Articles de revues sur le sujet « Esclavage au Brésil »

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Confino, Michael. « Servage Russe, Esclavage Américain (Note Critique) ». Annales. Histoire, Sciences Sociales 45, no 5 (octobre 1990) : 1119–41. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1990.278894.

Texte intégral
Résumé :
L'historiographie moderne a produit deux genres de recherches comparées relatives à l'esclavage aux États-Unis et au servage en Russie. D'un côté, ce dernier (qui se constitua au début du XVIIe siècle et fut aboli en 1861) a été comparé habituellement au servage en Pologne, en Prusse et dans d'autres pays du Centre et de l'Est européen ayant connu ou non une « deuxième édition » du servage au début de l'âge moderne. L'esclavage aux États-Unis (en usage du XVIIe siècle à 1865) a été étudié en relation avec celui d'autres parties du Nouveau Monde et surtout du Brésil et des Antilles.
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2

Thornton, John K. « Les États de l’Angola et la formation de Palmares (Brésil) ». Annales. Histoire, Sciences Sociales 63, no 4 (août 2008) : 769–97. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900025841.

Texte intégral
Résumé :
RésuméAu début du XVIIe siècle, les esclaves en fuite créèrent les mocambos de Palmares et en firent un véritable État à l’intérieur du Brésil, gouverné par un roi et une classe dirigeante. Les historiens s’interrogent sur les origines de cet État, sur sa structure et ses institutions. Pourquoi un État hiérarchique ? La réponse est à chercher dans l’origine géographique des esclaves africains, dont beaucoup venaient d’Angola. Avant d’être réduits en esclavage, la plupart d’entre eux avaient été enrôlés dans les armées des États guerriers de la région et, selon John Thornton, c’est dans ces structures militaires que les esclaves sont allés chercher le modèle qui a conduit à l’élaboration d’une formation politique d’un type nouveau.
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Castanho, Pablo. « Violence et Criminalité en banlieue : réflexion sur les écueils de la Kulturarbeit au Brésil ». Revue de psychothérapie psychanalytique de groupe 81, no 2 (5 septembre 2023) : 151–59. http://dx.doi.org/10.3917/rppg.081.0151.

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Résumé :
Ce texte reprend un travail précédent de l’auteur sur les aspects psychiques et culturels dans une communauté de banlieue, avec des taux très élevés de violence physique diffuse, en proposant d’interroger ses conclusions à la lumière des développements récents sur le statut des alliances inconscientes dans la constitution du lien social au Brésil. Nous présentons du matériel clinique de groupe et institutionnel issu de notre expérience professionnelle précédente dans un établissement public de santé. Ce matériel suggère que si des conflits de toutes sortes sont mal vus dans cette communauté, la violence physique est souvent perçue et vécue comme un moyen nécessaire pour exister et se lier aux autres. Nous revisitons l’histoire brésilienne pour proposer que cela soit le réflexe d’une configuration de lien forgée par l’esclavage. En conclusion, nous proposons que la dynamique de cette communauté soit comprise dans le contexte plus large des alliances inconscientes, à l’échelle nationale, qui soutiennent massivement le désaveu et mettent fortement en danger le contrat narcissique originel de la partie la plus vulnérable de la population.
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4

Michel, Aurélia. « Hebe Mattos Les couleurs du silence. Esclavage et liberté dans le Brésil du xixe siècle trad. par A. Fléchet, Paris/Aubervilliers, Khartala/CIRESC, [1995] 2019, 359 p. » Annales. Histoire, Sciences Sociales 78, no 4 (décembre 2023) : 839–42. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2024.21.

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Martig, Alexis. « Domination et servitude dans le Brésil rural contemporain : le « travail esclave » rural migrant ». Anthropologie et Sociétés 41, no 1 (21 juin 2017) : 69–90. http://dx.doi.org/10.7202/1040268ar.

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Résumé :
Cet article se propose d’analyser le phénomène du « travail esclave » rural migrant apparu au Brésil depuis les années soixante. Pour ce faire, il part du discours de travailleurs ruraux libérés d’une situation de « travail esclave » pour montrer les différents aspects qui caractérisent la relation de domination du « travail esclave » rural migrant (tromperie, dette économique et dépersonnalisation). Il s’agira de penser, en la mettant en perspective avec d’autres formes traditionnelles de domination en milieu rural, la spécificité et l’historicité du « travail esclave ». On montrera ensuite comment le « travail esclave » constitue un « mode d’exploitation » et une relation de servitude en termes d’excès de domination dépassant la relation de dette économique et impliquant un rapport aux droits et à la citoyenneté symbolique. Enfin, on élargira la réflexion au contexte global de l’économie capitaliste en montrant comment l’analyse du « travail esclave » rural migrant peut contribuer aux réflexions sur l’esclavage contemporain.
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Mazzaroba, Orides, et Matheus Felipe De Castro. « História do direito constitucional brasileiro : a constituição do Império do Brasil de 1824 e o sistema privado escravocrata / History of brazilian constitutional law : the Constitution of the Empire of Brasil of 1824 and the slavery private system/ Histoire du droit constitutionnel bresilien : la Constitution Imperiale Bresilienne et le systeme esclave ». Revista Brasileira de Direito 13, no 2 (18 août 2017) : 99. http://dx.doi.org/10.18256/2238-0604/revistadedireito.v13n2p99-119.

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Résumé :
RESUMO:O presente artigo tem por tema a história da Constituição do Império do Brasil de 1824, objetivando abrir um flanco de análise por meio das suas relações com o sistema escravocrata brasileiro então vigente. O problema de pesquisa se concentra exatamente numa aparente contradição entre um texto de uma constituição de modelo liberal econômico e o funcionamento de um sistema econômico privado incompatível, a princípio, com aquelas declarações. Parte-se da hipótese de que o problema não pode ser analisado numa relação de separação entre teoria e prática, mas, ao contrário, através de uma interpenetração dessas instancias através da Lei e do funcionamento efetivo das instituições estatais. O marco teórico adotado no texto para a análise é o materialismo histórico e os autores que serviram de base para a pesquisa se inscrevem nesse contexto. O método escolhido foi o dedutivo e o artigo está dividido em introdução, capítulo analítico, considerações finais e referenciais bibliográficos. PALAVRAS-CHAVE:Direitos Fundamentais; Relações Privadas; Constitucionalismo; Liberdade; Escravidão.ABSTRACT:The subject of this article is the history of the constitution of the Empire of Brazil, in 1824, aiming to open an analytical side thrugh its relations with the brazilian enslave system current then. The research problem is concentrate precisely in an apparent contradition between a text of a constitution of economic liberal model and the operation of private economic system incompatible, initially, with those statements. It started from the hypothesis that the problem can´t be analyzedin a relationship of separation between theory and practice, but, instead, by an interpenetration of this instances through the law and the effective functioning of state institutions. The theoretical framework adopted in the text for analysis in the historical materialism and the authors used as a basis for research are inscribed in this context. The deductive method was chosen analytical chapter, final considerations and bibliografic references.KEYWORDS:Fundamental Rights; Private Relations; Constitutionalism; Freedom; Slavery.RÉSUMÉ: Cet article est soumis l'histoire de la Constitution de l'Empire du Brésil, visant à ouvrir un côté analytique à travers ses relations avec le système esclavagiste brésilien alors en vigueur. Le problème de la recherche se concentre précisément dans une apparente contradiction entre un texte d'une constitution du modèle libéral économique et le fonctionnement du système économique privé incompatible, en commençant par ces déclarations. Il a commencé à partir de l'hypothèse que le problème ne peut pas être analysé dans une relation de séparation entre la théorie et la pratique, mais plutôt par une interpénétration de ces instances par la loi et le fonctionnement efficace des institutions de l'Etat. Le cadre théorique adopté dans le texte pour l'analyse est le matérialisme historique et les auteurs ont utilisé comme base pour la recherche sont inscrits dans ce contexte. La méthode choisie a été le déductive et l'article est divisé en introduction, chapitre analytique, les conclusions et les références bibliographiques.MOTS-CLÉS: Droits Fondamentaux; Relations Privées; Constitutionnalisme; Liberté; Esclavage.
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Hunold Lara, Silvia. « L'esclavage africain et le travailleur esclave au Brésil ». Dialogues d'histoire ancienne 19, no 1 (1993) : 205–30. http://dx.doi.org/10.3406/dha.1993.2082.

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Hayes, Kelly, et Jerome Handler. « Escrava Anastácia : The Iconographic History of a Brazilian Popular Saint ». African Diaspora 2, no 1 (2009) : 25–51. http://dx.doi.org/10.1163/187254609x430768.

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Résumé :
Abstract This article describes the transformation of an image depicting an unnamed, enslaved African man wearing a metal facemask, a common form of punishment in colonial Brazil, into the iconic representation of the martyred slave Anastácia/Anastasia, the focus of a growing religious and political movement in Brazil. The authors trace the image to an early 19th century engraving based on a drawing by the Frenchman Jacques Arago. Well over a century later, Arago's image increasingly became associated with a corpus of myths describing the virtuous suffering and painful death of a female slave named Anastácia. By the 1990s, Arago's image (and variations of it), now identified as the martyred Anastácia/Anastasia, had proliferated throughout Brazil, an object of devotion for Catholics and practitioners of Umbanda, as well as a symbol of black pride. Cet article décrit la transformation de l'image d'un esclave Africain inconnu, portant un masque de métal, une forme courante de punition dans le Brésil colonial.Cette représentation iconique de l'esclave martyr, Anastacia/Anastasia est devenue le noyau d'un mouvement politique et religieux d'importance croissante au Brésil.Les auteurs font remonter cette image à une gravure du début du 19ème siècle, fondée sur un dessin du français Jacques Arago. Plus d'un siècle après, le dessin d'Arago a été graduellement associé à un corpus de mythes décrivant les souffrances, la vertu et la mort douloureuse d'une femme esclave appelée Anastacia. Vers 1990 l'image dessinée par Arago (et ses variations), à présent identifiées à la martyre Anastacia/Anastasia était répandue dans tout le Brésil, l'objet de dévotion de la part de catholiques et de fidèles de l'Umbanda ainsi qu'un symbole de la fierté noire.
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Dell’Aira, Alessandro. « Le navire de la reine et du saint esclave de la Méditerranée au Brésil ». Cahiers de la Méditerranée, no 65 (15 décembre 2002) : 329–39. http://dx.doi.org/10.4000/cdlm.40.

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Chemla, Yves. « Ouidah – Bahia : de la postmémoire au théâtre mémoriel ». Études littéraires africaines, no 43 (25 août 2017) : 67–81. http://dx.doi.org/10.7202/1040916ar.

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Résumé :
Dans les trois romans étudiés (Le Vice-roi de Ouidah de Bruce Chatwin, Esclaves de Kangni Alem et Les Fantômes du Brésil de Florent Couao-Zotti), le traitement du conflit de mémoire vise à dénouer des fils particulièrement embrouillés dans un récit qui fait la part belle à l’émotion ainsi qu’au ressentiment, au détriment du souci de la vérité. Les deux premiers romans proposent un récit de la transmission depuis le point de vue de certains de ses acteurs : un négrier célèbre, De Souza, dit Chacha, et un esclave, autrefois proche du roi d’Abomey, qui parvient à rentrer de Bahia. Ils remettent en cause les mythifications diverses dont ces histoires ont été l’objet. Le troisième se situe à l’époque contemporaine et montre ce qu’il advient des êtres dès lors que ces mythifications anciennes perdurent et qu’elles fonctionnent comme des leurres qui empêchent les sociétés de se confronter à la réalité.
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Lemozy, Fabien. « Retour sur la notion de « travail esclave » au Brésil : ZARA et les travailleurs migrants boliviens ». Problèmes d'Amérique latine N°112, no 1 (2019) : 115. http://dx.doi.org/10.3917/pal.112.0115.

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Price, Richard. « aperçu des marrons aux Amériques ». Recherches Francophones : Revue de l'Association internationale d'étude des littératures et des cultures de l'espace francophone (AIELCEF) 2, no 1 (30 juin 2022) : 11–23. http://dx.doi.org/10.26443/rcfr.v2i1.384.

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Résumé :
Le marronnage était une forme de résistance capitale pour les esclaves, qu’elle fût entreprise par des individus seuls, par des petits groupes, ou dans de grandes rébellions de masse. Partout, des communautés marronnes se dressaient comme des défis héroïques devant l’autorité coloniale, comme preuves vivantes de l’existence d’une conscience esclave, qui refusait d’être limitée par la conception ou la manipulation des Blancs. Pendant plus de quatre siècles, des communautés fondées par des esclaves auto-libérés se sont répandues aux marges de l’Amérique des plantations du Brésil au sud-est des États-Unis, du Pérou au sud-ouest des États-Unis. Connues en espagnol sous le nom de Palenques et en brésilien comme quilombos ou mocambos, ces nouvelles sociétés étaient d’échelles diverses : minuscules bandes éteintes en moins d’une année ou puissants États comptant des milliers de membres, se perpétuant sur des générations voire des siècles. Cette étude a pour objectif de présenter le marronnage et les Marrons aux Amériques, dans tous les territoires et toutes les langues et permettre de comprendre les raisons pour lesquelles le marron est érigé en héros dans les espaces anciennement colonisés.
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Gellard, Matthieu. « Charlotte de Castelnau-L’Estoile. Páscoa et ses deux maris. Une esclave entre Angola, Brésil et Portugal au xviii e siècle . Paris, PUF, 2019, 303 p. » Histoire, économie & ; société 38e année, no 4 (10 décembre 2019) : III. http://dx.doi.org/10.3917/hes.194.0127c.

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Poutrin, Isabelle. « Charlotte de Castelnau-L’Estoile Páscoa et ses deux maris. Une esclave entre Angola, Brésil et Portugal au xviie siècle Paris, PUF, 2019, 302 p. » Annales. Histoire, Sciences Sociales 76, no 2 (juin 2021) : 421–23. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2021.112.

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Denys, Catherine. « Charlotte de Castelnau-L’Estoile, Páscoa et ses deux maris. Une esclave entre Angola, Brésil et Portugal au xvii e siècle , Paris, Presses Universitaires de France, 2019, 303 p. » Outre-Mers N° 406-407, no 1 (1 juin 2020) : VII. http://dx.doi.org/10.3917/om.201.0249g.

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Bonnefoy, Baptiste. « Charlotte de Castelnau-L’Estoile, Páscoa et ses deux maris. Une esclave entre Angola, Brésil et Portugal au XVIIe siècle, Paris, PUF, 2019, 304p., ISBN 978-2-13-081297-5 ». Revue d’histoire moderne & ; contemporaine 68-3, no 3 (4 octobre 2021) : 205–6. http://dx.doi.org/10.3917/rhmc.683.0207.

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Martig, Alexis. « Esclavage contemporain ». Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.085.

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Résumé :
Depuis la fin du XXe siècle, on assiste à un usage récurrent et de plus en plus fréquent de la notion d’esclavage moderne par tout un ensemble d’acteurs sociaux et politiques : organisations non gouvernementales, associations, organisations internationales, médias, gouvernements nationaux… Selon l’Organisation internationale du Travail, il s’agit d’un phénomène touchant plus de 25 millions de personnes et qui génère 150 milliards de dollars de profits annuels illégaux. Face à ce constat, un certain nombre de disciplines (sociologie, économie politique, études des migrations, droit, histoire) en ont fait un objet propre, tentant quelquefois de le définir (Bales 1999) et, parlant d’esclavage moderne ou d’esclavage contemporain, certains ont été jusqu’à évoquer l’émergence d’un nouveau champ d’études : lesContemporary Slavery Studies (Brysk et Choi-Fitzpatrick 2012). Comment expliquer le fait que l’anthropologie contemporaine a quant à elle jusqu’alors produit peu de réflexions sur le sujet ? Le premier élément de réponse a trait à la nature même de l’analyse anthropologique, qui la distingue des autres disciplines des sciences humaines et sociales, et qui considère avant tout les notions émiques mobilisées par les sujets. Dans le cas de l’esclavage moderne, on est face à une notion éminemment politisée et utilisée avant tout par des acteurs associatifs, institutionnels ou médiatiques pour décrire les conditions de travail ou d’exploitation d’autres sujets souvent associés au passage au registre des « victimes ». Ce n’est que depuis très récemment qu’on assiste à l’usage de la notion par les sujets eux-mêmes pour dénoncer leurs conditions de travail, sans doute sous l’effet de sa banalisation dans les discours des acteurs de la lutte contre l’esclavage moderne. L’apparition et la dissémination de cette notion chez les acteurs sociaux et politiques ne sont cependant pas sans intérêt pour l’anthropologie. Elles sont notamment révélatrices de ce que Didier Fassin a qualifié d’« économie morale de notre temps » et de « nouvel ordre moral » mondial (2005) : il s’agit de cette économie morale globale constituée autour de nouveaux intolérables moraux inhérents aux droits de l’homme et à l’invention de la catégorie anthropologie d’humanité dans le contexte postérieur à la Seconde Guerre mondiale. La condamnation morale globale de l’esclavage moderne en est un exemple parfait. Les discours qui la constituent expriment et visent à générer une indignation, tout en ayant fréquemment recours aux registres des « victimes », de la « vulnérabilité » et de « la traite » avec pour effet de nier l’agencéité des sujets en faisant disparaître leurs trajectoires de vie et leurs motivations spécifiques. Comme l’a montré l’anthropologue américaine Alicia Peters (2015), si politisée que soit cette notion, rien n’empêche l’anthropologie de s’en saisir comme objet en étudiant notamment les jeux d’acteurs au cœur des plans de lutte qui en découlent. Peters a ainsi montré comment, aux États-Unis, la moralisation du travail du sexe et de la prostitution forcée a eu pour effet de rendre invisibles ou illégitimes la majorité des cas de traite humaine qui touchent d’autres secteurs : agriculture, usines, restaurants, sphère domestique… Cette moralisation et surreprésentation du travail du sexe et de la prostitution forcée dans la lutte contre l’esclavage moderne, assimilée à la traite d’êtres humains (human trafficking), est caractéristique des pays développés. Le deuxième élément de réponse touche au caractère fourre-tout d’une notion générique qui renvoie à tout un ensemble de situations hétérogènes situées dans des contextes sociaux, historiques et culturels extrêmement différents et dont la complexité, les spécificités et les nuances sont reléguées au second plan dans les discours politiques. En fonction des acteurs, l’esclavage moderne désigne des cas de : mariage forcé, travail forcé, travail infantile, enfants soldats, camps de travail, exploitation sexuelle… et ce, sur toute la planète… Mais pour saisir les spécificités et la complexité des cas étudiés, il faut aussi considérer les formes socioculturelles légitimatrices de la servitude ou de l’esclavage, de son acceptation ou de sa tolérance et les formes de régulation de la domination inhérentes : formes de parrainage, dettes, processus d’altérisation infériorisants… Si les situations dénoncées ont émergé ou ont évolué à partir de formes passées dans un contexte global de précarisation des conditions de travail, et en ce sens sont bien des phénomènes contemporains, il est pour autant impossible de les penser en faisant abstraction de la mémoire des régimes d’esclavages précédents et notamment de l’esclavage transatlantique. Il faut à ce titre distinguer les réflexions sur l’esclavage moderne, du grand nombre d’études anthropologiques sur les descendants d’esclaves, la mémoire de l’esclavage ou les problématiques de réparation. Comme l’a fait remarquer Roger Botte (2005), l’esclavage a toujours été pluriel. Il faut cependant reconnaître que l’une des caractéristiques de l’époque contemporaine est bien celle de la disparition progressive, depuis les abolitions de l’esclavage en tant que statut officiel. C’est en ce sens qu’Alain Morice, au sujet de travailleurs temporaires marocains en France, a utilisé l’expression d’« esclavage métaphorique » (2005), en opposition à l’esclavage historique. Derrière cette distinction s’en cache une autre qu’il est capital de saisir pour comprendre les enjeux des situations qualifiées d’esclavage moderne et leur analyse anthropologique : celle des conditions d’esclavageet dustatut d’esclave. Dans une analyse très intéressante entre un cas d’esclavage domestique en France en 2013 avec un cas d’esclavage datant du début du XIXe siècle, l’historienne Rebecca Scott (2013) attire l’attention sur le fait que, statut officiel ou non, les conditions des situations dénoncées sous l’expression d’esclavage moderne peuvent être identiques à celles de régimes d’esclavage passés. L’attention portée à la nature des conditions est intéressante car elle vient souligner que, s’il est important de conserver une distance face à un discours institutionnel et politisé, il n’en demeure pas moins que dans certains cas l’esclavage n’est pas que métaphorique… Une autre caractéristique liée à la disparition du statut est le fait que les situations observées sont très souvent temporaires, pour des raisons de coûts économiques et dans le but d’éviter de possibles contrôles. Plusieurs auteurs ont, de manière distincte, mis en avant que l’esclavage moderne n’est pas fondé de manière absolue sur des critères raciaux, mais sur des critères inscrits dans des rapports de production (Botte 2005 ; Bales 1999). Comme le fait justement remarquer Julia O’Connell Davidson (2015), si cela est pertinent, il ne faut pas pour autant perdre de vue que la majorité des populations concernées se trouvent dans d’anciennes colonies ou émigrent de celles-ci vers les pays développés. Si la race n’est donc pas l’élément premier à l’origine des formes d’exploitation, celles-ci s’inscrivent pour autant dans une division internationale du travail racialisée et genrée telle que décrite par la sociologie décoloniale, et Ramon Grosfoguel (2014) notamment. À ce sujet, il est intéressant de souligner certaines dynamiques de cette division internationale du travail qui distinguent les formes d’esclavage moderne dans les pays développés et les pays en développement. Dans les premiers, les cas concernent principalement des migrants légaux ou illégaux confrontés à des politiques migratoires qui les vulnérabilisent structurellement. Dans les pays en développement, il s’agit majoritairement et massivement de citoyens nationaux, protégés normalement par ailleurs par les droits associés à leur citoyenneté. La question de l’esclavage moderne se pose alors en termes d’anthropologie des droits associés à la citoyenneté, et de leur performativité, en s’intéressant aux manières dont les critères symboliques à la base de la construction de ces citoyens en tant qu’alter inégaux ont tendance à normaliser la négation de leurs droits comme dans le cas des travailleurs ruraux au Brésil, ou encore des intouchables en Inde, etc. S’ajoutent à cela les exclus des nations issues de la colonisation – là où d’anciens empires ont laissé la place à des nations aux frontières dessinées par les colons –qui constituent une main-d’œuvre potentielle, comme dans la zone située entre la Thaïlande et la Birmanie (Ivanoff, Chantavanich et Boutry 2017). L’un des enjeux spécifiques de la réflexion anthropologiques touche à la méthode d’investigation de la discipline : l’enquête de terrain. Pour la plupart des cas, ou du moins les plus extrêmes, il est quasiment impossible d’accéder aux terrains en question pour y pratiquer une forme d’observation participante. Les difficultés d’accès s’apparentent à celles des terrains de guerre, de combats, de prostitution, de camps de travail forcé, etc. Les recherches de terrain consistent donc le plus souvent à rencontrer et accompagner les sujets postérieurement aux situations pour réaliser avec eux des entretiens. Quand cela est possible, car comme le souligne l’anthropologue Denise Brennan, auteurede Life Interrupted: Trafficking into Forced Labour in the United States, s’entretenir au sujet d’une expérience souvent traumatisante n’est pas non plus sans difficultés ou sans poser de questions quant au rôle de l’anthropologue et de la nature de sa relation avec les sujets du terrain (Brennan 2014). L’un des autres enjeux des analyses anthropologiques, dans des contextes prononcés de vulnérabilité structurelle et face aux processus de subalternisation des sujets par le biais des discours institutionnels, est de faire ressortir l’agencéité des sujets. L’anthropologie, dans sa tendance à replacer les situations étudiées dans les trajectoires de vie des sujets et à donner la parole à ces derniers, possède un avantage certain sur d’autres disciplines pour donner à voir leur agencéité sans perdre de vue pour autant les contraintes structurelles auxquelles ceux-ci font face. L’engagement volontaire de sujets dans la prostitution, de manière temporaire (ou non), pour améliorer leur quotidien matériel, d’enfants au travail malgré leur âge mineur, la migration illégale volontaire par l’intermédiaire de passeurs, la fuite, l’usage des compétences linguistiques ou une volonté de travailler plus dur que les autres, etc., sont autant d’exemples d’agencéité des sujets. Plutôt que de négliger de prendre en considération l’esclavage moderne à cause de son caractère institutionnalisé et sa nature protéiforme, il me semble que l’anthropologie et son regard critique ont un rôle à jouer pour mettre en lumière la complexité des différentes dimensions de ce phénomène et leur enchevêtrement : une économie morale globale, une économie néolibérale précarisant les conditions de travail et une division internationale du travail racialisée, genrée et hiérarchisée entre les pays développés et en développement. Pour ce faire, et apporter une plus-value heuristique, les analyses anthropologiques sur l’esclavage moderne devront s’ancrer dans le contemporain et repenser des catégories analytiques dichotomiques héritées du début des sciences sociales qui ne parviennent plus à rendre compte des situations étudiées : esclavage, liberté, travail libre et travail non libre, etc. Ces catégories ne permettent pas de penser le continuum de situations (allant de libres à non libres) de travail dans lequel les sujets évoluent dans le temps et l’espace, et dont les conditions peuvent, à une extrémité du continuum, être similaires à des régimes passés d’esclavage. C’est dans cet esprit qu’une des voies pour saisir la complexité du social et les dynamiques de ce phénomène si actuel est celle des « situations contemporaines de servitude et d’esclavage » (Martig et Saillant 2017). La notion de « situations » permet en effet de garder à l’esprit que l’objet étudié relève localement des spécificités sociohistoriques et culturelles considérées tout en se « situant » aussi dans le contexte économique, moral, politique et historique plus global : c’est l’articulation de ces différentes dimensions qui permettent de saisir la complexité du social. Enfin, penser en termes de situation a pour avantage de replacer l’expérience liée à l’esclavage moderne dans la trajectoire de vie plus large des sujets, et de saisir ainsi plus facilement leur agencéité. Il s’agit d’une proposition. D’autres voies verront sûrement le jour pour analyser un phénomène complexe qui, loin de disparaître, donne à voir les limites des mythes du travail libre et de la performativité des droits des sociétés démocratiques libérales contemporaines, et en appelle du coup à une anthropologie du contemporain.
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Giesbrecht, Daniel Florence. « La classe moyenne brésilienne et l’archétype des préjugés de classe ». Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento, 16 mars 2020, 104–24. http://dx.doi.org/10.32749/nucleodoconhecimento.com.br/histoire/archetype-de-prejuge.

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Résumé :
Cet article vise à élaborer une reconstitution historique, de la série à long terme, la formation de la classe moyenne brésilienne et aussi son archétype de préjugés de classe. Nous avons utilisé comme point de départ pour notre réflexion le fait que le Brésil a vécu plus de trois cents ans d’esclavage, qui a légué la profusion d’un imaginaire raciste, résultant en des pratiques préjugées et naturalisé aux populations afrodescendantes, en plus d’avoir étendu au pauvre citoyen, en général. Nous essayons de relier d’une manière historiciste les objets étudiés aux concepts sociologiques de la socialisation, en plus de caractériser les idées bourgeoises de la classe moyenne et les élites brésiliennes de l’histoire des mentalités. Nous avons l’intention de contribuer à une meilleure compréhension des obstacles créés par le manque de pratiques d’altérité dans les relations sociales quotidiennes. Mots-clés: Classe sociale, préjugés, esclavage, exclusion sociale, altérité.
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Gileno, Carlos Henrique. « A LEGISLAÇÃO INDÍGENA : ambigüidades na formação do Estado-Nação no Brasil ». Caderno CRH 20, no 49 (2 août 2007). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v20i49.18905.

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Résumé :
O principal objetivo do presente artigo é discutir alguns aspectos das ambigüidades da legislação indígena desde a colônia até a segunda metade do século XIX no Brasil. Em última instância, aquelas ambigüidades revelavam as tensões estabelecidas entre os poderes locais e a metrópole lusitana, uma vez que as leis expedidas pela coroa portuguesa em favor da liberdade dos índios não foram efetivadas na prática, persistindo o cativeiro indígena até a sua abolição formal em 1831. Entretanto, mesmo após a abolição, a defesa legal dos direitos indígenas seria um tema constante de intelectuais e políticos no decorrer da segunda metade do século XIX, já que a ausência daquela defesa impossibilitava a integração dos índios ao Estadonação. PALAVRAS-CHAVE: Legislação indígena no Brasil, escravidão indígena, Brasil Colônia (1500-1822), Brasil Império (1822-1889), Pensamento Político e Social no Brasil.THE INDIGENOUS LEGISLATION:ambiguities in the formation of the Statenationin Brazil Carlos Henrique Gileno The aim of the present article is to discuss some aspects of the ambiguities of the indigenous legislation from the colony period to the second half of the century XIX in Brazil. Ultimately, those ambiguities revealed the established tensions between the local powers and the Portuguese metropolis since the laws sent by the Portuguese crown in favor of the freedom of the Indians were not executed in practice, persisting the indigenous captivity until his formal abolition in 1831. However, even after the abolition, the legal defense of the indigenous rights would be a constant theme of intellectuals and politicians during the second half of the century XIX, since the absence of that defense disabled the integration of the Indians to the State-nation. KEY-WORDS: Indigenous legislation in Brazil, indigenous slavery, Brazil Colony (1500-1822), Brazil Empire (1822-1889), political and social thought in Brazil.LA LÉGISLATION INDIGÈNE: ambiguïtés pour la formation de l’Etat-Nation au Brésil Carlos Henrique Gileno L’objectif principal de cet article est de discuter de certains aspects concernant les ambiguïtés de la législation indigène pour la période allant de la colonie à la moitié du XIXe siècle au Brésil. Ces ambiguïtés révèlent enfin les tensions existantes entre les pouvoirs locaux et la métropole lusitaine. Vu que les lois promulguées par la couronne portugaise en faveur de la liberté des Indiens n’ont pas été effectivement mises en pratique, la captivité indigène a subsisté jusqu’à son abolition formelle en 1831. Cependant, tout au long de la seconde moitié du XIXe siècle, même après l’abolition de l’esclavage, la défense légale des droits indigènes est toujours restée un thème d’intellectuels et d’hommes politiques puisqu’elle ne permettait pas l’intégration des Indiens à l’Etat-nation. MOTS-CLÉS: Législation indigène au Brésil, Esclavage indigène, Brésil Colonie (1500- 1822), Brésil Empire (1822-1889), Pensée politique et sociale au Brésil.Publicação Online do Caderno CRH:http://www.cadernocrh.ufba.br
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Oliveira, Márcio. « O “BRASIL DIFERENTE” DE WILSON MARTINS ». Caderno CRH 18, no 44 (30 août 2006). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v18i44.18521.

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Em 1955, o crítico literário e então professor da Universidade do Paraná, Wilson Martins, publica o livro intitulado “Um Brasil diferente. Ensaio sobre fenômenos de aculturação no Paraná”. A ambição do autor era, então, replicar, para o Sul do Brasil, o que Gilberto Freyre lograra com sucesso para o Nordeste, ou seja: compreender a experiência da história social brasileira. Contudo, Martins procurou diferenciar seu trabalho do mestre pernambucano, afirmando que, nos estados do Sul, em especial no Paraná, “a ausência do português, a inexistência da escravatura e do elemento indígena” teriam produzido um “Brasil diferente”. Embora colocado como contraponto à tese de Freyre, o trabalho de Martins refletiu bem mais uma configuração local que, tanto do ponto de vista socioeconômico quanto do ponto de vista político, apontava para a construção de uma identidade regional para o estado do Paraná. Assim, a especificidade da obra de Martins é analisada em função do momento em que foi publicada e de suas relações com a produção das ciências sociais brasileiras daquele período. Analisam-se, ainda, as principais idéias contidas no livro, além da trajetória pessoal do autor. Chega-se à conclusão que a obra reflete bem mais um debate regional em torno da identidade do Estado, apoiando-se no debate nacional em torno da identidade brasileira. Palavras-Chave: Pensamento brasileiro, Wilson Martins, Ciências Sociais, identidade social, ParanáWILSON MARTINS “DIFFERENT BRAZIL” In 1955, Wilson Martins, a Brazilian reviewer and professor of the Federal University of Paraná (Brazil), published a book entitled “A different Brazil: an Essay on the acculturation phenomenon in Paraná”. His ambition was to replicate in the South of Brazil Gilberto Freyre’s theoretical approach, which had been so successful in the Northeast of Brazil, in order to understand the Brazilian social history. However, Martins aimed at distinguishing his works from the ones of the master from Pernambuco, by saying that in the southern states, especially in Paraná, “the absence of the Portuguese, the non-existence of slavery and Indians” would have produced a “different Brazil”. Although Martins’ work was considered a counterpoint to Freyre’s thesis, it reflected much more than a local configuration, and it aimed at the formation of a regional identity for the state of Paraná, both from the socioeconomic and political standpoints. Thus, the specificity of Martins’ works is analyzed bearing in mind the period of time it was published and its relationships with the production of the Brazilian social policies for that period. The main ideas presented in the book were also analyzed, besides the author’s personal path. The conclusion reached is that the work reflects much more than a regional debate on the identity of the State, concentrating on the national debate on Brazilian identity. Key words: Social thought, Wilson Martins, Social Sciences, social identity, state of Paraná. LE “BrEsil difFerent” de Wilson Martins En l´année 1955, Wilson Martin, critique littéraire et professeur à l´Université Fédéral du Paraná, a publié un livre intitulé “Le Brésil différent: an essai sur les phénomènes d´acculturation dans la province du Paraná”. L´ambition de l´auteur était de répliquer pour les provinces du Sud du Brésil l´approach que Gilberto Freyre avait fait pour le Nord-East du Brésil, soit: comprendre l´histoire sociale brésilienne. Cependant, Martin a pris ses distances par rapport à l´oeuvre de Freyre. Il a souteni que dans les provinces du Sud du Brésil, notamment dans la province du Paraná, “l´abscence de l´élément portugais et l´inexistence de l´esclavage et des indiens” aurait produit un “Brésil différent”. Même si les thèses de Martins peuvent être comprises comme le contrepoint à celles de Freyre, le travail du critique littéraire brésilien prend ses appuis sur les problemes politiques et socioéconomiques de la province du Paraná. Ce genre de problems indiquait la nécessité de construire l´identité régional de la province. Pour comprendre toute la particularité de l´oeuvre de Martins, nous analysons le moment où elle fût publié ainsi que les rapports qu´elle entretenait avec d´autres livres de sciences sociales publiés à la même époque. Nous analysons aussi les principales idées du livre ainsi que la biographie de l´auteur. Nous concluons que l´oeuvre doit être comprise en fonction du débat régional sur l´identité tout en tenant compte du débat sur l´identité nationale brésilienne. Mots-clés: Pénsée sociale, Wilson Martins, sciences sociales, identité sociale, Paraná. Publicação Online do Caderno CRH: http://www.cadernocrh.ufba.br
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Lara, Silvia Hunold. « Uma mulher, dois maridos e novas dimensões da escravidão atlântica ». Afro-Ásia, no 61 (7 novembre 2020). http://dx.doi.org/10.9771/aa.v0i61.39118.

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Théry, Hervé, Neli Aparecida de Mello Théry, Eduardo Girardi et Julio Hato. « Géographies du travail esclave au Brésil ». Cybergeo, 23 juin 2011. http://dx.doi.org/10.4000/cybergeo.23818.

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Capanema, Silvia. « Charlotte de Castelnau-L’Estoile. Páscoa et ses deux maris : une esclave entre Angola, Brésil et Portugal au xviie siècle ». IdeAs, no 15 (1 mars 2020). http://dx.doi.org/10.4000/ideas.7967.

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Lara, Silvia Hunold. « Charlotte de Castelnau-L’Estoile, Páscoa et ses deux maris. Une esclave entre Angola, Brésil et Portugal au XVIIe siècle ». Esclavages & ; Post-esclavages, no 3 (27 novembre 2020). http://dx.doi.org/10.4000/slaveries.2277.

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Hébrard, Jean. « Castelnau-L’Estoile, Charlotte de. 2019. Páscoa et ses deux maris. Une esclave entre Angola, Brésil et Portugal au XVIIe siècle. » Brésil(s), no 16 (30 novembre 2019). http://dx.doi.org/10.4000/bresils.5420.

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