Articles de revues sur le sujet « Fusarium – Lutte biologique contre »

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Frédéric, Kouame Kra, Agre Don Josette, Komoe Koffi, Baka Yapi Richmond et Kouadio Edouard Yves Gilchrist. « Effet in Vitro des Extraits d’Algues [Sargassum natans (Børgesen) Børgesen et Sargassum fluitans (Børgesen) Børgesen, Sargassaceae] sur Fusarium sp., Agent Causal de la Fusariose Vasculaire de la Tomate (Solanum lycopersicum L., Solanaceae) ». European Scientific Journal, ESJ 19, no 9 (31 mars 2023) : 47. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n9p47.

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Résumé :
La tomate occupe une place très importante dans la vie socio-économique de la population ivoirienne. Elle est une source importante de revenus pour les producteurs. Cependant, Fusarium sp. est parmi les champignons telluriques les plus agressifs causant la maladie de la fusariose chez la tomate. Pour contrôler ce pathogène, les agriculteurs utilisent généralement des méthodes de lutte chimique. Cette lutte n’est pas sans effet secondaire. Elle a des répercussions sur la santé humaine et animale ainsi que sur l’environnement. Afin d’assurer une meilleure production, de réduire l’incidence et la sévérité des maladies de la tomate notamment de la fusariose vasculaire et de protéger l’environnement et la santé des populations ivoiriennes, des bio-fongicides ont été testés in vitro. Un total de 30 échantillons de feuilles et tiges de tomate symptomatiques de fusariose ont été collectés dans la localité de Songon. Puis, des isolements et purifications des souches dans des boîtes de Pétri sur milieu PDA ainsi que des caractérisations macroscopiques et microscopiques ont été réalisés au laboratoire. Une gamme de six concentrations (50, 100, 150, 200, 250 et 300 mg/ml) de mélanges d’un extrait total aqueux des algues marines Sargassum natans et Sargassum fluitans collectées dans la commune de Port-Bouët ainsi que d’un adjuvant (Cawet max), additionnées au milieu PDA a été testée in vitro sur la croissance mycélienne quotidienne des souches de Fusarium sp. obtenues, en comparaison au bio-produit Callifert spécial maraîchage et à un témoin sans fongicide. Pour chaque concentration, cinq boîtes de Pétri ont été utilisées par souche et l’expérience a été répétée trois fois. Les observations macroscopiques et microscopiques des souches isolées et purifiées ont permis de mettre en évidence deux souches de Fusarium sp. (Fusarium sp1 et Fusarium sp2). Le Callifert spécial maraîchage et le mélange des extraits d’algues à l’adjuvant Cawet max se sont avérés très efficaces, sur l’inhibition de la croissance mycélienne des deux souches de Fusarium sp., avec un taux d’inhibition de 100 % aux concentrations respectives de 200 et 300 mg/ml, singulièrement pour la souche Fusarium sp2. Par contre, l’extrait d’algues seul s’est montré relativement moins efficace même à la forte concentration de 300 mg/ml sur les deux souches de Fusarium sp. Les extraits de sargasses peuvent constituer une base pour la formulation de fongicides en vue d’une lutte intégrée et biologique contre la fusariose de la tomate. Tomatoes play a very important role in the socio-economic life of the Ivorian population. It is an important source of income for market gardening producers. However, Fusarium sp. is one of the most aggressive soil-borne fungi causing Fusarium disease in tomatoes. To control this pathogen, farmers usually use chemical control methods. This control is not without side effects. It has an impact on human and animal health as well as on the environment. In order to ensure better production, reduce the incidence and severity of tomato diseases, particularly vascular Fusarium disease, and protect the environment and the health of the Ivorian population, bio-fungicides were tested in vitro. A total of 30 samples of tomato leaves and stems symptomatic of Fusarium wilt were collected in the locality of Songon. Isolation and purification of strains in Petri dishes on PDA medium as well as macroscopic and microscopic characterization were carried out in the laboratory. A range of six concentrations (50, 100, 150, 200, 250, and 300 mg/ml) of mixtures of total aqueous extracts of sea algae Sargassum natans and Sargassum fluitans collected in the locality of Port-Bouët, as well as an admixture (Cawet max), added to PDA medium, was tested in vitro on daily mycelial growth of the Fusarium sp. strains obtained in the comparison of the Callifert vegetable bio-product and to control without fungicide. For each concentration, five Petri dishes were used per strain and the experiment was repeated three times. Macroscopic and microscopic observations of the isolated and purified strains revealed two strains of Fusarium sp. (Fusarium sp1 and Fusarium sp2). Callifert special vegetables and the mixture of algal extracts with the admixture Cawet max proved to be effective in inhibiting the mycelial growth of Fusarium sp. strains, with an inhibition rate of 100% at the respective concentrations of 200 and 300 mg/ml, particularly for the Fusarium sp2 strain. However, the algal extract alone was relatively less effective even at the high concentration of 300 mg/ml on both strains of Fusarium sp. Sargassum extracts could be a basis for the formulation of fungicides for integrated and biological control of tomato Fusarium wilt.
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Nyaka, Aurélie Irène Claire Ngobisa, Sine Nsangou Mfiya Zahrah Fadimatou, Camille Ulrich Dzoyem Dzokouo, Sali Bourou et Aoudou Yaouba. « Effet antifongique de deux extraits de plantes sur les agents pathogènes identifiés sur des fruits de l’anacardier (Anacardium occidentale L.) au Nord Cameroun ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no 3 (9 septembre 2021) : 1121–39. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i3.21.

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Résumé :
L’anacardier (Anacardium occidentale L.), importante culture de rente, est confrontée à la menace de nombreux pathogènes qui entravent sa productivité au Cameroun. Dès lors, cette étude se propose de déterminer le potentiel d’une lutte biologique à base d’extraits végétaux sur les champignons pathogènes identifiés sur des fruits prélevés dans le bassin de la Benoué. Pour atteindre ces objectifs, l’identification des agents pathogènes des fruits, des tests de pathogénicité et l’évaluation de l’effet antifongique in vitro et in vivo des extraits de piments et de neem ont été effectués. Les résultats ont montré que ces fruits abritent une diversité d’espèces fongiques dont les principales sont Colletotrichum gloeosporioides, Oïdium anacardii, Fusarium solani, Aspergillus niger et Phytophthora sp. Les tests de pathogénicité ont produit les symptômes des maladies observées sur le terrain. L’huile de neem et les extrait de piment ont inhibé totalement la croissance de C. gloeosporioides, O. anacardii et A. niger aux doses respectives de 7,5% v/v et 75 mg/ml. Cependant, l'huile de neem s'est avérée plus efficace. Ces résultats représentent des sources d'information précieuses pour l’implémentation d'une stratégie de lutte intégrée contre les agents pathogènes de l’anacardier à l’origine de la baisse de sa productivité, affectant ainsi son potentiel économique. English Title: Antifungal effect of two plant extracts on pathogens identified on fruits of Cashew tree (Anacardium occidentale L.) in North Cameroon The Cashew tree (Anacardium occidentale L.), an important cash crop, is challenged by the proliferation of pathogens that affect its productivity in Cameroon. Therefore, this study aims to determine the potential of a biological control based on plant extracts on pathogenic fungi identified on fruits collected in the Benoué basin. To achieve these objectives, identification of fruit pathogens, pathogenicity tests and evaluation of the in vitro and in vivo antifungal effect of chilli and neem extracts were carried out. The results showed that these fruits harbour a diversity of fungal species, of which the main ones are Colletotrichum gloeosporioides, Oïdium anacardii, Fusarium solani, Aspergillus niger and Phytophthora sp. The pathogenicity tests have generated the symptoms of the diseases observed in the field. Neem oil and chilli extracts completely inhibited the growth of C. gloeosporioides, O. anacardii and A. niger at doses of 7.5% v/v and 75 mg/ml respectively. However, neem oil proved to be more effective. These results represent valuable sources of information for the implementation of an integrated pest management strategy against cashew pathogens that impede the productivity of the tree, thereby affecting its economic potential.
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Bourée, P. « Lutte biologique contre la leishmaniose cutanée ». Médecine et Santé Tropicales 24, no 1 (janvier 2014) : 26. http://dx.doi.org/10.1684/mst.2014.0301.

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Roy, M. « État actuel de la lutte biologique contre les acariens phytophages par des acariens prédateurs ». Phytoprotection 74, no 1 (12 avril 2005) : 41–49. http://dx.doi.org/10.7202/706035ar.

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Résumé :
Au Québec, la stratégie de lutte contre le tétranyque rouge du pommier (Panonychus ulmi) et le tétranyque à deux points (Tetranychus urticae) dans les vergers de pommier (Malus pumila) repose actuellement sur l'emploi d'acaricides coûteux. Par ailleurs, les consommateurs exigent de plus en plus des fruits exempts de pesticides. Dans ce contexte, l'utilisation de méthodes de lutte non chimiques suscite un grand intérêt auprès des pomiculteurs. Depuis plusieurs années, les efforts de recherche et les essais conduits aux États-Unis et en Europe ont donné un large essor à l'utilisation de souches d'acariens prédateurs résistants à certaines classes de pesticides. Au Québec, des expériences de lutte biologique avec l'acarien prédateur Amblyseius fallacis [Acarina: Phytoseiidae] ont été entreprises depuis quelques années. Cet article se propose d'exposer la problématique de la lutte contre les acariens nuisibles dans les vergers québécois ainsi que les perspectives d'avenir de l'utilisation de la lutte biologique contre ces ravageurs.
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Boisclair, Josée, et Bernard Estevez. « Lutter contre les insectes nuisibles en agriculture biologique : intervenir en harmonie face à la complexité ». Phytoprotection 87, no 2 (10 novembre 2006) : 83–90. http://dx.doi.org/10.7202/013977ar.

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Résumé :
Résumé Les systèmes agricoles en gestion biologique se caractérisent par une grande biodiversité et une forte complexité. La biodiversité est associée à une faune entomophage variée et abondante qui permet une meilleure lutte naturelle contre les insectes ravageurs qu’en agriculture intensive. Cette contribution ne se limite pas à la ferme. Certaines études à l’échelle du paysage démontrent que les zones non cultivées servent de réservoirs à la faune auxiliaire (prédateurs et parasitoïdes). Cependant, la biodiversité ne permet pas de réprimer certains ravageurs en dessous du seuil économique. Par conséquent, la prévention joue un rôle important en visant l’aménagement du système agricole pour qu’il soit favorable aux ennemis naturels et défavorable aux ravageurs. Ainsi, les pratiques culturales telles que la rotation et le choix de cultivars sont au premier plan dans une stratégie de lutte intégrée en production biologique. À un parcours technique qui mise sur le principe de prévention s’ajoutent, en dernier recours, des outils comme les bâches, les biopesticides et les agents de lutte biologique. Malgré ces outils, le défi reste entier. La complexité de « l’agroécosystème biologique » exige un effort de recherche pour mieux comprendre certains mécanismes qui permettraient d’accroître la lutte naturelle aux insectes ravageurs.
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Boussim, Joseph I., et Nayéré Médah. « Méthodes de lutte contre les Loranthaceae ». Flora et Vegetatio Sudano-Sambesica 12 (1 janvier 2009) : 27–35. http://dx.doi.org/10.21248/fvss.12.9.

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Résumé :
Les Loranthaceae posent un problème majeur à l’amélioration et à la pérennisation de la production fruitière du karité (Vitellaria paradoxa C. F. Gaertn) en Afrique de l’Ouest. Cet´article présente les resultats des investigations faites en vue d’identifier des méthodes de contrôle des parasites. Deux types d’essais ’’au champ’’ ont été effectués et ont donné des résultats prometteurs: la destruction mécanique et les traitements par herbicides. Additionellement ont été identifiées des variétés résistantes et quelques possibilités de la lutte biologique.
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Kenis, Marc, Brett P. Hurley, Ann E. Hajek et Matthew J. W. Cock. « Stratégies de lutte biologique contre les insectes invasifs (Résumé) ». Revue Forestière Française, no 6 (2018) : 605. http://dx.doi.org/10.4267/2042/70309.

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Uilenberg, Gerrit. « Lutte intégrée contre les parasitoses animales tropicales ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 49, no 2 (1 février 1996) : 124–29. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9529.

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Résumé :
Dans le passé, la lutte contre les parasites était essentiellement basée sur l'utilisation de médicaments et de pesticides. La tendance actuelle est vers une approche plus flexible, intégrant divers autres moyens de combattre ces pathologies. Les raisons principales de cette évolution sont les suivantes : - apparition de résistances des parasites aux composés utilisés ; - ralentissement du développement de nouveaux composés pour compenser ce phénomène de résistance (réglementation de plus en plus stricte sur la toxicité et les résidus) ; - accroissement des coûts des nouveaux produits pour l'utilisateur ; - problèmes liés à la toxicité, à la pollution de l'environnement et aux résidus dans les produits d'origine animale. La gestion intégrée des moyens de lutte contre les parasites utilise, dans la mesure du possible, la lutte biologique et mécanique, la résistance acquise et innée de l'hôte du parasite, ainsi que des procédures mécaniques, sanitaires et réglementaires, même si la lutte chimique ne peut que rarement être complètement abolie.
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Bawin, T., F. Seye, S. Boukraa, J. Y. Zimmer, F. Delvigne et F. Francis. « La lutte contre les moustiques (Diptera : Culicidae) : diversité des approches et application du contrôle biologique ». Canadian Entomologist 147, no 4 (29 octobre 2014) : 476–500. http://dx.doi.org/10.4039/tce.2014.56.

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Résumé :
RésuméPlusieurs espèces de moustiques (Diptera: Culicidae) sont des vecteurs de zoonoses d’incidence médicale et vétérinaire considérables. Une modification de la distribution géographique de ces vecteurs majoritairement engendrée par des facteurs anthropiques est actuellement accompagnée de (ré-)émergences de maladies infectieuses en Europe et en Amérique du Nord. Depuis l’avènement des insecticides de synthèse lors de la seconde guerre mondiale, les moustiques font l’objet de recherches de plus en plus étendues et approfondies. Dans une vision de lutte intégrée, les moyens de lutte anti-vectorielle se répartissent aujourd’hui selon quatre axes principaux: (1) la gestion environnementale et le contrôle physique, (2) le contrôle chimique, (3) le contrôle génétique, et (4) le contrôle biologique par le biais d’entomophages et de micro-organismes entomopathogènes. Dans ce contexte, ces derniers ont un potentiel intéressant car ils possèdent la capacité d’infecter et de tuer l’hôte avec une sélectivité plus ou moins prononcée. Cet article se propose de resituer le contrôle biologique parmi les autres techniques dans la lutte anti-vectorielle contre les moustiques, et de faire état des potentialités et des perspectives offertes par les bactéries, virus et champignons entomopathogènes. Leur utilisation sous forme de biopesticides est enfin discutée.
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Ladoh Yemeda, CF, R. Mony, M. Tchatat et S. Dibong. « Contribution des fourmis à la lutte biologique contre les Loranthaceae ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 7, no 3 (4 juin 2014) : 924. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v7i3.4.

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CAYROL, J. C. « Lutte biologique contre les Meloidogyne au moyen du champignon prédateur Arthrobotrys irregularis ». EPPO Bulletin 18, no 1 (mars 1988) : 73–75. http://dx.doi.org/10.1111/j.1365-2338.1988.tb00350.x.

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Ganou, Simsin Fatoumata, Fernand Sankara, Lakpo Koku Agboyi, Aichatou Nadia Christelle Dao, Remy Dabire, Karim Nebie, Issaka Zida, Dimitri Wangrawa et Irenee Somda. « Contribution des parasitoïdes dans la lutte contre <i>Spodoptera frugiperda</i> ; (J. E. Smith) (Lepidoptera : Noctuidae) en Afrique de l’Ouest : cas de <i>Chelonus bifoveolatus</i> ; et <i>Coccygidium luteum</i> ; (synthèse bibliographique) ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 18, no 1 (9 mai 2024) : 279–88. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v18i1.23.

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Résumé :
Depuis l’invasion de la chenille légionnaire d'automne, l'utilisation de pesticides chimiques semble être la seule méthode de lutte contre ce ravageur, mais cette pratique peut être nocive pour l'environnement et surtout pour les insectes utiles, et peut entraîner une résistance de la chenille. En Afrique, des études ont identifié plusieurs parasitoïdes indigènes capables de parasiter la chenille légionnaire et susceptibles d’être utilisés dans la lutte biologique contre ce ravageur. Cette revue de littérature avait pour objectif d’établir les différents parasitoïdes de la chenille légionnaire d’automne en Afrique de l’ouest ainsi que la biologie de Chelonus bifoveolatus et de Coccygidium luteum, deux parasitoïdes montrant un potentiel dans la lutte biologique contre la chenille légionnaire d'automne. L’utilisation de Chelonus bifoveolatus et Coccygidium luteum dans la lutte biologique a présenté des résultats intéressants, car ils ont permis de réduire la population de la chenille légionnaire d’automne en l’empêchant d’atteindre les stades larvaires voraces et en réduisant leurs dégâts. Davantage de recherches sont nécessaires pour maitriser la biologie de ces parasitoïdes et développer des méthodes efficientes de production de masse pour les lâchers en milieu réel. English title: Contribution of parasitoids to the control of Spodoptera frugiperda (J. E. Smith) (Lepidoptera: Noctuidae) in West Africa: the case of Chelonus bifoveolatus and Coccygidium luteum (bibliographic synthesis) Since the invasion of the fall armyworm, the use of chemical pesticides seems to be the only method of controlling this pest, but this practice can be harmful to the environment and especially to beneficial insects, and can lead to resistance on the part of the caterpillar. In Africa, studies have identified several indigenous parasitoids capable of parasitizing fall armyworms, which could be used for biological control of this pest. This literature review aimed to establish the different parasitoids of the fall armyworm in West Africa, as well as the biology of Chelonus bifoveolatus and Coccygidium luteum, two parasitoids showing potential in the biological control of this pest. The use of Chelonus bifoveolatus and Coccygidium luteum in biological control has presented interesting results, since they have allowed to reduce the fall armyworm population by preventing it from reaching the voracious larval stages and reducing their damage. More research is needed to master the biology of these parasitoids and develop efficient mass production methods for real-world releases.
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House, James A. « Recommandations pour l’utilisation de vaccins contre la peste équine dans des régions non endémiques ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 46, no 1-2 (1 janvier 1993) : 77–81. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9402.

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Résumé :
La peste équine (PE) est causée par des orbivirus et transmise par des Culicoides; elle détermine une mortalité jusqu'à 95 %. Le but d'un programme de lutte et d'éradication est d'empêcher la propagation du virus par le vecteur biologique. Les mesures de lutte comprennent l'abattage des animaux infectés, la mise en étable étanche aux insectes des animaux suspects d'infection et la vaccination. Le vaccin doit être facilement disponible, soit par une production régulière dans des installations répondant aux normes internationales, soit dans une banque de vaccin. Des banques de stocks de vaccins vivants modifiés ou de vaccins inactivés concentrés permettent de disposer d'un vaccin contre la PE lors d'épizooties futures. Un test diagnostique a été développé récemment pour distinguer les animaux vaccinés d'animaux infectés naturellement, et fournit de l'information utile aux services officiels pour le contrôle de la PE.
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COUTEAUDIER, Yvonne, Michel LETARD, Claude ALABOUVETTE et Jean LOUVET. « Lutte biologique contre la fusariose vasculaire de la tomate. Résultats en serre de production ». Agronomie 5, no 2 (1985) : 151–56. http://dx.doi.org/10.1051/agro:19850208.

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Malausa, Jean-Claude. « Les introductions d’insectes exotiques comme agents de lutte biologique contre les ravageurs des cultures ». Revue d'Écologie. Supplément 55, no 7 (2000) : 71–84. http://dx.doi.org/10.3406/revec.2000.6293.

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CAMPOROTA, Pierre, Vasile BORDEI et Marc RICHARD-MOLARD. « Lutte biologique contre Polymyxa betae (Keskin) au moyen de Trichoderma sp. Résultats préliminaires in vivo ». Agronomie 8, no 3 (1988) : 223–25. http://dx.doi.org/10.1051/agro:19880307.

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Tia, E. V., P. Lozano, C. Menut, Y. F. Lozano, T. Martin, S. Niamké et A. A. Adima. « Potentialité des huiles essentielles dans la lutte biologique contre la mouche blanche Bemisia tabaci Genn. » Phytothérapie 11, no 1 (4 janvier 2013) : 31–38. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-012-0736-8.

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Bessat, Marie, Emmanuel Castella, Martin C. D. Speight, Dominique Fleury et Nicolas Delabays. « Biodiversité fonctionnelle en paysage agricole : étude floristique et syrphidologique de Surfaces de Promotion de la Biodiversité (SPB) ». BASE, no 4 (2019) : 226–44. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.18236.

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Résumé :
Description du sujet. Cette étude traite de la végétation et des Diptères Syrphidae au sein de Surfaces de Promotion de la Biodiversité (SPB) de type « prairies extensives » en contexte agricole. Objectifs. L’objectif consiste à tester l’influence des facteurs « taille » et « qualité botanique » des SPB sur la syrphifaune qui s’y développe. Il s’agit également de rechercher les relations entre la végétation et les syrphes, ainsi que de mettre en avant le potentiel de lutte biologique de ces surfaces. Méthode. Douze SPB ont été sélectionnées, sur la base de leur taille (< 3 000 m2 vs > 9 000 m2) et de leur niveau de qualité botanique établi sur la base de la présence d'espèces végétales indicatrices. Des inventaires de végétation ont été réalisés dans chacune des SPB, l’échantillonnage des syrphes a été effectué par la pose de deux pièges à émergence et d’un piège Malaise par site. Résultats. Indépendamment de leur taille ou de leur niveau de qualité botanique, les SPB abritent et attirent une faune syrphidologique majoritairement aphidiphage au stade larvaire. Les fleurs de couleur jaune et blanche ainsi que celles produisant du nectar influencent la richesse et l'abondance en syrphes. Conclusions. Le potentiel des SPB à abriter et attirer des syrphes aphidiphages montre qu'elles sont en mesure d’offrir un service de lutte biologique contre les ravageurs des cultures adjacentes.
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Makan Konate, Sanou, Alpha Seydou Yaro, Seydou Simbo Diakite, Fily Dabo, Alassane Dit Assitoun, Josue Poudiougou, Moussa Diallo, Mamadou Ba et Bernard Sodio. « UTILISATION DES MICROBIOTES NATURELLES DES GITES D AEDES ET DE CULEX POUR L ALIMENTATION DES LARVES D AEDES ET DE CULEX ELEVEES EN CONDITIONS DE LABORATOIRE A BAMAKO, MALI ». International Journal of Advanced Research 9, no 10 (31 octobre 2021) : 94–95. http://dx.doi.org/10.21474/ijar01/13521.

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Résumé :
Les Aedes et les Culex sont des moustiques impliques dans la transmission de plusieurs agents pathogenes responsables des maladies telles que les arboviroses et des parasitoses. L’importance de la lutte biologique/genetique a ete demontre avec succes dans la lutte contre les glossines et les anopheles par certaines etudes. Le but de cette etude est de tester la possibilite d’utiliser les microbiotes comme source alimentaire principale des larves de moustiques des genres Culex et Aedes en vue d’utiliser ces microbiotes comme methode de lutte biologique/genetique contre la transmission des pathogenes. Quatre repetitions de gites de Culex et d’Aedes accompagnees de gites temoins ont ete utilises pour elever des larves de moustique, soumis a une alimentation a base des microbiotes naturelles cultivees au laboratoire a Bamako. Les microbiotes identifies etaient de bacteries et de protozoaires dans les cultures, avec une presence particuliere des algues dans les gites d’Aedes. Le taux d’emergence des imagos etait de 83% pour le temoin 63%, 61%, 84% et 84% respectivement pour les repetitions 1 a 4 dans les gites Culex. Dans les gites Aedes, le taux etait de 100% pour le temoin et les repetitions 3 et 4, (4%) et (15%) dans 1 et 2. La culture au laboratoire des microbiotes est donc possible. L’alimentation exclusive des larves de Culex avec les microbiotes s’est revelee possible, mais les larves d’Aedes ont besoin d’un apport alimentaire additif aux microbiotes pour leur bon developpement. L’option d’utilisation des microbiotes naturelles dans les perspectives de luttes biologiques/genetiques est donc possible.
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SCOTT (John K.) et EVANS (Katherine J.). « La Lutte biologique contre la végétation concurrente en forêt : cas particulier de Rubus fruticosus en Australie. » Revue Forestière Française, no 6 (2002) : 585. http://dx.doi.org/10.4267/2042/4946.

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Ensaf, Alireza, Patrice Callard et Patrice Bourée. « Potentialités de Termitaria coronata Thaxter, 1920 (Deutéromycètes, Termitariales) pour la lutte biologique contre les Termites (Isoptera) ». Bulletin de la Société entomologique de France 111, no 1 (2006) : 43–49. http://dx.doi.org/10.3406/bsef.2006.16282.

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Boiteau, Gilles. « État de la lutte dirigée contre les insectes ravageurs en production biologique de pommes de terre ». Cahiers Agricultures 17, no 4 (juillet 2008) : 382–87. http://dx.doi.org/10.1684/agr.2008.0219.

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Taqarort, Naima, Lahcen Bouzerda, Hassan Boubaker, Abdellah Ait Ben Aoumar et El Hassan Boudyach. « Lutte biologique contre la pourriture verte des agrumes en post-récolte par l'utilisation de levures antagonistes ». Acta Botanica Gallica 155, no 2 (janvier 2008) : 235–44. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.2008.10516106.

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Tunca, Hilal, Marine Venard, Etty-Ambre Colombel et Élisabeth Tabone. « Étude de la performance d’un parasitoïde oophage Ooencyrtus pityocampae (Mercet) (Hymenoptera : Encyrtidae) pour lutter contre des ravageurs d’un écosystème méditerranéen ». BASE, no 3 (2019) : 153–59. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.17951.

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Description du sujet. Dans le cadre d’un projet de biocontrôle de la processionnaire du pin, Thaumetopoea pityocampa Denis & Schiffermüller, l’utilisation de parasitoïdes indigènes pour lutter contre ce ravageur a été étudiée au sein du Laboratoire Biocontrôle à l’UEFM (Unité Expérimentale Entomologie et Forêt Méditerranéenne) à l’INRA PACA. Objectifs. Il est nécessaire de rechercher le meilleur hôte de substitution et de mettre au point son élevage. Plus particulièrement, l'espèce Ooencyrtus pityocampae (Mercet) a été étudiée. Méthode. Thaumetopoea pityocampa étant une espèce allergisante, plusieurs hôtes de substitution ont été comparés pour l’élevage des parasitoïdes : Philosamia ricini (Danovan), Nezara viridula (L.) et Halyomorpha halys (Stål). Les caractéristiques biologiques et la fitness des descendants ont été comparées en conditions de laboratoire (25 ± 1 °C, 75 ± 5 % HR, 16L:8D). Résultats. Philosamia ricini est le meilleur hôte de substitution pour l’élevage d’O. pityocampae pour ce qui est de la quantité et de la qualité des individus produits. Conclusions. Cette étude servira de base à une réflexion sur les possibilités d’utiliser ce parasitoïde dans le cadre de la lutte biologique contre certains ravageurs méditerranéens.
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Anheuser, Kilian, et Isabel Garcia Gomez. « Trichogramma evanescenscontreTineola bisselliella : expérience de lutte biologique contre la mite des vêtements dans une réserve d'objets ethnographiques ». Studies in Conservation 58, no 3 (juillet 2013) : 269–73. http://dx.doi.org/10.1179/2047058412y.0000000067.

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Vrot, Francelinv, et J. Grente. « Recherche d'un moyen de lutte biologique contre la maladie de l'encre par utilisation de la symbiose mycorhizienng ». Forest Pathology 15, no 5-6 (octobre 1985) : 379–83. http://dx.doi.org/10.1111/j.1439-0329.1985.tb01116.x.

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GUILLAUMÈS, J., G. HOUDEAU, R. GERMAIN et J. M. OLIVIER. « Amélioration de la lutte biologique contre Pseudomonas tolaasii par utilisation de bactériophages associés à une bactérie antagoniste ». EPPO Bulletin 18, no 1 (mars 1988) : 77–82. http://dx.doi.org/10.1111/j.1365-2338.1988.tb00351.x.

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Delobel, A. « Uscana caryedoni [Hym. : Trichogrammatidae] : Possibilités d'utilisation en lutte biologique contre la bruche de l'arachide,Caryedon serratus [Col. : Bruchidae] ». Entomophaga 34, no 3 (septembre 1989) : 351–63. http://dx.doi.org/10.1007/bf02372474.

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Diarra, Mama, Michel Havard et Mamy Soumaré. « La perception des avantages et des contraintes de l’écimage du cotonnier par les producteurs du Mali ». Cahiers Agricultures 29 (2020) : 10. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020007.

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Résumé :
Au Mali, l’efficacité de la lutte chimique systématique (traitements calendaires) contre les ravageurs du cotonnier est régulièrement remise en cause. Des alternatives à cette lutte, comme la lutte étagée ciblée, l’intervention sur seuil et la culture biologique, visant toutes à réduire les quantités de pesticides utilisées, sont diffusées ; d’autres sont testées chez les producteurs, comme l’écimage du cotonnier. Cette étude analyse la perception de la technique de l’écimage du cotonnier par des producteurs. Elle a été conduite dans quatre villages de la zone cotonnière, à l’aide de focus groups d’hommes et de femmes et d’entretiens avec 40 producteurs ayant pratiqué ou non l’écimage. Les avantages de l’écimage identifiés par la majorité des producteurs interrogés sont : (i) une technique manuelle facile à mettre en œuvre, (ii) la diminution des risques de chute d’organes fructifères, (iii) la réduction de la hauteur des plants, s’étalant davantage (iv) une amélioration du rendement et (v) la réduction de la population des ravageurs et donc de l’utilisation des pesticides, ayant des effets positifs sur la santé humaine et l’environnement, et diminuant les coûts de production. Ses principales contraintes sont le besoin supplémentaire de main-d’œuvre et son coût par rapport à la culture de coton non écimé. Des partenariats avec les sociétés cotonnières et les organisations paysannes et la formation de leurs agents à l’écimage sont indispensables pour une adoption de cette technique à une plus large échelle.
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Nénon, J. P. « Bioécologie de Megarhyssa atrata [Hymenoptera : Ichneumonidae], ectoparasite de Tremex columba [Hymenoptera : Siricidae] au Québec ». Phytoprotection 76, no 3 (12 avril 2005) : 115–22. http://dx.doi.org/10.7202/706090ar.

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Résumé :
Dans le sud du Québec, Megarhyssa atrata vole de mai à septembre avec un pic nettement marqué durant la première quinzaine de juin; les mâles apparaissent dès le 19 mai, les femelles sont rencontrées jusqu'au 9 septembre. Durant l'été 1992, M. atrata a représenté 50% du peuplement constitué par trois espèces de Megarhyssa sympatriques et inféodées au même hôte, Tremex columba, en développement dans l'orme américain (Ulmus americana). Par contre, M. atrata représentait 60 % de la population totale de femelles des trois espèces. Le taux de parasitisme estimé sur 107 individus-hôtes observés était de 57,9 %. M. atrata se développe en ectoparasitoïde et son cycle, qui est probablement de 2 ans, comprend quatre stades larvaires. M. atrata apparaît comme un élément de régulation des populations de Tremex columba et pourrait être un agent de lutte biologique en foresterie. Ces données sur l'écobiologie de M. atrata sont les premières pour le Canada.
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D'ERCOLE, N., P. NIPOTI, L. E. FINESSI et D. MANZALI. « Revue de plusieurs années de recherche en Italie sur la lutte biologique contre les champignons telluriques avec Trichoderma spp. » EPPO Bulletin 18, no 1 (mars 1988) : 95–102. http://dx.doi.org/10.1111/j.1365-2338.1988.tb00354.x.

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Bateman, Roy. « The Development of a Mycoinsecticide for the Control of Locusts and Grasshoppers ». Outlook on Agriculture 26, no 1 (mars 1997) : 13–18. http://dx.doi.org/10.1177/003072709702600104.

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Résumé :
Both national authorities and the donor community require methods of locust and grasshopper control that are less insecticide-dependent and more environmentally friendly. The LUBILOSA (LUtte Biologique contre les LOcustes et les SAuteriaux) programme has identified mycoinsecticides, based on aerial conidia of fungal entomopathogens such as Metarhizium, as the most effective biological control technique discovered to date. High (90%) insect mortalities have been demonstrated in the field following the application of oil-based formulations with ultra-low volume spraying equipment normally used for acridid control. The mechanisms of disease transmission in the field are still under investigation and the programme has helped to initiate a re-evaluation of the taxonomic status of the genus Metarhizium. Effective mycoinsecticides can be produced using relatively unsophisticated equipment although the quality of commercial products would need to be carefully controlled. Metarhizium has recently been recommended by the Food and Agriculture Organization (FAO) for use in environmentally sensitive areas, and the programme has now entered an implementation phase.
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Mouria, Btissam, Amina Ouazzani-Touhami et Allal Douira. « Effet de diverses souches du Trichoderma sur la croissance d'une culture de tomate en serre et leur aptitude à coloniser les racines et le substrat ». Phytoprotection 88, no 3 (25 septembre 2008) : 103–10. http://dx.doi.org/10.7202/018955ar.

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Résumé :
RésuméLes champignons du genreTrichoderma, connus depuis 1887 pour leurs propriétés antagonistes, ont été utilisés comme agents de lutte biologique contre un large spectre de phytopathogènes. Récemment, certaines études ont démontré l'aptitude desTrichodermaà stimuler la croissance de certaines plantes. Ainsi, l'effet de six souches duTrichodermasur les paramètres de croissance et de rendement d'une culture de tomate en serre a été étudié. Les résultats montrent que toutes les souches duT. harzianumont stimulé la croissance de la tomate, notamment les biomasses végétative et racinaire, alors que leT. viriden'a pas eu un effet significativement différent par rapport au témoin. L'effet duTrichodermasur l'incidence des maladies foliaires a aussi été très net pour des souches deT. harzianumqui ont protégé à 100 % les feuilles de tomate. La colonisation des racines par les différentes souches duTrichodermane diffère pas significativement entre les souches duT. harzianum(86 à 100 %), alors qu'elle est significativement plus faible pour la souche TV1duT. viride.De même, les souches duTrichodermaont pu se maintenir à un niveau très élevé dans la rhizosphère par rapport aux témoins.
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GRÉGOIRE, J. C., J. MERLIN, R. JAFFUEL, Ph DENIS, P. LAFONT et D. SCHVESTER. « Elevage à petite et moyenne échelle du prédateur Rhizophagus grandis Gyll. en vue de la lutte biologique contre Dendroctonus micans Kug. » Revue Forestière Française, no 5 (1986) : 457. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25676.

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Camara, B., E. Dick, A. Sako, D. Kone, C. Kanko, M. A. D. Boye, S. Ake et A. Anno. « Lutte biologique contre Deightoniella torulosa (Syd.) Ellis, par l’application des huiles essentielles d’Eucalyptus platyphylla F. Muell. et de Melaleuca quinquenervia L. » Phytothérapie 8, no 4 (24 juillet 2010) : 240–44. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-010-0568-3.

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Keïta, Y. F., M. O. Diawara, R. R. Assogba, B. Dembélé, M. Keïta, S. Bouaré, A. Traoré et al. « Évaluation de l’efficacité de biopesticides dans la lutte contre les mouches des fruits (Ceratitis cosyra et Bactrocera dorsalis) au Mali ». African Journal of Tropical Entomology Research 2, no 2 (20 août 2023) : 50–57. http://dx.doi.org/10.58697/ajter020207.

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Résumé :
Le Mali dispose d’un important potentiel de production de mangues. La filière fait cependant face à de nombreuses contraintes dont les bioagresseurs en général et les mouches des fruits en particulier, cela malgré l’utilisation souvent incontrôlée des insecticides chimiques. Or les impacts de ces produits sur la santé des producteurs et l’environnement sont largement admis. Cette étude a été initiée pour tester l’efficacité de trois extraits de plantes sur deux espèces de mouches des fruits (Diptera : Tephritidae) : B. dorsalis et C. cosyra. Elle a été conduite de novembre 2021 à mai 2022 au laboratoire. Les extraits de graines d’Azadirachta indica, les feuilles de Cassia nigricans et Calotropis procera ont été mélangés à l’alimentation des mouches. Un effectif total de 2180 mouches des fruits adultes a été utilisé dont 1620 ont été testés aux trois biopesticides et 560 mouches des fruits utilisées comme témoins. Les doses utilisées étaient de 0,5 ml ; 0,10 ml ; 0,15 ml pour l’huile extraite des graines d’A. indica et 0,5 g ; 0,10 g ; 0,15 g pour les feuilles de C. nigricans et C. procera. L’étude révèle qu’après 72 heures d’exposition le taux de mortalité varie entre 38,5 à 100%. Il en ressort aussi que A. indica était le plus efficace suivi par C. nigricans et C. procera. Les produits testés sont plus efficaces au cours des trois premiers jours d’exposition et pourraient servir dans la lutte biologique contre les mouches des fruits qui sont responsables d’importantes pertes économiques dans la filière mangue au Mali.
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N’Goran, Aby, Kouadio Demby Laetitia Muriel, N’Guetta Adelaïde, Koffi Kouamé Cyrille Germain, Atsin Olivier, Gnonhouri Goly Philippe et Traore Siaka. « Lutte Biologique Contre le Charançon Noir du Bananier Cosmopolites Sordidus (Germar, 1824) (Coleoptera : Curculiondae) : Utilisation de Pieges Inocules avec le Champignon Entomopathogene Metarhizium Anisopliae ». European Scientific Journal, ESJ 19, no 3 (31 janvier 2023) : 52. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n3p52.

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Résumé :
Cosmopolites sordidus, communément appelé le charançon noir, est une contrainte majeure à la production bananière (Musa spp.). Le champignon entomopathogène Metarhizium anisopliae (Ascomycota: Hypocreales) se présente comme une alternative de lutte contre le charançon. Nos essais ont été conduits pour évaluer l'efficacité de méthodes de lutte utilisant le champignon dans les jachères et les bananeraies établies. Dans les jachères, le piège à phéromone inoculé avec le Metarhizium et le piège à phéromone couple au ramassage des charançons ont été comparés pour leur efficacité à réduire les infestations. Dans les parcelles établies, le piège à pseudo-tronc inoculé avec le Metarhizium a été comparé à l'application chimique, et, la combinaison du piège à pseudo-tronc inoculé avec le Metarhizium couplée à l'insecticide chimique. L'efficacité des traitements a été mesurée par les paramètres de Vilardebo: le coefficient d'infestation et le taux d'infestation. Les résultats ont montré que le traitement utilisant M. anisopliae s'est avéré le plus efficace, réduisant l'infestation larvaire. Dans les parcelles en production continue, insecticide chimique + traitement de M. ansisopliae et application mensuelle de piège à pseudotronc inoculé, ont réduit les paramètres d'infestation de plus de 50 %. Avant la replantation de la jachère, une combinaison de phéromone + M. anisopliae a diminué les niveaux d'infestation larvaire de 60 %. Les pièges inoculés avec le champignon entomopathogène Metarhizium sont apparus comme une méthode innovante et durable pour lutter contre le charançon du bananier Cosmopolites sordidus. Cosmopolites sordidus is a serious constraint to banana (Musa spp.) production. The entomopathogenic fungus Metarhizium anisopliae, Ascomycota: Hypocreales, offers a potential weevil management option. Our investigations were carried out to evaluate the efficacy of different pest management in fallows and established banana fields. In the fallows, the pheromone trap inoculated with Metarhizium and the pheromone trap with weevil collecting were compared for their efficacy to reduce weevil larval infestation. In the established banana field, the pseudostem trap inoculated with Metarhizium was compared to chemical application, and the combination of pseudostem trap inoculated with Metarhizium and chemical application. The efficiency of the treatments has been measured by Vilardebo parameters: the coefficient of infestation and infestation rate. The results showed treatment using M. anisopliae proved most effective, reducing larval infestation. In Banana established fields, chemical insecticide + application of M. ansisopliae treatment and monthly application of pseudostem trap inoculated, reduced these infestation parameters by more than 50 %. Before fallow replanting, a combination of pheromone + M. anisopliae had declined the larval infestation levels by 60 %. Inoculated traps with entomopathogenic fungus Metarhizium appeared to be an Innovative and Sustainable Method to control Banana Weevil Cosmopolites sordidus in Banana and Plantain Fields.
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FARRUGGIA, A., B. MARTIN, R. BAUMONT, S. PRACHE, M. DOREAU, H. HOSTE et D. DURAND. « Quels intérêts de la diversité floristique des prairies permanentes pour les ruminants et les produits animaux ? » INRAE Productions Animales 21, no 2 (23 juin 2008) : 181–200. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.2.3391.

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Résumé :
Les prairies permanentes occupent environ un tiers de la surface agricole utile et présentent un grand potentiel de diversité biologique. L’élevage a de ce fait un rôle majeur à jouer dans la préservation de la biodiversité sur le territoire français. L’objectif de cette synthèse est d’aborder la question de la diversité floristique des prairies et de l’élevage en s’interrogeant sur l’intérêt de cette diversité construite par les éleveurs, pour les ruminants et les produits animaux. Une seule composante de la diversité biologique des prairies est prise en compte&nbsp;: la diversité floristique. Il est réalisé dans cette synthèse un état des connaissances pluridisciplinaires des effets de cette diversité sur la valeur nutritive des fourrages, l’ingestion des animaux, les caractéristiques sensorielles et nutritionnelles des produits laitiers et carnés, enfin sur deux aspects de la santé animale, la lutte contre les infestations par les strongles digestifs et la prévention des processus de peroxydation. Dans chacune des thématiques abordées, des effets liés à la composition botanique des prairies ont été mis en évidence, mais sans qu’il puisse être toujours fait la part entre les effets liés à la présence d’un grand nombre d’espèces dans la parcelle, les effets liés à la présence de certaines espèces et les effets liés au stade phénologique. Le rôle probable important des dicotylédones et notamment des légumineuses a été souligné à plusieurs reprises, en particulier du fait de leur plus grande teneur en métabolites secondaires que les graminées. Enfin, l’intérêt de fournir aux animaux des sources d’alimentation diversifiées a également été évoqué en particulier sur les aspects liés à l’ingestion et à la santé animale.
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Hance, T., G. Van Impe, P. Lebrun, P. Nihoul, F. Benoit et N. Ceusterman. « Comparaison de l'efficacité d'une technique de lutte chimique et d'une technique de lutte biologique pour la protection de la culture de la tomate contre l'acarien tisserand Tetranychus urticae (Acari : Tetranychidae) ». Agronomie 11, no 9 (1991) : 799–806. http://dx.doi.org/10.1051/agro:19910910.

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Akessé, Ettien Narcice, San-Whouly Mauricette Ouali N’goran, Yves Magloire Minhibo, Kouassi Misler Koffi et Daouda Koné. « Efficacité d’une lutte mécanique associée au biopesticide Neco 50 EC dans le contrôle des adultes de Diastocera trifasciata (Coleoptera : Cerambycidae), ciseleur des branches d’anacardier en Côte d’Ivoire ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no 3 (19 juin 2020) : 1038–51. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i3.30.

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Résumé :
En Côte d’Ivoire, les vergers d’anacardiers du centre, centre-ouest et de l’est sont constamment attaqués par le Cerambycidae Diastocera trifasciata. Ces attaques, sans méthodes de contrôle efficaces s’amplifient au fil des années. Cette étude a été réalisée en vue d’évaluer d’une part l’efficacité d’une lutte mécanique contre les larves de D. trifasciata et d’autre part l’efficacité d’un biopesticide Neco 50 EC en comparaison avec un insecticide de synthèse Acétamipride 32 g/l + Lambdacyhalothrine 30 g/l. Les expérimentations ont été effectuées en mars 2017 et en septembre 2018 dans la localité de Brobo (centre de la Côte d’Ivoire). La lutte mécanique a consisté à retirer systématiquement toutes les branches infestées de larves de l’espèce et à les incinérer. Quant aux tests d’efficacité, 10 concentrations, à raison de 5 par produit ont été pulvérisées directement sur les adultes de D. trifasciata en conditions semi naturelles. Les résultats ont montré que la lutte mécanique a fait baisser le niveau des attaques de 100% à 35%. Concernant les insecticides, l’association Acétamipride 32 g/l + Lambdacyhalothrine 30 g/l a occasionné des taux de mortalité compris entre 70 et 100% à toutes les concentrations testées. Avec le biopesticide Neco 50 EC, des taux de mortalité supérieurs à 70% ont été enregistrés avec les concentrations de 3,3.10-4 g/ml et 2,5.10-4 g/ml en 24 h. Ces résultats ont permis de montrer l’efficacité de la lutte mécanique et des produits contre D. trifasciata. La méthode mécanique pourrait être vulgarisée pour permettre une bonne gestion préventive des attaques du ravageur dans les vergers d’anacardier. Quant à la lutte par l’insecticide biologique, des tests de confirmation devront être faits en plein champ pour mieux apprécier son efficacité.Mots clés : Analeptes trifasciata, attaques, Acétamipride, Lambdacyhalothrine, lutte intégrée, Côte d’Ivoire. English Title: Efficacy of mechanical control associated with the biopesticide Neco 50 EC in the control of adults of Diastocera trifasciata (Coleoptera: Cerambycidae), a cashew tree branch girdler in Côte d'IvoireIn Côte d'Ivoire, cashew orchards in the central, western central and eastern parts of the country are constantly attacked by Cerambycidae Diastocera trifasciata. These attacks, without effective methods of control, have been increasing over the years. This study was carried out in order to evaluate on the one hand the efficacy of mechanical control of D. trifasciata larvae and on the other hand the efficacy of a biopesticide Neco 50 EC compared to a synthetic insecticide Acetamiprid 32 g/l + Lambdacyhalothrin 30 g/l. Experiments were carried out on March 2017 and to September 2018 in the locality of Brobo (central Côte d'Ivoire). Mechanical control consisted in systematically removing all branches infested with larvae of the species and incinerating them. As for efficacy tests, 10 concentrations, at a rate of 5 per product, were sprayed directly on adults of D. trifasciata under semi-natural conditions. Results showed that mechanical control reduced the level of attacks from 100% to 35%. The synthetic insecticide caused mortality rates between 70 and 100% at all concentrations tested. With biopesticide Neco 50 EC, mortality rates higher than 70% were recorded with concentrations of 3.3.10-4 g/ml and 2.5.10-4 g/ml after 24 h. These results demonstrated the effectiveness of mechanical control against D. trifasciata. The mechanical method could be extended to allow good preventive management of pest attacks in cashew orchards. As for control by biological insecticide, confirmatory tests will have to be carried out in the field to better assess its effectiveness.Keywords: Analeptes trifasciata, attacks, Acetamiprid, Lambdacyhalothrin, Integrated Pest Management, Côte d'Ivoire
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Betbeder-Matibet, M. « Elevage de plusieurs especes du genre Chilo et de certains de leurs parasites pour la lutte biologique contre les foreurs des graminees en Afrique ». International Journal of Tropical Insect Science 11, no 4-5 (octobre 1990) : 617–23. http://dx.doi.org/10.1017/s1742758400021184.

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Auguste-Denise, Boyé Mambé, Boumi Demin Marcos, Kouadio N’Gonian Serge, Acka Franck Borel, Kouadio Yatty Justin et Niaba Pierre Valérie. « Inventaire Et Identification Des Dégâts Des Insectes Infestant Les Plants De Manioc (Manihot Esculenta Crantz) À Deux Et Huit Mois Après Plantation Et Essai De Lutte Biologique Dans La Localité De Daloa (Côte d’Ivoire) ». European Scientific Journal, ESJ 18, no 14 (30 avril 2022) : 180. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n14p180.

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Le manioc est devenu un aliment de base des populations de Côte d’Ivoire. La présente étude qui lui est consacrée a été réalisée dans la période d'avril à octobre 2020 et avait pour objectif d'établir l'inventaire de l'entomofaune qui lui est associée, trouver leurs dégâts afin de mettre en place une stratégie de lutte pouvant réduire ces pathogènes. Cette étude a été réalisée sur deux variétés de manioc : Bocou 1 et Yavo. Plusieurs méthodes ont été utilisées pour la collecte des insectes à savoir : le piégeage, la capture à la main et au filet fauchoir. Les résultats ont montré une entomofaune très diversifiée avec 12 ordres d’insectes parmi lesquels il peut être cité : les Hétéroptères (les plus nombreux), suivis des Diptères, des Thysanoptères, des Coléoptères, des Hyménoptères et des Orthoptères. Ces insectes ravageurs sont vecteurs de plusieurs maladies dont la virose avec une incidence de 38,88% chez la variété Bocou 1, la bactériose avec une incidence de 85,55% chez la variété Yavo et 67,77% chez la variété Bocou 1. La solution aqueuse à base de neem a été également utilisée afin de lutter contre ces ravageurs. Cette solution s’est montrée efficace contre les insectes ravageurs des cultures de manioc. Cette étude a donc permis de faire l'inventaire de quelques insectes associés au manioc dans cette localité et d’établir une méthode de lutte biologique. Cassava has become a staple food for people in Côte d'Ivoire. The present study devoted to it was carried out in the period from April to October and aims to establish an inventory of the entomofauna associated with it, to find their damage in order to set up a control strategy that can reduce these pathogens. This study was carried out on two varieties of cassava: Bocou 1 and Yavo. Several methods were used for the collection of insects namely: trapping, capture by hand and with a hay net. The results showed a very diverse entomofauna with 12 orders of insects among which we can cite: Heteroptera, the most numerous, followed by Diptera, Thysanoptera, Coleoptera, Hymenoptera, Orthoptera. These insect pests are vectors of several diseases including virosis with an incidence of 38.88% in variety Bocou 1, bacteriosis with an incidence of 85.55% in variety Yavo and 67.77% in variety Bocou 1. The aqueous solution based on neem has also been used to control these pests. This solution has been shown to be effective against insect pests of cassava crops. This study therefore made it possible to make an inventory of some insects associated with cassava in this locality and to establish a method of biological control.
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H, Yalcouyé. « Evaluation des mesures de biosécurité dans les fermes avicoles modernes du district de Bamako dans le cadre de la lutte contre la grippe aviaire ». Mali Santé Publique 10, no 02 (20 avril 2021) : 50–56. http://dx.doi.org/10.53318/msp.v10i02.1797.

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Introduction : La biosécurité peut être définie comme " l'ensemble des mesures de nature préventive mises en œuvre pour éviter de contaminer ou d'être contaminé par un agent biologique". Le passage au mode d'élevage intensif pose avec acuité la question de la biosécurité. Les exploitations avicoles modernes sont les plus concernées car la biosécurité, qu'elle soit externe ou interne, impacte la santé en agissant comme facteur préventif de l'introduction ou de la propagation des maladies en élevage. Méthodes : L'administration du questionnaire a été réalisée par méthode téléphonique compte tenue de la distance et de l'insuffisance des ressources. Le travail reposera sur la synthèse des revues bibliographiques, sur l'élaboration du questionnaire et les enquêtes sur le terrain. Le questionnaire a été testé et validé avant son administration sur le terrain. Résultats : Le nombre d'aviculteurs dont la ferme est localisée à Sénou était de 3/10. Il est suivi de celui à Gouana avec 2/10. Les informations reçues sur les données de l'exploitation font ressortir que les aviculteurs pratiquant la production d'œufs étaient plus nombreux que ceux produisant la chair. 90% des aviculteurs interrogés font de la production d'œufs et 10% de la production de poulet de chair. Les maladies rencontrées dans les poulaillers et qui constituent un problème dans ces fermes sont la maladie de Newcastle pour 90% et la bronchite infectieuse pour 10%. Conclusion : L'aviculture était plus pratiquée à Sénou et Gouana. Les maladies aviaires les plus fréquentes étaient la Newcastle et la bronchite infectieuse. Les employés ne trempaient pas leurs bottes en accédant aux bâtiments d'élevage.Mots clés : Evaluation, biosécurité, grippe aviaire, Bamako, Mali
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Conedera, Marco, Nicola Bomio-Pacciorini, Pietro Bomio-Pacciorini, Stéphane Sciacca, Lindo Grandi, Amadou Boureïma et Anna Maria Vettraino. « Reconstitution des écosystèmes dégradés sahéliens ». BOIS & ; FORETS DES TROPIQUES 304, no 304 (1 juin 2010) : 61. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.304.a20448.

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Résumé :
La longue période de déficit hydrique dont a souffert la région sahélienne depuis les années 1970 et la sédentarisation progressive des tribus nomades ont localement causé une dégradation et une surexploitation de ces écosystèmes fragiles et notamment de la savane arbustive. Les écosystèmes sont considérés comme dégradés lorsqu'ils perdent leur résilience en subissant des modifications difficilement réversibles ou totalement irréver - sibles. Les caractéristiques des écosystèmes dégradés sont la raréfaction ou la disparition de la flore arborée et herbacée, la réduction de l'activité biologique du sol et l'augmentation des phénomènes de ruissellement superficiel et d'érosion. La réhabilitation de la couverture végétale des surfaces dégradées représente un passage clé dans le contrôle et la lutte contre la désertification. L'article présente les résultats d'un suivi sur six ans de la récupération d'écosystèmes dégradés dans le nord du Burkina Faso (province de l'Oudalan). Les résultats démontrent l'importance de l'approche basée sur la création de demi-lunes pour la récolte des eaux de pluie dans la restauration des paysages sahéliens et cela même dans les zones les plus dégradées. Sur les surfaces traitées sont constatées une production soutenue de biomasse herbacée (en moyenne environ 1 000 à 1 200 kg de matière sèche par hectare et par an) et une couverture forestière significative (de l'ordre de 350 arbres par hectare), avec des arbres en mesure de pousser spontanément, même sous la pression du pâturage extensif traditionnel et des années de stress hydrique. (Résumé d'auteur)
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Wencker, Jean. « Le Rhin entre écologie et économie. De nouveaux défis à relever ». Revue d’Allemagne et des pays de langue allemande 36, no 1 (2004) : 79–98. http://dx.doi.org/10.3406/reval.2004.5784.

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Résumé :
Entre 1817 et 1876 la «rectification» de Tulla a détruit l’équilibre ancestral du lit du Rhin, entre matériaux emportés par l’érosion et ceux apportés depuis l'amont par les crues. Si ces travaux ont eu des effets positifs, ils n’en ont pas moins induit des désordres majeurs que ni la «régularisation» ni la «canalisation» n’ont su corriger. La navigabilité du fleuve est aujourd'hui quasi optimale mais nous sommes toujours en 2004 à rechercher des solutions durables en matière de lutte contre l’érosion du lit, le retour du charriage des matériaux solides . la réduction du risque de crue pour les populations en aval du secteur canalisé, le retour de la continuité écologique comme l’accessibilité de Bâle aux poissons migrateurs ... Cet article montre aussi pourquoi en 1998, sous l’impulsion de la CIPR, une nouvelle ère de l’histoire moderne du Rhin s’est ouverte à Rotterdam, celle où il convient de rendre de l ’espace au fleuve et trouver le bon compromis entre écologie et économie. Les programmes internationaux qui aujourd’hui ont fait du Rhin le fleuve le plus propre d’Europe sont également évoqués de même que sa renaissance biologique et le défi de retrouver une population de saumons en dépit des entraves que constituent dix barrages hydroélectriques sur le Rhin franco-allemand. La décennie qui vient devra concrétiser une autre vision du fleuve répondant à la fois aux directives communautaires et aux exigences d’espaces naturels des populations riveraines.
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Boussienguet, J., P. Neuenschwander et H. R. Herren. « Essais de lutte biologique contre la Cochenille du manioc au Gabon : I. — Établissement, dispersion du parasite exotiqueEpidinocarsis lopezi [Hym. : Encyrtidae] et déplacement compétitif des parasites indigènes ». Entomophaga 36, no 3 (septembre 1991) : 455–69. http://dx.doi.org/10.1007/bf02377952.

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GUIDI, Jesrose Ahouefa Anen, Ingrid Sonya Mawussi ADJOVI, Guy Sourou NOUATIN, Jean N’TCHA SEMA, Tshimangadzo RAMAKUWELA, David SHAPIRO-ILAN et Hugues BAIMEY. « Regards croisés pratiques paysannes et introduction d’innovations : Cas des nématodes comme méthode de lutte biologique contre les charançons de la patate douce au Nord-Ouest du Bénin ». Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 11, no 1 (30 juin 2021) : 1–12. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v11i1.18.

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Résumé :
Les charançons de la patate douce (Cylas spp.), constituent un frein à l’intensification de cette culture. Comme moyen de lutte contre ces ravageurs, une innovation technologique consistant à utiliser des nématodes entomopathogènes a été développée. Cette étude vise à décrie les caractéristiques géographiques du milieu d’étude, les pratiques des producteurs de patate douce et leur consentement à payer pour l’accès à l’innovation. La recherche a été conduite dans le département de l’Atacora, précisément dans les communes de Toucountouna, Natitingou et Boukoumbé. Au total, 80 producteurs choisis par la technique boule de neige ont été enquêtés en utilisant un guide d’entretien, un questionnaire et des fiches d’observations directes. L’analyse de discours et les statistiques descriptives ont été utilisées pour analyser les données collectées. Pour les producteurs de l’Atacora, la patate douce préfère des sols pas très lourds, meubles et profonds. Les parcelles sont souvent acquises par héritage (79%) et la patate douce est plantée sur de petites parcelles de moins d’un hectare avec des rendements de l’ordre de moins de 10 t/ha (matière fraiche). Cette faible production est due à plusieurs contraintes dont la principale est l’attaque par les charançons. Après la récolte, le stockage se fait souvent dans les greniers (42,5%). En ce qui concerne l’utilisation des nématodes entomopathogènes, l’ensemble des producteurs pense que c’est une pratique simple et facile à utiliser. De plus, ils sont disposés à payer pour acquérir cette technologie mais à condition que le prix d’achat du traitement n’excède pas 1.000 F CFA. La mise sur pieds d’un projet d’appui à l’adoption progressive de l’innovation nématode entomopathogène serait utile et sans risque aux consommateurs.
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Eddine, Laib Djamel, Benzehra Abdelmadjid, Rahmani Youcef, Boulaouad Belkacem Aimene et Akkal Salah. « L’emploi de l’extrait du champignon endophyte Aspergillus niger isolé à partir des feuilles du ricin commun Ricinus communis L. (Euphorbiaceae, Malpighiales) comme agent de lutte biologique contre le criquet migrateur Locusta migratoria L. (Oedipodinae, Acrididae). » Journal of Applied Biosciences 170 (28 février 2022) : 17720–38. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.170.5.

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Résumé :
Objectifs : Évaluer l'activité insecticide de l'extrait du champignon endophyte Aspergillus niger. Méthodologie et Résultats : Pour évaluer l'activité insecticide, dix concentrations (de 0,2 à 2 g/ L) de l'extrait fongique ont été appliqués par contact et par ingestion contre Locusta migratoria L. Pour connaitre la nature des métabolites secondaires responsables de l’activité insecticide des analyses chimiques, infrarouge à réflexion totale atténuée par transformée de Fourier de l'extrait fongique et un GC-MS-MS des hyphes du champignon et de l'extrait fongique ont été effectués. Un test d’inhibition d’Acétyl cholinestérase par l’extrait fongique a été effectué afin de connaitre le mode d’action ou l’effet d’extrait sur le système nerveux des insectes traités. La concentration la plus efficace contre les insectes est de 2 g/L, avec un taux de mortalité maximum de 86,95%et 100% pour les traitements par contact et ingestion, respectivement. L'analyse chimique de l'extrait fongique a révélé la présence de polyphénols, d'alcaloïdes, de terpénoïdes et de saponines comme métabolites responsables de ces activités. L'analyse FTIR-ATR de l'extrait fongique a révélé la présence de groupes alcool, nitro, imine, alcyne et hydroxyle. L'analyse GC-MS des hyphes et de l’extrait fongique a révélé la présence des volatiles insecticides Hexahydro-1H-cyclopenta [c] isoxazole-4, 5,6-triol, 2, 3, 4,4a, 5, 6, 7,8-octahydro-1H -naphtalène-1,8a-diol et acide propanoïque 2-éthyl-3-hydroxyhexyle. A 4 μg/mL l’extrait fongique est doté d’une activité inhibitrice d’Acétylcholinestérase maximale de 73,91 %. Conclusions et application des résultats : l’extrait du champignon endophyte d’Aspergillus niger constitue une bonne source de métabolites secondaires volatiles et non-volatiles à activité insecticide et peut être utilisé comme insecticide de contact ou ingestion contre L. migratoria. 17720 Laib et al., J. Appl. Biosci. Vol : 170, 2022 L’emploi de l’extrait du champignon endophyte Aspergillus niger isolé à partir des feuilles du ricin commun Ricinus communis L. comme agent de lutte biologique contre le criquet migrateur Locusta migratoria L. Mots clés : Activité insecticide, champignons endophytes, Locusta migratoria, Aspergillus niger, GC-MS-MS, FTIR-ATR. ABSTRACT Objectives: Evaluate the insecticidal activity of the extract obtained from the endophytic fungus, Aspergillus niger. Methodology and Results: Ten concentrations of 0.2 to 2 g/L of the fungal extract were applied by contact against Locusta migratoria L. To find out the nature of the secondary metabolites responsible for the insecticidal activity, we carried out chemical analysis, an infrared analysis with total reflection attenuated by transform Fourier of the fungal extract, and GC-MS-MS analysis for both colony and fungal extract. To reveal the effect of the extract on the nervous system of the treated insects, we carried out an acetyl cholinesterase inhibition test. The most effective concentration against the insects was 2 g/L, with a maximum mortality rate of 86, 95%and 100% for L. migratoria upon contact and ingestion treatments, respectively. Chemical analysis of the fungal extract revealed the presence of polyphenols, alkaloids, terpenoids, and andsaponins asthe metabolites responsible for these activities. The FTIR-ATR of the fungal extract revealed the presence of alcohol, nitro, imine, alkyne, and hydroxyl groups. Specifically, GC-MS analysis of both colony and fungal extract revealed the presence of the insecticidal volatiles Hexahydro-1Hcyclopenta [c] isoxazole-4,5,6-triol ,2,3,4,4a, 5,6,7,8-octahydro-1H-naphthalene-1,8a-diol and Propanoic acid 2-ethyl-3-hydroxyhexyl.Moreover, we found that at a concentration of 4 μg/mL, the fungal extract had a maximum inhibitory capacity of Ache of 73.11%. Conclusions and application of findings: the endophytic fungus A. niger is a good source of volatile and non-volatile secondary metabolites with insecticidal activity against L. migratoria. Keywords: Insecticidal activity, endophytic fungi, Locusta migratoria, Aspergillus niger, GCMS-MS, FTIR-ATR.
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Allou Isidore, SARAKA, ABO Kouabenan, OUATTARA Katinan Etienne et ZIRIHI Guédé Noël. « Étude botanique, tri phytochimique et évaluation in vitro de l’activité antifongique des extraits de feuilles de Mallotus oppositifolius (Geisel.) Müll. Arg (Euphorbiaceae) sur Fusarium sp. et Phytophthora sp. deux champignons phytopathogènes ». Journal of Animal & ; Plant Sciences 41.2 (31 août 2019) : 6903–15. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v41-2.4.

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Résumé :
L’objectif de ce travail est d’évaluer le pouvoir fongicide des feuilles de Mallotus oppositifolius sur Phytophthora sp. et Fusarium sp. deux champignons phytopathogènes dans le cadre de la recherche de substances naturelles d’origine végétale comme alternative aux pesticides chimiques en agriculture. Une enquête ethnobotanique réalisée auprès de quarante tradipraticiens de santé du District de Yamoussoukro sur les Euphorbiaceae médicinales a permis d’identifier treize espèces. L’étude a montré que les maladies de la peau (36%) étaient majoritairement traitées par ces Euphorbiaceae dont Mallotus oppositifolius. Au vue de ces données et celles de la littérature, Mallotus oppositifolius a été retenu pour l’évaluation du potentiel antifongique contre Fusarium sp. et Phytophthora sp. L'activité antifongique a été évaluée par la méthode de double dilution sur milieu PDA avec des extraits éthanoliques et aqueux dérivés des feuilles de cette plante. Les résultats ont montré que les extraits aqueux et éthanoliques 70% de Mallotus oppositifolius possèdent des propriétés antifongiques à la fois sur Fusarium sp. et Phytophthora sp. Les activités antifongiques ont été plus importantes avec les extraits éthanoliques qu’avec les extraits aqueux. Avec une concentration minimal inhibitrice CMI = 25±0,0 mg/mL, une CI50 = 6,5±0,05 mg/mL et une concentration minimal fongicide CMF = 200±0,0 mg/mL Fusarium sp. semble être le plus sensible. Phytophthora sp. est moins sensible avec une CMI = 50±0,0 mg/mL, une CI50 = 12±0,05 mg/mL et une CMF = 200±0,0 mg/mL. Le screening phytochimique a mis en évidence la présence de sept groupes de composés parmi lesquels les alcaloïdes, les polyterpènes et stérols, les tanins galliques et les catéchines sont les plus abondants dans les extraits éthanoliques. En plus de ces composés, les flavonoïdes, les polyphénols ainsi que les saponines sont aussi bien présents dans les extraits aqueux que dans les extraits alcooliques de Mallotus oppositifolius. Ces composés pourraient justifier l’activité des extraits éthanoliques de Mallotus oppositifolius. Ces résultats peuvent servir pour les recherches agronomiques dans le cadre de la lutte contre les deux champignons phytopathogènes étudiés. Botanical study, phytochemical screening and in vitro evaluation of the antifungal activity of Mallotus oppositifolius (Geisel.) Müll. Arg. (Euphorbiaceae) leaf extracts on Fusarium sp. and Phytophthora sp., two phytopathogenic fungi. ABSTRACT The purpose of this work is to evaluate the fungicidal power of the leaves of Mallotus oppositifolius on Phytophthora sp. and Fusarium sp. two phytopathogenic fungi in the research of natural substances of plant origin as an alternative to chemical pesticides in agriculture. An ethnobotanical survey of forty traditional healers in the Yamoussoukro District on medicinal Euphorbiaceae identified thirteen species.The study showed that skin diseases (36%) were mainly treated by these Euphorbiaceae including Mallotus oppositifolius. In view of these data and those in the literature, Mallotus oppositifolius was selected for the evaluation of the antifungal potential against Fusarium sp. and Phytophthora sp. The antifungal activity was evaluated by the double dilution method on PDA medium with ethanolic and aqueous extracts derived from the leaves of this plant. The results showed that aqueous and ethanolic extracts 70% of Mallotus oppositifolius have antifungal properties on both Fusarium sp. and Phytophthora sp. Antifungal activities were more important with ethanolic extracts than with aqueous extracts. With a minimum inhibitory concentration MIC = 25±0.0 mg/mL, a minimal concentration for 50 % of inhibition IC50 = 6.5±0.05 mg/mL and a minimum fungicide concentration MFC = 200±0.0 mg/mL Fusarium sp. appears to be the most sensitive. Phytophthora sp. is less sensitive with an MIC = 50±0.0 mg/mL, an IC50 = 12±0.05 mg/mL and a MFC = 200±0.0 mg/mL. Phytochemical screening revealed the presence of seven groups of compounds among which alkaloids, polyterpenes and sterols, gallic tannins and catechins are the most abundant in ethanol extracts. In addition to these compounds, flavonoids, polyphenols and saponins are present in both aqueous and alcoholic extracts of Mallotus oppositifolius. These compounds could justify the activity of the ethanolic extracts of Mallotus oppositifolius. These results can be used for agronomic research to control the two phytopathogenic fungi studied.
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Ngom, Saliou, Toffène Diome, Bocar Diop et Mbacké Sembene. « Effet des extraits aqueux de Calotropis procera sur les principaux ravageurs du chou en culture au Sénégal ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no 5 (14 septembre 2020) : 1600–1610. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i5.9.

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Résumé :
Au Sénégal, le chou est l’un des légumes les plus cultivés et consommés, de par son cycle relativement court (60-90 jours après repiquage) et sa possibilité d’être cultivé toute l’année. Cependant il est attaqué par plusieurs ravageurs tels que Plutella xylostella (L.) (Lepidoptera, Plutellidae), Hellula undalis (F.) (Lepidoptera, Pyralidae) et Spodoptera littoralis (B.) (Lepidoptera, Noctuidae). L’objectif de cette étude était de contribuer à la lutte contre ces ravageurs du chou en culture dans la zone des Niayes en utilisant les extraits aqueux à base de feuilles de Calotropis procera (Apocynaceae). L’étude a été menée sur 28 parcelles élémentaires dans la zone des Niayes (durant la période du 3 janvier au 22 mars 2019). Les formulations d’extrait de feuilles de C. procera utilisant comme solvant l’eau de robinet et l’eau de puits (ER et EP), appliquées à des temps différents le matin (ERM, EPM) et le soir (ERS, EPS) ont montré leurs efficacités sur les larves de P. xylostella et H. undalis. Par contre, les extraits ne sont pas efficaces sur S. littoralis (P-value= 0,672). En plus de leurs effets biocides, les extraits à base de feuilles de C. procera semblent accélérer la croissance des plants de chou. La nature du solvant et la période du traitement n’ont pas montré une différence significative.Mots clés : Biocide, Brassicassée, Niayes, lutte biologique English title: Aqueous extracts effect of Calotropis procera on the principal cabbage pests in culture in Senegal In Senegal, the cabbage is one of the most cultivated and consumed vegetables, from its relatively short cycle (60-90 days after road repair) and the possibility of being cultivated all the year. However it is attacked by several pests such as Plutella xylostella (L.) (Lepidoptera, Plutellidae), Hellula undalis (F.) (Lepidoptera, Pyralidae) and Spodoptera littoralis (B.) (Lepidoptera, Noctuidae). The objective of this study was to contribute on protect against cabbage pests in culture in the zone of Niayes by using the aqueous extracts containing sheets of Calotropis procera (Apocynaceae). The study was undertaken on 28 elementary pieces to in the zone of Niayes (during the period of January 3 at March 22, 2019). The formulations of extract using as solvent the water of tap and the water of well (ER and EP), applied to different times morning (ERM, EPM) and evening (ERS, EPS) showed their effectiveness on larvae of P. xylostella and H. undalis. On the other part S. littoralis was resistant to treatment (P=0,672) confirms it. In addition to their biocides effects, the extracts containing sheets of C procera seem accelerated the cabbage patches growth. The nature of solvent and the treatment period did not show a significant difference.Keywords: Biocide, Brassicasseae, Niayes, biological control

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