Articles de revues sur le sujet « Estimation des rendements agricoles »

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1

Dembele, Mamadou, Sory Sissoko, Sina Coulibaly, Malamine Coulibaly et Ibrahima Samake. « Influence des pratiques Agricoles dans l’Amélioration de la Production de Banane dans le Sud du Mali ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, no 4 (19 septembre 2023) : 1472–85. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i4.15.

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Résumé :
La banane (Musa sp) est produite et consommée au Mali. Son rôle dans l’alimentation des populations fait d’elle un élément important de la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté. Cependant, les producteurs sont confrontés à une chute de production de leur exploitation. Cette étude avait pour but d’évaluer l’influence des pratiques culturales dans l’amélioration de la production de cette culture. Les données collectées auprès de 800 producteurs dont 400 producteurs à Banco (Dioïla) et 400 à Koloningué (Koutiala) ont été classées via la méthode de la classification ascendante en trois groupes selon la taille des exploitations. L’analyse de régression a été appliquée pour estimer l’influence des facteurs culturaux. Les résultats ont montré que les pratiques culturales appliquées par les producteurs de banane dans lesdits sites de production influencent significativement les rendements. Les coefficients de régression des facteurs culturaux ont été convertis en exponentiel (ex) pour l’estimation des rendements des pratiques culturales. Les résultats montrent que les pratiques agricoles ont amélioré le rendement de 1,04 T/ha à 3,03 T/ha sur les sites de production. Cependant, la non application des pratiques culturales constituent un manque à gagner estimable à 1,33T/ha. English title: Influence of agricultural practices on banana production in Southern Mali Bananas (Musa sp) are produced and consumed in Mali. Its role in feeding the population makes it an important element in food security and poverty reduction. However, banana growers are facing a drop in production on their farms. The objective of this study was to assess the influence of cultivation practices in improving the production of this crop. Data collected from 800 growers, including 400 in Banco (Dioïla) and 400 in Koloningué (Koutiala), were classified using the bottom-up classification method into three groups according to farm size. Regression analysis was applied to estimate the influence of cropping factors. The results showed that the cultivation practices applied by banana growers in the said production sites had a significant influence on yields. The regression coefficients of the cultivation factors were converted into exponentials (ex) for estimating the yields of the cultivation practices. The results show that farming practices improved yields from 1.04 T/ha to 3.03 T/ha on the production sites. However, the non-application of farming practices resulted in an estimated loss of 1.33 T/ha.
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Fleshman, Michael. « Augmenter les rendements agricoles de l’Afrique ». Afrique Renouveau 20, no 2 (31 juillet 2006) : 10–12. http://dx.doi.org/10.18356/34e17d33-fr.

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Bairoch, Paul. « Les Trois Révolutions Agricoles du Monde Développé : Rendements et Productivité de 1800 a 1985 ». Annales. Histoire, Sciences Sociales 44, no 2 (avril 1989) : 317–53. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1989.283596.

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Résumé :
Les multiples débats sur la révolution agricole ont été parfois obscurcis par des confusions sur la signification des deux composantes les plus importantes des changements de l'agriculture, à savoir les rendements et la productivité. En fait, on peut retrouver l'origine de cette confusion dans certains écrits des fondateurs de l'économie politique et, notamment, dans la célèbre loi des « rendements décroissants » de David Ricardo. La confusion n'en incombe pas à Ricardo, mais à l'emploi de l'expression « diminishing returns », qui a été traduit par « rendements décroissants » (parfois aussi par « rendements non proportionnels »), mais qui signifie en fait « productivité décroissante » ; puisque le principe de la loi des rendements décroissants est que « si l'on accroît la production en intensifiant la culture sur les terres déjà occupées, tout accroissement de la production exigera un accroissement plus que proportionnel du travail employé ».
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Griffon, Michel. « Les multiples dimensions du problème alimentaire mondial ». Études Tome 413, no 12 (28 novembre 2010) : 595–606. http://dx.doi.org/10.3917/etu.4136.0595.

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Résumé :
Résumé La question des ressources alimentaires disponibles pour les plus pauvres semblait avoir trouvé une réponse grâce à la hausse sans précédent des rendements agricoles. Mais les émeutes de la faim de 2009 et le rachat de terres par certains pays témoignent que des régions du monde ont peur pour leur approvisionnement à long terme.
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Duby, Georges. « Techniques et rendements agricoles dans les Alpes du sud en 1338 ». Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale 1, no 1 (1989) : 260–70. http://dx.doi.org/10.3406/anami.1989.2903.

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Temple, Ludovic, et Hubert de Bon. « L’agriculture biologique : controverses et enjeux globaux de développement en Afrique ». Cahiers Agricultures 29 (2020) : 3. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020002.

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Résumé :
L’agriculture biologique offre plusieurs options pour documenter les transitions technologiques vers de nouveaux modèles de production, même si elle présente des aspects controversés : faiblesse des rendements, accessibilité aux normes, valeurs des écobilans ou accroissement du travail. En mobilisant différentes situations en Afrique subsaharienne, ce numéro thématique des Cahiers Agricultures contribue à illustrer ces controverses. Les articles constitutifs montrent comment l’agriculture biologique définie par les normes des pays industriels ne peut rendre compte de la diversité des réalités agricoles africaines. Il s’ensuit l’émergence de nouvelles certifications et demandes des sociétés locales. Cette émergence reste contrainte par l’insuffisance des bases de connaissances comparatives des réalités productives entre l’agriculture biologique et conventionnelle. Des innovations méthodologiques pour réduire les asymétries de connaissances sur la comparaison des performances sont alors proposées. Les résultats interrogent la nécessité de nouveaux indicateurs intégrant les questions de sécurité nutritionnelle et sanitaire. Ils montrent que l’agriculture biologique peut aussi être un levier de l’accroissement des rendements quand la rente forestière a été consommée par l’agriculture d’exportation. Tout en éclairant les controverses, ce numéro thématique pose l’hypothèse, que sous certaines conditions, l’agriculture biologique est une opportunité de rupture de paradigme technologique qui répond aux enjeux de développement en Afrique. Il invite à ne pas confondre cette rupture avec les mécanismes de transition incrémentaux portés par l’agroécologie.
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Kate, S., O. Teka, R. B. Chabi, R. Djikpo, E. Ogouwalé, B. A. H. Tenté et B. Sinsin. « Simulation du climat futur et des rendements agricoles en region Soudano-Sahelienne en Republique du Benin ». African Crop Science Journal 25, no 4 (27 novembre 2017) : 405. http://dx.doi.org/10.4314/acsj.v25i4.2.

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Sila, Anne, Françoise Gérard, William’s Daré, Alpha Ba, Elhadj Faye, Amandine Adamczewski et François Bousquet. « Analyse de la construction de la vulnérabilité des ménages du système irrigué de Guédé au nord du Sénégal ». Cahiers Agricultures 31 (2022) : 6. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2022002.

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Résumé :
Malgré l’amélioration qu’ils apportent à la production agricole, les périmètres irrigués génèrent des risques sociaux, économiques et écologiques importants, qui questionnent leurs impacts effectifs sur la vulnérabilité sociale, économique, environnementale et alimentaire des populations bénéficiaires. La réflexion sur la construction de la vulnérabilité mobilisée dans le cadre de cet article cherche à analyser, dans une perspective socio-historico-économique, comment les processus, les changements et les perturbations dans le temps et dans l’espace peuvent expliquer les mécanismes à la source des vulnérabilités actuelles des ménages installés autour du système irrigué de la cuvette de Guédé au Sénégal. Les résultats mettent en évidence une vulnérabilité différentielle des types de ménages à plusieurs facteurs de stress. Cette vulnérabilité est fonction de la faiblesse des surfaces cultivées et des rendements, des coûts de production élevés ou des difficultés d’accès à des activités extra-agricoles, mais aussi de la période et du lieu d’installation des ménages, qui définissent partiellement leur dotation en ressources, et ainsi leur capacité à faire face à des conditions changeantes. Pour fournir une réflexion pluridisciplinaire, systémique et nuancée sur la vulnérabilité des ménages agricoles du système irrigué de Guédé, il est important de comprendre les mécanismes qui fondent la construction et l’évolution de la vulnérabilité et de voir comment leurs interactions dynamiques peuvent réduire ou renforcer les vulnérabilités existantes ou créer de nouvelles vulnérabilités.
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Hiernaux, Pierre, Kalilou Adamou, Alberto Zezza, Augustine A. Ayantunde et Giovanni Federighi. « Lait de vache trait dans les petites exploitations familiales du Sahel semi-aride : des rendements faibles mais de grande valeur ! » Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 69, no 4 (27 juin 2017) : 143. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31199.

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Résumé :
Les volumes de lait de vache traits ont été mesurés tous les quinze jours sur une année chez 300 petits exploitants agro­pastoraux de la zone semi-aride du Sahel, dans la commune de Dantiandou au Niger. Les effectifs de vaches − adultes, en lactation et effectivement traites le matin et/ou le soir − ont été systématiquement enregistrés, ainsi que des informations sur la gestion de la pâture, la supplémentation alimentaire des vaches, et la consommation, la transformation du lait et la vente des produits laitiers. En outre, les carrières de reproduc­tion des 334 vaches ont été documentées par enquête rétros­pective. Le volume moyen par jour d’une traite a été de 0,82 ± 0,45 L. Il n’a pas été significativement différent entre la traite du matin et celle du soir, ni entre les saisons, ni entre les éle­vages. Cependant, les volumes totaux de lait trait par élevage, dont la moyenne annuelle a été de 507 ± 362 L, ont fortement varié en fonction des saisons et des élevages. En moyenne, ils ont été plus élevés dans les élevages des campements peuls récemment sédentarisés (624 ± 377 L) que dans ceux des éle­vages villageois djerma (352 ± 275 L). Cet écart était princi­palement dû à un effectif de vaches plus important dans les campements (7,1 ± 5,3 vs 4,3 ± 4,0), bien que la proportion de vaches en lactation y ait été plus faible (57 %) que dans les troupeaux villageois (73 %). Les résultats ont montré qu’une meilleure gestion par les agroéleveurs des campements avec des traites moins fréquentes, un recours plus fréquent à la pâture de nuit, à la transhumance et à une supplémentation alimentaire régulière ont contribué à améliorer l’état d’en­graissement des vaches et leurs performances reproductives. Malgré ces rendements laitiers modestes, la valeur monétaire du lait trait a représenté 16 % des revenus agricoles et non-agricoles des ménages des campements, et 7 % de ceux des villages. Les produits laitiers étaient largement consacrés à la consommation familiale : 78 % dans les campements et 84 % dans les villages.
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Muller, Christophe. « Estimation des consommations de producteurs agricoles d'Afrique centrale ». Économie & ; prévision 105, no 4 (1992) : 17–34. http://dx.doi.org/10.3406/ecop.1992.5299.

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DRONNE, Yves. « Les matières premières agricoles pour l’alimentation humaine et animale : l'UE et la France ». INRA Productions Animales 31, no 3 (18 janvier 2019) : 181–200. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.3.2347.

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Résumé :
L’UE qui produit environ 80 millions de tonnes de protéines végétales (dont la moitié de fourrages) en importe près de 15 millions sous forme de produits en l’état (céréales, graines oléagineuses) ou coproduits des industries agricoles et alimentaires (en particulier tourteaux) non consommables par l’Homme. Environ 87 % de la consommation intérieure de ces protéines est destinée à l’alimentation animale et permet la production de 11 millions de tonnes de protéines animales sous forme de lait, de viandes et d’œufs. L’industrie des aliments composés particulièrement développée apporte 67 % des protéines hors fourrages et fait apparaître une forte diversification dans ses matières premières consommées. Le soja, dont les importations européennes ont sensiblement baissé au cours des 10 dernières années, ne représente plus que 18 % des protéines végétales utilisées par les animaux. La part de l’UE dans les importations mondiales est passée de 60 % au début des années 1970 à moins de 19 % actuellement. La France consomme 12 millions de tonnes de protéines végétales en alimentation animale (dont la moitié de fourrages) et présente de nombreuses similitudes avec l’UE, mais une différence essentielle, celle d’être globalement exportatrice nette de 1,5 million de tonnes de protéines, largement sous forme de céréales. Alors que l’UE est importatrice nette de « surface agricole », la France peut in fine exporter à la fois des protéines animales et des protéines végétales grâce à l’importance de sa surface agricole et à la diversité de ses agricultures (spécialisation animale du Grand Ouest et végétale de certaines autres régions qui permettent d’atteindre des rendements élevés).
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Dugué, Patrick, et Aimé Landry Dongmo Ngoutsop. « Traction animale et association agriculture élevage dans les savanes d’Afrique de l’Ouest et du Centre. D’un modèle techniciste à une démarche d’intégration raisonnée à différentes échelles ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no 3-4 (1 mars 2004) : 157. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9886.

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Résumé :
En Afrique subsaharienne, les agronomes ont longtemps considéré que l’amélioration des performances des exploitations agricoles reposait sur l’intégration de l’élevage à l’agriculture. Ce modèle de production s’appuyait sur la traction animale, les cultures fourragères et l’élevage bovin viande et lait, base de la production de fumure organique. Mais, ce modèle n’a pas été adopté comme prévu. Dans le bassin arachidier au Sénégal, dans un contexte de fort aléa climatique, la priorité des paysans est de travailler rapidement pour implanter et entretenir les cultures, ce qui explique leur préférence pour la traction équine. Au Nord-Cameroun la stratégie d’accroissement des surfaces cultivées s’appuyant sur la traction bovine a été préférée à celle d’augmentation des rendements ; la fumure animale a longtemps été délaissée. Cette stratégie reste encore possible dans les zones peu ou moyennement peuplées. Dans les zones les plus peuplées, les évolutions des systèmes de production sont comparables à celles observées dans le bassin arachidier : développement de la traction asine et de l’embouche bovine, difficulté à associer élevage bovin extensif et agriculture. A l’échelle de vastes régions, il sera toujours nécessaire de valoriser par l’élevage des espaces difficiles à cultiver. L’accès à ces espaces pour des troupeaux transhumants doit être préservé. Il est aussi envisageable de développer des complémentarités entre des systèmes d’élevage périurbains et des zones agricoles proches qui développeraient des filières d’approvisionnement en fourrages et en aliments du bétail. Au niveau des terroirs villageois et des exploitations agricoles, l’intensification de l’élevage est indispensable mais nécessite de revoir les conduites des troupeaux et surtout d’accroître la production et les règles de gestion de la biomasse végétale. Pour cela la traction animale devrait être plus mobilisée pour assurer les transports (fumier, fourrage, etc.), accroître les revenus (vache de trait, embouche des animaux de trait en fin de carrière) et contribuer à développer des systèmes de culture plus productifs et accordant plus de place à la production fourragère.
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García, Jhon Jario. « Los estudios de acontecimiento y la importancia de la metodología de estimación ». Lecturas de Economía, no 70 (11 septembre 2009) : 223–35. http://dx.doi.org/10.17533/udea.le.n70a2262.

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Résumé :
Esta nota realiza una revisión bibliográfica a partir de la literatura existente sobre los estudios de acontecimiento (event study). Su foco principal es la importancia de la metodología utilizada para la estimación de los retornos anormales en el largo plazo, ya que en este periodo los estudios de acontecimientos son sensibles al proceso de generación de los retornos Savickas, 2003 y Aktas et al., 2007). Se encuentra que, en el largo plazo se debe controlar el impacto de acontecimientos sin relación, con la estimación de la ventana para los retornos normales, donde la mejor alternativa para la estimación, en términos de su robustez, es el modelo de mercado en dos estados. Palabras Claves: Estudios de acontecimiento, retornos anormales. Clasificación JEL: G14, G34, G38. Abstract: This paper aims to review the literature on event studies. It highlights the importance of the methodology used for estimating long-run abnormal returns, as event studies are sensitive to the returns generating process in this time horizon (Savickas, 2003, and Aktas et al., 2007). We find that the impact of events has to be controlled for in the long run without regard to the estimation of the window for abnormal returns, in which the best estimation ethodology, in terms of robustness, turns out to be the two-state market model. Keywords: event studies, abnormal returns. Clasificación JEL: G14, G34, G38. Résumé: Cette note présente une révision bibliographique de la littérature existante concernant les études d'événement (event study). L'intérêt de cette littérature repose sur la méthodologie utilisée pour l'estimation des rendements anormaux de long terme, puisque dans cette période les études d'événements sont très sensibles au processus de génération des rendements (Savickas, 2003 et Aktas et al, 2007). On montre que, dans le long terme on doit contrôler l'impact d'événements sans relation avec l'estimation de la fenêtre pour les rendements anormaux, où la meilleure alternative pour l'estimation, en termes de robustesse, est le modèle de marché en deux états. Mots clé: Études événement, rendements anormaux. Classification JEL : G14, G34, G38
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COLSON, F., et V. CHATELLIER. « La nouvelle réforme de la PAC (Agenda 2000) : baisse modérée des revenus et accroissement des aides directes pour les producteurs français de viande bovine ». INRAE Productions Animales 12, no 3 (1 juin 1999) : 171–82. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.3.3877.

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Résumé :
Les chefs des Etats et des gouvernements ont adopté, lors du conseil européen qui se tenait à Berlin le 25 mars 1999, les bases d’une future réforme de la politique agricole commune (Agenda 2000). Cet article présente les résultats d’une simulation des conséquences de cet accord pour les exploitations agricoles françaises réparties selon cinq types de production, puis, de façon plus précise, pour les seules exploitations bovins-viande. Ces simulations, qui sont réalisées à structure constante et à horizon 2004 (hors réforme de l’OCM lait) sur la base des informations du RICA, conduisent à une baisse mécanique de revenu plus forte pour les exploitations céréalières (-18%) que pour les exploitations bovins-viande (-7%) et laitières (-3%). La prise en considération d’une hypothèse de gains de productivité technique (hausse des rendements et réduction du montant des consommations intermédiaires) permet cependant de modérer ces variations simulées de revenus. Cette réforme renforce une nouvelle fois le rôle des paiements directs dans la formation du revenu des agriculteurs, notamment celui des producteurs de viande bovine, et pose avec plus d’acuité la question de leur légitimité.
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Oral, Taller de Tradición, et Pierre Beaucage. « La bonne montagne et l'eau malfaisante. Toponymie et pratiques environnementales chez les Nahuas de basse montagne (Sierra Norte de Puebla, Mexique) ». Anthropologie et Sociétés 20, no 3 (10 septembre 2003) : 33–54. http://dx.doi.org/10.7202/015433ar.

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Résumé :
Résumé La bonne montagne et l'eau malfaisante. Toponymie et pratiques environnementales chez les Nahuas de basse montagne (Sierra Norte de Puebla, Mexique) Cet article explore les rapports entre les pratiques environnementales des Nahuas (qui habitent la basse montagne tropicale de la Sierra Madré Oriental, au Mexique) et leur définition du territoire par des toponymes. Nous voulons faire le pont entre les deux approches par lesquelles l'ethnologie a abordé jusqu'à présent l'étude des rapports entre les humains et leur environnement : celle qui privilégie les représentations (cosmologie et systèmes de classifications) et celle qui s'en tient aux rendements matériels comparés des activités agricoles, d'élevage ou de ramassage. Notre hypothèse n'a été qu'en partie vérifiée : plusieurs catégories de lieux, composantes des toponymes nahuas, ont certes une signification agricole (métaphore du « corps-montagne »). Cependant, un autre ensemble de catégories (le « corps-rivière ») nous renvoie à l'univers magique, tandis que les nombreuses références à la faune et à la flore ne semblent avoir qu'une fonction cognitive, celle de la différenciation de l'univers des lieux. Mots clés : Taller de tradition oral, Beaucage, Nahua, Mexique, environnement, territoire, toponymes
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ROUSSET, Hugo. « Préserver les écosystèmes aquatiques pour faire face à la sécheresse ». Sciences Eaux & ; Territoires, no 43 (15 mars 2023) : 1–5. http://dx.doi.org/10.20870/revue-set.2023.43.7407.

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L’année 2022 est marquée par une sécheresse historique, « la plus grave jamais enregistrée » selon les termes de la Première Ministre Élisabeth Borne. Parmi les dommages de cette sécheresse majeure, on observe des ruptures d’alimentation en eau potable sur la totalité du territoire métropolitain, des rendements agricoles, industriels et commerciaux largement réduits, une production hydroélectrique limitée au maximum et des tensions sur les usages touristiques. Hors usages anthropiques, se posent la question des dégâts d’une telle sécheresse sur les milieux aquatiques et celle de leur résilience. Bien que considérée comme un « usage » prioritaire de l’eau, la préservation des écosystèmes entre en confrontation directe avec les usages anthropiques et cet article a pour objectif d’interroger cette confrontation. Malgré un cadre de gestion de la crise sécheresse réformé en 2021-2022 et prenant en compte les écosystèmes sur le papier, ceux-ci se voient parfois dévoyés face à une sécheresse inédite. Leur résilience en est ainsi détériorée et se pose la question des impacts de cette détérioration sur la résilience de l’espèce humaine.
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HOUNDJI, Pamphile, Eusêbe C. M. CAPO, Issihako ZIME LAFIA et Rock ADOUKO. « Croissance Urbaine Et Terres Agricoles Dans La Ville De Pobe ». International Journal of Progressive Sciences and Technologies 25, no 1 (26 février 2021) : 286. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v25.1.2825.

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Résumé :
La ville de Pobè connait une évolution démographique et spatiale qui entraine la réduction des espaces agricoles. Ce travail de recherche dont les résultats sont inscrits dans le présent mémoire met en exergue les effets de la croissance sur les terres agricoles dans la ville de Pobè.L’approche méthodologique utilisée est basée sur la collecte des données, leur traitement et l’analyse des résultats. La recherche documentaire et les enquêtes de terrain sont les méthodes de collecte de données. L’analyse des résultats a été faite par le modèle PEIR. Au total, 226 personnes ont été enquêtées.Il ressort de l’analyse des résultats que la population de la ville de Pobè a augmenté au cours de ces dernières années. En effet, les données démographiques du recensement de 1979, 1992, de 2002 et de 2013 ont révélé que la ville compte respectivement 16633 habitants (INSAE 1) 23427 habitants (INSAE 2), 33249 habitants (INSAE 3) et 49232 habitants (INSAE 4). En outre, les superficies des agglomérations ont passé de 591,51 ha en 2008 à 694,76 ha en 2018 alors la Mosaïque de Culture et Jachère sous Palmiers ont passé de 176,82 ha à 71,15 ha. Cette évolution accompagnée de l’urbanisation engendre la réduction des espaces agricoles. Cette situation entraine la diminution de la production, des superficies et des rendements agricoles.Mots clés : Pobè, croissance urbaine, réduction, terres agricoles .AbstractThe city of Pobè is experiencing demographic and spatial changes which lead to the reduction of agricultural areas. This research work, the results of which are included in this thesis, highlights the effects of growth on agricultural land in the city of Pobè.The methodological approach used is based on data collection, processing and analysis of the results. Documentary research and field surveys are the methods of data collection.The analysis of the results was done by the PEIR model. A total of 226 people were surveyed.The analysis of the results shows that the population of the town of Pobè increased during the latter year. Indeed, the demographic data of the 1979, 1992, 2002 and 2013 censuses revealed that the city has 16,633 inhabitants (INSAE 1) 23,427 inhabitants (INSAE 2), 33,249 inhabitants (INSAE 3) and 49,232 inhabitants (INSAE 4), respectively. ). In addition, the areas of the agglomerations increased from 591.51 ha in 2008 to 694.76 ha in 2018 while the Mosaic of Culture and Fallow under Palm Trees increased from 176.82 ha to 71.15 ha. This evolution accompanied by urbanization leads to the reduction of agricultural areas. This situation leads to a reduction in production, areas and agricultural yields.Keywords: Pobè, urban growth, reduction, agricultural land
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Rochard, Joël. « Le secteur viticole face au défi alimentaire mondial : intérêt de la protection des vignobles de forte pente, peu valorisables pour les cultures vivrières ». BIO Web of Conferences 56 (2023) : 04001. http://dx.doi.org/10.1051/bioconf/20235604001.

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Résumé :
Les vignobles de forte pente sont le plus souvent issus d'un savoir-faire ancestral, reconnu au titre du patrimoine mondial Unesco pour le savoir-faire de construction en pierres sèches, sont parfois menacés en raison notamment de surcoûts de production des raisins, du manque de main-d’œuvre et du renforcement des aspects réglementaires. Ce type de viticulture comporte une forte valeur qualitative et de nombreuses externalités notamment patrimoniales et écologiques. L'abandon de ces vignobles contribue à une perte de biodiversité locale, à un abandon de ces territoires ruraux, à une augmentation des risques d'incendie et parfois de ruissellement et d'érosion, parallèlement à la perte de valeur patrimoniale, support de l'œnotourisme. Vis-à-vis du changement climatique, il est important de souligner que ces territoires contribuent à un stockage de carbone généralement supérieur à celui des espaces naturels. Enfin, l'augmentation de la population mondiale et la diminution des rendements agricoles aboutiront probablement au cours des prochaines décennies à un défi pour assurer une sécurité alimentaire au niveau planétaire, d'où l'importance pour le secteur viticole de conserver ces zones de production peu valorisables pour les productions vivrières.
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Sanon, Abdramane, Alain P. K. Gomgnimbou, Hamadé Sigue, Kalifa Coulibaly, Cheick A. Bambara, Willifried Sanou, Sékou Fofana et Hassan B. Nacro. « Performances économiques et financières de la fertilisation en riziculture pluviale stricte dans la zone sud soudanienne du Burkina Faso ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no 4 (19 novembre 2021) : 1581–94. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i4.22.

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Résumé :
La culture du riz joue un rôle décisif dans les moyens d'existence des producteurs. La production rizicole rencontre des difficultés liées aux coûts de fertilisation. L’étude avait pour objectif d’évaluer les performances économiques et financières des biodéchets et des fertilisants inorganiques en riziculture pluviale stricte. L’évaluation est faite suivante deux démarches : la première consiste à calculer et à comparer les indicateurs de performance, tandis que la deuxième repose sur une matrice de corrélation afin d’identifier les relations entre les indicateurs de performances économiques et financières et rendements de riz paddy. La performance agronomique des options de fertilisation a été évaluée par les rendements du riz paddy récolté dans un essai. A cet effet, un dispositif expérimental en Blocs de Fisher complètement randomisés avec quatre répétitions et dix traitements composites a été installé à la station de recherches de Farako-Ba au Burkina Faso, durant quatre campagnes agricoles de 2016 à 2019. Pour le calcul des indicateurs de performances économiques et financières, l’achat des engrais minéraux et des biodéchets, le coût de la main-d’œuvre pour collecter, transporter et incorporer les fertilisants, le prix moyen d’un kilogramme de riz paddy dans les différents marchés de la zone d’étude ont été prises en considération. Les résultats ont montré que les traitements Fumier de Poule+Urée, Fumier de Poule+Burkina Phosphate+Urée et Compost+Urée présentaient significativement les meilleures performances économiques du point de vue de la marge nette et de la productivité moyenne du travail. Les meilleurs taux de rentabilité interne et du ratio bénéfice sur coût sont enrégistrés par les traitements Fumier de Poule+Urée et Compost+Urée. Il ressort de l’analyse statistique des corrélations positives et significatives entre le rendement du riz paddy et les marges nettes d’une part et d’autre part entre le rendement du riz paddy et la productivité moyenne du travail. Dans un contexte de coûts élevés de la fertilisation, ces résultats révèlent l’intérêt de la combinaison de biodéchets (fumier de poule) avec les engrais minéraux en culture de riz pluvial strict pour une vulgarisation en milieu paysan.
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Laë, Raymond. « Estimation des rendements de pêche des lacs africains au moyen de modèles empiriques ». Aquatic Living Resources 10, no 2 (mars 1997) : 83–92. http://dx.doi.org/10.1051/alr:1997009.

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Giscard, Adou Aka, N’da Kouadio Christophe et Attah Abinan Romaric Rodolphe. « Impact de la Variablilite Climatique sur les Calendriers Agricoles dans la Sous-prefecture de Vavoua (Centre-Ouest Ivoirien) ». European Scientific Journal, ESJ 18, no 27 (31 août 2022) : 255. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n27p255.

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Résumé :
Les études en climatologie sur les zones de transition forêt-savane de la Côte d’Ivoire ont démontré que les différents paramètres climatiques, notamment la pluviométrie et la température, ont considérablement varié depuis la fin des années 1960. Vavoua, étant dans cette zone de transition forêt-savane, les activités agricoles dont dépend la région font également face aux effets de la variabilité climatique. En vue d’anticiper sur les potentielles conséquences qui peuvent être catastrophiques pour les populations, la présente étude se propose d’analyser les impacts de la perturbation du climat sur les activités agricoles dans la sous-préfecture de Vavoua. Pour l’atteinte de cet objectif, une méthodologie basée sur une combinaison de démarches climatique, agronomique et socio-anthropologique est adoptée. La première approche s’appuie sur les méthodes de traitement comme les indices climatiques et la détermination des saisons végétatives pour mettre en évidence les tendances climatiques à Vavoua de 1981 à 2019. La seconde mobilise les données agronomiques et les critères de Stern et Morel pour apprécier la répercussion des anomalies climatiques sur les calendriers culturaux. Les données d’enquêtes de terrain ont, quant à elles, permis de connaitre les impacts ressentis de la variabilité climatique sur les activités des paysans dans la troisième approche. Les résultats obtenus à la suite de ces analyses font ressortir l’instabilité des saisons humides sur la période d’étude. De ce fait, le calendrier des activités agricole est très perturbé (tantôt précoce, tantôt tardif). Cela rend la réalisation des activités agricoles de plus en plus difficile et occasionne de façon récurrente des pertes de semis et une baisse des rendements agricoles. Climatological studies on the forest-savanna transition zones of Côte d'Ivoire have shown that the various climatic parameters, notably rainfall and temperature, have varied considerably since the late 1960s. As Vavoua is in this forest-savanna transition zone, the agricultural activities on which the region depends are also subject to climate variability. To anticipate the potential consequences, which could be catastrophic for the population, the present study aims to analyze the impacts of climate disruption on the agro-climatic potential of agricultural activities in the sub-prefecture of Vavoua. A methodology based on a combination of climatic, agronomic, and socio-anthropological approaches is adopted to achieve this objective. The first approach relies on processing methods such as rainfall indices and the Sivakumar model to highlight interannual trends in meteorological parameters and the evolution of climatic seasons from 1981 to 2019. The second approach uses agronomic data and the Stern and Morel criteria to assess the impact of climatic anomalies on cropping calendars. Field survey data were used to determine the impact of climate variability on farmers' activities. The results obtained from these analyses show that the climatic seasons are disturbed during the study period. As a result, the calendar of agricultural activities is very disrupted (sometimes early, sometimes late). This makes it increasingly difficult to carry out agricultural activities and leads to recurrent losses of seedlings and a drop in agricultural yields.
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Siddo, Ibrahim Soumaïla, Mahaman Moustapha Adamou, Djibril Idrissa Guisso Maïga, Moussa Barage et Mahamadou Boubacar Kourido. « Production du Mil [Pennisetum glaucum (L.) R. Br.] sur des Sols Enrichis par la Boue Résiduaire, la Fumure Bovine et l’Engrais Chimique NPK ». European Scientific Journal, ESJ 19, no 24 (31 août 2023) : 55. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n24p55.

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Résumé :
La croissance rapide de la population, l’augmentation des besoins en aliment et la perte de la fertilité des sols agricoles amènent à réfléchir sur les moyens alternatifs de production durable. La boue résiduaire issue de l’usine de traitement d’eau potable de Goudel (Niamey), eu égard à sa richesse en élément fertilisant, a été testée sur la culture de mil [Pennisetum glaucum (L.) R. Br.]. Le dispositif expérimental utilisé est un bloc complet randomisé composé de trois répétitions et huit traitements. Cinq traitements avec des doses croissantes de boues, un traitement de fumure bovine, un traitement d’engrais chimique (NPK_15-15-15) et un traitement témoin sans apport. Les paramètres mesurés sont la Hauteur des tiges, la longueur des épis, le diamètre des tiges et des épis, la biomasse, le nombre d’épis et le rendement en graines. Les résultats de cette étude comparative montrent que les rendements en grains obtenus avec la boue comme matière fertilisante sont supérieurs (66,87%) à ceux obtenus sur les sols non amendés. Ils montrent également que la dose de boue B3 a permis de concilier les meilleurs rendements en grain et en biomasse de mil, il est de ce fait considérer comme le meilleur traitement dans le cadre d’une valorisation de ces boues en culture pluviale. Rapid population growth, increasing food requirements, and the loss of fertility in agricultural soils are prompting reflection on alternative means of sustainable production. Waste sludge from the Goudel drinking water treatment plant (Niamey) was tested on millet [Pennisetum glaucum (L.) R. Br.], given its richness in fertilizing elements. The experimental set-up used was a randomized complete block with three replicates and eight treatments. Five treatments with increasing doses of sludge, one treatment of bovine manure, one treatment of chemical fertilizer (NPK_15-15-15), and one control treatment with no input. The parameters measured were stem height, ear length, stem and ear diameter, biomass, number of ears, and seed yield. The results of this comparative study show that grain yields obtained with sludge as fertilizer are higher (66.87%) than those obtained on unamended soils. They also show that the B3 sludge dose was able to reconcile the best grain and millet biomass yields, and is therefore considered the best treatment for rainfed sludge utilization.
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Ba, Djibrirou Daouda, et Tégaye Diop. « Résilience à la variabilité climatique et perspectives des activités agropastorales dans la région de Matam, nord du Sénégal ». Africa Development 47, no 3 (5 octobre 2022) : 43–62. http://dx.doi.org/10.57054/ad.v47i3.2673.

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Résumé :
Le Sénégal, pays sahélien, est confronté aux conséquences néfastes de la variabilité climatique du fait de son économie essentiellement agricole très tributaire des conditions climatiques. Ce phénomène se répercute immanquablement sur la production agricole et l’économie, compromettant ainsi la sécurité alimentaire. Dans la région de Matam, le changement climatique est une menace sensible et plusieurs faits l’illustrent : la baisse de la pluviométrie, des pluies plus intenses et de plus courte durée, une augmentation de la température, etc. Les impacts négatifs sont également multiples : désertification, perte des terres arables et de pâturage, réduction de la disponibilité de l’eau pour les activités productrices. L’objectif de cet article est d’analyser l’impact de la variabilité climatique dans la région et les différentes stratégies de résilience développées par la population pour y faire face. La méthodologie adoptée consiste d’abord à analyser la variabilité interannuelle ainsi que le caractère aride de la zone. Puis la méthode aléatoire simple a été utilisée pour effectuer l’enquête diagnostique relative à la résilience des activités agropastorales. Les résultats ont montré l’irrégularité interannuelle des précipitations et confirment le caractère aride de la région impactant sur les rendements agricoles et sur le couvert végétal. Les résultats ont également montré que l’agriculture reste en grande partie extensive et marquée par la poussée de la riziculture irriguée, avec un début de modernisation
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Razinatou, Yacouba Ali, Soumana Boubacar et Idrissa Saidou Mahamadou. « Typologie des exploitations agricoles productrices du mil et niébé pluvial dans la commune rurale de Karma ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no 4 (17 novembre 2021) : 1385–97. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i4.7.

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Résumé :
Principale activité des ruraux nigériens, l’agriculture fait face à des problèmes récurrents de baisse de rendements conduisant à la paupérisation et à l’insécurité alimentaire des ménages qui l’exercent. Cette étude conduite à Karma vise la caractérisation des systèmes de production du mil et de niébé pluvial en vue de connaître leurs fonctionnements et leurs diverses interactions dans un contexte de changement climatique. Pour cela, une enquête a été conduite sur un échantillon de 90 ménages d’exploitants du mil et niébé pluvial. L’étude a montré que les systèmes de production sont regroupés en trois types selon la méthode d’Analyse en Composantes Principales couplée à la classification de Nuées dynamiques. Il s’agit du système de production agricole pure (Type A), du système agroforesterie (Type B) et du système agropastoral (Type C). Le type (A) occupe une superficie moyenne de 1,5 hectares. Il est scindé en système de cultures sèches simple et système de cultures sèches associé au maraîchage. Le type (B) s’effectue sur 2,18 hectares et le type (C) sur une superficie moyenne de 3,25 hectares. Ainsi, le type (C) est plus performant que le type (B) qui l’est plus que le type (A). English title: Typology of farms producing millet and rain-fed cowpeas in the rural commune of Karma Main activity of nigeriens’ rural, agriculture faces recurring problems drop in yields leading to pauperization and food insecurity of the households that exert it. This study conducted in Karma aims to characterize millet and rain-fed cowpea production systems with a view to understanding their functioning and their various interactions to enable producers to better cope with climate change. For this, a survey was conducted on a sample of 90 households farms of millet and rain-fed cowpea. The study showed that production systems are grouped into three types according to the Principal Component Analysis method coupled with classification. of dynamic clouds. These are the pure agricultural production system (Type A), the agroforestry system (Type B) and the agro-pastoral system (Type C). Type (A) occupies an average area of 1.5 hectares. It is split into a simple dry crop system and a dry crop system associated with market gardening. Type (B) takes place on 2.18 hectares and type (C) on an average area of 3.25 hectares. Thus, type (C) is more efficient than type (B) which is better than type (A).
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Chaix, Basile, et Rémy Slama. « Changement climatique et santé : défis et opportunités pour la santé publique ». Questions de santé publique, no 45 (février 2023) : 1–8. http://dx.doi.org/10.1051/qsp/2023045.

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Résumé :
Au-delà de la déshydratation, de l’hyperthermie et d’effets sur les systèmes cardiaque, respiratoire, endocrinien, immunitaire et nerveux, les fortes chaleurs sont associées à une augmentation de la mortalité, des accidents au travail, des suicides, ainsi que des violences domestiques et agressions. Les îlots de chaleur urbains amplifient les effets sanitaires des vagues de chaleur. Les événements climatiques extrêmes entraînent notamment décès et traumatismes. Plus indirectement, le change- ment climatique induit une modification de la distribution géographique de maladies à vecteurs et de bactéries aquatiques. Les températures élevées et les événements extrêmes sont associés à une diminution des rendements agricoles, qui peut induire malnutrition et troubles de la croissance. Le changement climatique pourrait renforcer la prolifération d’algues toxiques, et il a des implications en termes d’allergies. Il impactera aussi la concentration atmosphérique de polluants, augmentera la fréquence des feux de forêts et des tempêtes de sable et de poussière, associés à des problèmes respiratoires. L’augmentation du niveau de la mer pourrait contribuer à des migrations climatiques de masse, induisant des problèmes de maladies infectieuses et de conflits. L’acidification des océans pourrait déstabiliser les économies reposant sur la pêche. Les mesures de lutte contre et d’adaptation au changement climatique concernent les secteurs de l’agriculture, de l’urbanisme, des transports, de l’énergie et de l’industrie, qui façonnent des déterminants majeurs de la santé (alimentation, activité physique, pollution atmosphérique et bruit, contaminants chimiques). La lutte contre le changement climatique constitue ainsi une fantastique opportunité pour améliorer la santé.
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Ouedraogo, Eric, Mathias Bouinzemwendé Pouya, Zacharia Gnankambary et Hassan Bismarck Nacro. « Pratiques paysannes de fertilisation du maïs et rotations culturales dans les exploitations à l’Ouest du Burkina Faso : quels effets sur les propriétés chimiques du sol et les rendements ? » International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, no 3 (24 août 2023) : 1253–68. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i3.38.

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Résumé :
Dans les exploitatations agricoles productrices de maïs à l’Ouest du Burkina Faso, les pratiques paysannes de fertilisation ne contribuent pas à une productivité durable des sols et des cultures. L’étude conduite en 2020 avait pour objectif, de determiner les effets de ces pratiques de fertilisation et des rotations culturales sur les paramètres chimiques des sols et les rendements du maïs. Elle a été réalisée à travers le suivi de 50 champs paysans. Sept régimes de fertilisation du maïs ont été identifiés et cinq régimes étaient pratiqués dans les champs de brousses. L’Analyse des Correspondances Multiples a montré que les rendements étaient liés à ces régimes. Le rapport C/N du sol dans les champs de case et champs de village ainsi que le rendement paille des champs de brousse ont augmenté avec les rotations culturales. Les relations entre les régimes de fertilisation, les rotations culturales, les caractéristiques chimiques des sols et le rendement du maïs, etaient fonction du type de champ. Les pratiques d’une gestion durable de la fertilité des sols et le respect des doses recommandées de fumures organiques (5 t/ha tous les deux ans) et minérales (150 à 200 kg/ha de NPK et 100 kg/ha d’urée) sont à promouvoir English title: Farmers’ maize fertilization practices and crop rotations in western Burkina Faso farming systems: what effects on soil chemical properties and yields? In the western Burkina Faso cropping zone , farmers fertilization practices are inaproriate to sustainablesoil and crop productivity. The study, conducted in 2020, aimed to determine fertilization practices and crop rotations effects on soil chemical parameters and maize yields. It was carried out through the monitoring of 50 peasant fields. Seven maize fertilization regimes were identified and five regimes were practiced in bush fields. Results from Multiple Correspondence Analysis showed that yields were related to these regimes. C/N ratio in the home fields and village fields as well as the straw yield in bush fields were increased under crop rotations. The relationships between fertilization regimes, crop rotations, soil chemical characteristics and maize yield were a function of field type. The practices of sustainable management of soil fertility and compliance with the recommended rates of organic manure (5 t/ha every two years) and mineral fertilizer (150 to 200 kg/ha of NPK and 100 kg/ha of urea) should be promoted.
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GARANE, Ali, Koussao SOME, Jeanne NiKIEMA, Mamoudou TRAORE et Mahamadou SAWADOGO. « Etude du comportement de neuf cultivars de tomates (Solanum Lycopersicum L.) dans différentes zones agro-écologiques du Burkina Faso pendant l’hivernage. » Journal of Animal & ; Plant Sciences 40, no 3 (28 juin 2019) : 6656–73. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v40-3.1.

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Résumé :
Etude du comportement de neuf cultivars de tomates (Solanum Lycopersicum L.) dans différentes zones agro-écologiques du Burkina Faso pendant l’hivernage. Ali GARANE1*, Koussao SOME1, Jeanne NiKIEMA1, Mamoudou TRAORE2 et Mahamadou SAWADOGO3 1* Institut de l’Environnement et de Recherches Agricoles (INERA/CREAF-Kamboinse), Département Production Végétale/Programme Cultures Maraîchères, Fruitières, Plantes à Tubercules, 01 BP 470 Ouagadougou 01, Burkina Faso. 2Institut de l’Environnement et de Recherches Agricoles (INERA/CREAF-Kamboinsè), Département Gestion des Ressources Naturelles/Système de Production, 03 BP 470 Ouagadougou 03, Burkina Faso. 3Université Ouaga I Pr Joseph KI-ZERBO/Unité de Formation et de Recherche en Science de la Vie et de la Terre (UO/UFR-SVT), Laboratoire de Génétique et Biotechnologie Végétale, 03 BP 7021 Ouagadougou 03, Burkina Faso. * Correspondance, courriel: ali_garane@yahoo.fr Mots clés: Tomate, performance, hivernage, maladies, Burkina Faso. Key words: Tomato, wintering, performance, diseases, Burkina Faso. Publication date 30/06/2019 http://www.m.elewa.org/JAPS 1. RESUME Objectif: Au cours de la saison hivernale 2014-2015, une étude portant sur neuf cultivars améliorés de tomate a été réalisée dans 5 zones agro-écologiques (Kamboinsè, Loumbila, Komgoussi, Yako et Salgo) du Burkina Faso. Les observations et mesures ont porté sur la sensibilité au flétrissement bactérien, le rendement et ces composants essentiels afin de déterminer les cultivars les mieux adaptés aux conditions de culture d’hivernage dans les zones de l’étude. Méthodologie et résultats: Le dispositif expérimental est un bloc complet de Fisher randomisé de 4 répétitions avec des traitements constitués des variétés V1, V2, V3, V4, V5 , V6, V7, V8 et V9. Les plants ont été repiqués en ligne simple en parcelles élémentaires de 37,5 m2. Les écartements sont de 0,75 m sur 0,40 m, soit une densité de 33333 pieds/ha. Les variables suivantes de productivité ont été supérieures à Yako pour la densité chez les cultivars Thorgal, Gempride, Jaguard, Mongal, Nadira respectives de 67,75; 71,75; 80,12; 99,5 et 108,75 plants/37,5 m². A Salgo pour le poids moyen du fruit chez Jaguard (56,06 g) Mongal (55,63g), FBT5 (51,1 g) et Thorgal (48,8 g) et à Kongoussi pour Gempride (55,63 g). Les cultivars Rs et Nadira ont observé des rendements meilleurs à Yako respectifs de 28,72 et 28,73 t/ha. A Salgo, les hybrides Gempride, Mongal, FBT5, Jaguard et Thorgal ont été plus performant avec respectivement 21,65; 20,3; 20,0; 17,46 et 15,14 t/ha. Conclusion et application des résultats: Selon la moyenne des rendements, les meilleurs sites ont été par ordres décroissant Yako (19,044 t/ha), Salgo (17,44), Kongoussi (7,06 t/ha), Loumbila (6,87 t/ha) et Kamboinsè (2,97 t/ha). Dans le même ordre, les meilleures variétés ont été Nadira, Rs, Gempride, Jaguar, Thorgal, Mongal, FBT5 avec respectivement 13,87, 10,79; 10,23; 9,66; 8,23 et 7,08 t/ha. Si nous couplons à cela la tolérance aux flétrissements, Jaguar, Nadira et Gempride demeurent les meilleures variétés suivies de Mongal et FBT5. Les résultats obtenus sur les 5 sites ont montré une variabilité importante. Ce qui est peut-être du à la maitrise des techniques de production qui n’ont pas été homogènes d’un site à un autre et à la particularité de chaque variété. Pour améliorer la performance de ces variétés, il paraît indiqué de poursuivre les recherches dans une approche agronomique visant la maîtrise de l’eau d’irrigation, une gestion intégrée des ravageurs et maladies pendant le cycle cultural.
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Montcho, Bernard, et Séraphin Atidegla Capo. « Perceptions Paysannes et Caractérisation de la Motorisation des Exploitations Agricoles dans la Commune de Kétou ». European Scientific Journal, ESJ 19, no 20 (31 juillet 2023) : 124. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n20p124.

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Résumé :
Dans la Commune de Kétou, le recours aux machines agricoles par les paysans reste encore très faible. La force de travail dépend dans une large majorité de la force physique avec l’utilisation d’outils archaïques et sommaires comme la houe pour exécuter les différentes opérations culturales. Pour cause, le coût des tracteurs et celui des outils d’accompagnement sont bien au-delà des capacités financières de la plupart de ces exploitants. Ainsi entre cherté des machines, analphabétisme, cherté de la location des machines, rareté des tracteurs à louer, les paysans de cette Commune doivent mettre en place un fonds de roulement pour pallier au coût élevé de la maintenance/réparation. La présente recherche vise à analyser les perceptions paysannes et la caractérisation de la motorisation des exploitations agricoles dans la Commune de Kétou. L’approche méthodologique adoptée s’articule autour de la collecte des données, leur traitement et à l’analyse des résultats. Les données socio-économiques et démographiques des producteurs, le type et la nature des équipements pré et post-récolte utilisés, le degré de satisfaction ont été collectées à l’aide des questionnaires et de guide d’entretien auprès d’un échantillon de 135 paysans utilisant ou non des machines agricoles. La perception des populations sur les facteurs de la faible motorisation agricole a été analysée à partir de l’ Analyse Factorielle des Correspondances (AFC). L’analyse de la caractérisation de la motorisation des exploitations agricoles a été faite grâce aux statistiques descriptives et au calcul de pourcentage dans des tableaux croisés. Les résultats obtenus montrent que 46 % des enquêtés reconnaissent que les équipements agricoles modernes participent à la célérité des opérations de défrichements et de labours et 32 % pensent qu’elles favorisent l’accroissement de la production et même des rendements agricoles. Pour 22 % des paysans interrogés, le recours à la motorisation limite l’appel à la main-d’œuvre. Toutefois, le niveau d’appréciation de la motorisation agricole est diversement apprécié dans la Commune allant de très important, important, peu important et pas du tout important avec des taux de réponses respectifs de l’ordre de 68 %, 21 %, 8 % et 3 %. Nonobstant cela, 28,9 % des paysans ont regretté la cherté des machines et 20 % ont évoqué la cherté de la location de ces machines. Toutes ces raisons expliquent leur réticence à la motorisation des opérations culturales et leur attachement aux outils rudimentaires. Dans l’ensemble, les besoins en mécanisation restent grands et se traduisent par le nombre impressionnant des opérations agricoles qui nécessitent l’usage des machines agricoles. C’est le cas des operations de préparation du sol (43 %), labour (31 %), herbicidage (15 %) et désherbage sarclage (7 %). In the municipality of Ketou, the use of agricultural machinery by peasants is still very low. The working force depends for the most part on physical strength with the use of archaic and summary tools such as the hoe to carry out the various cultivation operations. For good reason, the cost of tractors and the accompanying tools are far beyond the financial capabilities of most of these operators. Thus, between the high cost of machines, illiteracy, the high cost of renting machines, and the scarcity of tractors for rent, the peasants of this municipality must set up a working capital to compensate for the high cost of maintenance/repair. The present research aims to analyze peasant perceptions and the characterization of the motorization of agricultural farms in the Municipality of Ketou. The methodological approach adopted revolves around the collection of data, their processing, and the analysis of the results. The socioeconomic and demographic data of the producers, the type and nature of the pre-and post-harvest equipment used, and the degree of satisfaction were collected using questionnaires and maintenance guides from a sample of 135 farmers using agricultural machinery or not. The perception of the populations on the factors of low agricultural motorization was analyzed from the Correspondence Factor Analysis (AFC). The analysis of the characterization of the motorization of agricultural farms was made thanks to descriptive statistics and percentage calculation in cross tables. The results obtained show that 46% of the respondents recognize that modern agricultural equipment contributes to the speed of clearing and plowing operations and 32% believe that they favor the increase of production and even agricultural yields. For 22% of the farmers surveyed, the use of motorization limits the call for labor. However, the level of appreciation of agricultural motorization is variously appreciated in the Municipality ranging from very important, important, unimportant, and not at all important with respective response rates of the order of 68%, 21%, 8%, and 3%. Notwithstanding this, 28.9% of the peasants regretted the high cost of the machines and 20% mentioned the high cost of renting these machines. All these reasons explain their reluctance to motorize cultivation operations and their attachment to rudimentary tools. Overall, the needs for mechanization remain great and are reflected in the impressive number of agricultural operations that require the use of agricultural machinery. This is the case for soil preparation operations (43%), plowing (31%), herbicide application (15%), and weeding (7%).
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Gilliot, Jean-Marc, Emmanuelle Vaudour, Joël Michelin et Sabine Houot. « Estimation des teneurs en carbone organique des sols agricoles par télédétection par drone ». Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no 213 (26 avril 2017) : 105–15. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2017.193.

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La matière organique (MO) est un élément important de la fertilité des sols cultivés. Les mesures de réflectance ont déjàété utilisées avec succès pour prédire la teneur en carbone organique (CO) des sols agricoles, soit au laboratoire surdes échantillons de sols séchés, soit directement au champ à l'aide de spectro-radiomètres de terrain ou grâce à desimages satellitaires. Cette étude propose une méthode de prédiction spatialisée du CO des sols, à partir d'imageriedrone. Une parcelle agricole de 13 ha « la Grande Borne », située dans la plaine de Versailles (78), a été suivie en avril2013, peu avant le semis alors qu'elle était encore en sol nu. Le drone AIRINOV® utilisé était équipé de la caméramultispectrale quadri-bande multiSPEC 4C® (550nm, 660nm, 735 nm et 790 nm) et évoluait à une altitude de 150 m.Vingt-trois placettes de contrôle au sol, réparties dans la parcelle, ont été délimitées par des cibles géolocaliséescentimétriquement par DGPS et ont fait l'objet de mesures synchrones au vol drone : mesures spectrales de terrain(ASD FieldSpec 3®), mesures de rugosité par une méthode photogrammétrique, prélèvements d'échantillons de solpour analyse de la composition chimique et de la teneur en eau. Les images obtenues d'une résolution de 15cm ont étégéoréférencées avec une précision infra-pixellaire. Les spectres de terrain ont été agrégés sur les bandes spectrales de2la multiSPEC® 4C afin de valider par régression linéaire la qualité des données de réflectance du drone. Les Robtenus, entre 0,8 et 0,9 selon les bandes, ainsi que l'erreur comprise entre 1 et 3% en réflectance, ont montrés lafiabilité du capteur multiSPEC 4C®. La teneur en CO a ensuite été estimée par régression des moindres carrés partiels(PLSR) à partir des mesures spectrales sur les 23 placettes. L'erreur quadratique moyenne de validation croisée(RMSECV) par la méthode LOO (Leave One Out) était de 1,97 g de CO par kg de sol. Un second modèle intégrant lacorrection des effets de l'humidité et de la rugosité sur la réflectance, a permis d'améliorer la qualité de la prédiction de18% avec une RMSECV de 1,61 g/kg. Le modèle a enfin été spatialisé sous SIG et comparé à de simples interpolationsspatiales des analyses de sol.
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Ladi Tchoho, Mahamadou Dan, Agali Alhassane, Seydou Traoré et Agossou Gadedjissou Tossou. « Impacts Potentiels du Changement Climatique sur les Rendements du Mil et du Sorgho Cultivés dans les Communes Rurales au Niger ». European Scientific Journal, ESJ 19, no 36 (31 décembre 2023) : 95. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n36p95.

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Résumé :
Le changement climatique constitue une menace majeure pour les populations de l’Afrique de l’Ouest, en général et du sahel, en particulier. Le Niger est, pleinement, concerné par cette situation qui se traduit par une grande variabilité pluviométrique et une forte récurrence de sècheresses depuis les années 1970s. Cette étude analyse l’impact du changement climatique sur les rendements du mil et du sorgho dans les Communes rurales de Balleyara, Dan Issa, Dogo, Harikanassou, Illéla, Magaria et Mokko, au Niger. Deux variétés de mil (HKP et SOMNO) et une de sorgho (Caudatum) ont été testées. Les données climatiques, utilisées sur la période de référence 1990-2020, proviennent de la Météorologie Nationale du Niger et de l’AGRHYMET Centre Climatique Régional pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel. Le modèle SARRA-H (V33) a été utilisé pour simuler les rendements des différentes variétés sur la période de référence et les périodes futures (2010-2039 et 2040-2069), sur la base des RCP4.5 et 8.5. Pour chaque Commune, les données des scénarios futurs de changement climatique ont été générées par 05 modèles globaux choisis parmi les 29 testés dans le cadre du projet AgMIP, en tenant compte de 05 conditions climatiques : Fraiche et Humide, Fraiche et Sèche, Moyenne, Chaude et Humide, Chaude et Sèche. Trois dates de semis (Dates précoce, moyenne et tardive), deux types de sols (sableux et sablo-argileux) et deux niveaux de fertilité du sol (Fertile et Non-Fertile) ont été considérés dans le modèle SARRA-H, pour chaque Commune. Les rendements simulés pour les variétés de mil et de sorgho sur la période 1990-2020 ont été plus élevés dans la Commune de Magaria et plus faibles dans celles de Balleyara et Illéla, en particulier pour un semis tardif fait sur un sol non-fertile. Les impacts des scénarios climatiques futurs se sont traduits par des baisses de rendements des variétés testées, allant de -5% à -70% selon les RCP, les horizons, les Communes, les types de sol et les dates de semis. La variété de mil photopériodique SOMNO a été la moins sensible aux scénarios climatiques testés et la variété de sorgho Caudatum la plus sensible. Ces résultats montrent que le choix des variétés et des dates de semis les plus adaptées aux conditions pédoclimatiques locales peut atténuer l’impact du changement climatique sur les rendements agricoles au Niger, notamment avec l’apport de fertilisants et le déploiement de mesures de réduction des impacts négatifs des déficits pluviométriques. Climate change is a major threat to the populations of West Africa in general, and the Sahel in particular. Niger is fully concerned by this situation, which has resulted in high rainfall variability and recurrent droughts since the 1970s. This study analyzes the impact of climate change on millet and sorghum yields in the rural Communes of Balleyara, Dan Issa, Dogo, Harikanassou, Illéla, Magaria and Mokko, Niger. Two millet varieties (HKP and SOMNO) and one sorghum variety (Caudatum) were tested. Climatic data for the reference period 1990-2020 were obtained from the Niger National Meteorology Service and the AGRHYMET Regional Climate Center for West Africa and the Sahel. The SARRA-H (V33) model was used to simulate yields of different varieties over the reference and future periods (2010-2039 and 2040-2069), based on RCP4.5 and 8.5. For each Commune, data for future climate change scenarios were generated by 05 global models chosen from the 29 tested as part of the AgMIP project, considering 05 climatic conditions: Cool and Humid, Cool and Dry, Medium, Hot and Humid, Hot and Dry. Three sowing dates (early, medium, and late), two soil types (sandy and sandy-clay) and two soil fertility levels (Fertile and Non-Fertile) were considered in the SARRA-H model, for each Commune. Simulated yields for millet and sorghum varieties over the period 1990-2020 were higher in the Commune of Magaria and lower in those of Balleyara and Illéla, particularly for late sowing on non-fertile soil. The impacts of future climate scenarios translated into yield reductions for the varieties tested, ranging from -5% to -70% depending on the RCP, horizons, Communes, soil types and sowing dates. The photoperiodic millet variety SOMNO was the least sensitive to the climatic scenarios tested, and the sorghum variety Caudatum the most sensitive. These results show that the choice of varieties and sowing dates best suited to local soil and climate conditions can mitigate the impact of climate change on agricultural yields in Niger, notably through the use of fertilizers and the deployment of measures to reduce the negative impacts of rainfall deficits.
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Essama, Gervais, et Huu Minh Mai. « Représentation probabiliste des rendements des actifs financiers : difficultés d’estimation et résultats empiriques ». Économie appliquée 47, no 4 (1994) : 133–66. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.1994.1537.

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L'utilisation des lois stables en finance a pour but de remédier à l’insuffisance de la loi normale. De nombreuses études empiriques ont montré que les variations des cours boursiers dévient fortement de la normalité. Pour vérifier l’adéquation des variations de cours boursiers à cette famille de lois, il est nécessaire d’en estimer les paramètres et d’être capable de calculer leurs fonctions de distribution : de nombreuses méthodes de calculs et d’ estimation sont alors proposées mais les résultats obtenus restent peu satisfaisants. Dans certains cas, l’absence de variance rend difficile la modélisation du comportement des rentabilités ou encore l ’évaluation de certains titres financiers dont la valeur est en grande partie déterminée par la volatilité -les options, par exemple. Par ailleurs, l’occurrence d’événements à caractère accidentel n’est pas suffisamment appréhendée par les lois stables. C’est ainsi que sont alors proposés des processus mixtes et des processus qui intègrent la composante autorégressive de certaines séries économiques. Nous proposons des alternatives à la loi normale et mettons en évidence la difficulté particulière d’utilisation des lois stables, à savoir l’estimation par différentes méthodes des paramètres qui les caractérisent. Nos tests conduisent à rejeter la loi normale. Les lois stables semblent mieux décrire la distribution des données boursières françaises. Ces résultats entraînent un certain nombre d’implications que nous évoquerons également, notamment la définition d’une mesure de la dispersion des cours pour la gestion de portefeuille.
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Kombienou, Pocoun Damè, Ismaël Imorou Toko, Gustave Dieudonné Dagbenonbakin, Guy Apollinaire Mensah et Brice Augustin Sinsin. « Impacts socio-environnementaux des activités agricoles en zone de montagnes au Nord-Ouest de l’Atacora au Bénin ». Journal of Applied Biosciences 145 (31 janvier 2020) : 14914–29. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.145.7.

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Résumé :
L’étude aborde la dynamique de l’utilisation des terres à travers l’évolution des emblavures et de la production des principales cultures, puis l’impact des activités agricoles sur l’environnement et les conditions de vie des populations. Objectif : L’objectif global de l’étude était d’évaluer les impacts socio-environnementaux des activités agricoles dans les Communes de Natitingou, Boukombé, Tanguiéta et Toucountouna en zone de montagnes au nord-ouest de l’Atacora au Bénin. Méthodologie et résultats : Les méthodes utilisées étaient les enquêtes exploratoires, les diagnostics participatifs, les sondages d’opinion et les analyses statistiques tels que la variance suivant le test de Tukey et le test de corrélation. Au total, 400 agriculteurs sont sélectionnés au hasard et interrogés dans huit villages des quatre communes à l'aide d'un questionnaire structuré pour obtenir des données relatives aux nombres de cultures produites sur une même parcelle, aux différentes pratiques agricoles, à l'utilisation des engrais minéraux, à l’adoption des techniques endogènes et exogènes de gestion et de conservation de la fertilité des sols dans le milieu. Les résultats ont montré que les systèmes de productions agricoles étaient encore de type extensif et itinérant sur brûlis. Les cultures étaient mises en place en pure et en associations entre avril et décembre avec une prééminence des céréales qui ont occupé environ 52 % des superficies emblavées. Les productions étaient plus en fonction des superficies que de l’intensification agricole. Les causes de dégradation des sols, la production, ont été collectées lors des entretiens collectifs et individuels. Les impacts de la production agricole se traduisaient surtout entre autres, par la disparition du couvert végétal, la baisse de la fertilité des sols et la pollution de certains cours d’eau aux bords desquels se réalisaient des activités à dominance agricole. Conclusion et application des résultats : Certaines activités telles que l’utilisation des engrais chimiques et les feux de végétation ont résolu d’une manière ponctuelle certains problèmes comme l’amélioration des rendements agricoles et l’augmentation des revenus, mais elles n’ont pas duré dans le temps. Au fil des années, ces activités ont eu un impact négatif sur le milieu et les conditions de vie des populations. L’intensification agricole basée sur la vulgarisation et l’adoption des technologies plus productives et respectueuses de l’environnement, efficientes, facilement applicables par les producteurs, demeure l’une des stratégies pour garantir une utilisation durable des ressources naturelles. Mots clés: Bénin, Atacora, activités agricoles, impacts socio-environnementaux et dégradation des sols ABSTRACT The study approaches the dynamics of the land use through the evolution of cultivated area and the production of the principal crops, then the impacts of the agricultural activities on the environment and the living conditions of the population. Objective: The total objective of the study was to evaluate the socio-environmental impacts of the agricultural activities in the Communes of Natitingou, Boukombe, Tanguieta and Toucountouna in mountainous area in the North-Western of Atacora in Benin. Methodology and Results: The methods used were the exploratory investigations, the participative diagnoses, the opinion polls and statistical analyses such as the variance according to the test of Tukey and the test of correlation. On the whole, 400 farmers were selected randomly and questioned in eight villages of the four communes using a structured questionnaire to obtain relative data with the numbers of cultures produced on the same piece, with various husbandries, with the use of mineral manures, the adoption of the endogenous and exogenous technical of management and conservation of the fertility of the grounds in the medium. The results showed that agricultural production systems were still extensive and itinerant on slash-and-burn. Crops were established in pure and association between April and December with a pre-eminence of cereals, which accounted for about 52% of the area. Productions were more based on acreage than agricultural intensification. The causes of soil degradation, production, were collected during collective and individual interviews. The impacts of agricultural production were mainly reflected in the disappearance of vegetation cover, the decline in soil fertility and the pollution of certain rivers along which agricultural-dominated activities were carried out. Conclusion and application of results: Some activities such as the use of chemical fertilizers and wildfires have solved problems such as improving agricultural yields and increasing incomes on an ad hoc basis, but they didn’t last. Over the years, these activities have negatively affected the environment and living conditions of the population. The agricultural intensification based on the popularization and the adoption of more productive and environment friendly technologies, easily applicable by the producers, remains one of the strategies to guarantee a durable use of the natural resources. Keywords: Benin, Atacora, agricultural activities, socio-environmental impacts and impoverishment of the soil
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Gomis, Daniel, Agnès Daba Thiaw Benga, Babacar Faye, Aliou Guisse et Aminata Ndiaye. « Caractérisation du peuplement ligneux des zones de culture dans l’Arrondissement de Djilor (Fatick, Sénégal) ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 16, no 2 (8 juillet 2022) : 824–41. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v16i2.25.

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Résumé :
L’amélioration durable des rendements agricoles est devenue une priorité face à l’accentuation de la pauvreté en matière organique des sols et des risques et limites des fertilisants chimiques. Dans ce contexte, la conservation des arbres et arbustes des champs a connu un regain d’intérêt. C’est dans cette optique que cette étude visait à contribuer à une meilleure connaissance des caractéristiques de leur peuplement dans l’Arrondissement de Djilor. Pour y parvenir, des données ont été collectées dans des placettes carrées de 1600 m² (40 m x 40 m) installées de manière aléatoire dans les champs. Le nombre de ces placettes a été au préalable défini sur la base d’un préinventaire. Au total 22 espèces réparties en 22 genres et 14 familles dominées par des Mimosaceae, Combretaceae et Anacardiaceae (13,8% chacune), ont été recensées. La prédominance des mésophanérophytes (50%) soulignait le caractère arboré du peuplement. La chorologie de la flore était caractérisée par la prédominance d’espèces soudaniennes et soudano-zambéziennes (31,8 chacune) mais avec une prépondérance des individus de ces dernières (45,1%). La richesse spécifique de Shannon-weaver était moyenne (3,95 bits) avec une équitabilté de 0,88 bits et d’un indice de Simpson de 0,92 bits. Les paramètres dendrométriques obtenus du peuplement étaient : 7,6 ind/ha de densité réelle, 1,6 m2/ha de surface terrière, 5,8% de recouvrement, 48,4 cm de diamètre et 10,9 m de hauteur. Le taux de régénération y était très important (76,9%). La structure en diamètre et en hauteur montrait une prédominance des individus adultes. Ces résultats obtenus pourraient servir de base à la connaissance et au suivi de cet écosystème pour une amélioration de sa gestion.
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Razafimbelo, Tantely Maminiaina, Andry Andriamananjara, Tovonarivo Rafolisy, Herintsitohaina Razakamanarivo, Dominique Masse, Eric Blanchart, Marie-Virginie Falinirina, Laetitia Bernard, Nasandratra Ravonjiarison et Alain Albrecht. « Impact de l’agriculture climato-intelligente sur les stocks de carbone organique du sol à Madagascar ». Cahiers Agricultures 27, no 3 (mai 2018) : 35001. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2018017.

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L’agriculture climato-intelligente (Climate Smart Agriculture) vise à lutter contre le changement climatique et à s’y adapter tout en combattant l’insécurité alimentaire. À Madagascar, différentes pratiques agricoles ont été testées depuis une vingtaine d’années par des organisations non gouvernementales et des institutions de recherche afin d’accroître les rendements, maintenir la fertilité des sols et augmenter les revenus des ménages. Ces pratiques sont l’agriculture de conservation, l’agroforesterie et l’utilisation d’intrants ou d’amendements organiques comme le compost ou le fumier. Cette étude a pour objet de documenter les impacts de quelques pratiques d’agriculture climato-intelligente sur le stockage du carbone dans le sol. Les résultats montrent que le stock de carbone des sols varie fortement d’une pratique à l’autre. Pour l’agriculture de conservation, la différence de stock varie de 0 à 1,82 Mg C ha−1 an−1par rapport à la pratique traditionnelle (labour et exportation des résidus). Pour l’agroforesterie, la différence de stock entre des systèmes rizicoles sous girofliers et des pratiques de riziculture sur brûlis est de 0,68 Mg C ha−1 an−1. L’utilisation d’apports organiques comme le fumier, le compost ou les déchets urbains a induit des augmentations de carbone du sol de 0,16, 0,81 et 0,42 Mg C ha−1 an−1, mais les effets de ces apports organiques ne sont pas significatifs du fait de la très grande variabilité inter-parcellaire des stocks mesurés. Les pratiques d’agriculture climato-intelligente permettent ainsi d’augmenter la teneur en carbone du sol et ont donc des potentiels d’atténuation du changement climatique, mais ce potentiel est très variable selon la pratique considérée. Un éventuel impact à l’échelle du pays dépendra de l’étendue de l’adoption de ces différentes pratiques.
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Agani, Alain Oloni, Gauthier Biaou, Anne Floquet, Afio Zannou et Laurent G. Houessou. « Perception et Prédiction future des Changements Climatiques par les Agriculteurs de Materi et Leurs Impacts sur la Production Agricole ». European Scientific Journal, ESJ 19, no 24 (31 août 2023) : 111. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n24p111.

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L’agriculture béninoise à l’instar de celle de la plupart des autres pays du monde subit les effets néfastes des changements climatiques. Dans le but d’apprécier le niveau de perception et de prédiction future des changements climatiques par les ménages agricoles dans la commune de Matéri et leurs impacts sur leurs activités que la présente recherche a été entreprise. Elle s’est basée sur un échantillon de 383 ménages agricoles où des données quantitatives et qualitatives ont été collectées. Plusieurs techniques dont les focus groupes, les entretiens et observations ont été combinés. Les données météorologiques, sociodémographiques et de perceptions qui en sont issues sont analysées à partir des statistiques descriptives, des cartes factorielles, des tests de chi2 et les courbes de tendance avec le logiciel R. Les variations des précipitations et des températures sont perçues par les agriculteurs et confirmées par les données météorologiques en matière de changements climatiques. La disparition de certaines espèces animales et/ou végétales est signalée par endroits. L’impact des changements climatiques se traduit par la baisse des rendements et l’amenuisement des revenus des communautés rurales. Les agriculteurs font également des projections du climat futur et de son impact sur leurs activités. Les résultats de ces prédictions de l’état du climat par les agriculteurs sont confortés par ceux des modèles des scientifiques. Cette capacité des producteurs agricoles à se projeter dans le climat futur est très peu abordée dans la littérature. Plusieurs cultures sont concernées par la présente étude. Les recherches postérieures doivent spécifier les cultures et approfondir les projections climatiques faites par les agriculteurs afin de valider les savoirs locaux, leur contribution dans la lutte contre les changements climatiques et une amélioration de leur résilience. Benin's agriculture, like that of most other countries in the world, is suffering the adverse effects of climate change. This research focuses on the perception and future prediction of climate change by agricultural households in the municipality of Matéri and their impacts on their activities. The research was based on a sample of 383 farming households, from which quantitative and qualitative data were collected. Several techniques were combined, including focus groups, interviews and observations. Meteorological, sociodemographic and perception data were analyzed using descriptive statistics, factorial maps, chi2 tests and trend curves with R software. Variations in rainfall and temperature are perceived by producers and confirmed by meteorological data in terms of climate change. The disappearance of certain animal and/or plant species is reported in some places. The impact of climate change is reflected in lower yields and reduced income for rural communities. Farmers also make projections of the future climate and its impact on their activities. The results of these climate predictions by farmers are supported by those of scientific models. The ability of agricultural producers to project future climate conditions has received very little attention in the literature. Several crops are concerned by the present study. Subsequent research will need to specify the crops and examine in greater depth the climate projections made by farmers, in order to validate local knowledge, their contribution to the fight against climate change and improving their resilience.
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Bassole, Zelbié, Isidore Pawendkisgou Yanogo et Fulgence Talaridia Idani. « Caractérisation des sols ferrugineux tropicaux lessivés et des sols bruns eutrophes tropicaux pour l’utilisation agricole dans le bas-fond de Goundi-Djoro (Burkina Faso) ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, no 1 (8 mars 2023) : 247–66. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i1.18.

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Résumé :
La connaissance des propriétés physico-chimiques des sols est nécessaire pour l’agriculture durable visant à la fois l’accroissement des rendements agricoles et la préservation de la fertilité des sols. L’objectif de cette étude était de déterminer les caractéristiques morphologiques et physico-chimiques des sols ferrugineux lessivés et bruns eutrophes du bas-fond de Goundi-Djoro, en vue d’améliorer les pratiques agricoles. Pour ce faire, des profils pédologiques ont été ouverts et décrits sur le terrain. Des échantillons de sols ont été prélevés et analysés au laboratoire. Les résultats montrent que 82% des sols ferrugineux ont une texture grossière, limono-sableuse. Ils sont peu profonds, avec une faible capacité de rétention en eau et de nombreux éléments grossiers. Par contre, les sols bruns sont profonds, avec une texture fine de types argileux (50%) et limonoargileux (37,5%). Leurs réserves en eau sont très élevées, entre 13,10% et 22,60%. Sur le plan chimique, les sols ferrugineux sont pauvres avec des pH très fortement acides (4,7), de faibles teneurs en éléments nutritifs et en bases échangeables. Tandis que, les sols bruns sont fertiles, avec des pH faiblement acides à neutres (6,62). La qualité des sols du site pourrait être améliorée par des amendements organiques et minéraux. English title: Characterization of leached tropical ferruginous soils and tropical eutrophic brown soils for agricultural use in the lowland of Goundi-Djoro (Burkina Faso)Knowledge of the physico-chemical properties of soils is necessary for sustainable agriculture aimed at both increasing agricultural yields and preserving soil fertility. The objective of this study was to determine the morphological and physico-chemical characteristics of the leached ferruginous and brown eutrophic soils of the lowland of Goundi-Djoro, with a view to improving agricultural practices. To do this, soil profiles were opened and described in the field. Soil samples were taken and analyzed in the laboratory. The results show that 82% of ferruginous soils have a coarse, sandy-loamy texture. They are shallow, with low water holding capacity and many coarse elements. On the other hand, the brown soils are deep, with a fine texture of clayey (50%) and silty-clayey (37.5%) types. Their water reserves are very high, between 13.10% and 22.60%. From a chemical point of view, ferruginous soils are poor with very strongly acidic pH (4.7), low levels of nutrients and exchangeable bases. While, brown soils are fertile, with weakly acidic to neutral pH (6.62). The quality of the site's soils could be improved by organic and mineral amendments.
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Gueye, Mouhamadou Thierno, Dame Bop, Sabrina Sorlini, Aissatou Ndoye et Omar Gueye. « Impacts de la qualité des ressources en eau sur la biodiversité de l’écosystème aquatique du lac de Technopole et sur les produits agricoles dans cette zone humide de Pikine (Dakar, Sénégal) ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, no 1 (8 mars 2023) : 173–91. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i1.13.

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Résumé :
L’objectif général de ce travail était l’évaluation de la qualité des ressources en eau dans cette zone humide du Technopole de Pikine afin d’étudier les risques de dégradation de la biodiversité de l’écosystème aquatique et des produits agricoles. Ainsi, vingt-sept (27) prélèvements de ces différentes ressources en eau ont été analysés. L’étude montre la salinité du lac élevée (21g/L), provoquerait la mort de certaines espèces aquatiques, animales et végétales. En plus, les concentrations excessives des MES (85,9 mg/L), de la DCO (1789 mg/L) et de l’azote total (67,6 mg/L) diminuent l’oxygène dissous ce qui a provoqué l’absence de poissons et d’autres animaux aquatiques dans les zones du lac proche de la station d’épuration du Technopole. En ce qui concerne les eaux usées traitées et utilisées pour l’irrigation, les teneurs des MES, de la DCO et de l’azote total sont en moyenne 25 fois, 8 et 9 fois plus élevées que leur valeur limite respectivement sans compter la charge microbienne excessive (1 006 650 U/100mL). Par conséquent, une dégradation de la biodiversité et une baisse des rendements agricoles ont été constatées d’où la nécessité d’explorer la phytoépuration de ces ressources en eau dans cette zone du Technopole. English title: Quality impact of water resources on the lake's aquatic ecosystem biodiversity of Technopole and on agricultural products in this Pikine wetlandThe general objective of this work was to assess the quality of water resources in this wetland of the Pikine Technopole in order to study the risks of degradation of the biodiversity of the aquatic ecosystem and the agricultural products. Thus, twenty-seven (27) samples from these different water resources were analyzed. The study shows the high salinity of the lake (21g/L), would cause the death of certain aquatic, animal and plant species. In addition, excessive concentrations of suspended solids (85.9 mg/L), COD (1789 mg/L) and total nitrogen (67.6 mg/L) decrease dissolved oxygen, which caused the Absence of fish and other aquatic animals in the areas of the lake near the Technopole wastewater treatment plant. With regard to wastewater treated and used for irrigation, the contents of suspended solids, COD and total nitrogen are on average 25 times, 8 and 9 times higher than their limit value respectively without taking into account the load excessive microbial (1,006,650 U/100mL). Consequently, a degradation of biodiversity and a drop in agricultural yields have been observed, hence the need to explore the phytopurification of these water resources in this area of the Technopole.
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Salissou Ibrahim, Jamilou, Ibrahim Doka Dahiratou, Baradje Moussa, Harouna Maidoukia Abdoul Razack, Addam Kiari Saidou, Mahamane Sabiou, Mohamadou Youssouf, Barral Maria Teresa et Paradelo Nunez Remigio. « EFFET DES FUMURES ORGANIQUES ET DES PRATIQUES AGRICOLES SUR LES PROPRIETES PHYSICO-CHIMIQUES DES SOLS EN CULTURE PURE ET ASSOCIEE DE TOMATE DANS LARRONDISSEMENT V DE NIAMEY (NIGER) ». International Journal of Advanced Research 11, no 04 (30 avril 2023) : 963–75. http://dx.doi.org/10.21474/ijar01/16748.

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La pauvretes des sols en nutriments au Niger figure parmi les contraintes majeures a la culture maraichere.Dans ce contexte, la gestion efficace des ressources en eau et la fertilisation des sols saverent necessaires pour maintenir, rebondir les rendements des cultures et ameliorer la fertilite des sols.Lobjectifvise a ameliorerla production de la tomate, element nutritionnel de base dans lalimentation nigerienne et a une bonne gestion durable de la fertilite des sols et didentifier le modele ideal damelioration des conditions de culture de cette plante.Un dispositif experimental de Ficher a ete mis en place dans la zone de Saguia a Niamey et les traitements a base des fumures organiques (bouse des vaches, bouse de chevres et fiente des volailles), a des differentes doses ont ete appliques sur les proprietes des sols de culture de tomate.La granulometrie,le pH, la composition du complexe dechange cationique, la presence delements en trace metalliques, la stabilite des agregats, la glycoproteine de la glomaline ont ete analyses sur le sol de la couche 0-20 cm par les methodes danalyses physico-chimiques. Les resultats ont montre que les sols etudies presentent une texture sablo-limono-argileuse et un pH optimal de 8,2 favorable a la culture de tomate, du taux eleve en matiere organique. Les bases echangeables analysees ont montre quil y a une quantite importante en calcium (Ca2+) et magnesium (Mg2+). Ensuite, les teneurs en potassium (K+) et sodium (Na+) du sol presentent des valeurs acceptables pour lensemble des echantillons de solLutilisation des fumures organiques et des pratiques agricoles permettait de reduire lacidite et dameliorer lactivite biologique du sol.En occurrence lassociation et la fertilisation organique a une dose adequate sont des solutions envisageables pour ameliorer la productivite de la tomate au Niger et en particulier dans la zone de Saguia.
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Descroix, Luc, Aïda Diongue Niang, Gérémy Panthou, Ansoumana Bodian, Youssouph Sane, Honoré Dacosta, Moussa Malam Abdou, Jean-Pierre Vandervaere et Guillaume Quantin. « Évolution récente de la pluviométrie en Afrique de l’ouest à travers deux régions : la Sénégambie et le bassin du Niger moyen ». Climatologie 12 (2015) : 25–43. http://dx.doi.org/10.4267/climatologie.1105.

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La mousson ouest-africaine rythme le calendrier agricole de toute l’Afrique de l’Ouest; celui-ci est de plus en plus court au fur et à mesure que l’on se déplace vers le Nord, comme la durée et l’abondance de la mousson diminuent. Après une période de sécheresse de 1968 à 1995, l’Afrique de l’Ouest connaît plutôt depuis la fin du dernier millénaire un retour à des conditions pluviométriques plus humides; celles-ci, aux latitudes soudano-sahéliennes, sont similaires, en termes de moyenne et de variabilité interannuelle, à celles qui ont été observées de 1900 à 1950. L’objectif est de montrer en quoi l’évolution pluviométrique récente explique la dynamique hydrologique et agronomique de la région ouest-africaine, en particulier l’occurrence accrue des inondations et le faible regain des rendements agricoles en dépit du retour à une pluviométrie plus favorable. Des méthodes statistiques simples sont utilisées dans deux sous-régions, la Sénégambie et le bassin du Niger Moyen, pour mettre en évidence l’évolution, sur la période 1950-2013, des caractéristiques de la mousson qui ont un intérêt hydrologique et agronomique (cumuls annuels, pluies extrêmes, date de début et de fin et durée de la saison des pluies). On observe que les périodes 1900-1950 et 1995-2015 peuvent être considérées comme des périodes de pluviométrie moyenne, les périodes 1951-1967 et 1968-1995 étant des périodes respectivement humides et sèches. Par ailleurs, on observe une augmentation des jours de pluie de fort cumul bien plus rapide que celle de la pluie elle-même. Enfin, si la saison des pluies est à présent sensiblement plus longue que durant la phase sèche, on observe pourtant ces dernières années dans le Sahel central un retour des « mauvais » hivernages au sens agronomique du terme.
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Gheysen, Godelieve, Jan De Meutter, Tom Tytgat et August Coomans. « Sedentary endoparasitic nematodes as a model for other plant parasitic nematodes ». Nematology 2, no 1 (2000) : 113–21. http://dx.doi.org/10.1163/156854100508827.

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Résumé :
AbstractPlant parasitic nematodes are known to cause a severe reduction in crop yield. Recently much effort is being put to engineering new nematode-resistant crop cultivars. Plant parasitic nematodes occur in three widely separated orders: Triplonchida, Dorylaimida and Tylenchida. All triplonchid and dorylaimid plant parasitic nematodes are migratory ectoparasites of roots. Within the Tylenchida, several different types of plant parasitism can be recognised. The sedentary endoparasites have the most complex interaction with their host, and are responsible for the vast majority of the agricultural damage. This causes most research to be concentrated on two groups of the sedentary endoparasitic nematodes: cyst- and root-knot nematodes. Both induce specialised feeding structures in the vascular cylinder of the plant root. The mechanism of phytoparasitism of the cyst- and root-knot nematodes is reviewed, of which some aspects will be applicable to the study of the other plant parasitic nematodes. Les nématodes parasites de plantes sont connus pour provoquer de sévères réductions dans les rendements des cultures. Actuellement, un effort se développe pour créer de nouveaux cultivars résistants aux nématodes. Les nématodes parasite de plantes appartiennent à trois ordres très éloignés: Triplonchida, Dorylaimida et Tylenchida. Tous les nématodes parasites de plantes chez les Triplonchida et Dorylaimida sont des ectoparasites migrateurs. Chez les Tylenchida, plusieurs types différents de parasitisme peuvent être identifiés. Les endoparasites sédentaires ont l’interaction la plus complexe avec leur hôte et sont responsables de la plus grande part des dégâts agricoles. C’est la raison pour laquelle la plupart des recherches sont concentrées sur deux groupes de nématodes endoparasites sédentaires, les nématodes à kystes et les nématodes galligènes. Ces deux groupes induisent des structures d’alimentation spécialisées dans les tissus vasculaires de la racine végétale. Le mécanisme parasitaire des nématodes à kystes et galligènes est revu, certaines de leurs caractéristiques pouvant être applicables à l’étude des autres nématodes phytoparasites.
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TEDE, Sabine, Epiphane SODJINOU et Léonard Cossi HINNOU. « Déterminants de l’adoption des technologies de sédentarisation de la production d’igname au Centre-Bénin : une analyse basée sur la régression probit ». Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 13, no 1 (30 juin 2023) : 85–100. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v13i1.86.

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Résumé :
La production de l’igname, basée essentiellement sur des cultures itinérantes sur brûlis dans les forêts naturelles ou les savanes arborées, entraîne la dégradation des terres, l’appauvrissement des sols et la perte de la biodiversité. Afin de remédier à ces problèmes, les systèmes agroforestiers sont promus en tant que pratiques agricoles alternatives visant à améliorer la fertilité des sols, les rendements de l'igname et la préservation de l'environnement par le biais de la sédentarisation de la production d'igname. La présente étude avait pour objectif d’analyser les déterminants de l’essai et de l’adoption de deux technologies de sédentarisation : la rotation Mucuna pruriens var utilis-igname et l’association Gliricidia sepium-igname. Les données ont été collectées auprès de 173 producteurs d’igname sélectionnés de manière aléatoire dans quatre communes du département des Collines, au Centre-Bénin. L'analyse de régression probit a montré que l’alphabétisation, l’accès au crédit et la participation à une formation sur la gestion de la fertilité des sols sont des facteurs déterminant positivement l’essai des différentes technologies. Les producteurs vivant proches des marchés ont une plus grande propension à expérimenter les technologies de sédentarisation pour la production d'igname par rapport à ceux qui se trouvent à une distance relativement plus éloignée de ces marchés. Une fois les technologies testées, la disponibilité de main-d’œuvre, la capacité des technologies à restaurer la fertilité des sols, à améliorer le rendement de l’igname et le revenu, à maintenir la qualité de l’igname, voire à contrôler les adventices deviennent cruciales dans la décision finale du producteur d’adopter lesdites technologies. Après l’essai des technologies, l’appui-conseil sur les aspects techniques devient moins important si les producteurs n’ont pas accès au crédit nécessaire pour mettre en œuvre ces technologies. Par conséquent, l’appui-conseil aux producteurs ayant déjà testé la technologie devrait accorder une attention particulière à faciliter l'accès à un crédit adéquat.
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Boujenane, I. « Estimation des paramètres génétiques et phénotypiques de la production laitière des vaches de race Frisonnes Holstein au Maroc ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, no 1 (1 janvier 2002) : 63. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9848.

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Résumé :
L’héritabilité et la répétabilité du rendement laitier, de la quantité de matières grasses et du taux butyreux, ainsi que leurs corrélations génétiques et phénotypiques, ont été estimées en utilisant un modèle animal à partir de 20 140 données relevées sur 11 618 vaches Frisonnes Holstein soumises au contrôle laitier officiel au Maroc, entre 1990 et 1999. Les héritabilités du rendement laitier, de la quantité de matières grasses et du taux butyreux ont été respectivement de 0,29, 0,27 et 0,39, leurs répétabilités ont été respectivement de 0,33, 0,32 et 0,39. Les corrélations génétiques du rendement laitier avec la quantité de matières grasses et le taux butyreux ont été respectivement de 0,96 et –0,32, et celle de la quantité de matières grasses avec le taux butyreux a été de –0,06. Les corrélations phénotypiques ont été de 0,96 entre les rendements en lait et en matières grasses, de –0,28 entre le rendement en lait et le taux butyreux, et de –0,03 entre le rendement en matières grasses et le taux butyreux. Il a été conclu que ces paramètres génétiques et phénotypiques pourraient être utilisés pour l’estimation des valeurs génétiques des bovins laitiers au Maroc.
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Diaby, Mahamadou, Yenizié Kone, Kalifa Traore, Alpha Seydou Maiga et Anewin Moïse Togo. « Analyse des déterminants de l’adoption de la Régénération Naturelle Assistée (RNA) dans la zone soudano-sahélienne : cas des cercles de Diéma et Kolokani au Mali ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no 2 (12 mai 2020) : 473–85. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i2.14.

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Résumé :
Au Mali, les systèmes de production agricole sont fortement tributaires des précipitations, ce qui explique l’impact direct de la variabilité du climat sur la sécurité alimentaire et les moyens de subsistance des ménages agricoles. La Régénération Naturelle Assistée (RNA) est l’une des stratégies d’adaptation qui permet d’accroître la résilience des exploitations agricoles face aux aléas climatiques. Cette étude vise à analyser les déterminants de l’adoption de la RNA dans les cercles de Diéma et de Kolokani, au Mali. Un échantillonnage aléatoire a été utilisé pour enquêter 594 exploitations agricoles dont 363 adoptants la RNA et 231 non-adoptants. Les résultats de l’estimation du modèle Logit montrent que la formation en RNA, la cueillette, l’utilisation des fertilisants, la perception sur la fertilité des champs et les revenus entrainent une augmentation de la probabilité d’adoption de la RNA. Par contre l’âge, l’accès au crédit, la possession du bétail et la perception sur le choc climatique ont une influence négative sur l’adoption de la RNA. Les résultats de l’estimation du modèle Logit montrent que la formation en RNA, la cueillette, l’utilisation des fertilisants, la perception sur la fertilité des champs et les revenus entrainent une augmentation de la probabilité d’adoption de la RNA. Les analyses plus minutieuses seront réalisées avant, en cours et après chaque étape d’adoption de la RNA afin de déterminer les tendances spatio-temporelles de la RNA. L’extension de la recherche sur la RNA dans d’autres zones agro-écologiques contribuera sans doute à la détermination des impacts de la RNA sur le bien-être des communautés rurales. Mots clés: enquête, adoptants, non adoptants, exploitations agricoles ; modèle Logit. Englist Title: Analysis of the determinants of Farmer Managed Natural Regeneration (FMNR) adoption in Sudano-Sahelian zone: case of Diema and Kolokani district, in Mali In Mali, agricultural production systems are highly dependent on rainfall, which explains the direct impact of climate variability on food security and livelihoods of agricultural households. Farmer Managed Natural Regeneration (FMNR) is one of the adequate strategies that may increase the resilience of agricultural households facing to climate constraints. This study aims to analyze the determinants of FMNR adoption in the areas of Diema and Kolokani, in Mali. Random sampling was used to investigate 594 agricultural households, which including 363 adopters of FMNR and 231 non-adopters. Results estimation from the Logit model show that FMNR training, harvesting, fertilizer utilization, perceptions of field fertility and income increase the probability of FMNR adoption. On the other hand, age, access to credit, possession of livestock and perception on the climate shock have a negative influence on FMNR adoption. The results of the logit model estimation show that training on FMNR, harvesting, fertilizer use, field fertility perception and income increase the probability of FMNR adoption. More detailed analyses will be conducted before, during and after each phase of FMNR adoption to determine the spatial-temporal trends of FMNR. The extension of FMNR research to other agro-ecological areas will undoubtedly contribute to the determination of FMNR impacts on rural communities’ well-being. Keywords: survey, adopters, non-adopters, farms, logit model.
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Kamga, Eléonore, André Kamga, Fritz Tabi Oben, Eléazar Tchemtchoua et Georges Etame Kossi. « Culture du café robusta (Coffea canephora) : risques liés à la variabilité et au changement climatique dans le bassin de production du Moungo, Littoral-Cameroun ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 16, no 1 (8 juin 2022) : 353–66. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v16i1.30.

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Résumé :
Le climat est l’un des facteurs les plus importants de la production des cultures. Il influence tant positivement que négativement l’ensemble des activités agricoles et a une action marquée sur le rendement des cultures. Les changements présents dans les éléments constituant le climat permettent de comprendre le niveau de productivité actuel, de concevoir et/ou modifier les pratiques des producteurs. L’objectif de cette étude était de déterminer l’effectivité d’un changement du climat et d’identifier les risques possibles de ces changements climatiques sur la culture du Café Robusta. La série de données de 44 ans (1974 -2017) pour les précipitations et le nombre de jours de pluie, celle de 38 ans (1980 - 2017) pour les températures moyennes et celle de 37 ans (1981 -2017) pour l’humidité relative moyenne, ont été obtenues à la station météorologique de Nkongsamba. Ces séries ont été ensuite découpées en deux périodes de 30 ans chacune. La détection des changements dans les séries s’est faite par le logiciel changepoint.np de R et la méthode PELT, tandis que la comparaison des deux périodes de 30 ans chacune s’est faite à l’aide du test de Student et celui de Wilcoxon. Les résultats ont montré que les changements climatiques sont réels dans le bassin de production du Moungo. Ils sont caractérisés par l’augmentation des températures moyennes de 0,9°C, couplée à une réduction de 20 jours de pluie et la baisse de 1,3% de l’humidité relative. Par ailleurs une réduction de 10 jours de pluies entre les deux périodes de 30 ans a été observée. Elle est couplée à une augmentation des températures moyennes de 0,8°C. Les risques causés par ces changements sur la culture du café robusta sont légers. Toutefois ces changements concourent aux conditions favorables de développement du principal ravageur du caféier Hypothenemus hampei. L’association du café avec des espèces agroforestières, ainsi qu’une protection phytosanitaire adéquate, peut réduire la pression du ravageur et augmenter les rendements du café.
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Palé, Sié, Farid Traoré, Joost Wellens, Cyrille Bassolo Baki, Aboubakar Sako et Bernard Tychon. « Estimation des surfaces irriguées ripariennes à l’aide de Earth Engine. Une étude de cas dans le sous-bassin versant de la Haute-Comoé, Burkina Faso ». Cahiers Agricultures 33 (2024) : 1. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2023023.

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Résumé :
La mise au point d’une méthode automatique d’estimation des surfaces irriguées par les petits exploitants agricoles en Afrique aux abords des cours d’eau, à partir d’outils libres et de données satellitaires gratuites, reste un défi majeur à cause de la diversité des cultures qui y sont pratiquées, de l’étroitesse des parcelles, de la variabilité des cycles culturaux et de la similarité des réflectances des zones irriguées, des zones humides enherbées et de la végétation arborée riparienne. Cet article visait donc à développer une méthode qui permette d’extraire les surfaces agricoles irriguées par les agriculteurs informels le long des berges du fleuve Comoé au cours de la campagne agricole de saison sèche. Pour ce faire, une image composite, obtenue des images de janvier 2019 des satellites Sentinel-1 et 2, combinée à des indices spectraux dérivés et sensibles aux surfaces irriguées (NDVI, MNDWI et NBR2), a fait l’objet d’une classification supervisée à l’aide du classificateur Random Forest sur la plateforme Earth Engine, après une série de masquages automatiques des sols nus, des surfaces des plans d’eau, des infrastructures et de la forêt galerie. Testée sur des données de janvier 2019, pendant laquelle la plupart des agriculteurs ont mis en place leurs cultures, la méthode proposée permet d’estimer efficacement les superficies irriguées. Elle a permis de distinguer les classes ‘zones irriguées’ et ‘zones humides enherbées’ avec une précision globale de 98 %, un coefficient Kappa de 0,91 et des F-scores respectifs de 99 % et 92 %. L’étude a ainsi montré qu’il est possible de développer à moindre coût une méthode automatique et efficace d’évaluation de surfaces irriguées ripariennes à partir de la plateforme Earth Engine.
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Dubreuil, Vincent, Damien Arvor et Nathan Debortoli. « Monitoring the pioneer frontier and agricultural intensification in Mato Grosso using SPOT vegetation images ». Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no 200 (19 avril 2014) : 2–11. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2012.56.

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Résumé :
La production de soja a augmenté de manière considérable les dix dernières années au Mato Grosso, atteignant 17,9millions de tonnes en 2009 (contre 7,2 en 1998). Une telle expansion a eu de graves conséquences environnementales et socio-économiques, telles que la déforestation et l'urbanisation. L'objectif de cet article est de mettre en avant l'efficacité des techniques de télédétection et des indices qui en découlent, tels que le NDVI, pour analyser l'avancée des champs de soja au Mato Grosso ainsi que la transformation de l'agriculture dans cetÉtat. L'indice NDVI a été calculé à partir de séries mensuelles du capteur SPOT-Vegetation. Il a permis de trouver les zones cultivées et de surveiller la croissance des cultures. Il a aussi permis la détection des pratiques de gestion de double culture, qui se sont drastiquement accrues depuis quelques années. Les résultats ont montré une corrélation de 0,98 entre notre estimation des zones cultivées et les statistiques agricoles officielles de l'IBGE pour l'intégralité du Mato Grosso. Les séries temporelles de NDVI ont également confirmé l'augmentation des systèmes de double culture, représentant 30% des zones cultivées en 1999, 57% en 2006 et 67% en 2009. Cette évolution est un indicateur de la diversification de l'agriculture et de l'intensification des traitements dans cette région. En outre, la surveillance des grandes clairières récentes au niveau local (comté de Vera) a montré une réduction de l'écart entre trois états consécutifs conduisant à l'intensification des pratiques agricoles. En se fondant sur notre méthodologie, nous avons finalement proposé une classification des municipalités selon leurs modes d'usages du sol dominants.
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Labrosse, P. « Estimation des stocks de poissons des lagons de Nouvelle-Calédonie : 3 – Pression de pêche, rendements potentiels et impact sur les options d'aménagement. » Aquatic Living Resources 13, no 2 (mars 2000) : 91–98. http://dx.doi.org/10.1016/s0990-7440(00)00143-1.

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Makaya-Makosso, Lydie Marie Yebas, Daniel Dibue Muntamba, Lambert Moundzeo, Roger Vumilia Kizungu, Budeh Wickler Kindiela Nzobadila et Enoch Yamba Yamba Kaboza. « Comparison of the performances of six (6) introduced varieties of rainfed rice (<i>Oryza</i> ; sp) in two agroecological zones in south-west of Republic of Congo ». Revue Africaine d’Environnement et d’Agriculture 6, no 4 (9 janvier 2024) : 90–99. http://dx.doi.org/10.4314/rafea.v6i4.10.

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Résumé :
Description of subject. The National Institute of Agronomic Research (IRA), with the collaboration of Africa-Rice, introduced around one hundred varieties of rainfed rice in 2010 in the Republic of Congo. This action helps to correct the food deficit, reduce massive rice imports and address food insecurity in the country. It has led to the identification of six (6) varieties of rice with interesting adaptability skills.Objective. This study aims to assess and compare the production potential of the six (6) varieties of rainfed rice in southwestern Congo.Methods. The study was carried out during the 2015 - 2016 and 2016 - 2017 agricultural seasons, in the Loudima (savannah) and Sibiti (forest) Research Stations. It relied on agro-morphological parameters and yield. This is a Fisher block experimental set-up with six (6) treatments and three (3) replicates.Results. The results show that the yields obtained during the 2015 - 2016 campaign are 1.98 ± 0.35 to 2.76 ± 0.55 t / ha for Loudima and 3.86 ± 0.96 to 4.81 ± 0.92 t/ha for Sibiti. The number of tillers per foot being from 13.67 ± 1.2 to 16.3 ± 3.8 for Sibiti and 4.33 ± 0.58 to 7 ± 1 for Loudima. Likewise, the yields at the two stations in 2016-2017 are respectively 6.53 ± 1.67 to 9.33 ± 0.45 and 4.1 ± 0.35 to 4.47 ± 0.21 t/ha. The number of tillers, being from 13.33 ± 1.5 to 15 ± 1 for Sibiti and 9.67 ± 3.1 to 18.33 ± 3.2 for Loudima.Conclusion. These results confirm that the six (6) varieties of rainfed rice present very encouraging production potential in the two localities. They represent a solid basis for the revival of this agricultural sector which will contribute to food security and to fight against poverty in the country. Description du sujet. L'Institut National de Recherche Agronomique (IRA), avec la collaboration d'Africa-Rice, a introduit une centaine de variétés de riz pluvial en 2010 en République du Congo. Cette action contribue à corriger le déficit alimentaire, à réduire les importations massives de riz et à lutter contre l'insécurité alimentaire dans le pays. Elle a permis d’identifier six (6) variétés de riz présentant des capacités d’adaptabilité intéressantes.Objectif. Cette étude vise à évaluer et comparer le potentiel de production des six (6) variétés de riz pluvial au sud-ouest du Congo.Méthodes. L'étude a été réalisée au cours des campagnes agricoles 2015-2016 et 2016-2017, dans les stations de recherche de Loudima (savane) et de Sibiti (forêt). Elle s'est appuyée sur des paramètres agro-morphologiques et sur le rendement. Il s'agit d'une configuration expérimentale en bloc Fisher avec six (6) traitements et trois (3) répétitions.Résultats. Les résultats montrent que les rendements obtenus lors de la campagne 2015 - 2016 sont de 1,98 ± 0,35 à 2,76 ± 0,55 t/ha pour Loudima et de 3,86 ± 0,96 à 4,81 ± 0,92 t/ha pour Sibiti. Le nombre de talles par pied étant de 13,67 ± 1,2 à 16,3 ± 3,8 pour Sibiti et de 4,33 ± 0,58 à 7 ± 1 pour Loudima. De même, les rendements aux deux stations en 2016-2017 sont respectivement de 6,53 ± 1,67 à 9,33 ± 0,45 et de 4,1 ± 0,35 à 4,47 ± 0,21 t/ha. Le nombre de talles, étant de 13,33 ± 1,5 à 15 ± 1 pour Sibiti et de 9,67 ± 3,1 à 18,33 ± 3,2 pour Loudima.Conclusion. Ces résultats confirment que les six (6) variétés de riz pluvial présentent un potentiel de production très encourageant dans les deux localités. Ils représentent une base solide pour la relance de ce secteur agricole qui contribuera à la sécurité alimentaire et à lutter contre la pauvreté dans le pays.
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Montagnini, Florencia, Muhammad Ibrahim et Enrique Murgueitio Restrepo. « Systèmes silvopastoraux et atténuation du changement climatique en Amérique latine ». BOIS & ; FORETS DES TROPIQUES 316, no 316 (1 juin 2013) : 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.316.a20528.

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Résumé :
La production de bétail fait partie de la culture des peuples et est importante pour la nutrition et le bien-être humain. Cependant, le bétail d'élevage conventionnel est une source de gaz à effet de serre (Ges). La séquestration du carbone dans la végétation et les sols peut être améliorée tandis que les émissions de Ges peuvent diminuer avec le pâturage contrôlé, des espèces fourragères appropriées, et l'utilisation de systèmes sylvopastoraux (Sps) combinant arbres, arbustes et pâturages. En outre, les Sps favorisent l'adaptation au changement climatique avec les effets améliorateurs des arbres sur les températures de l'air qui limitent le dessèchement des pâturages et améliorent le bien-être et la productivité des animaux. Plusieurs types de Sps sont très répandus dans les paysages agricoles de l'Amérique latine. Dans les Sps intensifs (Isps), comprenant des banques de fourrage avec des espèces ligneuses plantées à haute densité, les rendements sont supérieurs à l'élevage conventionnel, en raison d'une plus grande densité de bétail et du gain de poids plus élevé des animaux. Les recherches en Colombie, au Nicaragua et au Costa Rica montrent que les Sps ont plus de carbone dans la biomasse aérienne et dans les sols que dans les pâturages dégradés. Dans les Sps, le bois des arbres fruitiers, plantés ou de régénération naturelle, augmente les stocks de carbone et les taux de séquestration. Les espèces arborées locales peuvent être utilisées dans les Sps avec de bons résultats en termes de productivité, de restauration des sols, de séquestration du carbone et de conservation de la biodiversité. L'utilisation de Sps contribue à la séquestration du carbone dans les arbres et dans les sols, tandis que l'établissement des plantations forestières et la conservation des forêts secondaires augmentent la séquestration et le stockage du carbone à l'échelle du paysage. Les Sps et surtout les Isps peuvent contribuer à atténuer le changement climatique car ils peuvent avoir un bilan Ges positif. En Amérique latine, les Isps aux résultats positifs ont été adaptés à des niveaux régionaux. Des mesures incitatives telles que le paiement des services environnementaux ainsi que l'assistance technique peuvent stimuler l'adoption des Sps contribuant ainsi à l'atténuation du changement climatique tout en préservant les moyens de subsistance en milieu rural.
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F. M. Ali, Rachad Kolawolé. « Impacts Socio-économiques et Environnementaux de l’Exploitation des Ressources Ligneuses dans la Commune de Kétou au Sud–est du Benin ». European Scientific Journal, ESJ 19, no 18 (30 juin 2023) : 170. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n18p170.

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Résumé :
L’exploitation du bois pour satisfaire les besoins socioéconomiques (source d’énergie, de service et d’œuvre) ne fait qu’accroître au jour le jour avec des effets sur l’environnement dans la Commune de Kétou. La présente étude vise à évaluer les impacts socio-économiques et environnementaux de l’exploitation des ressources ligneuses dans la commune de Kétou. Pour atteindre cet objectif, l’approche méthodologique adoptée est basée sur la collecte des données, le traitement des données et l’analyse des résultats. La matrice de Léopold (1971) a été utilisée pour déterminer les sources d’impacts sur les composantes de l’environnement. La collecte des données a été réalisée en milieu réel et à travers la recherche documentaire dans divers centres de documentation. Les enquêtes ont été menées auprès de 134 personnes. Les résultats ont montré que pour les besoins en énergie, (25 %) des bois de feu proviennent des forêts et (75 %) viennent des champs appartenant aux privés. Le bois de feu demeure le combustible le plus utilisé par les ménages (95 %). Le charbon (65 %) produit issu de la transformation du bois vient en deuxième position comme combustible. La baisse du pouvoir d’achat, la chute des rendements agricoles due à l’irrégularité des pluies, à la pauvreté des terres cultivables de jachère ont poussé des paysans (85 %) et commerçants (25 %) de la Commune de Kétou à associer aux activités agricoles la vente du bois de feu et l’exploitation forestière. En effet, (98 %) des charbonniers interrogés se plaignent de façon récurrente de la fatigue, de la maladie de dos et de courbature. Selon 100% des tradi-thérapeutes, la disparition progressive des espèces végétales les plus utilisés telles que : Bombax costatum Manilkara multinervis, Vitellaria paradoxa, Pterocarpus erinaceus, Isober linadoka, Daniellia olivera, Chlophora excelsa fait penser à un drame. The exploitation of wood to meet socio-economic needs (source of energy, service and work) is only increasing day by day with effects on the environment in the Commune of Kétou. This study aims to assess the socio-economic and environmental impacts of the exploitation of wood resources in the municipality of Kétou. To achieve this objective, the methodological approach adopted is based on data collection, data processing and analysis of results. Leopold's matrix (1971) was used to determine the sources of impacts on the components of the environment. Data collection was carried out in a real environment and through documentary research in various documentation centers. The surveys were conducted with 134 people. The results showed that for energy needs, (25%) of firewood comes from forests and (75%) comes from fields belonging to private individuals. Firewood remains the fuel most used by households (95%). Charcoal (65%) produced from the transformation of wood comes in second place as fuel. The drop in purchasing power, the drop in agricultural yields due to the irregularity of the rains, the poverty of the cultivable fallow land have prompted farmers (85%) and traders (25%) in the Commune of Kétou to associate to agricultural activities the sale of firewood and logging. In fact, (98%) of the coal miners surveyed repeatedly complain of fatigue, back pain and aches. According to 100% of traditional therapists, the progressive disappearance of the most used plant species such as: Bombax costatum Manilkara multinervis, Vitellaria paradoxa, Pterocarpus erinaceus, Isober linadoka, Daniellia olivera, Chlophora excelsa is reminiscent of a drama.
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