Littérature scientifique sur le sujet « Français (langue) – Comparaison (grammaire) »

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Articles de revues sur le sujet "Français (langue) – Comparaison (grammaire)"

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Vân Lê, Kim. « Réactions aux approches d’enseignement utilisées — Indices révélateurs des véritables besoins des apprenants vietnamiens ». Articles 23, no 3 (10 octobre 2007) : 643–64. http://dx.doi.org/10.7202/031955ar.

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Résumé :
Résumé Cet article trace un portrait de l'enseignement du français, langue étrangère, au Vietnam. L'autrice expose d'abord son point de vue quant à la situation générale de l'enseignement du français dans ce pays; elle analyse ensuite les différentes approches qu'on y utilise pour enseigner le français; elle les situe au regard des attitudes et des comportements des apprenants. Une comparaison entre les approches contestées et celles non contestées, qui tient compte des réactions d'apprenants devant chaque approche, désigne non pas l'orientation communicative, mais l'absence de la grammaire explicite au sein de l'approche communicative comme la pierre d'achoppement de cette approche.
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Hilwana, Aflia, Evi Eviyanti et Marice . « COMPARAISON DANS LE ROMAN NOTRE-DAME DE PARIS ». HEXAGONE Jurnal Pendidikan, Linguistik, Budaya dan Sastra Perancis 7, no 1 (9 octobre 2018) : 478. http://dx.doi.org/10.24114/hxg.v7i1.10931.

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Résumé :
Cette recherche a pour but de savoir l'utilisation des structures et des aspects comparés de la comparaison dans le roman Notre-Dame de Paris. On utilise la théorie de la comparaison de Poisson-Quinton (2003) qui explique qu'il existe trois structures de la comparaison en français : supériorité (utilisant le comparatif plus ... que), infériorité (utilisant le comparatif moins ... que) et égalité (utilisant le comparatif aussi ... que ouautant ... que) ainsi qu'il y a quatre aspects comparés de la comparaison : qualité (utilisant l'adjectif qualificatif), quantité (utilisant le nom), action (utilisant le verbe) et information (utilisant l'adverbe).La méthodede la recherché estdescriptive qualitative avec la technique de documentation.Le résultat de la recherche trouve que toutes les trois structures de la comparaison sont utilisées dans le roman avec la récapitulation suivante : supériorité (plus ... que) 48 fois, infériorité (moins ... que) 12 fois et égalité (aussi...que et autant ...que) 9 fois (aussi .. que 8 fois et autant ... que 1 fois). La structure supériorité est utilisée plus fréquemment car elle est la plus simple et la plus courante dans la langue écrite. Tandis que la structure égalité est utilisée plus rarement car elle est compliquée et n'est pas courante dans la langue écrite. Ensuite, on a également trouvé que tous les quatre aspects comparés de la comparaison sont utilisés dans le roman avec la récapitulation suivante : qualité (adjectif qualificatif) 54 fois, quantité (nom) 6 fois, action (verbe) 3fois et information (adverbe) 6 fois. La comparaison de la qualité est plus fréquente car c'est la fonction principale de la comparaison dans la grammaire française alors que la comparaison de l'action est plus rare car on comparemoins pas les activités entre des personnages du roman. L'histoire de Notre-Dame de Paris compare plus de qualités que d'actions. Mots clés: comparaison,roman, NotreDame de Paris.
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Swiggers, Pierre. « Comparaison des langues et grammaire comparée. Réflexions méthodologiques. » Linguistica 27, no 1 (1 décembre 1987) : 3–10. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.27.1.3-10.

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Résumé :
Dans cet article je voudrais aborder un probleme historiographique et métho­ dologique: le passage de la comparaisonde langues à la gramrilaire comparée. Ce passage reflète une certaine continuité - au niveau des materiaux et de l'analyse comparative d'un certain nombre de langues, mais il témoigne d'une discontinui­ té radicale que les historiens de la lhiguistique interprètent souvent comme tin pro­ cessus de sophistication allant vers la création d'un paradigme ''scientifique"C'est aussi le sentiment de ceux qui font partie des générations "panidigmatiques". Ainsi, Antoine Meillet n'hésite pas à dater l'emergence de la granimaire comparée: "La grammaire comparée a été créée au début du XIXe siècle par les savants allemands et danois”. On aurait mauvaise grâce a soupçonner le maître français de myopie historique: Meillet est conscient de la longue préhistoire du comparatisme, mais il prend soin de la distinguer de la grammaire comparée. La pierre de touche iciest la méthode, et il n'est done pas étonnant que le premier chapitre de 1'/ntroductioil de Meillet porte sur la méthode de la grammaire comparée. La grammaire comparée, dont l'objet est l'étude de concordances que présentent certaines langues entre elles, s'insère dans le contexte des "recherches méthodiques que le XIXe siècle a instituées sur le développement historique des faits naturels et sociaux." Or, qu'est-ce qui permet de définir la "grammaire comparée"? Je distinguerais trois composantes (qui sont intitnement liées) dans la grammaire comparée:1. la notion de "forme grammaticale"2. la notion de "type Iinguistique"3. la notion de "changements systématiques" en tant que transitions.Dans la suite, je développerai chacune de ces trois composantes, en indiquant leur portée, leur interdépendance, et leur maturation historique. Chacune de ces compo­ santes correspond à des aspects du problème général de la comparaison ds Iangi.Ies, et de la justification même de leur description comparative.
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Schlamberger Brezar, Mojca. « La phrase emhatique et ses équivalents en Slovene ». Journal for Foreign Languages 7, no 1 (30 décembre 2015) : 155–65. http://dx.doi.org/10.4312/vestnik.7.155-165.

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Résumé :
L'importance de bonnes connaissances en grammaire française dans l’enseignement universitaire avait depuis toujours une position centrale dans le cadre du Département des langues et littératures romanes de la Faculté de Lettres de l’Université de Ljubljana1. L’enseignement de la grammaire procédait par la morphologie verbale et non-verbale et aboutissait à la syntaxe comme le point culminant. La syntaxe du français, enseignée par Mme Elza Jereb, était centrée surtout sur l’usage contemporain du français, prenant en compte aussi bien le français standard que les expressions plus familières. Sa grammaire Francoska slovnica po naše (Jereb 1995) est une grammaire du français langue étrangère qui se veut pédagogique à l'instar des grammaires pédagogiques françaises, parues dans la même époque. Nous pouvons souligner ici la différence entre une grammaires de référence ou descriptives, qui englobe le savoir sur une langue, et les grammaires d’apprentissage ou pédagogiques, qui se veulent utiles pour l’apprenant d’une langue étrangère.
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Jeanneret, Thérèse. « Structures grammaticales et constructions préfabriquées, quelques enjeux didactiques ». Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no 13 (9 avril 2022) : 37–49. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2002.1810.

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Résumé :
Cet article se propose de réfléchir à certaines limites que l'on assigne en général à la grammaire et partant à son enseignement. En particulier, on va s'attacher à mettre en évidence ce que pourrait apporter à la didactique du français langue étrangère une conception de la grammaire comme couvrant un champ large, incluant certaines zones limites entre la liberté combinatoire et le figement. Pour ce faire, on partira des objectifs assignés à un enseignement de grammaire dans une classe de langue et on montrera qu'ils posent le problème de l'adéquation du modèle grammatical enseigné aux observables. La réflexion proposée ici s'appuie sur celle de Chevallard (1991 : 39) autour de la notion de transposition didactique définie comme le « travail qui, d'un objet de savoir à enseigner, fait un objet d'enseignement ». D'une certaine manière, c'est une réduction de l'écart entre l'objet d'enseignement (la grammaire du français langue étrangère) et l'objet de savoir (la linguistique descriptive du français) qui est préconisée ici.
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Chiss, Jean-Louis. « Débats dans l'enseignement/apprentissage de la grammaire ». Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no 13 (9 avril 2022) : 5–16. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2002.1808.

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Résumé :
Toute réflexion en didactique de la grammaire implique d'envisager conjointement la dimension de l'enseignement (relations entre théories et méthodologies) et celle de l'apprentissage (obstacles et réussites dans l'appropriation scolaire) ainsi que le rôle de cette discipline dans l'interaction enseignant/apprenant au sein de la classe de langue. Sur ces différents aspects, les travaux centrés sur la didactique de la grammaire en langues étrangères, particulièrement en français langue étrangère (Besse et Porquier, 1984; Moirand, Porquier et Vivès, 1989; Cuq, 1996; Germain et Seguin, 1998; Puren, 2001) croisent certaines des préoccupations du français langue maternelle (Chartrand, 1995; Grossmann et Vargas, 1996; Chiss et Meleuc, 2001). L'optique adoptée ici privilégiera la conception, le rôle et la place de la grammaire en FLE sans négliger l'apport du FLM, ne serait-ce que pour disposer d'éléments propres à envisager les relations entre langue étrangère et langue maternelle.
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Suso López, Javier. « Introduction ». Langues & ; Parole 2 (30 novembre 2016) : 7–11. http://dx.doi.org/10.5565/rev/languesparole.19.

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Résumé :
L'expression « grammaire de la langue parlée » relève de l’incompréhension, ou tout au moins elle est inhabituelle, proche d’un oxymoron : si la grammaire est, tout d’abord ou étymologiquement, l’étude des lettres (grammata), comment pourrait-il exister une grammaire de la langue parlée (de l’oralité), qui est composé de sons ? C’est ainsi qu’elle évoque chez les linguistes ou les didacticiens ce qui touche à la norme orale d’une langue : elle contiendrait une « orthoépie » (qui règle la prononciation correcte), une « grammaire de l’intonation » (cf. Morel & Danon-Boileau, 1998), ainsi qu’une proposition d’un modèle standardisé quant au système accentuel et rythmique reposant sur le français de Paris)… Somme toute, ce que comprend la « phonétique » en tant que discipline (scientifique et scolaire) : pourquoi alors compliquer les choses et se risquer à utiliser une expression ambiguë et problématique ? Voilà des questions parmi d'autres auxquelles le présent numéro de la revue Langue(s) & Parole entend répondre.
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Vivès, Robert. « Lexique-grammaire et didactique du français langue étrangère ». Langue française 68, no 1 (1985) : 48–65. http://dx.doi.org/10.3406/lfr.1985.6354.

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ZRIBI-HERTZ, ANNE. « Pour un modèle diglossique de description du français : quelques implications théoriques, didactiques et méthodologiques ». Journal of French Language Studies 21, no 2 (29 septembre 2010) : 231–56. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269510000323.

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Résumé :
RÉSUMÉCet article défend l'hypothèse que le français (toutes zones géographiques confondues) présente aujourd'hui les propriétés caractérisant la situation diglossique, selon la définition classique de ce concept formulée par Ferguson (1959): la variété H est incarnée par la grammaire standard, et les variétés L par les grammaires appelées icidialectales, activées par les locuteurs en situation informelle. Dans une optique générative de la grammaire, il est proposé de représenter la compétence linguistique des francophones par deux grammaires en intersection, schéma rendant compte de l'intuition que les deux algorithmes génèrent “la même langue”. L'article s'emploie à justifier pour le français l'hypothèse diglossique et la formalisation proposée, et à en explorer quelques avantages et implications pour la description et l'enseignement de cette langue.
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Corcuera manso, J. Fidel, et Antonio Gaspar. « Los comienzos de la expansión de la lengua francesa a través de las gramáticas publicadas dentro y fuera del territorio francés. El caso de España ». Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde 18, no 1 (1996) : 173–88. http://dx.doi.org/10.3406/docum.1996.1154.

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Résumé :
L’universalité du français, dont parlera Antoine de Rivarol au XVIIIe siècle, est le résultat d’un long processus qui trouve ses origines au XVIe siècle et qui a exigé le dépassement de divergences très profondes. En effet, avant d’être “universel”, le français doit être “langage françoys”, c’est-à-dire langue nationale, et “langue classique”, ayant une considération similaire à celle des langues telles que le latin ou le grec. Le rôle des grammairiens dans ce processus est évident : ils procèdent d’un côté à réaliser la codification de la langue, et d’un autre côté ils développent des instruments pour la diffusion et expansion du français hors de France, dans des pays tels que l’Angleterre, l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Italie ou l’Espagne. Ainsi, le XVIe siècle se caractérise par une tendance à la réalisation d’ouvrages pédagogiques pour l’enseignement et l’apprentissage du français langue étrangère : grammaires, règles, vocabulaires, dictionnaires, dialogues... En Espagne, la première grammaire du français à l’usage des Espagnols est celle de Baltasar de Sotomayor, Grammatica con reglas muy prouechosas y necessarias para aprender a leery escriuir la lengua Francesa..., publiée en 1565 à Alcalá de Henares. Nous réalisons dans ce travail une approche analytique de ce texte pédagogique qui n’est pas, à vraiment parler, une grammaire et qui s’inspire - des fois de manière trop directe - de quelques travaux précédents, notamment ceux de Gabriel Meurier.
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Thèses sur le sujet "Français (langue) – Comparaison (grammaire)"

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Miladi, Lidia. « Etude transformationnelle des verbes à complétive du polonais : comparaison avec le français ». Grenoble 3, 2004. http://www.theses.fr/2004GRE39006.

Texte intégral
Résumé :
"Cette thèse est une analyse systématique et exhaustive des structures à complétive du polonais (en comparaison avec le français), dans le cadre du modèle du "lexique-grammaire" développé par M. Gross et son équipe du LADL. L'application de la méthodologie de M. Gross (1968, 1975) a permis de classer environ 2100 formes verbales à complétive du polonais dans 17 classes syntactico-sémantiques. Là où n'existe qu'un seul complémenteur que en français, avec une différentiation sur le mode de la complétive (indicatif / subjonctif), deux complémenteurs de forme distincte ze et zeby1 sont observables en polonais. Les complétives du polonais sont introduites soit par to1 soit par la séquence : Prép+to1. De plus, 16 prépositions (de sens divers) sont susceptibles d'introduire une complémentation complétive (et/ou infinitive) en polonais alors que seules deux prépositions à et de, introduisent majoritairement les complémentations complétives ou infinitives prépositionnelles en français. To1 - introducteur d'une complétive en polonais, fait partie du complémenteur ze ou zeby1. Il est grammaticalisé et n'a donc pas de valeur autonome. Il peut être effacé sans entraîner le changement de sens de la phrase. Sa présence devant les complétives constitue une condition préalable de plusieurs transformations (susceptibles de s'appliquer sur ces constructions). Par ailleurs, il existe encore un autre morphème to. To2 est un pronom déictique qui sert d'une part à pronominaliser les complétives (ou les infinitives) et d'autre part, placé en tête de phrase, to2 assure l'extraction des complétives et des infinitives. Une corrélation entre to1 et to2 est observable : to1 trouve sa source dans to2. Seuls 381 verbes autorisent une réduction de la complétive à l'infinitive correspondante. La présence du marqueur d'infinitive de forme zeby2 est alors observable dans les constructions infinitives. "
This thesis is a systematic and exhaustive analysis of the substantive Polish structures (compared with the French language), as part of the "lexique-grammaire" model developped by M. Gross and his team at LADL. The application of M. Gross' method has permitted the classing of nearly 2100 substantive Polish verbs into 17 syntactical-semantic classes. Where only one subordinating conjunction (que) exists in French, with a differentiation on the substantive mood (indicative / subjunctive), two distinct forms of the subordinating conjunctions ze and zeby1 are observable in Polish. The Polish substantives are introduced either by to1 or by the sequence : Prép+to1. In addition, 16 prepositions (of various meanings) are able to introduce a complementary substantive (or infinitive) in Polish where as only two prepositions à and de introduce the substantive or prepositional infinitives in French. To1 - initiator of a substantive in Polish, belongs to the subordinating conjunction ze or zeby1. It is grammatisized and so has no autonomous value. It can be deleted without changing the meaning of the phrase. If it is used before the substantive, it forms a preliminary condition for several transformations (open to be applied in these constructions). Furthermore another morpheme exists : to. To2 is a deictic pronoun which serves on the one hand to pronominalise the substantives ( or the infinitives) and on the other hand when placed at the beginning of a phrase, it emphasizes the substantives and the infinitives. A correlation between to1 et to2 is noticeable : to1 originates from to2. Only 381 verbs allow a reduction from the substantive to the corrresponding infinitive. The presence of the infinitive marker of the from zeby2 is observable in the infinitive constructions
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Rebotier, Aude. « Les Temps verbaux en allemand et en français et les phénomènes aspectuels : comparaison de deux systèmes ». Grenoble 3, 2005. http://www.theses.fr/2005GRE39039.

Texte intégral
Résumé :
Le français possède plus de temps verbaux que l'allemand à l'indicatif, et leur utilisation est plus variée. Les phénomènes aspectuels sont l'une des clefs qui expliquent ces différences. En français, les Temps du passé sont porteurs d'un aspect grammatical, qui interfère avec l'aspect lexical (mode d'action) : passé simple et passé composé imposent que le procès soit télique, l'imparfait demande un procès atélique ; le Temps contribue à sélectionner l'un des sens potentiels du GV. L'allemand qui ne possède cette opposition ni au Prétérit ni au Perfekt a un mode d'action plus marqué : les procès exprimés par les lexèmes verbaux (avec leurs compléments) ont des caractéristiques aspectuelles qui sont moins sujettes à des réinterprétations en contexte. Sur ce point, l'aspectualité allemande s'apparente à celle des langues slaves, sans toutefois former un système. Pour l'expression de l'avenir, l'allemand dispose d'une forme beaucoup moins employée que les Futurs français, werden + infinitif. En effet, le Présent français exerce généralement le même effet aspectuel que l'imparfait (le procès doit être atélique) ; inversement, en allemand, les procès téliques imposent un sens futural au Präsens, qui représente ainsi une concurrence plus forte pour le Futur. Le Futur allemand est limité aux emplois les plus typiques d'un Temps futur, ceux où le paradoxe lié à ce Temps est mis en valeur : le locuteur s'engage sur un fait qui par définition n'est pas encore avéré. En français, inversement, c'est l'emploi du Présent pour l'expression de l'avenir qui est plus spécialisé : il implique au moment de l'énonciation l'existence d'un plan ou d'un schéma qui prévoit le procès.
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Muller, Claude. « La négation en français : syntaxe, sémantique et éléments de comparaison avec les autres langues romanes ». Paris 7, 1987. http://www.theses.fr/1987PA070036.

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Résumé :
La négation est définie par rapport à l'assertion, comme le rejet d'un présupposé pragmatique. Cette valeur fondamentale s'accompagne d'une valeur dérivée permettant la saisie d'informations: c'est la négation descriptive. Les operateurs de la négation syntaxique sont utilisables aussi bien avec les paraphrases métalinguistiques (avec les verbes-supports de l'assertion) qu'avec les operateurs de surface. La négation est encore exprimée par des opérateurs adaptés aux contextes (négations morphologiques); à l'inverse, le contexte peut s'adapter à la négation (polarité négative). La combinatoire ne pas vs. Non correspond respectivement à la négation ayant un verbe dans ses actants, et à la négation ayant incorporé son verbe-support, ce qui permet d'expliquer la gamme d'emplois de non. Les emplois de ne sans pas résultent soit de l'association négative, codifiée au dix-septième siècle, soit de survivances du système ancien. L'association négative (combinaison d'une négation et d'un opérateur dépendant) met en évidence le phénomène de non localisation de la négation, qui caractérise les langues romanes, avec cumul et absence de l'incorporation morphologique typique des langues germaniques. Elle est signalée en français par l'absence de pas et la présence de ne à l'écrit. Les négations explétives sont vues dans ce cadre comme des négations associées à un contexte de portée dominante équivalant à un terme positif avec une négation dépendante: d'où la caractérisation de ces constructions comme des associations négatives inverses. Les derniers chapitres examinent les modifications de déterminant en phrase négative, et la sémantique des questions négatives
Negation may be defined in relation to assertion, as a rejection of a pragmatic presupposition. This basic value is accompanied by a derived value allowing for information transmission : descriptive negation. Operators of syntactic negation can be used with metalinguistic paraphrases (using the 'support-verbs' of assertion) as well as with surface operators. Negation is also expressed by operators adapted to their lexical context (morphological negations); inversely, the context may adapt in function of the negation (negative polarity). The choice of ne pas vs. Non corresponds respectively to a negation containing a verb among its arguments and to a negation incorporating its 'support verb', which explains the wide application range of non. Uses of ne without pas result either from the negative association codified in the 17th century, or from survivals of the former system. The negative association (combination of a negation and a dependent operator) highlights the phenomenon of non localised negation characterising the romance languages, with absence of morphological incorporation of negation in negative words. It is indicated in french by the absence of pas and the simultaneous use of ne in written french. Negative expletives can be seen in this framework as negations associated with a dominant-scope context equivalent to a positive item with a dependent negation, hence the characterisation of these constructions as inverse negative associations. The last chapters deal with modifications of determiners in negative sentences, and with the semantics of negative questions
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Ren, Xiaobo. « Syntaxe diachronique et synchronique des constructions passives en chinois : essai de comparaison avec les formes passives du français ». Paris 3, 1989. http://www.theses.fr/1989PA030139.

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Résumé :
En chinois contemporain, la forme passive standard est la suivante : "(sni) + bei (+ sn2-agent) + v (+ c)". Cette structure est attestee des le chinois medieval, au viiie siecle, mais elle devient la forme passive la plus courante seulement en chinois moderne, aux alentours des xive et xve siecles. Auparavant, en chinois archaique et en chinois medieval, d'autres constructions mettant en jeu d'autres marqueurs que bei sont utilisees pour l'expression du passif. Ce sont, pour l'essentiel, les formes en yu, les formes en wei. . . Suo, les formes en jian. Les diverses contraintes des formes passives aux niveaux syntaxique, semantique et communicatif expliquent pourquoi les formes actives n'ont pas toujours une forme passive correspondante et pourquoi certaines formes passives s'averent aller plus naturellement de soi que leurs formes correspondantes actives. Les differences degagees entre le chinois et le francais expliquent aussi pourquoi certaines passives sont obligatoirement interpretees par des formes actives dans l'autre langue, et pourquoi un choix s'impose toujours entre les degres syntaxique, semantique ou communicatif
In today's chinese, the common passive form is the following : "(np1) + bei (+ np2-agent) + v (+c)". This structure can already be found in medieval chinese (8th century a. D. ), but it only became the most current passive form in modern chinese, around the 14th and 15th centuries. In archaic chinese and in medieval chinese, other constructions with other marks than bei were used to express the passive form. They were essentially : i. E. Yu, wei. . . Suo and jian. Various constraints on the passive forms regarding syntax, semantics and communication as well, explain why all the active forms may not always have an exact corresponding passive form and why some passive forms are sometimes more natural than their corresponding active forms. The differences that arise between the chinese language and the french language, emphasize the fact that some passive forms in one language are adequately rendered by active forms in the other language, thus a choice has to be made between syntaxic, semantic and communicative levels
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Lee, Sung-Young. « La syntaxe des pronoms clitiques des langues romanes : comparaison de deux approches ». Paris 8, 1995. http://www.theses.fr/1995PA081031.

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Résumé :
Dans cette etude, nous avons observe comment ecp et la notion de barriere peuvent etre derivees dans le cacre du programme minimaliste. Cette observation a ete menee les questions de la construction des clitiques et de quelques deplacements du mot wh. En ce qui concerne l'identite du clitique, nous avons adopte l'idee de chomsky (1994) selon laquelle le clitique est une projection a la fois minimale et maximale ce double statut categoriel du clitique nous a permis de deriver a l'aide de la la condition de la chaine uniforme, les contraintes imposees a la cliticisation dans le modele anterieur de gb. Quant a la cause du deplacement de clitique, nous suppoons que c'est la processus de la verificationcasuelle qui nous a permis de deriver l'enclise et la proclise selon le niveau de la verification. Notre attention s'est porte egalement sur la possibilite de deriver la condition de la minimalite stricte. Cette condition peuvent etre derivee principalement par la theorie de la verification. L'impossibilite d'extraire le mot wh a partir de la position adjointe nous a amene a proposer une condition de chaine non-interrompue. L'inversion obligatoire du sujetverbe et la distribution du clitique en en francais sont explicables grace a cette nouvelle condition. Cependant, nous avons quelques difficultes : notre explication basee sur le cas ne vaut pas pour les clitiques du predicat ni pour les clitiques adverbiaux. Il est difficile de determiner quel est le cas de ces derniers. Il reste a traiter l'absence de la montee du verbe en portugais lorsque le syntagme wh deplace contient une expression nominale.
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Le, Hoang Nam. « Stylistique comparée et traduction : étude descriptive d'un corpus littéraire Franco-vietnamien ». Paris 10, 2009. http://www.theses.fr/2009PA100033.

Texte intégral
Résumé :
L’objectif de cette thèse vise à démontrer que l’on ne peut pas bâtir des méthodes de traduction prêtes à employer dans la traduction des autres textes littéraires à partir des solutions proposées par les deux traducteurs d’un même texte littéraire. Pour démontrer notre thèse, nous avons comparé et examiné l’acte de traduire des deux traducteurs dans les trois éléments constitutifs. Le premier élément porte sur l’interprétation et la compréhension d’une œuvre littéraire. Le deuxième élément porte sur la recréation de la littérarité d’une œuvre traduite. Le troisième élément porte sur la recontextualisation d’une œuvre traduite. Le résultat de la recherche conclut que les solutions proposées par les deux traducteurs à partir d’un même corpus sont basées sur les signifiants du texte original et sur les termes équivalents de la langue d’arrivée. De ce fait, ces solutions sont à l’origine du décalage entre deux perceptions esthétiques d’un texte et par conséquent, elles ne peuvent pas être modélisées pour appliquer dans la traduction des autres textes. Les solutions que nous proposons sont basées sur le sens et sur l’effet produits par une œuvre et donc il n’y a que nos solutions qui peuvent réduire le décalage entre deux perceptions esthétiques d’un même texte
The aim of this thesis is to prove that we cannot create ready to use translation methods for literary texts from solutions given by two translators of a same literary text. In order to show our thesis, we compared and examined the way of translation of both translators in the three constituent elements. The first element is about the interpretation and the understanding of a literary text. The second element is about the recreation of the literary aspect of a translated text. The third element is about the decontextualisation of a translated text. The result of the research shows that the solutions proposed by the two translators from a same corpus, are based on the significant of the original text and on the equivalent words of the target language. Therefore, these solutions are the cause for the discrepancy between two artistic perceptions of a text and consequently, they cannot be applied for the translation of other texts. Our solutions are based on the meaning and the impression given by a text, thus, only our solutions can reduce the discrepancy between two artistic perceptions of a same text
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Merten, Pascaline. « La caractérisation multiple en français : description, comparaison avec d'autres langues et formalisation XML ». Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2005. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210993.

Texte intégral
Résumé :
Selon la théorie du syntagme nominal développée par Wilmet (2003), la notion de caractérisant est une notion fonctionnelle qui désigne tous les « accompagnateurs » du nom (ou déterminants) qui modifient l’extension du nom. Cette notion est indépendante des catégories morpho-syntaxique puisqu’on trouve parmi les caractérisants des adjectifs, des syntagmes prépositionnels, des noms, des adverbes, des propositions relatives voire des phrases entières.

Les linguistes du français se sont surtout intéressés à la position absolue de l’adjectif (antéposition ou postposition au nom), mais peu à leur ordre relatif. Il était intéressant d’étendre le point de vue à tous les caractérisants parce que le mélange de caractérisants de différentes natures, en particulier la séquence relative de l’adjectif et du complément du nom, pose d’intéressantes questions linguistiques. La notion fonctionnelle montre également sa valeur dans un cadre comparatiste, car différentes langues ne rendent pas le même concept avec la même catégorie morpho-syntaxique.

Notre théorie est que la séquence des caractérisants, tant en antéposition qu’en postposition, est régie par une hiérarchie de critères morpho-syntaxiques et sémantiques, en particulier par leur valeur classificatrice, descriptive ou spécificatrice. On a souvent classé les adjectifs en fonction de leur appartenance à une classe sémantique ontologique (couleur, forme, matière…). En réalité, de très nombreux adjectifs et caractérisants n’entrent pas dans ces catégories et ce type de classification n’est pas le premier critère à l’œuvre dans l’ordre des mots.

Le syntagme nominal apparaît dès lors comme structuré en différentes couches concentriques autour du nom ;il est délimité en antéposition par les quantifiants et en postposition par les caractérisants spécificateurs qui lui font en quelque sorte pendant. On observera dès lors d’intéressants phénomènes de sens et d’acceptabilité grammaticale dans le jeu des quantifiants et des caractérisants. Inversement, la position relative d’un caractérisant influe sur sa valeur. On pourrait résumer ces effets de sens par la formule :on dit d’abord ce que c’est, ensuite comment c’est, et enfin lequel c’est. De manière très générale donc, on observe que l’orientation des déterminants se fait selon un axe intrinsèque-extrinsèque ou objectif-subjectif.

L’étude d’expressions dans d’autres langues et dans des domaines spécialisés (cuisine, appellations officielles incluant des adjectifs géographiques, localisation de logiciels et chimie organique) permet de valider cette hypothèse tout en montrant que l’ordre des mots est un phénomène de génération, propre à chaque langue car la traduction modifie la nature morpho-syntaxique et peut modifier la valeur des caractérisants.

La partie technique de la thèse a exploité des techniques de traduction assistée par ordinateur, de traduction automatique et de traitement du langage, elle a fait appel aux langages de balisage standards de la famille XML pour la représentation des corpus et des règles ainsi que pour la réalisation des procédures. Les corpus spécialisés ont été constitués par alignement de corpus monolingues ou par traduction. Ils ont tous été mis au format XML ;les règles de traduction ont été formalisées dans le même format et elles ont été implémentées en XSLT. La formalisation des corpus en assure la portabilité et facilite les recherches de structures grammaticales sur un corpus catégorisé. Les corpus parallèles sont en outre d’une grande aide pour les traducteurs. Enfin, l’automatisation permet de valider les règles linguistiques proposées.
Doctorat en philosophie et lettres, Orientation langue et littérature
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8

Stosic, Dejan. « "par" et "à travers" dans l'expression des relations spatiales : comparaison entre le français et le serbo-croate ». Phd thesis, Université Toulouse le Mirail - Toulouse II, 2002. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00272907.

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Résumé :
Nous avons abordé la notion de 'passage' dans la langue et dans la cognition à travers une analyse sémantique approfondie des prépositions "par" et "à travers" en français (ex : "Il est passé par le jardin", "Il marche à travers la forêt") et de leur équivalents en serbo-croate : [kroz+SN-Accusatif], [SN-Instrumental], [preko+SN-Génitif]. Notre étude est basée sur un vaste corpus d'exemples attestés dans les textes de langue générale. Nous définissons le sens spatial de "par" et "à travers" respectivement à l'aide des concepts de 'trajet' et de 'guidage' à partir d'un examen détaillé d'une part de la nature des entités mises en relation, d'autre part de leur combinatoire avec les prédicats verbaux. La comparaison avec le serbo-croate a montré que différents types de passage sont distingués par la/les langue(s) du fait d'une grande variété des marqueurs spatiaux à des contenus sémantiques différents. Enfin, nous examinons le rapport entre le langage, la pensée et la culture.
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Sibachir, Zina. « La traduction en arabe de la terminologie des Sciences du langage : structuration morphosémantique des unités terminologiques : approche traductive Français-Arabe ». Paris 13, 2013. http://scbd-sto.univ-paris13.fr/secure/ederasme_th_2013_sibachir.pdf.

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Résumé :
La traductionn de la terminilogie métalinguistique du français vers l'arabe souffre de problèmes sérieux dont les conséquences peuvent menacer le processus de la communication scientifique en langue arabe sous toutes ses formes. Ce travail rendra compte du diagnostic de cette situation qui semble être critique car il reflète un état dans lequel règne un désaccord important entre les traducteurs-linguistes : un terme métalinguistique du français a plus d'un équivalent en langue arabe. C'est une situation qui concerne la majorité des termes d'où l'importance de cette étude. Nous posons la question du degré d'adéquation des équivalents proposés. Chaque équivalent d'un etrme est une possibilité de traduction dont le sens rendu est interprété par les lecteurs en fonction de la structure morphosémantique de cet équivelent. Cette variation terminologique crée une situation délicate et soulève un problème important ayant trait à l'interprétabilité des équivalents obtenus par traduction.
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10

Youssef, Said. « Les relatives : comparaison entre le français, l'arabe classique, l'arabe moderne et l'arabe egyptien ». Thesis, Besançon, 2012. http://www.theses.fr/2012BESA1030/document.

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Résumé :
Cette étude a pour objectif d’examiner la structure des relatives en arabe classique, en arabe standard moderne et en arabe égyptien. Nous avons tenté de montrer les caractéristiques des relatives dans chacune de ces variantes d’arabe et de les comparer à celles du français.La première partie expose l’analyse des relatives chez les grammairiens français, ainsi que notre point de vue sur celle-ci. La deuxième partie présente une étude de la structure de la phrase en arabe classique et en arabe moderne. Nous y exposons également l’analyse menée par les grammairiens arabes des unités que nous apparentons à des relatifs. Dans la troisième et la quatrième partie, nous analysons ce que nous avons appelé les relatives marquées et les relatives non marquées en arabe moderne et en arabe égyptien. Enfin, nous décrivons les ressemblances et les différences, qui sont ressorties de ces comparaisons, entre le système des relatives dans les trois variantes d’arabe étudiées et celui du français
This study aims to examine the structure of relative pronouns between Classical Arabic, Modern Standard Arabic and Egyptian Arabic. We try to show the characteristics of relative pronouns for each of these three Arabic language variants and compare them with those of the French language.The first section presents an analysis of the relative pronouns by French grammarians, as well as our perspective on it. The second section presents a study of sentence structure in Classical Arabic and Modern Standard Arabic. In this section, we also present an overview of the analysis conducted by Arab grammarians of the units that we consider as relative pronouns. In the third and the fourth section, we analyze what we have called the marked relatives and unmarked relatives in Modern Standard Arabic and Egyptian Arabic. Finally, we describe the similarities and differences that emerge from these comparisons between the system of relative pronouns for each of these three Arabic language variants and the French language
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Livres sur le sujet "Français (langue) – Comparaison (grammaire)"

1

Wilmet, Marc. Grammaire critique du français. 3e éd. Bruxelles : Duculot, 2003.

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2

Wilmet, Marc. Grammaire critique du français. 2e éd. [Paris] : Hachette, 1998.

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3

La grammaire du français. Paris : Belin, 1997.

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4

Jacques, Laurin, dir. Ma grammaire. Montréal, Qué : Éditions de l'Homme, 2006.

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5

Gardes-Tamine, Joëlle. La grammaire. 2e éd. Paris : Colin, 1990.

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6

Weinrich, Harold. Grammaire textuelle du français. Paris : Didier, 1989.

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7

Paul, Desalmand, dir. Grammaire bleue : La grammaire française en 80 leçons. Paris : Colin, 2007.

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8

Ouvrir la grammaire. Lausanne : Éditions L.E.P. Loisirs et pédagogie S.A, 1994.

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9

Wilmet, Marc. Grammaire critique du français. Louvain : Duculot, 1997.

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10

Reine, Mimran, et Maheo-Le Coadic Michèle, dir. Grammaire expliquée du français. Paris : CLE International, 2002.

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Chapitres de livres sur le sujet "Français (langue) – Comparaison (grammaire)"

1

« La comparaison et le rapport proportionnel ». Dans Grammaire comparée des français d’Acadie et de Louisiane (GraCoFAL), 733–49. De Gruyter, 2018. http://dx.doi.org/10.1515/9783110420937-027.

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2

BERK, Cybèle. « Enseigner la grammaire turque ». Dans Enseignement-apprentissage de la grammaire en langue vivante étrangère, 21–32. Editions des archives contemporaines, 2023. http://dx.doi.org/10.17184/eac.5810.

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Résumé :
L’enseignant de la langue turque parlerait volontiers des facilités d’apprentissage de cette langue ; alphabet phonétique, absence de genre, absence d’article, absence d’accord entre le sujet et le verbe, entre l’adjectif et le nom, régularité remarquable des conjugaisons, proximité phonétique avec le français, ainsi que des milliers de mots empruntés au français au 19e et 20e siècles. Cela étant dit, tout apprentissage a ses servitudes, celui du turc n’y échappe pas. C’est une langue agglutinante, donc loin des langues flexionnelles, quelque peu déconcertant pour un apprenant francophone, du moins au début de son apprentissage. L’étonnement continue pour ce qui est de l’ordre syntaxique dont l’ordre inversé contrarie les débutants, sans oublier la nécessaire appropriation de l’harmonie vocalique, l’une des particularités du turc. La sonorité turque demande ainsi une attention soutenue : bien qu’il y ait peu de sons sans équivalence en français, on doit néanmoins enseigner aux apprenants comment produire les quelques sons particuliers qu’ils n’ont jamais prononcés. Nous allons d’abord évoquer l’état de la question des erreurs des apprenants dans la littérature pédagogique. Ensuite, à partir de notre propre expérience, nous tenterons de faire un inventaire des problèmes les plus fréquents rencontrés dans l’apprentissage de la grammaire turque, notamment par les francophones, puis nous en analyserons les causes et les conséquences de ces problèmes et enfin, nous proposerons des solutions pédagogiques pour les surmonter.
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3

« Chapitre 10 Les interventions sur les parlers, l’équipement de la langue, les facteurs sociolinguistiques ». Dans Grande Grammaire Historique du Français (GGHF), 135–56. De Gruyter Mouton, 2020. http://dx.doi.org/10.1515/9783110348194-013.

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4

ZHANG, Li. « Réflexion didactique sur le face à face distant entre le chinois et le français ». Dans Distance entre langues, distance entre cultures, 73–78. Editions des archives contemporaines, 2021. http://dx.doi.org/10.17184/eac.3691.

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Résumé :
Le face à face entre le français et le chinois est d’emblée marqué par la distance : une langue fortement structurée, et une autre où règnent la concision et la juxtaposition de l’autre. Ce dernier type de langue est considérée comme la langue «sensible au contexte». Pourtant, du point de vue de l’ensemble de la grammaire, la langue «sensible au contexte» montre quand même certaine insensibilité au contexte qu’on ne trouve pas dans bien des autres langues «sensibles à la syntaxe». Comment gérer la dépendance au contexte du chinois au plan didactique et pédagogique ? Comment profiter de cette insensibilité au contexte pour remédier à la dépendance au contexte ? La réflexion sur ces problèmes plus fondamentaux peut avoir en effet en retour sur l’apprentissage.
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5

De Gioia, Michele. « Sur quelques comparaisons entre le français de France et le francoprovençal de Faeto ». Dans LCM - La Collana / The Series. LED Edizioni Universitarie, 2023. http://dx.doi.org/10.7359/1063-2023-giom.

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Résumé :
Written in honor of Enrica Galazzi, a linguist always attentive to the varieties of French, this article deals with the national variety of French of France for comparative purposes. Continuing our description of the peripheral variety of another Romance language, namely the Faeto Franco-Provençal, we compare some lexico-syntactic adverbial and frozen structures of the varieties of the two languages, in order to better understand their differences and similarities. This study also presents a step in the construction of the Comparative Lexicon-Grammar of Romance Languages.
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Holeindre, Jean-Vincent. « 2022 : le choc des récits ». Dans Annuaire français de relations internationales, 3–25. Éditions Panthéon-Assas, 2023. http://dx.doi.org/10.3917/epas.ferna.2023.01.0003.

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Résumé :
En 2022, la fragmentation du monde va bien au-delà du choc des puissances. Elle questionne la coexistence des acteurs internationaux dans un monde commun et l’élaboration des récits qui peuvent être faits de ce monde : parlons-nous la même langue et partageons-nous la même grammaire pour caractériser la situation internationale ? Le récit « occidental » du monde a-t-il encore prise sur le monde au regard des évolutions récentes ? Les récits « autoritaires » de la Chine et de la Russie, auxquels sont sensibles les puissances « émergentes », autrefois colonisées, peuvent-ils façonner un autre système international, où les puissances occidentales ne joueraient plus les premiers rôles ? Deux « récits » concurrents se dessinent : le récit occidental a défini la grammaire internationale depuis 1945, structuré autour des États-Unis, et voit son influence peu à peu réduite sur le plan politique, culturel et économique ; un récit « chinois », de plus en plus ample, qui agrège les puissances régionales que sont la Russie, l’Iran, l’Afrique du Sud, le Brésil. La question n’est pas de savoir si le récit occidental pourra demeurer dominant, mais comment il pourra composer avec les autres, sans y voir une menace de type identitaire mais un défi de type politique et économique.
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7

Weber, Corinne. « Réflexion épistémologique en didactique du français langue étrangère sur la place de la grammaire de l’oralité ? » Dans The History of Grammar in Foreign Language Teaching. Nieuwe Prinsengracht 89 1018 VR Amsterdam Nederland : Amsterdam University Press, 2020. http://dx.doi.org/10.5117/9789463724616_ch12.

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Résumé :
This chapter aims to highlight that learners of the French as a foreign language need to understand the characteristic patterns of oral grammar in order to be autonomous in their communication. I identify the main trends in the way spoken discourse (lexical and syntactic) is organized, which differs from the explanations of traditional morphological grammars. These orientations, in the service of teacher reflexivity, help to move away from representations based on the ideological paradigm of several centuries of history that must first be understood. The insights from oral linguistics studies and authentic resources underpin our discussion.
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8

Weber, Corinne. « Réflexion épistémologique en didactique du français langue étrangère sur la place de la grammaire de l’oralité ? » Dans The History of Grammar in Foreign Language Teaching, 229–44. Amsterdam University Press, 2020. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1b0fvzr.15.

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9

Weber, Corinne. « 12. Réflexion épistémologique en didactique du français langue étrangère sur la place de la grammaire de l’oralité ? » Dans The History of Grammar in Foreign Language Teaching, 229–44. Amsterdam University Press, 2020. http://dx.doi.org/10.1515/9789048544479-014.

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10

Kouassi, Konan Stanislas. « Réformes pédagogiques et enseignement du français dans le cycle primaire de Côte d’Ivoire ». Dans L’enseignement-apprentissage en/des langues européennes dans les systèmes éducatifs africains : place, fonctions, défis et perspectives, 179–88. Observatoire européen du plurilinguisme, 2020. http://dx.doi.org/10.3917/oep.kouam.2020.01.0179.

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Résumé :
Cette étude montre que le français a toujours constitué une discipline privilégiée dans le cycle primaire de Côte d’Ivoire au regard des contenus des programmes des cours élémentaires et moyens. Toutefois, des changements sont intervenus au niveau des objectifs et méthodes d’enseignement. A ce propos, les sous disciplines du français ne sont plus enseignées de façon disparate ; un lien est plutôt établi entre elles dans la perspective d’un enseignement décloisonné. En faisant de l’apprenant le principal acteur de ses apprentissages, les approches par compétences (FPC et APC) ont renforcé le statut de fait de langue maternelle du français au détriment de leurs langues premières dont la non prise en compte impacte négativement le niveau scolaire et accentue leurs difficultés en français, en orthographe, en grammaire, conjugaison et en lecture.
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Actes de conférences sur le sujet "Français (langue) – Comparaison (grammaire)"

1

Barbazan, M. « Principes d'une grammaire prédictive du discours (français langue étrangère et maternelle) ». Dans Congrès Mondial de Linguistique Française 2008. Les Ulis, France : EDP Sciences, 2008. http://dx.doi.org/10.1051/cmlf08115.

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2

Paolacci, V., et C. Garcia-Debanc. « Apprendre et enseigner la grammaire aujourd'hui en français langue première. Le cas de la ponctuation en production écrite en sixième ». Dans Congrès Mondial de Linguistique Française 2008. Les Ulis, France : EDP Sciences, 2008. http://dx.doi.org/10.1051/cmlf08180.

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3

Kalinina, Irina. « Appréciation individuelle des termes du métier par des spécialistes en ostéopathie biodynamique en anglais, français et italien ». Dans Language for International Communication. University of Latvia Press, 2023. http://dx.doi.org/10.22364/lincs.2023.16.

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Résumé :
L’article examine la ‘résonance expérientielle’, l’appréciation individuelle des termes en ostéopathie biodynamique par les utilisateurs. Tenant compte des caractéristiques conceptuelles essentielles qui forment la base de la sémantique du terme et de la résonance cognitive générée par la dénomination du terme, ancrée dans la culture et la langue cible, l’établissement des caractéristiques individuelle associées aux termes permet d’améliorer la pratique de la traduction pragmatique et la communication entre les spécialistes. En analysant des entretiens ouverts sur le sens de 18 termes avec 8 praticiens d’ostéopathie biodynamique, nous avons établi des tendances de définition et d’explication des termes par les professionnels. Les définitions obtenues ont été confrontées au définitions intensionnelles composées préalablement selon les principes terminologiques. Nous avons constaté que très peu de commentaires des répondants contenaient des mentions d’un concept superordonné, ni de caractéristiques délimitantes des concepts, même si les définitions générées par les spécialistes ont été plus longues que celles issues de l’analyse terminologique. Les répondants ont utilisé des stratégies définitoires assez insolites, se souciant peu de la systématisation et de l’ordre terminologiques : la description d’une situation, d’un sentiment, d’une action, l’utilisation de la négation, de la comparaison, des métaphores, de l’emploi de techniques de narration et des principes du flux de conscience. On a pu noter que les praticiens de la biodynamie accordent une importance particulière à l’exploration des concepts par tous les sens, ce qui constitues un principe didactique de cette discipline.
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