdf.

Texte intégral
Résumé :
Objectifs : Le projet CoVAPid visait à étudier l'impact de l'infection par SARS-CoV-2 sur l'épidémiologie des infections respiratoires bactériennes et fongiques chez les patients de réanimation sous ventilation mécanique (VM). Trois entités ont été analysées : les infections pulmonaires bactériennes précoces, les infections respiratoires bactériennes acquises sous VM (IAVM) - pneumonies (PAVM) et trachéobronchites (TAVM) - et les aspergilloses pulmonaires invasives (API). Les objectifs principaux étaient de comparer la prévalence d'infection pulmonaire bactérienne précoce entre les patients admis pour COVID-19 et pour grippe, de comparer l'incidence d'IAVM chez les patients admis pour COVID-19, grippe ou un autre motif qu'une pneumonie virale, de comparer la prévalence d'infection pulmonaire bactérienne précoce et l'incidence d'IAVM entre les patients de la 1ère et 2nde vagues pandémiques de COVID-19, de déterminer l'impact de la PAVM sur la mortalité des patients atteints de COVID-19, de déterminer l'impact de la corticothérapie sur l'incidence des PAVM chez les patients atteints de COVID-19, et de comparer l'incidence d'API chez les patients admis pour COVID-19 ou grippe.Méthodes : Cohorte multicentrique européenne observationnelle rétrospective impliquant 36 services de réanimation, incluant consécutivement des patients adultes sous VM pendant plus de 48h, répartis en quatre groupes selon leur motif d'admission: COVID-19 (1ère et 2nde vagues), grippe, et autres.Résultats : Au total, 2172 patients ont été inclus. La prévalence d'infection pulmonaire bactérienne dans les 48 heures suivant l'intubation était significativement inférieure chez les patients COVID-19 (9,7%) par rapport à ceux admis pour grippe (33,6% ; odds ratio (OR) ajusté 0,23 ; intervalle de confiance à 95% 0,16-0,33). L'incidence des IAVM était significativement plus élevée chez les patients COVID-19 (50,5%) comparée à ceux admis pour grippe (30,3% ; sub hazard ratio (sHR) ajusté 1,6 (1,26-2,04)) et sans infection virale (25,3% ; sHR ajusté 1,7 (1,20-2,39)), avec une incidence de PAVM significativement plus élevée dans le groupe COVID-19 par rapport aux deux autres groupes. La prévalence d'infection précoce a significativement augmenté entre la 1ère et la 2nde vague (9,7 vs 14,9%, OR ajusté 1,52 (1,04-2,22)), tout comme l'incidence des PAVM (36 vs 44,8% ; sHR ajusté 1,37 (1,12-1,66). La PAVM était associée à une augmentation significative de la mortalité à J28 chez les patients COVID-19 (HR ajusté 1,65 (1,11-2,46)), ce qui n'était pas observé chez les patients admis pour grippe et sans infection virale. Cependant, aucune différence significative dans l'hétérogénéité de l'association entre PAVM et mortalité n'était constatée entre les trois groupes de l'étude. La relation entre la corticothérapie et l'incidence de PAVM n'était pas statistiquement significative (p=0,082 pour l'effet global), avec un risque de PAVM variant au cours du temps à partir de l'initiation du traitement. Enfin, l'incidence d'API putative (définie par l'algorithme AspICU) était significativement plus faible dans le groupe COVID-19 par rapport au groupe grippe (2,5% vs 6% ; HR cause-spécifique ajusté 3,29 (1,53-7,02). Conclusion : Le projet CoVAPid a mis en évidence une prévalence moindre d'infections pulmonaires bactériennes précoces chez les patients COVID-19 par rapport à ceux atteints de grippe, avec une augmentation significative entre la 1ère et la 2nde vague pandémique. L'incidence de PAVM était plus élevée chez les patients COVID-19, comparativement aux patients admis pour grippe ou sans infection virale à l'admission, et augmentait significativement entre la 1ère et la 2nde vague. Chez les patients COVID-19, la corticothérapie n'avait pas d'effet notable sur l'incidence des PAVM, et la survenue d'une PAVM était associée à une augmentation significative de la mortalité à J28. L'incidence d'API était plus faible au cours de la COVID-19, en comparaison à la grippe
Objectives: The CoVAPid project aimed to study the impact of SARS-CoV-2 infection on the epidemiology of bacterial and fungal respiratory infections in critically ill patients requiring mechanical ventilation (MV). Three entities were analyzed: early bacterial pulmonary infections, bacterial ventilator-associated lower respiratory tract infections (VA-LRTI) including ventilator-associated pneumonia (VAP) and ventilator-associated tracheobronchitis (VAT), and invasive pulmonary aspergillosis (IPA). The main objectives were to compare the prevalence of early bacterial pulmonary infection between patients admitted for COVID-19 and influenza, to compare the incidence of VA-LRTI among patients admitted for COVID-19, influenza, or other reasons than viral pneumonia, to compare the prevalence of early bacterial pulmonary infection and the incidence of VA-LRTI between patients from the 1st and 2nd pandemic waves of COVID-19, to determine the impact of VAP on mortality in patients with COVID-19, to assess the effect of corticosteroid therapy on the incidence of VAP in patients with COVID-19, and to compare the incidence of IPA between patients with COVID-19 and influenza. Methods: This was a retrospective observational multicenter European cohort involving 36 centers. Adult patients under MV for more than 48 hours were consecutively included and divided into four groups according to their ICU admission cause: COVID-19 (1st and 2nd wave, influenza, and others. Results: A total of 2172 patients were included. The prevalence of bacterial pulmonary infections within 48 hours following intubation was significantly lower in COVID-19 patients (9.7%) compared to those admitted for influenza (33.6%, adjusted odds ratio (OR) 0.23, 95% confidence interval 0.16-0.33). The incidence of VA-LRTI was significantly higher in COVID-19 patients (50.5%) compared to those admitted for influenza (30.3%, adjusted sub-hazard ratio (sHR) 1.6 (1.26-2.04)) and those without viral infection (25.3%, sHR 1.7 (1.20-2.39)), with a significantly higher incidence of VAP in the COVID-19 group compared to the other two groups. The prevalence of early infection significantly increased between the 1st and 2nd wave (9.7 vs 14.9%, adjusted OR 1.52 (1.04-2.22)), as did the incidence of VAP (36 vs 44.8%; adjusted sHR 1.37 (1.12-1.66)). VAP was associated with a significant increase in 28-day mortality in COVID-19 patients (adjusted HR of 1.65 (1.11-2.46)), which was not observed in patients admitted for influenza and without viral infection. However, no significant difference in the heterogeneity of the association between VAP and mortality was observed among the three study groups. The relationship between corticosteroid exposure and the incidence of VAP was not statistically significant (p=0.082 for the overall effect), despite a varying risk of VAP over time since the initiation of treatment. Finally, the incidence of putative IPA (defined by the AspICU algorithm) was significantly lower in the COVID-19 group compared to the influenza group (2.5% vs 6%, cause-specific adjusted HR 3.29 (1.53-7.02)). Conclusion: The CoVAPid project highlighted a lower prevalence of early bacterial pulmonary infections in COVID-19 patients compared to those with influenza, with a significant increase between the 1st and 2nd pandemic wave. The incidence of VAP was higher in COVID-19 patients, compared to patients admitted for influenza or without viral infection at admission, and significantly increased between the 1st and 2nd wave. In COVID-19 patients, corticosteroid therapy had no significant effect on the incidence of VAP, and the occurrence of VAP was associated with a significant increase in 28-day mortality. The incidence of IPA was lower among patients with COVID-19 than those with influenza
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Livres sur le sujet "Hormones corticosurrénaliennes – effets indésirables"

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Rachel, Snow, Hall Peter 1943- et Symposium on Steroid Contraceptives and Women's Response : Regional Variability in Side-Effects and Steroid Pharmacokinetics (1990 : Exeter, N.H.), dir. Steroid contraceptives and women's response : Regional variability in side-effects and pharmacokinetics. New York : Plenum Press, 1994.

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Peter, Hall, et Rachel Snow. Steroid Contraceptives and Women's Response : Regional Variability in Side-Effects and Steroid Pharmacokinetics. Springer, 2012.

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