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1

Merzoug, V., et G. Kalifa. « Fragilité osseuse chez l’enfant ». EMC - Radiologie et imagerie médicale - Musculosquelettique - Neurologique - Maxillofaciale 14, no 2 (juin 2019) : 1–8. https://doi.org/10.1016/s1879-8551(18)86472-7.

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Nassar, Kawtar. « Brèves de l’EULAR 2014 : Ostéopathies fragilisantes ». Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 1, S1 (30 septembre 2014) : S27—S34. http://dx.doi.org/10.48087/bjms.2014.1s09.

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Résumé :
- L’IL-32 est un biomarqueur potentiel pour prédire la formation osseuse au cours de la SPA. Il contribue à la différentiation des cellules ostéoblastiques via l’inhibition du DKK1. - La résorption osseuse et la dysrégulation de l’expression des marqueurs nociceptifs (TRPV1 et CGRP) sont une des causes de la douleur au cours de l’ostéoporose post ménopausique, et pourraient être prévenus par l’Alendronate. - La prévalence de l'ostéoporose est élevée chez les patients atteints de sclérodermie. Il existe une altération osseuse trabéculaire. L’indice de masse corporelle faible, l’âge avancé, les ulcères digitaux et la présence des anticorps anti-centromères sont des facteurs prédictifs de la fragilité osseuse. - L’évaluation ultrasonographique du tissu osseux, à travers le score de fragilité, constitue une méthode innovante dans l'identification précoce des patients à risque élevé de fracture ostéoporotique comparativement à l’ostéodensitométrie. - Trabecular Bone Score (TBS) est un paramètre pertinent pour l’évaluation de la microarchitecture osseuse et donc dans le diagnostic de la fragilité osseuse au rachis lombaire et au niveau de la hanche indépendamment de l’ostéodensitométrie. - Vertebral fracture assessment (VFA) est une technique d’imagerie fiable, performante pour le diagnostic des fractures vertébrales prévalentes et incidentes. Elle constitue une alternative à la radiographie standard. - Le romosozumab (anticorps anti-sclérostine), augmente significativement la Densité Minérale Osseuse volumique au rachis lombaire et à la hanche totale comparativement au teriparatide. Cette efficacité est obtenue aussi bien aux compartiments osseux trabéculaire que cortical. - Il existe un gain densitométrique précoce dans l’ostéoporose associée à la PR après deux ans de traitement par teriparatide. Cependant, des résultats paradoxaux ont été retrouvés dans le groupe de patients recevant concomitamment une biothérapie, attribués à une interférence médicamenteuse. - Chez les patients recevant une corticothérapie au long cours, sans efficacité densitométrique sous bisphosphonates, 12 mois de traitement par le denosumab est associé à un gain densitométrique aussi bien au rachis lombaire qu’au niveau de la hanche, avec une bonne tolérance sous traitement. - Si le Denosumab (Anticorps anti-RANKL) est associé à une augmentation significative de la Densité Minérale Osseuse et à une faible incidence de fractures vertébrales et périphériques, 4 types d’effets secondaires ont été attribués à ce dernier : Fractures atypiques fémorales, ostéonécroses de la mâchoire, hypocalcémies symptomatiques et réactions allergiques. En revanche, le rapport bénéfice/risque reste plutôt favorable.
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3

Porquet-Bordes, V. « Ostéogenèse imparfaite et fragilité osseuse ». Perfectionnement en Pédiatrie 5, no 3 (janvier 2023) : 3S15–3S19. http://dx.doi.org/10.1016/s2588-932x(23)00030-x.

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Cohen-Solal, M., et P. Ureña-Torres. « Fragilité osseuse et insuffisance rénale ». EMC - Appareil locomoteur 33, no 4 (septembre 2019) : 1–8. https://doi.org/10.1016/s0246-0521(19)66752-5.

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5

Blain, H. « La fragilité osseuse dans la fragilité du sujet âgé ». Annales d'Endocrinologie 74, no 4 (septembre 2013) : 246. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2013.07.042.

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Clavert, J. M., P. Gicquel et M. C. Giacomelli. « Fragilité osseuse du nourrisson et maltraitance ». Archives de Pédiatrie 13, no 6 (juin 2006) : 730–32. http://dx.doi.org/10.1016/j.arcped.2006.03.132.

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7

Diyane, K., G. El Mghari et N. El Ansari. « La fragilité osseuse au cours des hypersécrétions surrénaliennes ». Annales d'Endocrinologie 74, no 4 (septembre 2013) : 344. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2013.07.356.

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Grimont-Rolland, Elisabeth, Elisabeth Porsmoguer, Thérèse Siccardi, Françoise Taveneau et Dominique Jean. « Fragilité osseuse chez l’enfant polyhandicapé : « La prévention s’affiche » ». Douleurs : Evaluation - Diagnostic - Traitement 14, no 6 (décembre 2013) : 302–6. http://dx.doi.org/10.1016/j.douler.2013.08.003.

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Javier, Rose-Marie, et Jacky Jacquot. « La fragilité osseuse dans la mucoviscidose : quoi de neuf ? » Revue du Rhumatisme 78, no 3 (mai 2011) : 232–37. http://dx.doi.org/10.1016/j.rhum.2010.11.001.

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Pelet, Anne, et Olivier Lamy. « Anticoagulation et fragilité osseuse : quelles implications pour la pratique clinique ? » Revue Médicale Suisse 17, no 735 (2021) : 766–69. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2021.17.735.0766.

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Lespessailles, Éric. « Ostéodensitométrie : intérêts dans la prise en charge de la fragilité osseuse ». Imagerie de la Femme 30, no 4 (décembre 2020) : 165–70. http://dx.doi.org/10.1016/j.femme.2020.10.001.

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Moisson-Franckhauser, C., V. Despert, M. Desgranges, S. Jean, E. Le Pabic, F. Robin et P. Guggenbuhl. « PROOF : évaluation de la fragilité osseuse dans l’ostéomyélite chronique multifocale récurrente ». Revue du Rhumatisme 89 (décembre 2022) : A55—A56. http://dx.doi.org/10.1016/j.rhum.2022.10.070.

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Rothenbuhler, A., L. Esterle, N. Lahlou, T. Bienvenu, N. Bahi-Buisson et A. Linglart. « CO-62 – Syndrome de Rett et déterminants de la fragilité osseuse ». Archives de Pédiatrie 22, no 5 (mai 2015) : 226. http://dx.doi.org/10.1016/s0929-693x(15)30162-7.

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Sornay-Rendu, E., F. Duboeuf, F. M. Ulivieri, L. Rinaudo et R. Chapurlat. « L’indice de contrainte osseuse BSI prédit les fractures de fragilité. L’étude OFELY ». Revue du Rhumatisme 88 (décembre 2021) : A99. http://dx.doi.org/10.1016/j.rhum.2021.10.157.

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Courbebaisse, M., J. A. Ribeil, G. Chatellier, D. Prié, N. Khira, J. Pouchot, G. Friedlander et J. B. Arlet. « Carence en vitamine D et fragilité osseuse chez les patients drépanocytaires adultes ». Néphrologie & ; Thérapeutique 7, no 5 (septembre 2011) : 405. http://dx.doi.org/10.1016/j.nephro.2011.07.307.

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Arlet, J. B., M. Courbebaisse, J. Pouchot, M. de Montalembert, D. Prié et J. A. Ribeil. « Carence en vitamine D et fragilité osseuse chez les patients drépanocytaires adultes ». La Revue de Médecine Interne 30 (décembre 2009) : S335. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2009.10.034.

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Fauny, M., M. Halin, E. Allado, L. Brunaud, C. Nomine-Criqui, E. Albuisson, I. Chary Valckenaere, D. Quilliot et D. Loeuille. « Évaluation de la fragilité osseuse par scanner et DXA après chirurgie bariatrique ». Revue du Rhumatisme 91 (décembre 2024) : A327—A328. http://dx.doi.org/10.1016/j.rhum.2024.10.234.

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Hanni, Fella, Ryma Benaziez, Farida Mechid, El Hadi Ali, Sarah Beggar, Narimane Saidi, Ourdia Cheikh et Chafia Dahou-Makhloufi. « Hypophosphatemia of genetic origin : a cause of osteomalacia not to be missed ! » Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 2, no 2 (30 décembre 2012) : 203–7. http://dx.doi.org/10.48087/bjmscr.2015.2224.

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Résumé :
L’ostéomalacie est une ostéopathie diffuse qui entraîne une fragilité osseuse excessive. Elle représente chez l’adulte l’équivalent du rachitisme de l’enfant dont elle partage les causes. L’ostéomalacie résulte le plus souvent d’une carence en vitamine D. Moins souvent, elle est liée à une fuite rénale de phosphates, pouvant être héréditaire, acquise ou induite par une tumeur. La plus fréquente des ostéomalacies d’origine génétique est représentée par l’hypophosphatémie liée à l’X, évoquée dans la petite enfance devant un rachitisme hypophosphatémique à caractère familial, associé à un retard de croissance et des incurvations des membres. Les enfants atteints présentent des abcès dentaires fréquents et perdent leur dentition prématurément. A l’âge adulte surviennent des enthésopathies et des arthropathies dégénératives. Le traitement de cette ostéomalacie repose sur un apport de phosphore par voie orale associé à un dérivé α hydroxylé de la vitamine D, surtout le 1,25 dihydroxyvitamine D, sous surveillance stricte du bilan phosphocalcique en raison du risque d’hyper-parathyroïdie. Nous rapportons le cas d’une jeune fille de 32 ans, aux antécédents de fractures multiples, présentant des douleurs osseuses et des troubles de la marche évoluant depuis la petite enfance. L’examen clinique montre une petite taille, des incurvations des membres, et une édentation complète. Le bilan phosphocalcique est en faveur d’une ostéomalacie hypophosphatémique, et les radiographies du squelette montrent une hypertransparence osseuse, des fissures, des enthésopathies et une coxarthrose bilatérale. La patiente a été améliorée par un traitement associant phosphore et alfacalcidiol. Le diagnostic d’hypophosphatémie liée à l’X a été retenu devant un tableau clinico-biologique et radiologique évocateur, avec notion de cas familial.
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Fauny, M., M. Halin, E. Allado, D. Quilliot, L. Brunaud, E. Albuisson, I. Chary-Valckenaere et D. Loeuille. « Évaluation scanographique de la fragilité osseuse à 2 ans après chirurgie bariatrique : étude observationnelle ». Revue du Rhumatisme 89 (décembre 2022) : A124—A125. http://dx.doi.org/10.1016/j.rhum.2022.10.179.

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JOUAULT, C., et M. FLORI. « OSTEOPOROSE : PREVENTION ET TRAITEMENTS ». EXERCER 34, no 193 (1 mai 2023) : 224–32. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2023.193.224.

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Résumé :
Contexte. L’ostéoporose est une maladie liée au vieillissement, silencieuse jusqu’à la survenue de fractures liées à la fragilité osseuse et entraînant une dégradation de la qualité de vie et une augmentation de la morbi-mortalité. L’ostéoporose est plus fréquente chez la femme que chez l’homme. Différentes classes thérapeutiques sont proposées et les indications sont variables. Objectif. L’objectif était de faire un point actualisé sur les différentes prises en soin de l’ostéoporose, en soins primaires, et selon les différents niveaux de prévention. Méthodes. Revue narrative de la littérature. Résultats. L’ostéodensitométrie est l’examen de référence utilisé en dépistage, en diagnostic ou en suivi du traitement : examen imparfait, car seule la densité osseuse est évaluée et non l’architecture de l’os. D’autres examens sont à l’étude. L’activité physique a une place importante dans la prévention et le traitement du fait de sa balance bénéfice-risque favorable. Les biphosphonates sont la classe thérapeutique la plus évaluée, avec une balance bénéfice-risque modeste. Conclusion. La balance bénéfice-risque des différentes interventions doit être connue afin de proposer une prise en soin adaptée à chaque patient(e) et choisie dans le cadre d’une décision médicale partagée.
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Sornay-Rendu, E., F. Duboeuf et R. Chapurlat. « Les femmes ménopausées à densité osseuse normale mais qui présenteront une fracture de fragilité ont une microarchitecture osseuse altérée : analyse prospective de l’étude OFELY ». Revue du Rhumatisme 90 (décembre 2023) : A56—A57. http://dx.doi.org/10.1016/j.rhum.2023.10.086.

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Lau, Garnet, Marize Ibrahim, Suzanne O'Brien et Carmen Loiselle. « Fragilité osseuse due au traitement du cancer du sein : rôle essentiel des infirmières dans l’élaboration, la mise en œuvre et l’évaluation d’un programme pour la santé des os ». Canadian Oncology Nursing Journal 32, no 3 (19 juillet 2022) : 408–15. http://dx.doi.org/10.5737/23688076323408.

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Résumé :
Le traitement du cancer du sein modifie les taux d’œstrogène et entraîne une importante perte osseuse, de l’ostéoporose et des risques de fracture. Bien qu’il existe des lignes directrices sur les soins des os soient, les personnes à risque ne bénéficient pas systématiquement des interventions en ce sens. Le présent article fait état du processus de conception et de mise en œuvre d’un Programme Santé seins et os (PSSO) bilingue et dirigé par des infirmières, offert en personne et en ligne dans un centre de cancérologie de Montréal, dans la province de Québec (https://santeseinsetos.ca/). Le PSSO propose des interventions personnalisées pour préserver la santé des os : évaluation des risques, information sur la réadaptation, prescription d’exercices, conseils nutritionnels et accompagnement pour l’adoption d’un mode de vie sain. Pendant 2 ans, des femmes traitées pour un cancer du sein (N = 430) ont pris part au programme. De ce nombre, 40 % (n = 97) ont dit au départ ignorer que certains traitements anticancéreux pouvaient fragiliser considérablement les os. À la suite de la première séance d’information avec l’infirmière responsable du PSSO, leurs connaissances autoévaluées à ce sujet se sont grandement améliorées, et 96 % ont dit en savoir suffisamment pour gérer leur santé osseuse. Le PSSO a été créé à l’intention des professionnels de la santé et des femmes atteintes de cancer du sein. Il offre une évaluation du risque en ligne et en personne ainsi que des activités et des outils visant à promouvoir la bonne santé des os. Le présent article décrit le contexte ayant mené à l’élaboration et à la mise en œuvre du PSSO, de même que l’évaluation préliminaire du programme.
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Fauny, M., M. Halin, E. Allado, L. Brunaud, C. Nomine-Criqui, E. Albuisson, I. Chary Valckenaere, D. Quilliot et D. Loeuille. « Évaluation densitométrique de la fragilité osseuse à 2 ans après chirurgie bariatrique chez des patients atteints d’obésité ». Revue du Rhumatisme 90 (décembre 2023) : A58—A59. http://dx.doi.org/10.1016/j.rhum.2023.10.090.

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Desbonnnets, A., et B. Sutter. « Évaluation de l'incidence de la fragilité osseuse par une mesure ultrasonique au calcanéum dans une population d'enfants institutionnalisés ». Revue du Rhumatisme 73, no 10-11 (novembre 2006) : 1255. http://dx.doi.org/10.1016/j.rhum.2006.10.652.

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Fauny, Marine, Caroline Morizot, Edem Allado, Frank Verhoeven, Eliane Albuisson, Marie Semaan, Astrid Pinzano, Isabelle Chary-Valckenaere et Damien Loeuille. « Conséquences de l’ankylose rachidienne sur la fragilité osseuse trabéculaire au scanner dans une population de spondyloarthrite ankylosante. Étude rétrospective ». Revue du Rhumatisme 88, no 3 (mai 2021) : 223–29. http://dx.doi.org/10.1016/j.rhum.2021.02.010.

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Maurice, F., A. Dutour, C. Vincentelli, I. Abdesselam, M. Bernard, H. Dufour, Y. Le Fur et al. « Le tissu adipeux médullaire est rapidement modulé au cours du syndrome de Cushing : un bon marqueur de fragilité osseuse ? » Annales d'Endocrinologie 79, no 4 (septembre 2018) : 218. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2018.06.079.

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Bardon, C., G. Carvajal Alegria, H. Longuet, L. Bouilleau et D. Chu Miow Lin. « Dépistage opportuniste scanographique de fragilité osseuse chez des patients transplantés rénaux : étude rétrospective monocentrique avec suivi à un an ». Revue du Rhumatisme 90 (décembre 2023) : A97. http://dx.doi.org/10.1016/j.rhum.2023.10.147.

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Uebelhart, Brigitte, Pierre Casez, René Rizzoli et Martine Louis-Simonet. « L’injection prophylactique de méthylméthacrylate dans une vertèbre située entre deux vertébroplasties antérieures n’a pas évité un tassement par fragilité osseuse ». Revue du Rhumatisme 75, no 5 (mai 2008) : 458–60. http://dx.doi.org/10.1016/j.rhum.2007.05.029.

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Munnich, Arnold. « « Programmé mais libre » ». Figures de la psychanalyse 44, no 2 (26 mai 2023) : 151–60. http://dx.doi.org/10.3917/fp.044.0151.

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Résumé :
L’auteur, généticien de renom, explore un apparent paradoxe « déterminé mais libre ». En considérant la situation génétique des « vrais » jumeaux, il démontre que chaque jumeau n’est pas un clone mais un être singulier. En effet, après la fécondation, interviennent toute une série d’étapes qui sont autant de points de divergence possibles entre vrais jumeaux, dont la répartition aléatoire de l’ adn mitochondrial au cours du développement embryonnaire, l’inactivation du chromosome x , et l’instabilité mitotique. Enfin, du fait de la possible survenue de mutations, expansions ou contractions de l’ adn génomique codant et non codant lors des divisions cellulaires dans les tissus en développement (mutations somatiques), une mère indemne de toute maladie génétique peut donner naissance à de vrais jumeaux dont l’un – et pas l’autre – présentera une malformation, une fragilité osseuse, un cancer ou une maladie neurologique. Ces recherches préviennent contre toute tentation de prédire à partir de diagnostic anténatal ce qu’il en sera du devenir somatique du sujet. L’incertitude pronostique ainsi démontrée comme résultat de la complexité de la connaissance scientifique en génétique ne peut qu’inciter à un accueil du singulier dans les consultations en binômes associant un(e) généticien(e) et un(e) psychanalyste.
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Paccou, J., S. D'angelo, M. Edwards, C. Cooper, S. Petersen et N. Harvey. « Le risque d’événements cardiovasculaires est augmenté chez les hommes aux antécédents de fracture par fragilité osseuse : résultats de la cohorte UK Biobank ». Revue du Rhumatisme 83 (novembre 2016) : A121. http://dx.doi.org/10.1016/s1169-8330(16)30393-3.

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Taussig, G., D. Pilliard, B. Boulot, ML Devanz et AM Derrien. « Devenir à l'âge adulte des enfants nés avec une malformation congénitale des membres et une fragilité osseuse, un nanisme diastrophique et une arthrogrypose ». Annales de Réadaptation et de Médecine Physique 41, no 6 (janvier 1998) : 303–4. http://dx.doi.org/10.1016/s0168-6054(98)80052-4.

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Trubert, L., et I. Charlot. « Évaluation de la fragilité osseuse chez les patients atteints de mucoviscidose : intérêt du TBS score dans une cohorte de patients suivis au CHU de Reims ». Revue du Rhumatisme 91 (décembre 2024) : A336. http://dx.doi.org/10.1016/j.rhum.2024.10.247.

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Mavinga, Aldo Nzita, Jenny Mbuyi wa Mbuyi, Denis Tshitemb Matanda, Branly Kilola Mbunga, Pierrot Litite Lebughe, Jean Christophe Badibanga Mulumba, Adolphe Mbaya Lukusa, Jean-Paul Nzambi Divengi, Jean-Marie Mbuyi-Muamba et Jean-Jacques Kabasele Malemba. « Ostéoporose et évaluation du risque fracturaire par l’outil frax chez des patients Congolais présentant un rhumatisme axial : Une série des cas multicentriques ». Annales Africaines de Medecine 16, no 1 (12 décembre 2022) : 4923–30. http://dx.doi.org/10.4314/aamed.v16i1.6.

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Résumé :
Contexte et objectif. L’enjeu majeur dans le management de l’ostéoporose est l’identification des sujets à risque par la quantification du risque fracturaire. L’objectif de l’étude était d’évaluer le risque fracturaire chez les patients ayant consulté pour douleur du squelette axial. Méthodes. Il s’agissait d’une série des cas multicentriques menée sur des patients recrutés dans 8 hôpitaux de Kinshasa. Les paramètres d’intérêt comme l’âge, le sexe, l’alcoolisme, le tabagisme, la fracture de hanche chez un parent de 1er degré ou une fracture personnelle de fragilité ont été collectés auprès de chaque patient. La mesure de la densité osseuse avait été réalisée par absorptiométrie biphotonique à rayons X. Le risqué fracturaire a été évalué par le calcul de l’indice fracturaire FRAX. Ce risque était élevé lorsque la probabilité de survenue de fracture de hanche était ≥ 3% et/ou des fractures ostéoporotiques majeures ≥ 20%. Des tests statistiques usuels ont été utilisés pour l’analyse des résultats. Résultats. 90 patients dont 75 femmes étaient inclus. Leur âge moyen était de 63,5±12 ans. L’ostéoporose était diagnostiquée chez 34,4% des patients, l’ostéopénie chez 43,9% et 16,7% avaient une densité minérale osseuse normale. Aucune fracture ostéoporotique n’a été observée dans la présente étude, mais près de 30% de l’ensemble de l’échantillon avaient un risque fracturaire élevé. L’ostéoporose était associée, dans environ 80% des cas (p<0,005), à un risqué fracturaire élevé. Conclusion. La présente étude a montré que le risque fracturaire était élevé chez les patients atteints d’ostéoporose. Elle met en lumière la nécessité d’un dépistage précoce de cette pathologie. English title: Osteoporosis and assessment of fracturary risk using the frax tool in Congolese patients with axial rheumatism: A multicenter case series Context and objective. The major challenge in the management of osteoporosis is the identification of subjects at risk by quantifying the fracture risk in order to prevent the fracture cascade. The aim of the present study was to evaluate the fracture risk in patients who had consulted for axial skeletal pain. Methods. This was a multicenter case series carried out on patients with axial rheumatism recruited in 8 hospitals in Kinshasa. The parameters of interest such as age, sex, alcoholism, smoking, hip fracture in a 1st degree relative or personal fragility fracture were collected from each patient. Bone mineral density was measured by dual energy x-ray absorptiometry. Fracture risk was assessed by calculating the FRAX fracture index. This risk was considered high when the probability of occurrence of a hip fracture was ≥ 3% and/or major osteoporotic fractures ≥ 20%. Standard statistical tests were used to analyze the results. Results. 90 patients including 75 women (83.3%) were involved. Their average age was 63.5±12 years. Osteoporosis was diagnosed in 34.4% of patients, osteopenia in 43.9% of patients and 16.7% of patients had normal bone mineral density. No osteoporotic fractures were observed, but nearly 30% of the entire sample had a high fracture risk. Osteoporosis (T-score ≤-2.5) was associated, in approximately 80% of cases (p<0.005), with a high fracture risk. Conclusion. The present study showed that fracture risk was very high in patients with osteoporosis. It highlights the need for early detection of this pathology. Keywords: Osteoporosis, axial rheumatism, fracturary risk, FRAX
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Dariane, C., O. Fogel, J. Bibault, S. Kreps, P. Giraud, S. Oudard, C. Thibault et al. « Mise en place d’un circuit-patient standardisé pour bilan de fragilité osseuse systématique avant prescription d’une hormonothérapie chez les patients avec cancer de la prostate (projet HORMOS) ». Progrès en Urologie - FMC 33, no 3 (novembre 2023) : S82—S83. http://dx.doi.org/10.1016/j.fpurol.2023.07.202.

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SCIENTIFIQUE, C. « Faut-il continuer à supplémenter en Vitamine D les enfants en bonne santé ? » EXERCER 35, no 203 (1 mai 2024) : 230–31. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2024.203.230.

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Résumé :
La question de la supplémentation en vitamine D en population générale a fait l’objet de multiples recommandations et avis d’experts, s’accordant sur la nécessité d’une supplémentation chez le très jeune enfant. Cependant, ils préconisaient des posologies et indications différentes en termes d’âges ou de facteurs de risque. De ce fait, le Conseil scientifique du CNGE a examiné les données de la littérature les plus solides chez les enfants. Bien que la prévalence d’un taux en vitamine D en dessous de 30 nmol/L (soit 12 ng/mL) dépasse 10 % en Europe, l’incidence du rachitisme est d’environ 3 pour 100 000 enfants/an tous âges confondus1,2. En France, l’instauration de la supplémentation en vitamine D dans les années 60 et la commercialisation de laits artificiels enrichis en vitamine D depuis 1992 ont été suivis d’une réduction drastique de l’incidence du rachitisme carentiel. Désormais, cette maladie, quasi exceptionnelle, affecte les enfants allaités qui n’ont pas reçu de supplémentation vitaminique avant l’âge de 5 ans et dans une moindre mesure ceux ayant des facteurs de risque de carence (obésité, peau noire, absence d’exposition au soleil, diminution de l’apport)3. Chez les nourrissons, la majorité des essais randomisés avaient pour critère de jugement principal les taux sériques de vitamine D. Ils ont observé qu’une supplémentation de 400 UI/j était suffisante pour atteindre des concentrations de vitamine D sérique considérées comme « normales ». Des posologies supérieures n’ont pas amélioré la densité osseuse, mais une augmentation du risque d’hypercalcémie a pu être observée. En l’absence de facteurs de risque de rachitisme, le niveau de preuve était insuffisant pour conclure à une efficacité clinique4. Plusieurs situations d’erreurs à l’origine de surdosages avec des conséquences cliniques parfois graves (liées à l’hypercalcémie ou l’hyperphosphatémie) ont été décrites, notamment en cas d’accès sans ordonnance à des solutions avec une concentration élevée de vitamine D5. Chez les enfants âgés de 1 à 5 ans, aucun essai comparatif randomisé (ECR) de qualité méthodologique suffisante évaluant le risque de rachitisme ou la fragilité osseuse n’a été identifié6,7. Chez ceux âgés de 5 à 13 ans, les essais n’ont pas montré de résultats probants sur la réduction du risque de rachitisme. Un ECR en double insu mené chez 8 851 enfants âgés de 6 à 13 ans, n’a pas montré de différence entre le groupe supplémenté en vitamine D pendant 3 ans et le groupe témoin, ni sur le risque fracturaire, ni sur les effets indésirables8-11. Chez les adolescents entre la puberté et jusqu’à l’âge de 18 ans, la supplémentation augmentait les taux sériques de vitamine D, avec des résultats discordants sur les bénéfices en termes de densité osseuse12,13. En termes d’efficacité extra-osseuse, la supplémentation en vitamine D n’a pas d’influence sur la croissance, la composition corporelle ou le développement pubertaire14. Pour les pathologies atopiques et l’asthme, les données suggèrent une légère réduction de la sévérité de la dermatite atopique et de la rhinite allergique sans influence sur le contrôle ou la sévérité de l’asthme dans l’enfance, en cas de taux sérique de vitamine D initial < 10 ng/L et avec un faible niveau de preuve15,16. En matière de réduction de l’incidence des infections des voies aériennes supérieures, les preuves cliniques sont insuffisantes pour conclure à une efficacité : les rares essais positifs n’ont pas montré de différence significative sur la sévérité des infections. Par ailleurs, ils étaient de faible niveau de preuve et non transposables à la situation épidémiologique en France17,18. En conclusion, l’indication de supplémentation en vitamine D s’est construite sur une observation épidémiologique historique de la réduction de l’incidence du rachitisme. Malgré la rareté des ECR de bonne qualité méthodologique évaluant des critères cliniquement pertinents, il est raisonnable de maintenir une supplémentation systématique de 400 à 800 UI/jour chez les nourrissons en particulier avant l’âge de 1 an, en cas d’allaitement maternel, ou en présence de facteurs de risque de carence, même si le bénéfice clinique individuel est actuellement impossible à démontrer tant l’incidence du rachitisme est faible. Pour les autres situations cliniques, les données actuelles ne permettent pas de conclure à une balance bénéfice/risque favorable de la supplémentation en vitamine D.
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Diab, Mohammad, Michael Raff et Daniel F. Gunther. « Osseous fragility in Marshall-Smith syndrome ». American Journal of Medical Genetics 119A, no 2 (9 mai 2003) : 218–22. http://dx.doi.org/10.1002/ajmg.a.10173.

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Rossi, P., A. Pastrone, M. Bruzzone, F. Dettoni, G. Collo et F. Castoldi. « Problematiche delle fratture da fragilità ossea. La nostra esperienza nella gestione delle fragilità ossee nella Regione Piemonte ». Archivio di Ortopedia e Reumatologia 122, no 3-4 (décembre 2011) : 12–14. http://dx.doi.org/10.1007/s10261-011-0037-z.

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Cournil, A., S. Eymard-Duvernay et A. Diouf. « Vieillissement osseux et syndrome de fragilité à 10 ans de traitements ARV au Sénégal ». Bulletin de la Société de pathologie exotique 107, no 4 (10 mars 2014) : 238–40. http://dx.doi.org/10.1007/s13149-014-0350-4.

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Kozyrakis, Diomidis, Dionyssios Paridis, Stefanos Perikleous, Konstantinos Malizos, Anastasios Zarkadas et Antonios Tsagkalis. « The Current Role of Osteoclast Inhibitors in Patients with Prostate Cancer ». Advances in Urology 2018 (26 décembre 2018) : 1–9. http://dx.doi.org/10.1155/2018/1525832.

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Résumé :
Purpose. Prostate cancer (PCa) is one of the most frequently diagnosed malignancies worldwide. Hormonal deprivation therapy is a well-established treatment for locally advanced or metastatic diseases but exposes patients to the risk of osteoporosis and fragility fractures. Furthermore, the tropism of the PCa cells to osseous metastases increases the incidence of skeletal-related events (SREs). Methods. A nonsystematic review of the international literature was performed in respect to the use of osteoclast inhibitors zoledronic acid (ZA) and denosumab (DEN) in PCa patients. Results. DEN and ZA have proved their efficacy in preventing osteoporosis and bone mass loss in patients treated with hormonal therapy with no proven superiority of one agent over the other. However, the effectiveness in reducing fragility fractures has been proved only for DEN so far. In metastatic-free castrate-sensitive high-risk PCa patients, ZA has not shown any efficacy in preventing osseous metastasis, and evidence is lacking in favor or against the use of DEN. The use of osteoclasts inhibitors had no evident positive effect in overall and disease-specific survival in this group of patients. In advanced castrate-refractory malignancy, DEN has shown clinical superiority over ZA in preventing new SRE but not in overall survival. Conclusion. Superiority of DEN over ZA has been proved only in advanced castrate refractory disease in terms of preventing new SRE. In the rest of the cases, the selection of either agent should be based on the clinical condition of each patient and the cost of the treatment.
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Kisielienė, Rūta, Rasa Kupčiūnaitė, Diana Bužinskienė et Gražina Drąsutienė. « Osteogenesis imperfecta and pregnancy : case report ». Medicinos teorija ir praktika 21, no 1 (20 décembre 2014) : 100–103. http://dx.doi.org/10.15591/mtp.2015.015.

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Résumé :
Osteogenesis imperfecta (OI) is a rare inherited connective tissue disorder, in which synthesis or structure of type I collagen is defective, causing reduced osseous density and increased bone fragility. There is presented a case report of type V osteogenesis imperfecta woman pregnancy and delivery, analyzed physiological changes during pregnancy, prenatal diagnosis, osteogenesis imperfecta influence to pregnancy and mode of delivery. Due to a vast variety of phenotype and insufficient data, individual analysis of each case and mode of delivery should be done by a multidisciplinary team. Osteogenesis imperfecta is an extragenital disorder and it‘s not a contraindication to pregnancy
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Riminucci, Mara, Michael T. Collins, Alessandro Corsi, Alan Boyde, Mark D. Murphey, Shlomo Wientroub, Sergei A. Kuznetsov, Natasha Cherman, Pamela Gehron Robey et Paolo Bianco. « Gnathodiaphyseal Dysplasia : A Syndrome of Fibro-Osseous Lesions of Jawbones, Bone Fragility, and Long Bone Bowing ». Journal of Bone and Mineral Research 16, no 9 (1 septembre 2001) : 1710–18. http://dx.doi.org/10.1359/jbmr.2001.16.9.1710.

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Querrach, I., S. Abourazzak, F. Souilmi, M. Idrissi, S. Chaouki, S. Atmani et M. Hida. « QUEL APPORT DES BIPHOSPHONATES DANS LOSTEOGENESE IMPARFAITE (A PROPOS DE 30 CAS) ». International Journal of Advanced Research 12, no 11 (30 novembre 2024) : 853–64. https://doi.org/10.21474/ijar01/19895.

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Résumé :
Losteogenese imparfaite est une maladie genetique caracterisee par une fragilite et une faible masse osseuse, qui se traduit par des fractures pathologiques. Le but de notre travail est devaluer le profil epidemiologique, clinique, paraclinique, therapeutique et evolutif des patients atteints dosteogenese imparfaite traites par Biphosphonate (acide zoledronique) chez lenfant. Nous rapportons 30 cas dosteogenese imparfaite chez des patients dage inferieur a 16 ans et suivis dans notre unite dhopital de jour. La moyenne dage des patients est de 2 ans (un mois a 16 ans). Le motif de consultation etait domine par des fractures multiples chez 83 %. Tous nos patients ont presente des deformations des membres inferieurs. Les signes extra-squelettiques dans notre serie sont domines par lhyperlaxite ligamentaire chez 12 cas, une sclere bleutee chez six cas et une dentinogenese imparfaite chez cinq patients. On a classe les patients come OI de type I chez 50 %, suivie par le type IV (33%) et le type III (17%). Le traitement par une perfusion intraveineuse tous les 3 mois de BP (acide zoledronique) a ete effectue chez les 30 enfants. Une evaluation clinique et paraclinique apres un an de traitement a ete effectuee apres la mise sous traitement, 50 % ont gagne une autonomie partielle, pas de nouvelles fractures chez 36 % des cas et 40 % des enfants ont eu une bonne amelioration de leurs parametres de croissance. Apres le traitement, lindex corticodiaphysaire moyen a ete de 0,45avec un maximum de 0,66 et un minimum de 0,20. Anote que 66% des enfants ont garde une osteopenie, une transition alage adulte chez cinq patients.
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Ito, Manabu, Makoto Motomiya, Kuniyoshi Abumi, Osamu Shirado, Yoshihisa Kotani, Ken Kadoya, Eihiro Murota et Akio Minami. « Vertebral osteonecrosis associated with sarcoidosis ». Journal of Neurosurgery : Spine 2, no 2 (février 2005) : 222–25. http://dx.doi.org/10.3171/spi.2005.2.2.0222.

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✓ Sarcoidosis is a systemic disease commonly affecting lung, skin, or eye. Sarcoidosis involved with osseous structures occurs in approximately 5% of patients, usually involving small bones. Spinal sarcoidosis is extremely rare. The authors report on a man in whom examination of a subclavicular lymph node biopsy specimen and its spinal involvement had established a diagnosis of sarcoidosis and who had undergone steroid therapy. Despite intensive conservative treatment, the authors observed progressive collapse of L-2 requiring spinal decompressive and reconstructive surgeries. Histological evaluation of the collapsed vertebra did not show the typical noncaseating granuloma; rather, the authors observed osteonecrosis of the entire L-2 structure without reactive cellular activities. Other potential diagnoses including infectious disease, metastatic spinal tumor, and osteoporotic vertebral collapse were excluded based on laboratory data, imaging studies, and pathological findings. Complete necrosis of the entire L-2 vertebra in this case can be considered as a rare clinical manifestation of spinal sarcoidosis. Because of osteopenia and systemic bone fragility, combined anterior—posterior spinal reconstructive surgery was performed to restabilize the severely damaged spine.
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Ferekidis, E., P. Stavroulaki, I. Vossinakis, J. Yiotakis, L. Manolopoulos et G. Adamopoulos. « Stapedotomy in osteogenesis imperfecta patients ». Journal of Laryngology & ; Otology 114, no 6 (juin 2000) : 424–28. http://dx.doi.org/10.1258/0022215001905986.

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Résumé :
Osteogenesis imperfecta (OI) is a connective tissue disorder characterized by osseous fragility, blue sclerae and hearing loss. In order to assess the impact of stapedotomy on improving hearing on OI, a retrospective, one-group, pre-test-post-test design was used to compare the pre-operative and postoperative audiograms of nine OI patients, treated with stapedotomy for their mixed hearing loss. Operative findings included fixation or thickening of the stapes footplate with normal superstructure configuration and hypervascularization of the promontory mucosa. Immediate post-operative results showed a significant improvement (p<0.05) from 250–4000 Hz in air conduction and from 250–2000 Hz in bone conduction. A significant closure of the air-bone gap between 250–2000 Hz was also achieved (p<0.05). The long-term results remained satisfactory with a mean threshold shift of 8 dB HL and an almost unchanged air-bone gap. These satisfactory results and the lack of complications make stapedotomy an appealing method for the management of OI-associated hearing loss.
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Longo, F., A. Guida, C. Aversa, E. Pavone, G. Di Costanzo, L. Ramaglia et F. Ionna. « Platelet Rich Plasma in the Treatment of Bisphosphonate-Related Osteonecrosis of the Jaw : Personal Experience and Review of the Literature ». International Journal of Dentistry 2014 (2014) : 1–7. http://dx.doi.org/10.1155/2014/298945.

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Résumé :
Bisphosphonates (BPs) are a class of synthetic drugs commonly used to treat bone metastasis and various bone diseases that cause osseous fragility (such as osteoporosis). Bisphosphonate-related osteonecrosis of the jaw (BRONJ) is a common complication in patients who received BPs, especially intravenously. Recently, osteonecrosis of the jaw (ONJ) caused by chemotherapeutic not belonging to BPs drug class has been reported. For this reason, it has been proposed recently to rename BRONJ in antiresorptive agents related osteonecrosis of the jaw (ARONJ), to include a wider spectrum of drugs that may cause osteonecrosis of the jaw. The most debated topic about ARONJ/BRONJ is therapy. The most adequate procedure is far from being standardized and prevention seems to play a pivotal role. In our study, we considered 72 patients with BRONJ with nonsurgical therapy, surgical therapy, and surgical therapy with platelet rich plasma (PRP) gel to evaluate its therapeutic effect in promoting ONJ wounds healing. Good results showed by PRP in improving wound healing give away to case-control randomized studies that could give definitive evidence of its effectiveness.
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Gault, Philippe. « Transplantations des canines incluses ». L'Orthodontie Française 84, no 3 (septembre 2013) : 221–40. http://dx.doi.org/10.1051/orthodfr/2013058.

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Les techniques de transplantation dentaire exploitent mieux que par le passé le potentiel de cicatrisation du ligament alvéolo-dentaire et réduit le risque d’ankylose-résorption radiculaire en dessous de 1,5 %. L’amélioration du pronostic qui en résulte permet d’envisager ces procédures avec plus de sérénité, et de les associer avec les traitements orthodontiques. Les transplantations peuvent offrir une solution de bonne fin lors de certaines situations cliniques difficiles à gérer autrement : ectopies, transpositions, remplacement de dents avulsées par trauma, de dents délabrées ou de dents alvéolysées par parodontites précoces, mise en place de dents incluses non-tractables, traitement des ankyloses idiopathiques. Cet article décrit les principes biologiques des transplantations avec double stimulation desmodontale, et les modalités opératoires et développe par quelques exemples le traitement de canines incluses, présentant ou non une ankylose idiopathique. L’ankylose dentaire est une fusion de l’os avec la racine. La forme idiopathique survient spontanément avant l’éruption de la dent concernée. L’étiologie n’est pas connue. La dent devenant partie du processus de remodelage osseux, elle se résorbe progressivement pour être remplacée par du tissu osseux. Ce processus est assez rapide et fragilise la dent. Aussi un diagnostic précoce permet d’envisager une transplantation dans de bonnes conditions, seul moyen permettant de rompre l’ankylose et d’obtenir une mise en place adéquate. Dans de rares cas, le point d’ankylose est accessible chirurgicalement et peut être éliminé avant de reprendre la traction orthodontique.
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Parveen, Bushra, Abida Parveen et Divya Vohora. « Biomarkers of Osteoporosis : An Update ». Endocrine, Metabolic & ; Immune Disorders - Drug Targets 19, no 7 (11 octobre 2019) : 895–912. http://dx.doi.org/10.2174/1871530319666190204165207.

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Background: Osteoporosis, characterized by compromised bone quality and strength is associated with bone fragility and fracture risk. Biomarkers are crucial for the diagnosis or prognosis of a disease as well as elucidating the mechanism of drug action and improve decision making. Objective: An exhaustive description of traditional markers including bone mineral density, vitamin D, alkaline phosphatase, along with potential markers such as microarchitectural determination, trabecular bone score, osteocalcin, etc. is provided in the current piece of work. This review provides insight into novel pathways such as the Wnt signaling pathway, neuro-osseous control, adipogenic hormonal imbalance, gut-bone axis, genetic markers and the role of inflammation that has been recently implicated in osteoporosis. Methods: We extensively reviewed articles from the following databases: PubMed, Medline and Science direct. The primary search was conducted using a combination of the following keywords: osteoporosis, bone, biomarkers, bone turnover markers, diagnosis, density, architecture, genetics, inflammation. Conclusion: Early diagnosis and intervention delay the development of disease and improve treatment outcome. Therefore, probing for novel biomarkers that are able to recognize people at high risk for developing osteoporosis is an effective way to improve the quality of life of patients and to understand the pathomechanism of the disease in a better way.
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Masieh, D., S. Deshpande et M. K. Nisar. « AB0610 NORMOCALCAEMIC HYPERPARATHYROIDISM AND BONE HEALTH – WORSE THAN ANTICIPATED ? » Annals of the Rheumatic Diseases 80, Suppl 1 (19 mai 2021) : 1340.2–1341. http://dx.doi.org/10.1136/annrheumdis-2021-eular.1095.

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Background:Since the formal recognition of normocalcaemic hyperparathyroidism (nHPT) as a distinct entity in 2008, several studies have been published describing the characteristics of these individuals. Controversy exists regarding diagnostics and the role of parathyroidectomy in such cases. A chief reason for lack of consensus is the disagreement among experts regarding the potential complications and a bias towards perhaps benign nature of this condition.Objectives:In order to understand the challenges posed by this cohort, we aim to characterise these patients at presentation to our metabolic bone diseases unit with a focus on bone health.Methods:We interrogated our departmental database and undertook retrospective analysis of all patients presenting to metabolic bone service at our large university teaching hospital with a catchment population of 350,000. Individuals were included in the survey based on criteria of Vit D >70 nmol/L, normal calcium (2.20-2.60 mmol/L), eGFR>60ml/min and PTH >6.9 pmol/L measured twice at least three months apart.Results:Over six months review period, of 134 referrals, 42 (31%) were identified with nHPT. Follow up duration was two years. Mean age was 60 years (25-86). 38 (90%) were women with 31 (81%) post menopause. 34 (80%) were of Caucasian descent. All had comorbidities with median of five (1-14). Polypharmacy (>4 prescribed medicines) was common (36/42, 85%) with mean of seven prescribed medications (0-22). Mean Vit D was 88 (70.4-133.6), calcium 2.43 (2.26-2.58), creatinine 69.8 (48-115) and PTH 8.8 (7.2-14.2). Ten (24%) had already had fragility fractures with mean of two (0-4). 21 had DXA scan with mean T score of -3.78 (-2.1 - -6.0). 13/21(31%) had osteoporosis. Oral and IV bisphosphonates, denosumab and teriparatide were prescribed to 12 (28.5%), 14 (33%), 4 (10%) and one patient respectively.Conclusion:Our study suggests high prevalence of nHPT among patients referred to metabolic bone service with confirmed bone health issues. Nearly a third of patients have nHPT in this secondary care setting and a quarter have already suffered fragility fractures. These patients carry high comorbidity, polypharmacy and osteoporosis burden. Management of such patients is challenging owing to complex interplay of various ailments. Bone active agents are required for nearly two-thirds of this group. Though the natural course of nHPT is an area of active research, our data adds to the growing body of evidence that this is not a benign condition with particularly high fracture burden and poor bone quality. nHPT is perhaps responsible for the onset and progression of the similar osseous complications as described in classical PHPT. Further longitudinal studies are required to help devise best management plan to mitigate against the skeletal encumbrance of nHPT.Disclosure of Interests:None declared.
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Zubair, Muhammad, Saeed Khan, Akhtar Ali, Farina Hanif, Uzair Abbas, Bilal Ahmed, Safia Mehmood et Fatima Khan. « Association of Vitamin D Gene Receptor Polymorphism with Osteoporosis in Postmenopausal Women ». Molecular Medicine Communications 3, no 02 (29 décembre 2023) : 139–48. http://dx.doi.org/10.55627/mmc.003.02.0380.

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Résumé :
Osteoporosis is a critical and complicated systemic musculoskeletal disorder that encompasses low bone density (LBD) and weakening of osseous tissue at a microarchitectural level. This predisposes to increased bone fragility and subsequent risk of fractures. It is frequently encountered in postmenopausal women and has also been seen in elderly men. Vitamin D synchronizes bone and calcium homeostasis in the body by modifying the transcription of target genes through the Vitamin D receptor (VDR) and thus aids calcium uptake and bone-forming proteins. The main objective of the present research was to study the relationship of single nucleotide polymorphisms (SNP) (rs1544410 G>A) of the VDR gene with postmenopausal women who have osteoporosis in a Pakistani cohort. A total of 100 postmenopausal women, 50 without osteoporosis to be in the control group, and 50 with osteoporosis as cases, were enrolled in this study. The patients had no immediate family connections with each other. All the patients underwent BMD measurements at the lumbar spine and femoral neck by dual-energy X-ray absorptiometry scan for their diagnosis of osteoporosis based on World Health Organization (WHO) criteria (T score < -2.5 SD). A total of 25 participants had at least one allele of rs1544410, of which 14 were cases and 11 controls. The number of heterozygous and homozygous were present with similar ratios in both groups (p=0.973). Age was noted to be correlated with osteoporosis (OR: 1.06; 95%CI: 1.004-1.12), (P<0.031). It was also observed that cases had a notably lower weight than the control group (P<0.0001) and the overall body mass index of cases was significantly low in comparison to control (P<0.0001). Moreover, average BMD of femoral and BMD lumbar were notably greater among the control group (P<0.0001) as compared to cases. The SNP (rs1544410) is not significantly associated with BMD but significantly correlated with age which was identified as a risk factor while body mass index was found to be a protective factor for osteoporosis
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Dauterive, Ellen, et Virginia Wright. « Bone Breaking Triglycerides ». Journal of the Endocrine Society 5, Supplement_1 (1 mai 2021) : A307. http://dx.doi.org/10.1210/jendso/bvab048.626.

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Résumé :
Abstract A 40 yo African American female with pmhx of T2DM, DLD was admitted for worsening leg and arm pain that started a year prior but had worsened in the last 6 months. Pain started in the right arm and progressed to include the right leg and left leg. She had presented to the ER 3 times in the last 3 weeks with no diagnosis and prescribed anti-inflammatories. On ROS she had unintended weight loss of 50 lbs. Pain was not relieved with anti-inflammatories or narcotics. She was diagnosed with diabetes in the previous 5 years and had not been compliant with her medications. Plain x-rays showed OA of the hip. An osseus survey showed multiple expansile, bubbly, and lucent intramedullary lesions consistent with polyostotic fibrous dysplasia versus multiple myeloma. CT showed a radiolucent lesion of the left femur with absence of normal bone trabeculae. Her labs showed normal calcium, phosphorous, renal function, PTH and no evidence of monoclonal gammopathy. Vitamin D was low at 8.2 ng/ml (6.6–49 ng/ml). CT CAP showed no concern for malignancy in other organs. A lipid profile was done and showed elevated fasting triglycerides of 2617 mg/dL (&lt;150 mg/dl) and LDL direct 54 mg/dl (&lt;100 mg/dl). A1c was 11.2% on admission. She denied any use of alcohol, estrogens, SSRI’s. No history of pancreatitis. On physical exam she did not have tendinous xanthomas, eruptive xanthomas, palmar xanthomas, or lipemia retinalis. Family history not significant for lipid disorders. Patient was fasted for 24 hours and then started on intensive insulin regimen as well as fenofibrate for hypertriglyceridemia. Triglycerides came down to less than 500 over 7 days. She was evaluated by ortho for her bone lesions and underwent bone lesion biopsy as well as prophylactic IMN of her bilateral femurs for prevention of impending fragility fractures. Bone biopsy was significant for xanthoma of the bone. Following discharge, she remained on fenofibrate and fish oil as well as a basal/bolus insulin regimen. Triglycerides remained controlled. She has not followed up outpatient for further workup. This case highlights an atypical presentation of triglyceride deposition in the setting of hypertriglyceridemia. It shows that hypertriglyceridemia should be included in the differential for lytic lesions when preliminary workup is negative. It also highlights that complications other than pancreatitis and cardiovascular disease can significantly alter a patient’s life if triglycerides go untreated.
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