Bibliographies thématiques / Gottsched, Johann Christoph, 1700-1766

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  1. Articles de revues
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Littérature scientifique sur le sujet « Gottsched, Johann Christoph, 1700-1766 »

Auteur : Grafiati
Publié le 10 mars 2023

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Articles de revues sur le sujet "Gottsched, Johann Christoph, 1700-1766"

1

Weing, Siegfried, et Phillip Marshall Mitchell. « Johann Christoph Gottsched (1700-1766) : Harbinger of German Classicism ». South Atlantic Review 60, no 3 (septembre 1995) : 157. http://dx.doi.org/10.2307/3201157.

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2

Menhennet, Alan, et P. M. Mitchell. « Johann Christoph Gottsched (1700-1766) : Harbinger of German Classicism ». Modern Language Review 92, no 1 (janvier 1997) : 239. http://dx.doi.org/10.2307/3734776.

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3

Bitzel, Alexander. « Johann Lorenz von Mosheim (1693–1755), Johann Christoph Gottsched (1700–1766) und die Predigt ». Evangelische Theologie 78, no 2 (1 avril 2018) : 126–36. http://dx.doi.org/10.14315/evth-2018-0206.

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4

Roth, Kersten Sven. « Wissenschaftsrhetorik : Johann Christoph GottschedsAusführliche Redekunst(1759) als Lehre vom Wissenstransfer ». Historiographia Linguistica International Journal for the History of the Language Sciences 31, no 2-3 (2004) : 329–44. http://dx.doi.org/10.1075/hl.31.2-3.06rot.

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Résumé :
This paper assumes that the key to the understanding of the works of the early Enlightenment philosopher Johann Christoph Gottsched (1700–1766) does not lie in his poetological works, which were preferably read and criticized by his contemporaries, but rather, besides his grammatological works, in his writings on oratory, in particular in theAusführliche Redekunstof 1759. This paper interprets these works as an attempt to save the art of rhetoric which was on the verge of extinction and to bring it forth into the ‘Critical Age’ (‘kritisches Zeitalter’), and, furthermore, to establish a concept of rational scientific oratory which would stand in strict contrast to the ancient topica on the one hand and to the contemporary courtly ‘Complimentierkunst’ on the other. Therefore, the main point of focus becomes the paradox of a claim for truth and effectiveness, problematized by the timeless quandary of knowledge transfer. Accordingly, the paper attempts to demonstrate this problem’s actuality and thus the value of Gottsched’s concepts of rhetoric for the modern production of (rather popular) scientific texts.
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5

Berk, Seth. « Johann Christoph Gottsched (1700–1766) : Philosophie, Poetik und Wissenschaft ed. by Eric Achermann ». Goethe Yearbook 22, no 1 (2015) : 298–99. http://dx.doi.org/10.1353/gyr.2015.0009.

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6

Roth, Kersten Sven. « Wissenschaftsrhetorik ». Historiographia Linguistica 31, no 2-3 (31 décembre 2004) : 329–44. http://dx.doi.org/10.1075/hl.31.2.06rot.

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Résumé :
Zusammenfassung Der vorliegende Aufsatz geht von der Annahme aus, dass der Schlüssel zum Gesamtwerk des Frühaufklärers Johann Christoph Gottsched (1700–1766) nicht in dessen von seinen Zeitgenossen bevorzugt rezipierten und kritisierten poetologischen Arbeiten zu suchen ist, sondern außer in den grammatologischen in seinen Schriften zur Rhetorik, insbesondere in der Ausführlichen Redekunst von 1759. Er interpretiert diese als den Versuch, die vom Untergang bedrohte Redekunst in das ‘kritische Zeitalter’ zu retten und in strikter Abgrenzung von der antiken Topik einerseits wie der zeitgenössischen höfischen ‘Complimentierkunst’ andererseits eine vernunftgerechte Wissenschaftsrhetorik zu konzipieren. In das Zentrum des Interesses rückt damit der Umgang mit dem Paradoxon aus Wahrheits- und Wirksamkeitsanspruch als zeitloses Problem des Wissenstransfers. Entsprechend versucht der Aufsatz, die Aktualität dieses Problems und damit auch den Wert der Gottschedschen Rhetorik für die moderne (populär)wissenschaftliche Textproduktion aufzuzeigen.
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7

Currie, Pamela. « Reviews : Johann Christoph Gottsched (1700-1766). By P. M. Mitchell. Columbia, SC : Camden House, Inc., 1995. (Distributed by Boydell & ; Brewer, Woodbridge.) Pp. x + 131. £37.00 ». Journal of European Studies 26, no 1 (mars 1996) : 94–95. http://dx.doi.org/10.1177/004724419602600116.

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8

Košenina, Alexander. « P.M. Mitchell, Johann Christoph Gottsched (1700-1766). Harbringer of German Classicism. » Arbitrium 14, no 2 (1996). http://dx.doi.org/10.1515/arbi.1996.14.2.226.

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9

Dehrmann, Mark-Georg. « Eric Achermann (Hg.), Johann Christoph Gottsched (1700‒1766). Philosophie, Poetik und Wissenschaft ». Arbitrium 33, no 1 (1 janvier 2015). http://dx.doi.org/10.1515/arb-2014-0095.

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Thèses sur le sujet "Gottsched, Johann Christoph, 1700-1766"

1

Quéval, Marie-Hélène. « Les paradoxes d'Éros, ou l'amour dans l'oeuvre de Johann Christoph Gottsched ». Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1994PA040120.

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Résumé :
Gottsched possède une personnalité paradoxale et cultive le paradoxe (Cicéron, Diderot) comme mode de raisonnement. Ainsi la galanterie élève la femme au rang de déesse pour la soumettre aux hommes. A l'hermaphrodite (galant efféminé), Gottsched préfère l'androgyne (femme virile, émancipée), à l'amour galant l'amour raisonnable (Platon, Aristote, Thomasius). La deuxième partie établit la filiation qui lie Gottsched aux libertins français (Gassendi, le Vayer, Fontenelle) et insiste sur la lutte contre l'orthodoxie luthérienne l'optimisme leibnizien est un pari. Eros fournit matière à une série de paradoxes répondant à ceux de Bayle. Enfin sur le plan esthétique, Gottsched défend un rationalisme sensible : la tragédie suscite les passions. Il souligne la nature paradoxale du plaisir éprouvé lors du spectacle tragique : le spectateur jouit de sa souffrance et ne recherche pas son apaisement. Gottsched bannit la galanterie, non pas l'amour, de la tragédie, car la katharsis prend un sens esthétique : elle surmonte la souffrance par la beauté formelle et permet ainsi l'expérience du sublime
Gottsched has a paradoxical personnality and cultivates paradox (Cicero, Diderot) as a philosophical method. The paradox of gallantry is that it raises woman to the status of goddess in order to ensure her subjugation to male power, in place of the effeminate ideal of gallantry (the hermaphrodite), Gottsched promotes the ideal of the androgyne (the virile, emancipated woman). In place of gallant love, he favors reasoned love (Plato, Aristotle, Thomasius). The second section establishes and defines links between Gottsched and the erudite French libertines, such as Gassendi, le Vayer and Fontenelle, while emphasizing the importance of opposition to Lutheran orthodoxy. Leibnizian optimism is a wager. Eros is at the center of a series of paradoxes which counter those associated with Bayle. Finally, in the field of aesthetics, Gottsched is the voice of sensitive rationalism, arguing that tragedy arouses passionate feelings. He highlights the paradoxical nature of the pleasure forn of stage tragedy: the spectator draws pleasure from his or her own suffering. Gottsched rejects gallantry, not love, for catharsis takes on aesthetic meaning and value, overcoming suffering through formal beauty, thus allowing access to the sublime
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2

Julliard, Catherine. « La réception des théories esthétiques françaises par le théâtre allemand de la Frühaufklarung ». Paris 4, 1992. http://www.theses.fr/1992PA040127.

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Résumé :
La période étudiée, domaine encore peu exploré jusque-là, s'étend sur les premières décennies du XVIIIe siècle et est caractérisée par diverses ruptures, philosophique, stylistique, esthétique, avec le siècle précèdent et notamment avec l'héritage formel et conceptuel de la seconde école silésienne. La situation psychologique de l'époque est définie par la conscience allemande de carences dans le domaine dramaturgique et culturel, accentuée par les réactions des étrangers raillant l'état de la littérature germanique. La conjoncture allemande spécifique, marquée par la perception d'une infériorité dans le cadre européen, est à l'origine d'un vaste phénomène d'accueil de théories théâtrales françaises. La réception, ou passage d'un espace culturel à un autre, apparait comme la réponse à une attente, les emprunts jouant un rôle capital dans l'élaboration d'un nouvel édifice théorique dramatique. Le modèle préconise par Gottsched, sur lequel est centrée l'étude, est la France, gardienne du legs antique, exemple réussi d'une culture nationale, idéale de théorie théâtrale reposant sur un ensemble de normes. Ces canons littéraires transmis par la France constituent des références majeures dans le théâtre allemand. La méthode observée consiste en une lecture des textes théoriques français et allemands à la lumière d'axes de réflexion. L'étude montre que Gottsched s'inspire de la tradition classique et néo-classique française. Elle décèle la cohérence des apports français que l'allemand intègre dans l'édification de son programme national
The period to be studied, a domain that has been until now little explored, extends over the first decades of the eighteenth century and is characterized by different ruptures with the previous century, particularly with the formal and conceptual heritage of the second Silesian school. The psychological situation of the epoch is defined by the German consciousness of deficiencies in the dramatic and cultural sphere, increased by the reactions of foreigners who mock German literature. The specific German situation is the origin of the reception of French dramatic theories. The reception, or the passage from one cultural sphere to another, meets German expectations, and the borrowings play a cardinal part in the elaboration of a new dramatic theoretical edifice. The model advocated by Gottsched, who is the focus of the study, is France, a successful example of a national culture, an ideal of dramatic theory which is based on norms. The method employed consists in a reading of texts in French and German theory with the consideration of major themes. The study shows that Gottsched is inspired by the French classical and neoclassical tradition. It attempts to reveal the coherence of the French contributions that the German writer integrates into the edification of his national program
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3

NOKKALA, Ere Pertti. « Passions and the German enlightenment : the political thought of J.H.G. von Justi ». Doctoral thesis, 2010. http://hdl.handle.net/1814/14985.

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Résumé :
Defence date: 14 October 2010
Examining Board: Prof. Martin van Gelderen (European University Institute) supervisor; Prof. Hans Erich Bödeker (Max Planck Institute for the History of Science, External supervisor); Prof. Pasi Ihalainen (University of Jyväskylä); Prof. Sebastian Conrad (European University Institute)
PDF of thesis uploaded from the Library digital archive of EUI PhD theses
This thesis is the first comprehensive interpretation of J.H.G. von Justi’s political and international thought. It demonstrates that the intellectual world of Justi was much more diverse and open than has previously been admitted. The same is true of the tradition of cameralism which has been largely misunderstood. Cameralism was not an obstacle for the reception of natural law theories that emphasised the passionate and self-interested side of the human nature. On the contrary, it was Justi who built his sciences of state on the foundation of natural law. So far those scholars who have admitted the importance of the natural law to Justi - with the exception of Horst Dreitzel - have fallen back on the idea that the natural law Justi adopted was that of Christian Wolff, an interpretation which is in itself another sign of the belief that German enlightenment was a unitary movement. However, it was the natural law of Schmauss and not of Wolff on which Justi built his theory of the state and similarly, of international relations. The German enlightenment was not a singular movement solely in the hands of rationalist metaphysicians. One of the guiding lines of this thesis is that Justi’s entire thought was constructed to oppose this tradition.
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Livres sur le sujet "Gottsched, Johann Christoph, 1700-1766"

1

Achermann, Eric, dir. Johann Christoph Gottsched (1700-1766). München : DE GRUYTER, 2013. http://dx.doi.org/10.1524/9783050060576.

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2

Mitchell, Phillip Marshall. Johann Christoph Gottsched (1700-1766) : Harbinger of German classicism. Columbia, S.C : Camden House, 1995.

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3

Johann Christoph Gottsched (1700-1766) : Harbinger of German classicism. Columbia, S.C : Camden House, 1995.

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4

Achermann, Eric, Nadine Lenuweit et Vincenz Pieper. Johann Christoph Gottsched (1700-1766) : Philosophie, Poetik und Wissenschaft. Berlin : Akademie Verlag, 2014.

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Chapitres de livres sur le sujet "Gottsched, Johann Christoph, 1700-1766"

1

« Johann Christoph Gottsched, 1700–1766 ». Dans Translating Literature : the German Tradition from Luther to Rosenzweig, 13–17. BRILL, 1997. http://dx.doi.org/10.1163/9789401200295_005.

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2

Strassberger, Andres. « Johann Christoph Gottsched (1700–1766) und die „philosophische“ Predigt : Studien zur aufklärerischen Transformation der protestantischen Homiletik im Spannungsfeld von Theologie, Philosophie, Rhetorik und Politik ». Dans Jahrbuch der Akademie der Wissenschaften zu Göttingen (2009). Berlin, New York : De Gruyter, 2010. http://dx.doi.org/10.1515/9783110222968.324.

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