Articles de revues sur le sujet « Égalité des sexes – Algérie »

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1

Essed Fernandes, Monique, et Eleanor Blomstrom. « Égalité des sexes et développement durable ». Chronique ONU 49, no 2 (3 février 2016) : 61–63. http://dx.doi.org/10.18356/d73e75ef-fr.

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2

Abbott, Pamela, et Claire Wallace. « Politique familiale et égalité des sexes ». Informations sociales 159, no 3 (2010) : 46. http://dx.doi.org/10.3917/inso.159.0046.

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3

Tahon, Marie-Blanche. « Altérité, égalité et différence des sexes ». Hors thème, no 44 (4 mai 2011) : 131–47. http://dx.doi.org/10.7202/1002494ar.

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Résumé :
Cet article soutient qu’en matière de rapports politiques de sexe, égalité et altérité ne peuvent qu’aller de pair : la femme n’est devenue l’autre de l’homme que depuis qu’elle est son égale. L’émergence de l’homoparenté indique pourtant que l’articulation de l’égalité des sexes et de l’égalité des sexualités constitue une question que la sociologie politique contemporaine ne saurait ignorer.
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4

Michelot, Agnès. « Égalité des sexes, autonomisation des femmes ». Revue Juridique de l'Environnement 37, no 4 (2012) : 631–32. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.2012.6064.

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5

Rochefort, Florence, et Michèle Zancarini. « Laïcité, égalité des sexes et mixité scolaire ». Spirale. Revue de recherches en éducation 39, no 1 (2007) : 39–51. http://dx.doi.org/10.3406/spira.2007.1252.

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6

Lewis, Jane. « Quels moyens pour promouvoir quelle égalité des sexes ? » Revue française des affaires sociales 1, no 1 (2006) : 161. http://dx.doi.org/10.3917/rfas.061.0161.

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7

Mlambo-Ngcuka, Phumzile. « La quête continuelle de légalité des sexes ». Chronique ONU 52, no 2 (16 décembre 2015) : 33–35. http://dx.doi.org/10.18356/46113c1b-fr.

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8

Ouali, Nouria, et Pierre Lannoy. « Matérialité de l’espace urbain et égalité des sexes ». Géographie et cultures, no 115 (1 septembre 2020) : 157–79. http://dx.doi.org/10.4000/gc.15840.

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9

Barret-Ducrocq, Françoise. « Égalité des sexes et pouvoir en Grande-Bretagne ». Informations sociales 151, no 1 (2009) : 112. http://dx.doi.org/10.3917/inso.151.0112.

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Varikas, Éléni. « Droit naturel, nature féminine et égalité des sexes ». L Homme et la société 85, no 3 (1987) : 98–111. http://dx.doi.org/10.3406/homso.1987.2311.

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Las, Nelly. « Égalité des sexes ou fin de la différence sexuelle ? » Pardès N° 66, no 1 (8 mars 2021) : 15–27. http://dx.doi.org/10.3917/parde.066.0015.

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Morel, Nathalie. « Politique sociale et égalité entre les sexes en Suède ». Recherches et Prévisions 64, no 1 (2001) : 65–79. http://dx.doi.org/10.3406/caf.2001.952.

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Alaoui, Myriam Hachimi. « L'intégration sous condition : valeurs non négociables et égalité des sexes ». Canadian Journal of Women and the Law 24, no 1 (janvier 2012) : 114–34. http://dx.doi.org/10.3138/cjwl.24.1.114.

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Daune-Richard, Anne-Marie. « Travail et égalité des sexes : à propos de l’expérience suédoise ». Cahiers du Genre 27, no 1 (2000) : 161–76. http://dx.doi.org/10.3406/genre.2000.1119.

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Hennette-Vauchez, Stéphanie. « Laïcité et égalité entre les sexes : une mutation du débat public ? » Travail, genre et sociétés 45, no 1 (25 mars 2021) : 147–50. http://dx.doi.org/10.3917/tgs.045.0147.

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Baubérot, Jean. « Laïcités, égalité des sexes et démarche d’objectivation. Dialogue avec Chérifa Bouatta ». Pensée plurielle 47, no 1 (2018) : 201. http://dx.doi.org/10.3917/pp.047.0201.

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Gerin, Murielle. « Égalité des sexes et temps didactique. L’exemple de l’écriture au CP ». Éducation et didactique 17, no 17-2 (23 août 2023) : 35–48. http://dx.doi.org/10.4000/educationdidactique.11588.

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Sansfaçon, Daniel. « Présentation/Presentation ». Canadian journal of law and society 9, no 01 (1994) : 1–4. http://dx.doi.org/10.1017/s0829320100003471.

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Résumé :
Malgré toutes les concessions que je serais disposé à faire au préjugé monogamique, je n'admettrai jamais que l'on parle d'une égalité de droits en amour chez l'homme et la femme, cela n'existe pas. […] [I] I appartient aux conditions de l'amour chez les deux sexes que l'un ne présuppose pas chez l'autre le même sentiment, la même notion d' «amour» (Nietzsche, Le Gai Savoir).
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Leduc, Guyonne. « Reprise de l’Égalité des deux sexes (1673) de Poulain de la Barre dans les brochures de [Sophia] (1739-1740) ». Recherches anglaises et nord-américaines 45, no 1 (2012) : 97–114. http://dx.doi.org/10.3406/ranam.2012.1427.

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Résumé :
Sophia, the anonymous and still unidentified author of two of the Sophia pamphlets, was long considered the first English prefeminist. However, her two texts and that which answered the first (1739-1740), republished together in 1751, mainly consist in a reprise of the ideas and the very words of Poulain de la Barre’s Égalité des deux sexes (1673). The contextualisation of these publications combined with comparative stylistic analyses of the pamphlets and the translation of Égalité make it possible to identify the modes of borrowing and rewriting, hovering between recreation and what would now be termed as plagiarism, and thus to reconstruct the elaboration of a coherent patchwork with a bias in favour of women not present in the original, while showing more generally the role played by translators in disseminating ideas from one culture to another.
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Gauthier-Chung, Maud. « Égalité entre les sexes et libéralisme : le cas des congés de paternité1 ». Articles 35, no 2-3 (7 juillet 2016) : 39–64. http://dx.doi.org/10.7202/1037009ar.

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Résumé :
« On ne naît pas femme : on le devient », écrivait Simone de Beauvoir dans Le deuxième sexe, énonçant, pour la première fois dans l’histoire, l’idée que la féminité devait être comprise comme un produit social plutôt que comme un donné naturel. En vue des inégalités sociales et économiques auxquelles mène l’intégration des modèles genrés féminins, serait-il légitime de tenter de bouleverser ou même d’interrompre, sur le plan politique, le processus social du « devenir femme » ? Cet article se veut une tentative de réponse partielle à cette question, à partir de la perspective du libéralisme politique. Abordant le cas des inégalités économiques entre les hommes et les femmes au Canada, la première partie explore les tensions entre la promotion de l’égalité entre les sexes et l’impératif libéral de respect des choix individuels. Plusieurs féministes ont, en effet, soutenu qu’il est impossible, à partir d’un cadre libéral, de rendre compte des inégalités relatives au genre et d’y remédier, puisque celles-ci découlent de choix et de préférences liés aux conceptions de la « vie bonne » individuelles. La deuxième partie porte, quant à elle, sur la politique qui semble expliquer le succès des pays présentant la plus grande parité entre les sexes, soit les quotas de congés parentaux pour les pères. La troisième partie examine cette politique dans une perspective critique afin de dégager les principaux arguments qui militent contre l’implantation de tels quotas dans une société libérale. Contre ces arguments, la dernière partie fait la démonstration qu’il serait non seulement cohérent d’implanter une telle politique dans une société libérale, mais que celle-ci constitue un impératif en regard de la raison d’être du libéralisme comme forme d’organisation sociale.
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Harvey, Edward J., et Chad G. Ball. « Égalité entre les sexes (et autres identités), diversité et inclusion en chirurgie ». Canadian Journal of Surgery 6, no 5 (1 octobre 2019) : 293. http://dx.doi.org/10.1503/cjs.015019.

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Dhoquois, Régine. « Claudine Baudoux et Claude Zaidman (dirs.) Égalité entre les sexes - Mixité et démocratie ». Les cahiers du CEDREF, no 3 (1 janvier 1993) : 117. http://dx.doi.org/10.4000/cedref.1538.

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Lépine, Irène. « Claudine Baudoux et Claude Zaidman (dir.) : Égalité entre les sexes : mixité et démocratie ». Recherches féministes 6, no 2 (1993) : 187. http://dx.doi.org/10.7202/057762ar.

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Bertrand, Marie-Andrée. « Diane Guilbault, Démocratie et égalité des sexes, Montréal, Sisyphe, Collection «Contrepoint», 2008, 138 p. » Bulletin d'histoire politique 18, no 2 (2010) : 271. http://dx.doi.org/10.7202/1054816ar.

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Albertone, Manuela. « Représentation politique, égalité des sexes, instruction publique. Une boîte à outils pour la démocratie ». Lumières N° 42, no 2 (13 novembre 2023) : 131–49. http://dx.doi.org/10.3917/lumi.042.0131.

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Résumé :
Rechercher si les idées et l’action de Condorcet s’inscrivent dans la pensée démocratique s’avère une tâche complexe, en dépit de la richesse des études. La contribution est centrée sur une notion de démocratie, considérée non pas comme un modèle, mais comme un processus pour aboutir aux décisions. Elle fait ressortir les éléments spécifiques de son apport original à ce sujet à travers trois thèmes qui révèlent l’articulation de sa pensée et de son action : la représentation politique, les droits des femmes et l’instruction publique. Ils ne sont pas traités séparément. La contribution vise à suivre leur intrication et leur caractère épistémique.
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Lamoureux, Diane, et Jacinthe Michaud. « Les parlementaires canadiens et le suffrage féminin : un aperçu des débats ». Canadian Journal of Political Science 21, no 2 (juin 1988) : 319–30. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423900056328.

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Résumé :
RésuméLes femmes canadiennes ont acquis le droit de vote en 1918. Soit. Cela signifie-t-il pour autant que les parlementaires canadiens se sont ralliés, à cette occasion, au principe de l' égalité entre les sexes? À travers I'analyse des débats parlementaires, on peut aisément constater que les enjèux étaient constamment masqués, que d'autres principes étaient à l'oeuvre et que le débat de fond a été soigneusement évité. Ceci se vérifie autant en 1885 et 1918, où il y a quand même eu débat, qu'en 1898 et 1917, où l'on jouait à cache-cache avec la question. Quelles conséquences cela revêt-il en ce qui concerne la citoyenneté des femmes?
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Bergeron, Josée, et Jane Jenson. « Nation, natalité, politique et représentations des femmes ». Articles 12, no 1 (12 avril 2005) : 83–101. http://dx.doi.org/10.7202/058022ar.

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Résumé :
Depuis le début du XXe siècle, la plupart des féministes et des forces sociales progressistes ont eu une position critique à l'égard des discours natalistes soutenant des modèles nationalistes conservateurs. A ce titre, les rapports entre natalisme, nationalisme et égalité des sexes se sont très souvent avérés conflictuels. Le présent article cherche à en explorer les raisons et à analyser ce rapport en France et au Québec, on peut constater que des convergences mais aussi des divergences émergent de cette comparaison. Les deux discours natalistes n'influent pas sur les mêmes institutions étatiques et ils ont varié de façon significative dans le temps. Nous observons également que ces distinctions sont une conséquence du rôle différent que les féministes françaises et québécoises ont joué au sein de l'État.
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Bozon, Michel. « Fourier, le Nouveau Monde Amoureux et mai 1968. Politique des passions, égalité des sexes et science sociale ». Clio, no 22 (1 novembre 2005) : 123–49. http://dx.doi.org/10.4000/clio.1758.

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Lapied, Martine. « Guyonne Leduc, Réécritures anglaises au xviiie siècle de l’« égalité des deux sexes » (1673) de François Poulain de l ». Annales historiques de la Révolution française, no 365 (1 septembre 2011) : 206–7. http://dx.doi.org/10.4000/ahrf.12163.

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Astengo, Francesca. « Liberté de religion ou égalité entre les sexes ? La Cour suprême du Canada se prononce sur un cas de divorce ». Revue de droit. Université de Sherbrooke 39, no 1-2 (2008) : 507–29. http://dx.doi.org/10.17118/11143/11539.

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Tahon, Marie-Blanche. « Citoyenneté et parité politiques ». Sociologie et sociétés 31, no 2 (2 octobre 2002) : 73–87. http://dx.doi.org/10.7202/001782ar.

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Résumé :
Résumé Ce texte repose sur la perspective selon laquelle la reconnaissance par la loi du droit des femmes à contrôler elles-mêmes leurfécondité constitue une révolution dans « l’appréhension de la différence des sexes » (1ère partie). Pour discuter le point de vuede Lipovetsky (1997) selon lequel la revendication de la parité politique constitue une « régression naturaliste » (2e partie),j’insiste d’abord sur la signification du contrôle de la procréation et les interprétations qu’il inspire. J’illustre ensuite l’artificepolitique qui a présidé à la construction de la mère en démocratie pour revenir enfin à la condition d’accès des femmes à lacitoyenneté moderne. J’aborde en 3e partie la perspective que synthétise Schnapper (1998) dans la formule de la« représentation-miroir ». Tout en partageant son point de vue selon lequel l’arrachement biologique doit prévaloir et dans ladéfinition de la citoyenneté et dans la lutte des femmes pour concrétiser leur égalité avec les hommes, je tente d’établir que laparité est précisément l’option qui consacre l’universalisme. Cela suppose que l’on s’en tienne à l’espace public-politique danslequel les individus sont institués par l’état-civil.
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Fortino, Sabine. « I. Le cas des fonctionnaires et des agents à statut réglementaire des entreprises publiques ». Cahiers du Genre 16, no 1 (1996) : 77–105. http://dx.doi.org/10.3406/genre.1996.995.

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Résumé :
A partir de trois études empiriques réalisées dans diverses organisations du secteur public français, l’auteur montre dans ce texte quelques-unes des évolutions très contemporaines de la division sexuelle du travail. L’observation de ces évolutions comme de la situation faite aux femmes, dans un milieu social davantage «protégé » que le secteur privé, révèle trois grands paradoxes que S. Fortino va successivement explorer : une mixité sociale des effectifs de ce secteur inégalement atteinte ou aléatoire ; une mixité sans égalité entre les sexes ; enfin, à travers l’exemple de la formation scolaire et continue, de son utilisation par les fonctionnaires et agents féminins à statuts réglementaires... la reproduction -modifiée et déplacée -de la division sexuelle du travail. En filigrane, la question que pose ce texte est d’actualité et ce, non seulement pour le champ du travail, mais pour le champ politique aussi. A quoi servent le droit, les règles négociées collectivement quand, malgré l’arsenal législatif et juridique existant, survivent et se perpétuent des pratiques discriminatoires visant à contourner ces mêmes règles collectives, voire à s’y substituer ?
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Medjoub, Razika, et Nacer-Eddine Hammouda. « Système éducatif et inégalités sociales et spatiales en Algérie soixante-ans après l’indépendance ». les cahiers du cread 38, no 3 (3 septembre 2022) : 555–82. http://dx.doi.org/10.4314/cread.v38i3.20.

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Résumé :
Ce travail abordera les inégalités des chances dans l’Ecole algérienne et la politique de soutien à la scolarisation, à partir des données des recensements nationaux de la population et de l’habitat (1966, 1977, 1987, 1998, 2008), les données administratives du ministère de l’Education nationale et l’enquête par grappes à indicateurs multiples MICS-6/2019. La politique de démocratisation et de gratuité de l’enseignement, adoptée par l’Etat depuis l’indépendance, a permis en effet un accès massif à l’éducation pour les deux sexes, mais il ne s’est toujours pas généralisé, avec des disparités régionales avérées notamment le retard observé dans les Hauts Plateaux-Centre et le Grand Sud. Les inégalités sociales et spatiales impactent le parcours scolaire des enfants dans les trois paliers, en particulier le niveau secondaire. La politique sociale de l’éducation cible plus les enfants du primaire du milieu rural et moins les deux autres paliers, notamment en termes de couverture et de spécificité de leurs besoins. Bien que le soutien financier ou matériel vise les enfants pauvres, surtout du palier primaire, ce ne sont pas tous les enfants pauvres qui y ont accès. Les autres catégories en bénéficient également.
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Paquette, Daniel, Serge Larivée, Jean-Pascal Lemelin et Daniel Baril. « En réponse à…. Cossette, L. (2014). Science et égalité des sexes ne sont pas inconciliables. Revue de psychoéducation, 43(1), 155-159 ». Revue de psychoéducation 43, no 1 (2014) : 161. http://dx.doi.org/10.7202/1061206ar.

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Boulard-Jouslin, Claire. « GUYONNE LEDUC. Réécritures anglaises au xviii e siècle de l’ Égalité des deux Sexes (1673) de François Poulain de la Barre . (Paris : L’Harmattan, 2010.) ». Études anglaises Vol. 67, no 2 (1 septembre 2014) : 206–7. http://dx.doi.org/10.3917/etan.672.0192j.

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Hamrouni, Naïma, et Pierre-Yves Néron. « Justice, genre et entreprise ». Articles 35, no 2-3 (7 juillet 2016) : 65–93. http://dx.doi.org/10.7202/1037010ar.

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Résumé :
Jusqu’ici, ni les égalitaristes ni les philosophes politiques féministes ne se sont sérieusement attardés à l’entreprise à titre d’institution où se produisent et se reproduisent les injustices de genre. Dans la mesure où les inégalités entre les sexes dans la famille, sur le marché et sur le plan de la participation démocratique se renforcent les unes les autres, faire l’examen critique d’institutions comme l’entreprise du point de vue de la justice représente pourtant une des étapes importantes de la marche vers la réalisation de la justice de genre. C’est l’objectif que nous nous donnons dans cet article. Dans la première partie, nous nous intéressons à la place prépondérante qu’occupe l’éthique ducaredans la littérature féministe sur l’entreprise. Parce qu’elle s’attache essentiellement à la promotion de dirigeants d’entreprise vertueux, nous concluons que cette éthique ducarese trouve en partie démunie lorsque vient le temps de penser la transformation organisationnelle de l’entreprise et des rapports en son sein dans la visée d’atteindre une plus grande justice de genre. Dans une deuxième partie, nous nous attardons à justifier, suivant une perspective normative, l’analyse de l’entreprise du point de vue de la justice de genre. Enfin, ayant déterminé que les approches distributives de la justice de genre sont insuffisantes pour penser la justice dans l’entreprise, nous terminons en esquissant une approche multidimensionnelle de la justice de genredansetdel’entreprise, alliant justice distributive, participative et égalité relationnelle.
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Carlier, Omar. « Les enjeux sociaux du corps. Le hammam maghrébin (XIXe-XXe siècle), lieu pérenne, menacé ou recréé ». Annales. Histoire, Sciences Sociales 55, no 6 (décembre 2000) : 1303–33. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.2000.279917.

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Résumé :
RésuméHérité in situ des Romains, mais réinventé à Damas et Istanbul par les élites musulmanes, le hammam redessine au Maghreb un modèle de conduite à peine entamé par la colonisation jusque dans le premier quart du XXe siècle. Egalitaire et pourtant distinctif, ordonnant et séparant les sexes, combinant le propre et le pur, ce lieu de détente essentiel à la vie au quartier, qui accompagne le rythme des jours et les âges de la vie, assure l'échange matrimonial et le conciliabule citadin, s'ajuste de manière inventive au défi de la modernité.Des années 1930 aux années 1970, le hammam gagne le monde rural, conforte l'essor des couches moyennes, redéploie ses prestations de service, s'approprie les objets de la mode, résiste au modèle balnéaire européen puis à la réaction puritaine islamiste. S'il dépérit à Tunis, sauf dans l'imaginaire des artistes, il reste plus vivace que jamais en Algérie et au Maroc. Abandonné par les hommes au profit de la douche, il est recréé par les femmes et pour elles, comme lieu d'une pratique personnelle dissociée de la tradition, affirmant une nouvelle autonomie féminine dans le soin du corps et le souci de soi.
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Dicko, Hammadoun, et Et Al. « Prévalence des infections associées aux soins en réanimation au Mali ». Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie 17, no 1 (30 avril 2022) : 77–83. http://dx.doi.org/10.53597/remim.v17i1.2231.

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Résumé :
Introduction : Ce travail a été initié pour faire un état des lieux des infections associées aux soins en réanimation et identifier les pathogènes en causes. Méthodes : Une étude prospective descriptive a été menée en réanimation à l’hôpital universitaire du Point G, Bamako. L’échantillon était constitué de 218 patients hospitalisés avec une durée de séjour de plus de 48 heures et qui ont été interrogés à l’aide d’un questionnaire standardisé. Notre étude s’est déroulée sur une période de 09 mois, Septembre 2020 à Juin 2021. Résultats : Notre étude a permis de recenser 64 patients atteints d’une infection associée aux soins. La prévalence était de 29,4%. Le taux d’incidence global d’épisode infectieux était de 33,5%. On notait une égalité entre les deux sexes avec un ratio de 1. L’âge moyen des patients était de 47,1 ± 22,2 ans. Les facteurs de risque ont été : la gravité de l’état pathologique des malades, les comorbidités associées et la fréquence des dispositifs médicaux invasifs. Parmi les infections associées aux soins, les bactériémies ont été les plus fréquentes (44,8%.), suivies des infections urinaires (32,9%.) et des PAVM (22,3%). L’hémoculture a été l’examen le plus réalisé (64) avec un taux de positivité de 50%. Les microorganismes retrouvés étaient les entérobactéries (bacilles Gram négatifs fermentant) ont été plus fréquents avec 36,8%, suivis des bacilles Gram négatifs non fermentant (23,7%), les levures (23,7%) et les Cocci Gram positif (15,8%). La mortalité était de 68,8%. Conclusion : au terme de cette étude, il ressort une augmentation de la prévalence des infections associées aux soins en réanimation avec une mortalité élevée
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Zeller, Justine. « Kiani (Sarah) – De la révolution féministe à la Constitution. Mouvement des femmes et égalité des sexes en Suisse (1975-1995). – Lausanne, Éditions Antipodes, 2019 (Histoire). 286 p. Bibliogr. » Revue française de science politique Vol. 72, no 5 (18 juillet 2023) : 811. http://dx.doi.org/10.3917/rfsp.725.0811.

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Milkman, Ruth. « Union responses to workforce. Feminization in the United States ». Cahiers du Genre 9, no 1 (1994) : 31–55. http://dx.doi.org/10.3406/genre.1994.935.

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Résumé :
La question de la mixité dans les organisations syndicales américaines. La féminisation rapide de la force ouvrière aux Etats-Unis dans les dernières décennies a aussi provoqué une féminisation des syndicats : 40% des membres des syndicats américains sont maintenant des femmes, la plupart se trouve dans le secteur public. Ce phénomène est sans précédent dans toute l'histoire américaine. Toutefois, le pourcentage global de la force ouvrière qui est syndiqué est maintenant beaucoup plus faible qu'avant -en 1956, 36% des ouvriers américains (des deux sexes) étaient syndiqués ; en 1991, ce pourcentage était seulement de 16%. Ici je veux explorer les implications politiques de la féminisation des syndicats et présenter une analyse empirique que j'ai faite des élections syndicales aux Etats-Unis, de la relation entre la composition sexuée de la force de travail et le succès électoral des syndicats. Les résultats de cette analyse indiquent que c'est dans les situations où la force ouvrière est homogène, c'est-à-dire constituée essentiellement de femmes ou essentiellement d’hommes, que les syndicats obtiennent plus fréquemment un succès électoral. Bien sûr, ceci pose des questions. Par ailleurs, il y a maintenant dans les syndicats une politique nouvelle concernant le genre, sans précédent aux Etats-Unis, et qui prend en compte l'ancienne opposition féministe entre différence et égalité. Les femmes syndicalistes maintenant essaient de négocier cette contradiction quand elles font des revendications spécifiques pour les ouvrières, comme par exemple l'égalité des salaires pour des métiers comparables (pay equity ) le congé maternité, des exigences basées sur le rôle traditionnel féminin mais orientées en même temps vers l'obtention de l'égalité de genre. Ceci semble aussi être un effet de la féminisation des syndicats.
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Frémont, Camille. « L’ambivalence de la transmission des normes du genre par les mères lesbiennes : de la critique des stéréotypes à leur reproduction « pour le bien de l’enfant » ». Enfances, Familles, Générations, no 23 (9 décembre 2015) : 18–33. http://dx.doi.org/10.7202/1034198ar.

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Résumé :
Ce travail s’appuie sur des récits de mères lesbiennes recueillis dans le cadre d’un travail de recherche en sociologie, mené en France, sur la transmission du genre dans les familles lesboparentales. Ce travail visait à répondre à la question suivante : quelles représentations ont les mères lesbiennes ont-elles des normes du genre et de la socialisation de genre de leurs enfants ?D’un point de vue individuel, les enquêtées démontrent une réelle remise en question des normes du genre. Elles manifestent un détachement de la pensée hétéronormative par une critique des stéréotypes de genre, une dénonciation du sexisme et une certaine « déshétérosexualisation » dans la manière de parler de soi et dans leur apparence. Le fonctionnement des couples au quotidien montre une plus grande égalité que dans le modèle hétérosexuel traditionnel de l’organisation domestique et des rôles parentaux.Elles développent des discours présentant leur mode de vie sous un jour positif et dans lesquels elles affirment de manière argumentée la non-nécessité de la différence des sexes au niveau du couple parental. Ces arguments se retrouvent dans les récits de conception qu’elles construisent pour leurs enfants, afin que ceux-ci se structurent à partir d’une vision valorisante de leur famille. Les récits de conception proposent une définition de la famille dans laquelle procréation et conjugalité sont dissociées. En revanche, leur sentiment de légitimité semble rester vulnérable face à l’homophobie latente, non explicitement hostile, dont elles citent, en les minimisant, les nombreuses conséquences au quotidien.Aussi, bien que prédisposées à transmettre des modèles d’identification éloignés des stéréotypes de genre, les mères lesbiennes interrogées sont attentives à promouvoir auprès de leurs enfants les signes d’une socialisation de genre normative, afin de les protéger de la désapprobation sociale à laquelle elles ont le sentiment de les exposer par leur modèle familial atypique. Elles leur apprennent à maîtriser les arguments qui leur permettront de se présenter de manière lisible et acceptable socialement.
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Bouras, Samir. « Oncological outcomes of partial nephrectomy ». Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 8, no 1 (4 juin 2021) : 9–12. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsoa.2021.8102.

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Résumé :
Introduction. Selon les données de l'Organisation mondiale de la santé 2018, le cancer du rein occupe en Algérie le 20eme rang chez les deux sexes. L'objectif de cette étude est d'évaluer nos résultats oncologiques de la néphrectomie partielle. Patients et méthodes. Étude rétrospective mono centrique, de juin 2012 à mars 2020. 50 patients ont bénéficié d'une néphrectomie partielle pour cancer du rein. Parmi ces patients, 37 (74%) cancer ont été confirmés par la pathologie. L'étude statistique a été réalisée à l'aide du logiciel SPSS 20. Résultats. L'âge moyen était de 55,1 ans et les femmes étaient majoritaires 23 (62,2%). Le carcinome à cellules claires prédominait : 21 cas (56,8%). Les marges chirurgicales étaient positives dans 06 cas (16,2%) et le stade pT1 était majoritaire dans 29 (78,3%). Après un suivi moyen de 55,7 mois, nous avons eu un taux de récidive global de 10,8% (04 patients). Aucun facteur de risque probable n’a été statistiquement significatif. Discussion. Nos résultats carcinologiques sont comparables aux données de la littérature (des taux de récidives jusqu’à 10,6%). Malgré un taux relativement élevé de marges chirurgicales positives, 80% des récidives sont survenus sur des marges négatives. En effet, les marges chirurgicales positives ne sont pas considérées comme un facteur de risque de récidive indépendant. Plusieurs facteurs de risque de récurrence ont été rapportés ; cependant dans cette série, nul n’a été identifié. Le cancer du rein est connu pour des récidives très tardives. Conclusion. La néphrectomie partielle est réalisée dans notre service depuis plus de 08 ans en toute sécurité, avec des résultats oncologiques satisfaisants. Mots clés : cancer du rein, néphrectomie partielle, résultats oncologiques.
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Stęplowska, Agnieszka. « Dziedziczenie beztestamentowe krewnych kognacyjnych w świetle nowel 118 i 127 Justyniana ». Czasopismo Prawno-Historyczne 54, no 1 (30 juin 2002) : 57–81. http://dx.doi.org/10.14746/cph.2002.1.3.

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Résumé :
La succession ab intestat des collateraux à la lumière des novelles 118 Et 127de l’empereur Justinien Décréts par l’empereur Justinien, la Novelle 118 de la 543 et aussi la Novelle 127 de l’an 548 qui a complété la loi précédente, réglaient dans la manière complexe la question de la succession ab intestat, qui auparavant resta très complique et incohérente. La succession de ce genre-ci a été basé sur la parentèle avec le défunt et par les deux lois on a égalisé la position des hommes et des femmes en droit de succession. Justinien a divisé les héritiers en quatre classes. La classe plus proche exclua celle plus éloignée. A la première classe appartenaient tous les descendents du défunt sans regarder au grade de leur parentèle. Ils succédaient l’héritage in stirpes. Dans cette classe ont été appelés à la succession surtout les enfants venants du iustum matrimonium. A condition d’être les descendents uniques du defunt, les enfants de celui nées en concubinat ont reçu le droit à la succession spéciale en vertu des réglements séparés (Novelle 89). Selon la Novelle 118, la deuxième classe d’héritiers comprend les ascendents ainsi que les frères germains et les soeurs germaines du défunt. Pourtant les ascendents plus éloignés que propres parents du defunt ne pouvaient hériter de lui qu’à defaut de ses frères et de ses soeurs germaines. La troisième classe a été divisé en deux sous-classes. Dans la première de celles-ci appartenaient les frères et les soeurs du défunt avec leurs enfants. Ce groupe fait éliminer de la succession la seconde sous-classe composée des démi-frères et des démi-soeurs avec leurs enfants. De la succession ont été pourtant exclus les descendants des ceux derniers. Dans la classe IV héritaient d’autres parents latéraux. La reconnaissance conséquente du principe de la parentèle fondée sur les liens de sang s’est manifestée dans la convocation les enfants naturels à l’héritage et dans l’introduction de la succession des ascendents déjà en deuxième classe paralelement avec l’annulation du droit du père à succéder son fils comme un parens manumissor. Grâce à la reconnaissance du principe de cognation ainsi que à l’admission de la possibilité de succéder de biens de son enfant, on a reconnu la pleine capacité juridique de l’enfant de famille. La mise en égalité des droits de deux sexes avait pour la conséquence cela que les soeurs ont acquis les mêmes droits ainsi qu’on a admis la succession les descendents feminins dans les classes I et III. Pareillement s’est ameliorée la position de la mère de famille, laquelle en principe jouissait des mêmes droits de succession que le père.
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Revauger, Cécile. « Guyonne Leduc , Réécritures anglaises au 18 e siècle de l’ Égalité des deux sexes (1673) de François Poulain de la Barre. Du politique au polémique , Paris, l’Harmattan, coll. des Idées et des Femmes, 2010, 502 p. dont un index nominum et un index rerum ». Dix-huitième siècle 43, no 1 (1 juillet 2011) : LXXXIII. http://dx.doi.org/10.3917/dhs.043.0725ce.

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Côté, Denyse. « GUARDA COMPARTILHADA E SIMETRIA NOS PAPÉIS DE GÊNERO : novos desafios para a igualdade de gênero ». Revista Observatório 2, no 3 (31 août 2016) : 182. http://dx.doi.org/10.20873/uft.2447-4266.2016v2n3p182.

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Résumé :
RESUMOA família faz a mediação entre a sociedade e o indivíduo. Ela possui lógica própria, limitações de tempo e espaço e uma mitologia que se adaptam a condições socioeconômicas variáveis. Por outro lado, as sociedades ocidentais contemporâneas são famosas pela capacidade de integrar novas práticas culturais, inclusive aquelas originalmente opostas às normas dominantes. A família também é, obviamente, um locus de relações de gênero. O aparecimento da guarda compartilhada como prática contracultural ressaltou a normalização da separação conjugal e do divórcio, assim como o desejo de criar os filhos de acordo com papéis de gênero antes simétricos do que diferenciados. No Quebec, a guarda compartilhada de alguma forma se transformou em modelo para a igualdade de gênero, influenciando os papéis parentais e as relações entre homens e mulheres mesmo em famílias intactas. Mas será que o surgimento da guarda compartilhada como modelo cultural significa uma redução das desigualdades de gênero no interior da família? O presente artigo analisará as novas transformações dos papéis parentais heterossexuais com base nos dados empíricos de uma pesquisa no Quebec (Côté, 2000; 2004; 2006; 2010; 2012). O novo modelo da família baseado numa idealização da guarda compartilhada integra os conceitos contemporâneos da família como um grupo de indivíduos unidos por escolha e negociação, e não por casamento e dever. Ele também acomoda recentes evoluções de gênero: fluidez de identidades e papéis, pluralidade de experiências e maior mobilidade para as mulheres. No entanto, ao contrário de mitos comuns, essa modernização do espaço doméstico baseada na simetria dos papéis parentais e de gênero também cria novos tipos de regulamentações e constrangimentos que perpetuam e “modernizam” desigualdades. É o que será aqui apresentado e discutido. PALAVRAS-CHAVE: Guarda compartilhada; igualdade; separação e divórcio; cuidado; papéis simétricos. ABSTRACT Family mediates between society and the individual. It has its own logic, its time constraints, space and mythology that adapt to variable socioeconomic conditions. On the other hand contemporary Occidental societies are notorious for their capacity to integrate new cultural practices, even those that originally opposed mainstream norms. Family is also of course a locus of gender relations. The emergence of joint custody as a counter-cultural practice underlined the normalization of conjugal separation and divorce but also the desire to parent in symmetrical rather than differentiated gender roles. In Québec joint custody has in sorts become a model for gender equality, influencing parenting roles and gender relations even in intact families. But does the emergence of joint custody as a cultural model signify a reduction of gender inequalities in the family? This paper will analyze recent transformations of heterosexual parental roles basing itself on empirical data of recent research in Québec (Côté, 2000; 2004; 2006 ; 2010; 2012). The new family model based on an idealization of joint custody integrates contemporary conceptions of the family as a group of individuals united by choice and negotiation rather than marriage and duty. It also accommodates recent evolutions of gender : fluidity of identities and roles, plurality of experiences, and increased mobility for women. But contrary to common myths, this modernization of domestic space based on symmetrical parental and gender roles also creates new types of regulations and gender constraints that perpetuate and “modernize” inequalities. These will be presented and analyzed. KEYWORDS: Joint custody; equality; separation and divorce; care; symmetrical roles. RESUMENLa familia media entre la sociedad y el individuo. Tiene su propia lógica, las limitaciones de tiempo y espacio y una mitología que se adaptan a las variables socioeconómicas. Por otro lado, las sociedades occidentales contemporáneas son famosos por su capacidad de integrar nuevas prácticas culturales, incluyendo los que se oponían inicialmente a las normas dominantes. La familia también es, obviamente, un lugar geométrico de las relaciones de género. La aparición de la custodia compartida como la práctica contracultural hizo hincapié en la normalización de la separación matrimonial y el divorcio, así como el deseo de criar a los niños de acuerdo a los roles de género antes simétrica que diferentes. En Quebec, la custodia compartida de alguna manera se convirtió en el modelo para la igualdad de género, que influyen en las funciones parentales y las relaciones entre hombres y mujeres, incluso en familias intactas. Sin embargo, es la aparición de la custodia compartida como modelo cultural significa una reducción de las desigualdades de género dentro de la familia? En este artículo examinaremos las nuevas transformaciones de funciones de los padres heterosexuales en base a datos empíricos de una encuesta realizada en Quebec (Côté, 2000; 2004; 2006; 2010; 2012). El nuevo modelo de familia basado en la idealización de la custodia compartida integra los conceptos contemporáneos de la familia como un grupo de individuos unidos por elección y la negociación, no por el matrimonio y el deber. También da cabida a la evolución reciente de género: la fluidez de las identidades y roles, la pluralidad de experiencias y una mayor movilidad para las mujeres. Sin embargo, a diferencia de los mitos más comunes, esta modernización del espacio doméstico basado en la simetría de los roles de género de los padres y también crea nuevos tipos de regulaciones y restricciones que perpetúan y "modernizar" las desigualdades. Es lo que aquí se presenta y discute. PALABRAS CLAVE: Custodia compartida; la igualdad; la separación y el divorcio; la atención, las funciones simétricas. RÉSUMÉ Dotée de sa propre logique, de sa propre temporalité, de ses espaces et même de ses propres mythes adaptés à des contextes socio-économiques variables, la famille sert de médiation entre l’individu et la société. Les sociétés occidentales sont notoirement habilitées à intégrer de nouvelles pratiques culturelles, dont celles qui questionnent les normes du temps. La famille est aussi un lieu de rapports sexués. L’émergence de la garde partagée suite à la généralisation des divorces et des séparations marque le rejet de rôles parentaux sexuellement différenciés. Au Québec, la garde partagée a été érigée en modèle d’égalité femmes-hommes et influence même maintenant les rôles parentaux au sein des familles intactes. Ce nouveau modèle que représente la garde partagée annonce-t-il une réduction des inégalités femmes-hommes sein des familles? Cet article analysera ces récentes transformations des rôles parentaux hétérosexuels à partir de données empiriques recueillies au Québec (Côté, 2000; 2004; 2006; 2010; 2012). L’idéalisation de la garde partagée intègre la conception contemporaine de la famille comme un groupe d’individus unis par choix et par les liens de la négociation plutôt que par le lien du mariage et des obligations familiales. Il intègre certaines évolutions occidentales récentes des rapports sociaux de sexes : fluidité des identités et des rôles, pluralité des expériences, mobilité accrue pour les femmes. Mais, contrairement au mythe, cette modernisation des espaces domestiques basée sur des rôles parentaux et sexuels symétriques crée aussi de nouvelles régulations et contraintes de genre qui pérennisent des inégalités femmes-hommes. MOTS-CLEFS: Garde partagée; égalité; séparation et divorce; garde des enfants; rôles symétriques.
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Cavatorta, Giovanna. « Égalité, complémentarité, concurrence. La violence entre les “sexes” au Sénégal à l’épreuve du “genre” ». Archivio antropologico mediterraneo 22, no 1 (20 juin 2020). http://dx.doi.org/10.4000/aam.3056.

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Opitz-Belakhal, Claudia. « Guyonne Leduc, Réécritures anglaises au XVIIIe siècle de L´Égalité des deux sexes (1673) de François Poullain de la Barre – Du politique au polémique ». Clio, no 34 (31 décembre 2011). http://dx.doi.org/10.4000/clio.10421.

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Henchoz, Caroline. « Les réformes de la prévoyance vieillesse vers plus d’égalité et leurs conséquences ambivalentes sur les rapports de genre à la retraite : l’exemple de la Suisse ». Enfances, Familles, Générations, no 27 (31 août 2017). http://dx.doi.org/10.7202/1045081ar.

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Résumé :
Cadre de la recherche : S’inspirant des débats européens sur l’individualisation des droits sociaux, la 10e révision de l’assurance-vieillesse et survivant suisse (AVS) introduit un accès individuel et universel à la prévoyance vieillesse. Désormais, elle est moins rattachée au salariat et au mariage, ce qui, dans un pays où la majorité des femmes travaillent à temps partiel, a été perçu comme une avancée en matière d’égalité. Objectif : Cet article a pour but d’évaluer cette avancée. Méthodologie : Il se fonde sur des statistiques et une trentaine d’entretiens menés auprès de retraité∙e∙s pour analyser les dispositifs de mise en œuvre de cette révision et en mesurer les effets. Résultats : Il montre que cette réforme peine à instaurer l’égalité. L’interprétation de la norme égalitaire et de la solidarité maritale dans les dispositifs de mise en œuvre contribue à perpétuer les inégalités économiques entre les sexes au moment de la retraite. Au niveau des ménages, cela conforte une économie domestique bâtie sur la complémentarité des rôles de genre. Grâce aux rentes individuelles, les femmes bénéficient d’une indépendance économique parfois inédite, mais elles vont en faire usage selon la logique du care dans laquelle elles ont été socialisées. Certes, elles gagnent du pouvoir en œuvrant pour le bien-être de leurs proches. Cependant, il s’agit d’une autonomisation « à la marge », car cet usage genré de l’argent ne remet pas en question les rapports de pouvoir au sein du couple. Conclusion : Autrement dit, une politique qui promeut l’égalité de traitement ne suffit pas à atteindre une égalité de résultats si elle n’introduit pas des mesures pour corriger les effets de parcours de vie fortement sexués. Contribution : Cet article contribue aux recherches sur le genre, les âges de la vie et les politiques publiques en discutant des effets de l’une d’entre elles sur le groupe-cible des retraités et en révélant les mécanismes individuels et institutionnels de résistance aux changements et de perpétuation des inégalités, ce malgré la volonté du législateur.
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Desveaux, Emmanuel. « Parenté ». Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.102.

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Résumé :
Au milieu du XIXe siècle, Henry L. Morgan, un avocat américain puritain, fait une découverte considérable : dans toutes les langues humaines, il existe un ensemble de termes servant à désigner les différents types de parents. Si ces mots appartiennent à la langue, la façon dont se répartit leur usage répond à des principes logiques qui la dépassent dans la mesure où ils se retrouvent dans des langues voisines — ou éloignées — qui n’ont rien de commun. La somme des termes de parenté d’une langue forme ainsi une nomenclature, et celle-ci est, de façon universelle, égocentrée. Le fait qui illustre le mieux le caractère métalinguistique du fait nomenclatural réside dans la dichotomie qui prévaut dans de très nombreuses langues — en Amérique, en Australie ou encore en Océanie — entre cousins-parallèles(ceux qui sont issus du frère du père ou de la sœur de la mère), assimilés à des frères et sœurs, et les cousins-croisés(issus de la sœur du père ou du frère de la mère) parmi lesquels il est très souvent possible, voire parfois même obligatoire, de choisir un partenaire matrimonial. Ainsi une règle abstraite engendre les cousins-croisés, à savoir l’inversion de sexe au sein des fratries respectives de mes parents. D’autres règles d’ordre logique prévalent, bien qu’elles soient moins à même de retenir l’attention de la pensée occidentale car elles lui sont coutumières, telles que la différence entre les générations (grands-parents, parents, enfants, petits-enfants) ou la collatéralité (oncles, tantes, neveux et nièces). Surgissent enfin çà et là, notamment en Amérique, mais également en Afrique, d’autres règles qui paraissent encore plus déroutantes que la catégorie de cousins-croisés, telle que l’inclinaison générationnelle. Les Indiens des Plaines nord-américaines en offrent des beaux exemples, d’où l’appellation de systèmes Crow-Omaha, noms de deux tribus de cette région. Dans ce cas, l’individu a des parents appartenant à la même génération biologique que lui, mais qu’il désigne par des termes tels « grand-père », « grand-mère » ou « petit-fils, petite-fille ». Que signifie ce dispositif langagier et son universalité ? Notons alors qu’il s’oppose à un autre dispositif, tout aussi universel, de désignation des individus : celui des noms propres. Ces derniers sont conférés à l’individu, par exemple en vertu du baptême ou d’un autre rite de passage. Ils relèvent toujours d’une métaphore, puisque les noms propres possèdent toujours une signification commune préalable. Le dispositif de la nomenclature de parenté procède, quant à lui, par métonymie; il permet à l’individu, lors de son apprentissage de la langue, de s’approprier cognitivement la relation qu’il entretient avec les personnes qui l’entourent, puis de proche en proche de désigner par lui-mêmeceux qui sont liés à lui. Les deux dispositifs de désignation, l’un passif, l’autre actif, se révèlent universels, bien qu’ils connaissent respectivement de grandes variations, notamment d’étiquette, selon les cultures (Désveaux 2013 : 254). Le fait que les termes de parenté doivent être compris comme les compléments inverses des noms propres nous permet d’affirmer que la parenté en tant que telle renvoie en priorité à l’inscription de l’individu dans l’ordre social par le biais du langage. Ce point a été largement occulté par les parentalistes, car ils sont restés dans leur grande majorité fidèles au moule théorique hérité de Morgan, qui fait de la nomenclature tantôt le marqueur d’une évolution cognitive en quête d’une vérité biologique, tantôt l’expression de principes d’organisation sociale extérieurs à elle. L’inventeur de la parenté avait en effet tiré deux grandes conclusions de ses recherches comparées sur les nomenclatures. Primo, les longs progrès de l’humanité la conduisent à identifier et à isoler la famille nucléaire, dont la famille occidentale offre le modèle accompli. Nos langues ne distinguent-elles l’oncle du père, la tante de la mère, les frères des cousins, etc. ? Selon Morgan (1871), ces nomenclatures seraient descriptivescar elles attesteraient de la réalité des relations biologiques qui relient les individus. Il oppose la lucidité inhérente à nos nomenclatures au caractère aveugle des nomenclatures de la majorité des peuples exotiques primitifs qui, dites classificatoires, rangent dans une même catégorie, ou même classe, des frères et des cousins. Secundo, les termes de parenté reflètent des manières de cohabiter. Ainsi, là où des cousins s’appellent « frère », c’est parce que la société vit encore dans un état de promiscuité qui fait que des enfants issus de couples de géniteurs différents partagent la même maison, autrement dit vivent dans une « famille élargie ». Un premier courant des études de parenté, très présent aux États-Unis, va s’attacher à montrer que les systèmes de parenté, dans toutes les sociétés, même les plus « primitives », visent à certifier le lien « biologique » entre un homme et ses enfants (Sheffler 1973, pour une critique de ce courant, voir Schneider 1968). L’accent est alors mis sur l’étude des comportements plutôt que sur celle des termes et le dialogue avec l’éthologie animale très étroit. La capacité de déceler des ressemblances entre individus serait également tenue pour universelle. Un deuxième courant est plus proprement sociologique. Il cherche à montrer que l’architecture logique d’une nomenclature reflète des règles de filiation et surtout de mariage. L'initiateur de ce courant est Rivers (1913). Délaissant l’heuristique morganienne de la cohabitation, ce dernier montre que le phénomène des cousins-croisés résulte ou reflète une règle particulière d’alliance. Si de génération en génération se reproduit le même type de mariage avec sa cousine issue de l’oncle maternel ou de la tante paternelle, l’ensemble du champ de la parenté se déploie autour de deux lignées qui s’échangent leurs enfants. La démonstration était facilitée par la présence d’une idéologie de l’échange matrimonial chez les Dravidiens, population de l’Inde méridionale, où Rivers enquêtait. Or, Lévi-Strauss amplifie sa démonstration (1949). Le père du structuralisme y montre qu’une altération simple de la règle du mariage avec la cousine-croisée transforme profondément le système. L’interdiction du mariage avec la cousine patrilatérale a en effet pour conséquence de créer une structure d’échange non à deux termes, mais à trois unités échangistes en brisant une réciprocité immédiate au bénéfice d’une réciprocité plus englobante, à trois unités échangistes, voire plus : si les femmes circulent toujours dans le même sens, des donneurs aux preneurs, le système finit par se boucler sur lui-même. Cette nouvelle structure d’échange est dite généralisée et non plus restreinte puisque, à la différence de la première, elle se définit par sa faculté d’intégration d’un assez grand nombre d’unités échangistes, sans que soit altéré son fonctionnement. Toutefois, l’échange matrimonial se métamorphose : il n’est plus une pratique consciente pour les protagonistes, mais s’enfouit dans l’inconscient collectif. Lévi-Strauss va plus loin encore, inspiré à la fois par Le contrat socialde Rousseau et L’essai sur le donde Mauss, en disant que ce principe d’échange matrimonial est commun à toutes les sociétés humaines et se situe à l’origine de l’ordre social. La prohibition de l’inceste, universelle, en serait en quelque sorte la contrepartie négative, puisque afin de marier ma sœur à l’extérieur, je dois renoncer à elle. De ce renoncement, je peux m’attendre à recevoir à mon tour une épouse de celui qui sera mon beau-frère. L’échange des femmes sert la procréation comme il renforce la solidarité sociale. La puissance de ce modèle théorique, ainsi que sa compatibilité avec le freudisme, lui a longtemps garanti une audience considérable. Cette hégémonie s’est surtout exercée en France et en Grande-Bretagne, avant de subir, plus récemment, une certaine désaffection sous l’effet d’un double mouvement critique. D’un point de vue externe à la discipline, l’engouement féministe contemporain rend de plus en plus incongrue l’idée que les femmes soient à la fois des personnes, en tant qu’elles sont sujettes au langage, et des valeurs, en tant qu’objets d’échange. D’un point de vue interne à la discipline, la critique s’avère plus technique. Elle revient à dire que les nomenclatures à cousins-croisés peuvent autant s’expliquer par un impératif dualiste d’ordre cognitif que par des préceptes échangistes et que si leur prévalence n’est pas confirmée par l’ethnographie — comme c’est le cas en Amérique —, elle relève peut-être finalement d’une illusion de la théorie. Il existe une troisième voie dans les études de parenté, ouverte par Kroeber (1909) lorsqu’il disait que les opérateurs sémantiques inhérents à toute nomenclature ne se limitaient pas à la fascinante question des cousins-croisés. Les anthropologues culturalistes américains, peu sensibles au philosophisme lévi-straussien, ont développé ainsi l’approche componentielle, proposant de décomposer les termes de parenté en éléments (en composants) logiques (Goodenough 1956). Si ces recherches n’ont pas débouché sur des résultats spectaculaires, ils ont permis de comprendre que, dans l’ordre de la parenté, la parole abolit la différence des sexes, pourtant très saillante, dans la procréation elle-même, où la femme et l’homme ont des fonctions physiologiques et donc des rôles sociaux très différenciés. Car l'homme et la femme sont à égalité par rapport au langage, qu’ils maîtrisent pareillement. Leurs positions sont interchangeables dès lors qu’il s’agit de socialiser l’enfant en lui apprenant les relations de parenté qui lient tous ceux qui l’entourent. Nous sommes alors loin de l’obsession biologique d’un Morgan, qui pensait devoir fonder la parenté sur l’opposition, traditionnelle en Occident, de la consanguinitéet de l’affinité (Désveaux 2002).
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Bromberger, Christian. « Méditerranée ». Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.106.

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Résumé :
Alors que l’américanisme, l’africanisme, l’européanisme, l’indianisme… sont reconnus, certifiés par des musées ou des sections de musée, des départements universitaires, des chapitres de manuels depuis les origines, l’anthropologie de la Méditerranée est une spécialité récente, prenant corps, sous l’égide des universités britanniques, dans les années 1950. Ce retard est dû, au moins en partie, à l’hétérogénéité du monde méditerranéen partagé entre les façades méridionale et orientale de la mer, qui relèvent, à première vue, de l’étude du monde arabo-musulman, et la façade septentrionale ressortissant de prime abord de l’ethnologie européenne. Le scepticisme, récusant la pertinence d’une anthropologie de la Méditerranée, peut encore trouver des arguments dans l’histoire des civilisations ou dans l’actualité. Contrairement à d’autres régions du monde, l’aire iranienne voisine par exemple, le monde méditerranéen ne forme une unité ni par ses langues ni par ses traditions religieuses. Faut-il rappeler que seul l’Empire romain l’a unifié pendant plusieurs siècles autour du « mare nostrum » en favorisant l’épanouissement d’une culture gréco-latine à vocation universelle et en développant tout autour de la mer des institutions politiques sur le modèle de Rome ? Puis l’histoire de la Méditerranée fut faite de partages, de schismes, de croisades, de guerres entre empires, de conquêtes coloniales qui aboutirent, au terme de péripéties violentes, à la situation contemporaine où coexistent trois ensembles eux-mêmes fractionnés : une Méditerranée latine, catholique, largement laïcisée , partie intégrante de l’Europe occidentale, une Méditerranée balkanique orthodoxe avec ses poches islamiques, une Méditerranée arabo-musulmane. En dépit de ces fractures, des hommes de lettres campèrent, dans les années 1930, une Méditerranée des échanges et de la convivenza, à laquelle donnent crédit des lieux et des épisodes remarquables de l’histoire (l’Andalousie au temps du califat omeyade, la Sicile de Frédéric II, des villes cosmopolites de la fin du XIXème siècle et du début du XXème siècle : Istanbul, Smyrne, Salonique, Beyrouth, Alexandrie, Alger, Tanger, Trieste, Marseille, etc.). Des revues (à Marseille, les Cahiers du sud de Jean Ballard, à Tunis Les Cahiers de la Barbarie d’Armand Guibert et Jean Amrouche , à Alger Rivages d’Edmond Charlot et Albert Camus, à Rabat Aguedal d’Henri Bosco) exaltèrent cette « fraternité méditerranéenne » tout autant imaginaire que réelle. Gabriel Audisio fut le chantre le plus exalté de cette commune « patrie méditerranéenne »: « Non, écrit-il, la Méditerranée n’a jamais séparé ses riverains. Même les grandes divisions de la Foi, et ce conflit spirituel de l’Orient et de l’Occident, la mer ne les a pas exaltés, au contraire adoucis en les réunissant au sommet sensible d’un flot de sagesse, au point suprême de l’équilibre ». Et à l’image d’une Méditerranée romaine (il veut « remettre Rome ‘à sa place’ ») il oppose celle d’une « synthèse méditerranéenne » : « À cette latinité racornie, j’oppose tout ce qui a fait la civilisation méditerranéenne : la Grèce, l’Égypte, Judas, Carthage, le Christ, l’Islam ». Cette Méditerranée qui « vous mélange tout ça sans aucune espèce de pudeur », dit-il encore, « se veut universelle ». Avant qu’un projet collectif d’anthropologie n’émerge, des ancêtres de la discipline, des géographes, des historiens, avaient apporté une contribution importante à la connaissance du monde méditerranéen. Maine, Robertson Smith, Frazer, etc. étaient classicistes ou historiens du droit et se référaient souvent aux sociétés antiques de la Méditerranée pour analyser coutumes et croyances ou encore les différentes formes d’organisation sociale (la tribu, la cité, etc.) et leur évolution. Plus tard, dans les premières décennies du XXème siècle, de remarquables études monographiques ou thématiques furent réalisées sur les différentes rives de la Méditerranée , telles celles de Maunier (1927) sur les échanges rituels en Afrique du nord, de Montagne (1930) sur les Berbères du sud Marocain, de Boucheman (1937) sur une petite cité caravanière de Syrie…Géographes et historiens, plus préoccupés par l’ancrage matériel des sociétés que par leur structure ou leurs valeurs, publièrent aussi des travaux importants, synthétiques ceux-ci, sur le monde méditerranéen ; ainsi Charles Parain, dans La Méditerranée, les hommes et les travaux (1936), campe une Méditerranée des infrastructures, celle qui prévaudra jusques et y compris dans les 320 premières pages de la thèse de Fernand Braudel (1949), celle des « ressources naturelles, des champs et des villages, de la variété des régimes de propriété, de la vie maritime, de la vie pastorale et de la vie agricole, des métiers et des techniques ». L’acte fondateur de l’anthropologie de la Méditerranée fut un colloque organisé en 1959 par Julian Pitt-Rivers, Jean Peristiany et Julio Caro Baroja, qui réunit, entre autres, Ernest Gellner, qui avait mené des travaux sur le Haut-Atlas, Pierre Bourdieu, alors spécialiste de la Kabylie, John K. Campbell, auteur de recherches sur les Saracatsans du nord de la Grèce. Cette rencontre, et celle qui suivit, en 1961, à Athènes donnèrent lieu à la publication de deux recueils fondamentaux (Pitt-Rivers, 1963, Peristiany, 1965), campant les principaux registres thématiques d’une anthropologie comparée des sociétés méditerranéennes (l’honneur, la honte, le clientélisme, le familialisme, la parenté spirituelle, etc.) et véritables coups d’envoi à des recherches monographiques s’inscrivant désormais dans des cadres conceptuels fortement charpentés. Les décennies 1960, 1970 et 1980 furent celles d’une croissance rapide et d’un épanouissement de l’anthropologie de la Méditerranée. Le monde méditerranéen est alors saisi à travers des valeurs communes : outre l’honneur et la honte, attachés au sang et au nom (Pitt-Rivers, 1977, Gilmore, 1987), la virilité qui combine puissance sexuelle, capacité à défendre les siens et une parole politique ferme qui ne transige pas et ne supporte pas les petits arrangements, l’hospitalité ostentatoire. C’est aussi un univers où domine une vision endogamique du monde, où l’on prise le mariage dans un degré rapproché, mieux la « république des cousins », où se marient préférentiellement le fils et la fille de deux frères, une formule surtout ancrée sur la rive sud et dans l’Antiquité pré-chrétienne, ; Jocaste ne dit-elle pas à Polynice : « Un conjoint pris au-dehors porte malheur » ? Ce à quoi Ibn Khaldoun fait écho : « La noblesse, l’honneur ne peuvent résulter que de l’absence de mélange », écrivait-il. Aux « républiques des beaux-frères », caractéristiques des sociétés primitives exogames étudiées par Claude Lévi-Strauss s’opposent ainsi les « républiques méditerranéennes des cousins », prohibant l'échange et ancrées dans l'endogamie patrilinéaire. Alors que dans les premières, « une solidarité usuelle unit le garçon avec les frères et les cousins de sa femme et avec les maris de ses sœurs », dans les secondes « les hommes (...) considèrent leurs devoirs de solidarité avec tous leurs parents en ligne paternelle comme plus importants que leurs autres obligations, - y compris, bien souvent, leurs obligations civiques et patriotiques ». Règne ainsi, dans le monde méditerranéen traditionnel, la prédilection pour le « vivre entre soi » auquel s’ajoute une ségrégation marquée entre les sexes, « un certain idéal de brutalité virile, dont le complément est une dramatisation de la vertu féminine », poursuit Germaine Tillion (1966). La Méditerranée, c’est aussi un monde de structures clientélaires, avec ses patrons et ses obligés, dans de vieilles sociétés étatiques où des relais s’imposent, à tous les sens du terme, entre le peuple et les pouvoirs; parallèlement, dans l’univers sacré, les intermédiaires, les saints, ne manquent pas entre les fidèles et la divinité ; ils sont nombreux, y compris en islam où leur culte est controversé. La violence avec ses pratiques vindicatoires (vendetta corse, disamistade sarde, gjak albanais, rekba kabyle…) fait aussi partie du hit-parade anthropologique des caractéristiques méditerranéennes et les auteurs analysent les moyens mis en œuvre pour sortir de ces conflits (Black-Michaud, 1975). Enfin, comment ne pas évoquer une communauté de comportements religieux, en particulier les lamentations funèbres, les dévotions dolorisantes autour des martyrs ? L’« inflation apologétique du martyre » est ainsi un trait commun au christianisme et à l’islam chiite pratiqué au Liban. La commémoration des martyrs fondateurs, dans le christianisme comme en islam chiite, donne lieu à des rituels d’affliction de part et d’autre de la Méditerranée. C’est en terre chrétienne la semaine sainte, avec ses spectaculaires processions de pénitents en Andalousie, ou, en Calabre, ces cérémonies où les hommes se flagellent les mollets et les cuisses jusqu’au sang. Au Liban les fidèles pratiquent, lors des processions et des prônes qui évoquent les tragiques événements fondateurs, des rituels dolorisants : ils se flagellent avec des chaînes, se frappent la poitrine avec les paumes des mains, voire se lacèrent le cuir chevelu avec un sabre. Dans le monde chrétien comme en islam chiite, des pièces de théâtre (mystères du Moyen Âge, ta’zie) ont été composées pour représenter le martyre du sauveur. Rituels chiites et chrétiens présentent donc un air de famille (Bromberger, 1979). Cette sensibilité au martyre dans les traditions religieuses méditerranéennes est à l’arrière-plan des manifestations laïques qui célèbrent les héros locaux ou nationaux tombés pour la juste cause. C’est le cas en Algérie. Toutes ces remarques peuvent paraître bien réductrices et caricaturales, éloignées des formes de la vie moderne et de la mondialisation qui l’enserre. Ne s’agit-il pas d’une Méditerranée perdue ? Les auteurs cependant nuancent leurs analyses et les insèrent dans le contexte spécifique où elles prennent sens. Dans leur généralité, elles offrent, malgré tout, une base de départ, un cadre comparatif et évolutif. Après une période faste, couronnée par un ouvrage de synthèse récapitulant les acquis (Davis, 1977), vint le temps des remises en cause. Plusieurs anthropologues (dont Michael Herzfeld, 1980, Josep Llobera,1986, Joao de Pina-Cabral,1989…) critiquèrent de façon radicale l'érection de la Méditerranée en « regional category » en fustigeant le caractère artificiel de l'objet, créé, selon eux, pour objectiver la distance nécessaire à l'exercice légitime de la discipline et qui s'abriterait derrière quelques thèmes fédérateurs fortement stéréotypés. À ces critiques virulentes venues des centres européens ou américains de l’anthropologie, se sont jointes celles d'ethnologues originaires des régions méditerranéennes, pour qui la référence à la Méditerranée est imaginaire et suspecte, et dont les travaux sont ignorés ou regardés de haut par les chercheurs formés à l’école britannique. Ce sentiment négatif a été d’autant plus accusé sur les rives méridionale et orientale de la Méditerranée que la mer qui, à différentes périodes, reliait est devenue un fossé aussi bien sur le plan économique que politique. Diverses initiatives et prises de position scientifiques ont donné un nouvel élan, dans les années 1990-2000, à l’anthropologie de la Méditerranée. Colloques et ouvrages (par exemple Albera, Blok, Bromberger, 2001) rendent compte de cette nouvelle conjoncture. On se garde désormais plus qu’avant de considérer le monde méditerranéen comme une aire culturelle qui présenterait, à travers le temps et l’espace, des caractéristiques communes stables. Au plus parlera-t-on d’un « air de famille » entre les sociétés riveraines de la mer en raison de contextes écologiques similaires, d’une histoire partagée, de la reconnaissance d’un seul et même Dieu. Cette perspective mesurée rejoint le point de vue de Horden et Purcell (2000), auteurs d’un ouvrage important tirant un bilan critique de l’histoire du monde méditerranéen. Pour eux, qui combinent points de vue interactionniste et écologique, la Méditerranée se définit par la mise en relation par la mer de territoires extrêmement fragmentés, par une « connectivity » facilitée par les Empires. Le titre énigmatique de leur livre, The Corruptive Sea, « La Mer corruptrice », prend dès lors tout son sens. Parce qu’elle met en relation, cette mer serait une menace pour le bon ordre social et pour la paix dans les familles. Cette proximité entre sociétés différentes qui se connaissent fait que le monde méditerranéen s’offre comme un terrain idéal au comparatisme « à bonne distance ». C’est sous le sceau de ce comparatisme raisonné que s’inscrivent désormais les travaux les plus convaincants, qu’ils se réclament explicitement ou non de l’anthropologie de la Méditerranée (voir sur la nourriture Fabre-Vassas, 1994, sur la parenté Bonte éd., 1994 , sur la sainteté Kerrou éd., 1998 et les traditions religieuses, sur les migrations et les réseaux Cesari, éd., 2002, sur le cosmopolitisme Driessen, 2005) Tantôt les recherches soulignent les proximités (Albera, 2005, 2009, Dakhlia, 2008, Dakhlia et Kaiser, 2011), tantôt elles les relativisent (Fernandez Morera, 2016, Bromberger, 2018), tantôt elles insistent sur les aspects conflictuels (Chaslin, 1997). Une autre voie est de considérer le monde méditerranéen, non pas comme un ensemble fait de similarités et de proximités mais comme un espace fait de différences qui forment système. Et ce sont ces différences complémentaires, s’inscrivant dans un champ réciproque, qui permettent de parler d’un système méditerranéen. Chacun se définit, ici peut-être plus qu’ailleurs, dans un jeu de miroirs (de coutumes, de comportements, d’affiliations) avec son voisin. Les comportements alimentaires, les normes régissant l’apparence vestimentaire et pileuse, le statut des images… opposent ainsi des populations revendiquant un même Dieu (Bromberger, 2018).
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