Littérature scientifique sur le sujet « Féminisme – Algérie – 1970- »

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Articles de revues sur le sujet "Féminisme – Algérie – 1970-"

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Tabutin, Dominique. « La surmortalité féminine en Afrique du Nord de 1965 à nos jours : aspects démographiques ». Population Vol. 46, no 4 (1 avril 1991) : 833–54. http://dx.doi.org/10.3917/popu.p1991.46n4.0854.

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Résumé :
Résumé Tabutin (Dominique). - La surmortalité féminine en Afrique du Nord de 1965 à nos jours : aspects descriptifs Jusqu'au début des années 1970 et à des espérances de vie de l'ordre de 52 ans, toute l'Afrique du Nord se caractérisait par une mortalité des femmes bien supérieure à celle des hommes. Cette surmortalité féminine apparaissait rapidement, dès le deuxième mois de vie, et durait jusque vers 40 ans. Depuis la mortalité a sensiblement baissé dans cette région du monde : les espérances de vie vont actuellement de 63 ans en Eypte à 67 ans en Tunisie, les mortalités infantiles de 50 à 70 %o. Dans l'ensemble au-delà de 10 ans, l'évolution a été plus favorable aux femmes qu'aux hommes, conduisant à une disparition progressive de la surmortalité féminine adulte, sauf peut-être au Maroc. Mais ce n'est pas le cas pour les petites filles qui n'ont pas connu de progrès plus rapides que les garçons, ce qui les maintient dans leur situation originelle de surmortalité. Même en Tunisie, le problème est encore là entre 1 et 12 mois d'âge. En définitive, le phénomène, très important dans les années 1960, a reculé, mais il subsiste encore de la troisième ou quatrième semaine de vie à l'âge de 5 ou 6 ans en Algérie et en Egypte, et peut-être même à des âges supérieurs au Maroc. Il se concentre aux jeunes âges comme dans bien d'autres pays en développement.
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Carlier, Omar. « Les enjeux sociaux du corps. Le hammam maghrébin (XIXe-XXe siècle), lieu pérenne, menacé ou recréé ». Annales. Histoire, Sciences Sociales 55, no 6 (décembre 2000) : 1303–33. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.2000.279917.

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Résumé :
RésuméHérité in situ des Romains, mais réinventé à Damas et Istanbul par les élites musulmanes, le hammam redessine au Maghreb un modèle de conduite à peine entamé par la colonisation jusque dans le premier quart du XXe siècle. Egalitaire et pourtant distinctif, ordonnant et séparant les sexes, combinant le propre et le pur, ce lieu de détente essentiel à la vie au quartier, qui accompagne le rythme des jours et les âges de la vie, assure l'échange matrimonial et le conciliabule citadin, s'ajuste de manière inventive au défi de la modernité.Des années 1930 aux années 1970, le hammam gagne le monde rural, conforte l'essor des couches moyennes, redéploie ses prestations de service, s'approprie les objets de la mode, résiste au modèle balnéaire européen puis à la réaction puritaine islamiste. S'il dépérit à Tunis, sauf dans l'imaginaire des artistes, il reste plus vivace que jamais en Algérie et au Maroc. Abandonné par les hommes au profit de la douche, il est recréé par les femmes et pour elles, comme lieu d'une pratique personnelle dissociée de la tradition, affirmant une nouvelle autonomie féminine dans le soin du corps et le souci de soi.
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Bromberger, Christian. « Méditerranée ». Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.106.

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Résumé :
Alors que l’américanisme, l’africanisme, l’européanisme, l’indianisme… sont reconnus, certifiés par des musées ou des sections de musée, des départements universitaires, des chapitres de manuels depuis les origines, l’anthropologie de la Méditerranée est une spécialité récente, prenant corps, sous l’égide des universités britanniques, dans les années 1950. Ce retard est dû, au moins en partie, à l’hétérogénéité du monde méditerranéen partagé entre les façades méridionale et orientale de la mer, qui relèvent, à première vue, de l’étude du monde arabo-musulman, et la façade septentrionale ressortissant de prime abord de l’ethnologie européenne. Le scepticisme, récusant la pertinence d’une anthropologie de la Méditerranée, peut encore trouver des arguments dans l’histoire des civilisations ou dans l’actualité. Contrairement à d’autres régions du monde, l’aire iranienne voisine par exemple, le monde méditerranéen ne forme une unité ni par ses langues ni par ses traditions religieuses. Faut-il rappeler que seul l’Empire romain l’a unifié pendant plusieurs siècles autour du « mare nostrum » en favorisant l’épanouissement d’une culture gréco-latine à vocation universelle et en développant tout autour de la mer des institutions politiques sur le modèle de Rome ? Puis l’histoire de la Méditerranée fut faite de partages, de schismes, de croisades, de guerres entre empires, de conquêtes coloniales qui aboutirent, au terme de péripéties violentes, à la situation contemporaine où coexistent trois ensembles eux-mêmes fractionnés : une Méditerranée latine, catholique, largement laïcisée , partie intégrante de l’Europe occidentale, une Méditerranée balkanique orthodoxe avec ses poches islamiques, une Méditerranée arabo-musulmane. En dépit de ces fractures, des hommes de lettres campèrent, dans les années 1930, une Méditerranée des échanges et de la convivenza, à laquelle donnent crédit des lieux et des épisodes remarquables de l’histoire (l’Andalousie au temps du califat omeyade, la Sicile de Frédéric II, des villes cosmopolites de la fin du XIXème siècle et du début du XXème siècle : Istanbul, Smyrne, Salonique, Beyrouth, Alexandrie, Alger, Tanger, Trieste, Marseille, etc.). Des revues (à Marseille, les Cahiers du sud de Jean Ballard, à Tunis Les Cahiers de la Barbarie d’Armand Guibert et Jean Amrouche , à Alger Rivages d’Edmond Charlot et Albert Camus, à Rabat Aguedal d’Henri Bosco) exaltèrent cette « fraternité méditerranéenne » tout autant imaginaire que réelle. Gabriel Audisio fut le chantre le plus exalté de cette commune « patrie méditerranéenne »: « Non, écrit-il, la Méditerranée n’a jamais séparé ses riverains. Même les grandes divisions de la Foi, et ce conflit spirituel de l’Orient et de l’Occident, la mer ne les a pas exaltés, au contraire adoucis en les réunissant au sommet sensible d’un flot de sagesse, au point suprême de l’équilibre ». Et à l’image d’une Méditerranée romaine (il veut « remettre Rome ‘à sa place’ ») il oppose celle d’une « synthèse méditerranéenne » : « À cette latinité racornie, j’oppose tout ce qui a fait la civilisation méditerranéenne : la Grèce, l’Égypte, Judas, Carthage, le Christ, l’Islam ». Cette Méditerranée qui « vous mélange tout ça sans aucune espèce de pudeur », dit-il encore, « se veut universelle ». Avant qu’un projet collectif d’anthropologie n’émerge, des ancêtres de la discipline, des géographes, des historiens, avaient apporté une contribution importante à la connaissance du monde méditerranéen. Maine, Robertson Smith, Frazer, etc. étaient classicistes ou historiens du droit et se référaient souvent aux sociétés antiques de la Méditerranée pour analyser coutumes et croyances ou encore les différentes formes d’organisation sociale (la tribu, la cité, etc.) et leur évolution. Plus tard, dans les premières décennies du XXème siècle, de remarquables études monographiques ou thématiques furent réalisées sur les différentes rives de la Méditerranée , telles celles de Maunier (1927) sur les échanges rituels en Afrique du nord, de Montagne (1930) sur les Berbères du sud Marocain, de Boucheman (1937) sur une petite cité caravanière de Syrie…Géographes et historiens, plus préoccupés par l’ancrage matériel des sociétés que par leur structure ou leurs valeurs, publièrent aussi des travaux importants, synthétiques ceux-ci, sur le monde méditerranéen ; ainsi Charles Parain, dans La Méditerranée, les hommes et les travaux (1936), campe une Méditerranée des infrastructures, celle qui prévaudra jusques et y compris dans les 320 premières pages de la thèse de Fernand Braudel (1949), celle des « ressources naturelles, des champs et des villages, de la variété des régimes de propriété, de la vie maritime, de la vie pastorale et de la vie agricole, des métiers et des techniques ». L’acte fondateur de l’anthropologie de la Méditerranée fut un colloque organisé en 1959 par Julian Pitt-Rivers, Jean Peristiany et Julio Caro Baroja, qui réunit, entre autres, Ernest Gellner, qui avait mené des travaux sur le Haut-Atlas, Pierre Bourdieu, alors spécialiste de la Kabylie, John K. Campbell, auteur de recherches sur les Saracatsans du nord de la Grèce. Cette rencontre, et celle qui suivit, en 1961, à Athènes donnèrent lieu à la publication de deux recueils fondamentaux (Pitt-Rivers, 1963, Peristiany, 1965), campant les principaux registres thématiques d’une anthropologie comparée des sociétés méditerranéennes (l’honneur, la honte, le clientélisme, le familialisme, la parenté spirituelle, etc.) et véritables coups d’envoi à des recherches monographiques s’inscrivant désormais dans des cadres conceptuels fortement charpentés. Les décennies 1960, 1970 et 1980 furent celles d’une croissance rapide et d’un épanouissement de l’anthropologie de la Méditerranée. Le monde méditerranéen est alors saisi à travers des valeurs communes : outre l’honneur et la honte, attachés au sang et au nom (Pitt-Rivers, 1977, Gilmore, 1987), la virilité qui combine puissance sexuelle, capacité à défendre les siens et une parole politique ferme qui ne transige pas et ne supporte pas les petits arrangements, l’hospitalité ostentatoire. C’est aussi un univers où domine une vision endogamique du monde, où l’on prise le mariage dans un degré rapproché, mieux la « république des cousins », où se marient préférentiellement le fils et la fille de deux frères, une formule surtout ancrée sur la rive sud et dans l’Antiquité pré-chrétienne, ; Jocaste ne dit-elle pas à Polynice : « Un conjoint pris au-dehors porte malheur » ? Ce à quoi Ibn Khaldoun fait écho : « La noblesse, l’honneur ne peuvent résulter que de l’absence de mélange », écrivait-il. Aux « républiques des beaux-frères », caractéristiques des sociétés primitives exogames étudiées par Claude Lévi-Strauss s’opposent ainsi les « républiques méditerranéennes des cousins », prohibant l'échange et ancrées dans l'endogamie patrilinéaire. Alors que dans les premières, « une solidarité usuelle unit le garçon avec les frères et les cousins de sa femme et avec les maris de ses sœurs », dans les secondes « les hommes (...) considèrent leurs devoirs de solidarité avec tous leurs parents en ligne paternelle comme plus importants que leurs autres obligations, - y compris, bien souvent, leurs obligations civiques et patriotiques ». Règne ainsi, dans le monde méditerranéen traditionnel, la prédilection pour le « vivre entre soi » auquel s’ajoute une ségrégation marquée entre les sexes, « un certain idéal de brutalité virile, dont le complément est une dramatisation de la vertu féminine », poursuit Germaine Tillion (1966). La Méditerranée, c’est aussi un monde de structures clientélaires, avec ses patrons et ses obligés, dans de vieilles sociétés étatiques où des relais s’imposent, à tous les sens du terme, entre le peuple et les pouvoirs; parallèlement, dans l’univers sacré, les intermédiaires, les saints, ne manquent pas entre les fidèles et la divinité ; ils sont nombreux, y compris en islam où leur culte est controversé. La violence avec ses pratiques vindicatoires (vendetta corse, disamistade sarde, gjak albanais, rekba kabyle…) fait aussi partie du hit-parade anthropologique des caractéristiques méditerranéennes et les auteurs analysent les moyens mis en œuvre pour sortir de ces conflits (Black-Michaud, 1975). Enfin, comment ne pas évoquer une communauté de comportements religieux, en particulier les lamentations funèbres, les dévotions dolorisantes autour des martyrs ? L’« inflation apologétique du martyre » est ainsi un trait commun au christianisme et à l’islam chiite pratiqué au Liban. La commémoration des martyrs fondateurs, dans le christianisme comme en islam chiite, donne lieu à des rituels d’affliction de part et d’autre de la Méditerranée. C’est en terre chrétienne la semaine sainte, avec ses spectaculaires processions de pénitents en Andalousie, ou, en Calabre, ces cérémonies où les hommes se flagellent les mollets et les cuisses jusqu’au sang. Au Liban les fidèles pratiquent, lors des processions et des prônes qui évoquent les tragiques événements fondateurs, des rituels dolorisants : ils se flagellent avec des chaînes, se frappent la poitrine avec les paumes des mains, voire se lacèrent le cuir chevelu avec un sabre. Dans le monde chrétien comme en islam chiite, des pièces de théâtre (mystères du Moyen Âge, ta’zie) ont été composées pour représenter le martyre du sauveur. Rituels chiites et chrétiens présentent donc un air de famille (Bromberger, 1979). Cette sensibilité au martyre dans les traditions religieuses méditerranéennes est à l’arrière-plan des manifestations laïques qui célèbrent les héros locaux ou nationaux tombés pour la juste cause. C’est le cas en Algérie. Toutes ces remarques peuvent paraître bien réductrices et caricaturales, éloignées des formes de la vie moderne et de la mondialisation qui l’enserre. Ne s’agit-il pas d’une Méditerranée perdue ? Les auteurs cependant nuancent leurs analyses et les insèrent dans le contexte spécifique où elles prennent sens. Dans leur généralité, elles offrent, malgré tout, une base de départ, un cadre comparatif et évolutif. Après une période faste, couronnée par un ouvrage de synthèse récapitulant les acquis (Davis, 1977), vint le temps des remises en cause. Plusieurs anthropologues (dont Michael Herzfeld, 1980, Josep Llobera,1986, Joao de Pina-Cabral,1989…) critiquèrent de façon radicale l'érection de la Méditerranée en « regional category » en fustigeant le caractère artificiel de l'objet, créé, selon eux, pour objectiver la distance nécessaire à l'exercice légitime de la discipline et qui s'abriterait derrière quelques thèmes fédérateurs fortement stéréotypés. À ces critiques virulentes venues des centres européens ou américains de l’anthropologie, se sont jointes celles d'ethnologues originaires des régions méditerranéennes, pour qui la référence à la Méditerranée est imaginaire et suspecte, et dont les travaux sont ignorés ou regardés de haut par les chercheurs formés à l’école britannique. Ce sentiment négatif a été d’autant plus accusé sur les rives méridionale et orientale de la Méditerranée que la mer qui, à différentes périodes, reliait est devenue un fossé aussi bien sur le plan économique que politique. Diverses initiatives et prises de position scientifiques ont donné un nouvel élan, dans les années 1990-2000, à l’anthropologie de la Méditerranée. Colloques et ouvrages (par exemple Albera, Blok, Bromberger, 2001) rendent compte de cette nouvelle conjoncture. On se garde désormais plus qu’avant de considérer le monde méditerranéen comme une aire culturelle qui présenterait, à travers le temps et l’espace, des caractéristiques communes stables. Au plus parlera-t-on d’un « air de famille » entre les sociétés riveraines de la mer en raison de contextes écologiques similaires, d’une histoire partagée, de la reconnaissance d’un seul et même Dieu. Cette perspective mesurée rejoint le point de vue de Horden et Purcell (2000), auteurs d’un ouvrage important tirant un bilan critique de l’histoire du monde méditerranéen. Pour eux, qui combinent points de vue interactionniste et écologique, la Méditerranée se définit par la mise en relation par la mer de territoires extrêmement fragmentés, par une « connectivity » facilitée par les Empires. Le titre énigmatique de leur livre, The Corruptive Sea, « La Mer corruptrice », prend dès lors tout son sens. Parce qu’elle met en relation, cette mer serait une menace pour le bon ordre social et pour la paix dans les familles. Cette proximité entre sociétés différentes qui se connaissent fait que le monde méditerranéen s’offre comme un terrain idéal au comparatisme « à bonne distance ». C’est sous le sceau de ce comparatisme raisonné que s’inscrivent désormais les travaux les plus convaincants, qu’ils se réclament explicitement ou non de l’anthropologie de la Méditerranée (voir sur la nourriture Fabre-Vassas, 1994, sur la parenté Bonte éd., 1994 , sur la sainteté Kerrou éd., 1998 et les traditions religieuses, sur les migrations et les réseaux Cesari, éd., 2002, sur le cosmopolitisme Driessen, 2005) Tantôt les recherches soulignent les proximités (Albera, 2005, 2009, Dakhlia, 2008, Dakhlia et Kaiser, 2011), tantôt elles les relativisent (Fernandez Morera, 2016, Bromberger, 2018), tantôt elles insistent sur les aspects conflictuels (Chaslin, 1997). Une autre voie est de considérer le monde méditerranéen, non pas comme un ensemble fait de similarités et de proximités mais comme un espace fait de différences qui forment système. Et ce sont ces différences complémentaires, s’inscrivant dans un champ réciproque, qui permettent de parler d’un système méditerranéen. Chacun se définit, ici peut-être plus qu’ailleurs, dans un jeu de miroirs (de coutumes, de comportements, d’affiliations) avec son voisin. Les comportements alimentaires, les normes régissant l’apparence vestimentaire et pileuse, le statut des images… opposent ainsi des populations revendiquant un même Dieu (Bromberger, 2018).
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Thèses sur le sujet "Féminisme – Algérie – 1970-"

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Lalami, Feriel. « Le mouvement des femmes en Algérie : stratégie de lutte contre le code de la famille ». Poitiers, 2011. http://www.theses.fr/2011POIT5034.

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Résumé :
La thèse analyse les stratégies mises en oeuvre par le mouvement des femmes pour réaliser l'objectif de l'égalité entre les femmes et les hommes dans la loi sur la famille. Le code de la famille, promulgué en 1984, institue une discrimination que le mouvement dénonce et entreprend de supprimer pour des lois égalitaires. .
The thesis analyzes the strategies implemented by the women and men in the family law. The familiy code, promulgated in 1984, establishes a discrimination which the movement denounced and undertook to suppress and replace by egalitarian legislation. .
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Hélie, Anissa. « Maîtresses et mission coloniale en Méditerranée. Trajectoires d'institutrices européennes en Algérie coloniale, 1874-1949 : émanciper les écolières ou féminiser les «fatmas» ». Paris, EHESS, 2006. http://www.theses.fr/2006EHES0024.

Texte intégral
Résumé :
Cette recherche s'intéresse aux institutrices européennes laïques dans un contexte historique et politique particulier : celui de l'Algérie coloniale. De nombreuses sources officielles et études historiques ont priviligié la problématique liée à la fonction et à l'impact de l'école coloniale, mais peu se sont concentrées sur le personnel enseignant. Ce travail a donc deux objectifs. D'une part, présenter les expériences singulières des institutrices primaires laïques, en retraçant certains aspects de leurs vies - tant privées que professionnelles - et en s'appuyant notamment sur leurs propres témoignages. Il s'agit aussi d'analyser les rôles qu'elles ont pu jouer dans les processus de colonisation et d'acculturation, en tant que femmes européennes et enseignantes. Les dates retenues (1874-1949) sont significatives à plusieurs niveaux : par rapport au développement de la colonisation, à l'histoire de l'éducation laïque et à l'histoire des femmes
This research focuses on women teachers (in secular primary schools) in a specific historical and political context : that of colonial Algeria. Numerous official sources and historical research have priviliged the problematic linked to the role and impact of colonial schooling, yet few took interest in the teaching staff. This work therefore has two objectives. On the one hand, present the specific experiences of secular women teachers, by tracing some aspects of their lives - private as well as professional, and by, notably, drawing from their own testimonies. It is also about analyzing the roles they might have played in colonial and acculturation processes, as european women and as teachers. The dates we selected (1874-1949) are significant at various level : at the level of the development of colonization, at the level of the history of secular education and at the level of women's history
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Giroux, Bernard. « La Jeunesse étudiante chrétienne (J. E. C. Et J. E. C. F. ) de 1945 aux années soixante-dix ». Paris, Institut d'études politiques, 2009. http://www.theses.fr/2009IEPP0034.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse de doctorat fournit le premier récit de l’Histoire de la Jeunesse Etudiante Chrétienne (J. E. C. ) - masculine et féminine - entre la Libération et les années soixante-dix. Ce mouvement d’Action catholique spécialisé, officiellement reconnu et soutenu par la hiérarchie catholique, mobilise des élèves et des étudiants catholiques et les charge de l’apostolat auprès des autres jeunes Français scolarisés. Son étude est appréhendée comme un observatoire des rapports entretenus par l’Eglise catholique de France avec la modernité, que l’on caractérise comme un processus marqué par la sécularisation de l’Etat, l’avènement du rationalisme et de l’autonomie de l’individu, aux dépens de la tradition, notamment religieuse. A l’issue de l’étude, la J. E. C. Apparaît comme un espace de synthèse entre la modernité et la tradition. Au fil de la réflexion de nombreux thèmes sont abordés, qui intéressent l’Histoire de l’Eglise et de la société française du second XXe siècle : l’auteur montre la contribution de la J. E. C. à la transformation de l’Ecole, de l’Eglise catholique de France, de la vie politique et de la réflexion intellectuelle. Il décrit l’engagement du mouvement dans la lutte contre la guerre d’Algérie, son rôle dans la mutation du regard porté sur le genre féminin, et éclaire l’attitude des catholiques durant les événements de Mai 1968. La thèse est bâtie sur l’exploitation d’un important corpus d’archives jusqu’alors inexploité. Elle fournit en annexe des instruments de travail pour le chercheur futur : la liste des équipes dirigeantes, une prosopographie des responsables nationaux, et le traitement d’une enquête auprès des militants
This document provides the first account of the History of the Jeunesse Etudiante Chrétienne (J. E. C. ) between 1945 and the seventies. That association is officially acknowledged and supported by the catholic hierarchy. It gathers catholic pupils and students who evangelize other pupils. While studing it, anyone tries to understand the link the french catholic Church keeps up with modernity, which is distinguished as a process marked by the State secularization, the advent of rationalism and the individual’s autonomy, at the expense of tradition, in particular religious. The study finally points out that the J. E. C. Seems to be an area of synthetis between modernity ad tradition. The author emphasizes the contribution from the J. E. C. To the change in the school system, in the catholic Church of France, in policies and in the intellectual thought. The author sets out the commitment of the movement to the fighting against the Algerian war and its attitude in May 1968. The thesis is supported with the analysis of various records which had never been analysed before. Besides the account and analysis of the events, the thesis provides additional tools to the future researcher : the list of ruling staff, a presentation of the officials and the outcome of a survey among former militants
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Bouzaza, Karima. « Le statut des femmes kabyles autochtones de l'Algérie ». Mémoire, 2008. http://www.archipel.uqam.ca/1974/1/M10654.pdf.

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Résumé :
Ce mémoire interroge les processus par lesquels s'opère une discrimination à l'égard des femmes kabyles. Pour ce faire, nous nous sommes située dans le paradoxe des pratiques constitutives du droit coutumier et du droit formel: d'une part le droit coutumier kabyle invoque une imposition et une incorporation des pratiques culturelles du code de l'honneur et de la parenté qui se manifestent par des valeurs collectives et par des limites symboliques et corporelles, et cela sur le plan familial, comme dans la répression de la circulation, dans l'imposition du conjoint et dans le déshéritement. Ceci trouve une justification par le pouvoir masculin dans l'honneur qui ne doit aucunement être bafoué et aussi dans la nécessité de perpétuer la lignée. Les femmes intériorisent les valeurs et notamment les limites qui leur ont été incorporées. Cette intériorisation de limites et l'enracinement des pratiques dans leurs mémoires font souvent d'elles les reproductrices de l'ordre social. D'autre part, le droit formel contient des pratiques qui portent atteinte aux femmes dans leur vie familiale et identitaire. Le Code de la famille, en effet enlève aux femmes kabyles leur droit au logement lors d'un divorce. De même que sur le plan identitaire, les nationalistes algériens qui détiennent le pouvoir ont imposé la politique d'arabisation qui a généré une exclusion de la culture autochtone et notamment une régression scolaire des étudiants kabyles, car ces derniers sont affectés arbitrairement vers la filière de la littérature arabe. L'enjeu est de reproduire la culture arabo-islamique par les Kabyles eux-mêmes. Ajoutant à cela la pénétration de la culture arabo-islamique dans les foyers n'a fait qu'aviver la culture arabo-islamique au détriment de la culture kabyle, en aliénant les femmes kabyles. À l'aide de l'analyse documentaire qui repose sur un corpus (la Charte, la Constitution, et le Code de la famiIle) et de l'analyse de contenu des entrevues de 20 femmes qui ont vécu sous les deux systèmes de droits, nous tentons d'esquisser l'ensemble des réponses à notre question de recherche. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pouvoir coutumier, Pouvoir formel, Femme kabyle, Reproduction sociale, Stratégies matrimoniales, Stratégies de reproduction, Arbitraire culturel, Capital culturel, Honneur, Parenté.
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Livres sur le sujet "Féminisme – Algérie – 1970-"

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Les Algériennes contre le Code de la famille : La lutte pour l'égalité. Paris : Presses de Sciences Po, 2012.

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