Littérature scientifique sur le sujet « Endecasillabo »

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Articles de revues sur le sujet "Endecasillabo"

1

Duffell, Martin J. « From Vidal to Lentini ». Linguistic Approaches to Poetry 15 (31 décembre 2001) : 151–71. http://dx.doi.org/10.1075/bjl.15.11duf.

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Résumé :
This article traces the origins of the Italian endecasillabo, the earliest surviving examples of which were composed in the thirteenth century, soon after the Albigensian Crusades destroyed the Occitan-speaking culture of the Southern French courts. It begins by discussing the achievements of that culture and, in particular, the ways in which the troubadours delighted in formal innovation and experiment, constantly recombining the structural elements of their verse in new ways. It then proceeds to analyse all the structural variants found in the earliest endecasillabi and demonstrates that each had antecedents in Occitan verse. This analysis supports Beltrami (1986) and Billy (2000), who argue that the endecasillabo evolved from the vers de dix largely as a result of the distinctive lexicon and phonology of the Italian language. It then examines the alternative hypothesis, that the endecasillabo evolved independently of its French and Occitan cognate metre, and finds all the arguments advanced in its favour unsatisfactory: the forged evidence of Baruffaldi (1713), the Latin origin proposed by Gasparov (1996), and the hypothesis of Meillet (1923) that all Indo-European verse has syllabic origins and a tendency to revert to them. This article concludes that the endecasillabo is a lasting legacy of the Occitan poets.
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2

Fasani (book author), Remo, et Mary Alexandra Watt (review author). « L'infinito endecasillabo e tre saggi danteschi ». Quaderni d'italianistica 28, no 2 (1 juin 2007) : 185–87. http://dx.doi.org/10.33137/q.i..v28i2.8529.

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3

Versace, Stefano. « A Bracketed Grid account of the Italian endecasillabo meter ». Lingua 143 (mai 2014) : 1–19. http://dx.doi.org/10.1016/j.lingua.2014.01.001.

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Thèses sur le sujet "Endecasillabo"

1

FACINI, Laura. « Vincenzo Monti traduttore di Voltaire : lingua e stile della "Pulcella d'Orléans" ». Doctoral thesis, Università degli Studi di Verona, 2010. http://hdl.handle.net/11562/342490.

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Résumé :
La tesi di dottorato consiste in un’analisi formale (metrica, sintattica, lessicale) de "La Pulcella d’Orléans" di Vincenzo Monti - traduzione-riscrittura dell’omonimo poema volterriano "La Pucelle d’Orléans" - composta tra il 1798 e il 1799. L’opera è stata considerata come una versione autonoma e originale rispetto al testo francese, data la particolare scelta montiana di inserire il modello di partenza nella peculiare tradizione letteraria italiana, riducendo le componenti più strettamente filosofiche e il forte intento ideologico originario. Nel passaggio traduttorio, infatti, l’autore ha voluto privilegiare gli aspetti ludici e provocatori della storia di Giovanna d’Arco - già raccontata da Voltaire con piglio ironico e dissacrante - attraverso una maggiore sperimentazione sul piano linguistico, metrico e sintattico. La tesi di dottorato è stata organizzata in diversi capitoli che rispecchiano l’organizzazione dell’analisi condotta, la quale ha affrontato i differenti livelli di elaborazione della "Pulcella". Dopo un’introduzione generale, in cui si è cercato di inquadrare dal punto di vista storico-letterario le due versioni, italiana e francese, e di fornire alcuni cenni sui problemi testuali relativi alla tradizione filologica del poema montiano, si sono analizzati quattro diversi aspetti della traduzione. In primo luogo i fenomeni metrici, ovvero il ritmo degli endecasillabi e la distribuzione dei diversi profili versali in relazione alle posizioni d’ottava; in seguito si sono analizzati i fenomeni retorico-sintattici in relazione all’ottava, soffermandosi sull’organizzazione sintattica interna della stanza e sui legami interstrofici; il capitolo seguente si è concentrato sui fenomeni di inarcatura della "Pulcella", delineando le pratiche enjambées tra i versi; infine si è analizzato il lessico del poema, ovvero il materiale linguistico marcato. L’analisi si è rivelata, nel complesso, di grande interesse sia sul versante storiografico, per la collocazione del sistema montiano dentro la tradizione di genere, sia sul versante propriamente stilistico, perché ha chiarito nel dettaglio le strategie messe in atto dal poeta-traduttore per costruire un testo che fosse autonomo da quello di Voltaire e, insieme, vòlto a ricrearne l’"equivalente" entro una diversa situazione culturale. Ciò ha comportato, come elemento primario, la scelta di trasfondere il materiale di partenza dentro una griglia strofica fortemente connotata, quella dell’ottava cavalleresca, dotata da almeno tre secoli di una sua "grammatica" compositiva e di una formidabile tradizione di riferimento. Monti, in tal modo, ha potuto attivare una costante dialettica tra la pressione del testo francese, con le sue esigenze di trasposizione lineare, e la spinta sottostante del codice stilistico legato all’ottava. E sul punto di frizione generato da questa doppia costrizione ha trovato lo spazio per conferire al poema una sua personalissima cifra stilistica, rintracciata in una serie coerente di cadenze intonative, che definiscono il timbro complessivo della "voce" autoriale, specie nei suoi valori di ironia e comicità, corposità e icasticità lessicale, velocità ed elasticità ritmico-sintattica.
Cette étude est une analyse métrique et stylistique de La Pulcella d'Orléans de Vincenzo Monti - traduction-réécriture de l’homonyme poème de Voltaire, La Pucelle d'Orléans - commencée à Milan en 1798 et terminée à Chambéry, en Savoie, en 1799. Le texte italien a été considéré comme une version autonome par rapport au texte français, étant donné le particulier choix de réduire la composante philosophique et idéologique d'origine, et de mettre en relation le modèle avec une littérature italienne spécifique, principalement par l'adoption d'une grille strophique fortement marquée. La Pulcella est traduite en octaves, un mètre chevaleresque qui possède au moins depuis trois siècles sa propre “grammaire” ainsi qu’une formidable tradition de référence. De plus, avec sa traduction, l'auteur a voulu mettre l'accent sur les aspects de l'histoire les plus amusantes et provocatrices de Jeanne d'Arc - déjà narrée par Voltaire avec un ton ironique et irrévérencieux - dans le but d’une grande expérimentation au niveau de la langue, de la métrique et de la syntaxe. La traduction de la Pucelle est en effet liée à une dimension hédonistique et livresque: elle n'est pas un prétexte pour connaitre une œuvre étrangère, ni un texte conçu pour être publiée; il s’agit plutôt d’un exercice personnel, un divertissement privé, demeuré dans le tiroir de l’auteur. Alors que pour Voltaire le but principal du poème est la polémique idéologique du fond, exprimée par un registre fort satirique, pour Monti la réécriture est un jeu stylistique, une complaisance littéraire, qui repose autant sur les composantes désacralisantes et provocatrices que sur les éléments poétiques et idylliques. Le modèle français est donc retravaillé, en premier lieu, au niveau du ton: d'un côté la traduction réduit l'horizon idéologique et la perspective historique des événements; de l'autre elle accroît les aspects les plus hédonistiques et ludiques de Voltaire, par la mise en évidence de l’élément comique, plus coloré et ouvert. En raison de la dimension intime de cette traduction, de nos jours la tradition de la Pulcella italienne se fonde sur trois témoins manuscrits seulement, dont un retrouvé en 1984 et qui a rouvert le débat philologique. Pour ma thèse j’ai utilisé l’édition critique qu’on possède à présent, imprimée en 1982 sous la direction de M. Mari et G. Barbarisi, qui se fonde seulement sur deux témoins du texte; de toute façon mon travail a essayé de considérer aussi en compte le nouvel autographe découvert. Ce travail de thèse sur la Pulcella est organisé en plusieurs chapitres qui reflètent la structure de l'analyse, basée sur les différents niveaux d’élaboration du texte. Au début il y a une introduction générale, où j’ai encadré les deux versions, la française et l’italienne, dans l'histoire littéraire, tout en donnant des indications sur la question philologique relative au texte de Monti. Ensuite, les chapitres analysent quatre aspects différents de la traduction: d'abord, les hendécasyllabes du poème: c’est à dire le rythme des vers, la prosodie et la distribution des différents modules rythmiques par rapport aux positions de l’octave. La Pucelle de Voltaire est en effet écrite en décasyllabes, un vers traditionnellement assez rigide à cause de son rythme coupé par la césure; dans la traduction le vers français est rendu par la plus célèbre mesure de la tradition littéraire italienne, l’endécasyllabe, un vers qui correspond au décasyllabe seulement pour le nombre de syllabes, mais qui présente une majeure liberté rythmique pour la disposition des accents. Le deuxième chapitre considère le mètre de l’octave, en mettant l’accent sur l’organisation syntaxique interne des strophes et sur les liens entre elles ; il résulte que les strophes sont traitées de manière différente par rapport à Voltaire. En effet, au contraire des octaves de Monti, la narration française se développe dans chaque chant en une succession ininterrompue de vers, sans solutions de continuité, en délinéant donc des structures textuelles très unitaires et linéaires. Le troisième chapitre analyse les enjambements de la Pulcella dans le but de dévoiler les liaisons syntactiques entre les verses et les octaves, liaisons presque toujours absentes en Voltaire. Pour finir, j’ai étudié le vocabulaire du poème, en observant de près les mots les plus expressives quant à leur côté comique et parodique. En effet, Monti semble exaspérer le texte français en utilisant un vocabulaire très varié, qui embrasse tous les registres de la langue italienne: de la dimension la plus basse, triviale, populaire, jusqu’au niveau (moins exploité par Voltaire) lyrique et littéraire, en vue d'effets de pastiche comique et burlesque. D’après cette analyse stylistique de la traduction, surgit un aspect très intéressant et unique de la réécriture de Monti, qui concerne l’utilisation soit de l'endécasyllabe, soit de l’octave, soit du vocabulaire du texte. Il s’agit d’un jeu constant sur la voix - ou bien sur une variation continue des différents plans intonatives - et sur la parole, qui devient plus expressive, plus dense. En effet, la lecture du texte suppose une variation mélodique incessante entre la voix de l'auteur (sous forme de la narration et du commentaire) et la voix de personnages, qu’on entend dans les nombreux dialogues; mais aussi une variation de ton entre la dimension lexical littéraire et les registres les plus baissés de la langue populaire. Du point de vue de la syntaxe, par rapport au modèle français (qui est assez monotone et linéaire, basé sur un ordre syntactique normal, sur le rythme régulier du decasyllabe et sur un langage plutôt ordinaire), Monti varie et ennoblit le ton du discours à travers des mouvements syntaxiques raffinés, des constructions de la période plus ou moins réguliers et l’introduction de propositions à cheval des vers. Le discours italien est en effet compliquée par des interruptions continues (qui ne se réalisent pas dans des lieux canoniques, mais plutôt dans la première partie du vers ou en proximité de la pointe) qui marquent des changements de vitesse dans le texte (dialogues, narration, commentaires): ils se vérifient, en somme, des accélérations et des décélérations continues du récit ainsi qu’un jeu sur les ouvertures et fermetures de chaque verse. Tout se fait à travers une recherche d’expressivité qui, en travaillant sur la combinaison et le choc des différents niveaux, déstabilise la parole et rend l'écriture imprévisible.
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Livres sur le sujet "Endecasillabo"

1

L' endecasillabo del Furioso. Ospedaletto (Pisa) : Pacini, 2007.

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2

Bianco, Stefano Dal. L' endecasillabo del Furioso. Ospedaletto (Pisa) : Pacini, 2007.

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3

L' infinito endecasillabo e tre saggi danteschi. Ravenna : Longo, 2007.

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4

Paone, Gianni. Eremita : L'apocalisse in Endecasillabi. Independently Published, 2019.

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5

Avonto, Enrico. Catullo Carmina Endecasillabi Epigrammi Carmina Docta : Testo Latino a Fronte. Independently Published, 2017.

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6

Crimi, Davide. Come Dia Luce : Poema in Terzine Di Endecasillabi in Centodue Canti. Independently Published, 2017.

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Chapitres de livres sur le sujet "Endecasillabo"

1

Galatà, Francesco. « Per la fortuna del Decameron nella letteratura di fine Ottocento : riscritture pascoliane edite e inedite ». Dans Studi e saggi, 155–74. Florence : Firenze University Press, 2022. http://dx.doi.org/10.36253/978-88-5518-668-1.09.

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Résumé :
Although Boccaccio’s name is rarely encountered in published works of Giovanni Pascoli (1855-1912), traces of a constant reading and reuse of the Decameron have emerged and continue to emerge from the poet’s manuscripts. The article outlines the history of the already known contacts between the two authors and adds a new document: the unknown verse drama ‘Messer Gentile’, inspired by the novella X 4. This drama, designed as a one-act play with a prologue and three scenes, has been left unfinished: only the prologue and the first scene are preserved, but it is enough to appreciate some dynamics that characterize the rewriting process. A dense network of references to the most ancient Italian poetic tradition emerges from the dramatic lines, and among the manuscripts one discovers an experimental rhythmic prose composed of hendecasyllables arranged in a line that the study reconnects to the reform of modern tragic theater envisaged by Pascoli. Sebbene il nome di Boccaccio si incontri molto raramente nell'opera di Giovanni Pascoli (1855-1912), dai manoscritti del poeta sono emerse e continuano a emergere tracce di una lettura costante del Decameron. Il contributo ripercorre la storia dei contatti già noti tra i due autori e aggiunge un nuovo documento: l'inedito dramma in versi 'Messer Gentile' ispirato alla novella X 4. Il dramma, progettatto come atto unico con prologo e tre scene, rimase incompiuto: ci sono giunti soltanto il prologo e la prima scena, che sono sufficienti per apprezzare alcune delle dinamiche che caratterizzano la riscrittura. Dai versi emerge una fitta rete di riferimente alla tradizione poetica italiana delle origini e tra i manoscritti si ritrova un esperimento di prosa modulata sul ritmo continuato degli endecasillabi riconducibile all'idea di moderno teatro tragico di Pascoli.
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