Articles de revues sur le sujet « Étages de végétation »

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Brugiapaglia, Elisabetta, Jacques-Louis de Beaulieu, Joël Guiot et Maurice Reille. « Transect de pluie pollinique et étagement de la végétation dans le massif du Taillefer (Isère, France) ». Géographie physique et Quaternaire 52, no 2 (2 octobre 2002) : 209–18. http://dx.doi.org/10.7202/004775ar.

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Résumé :
Résumé Le massif du Taillefer fait l'objet de travaux paléoécologiques visant à retracer les fluctuations des étages de végétation depuis le Tardiglaciaire. Dans ce cadre, le présent travail vise à vérifier dans l'actuel la possibilité de caractériser des étages des végétation avec la pluie pollinique des taxons présents sur place en identifiant d'éventuels marqueurs. Sur le versant ouest du massif, un transect altitudinal de 40 spectres polliniques de surface (coussinets de mousse) a été effectué afin d'étalonner la dispersion du pollen de 350 m jusqu'à 2600 m d'altitude. Pour tenter d'objectiver les corrélations existant entre les taxons polliniques et les points de prélèvement, une analyse en composantes principales (A.C.P.) a été mise en œuvre. Elle regroupe sans trop de peine les spectres des étages de végétation collinéen caractérisé par Quercus tp. robur (tp : abréviation pour type), Carpinus , Corylus , Castanea , subalpin inférieur caractérisé par Picea , et alpin caractérisé par Minuartia , Paronychia , Sagina , mais une grande dispersion existe pour ceux des étages montagnard et subalpin supérieur. La chênaie est une formation végétale qui n'est pas caractérisée par le pollen de Quercus , présent à toutes les altitudes avec des fréquences relatives de 5-10 %. Les grains de pollen de Castanea et Carpinus , avec des taux de 10 %, peuvent être considérés comme de bons marqueurs de l'étage collinéen. La dispersion de Fagus est élevée bien que son pollen soit rare dans la hêtraie. La dispersion du pollen de Piceaestgrandeetonleretrouve à tous les niveaux, mais les taux plus élevés (30-50 %) ne sont notés que dans la pessière pure. Des fréquences polliniques d' Alnus viridis entre 20 et 30 % constituent un bon indicateur de la présence sur place de cette espèce. Les Cyperaceae ont une dispersion limitée : dès qu'on s'éloigne de la source productrice, les taux du pollen diminuent brusquement.
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2

Bussières, Bruno, Serge Payette et Louise Filion. « Déboisement et entourbement des hauts sommets de Charlevoix à l’Holocène supérieur : origine des étages alpin et subalpin ». Géographie physique et Quaternaire 50, no 3 (30 novembre 2007) : 258–69. http://dx.doi.org/10.7202/033099ar.

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Résumé :
RÉSUMÉ La datation au radiocarbone effectuée sur des charbons de bois a permis une reconstitution partielle de l'historique des feux durant l'Holocène supérieur, sur les hauts sommets de Charlevoix. Les étages subalpin et alpin se sont formés après 3000 BP. Les feux récurrents ont causé une fragmentation du couvert forestier et une diminution de la régénération forestière vraisemblablement associée à des conditions climatiques défavorables. La végétation des étages subalpin et alpin résulte des changements écologiques déterminés par le passage aléatoire des feux et ne constitue donc pas une réponse directe au gradient climatique créé par la topographie. La différence de végétation (forestière ou ouverte) entre des sommets pourtant à une altitude similaire résulte d'une action différentielle des feux entre les sites. L'entourbement des versants est survenu plus récemment, soit après 1250 BP et surtout après 600 BP. Le caractère tardif de l'entourbement de certains sites par rapport à l'âge des feux indique que la tourbe n'a commencé à se former qu'avec le refroidissement climatique survenu après le Petit Optimum climatique, soit au cours du dernier millénaire. Malgré ce délai, il semble bien que la formation d'un revêtement de tourbe ombrotrophe sur les versants soit une conséquence de l'ouverture du paysage par les feux.
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Dahmani-Megrerouche, Malika. « Groupements à chêne vert et étages de végétation en Algérie ». Ecologia mediterranea 22, no 3 (1996) : 39–52. http://dx.doi.org/10.3406/ecmed.1996.1807.

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Garraud, Luc. « Les étages de la végétation dans le sud-est de la France ». Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon 67, no 7 (1998) : 188–90. http://dx.doi.org/10.3406/linly.1998.11233.

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David, Fernand. « Établissement des étages de végétation holocène : vers la modélisation complète d’un massif ». Comptes Rendus de l'Académie des Sciences - Series III - Sciences de la Vie 324, no 3 (mars 2001) : 273–78. http://dx.doi.org/10.1016/s0764-4469(00)01284-1.

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Argente del Castillo Ocaña, Carmen. « La utilización pecuaria de los baldíos andaluces (siglos XIII-XVI) ». Anuario de Estudios Medievales 20, no 1 (2 avril 2020) : 437. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1990.v20.1158.

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Résumé :
L'élevage médiéval andalous se développe notablement grâce à la présence, dans la région, d'une végétation bien préservée. Cette-ci s'étalait en étages, dès les rebords montagneux jusqu’aux terres de la dépression Bétique. Une liberté plus grande pour que les troupeaux utilisent ces terrains en friche dépendait de la position juridique de ces derniers. La plupart de ces pâturages était mise à la disposition de la collectivité, pour les habitants des municipies. Parfois cela ce faisait «en régime ouvert»; d'autres fois d'une manière plus restreinte, comme c'était le cas de certains types de pâturages. Au XVeme siècle, tout un processus d'usurpations et de défrichage fait régresser ce système communal.
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Béguin, Claude, et Mélanie Progin Sonney et Michel Vonlanthen. « La végétation des sols polygonaux aux étages alpin supérieur et subnival en Valais (Alpes centro-occidentales, Suisse) ». Botanica Helvetica 116, no 1 (juin 2006) : 41–54. http://dx.doi.org/10.1007/s00035-006-0737-z.

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Thébaud, Gilles, Guillaume Choisnet et Camille Roux. « Contribution to the survey of the heathlands of the french Massif central (habitats 4030 and 4060) : analysis of phytosociological data. » BIOM - Revue scientifique pour la biodiversité du Massif central 2, no 1 (1 juin 2021) : 62–109. http://dx.doi.org/10.52497/biom.v2i1.283.

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Résumé :
À partir d’un échantillonnage initial de 990 relevés de landes du Massif central français, issu de la bibliographie et de recherches récentes sur le terrain, les auteurs réalisent une analyse globale puis des analyses partielles en MTC, CCA et DCA sur 675 relevés concernant les étages montagnard moyen et subalpin. Les résultats de cette révision conduisent à la caractérisation de seize associations végétales dont cinq nouvelles et quarante-sept sous-unités. Le sud et l’est du Massif central, Cévennes, Vivarais, Margeride, jusqu’ici moins bien connus, apportent le plus grand lot de nouveautés phytosociologiques. Ces communautés appartiennent à 2 classes phytosociologiques (Loiseleurio procumbentis-Vaccinietea microphylli et Calluno vulgaris-Ulicetea minoris) et 3 alliances dont le Genisto pilosae-Empetrion hermaphroditi all. nov. et le Genisto pilosae-Vaccinion Braun-Blanq. 1926. La nomenclature et la syntaxonomie de cette dernière alliance sont discutées et modifiées et une sous-alliance nouvelle y est créée (Vaccinienion myrtillo-uliginosi suball. nov.). Les communautés étudiées se différencient principalement en fonction de la disparité climatique du Massif, le gradient altitudinal, le substrat géologique et la topographie. Elles peuvent constituer des végétations stables ou entrent dans des successions dynamiques conduisant à des stades boisés. Leur caractérisation contribue à la connaissance de la compartimentation biogéographique et bioclimatique du Massif central, en rapport notamment avec les différences liées à la pluviométrie estivale, entre montagnes volcaniques nord-occidentales sous influence océanique, massifs internes au caractère subcontinental et bordure méridionale sous influence méditerranéenne. De même les végétations étudiées confirment un étage subalpin supérieur dans les quelques massifs qui dépassent 1600 m. La hiérarchisation des variables écologiques discriminantes pour ces végétations, la description de leurs conditions stationnelles et leur caractérisation dynamique au sein des espaces sylvo-pastoraux, donnent des éléments pour la gestion et la conservation des habitats d’intérêt européens correspondants, en particulier 4030 and 4060.
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Ducruc, Jean-Pierre, Richard Zarnovican, Vincent Gerardin et Michel Jurdant. « Les régions écologiques du territoire de la baie de James : caractéristiques dominantes de leur couvert végétal ». Cahiers de géographie du Québec 20, no 50 (12 avril 2005) : 365–91. http://dx.doi.org/10.7202/021326ar.

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Résumé :
En l'absence de données climatiques analytiques adéquates, la recherche de discontinuités dans la végétation, confrontées avec des limites climatiques synthétiques, permet de définir des climats régionaux distinctifs. La recherche de ces discontinuités s'effectue en deux étapes. Tout d'abord nous avons retenu 202 relevés phytoécologiques établis sur des tills bien drainés dont l'homogénéité texturale a été statistiquement vérifiée. Sur cet ensemble, nous étudions la distribution territoriale des principales espèces végétales qui nous permettent de définir des zones macroclimatiques. Ensuite, au-delà de 900 reconnaissances écologiques sont identifiées par un type physionomique de végétation dominant, expression structurale de la végétation, dont la répartition territoriale permet de subdiviser en 19 régions écologiques l'ensemble des 400 000 km 2 inventoriés dans le territoire de la baie de James.
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Labelle, Claude, et Pierre J. H. Richard. « Végétation tardiglaciaire et postglaciaire au sud-est du parc des Laurentides, Québec ». Géographie physique et Quaternaire 35, no 3 (2 février 2011) : 345–59. http://dx.doi.org/10.7202/1000544ar.

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Résumé :
L’analyse pollinique des sédiments de trois lacs situés au sud-est du parc des Laurentides a permis de retracer les étapes de la recolonisation végétale post-wisconsinienne. Celle-ci s’est effectuée selon un schéma assez constant à travers le secteur à l’étude. Au début, la végétation était très ouverte, mais tout de même relativement riche en taxons herbacés et arbustifs. Cette phase initiale de végétation (sous-zone la) fut suivie, après une période de transition (sous-zone 1b), par une végétation luxuriante de type toundra (sous-zone 1c). Celle-ci fut à son tour remplacée par une végétation de type toundra arbustive (sous-zone 1d) où l’on voit s’accroître l’importance de Betula glandulosa et d’autres éléments arbustifs. Avec un certain métachronisme entre les sites, l’afforestation s’est amorcée par l’installation du Populus cf. tremuloïdes (sous-zone 2a) et s’est poursuivie par l’arrivée de Picea mariana (fin de la sous-zone 2a) puis, par celle d’une série d’arbres tels Betula papyrifera, Pinus cf. divaricata, Abies balsamea, Picea glauca et Larix laricina (sous-zone 2b). Pendant cette dernière phase de l’afforestation, l’abondance du pollen d’Alnus cf. crispa dans les spectres est maximale. Il semble qu’au moins mille ans se soient écoulés avant l’arrivée des arbres autres que le Populus cf. tremuloïdes. Par la suite, l’histoire de la végétation forestière (zone 3) a été plutôt monotone. Bien que les diagrammes révèlent des périodes de plus grande abondance de certains taxons (Pinus strobus, Picea mariana, Pinus et. divaricata), la majorité des arbres, présents actuellement dans la région, ont migré très tôt à l’Holocène.
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Beis, Jean-Marie, Jean Paysant, Loïc Le Chapelain et Jean-Marie André. « Comas, états végétatifs et rééducation ». EMC - Kinésithérapie - Médecine physique - Réadaptation 1, no 1 (janvier 2006) : 1–6. http://dx.doi.org/10.1016/s1283-0887(05)74380-2.

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Talon, Brigitte, Christopher Carcaillet et Michel Thinon. « Études pédoanthracologiques des variations de la limite supérieure des arbres au cours de l’Holocene dans les alpes françaises ». Géographie physique et Quaternaire 52, no 2 (2 octobre 2002) : 195–208. http://dx.doi.org/10.7202/004875ar.

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Résumé :
RésuméCet article a pour objectif de montrer comment l'emploi de la pédoanthracologie permet de contribuer à l'étude de l'histoire de la végétation ligneuse de stations situées à des altitudes élevées. Cette méthode paléoenvironnementale est fondée sur l'identification microscopique et la datation (au14C par SMA) des charbons de bois macrofossiles enfouis dans les sols minéraux et extraits par tamisage sur un tamis de 400 μm. Dans les Alpes françaises du Sud, le déterminisme climatique de l'asylvatisme actuel de l'étage alpin est remis en cause par la découverte de charbons de bois dans tous les prélèvements réalisés dans cet étage. Les résultats révèlent l'importance géographique dePinus cembra, dont l'aire de répartition était bien plus étendue entre 3 800 et 1 400 ans BP que de nos jours. La précision spatiale de la méthode est soulignée par l'étude de plusieurs profils pédoanthracologiques d'une station dans une vallée des Alpes françaises du Nord ; cette analyse présente les changements locaux de la limite supérieure d'Alnus glutinosa/A. incanadepuis environ 6 000 ans. Des hypothèses impliquant les pratiques agro-sylvo-pastorales couplées à d'éventuelles péjorations climatiques expliquent les changements survenus dans la végétation forestière de cette station.
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Missa, Koffi, Fofana Seguena, Dramane Soro et Adama Bakayoko. « Caractéristique structurale des zones marécageuses de la forêt de la Tanoé-Ehy (Sud-Est de la Côte d’Ivoire) ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no 8 (9 décembre 2020) : 2893–902. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i8.19.

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Résumé :
Cette étude vise à dégager les différents états de dégradation de la végétation au sein de la forêt marécageuse de la Tanoe-Ehy, à travers 4 relevés linéaires de 100 mètres de long. L’analyse de ces relevés a montré qu’au niveau des types biologiques, l’espèce Combretum racemosum P. Beauv. (Combretaceae) représente l’essentielle des espèces lianescentes. Dans cette forêt, parmi les espèces qui contribuent fortement à la formation de la végétation, il y a la présence des espèces vulnérables de l’UICN. Concernant les recouvrements, les strates basses sont faiblement occupées. Cependant, la végétation est dense dans les strates moyennes. Ces recouvrements ont montré que la dégradation de la structure des milieux est une conséquence de l’exploitation villageoise. Par ailleurs, cette forêt marécageuse présente des recouvrements particuliers qui n’ont jamais été observés en forêt dense humide de Côte d’Ivoire.Mots clés : Structure, végétation, forêt, marécageuse, types biologiques, recouvrements. Englsih Title: Structural Characteristic of the marshy areas of the Tanoé-Ehy forest (Southeastern Côte d'Ivoire) This study aims to identify the different state of vegetation degradation within the Tanoe-Ehy swamp forest, through 4 linear surveys 100 meters long. Analysis of these surveys showed that at the level of biological types, the species Combretum racemosum P. Beauv. (Combretaceae) is the essential of lianescent species. In this forest, among the species that contribute heavily to vegetation formation, there is the presence of vulnerable IUCN species. For overlays, the lower strata are poorly occupied. However, vegetation is dense in the middle strata. These recoveries have shown that the degradation of the structure of the environments is a consequence of village exploitation. In addition, this swamp forest has special overlays that have never been seen in the dense rainforest of Côte d'Ivoire. Keywords: Structure, vegetation, forest, swampy, biological types, recoveries.
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Brou, Yao Télesphore, Anas Emram, Laouina Abdellah, Miloud Chaker, Sylvie Coupleux et Saïd Boujrouf. « Changement des états de surface, précipitations automnales et vulnérabilité des sols dans le bassin versant du Bouregreg au Maroc ». Revue des sciences de l’eau 26, no 2 (3 juin 2013) : 81–87. http://dx.doi.org/10.7202/1016060ar.

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Résumé :
Résumé Localisé dans la région de Rabat-Salé-Zemour, le bassin versant du Bouregreg est un espace essentiellement pastoral dans ses parties intérieures montagneuses et une zone agro-pastorale en aval. Les dynamiques paysagères observées sur ce bassin versant, à l’instar de la plupart des bassins versants du Maroc atlantique, sont marquées par une densification des zones de cultures dans les plaines et de leur extension sur les versants. La classification supervisée des images Landsat de 1987 et 2006 a permis de mettre en évidence l’évolution de l’occupation du sol. Sur l’ensemble du bassin versant, entre 1987 et 2006, 15 % des surfaces boisées ont été transformées en espaces agricoles. La prise en compte de la morphologie du bassin versant permet de mettre en évidence la fragilité des paysages agricoles. En effet, près de 39 % des surfaces cultivées sont situées sur des pentes de 5 à 10 % et près de 24 % sur les pentes de 10 à 20 %. Ces terres de culture présentent une quasi-absence de végétation durant la période de préparation des sols et de semis. L’archivage et le suivi à l’échelle saisonnière des NDVI (indice de végétation normalisé) décadaires du capteur Spot végétation sur la période 2001-2009 révèlent un allongement de la période au cours de laquelle les sols sont quasi-dénudés durant les années de sécheresses exceptionnelles. Par ailleurs, l’analyse de la série pluviométrique de la station de Rabat met en évidence une modification du régime des pluies automnales à partir de 1999, marquée notamment par une tendance à l’accroissement des hauteurs de pluie en octobre. Cette situation est susceptible d’accélérer la vulnérabilité des sols dénudés (à pentes fortes) à l’érosion pluviale, notamment à l’occasion d’années particulièrement sèches comme ce fut le cas en 2003 et 2007.
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Calvet, Jean-Christophe, et Jean-Louis Champeaux. « L'apport de la télédétection spatiale à la modélisation des surfaces continentales ». La Météorologie, no 108 (2020) : 052. http://dx.doi.org/10.37053/lameteorologie-2020-0016.

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Résumé :
Cet article présente les différentes étapes des développements réalisés au CNRM des années 1990 à nos jours pour spatialiser à diverses échelles les simulations du modèle Isba des surfaces terrestres. Une attention particulière est portée sur l'intégration, dans le modèle, de données satellitaires permettant de caractériser la végétation. Deux façons complémentaires d'introduire de l'information géographique dans Isba sont présentées : cartographie de paramètres statiques et intégration au fil de l'eau dans le modèle de variables observables depuis l'espace. This paper presents successive steps in developments made at CNRM from the 1990s to the present-day in order to spatialize the simulations of the Isba land surface model at various scales. The focus is on the integration in the model of satellite data informative about vegetation. Two complementary ways to integrate geographic information in Isba are presented: mapping of static model parameters and sequential assimilation of variables observable from space.
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Peano, Marie-Annick. « Victimes en état végétatif : une étape décisive ». Médecine & ; Droit 1995, no 15 (novembre 1995) : 10–12. http://dx.doi.org/10.1016/1246-7391(95)80026-3.

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Poisson, Dominique, et Carole Bouleuc-Parrot. « États végétatifs chroniques, soins palliatifs, personne de confiance ». Laennec 63, no 3 (2015) : 4. http://dx.doi.org/10.3917/lae.153.0004.

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Danzé, F., B. Veys, T. Lebrun, JC Sailly, JP Sinquin, P. Rigaux, X. Lenne et F. Parge. « Facteurs pronostiques des états végétatifs post-traumatiques : 522 cas ». Annales de Réadaptation et de Médecine Physique 38, no 8 (janvier 1995) : 467–74. http://dx.doi.org/10.1016/0168-6054(96)89340-8.

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Bognounou, Fidèle, Adjima Thiombiano, Patrice Savadogo, Joseph Issaka Boussim, Per Christer Oden et Sita Guinko. « Structure et composition spécifique de la végétation ligneuse de quatre sites sur un gradient latitudinal au Burkina Faso occidental ». BOIS & ; FORETS DES TROPIQUES 300, no 300 (1 juin 2009) : 29. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.300.a20412.

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Comprendre la distribution de la végétation ligneuse et les facteurs qui la soustendent est une étape cruciale pour la conservation et la gestion des communautés végétales de l¿écosystème des savanes boisées. Cet article présente la composition spécifique, la structure et la diversité des essences ligneuses de quatre sites sur un gradient latitu - dinal dans les secteurs nord-sahélien, sud-sahélien, nord-soudanien et sud-soudanien du Burkina Faso occidental. Toutes les essences ligneuses ont été systématiquement identifiées et mesurées sur 82 placettes de 50 × 20 m2. La densité, la dominance, la fréquence, les espèces et les valeurs d¿importance ont été calculées pour caractériser la composition spécifique. Des mesures de diversité ont été calculées pour analyser l¿hétérogénéité de chacun des sites. Au total, 74 espèces représentant 26 familles et 53 genres ont été recensées, parmi lesquelles les familles des Combrétacées, Mimosacées et Caesalpiniacées s¿avèrent dominantes. Les caractéristiques structurelles font apparaître des différences significatives (p < 0,001) entre sites et espèces. Pour certains sites, les distributions par classe de dimension font apparaître une courbe en J'inversé, indiquant une végétation dominée par des arbres juvéniles. La composition spécifique fait apparaître une faible similitude entre sites, indiquant une diversité bêta élevée qui reflète des différences au niveau des conditions du milieu, de la topographie et de distance entre sites. Les différences spécifiques entre sites mettent en lumière l¿importance des approches à l¿échelle du paysage pour comprendre les distributions, la composition, la structure et la diversité spécifiques, dans une optique de mise en oeuvre de mesures de restauration et de conservation favorisant la surface terrière totale et la diversité de ces écosystèmes. (Résumé d'auteur)
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Buard, Elodie. « Description des états annuels et des évolutions de la couverture végétale observée par des séries temporelles d'images MODIS dans le parc national de Hwange (Zimbabwe) ». Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no 207 (19 juin 2014) : 71–84. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2014.54.

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Résumé :
Dans le parc de Hwange au Zimbabwe, les grands troupeaux d'herbivores, comme les éléphants, zèbres ou buffles, sont concentrés sur certaines zones. Ces zones subissent donc une forte pression animale. Nous cherchons à étudier l'évolution de la végétation sur ces zones, et plus généralement sur l'ensemble du parc, pour ensuite étudier les liens entre les pratiques spatiales des troupeaux d'animaux et l'évolution de la végétation. Dans ce papier, nous proposons une démarche pour identifier les évolutions de la couverture végétale, mesurée par le biais des pixels des images satellites MODIS, disponibles à une fréquence mensuelle. L'ensemble de ces images constitue des séries temporelles d'images. Notre démarche permet d'estimer l'importance et le sens de l'évolution de la couverture végétale entre 2003 et 2010 puis d'identifier les lieux d'évolutions.Chaque image permet d'obtenir des valeurs d'indice NDVI par pixel de 250 m, qui décrivent la biomasse produite. Puis grâce aux séries temporelles de ces images, une analyse évolutive des valeurs NDVI est effectuée. Dans une première partie, nous établissons des profils types de phénologie des végétaux, qui décrivent l'évolution de la biomasse produite par les végétaux au cours de l'année. Comme la phénologie est liée à la pluviométrie, les profils types d'évolution annuelle de la biomasse sont définis pour une année sèche et pour une année humide. Dans une seconde partie, nous nous concentrons sur des évolutions sur une dizaine d'années. Grâce à ces profils types, nous identifions les pixels présentant une faible couverture végétale annuelle en utilisant des seuils d'anormalité statistique. Sur plusieurs années, nous pouvons en dégager des pixels, et donc des lieux du parc, où la couverture végétale a évolué, que ce soit en croissance ou en dégradation.
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Kummerlen, C., P. Lutun, G. Robles, M. Hasselmann et J. D. Tempe. « Aspects étiologiques, séméiologiques et évolutifs de 36 états végétatifs non traumatiques ». Réanimation Urgences 1, no 5 (janvier 1992) : 718–22. http://dx.doi.org/10.1016/s1164-6756(05)80024-6.

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Loire, Rémi, Hervé Piégay, Jean-René Malavoi, G. Mathias Kondolf et Gabriel Melun. « Les lâchers morphogènes depuis un barrage justification opérationnelle et protocole d'intervention ». La Houille Blanche, no 3 (juin 2020) : 66–75. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2020030.

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Résumé :
Nous proposons une nouvelle approche méthodologique pour évaluer la pertinence et mettre en œuvre des ≪ lâchers morphogènes » en aval de barrages hydroélectriques. Ces lâchers correspondent à des débits relativement élevés lâchés par les barrages afin de générer des changements dans les caractéristiques physiques des lits fluviaux (par exemple, décolmatage, désensablement, élargissement des bandes actives alluviales, augmentation de la charge sédimentaire grossière, gestion de la végétation riveraine…) et de créer ou d'améliorer les habitats aquatiques et riverains. La méthodologie proposée repose sur une analyse de la littérature scientifique et sur nos propres expériences. Nous introduisons quelques méthodes de dimensionnement de ces lâchers (intensité, durée, forme de l'hydrogramme, variation saisonnière et récurrence), et évaluons les conflits potentiels avec divers enjeux environnementaux, socioéconomiques et opérationnels associés aux barrages. Nous proposons également des solutions alternatives lorsque ces lâchers ne peuvent être mis en œuvre, du fait notamment de contraintes trop lourdes. La procédure d'évaluation et de mise en œuvre des lâchers morphogènes se veut rigoureuse, itérative et basée sur plusieurs étapes, dont la plupart doivent être validées par les diverses parties prenantes : un diagnostic préliminaire quantifiable, la définition d'objectifs clairs, la prise en compte des contraintes présentes sur les sites, le dimensionnement du lâcher et sa mise en œuvre. Une phase d'évaluation est également proposée pour tirer des leçons des expériences et améliorer les actions.
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André-Obadia, N., et C. Fischer. « Évaluation électrophysiologique des comas, des états végétatifs et de la mort encéphalique ». Revue Neurologique 169 (avril 2013) : A219—A220. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2013.01.536.

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Mamadou, ADAME Salifou, ABDOULAYE Djafarou, TCHAOUSSI FOUSSENI Ayouba, TONDRO MAMAN Abdou Madjidou et TENTE Brice. « Modes Et Outils D’Exploitation Des Formations Végétales Etudiées Dans La Commune De Bassila Au Benin ». International Journal of Progressive Sciences and Technologies 39, no 1 (30 juin 2023) : 312. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v39.1.5399.

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Résumé :
Les formations végétales constituent un écosystème sensible dans la régularisation de la biodiversité. Les modes et outils mis en œuvre dans l’exploitation de ces formations nécessitent une attention particulière. Etudier la dynamique des forêts classées de Pénessoulou et de Bassila dans une perspective de gestion durable et participative est l’objectif principal de la recherche.L’approche méthodologique pour l’atteinte de cet objectif comprend trois étapes à savoir la collecte des données et des informations, leur traitement et l’analyse des résultats obtenus. Le suivi de l'évolution du paysage, des données topographiques, des images satellites Landsat des années 2000, 2010, 2020, et 2063 a été fait ainsi que l’analyse des ordres de régression et de progression des unités d’occupation du sol. La collecte et le traitement des données phytosociologiques ont été faits grâce aux indices de diversité de Shannon (H), d’Equitabilité de Pielou (E) et de la surface terrière moyenne (G). Au total, 231 individus ont été enquêtés grâce à la méthode de choix raisonné afin d’apprécier les facteurs de dégradation de la végétation et l’analyse des résultats a été faite à l’aide du modèle SWOT.Il ressort des résultats obtenus que la forêt galerie, la forêt dense, la forêt claire et savane boisée et la savane arborée et arbustive sont plus dominantes au détriment des formations anthropiques. 03 ordres de régression et progression ont été observés dans la dynamique des unités d’occupation du sol. L’analyse des types phytogéographiques dans la forêt classée de Bassila révèle que les espèces soudaniennes sont les plus abondantes et les dominantes avec les spectres brut et pondéré respectifs de 46 % et 70 %. La formation des forêts denses sèches comporte 116 espèces réparties en 89 genres et 41 familles sur la base de 8 relevés. Les familles les plus représentées sont : les Leguminoseae (24,91 %), les Combretaceae (30,76 %), Chrysobalanaceae (14,80 %) et Scrophulariaceae (14,44 %). La valeur moyenne de l’indice de Shannon est de 2 ± 0,38 bits. Cette valeur élevée de l’indice de Shannon fait de cette formation un milieu favorable pour l’installation de plusieurs espèces. L’indice d’équitabilité de Pielou est de 0,82 ± 0,08. Le coefficient d’Allan est inférieur à 5 à Adjiro et supérieur à 5 à Bassila. En analysant le niveau de pression sur les ressources forestières, il ressort que les agriculteurs et les exploitants de bois d’œuvre reconnaissent que les feux de végétation, l’érosion, la production végétale et l’exploitation de bois d’œuvre sont des facteurs directs responsables de la dégradation de la végétation. Les difficultés observées sont relatives au faible niveau d’organisation des structures locales de gestion des forêts, à l’inadaptation des plans d’aménagement participatif selon les besoins des populations, à l’insuffisance de renforcement des capacités des populations sur la gestion durable des ressources forestières. Face à ces difficultés, un modèle simplifié de Plan d’Aménagement Participatif (PAP) a été proposé. Il s’appuie sur les actions et le renforcement des instruments juridiques de gestion des PAP, sur la capitalisation des actions des projets intervenants sur l’inventaire et les services écosystémiques qu’offrent les forêts, sur le suivi écologique et socioéconomique des forêts et des populations riveraines, etc.Pour rendre opérationnelles ces actions, un projet de 05 ans a été initié pour un montant de 80 000.000 FCFA et est intitulé : « Installation de plantations d’anacardiers greffés à Pénélan ». Il a pour objectif principal de contribuer à la réduction de la pauvreté et à l’amélioration de la sécurité alimentaire de la population de Pénélan et comporte 04 composantes.
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Wattiaux, Henri. « Entre la vie et la mort : les états végétatifs chroniques. Note de lecture ». Revue théologique de Louvain 23, no 2 (1992) : 196–201. http://dx.doi.org/10.3406/thlou.1992.2560.

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Tasseau, F. « Aspects éthiques et juridiques posés par les états paucirelationnels et l'état végétatif chronique ». Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 24, no 6 (juin 2005) : 683–87. http://dx.doi.org/10.1016/j.annfar.2005.03.013.

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Diatta, Ousmane, Paulo Salgado, Sékouna Diatta, Ousmane Ndiaye, Daouda Ngom, Denis Bastianelli, Mohamed Habibou Assouma, Alexandre Ickowicz et Simon Taugourdeau. « Dynamique à court terme de la masse sur pied et de la digestibilité de fourrages herbacés sous pâture ou mis en défens dans le Sahel sénégalais ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 76 (24 novembre 2023) : 1–7. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.37271.

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Résumé :
L’effet de la pâture sur l’évolution de la masse herbacée et sa digestibilité au cours de l’année a été étudié à Dahra, dans le Sahel sénégalais. Dans cette zone d’élevage la strate herbacée, base de l’alimentation du bétail, a une croissance brève pendant la saison des pluies. L’étude a été conduite pendant la saison des pluies et la saison sèche sur deux années consécutives, de juillet 2018 à juin 2020. Les mesures de phytomasse et de qualité fourragère (digestibilité in vitro de la matière organique, DMO) ont démarré dix jours après la première pluie et ont été répétées avec une fréquence de dix jours en saison des pluies et trente en saison sèche. La dynamique des herbacées annuelles se fait en trois étapes : une première de faible croissance, une deuxième de croissance rapide et une troisième de sénescence. La quantité maximale de masse sur pied sous pâture était de 1 992 ± 755 kg MS.ha-1 en 2018 et de 1 801 ± 601 kg MS.ha-1 en 2019 alors que, dans la mise en défens, elle était de 2022 ± 375 kg MS.ha-1 en 2018 et de 2357 ± 664 kg MS.ha-1 en 2019. La DMO a fortement décru au cours de la saison de végétation : de 70 % en début de saison des pluies, elle était en moyenne de 52 % en pleine saison des pluies et 30 % en saison sèche. La matière organique du fourrage a été plus digestible sous pâture que sous mise en défens. La pâture n’a pas systématiquement diminué la masse sur pied disponible de façon significative, mais en revanche elle en a amélioré la digestibilité.
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Paradis, Guilhan, et Carole Piazza. « Contribution à l’étude de la végétation des zones humides et étangs littoraux de la Corse : l’étang de Terrenzana et ses pourtours ». Le Journal de botanique 58, no 1 (2012) : 3–40. http://dx.doi.org/10.3406/jobot.2012.1150.

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LAYELMAM, Mohammed. « Production des cartes de probabilité de présence des criquets pèlerins sur le territoire marocain à partir des données de télédétection ». Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no 216 (19 avril 2018) : 49–59. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2018.324.

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Résumé :
Le criquet pèlerin, Schistocerca gregaria, est l'une des espèces acridiennes les plus redoutées en raison de l'ampleur des dégâts qu'il occasionne sur les cultures. Les pays touchés par cet insecte mobilisent des équipes de prospecteurs pour surveiller les habitats favorables à leur développement. Pour faciliter les interventions de ces prospecteurs et prédire la présence ou l'absence de criquets pèlerins, nous proposons pour le cas du Maroc une méthode basée sur l'historique des prospections et les variables explicatives calculées à la base des données de télédétection. Les données de télédétection utilisées sont issues du capteur MODIS et la technique CMORPH (NOAA CPC MORPHING Technique), ces données sont l'indice de végétation par différence normalisée (NDVI), la température de surface (LST) et la pluviométrie (P). Durant cette étude, nous avons testé deux modèles statistiques (Régression logistique et Forêts aléatoires) dans le but de trouver la meilleure approche à utiliser pour la production des cartes de prédiction. La comparaison des indicateurs extraits à partir de la matrice de confusion de chaque modèle nous a permis de conclure que la prévision par l'approche de forêts aléatoires semble meilleure que la régression logistique. Avec la modélisation statistique nous avons montré qu'il est possible de produire des cartes de prédiction de la présence/absence des criquets pèlerins en se basant sur les données de télédétection. Cette étude est une étape supplémentaire dans l'élaboration de cartes qui vont aider les prospecteurs à mieux orienter les missions de terrain et faciliter la localisation des zones favorables au développement des criquets pèlerins.
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Guillerme, Nicolas, et Justin Galtier. « La végétation d’un étang dans la plaine du Forez : le Petit Rouiart. Journée 2 (08-07-2003) : Étanges et milieux alluviaux des bords de Loire dans la plaine du Forez ». Le Journal de botanique 26, no 1 (2004) : 19–20. http://dx.doi.org/10.3406/jobot.2004.2057.

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Le Corre, Matthieu, et Pierre Jouventin. « Ecological significance and conservation priorities of Europa Island (western Indian Ocean), with special reference to seabirds ». Revue d'Écologie (La Terre et La Vie) 52, no 3 (1997) : 205–20. http://dx.doi.org/10.3406/revec.1997.6638.

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Résumé :
Située dans le sud du canal de Mozambique, l’île Europa est l’une des îles les moins connues de la région malgache. Nous avons réalisé six séjours dans l’île, de 1993 à 1996, afin d’évaluer l’état des écosystèmes terrestres, de recenser les populations nicheuses d’oiseaux de mer et d’identifier les facteurs susceptibles de réduire la biodiversité de l’île. Les résultats obtenus montrent que l’île Europa est une des îles les moins perturbées de l’océan Indien occidental. Les différentes tentatives d’occupation humaine ayant eu lieu depuis la fin du XIXe siècle sont probablement à l’origine de l’introduction de plusieurs espèces de plantes et d’animaux. De plus, la réalisation au début du XXe siècle d’une culture de sisal (Agave sisalina et Furcraea foetida) a provoqué la disparition d’une partie de la forêt sèche indigène (10 %). Cependant, la plus grande partie de l’île n’a pas subi de perturbations importantes depuis les premières installations humaines et la végétation actuelle est, dans ces endroits, probablement proche de son état originel. De ce fait, la faune des vertébrés est riche (7 espèces de reptiles et 13 espèces d’oiseaux dont 8 espèces d’oiseaux de mer). Les populations d’oiseaux de mer sont plus grandes que ce qui était estimé précédemment, en particulier celles des grands Pélécaniformes (Paille-en-queue à brins rouges Phaethon rubricauda, Fou à pieds rouges Sula sula, Frégate du Pacifique Fregata minor et Frégate ariel F. ariel ) et celle de la Sterne Fuligineuse (Sterna fuscata). Deux autres espèces, le Puffin d’Audubon (Puffinus Iherminieri) et le Paille-en-queue à brins blancs (Phaethon lepturus) ont un intérêt biogéographique remarquable. La principale menace identifiée est la prédation des œufs et poussins d’oiseaux de mer par le Rat noir (Rattus rattus), introduit. L’impact du Corbeau pie (Corvus albus), espèce anthropophile, et de la Chouette effraie (Tyto alba) comme prédateurs d’oiseaux de mer est discuté. Trois autres sources de risques potentiels de modification de l’habitat, en particulier de la forêt sèche, ont été identifiées : le surpâturage par les chèvres, les incendies naturels ou accidentels et l’invasion du milieu par le sisal. Nous proposons un programme de conservation pour éviter la perte de biodiversité. La première étape, actuellement en cours, consiste à quantifier les menaces. La seconde étape sera de restaurer l’île dans son ensemble, par le contrôle ou l’éradication des espèces animales ou végétales introduites pouvant mettre en danger les écosystèmes terrestres indigènes.
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Uasuf, Augusto, Mulualem Tigabu, Per Christer Oden, Dossahoua Traoré, Jean Lejoly et Jan Bogaert. « Rôle des banques de semences du sol dans la régénération des forêts sèches de feuillus et des forêts-galeries en zone néotropicale du Nicaragua ». BOIS & ; FORETS DES TROPIQUES 299, no 299 (1 mars 2009) : 49. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.299.a20422.

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Résumé :
Le déclin des forêts sèches tropicales et la nécessité de les restaurer sont aujourd'hui des réalités largement reconnues. Pour la restauration de forêts dégradées, la première étape consiste toujours à quantifier les niveaux réels et potentiels de régénération naturelle, en analysant le rôle des banques de semences du sol dans la dissémination de propagules. Pour cette étude, nous avons évalué la composition, la densité et la distribution spatiale de la banque de semences du sol et des populations de jeunes plants dans les forêts sèches de feuillus et les forêts-galeries du refuge de Chacocente au Nicaragua. Au total, 17 espèces ont été repérées dans la banque de semences du sol dans la forêt de feuillus, avec une densité de semences viables de 466 semen ces/m2. Dans la forêt-galerie, 24 espèces ont été repérées dans la banque de semences du sol, avec une densité viable de 1 257 semences/m2. Une analyse spatiale de la banque de semences a révélé des répartitions par paquets ou uniformes dans les deux types de forêts, suivant les essences. La densité globale des jeunes plants dans les forêts à feuillus et les forêts-galeries s'établissent respectivement à 6 250 et 6 600 individus/ ha. En termes de distribution spatiale, les peuplements de jeunes plants sont répartis par paquets ou uniformément, suivant les essences. La similitude entre banque de semences du sol, couche de jeunes plants et végétation aérienne est faible sur les deux sites. Cela permet de conclure que le nombre d'espèces dans les banques de semences du sol et la quantité de semences stockées dans le sol sont relativement faibles. La régénération est abondante pour certaines essences mais faible pour d'autres. Il convient donc d'assister le processus de régénération naturelle par ensemencement direct, établissement de jeunes plants et aménagement des sites afin d'améliorer les conditions de prise et de croissance des jeunes plants. (Résumé d'auteur)
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Yancy, Briana M., Janine M. Antalffy, Michael G. Rowley, Cierra N. McKoy, Daniel C. Stonko, Lehron E. Rolle, Jennifer L. Christhilf, Scott B. Johnson, Shelley Cant-Woodside et Kevin E. Omland. « Nest site characteristics of the Critically Endangered Bahama Oriole (<em>Icterus northropi</em>) ». Journal of Caribbean Ornithology 33 (15 décembre 2020) : 95–103. http://dx.doi.org/10.55431/jco.2020.33.95-103.

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Résumé :
Abstract The Bahama Oriole (Icterus northropi) is a Critically Endangered species restricted to Andros in The Bahamas. Previous research suggested that the Bahama Oriole nested almost exclusively in coconut palms (Cocos nucifera) in developed habitats. In 2016, however, the Bahama Oriole was documented nesting in remote pine forests for the first time. Our goals were to document where orioles nest in pine forests and to characterize nest site vegetation to determine if orioles show a preference for specific habitat characteristics. Here, we document 12 pine forest nests: six nests in understory Key thatch palms (Leucothrinax morrisii) and six nests in Caribbean pines (Pinus caribaea). For each nest tree, we measured the tree height, tree diameter, and nest height. We also took measurements of habitat characteristics in 10-m and 100-m radius plots around the nest and compared these measurements to control plots. Orioles nested in a range of pine forest habitats. However, on average, Bahama Orioles nested in pine forests with more tall thatch palms (> 2 m tall) in the understory compared to control plots. They also tended to nest in the tallest thatch palms in the understory. The findings from this study further support the importance of protecting Bahamian pine forests on Andros. Keywords Bahama Oriole, endangered species, Icterus northropi, nesting habitat, The Bahamas Resumen Características del sitio de nidificación de Icterus northropi, especie En Peligro Crítico • Icterus northropi es una especie En Peligro Crítico restringida a Andros en las Bahamas. Investigaciones previas sugirieron que dicha especie nidificaba, casi de manera exclusiva, en cocoteros (Cocos nucifera) en entornos urbanizados. Sin embargo, en 2016 se documentó por primera vez que esta especie nidifica en pinares remotos. Nuestros objetivos fueron detectar los sitios de nidificación de estas aves en los pinares y caracterizar la vegetación circundante para determinar si esta especie muestra una preferencia por características específicas del hábitat. Documentamos 12 nidos en pinares: seis en el sotobosque de palmeras (Leucothrinax morrisii) y seis en en pinos (Pinus caribaea). Para cada árbol con nido medimos la altura del árbol, su diámetro y la altura del nido. También tomamos medidas de las características del hábitat en parcelas de 10 y 100 m de radio alrededor del nido y comparamos estas mediciones con parcelas de control. Las aves observadas nidificaron en una variedad de hábitats en los pinares. Sin embargo, en promedio, los individuos de esta especie anidaron en pinares con un sotobosque de palmeras más altas (más de 2 m de altura) comparadas con las de las parcelas de control. También tendieron a nidificar en las palmeras más altas del sotobosque. Los resultados de este estudio reafirman la importancia de proteger los pinares de las Bahamas en Andros. Palabras clave Bahamas, especie amenazada, hábitat de nidificación, Icterus northropi Résumé Caractéristiques des sites de nidification de l’Oriole des Bahamas (Icterus northropi), une espèce en danger critique d’extinction • L’Oriole des Bahamas (Icterus northropi) est une espèce en danger critique d’extinction, présente uniquement sur Andros aux Bahamas. Des recherches antérieures indiquaient qu’il nichait presque exclusivement dans les cocotiers (Cocos nucifera) des habitats anthropisés. En 2016, la nidification de l’espèce a cependant été observée pour la première fois dans des forêts de pins reculées. Notre objectif était de recueillir des informations sur les sites de nidification de l’Oriole des Bahamas dans ces pinèdes et d’en caractériser la végétation pour déterminer si cet oiseau montre une préférence pour certaines caractéristiques de l’habitat. Nous documentons ici 12 nids dans des forêts de pins: six dans le sous-étage de palmiers (Leucothrinax morrisii) et six dans les pins des Caraïbes (Pinus caribaea). Pour chaque arbre abritant un nid, nous avons mesuré la hauteur et le diamètre de l’arbre ainsi que la hauteur du nid. Nous avons également mesuré des caractéristiques de l’habitat dans des rayons de 10 m et de 100 m autour du nid et nous avons comparé ces mesures à celles des parcelles témoins. Les orioles nichaient dans divers habitats de pinèdes. Cependant, ils nichaient en moyenne dans des pinèdes présentant un sous-étage de palmiers plus élevé que dans les parcelles témoins (> 2 m de haut). Ils avaient aussi tendance à nicher dans les plus hauts palmiers du sous-étage. Les résultats de cette étude confirment encore l’importance de protéger les forêts de pins d’Andros aux Bahamas. Mots clés Bahamas, espèce en danger, habitat de nidification, Icterus northropi, Oriole des Bahamas
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Carpentier, A., D. Galanaud, L. Puybasset, J. C. Muller, T. Lescot, A. L. Boch, P. Cornu, P. Coriat, D. Dormont et R. van Effenterre. « L’IRM spectroscopique réalisée à la phase aiguë chez les patients traumatisés crâniens graves détecte des lésions invisibles du tronc et améliore la prédiction des états végétatifs ». Neurochirurgie 51, no 5 (novembre 2005) : 517. http://dx.doi.org/10.1016/s0028-3770(05)83522-2.

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Roux, Camille, et Frédéric Bioret. « Prodrome des végétations de France 2 ». BIOM 5, no 1 (30 avril 2024). http://dx.doi.org/10.52497/biom.v5i1.347.

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Résumé :
Le Prodrome des végétations de France (PVF) est un projet initié par Jean-Marie Géhu dès 1994 et qui s’inscrit dans la continuité des premiers travaux de synthèse phytosociologique à l’échelle européenne, nommés « prodromes » par Josias Braun-Blanquet et Rheinhold Tüxen. En 2006, la Société Française de Phytosociologie (SFP) décide de lancer le projet d’une deuxième version, le PVF2, consistant en la déclinaison des classes des végétations françaises jusqu’au niveau de l’association végétale et de ses éventuelles subdivisions. Le PVF est une œuvre collective, consensuelle et soumise à un processus d’évaluation par les pairs au sein de la SFP, préalablement à la soumission de l’article dans une revue. Ce projet est dès le départ conduit sous l’égide du ministère de l’écologie, en collaboration étroite avec le Muséum national d’Histoire naturelle, les conservatoires botaniques nationaux et l’office national des forêts. Actuellement le PVF2 compte 43 classes déjà publiées, de 2009 à 2020, cette première étape correspondant à un peu plus de 50 % du travail. La publication de ce Tome 1 du Prodrome des végétations de France 2 permet au lecteur d’avoir accès, dans un ouvrage unique, aux résultats des 46 publications réalisées depuis 2009. Cet ouvrage fournit une information globale et synthétique, en renvoyant la description détaillée des associations végétales aux articles publiés. Une clé écologique générale permet de situer l’ensemble des classes du Prodrome. Dans le cas des classes qui n’ont pas fait encore l’objet d’une déclinaison jusqu’au niveau de l’association végétale, la mention « (PVF1) » figure à côté du nom de la classe. Dans l’édition numérique, un lien renvoie au synsystème correspondant dans le PVF1. Dans le cas des 43 classes déclinées jusqu’à l’association est donnée en tête de chapitre la référence bibliographique du ou des article(s) du PVF2 concerné(s), l’édition numérique permettant d’accéder à ces articles initiaux. La liste complète des associations présentes en France, assorties de leur numéro de fiche, qui renvoie à la présentation détaillée de l’association dans l’article initial, est donnée. Cet ouvrage fournit également un index synonymique des syntaxons d’unités supérieurs, ainsi qu’un index des syntaxons valides, ou tout au moins retenus comme tels dans les différents articles du PVF2. La bibliographie en fin d’ouvrage rassemble les références bibliographiques des classes du PVF2. Le PVF2 représente un outil de référence précieux pour la compréhension des végétations à l’échelle biogéographique du territoire national mais aussi à l’échelle plus locale. D’une manière générale, le synsystème proposé s’inscrit dans les perspectives d’évolution de la classification phytosociologique, vers un système plus cohérent sur le plan structural et dynamique. Il constitue une base typologique pour la cartographie et joue pleinement son rôle dans une politique de gestion et de conservation des espaces naturels, en particulier dans le cas de la directive de l’union européenne « Habitats, Faune, Flore » du 21 mai 1992.
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Loos, Maxime, et Gilles Thébaud. « Contribution à l’étude des formations orophiles à hautes herbes (Mulgedio alpini-Aconitetea variegati, habitats 6430 et Festucetalia spadiceae Barbero 1970) du Massif central français : analyse des données phytosociologiques et classification régionale ». BIOM - Revue scientifique pour la biodiversité du Massif central 5, no 2 (11 juin 2024). http://dx.doi.org/10.52497/biom.v5i2.342.

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Résumé :
À partir de données bibliographiques et de prospections récentes dans des secteurs méconnus, les auteurs font une analyse globale de 638 relevés de groupements à hautes herbes orophiles du Massif central français, puis des analyses partielles qui se concentrent sur 572 relevés de communautés situées de l’étage montagnard moyen jusqu’à l’étage subalpin. Ces groupements comprennent les mégaphorbaies stricto sensu ainsi que les hautes formations graminéennes à Calamagrostis et/ou Patzkea paniculata. Les résultats de cette révision conduisent à la caractérisation de 17 associations végétales dont cinq nouvelles, un groupement et 33 sous-associations et deux variantes. 5 associations précédemment décrites ont été réfutées et déclassées. Ces végétations se répartissent entre deux classes phytosociologiques, les Mulgedio-Aconitetea et les Juncetea trifidi, sept alliances, dont une inédite dans le Massif central, ainsi que quatre sous-alliances nouvelles. Une classification régionale est proposée en accord dans ses grandes lignes avec celle de l’EuroVegChecklist. L’étude approfondie des variables écologiques basée sur des analyses statistiques type ANOVA, DCA et CCA a permis la caractérisation des variables écologiques discriminantes dans la répartition des communautés, ainsi que la description de leurs conditions stationnelles. On assiste à une diminution progressive puis à une disparition des communautés du Calamagrostion dans le sud du Massif central et les Cévennes, en rapport avec un déficit de précipitations estivales sous l’influence croissante du climat méditerranéen. L’abondance et la diversité des communautés étudiées dans les grands massifs volcaniques de l’ouest (Cantal, monts Dore) s’expliquent par un étage subalpin bien développé, ainsi que par un climat océanique favorisant l’existence des mégaphorbaies. Sur un plan dynamique, ces formations sont pour l’essentiel stables et représentent des permaséries, même si certaines peuvent exister au sein de communautés forestières. Ce travail pourra être valorisé dans le cadre des politiques de gestion conservatoires pour l’habitats d’intérêt européen.
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