Articles de revues sur le sujet « Écosystèmes – Effets de la pollution »

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Aribi, Nadia, Béatrice Denis, Samira Kilani-Morakchi et Dominique Joly. « L’azadirachtine, un pesticide naturel aux effets multiples ». médecine/sciences 36, no 1 (janvier 2020) : 44–49. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2019268.

Texte intégral
Résumé :
Une littérature abondante traite de l’impact négatif des pesticides conventionnels, très efficaces dans la gestion des ravageurs mais responsables d’une large pollution environnementale. Les pesticides d’origine naturelle qui auraient un moindre impact environnemental suscitent ainsi un intérêt majeur. Parmi ceux-ci, l’azadirachtine, commercialisée sous diverses formulations (huile de neem, Neem-Azal, Bioneem, etc.) reste la molécule la plus recommandée dans les agro-écosystèmes. L’argument d’une innocuité environnementale de l’azadirachtine est cependant nuancé par des effets collatéraux qui, bien que controversés, sont notables sur des organismes non ciblés.
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2

DOUAFER, Louiza. « Le Premier Séminaire National sur : Biodiversité, Santé et Environnement : Enjeux du Développement Durable ». URBAN ART BIO 2, no 3 (29 janvier 2024) : 279. http://dx.doi.org/10.35788/uab.v2i3.108.

Texte intégral
Résumé :
Tout ce que le monde a réalisé en termes de progrès est remis en question sur le développement durable. C'est-à-dire, un développement qui, en plus des facteurs de croissance économique, d'équité et de cohésion sociale, prend en compte le facteur écologique de préservation et de valorisation de l'environnement. Ainsi, au-delà de l’émergence de maladies infectieuses, la dégradation des écosystèmes et la destruction de la biodiversité, combinées au dérèglement climatique global, peuvent avoir des effets directs et indirects sur la santé de l’Homme et de l’environnement. Ainsi, la dégradation des terres et la perte de biodiversité affectent la sécurité alimentaire en réduisant la productivité des terres agricoles. Les êtres humains sont au centre des préoccupations relatives au développement durable. Ils ont droit à une vie saine et productive, en harmonie avec la nature. La biodiversité est à l’origine de la vie sur terre. Elle rend des services à l’Homme qui lui apporte la santé et le bien-être. Elle est le socle de la médecine tra­ditionnelle et elle contribue à l’équilibre des écosystèmes. En fait, la conservation de la biodiversité et l'utilisation durable des ressources biologiques sont essentielles pour parvenir au développement durable. À titre, l’environnement est un déterminant majeur de la santé humaine et de la biodiversité, les facteurs environnementaux affectent également, à des degrés divers, la santé des animaux ou des végétaux et le fonctionnement des écosystèmes. La santé environnementale traite des dangers associés aux agents chimiques, biologiques et physiques présents dans l’environnement, de même que de leurs effets sur la santé de la population. À l’inverse, protéger l’environnement naturel procure des bénéfices pour les sociétés humaines, et permet de réduire les expositions aux pollutions, et ainsi de conserver la biodiversité. Actuellement, la pollution de l'environnement a atteint un niveau si alarmant qu'elle représente une grave menace pour l’Homme et l'environnement, la survie des autres organismes vivants, des perturbations dans les écosystèmes, la perte de ressources naturelles et de la biodiversité. En effet, les concepts de biodiversité, santé, et environnement se sont imposés comme des préoccupations majeures du développement durable, suite au constat de plus en plus flagrant de la responsabilité de l’Homme dans leur dégradation par la destruction et/ou le morcellement croissant des écosystèmes naturels. Par ses activités industrielles, agriculturales, économiques ou urbaines, mais aussi par le réchauffement climatique qu’il cause, l’Homme contribue à faire disparaître de nombreuses espèces vivantes et ainsi la dégradation de la qualité de l’environnement. Plus largement, la dégradation de la nature a également des répercussions économiques, sanitaires ou encore sociales. La pandémie de Covid-19 a été l’occasion brutale de prendre conscience des conséquences sanitaires des perturbations environnementales (la pollution atmosphérique) et de leur dimension planétaire, qui favoriserait la propagation du virus). D’ici peu, la destruction des écosystèmes, le dérèglement climatique, la perte de biodiversité et la diminution de la qualité de l’air et de l’eau pourraient compter parmi les premières causes de morbidité dans le monde. Il est donc essentiel d’appréhender désormais les questions de santé publique au prisme des enjeux environnementaux. La gestion de ces risques ne s’appuie plus seulement sur la crainte d’une pathologie mais sur l’angoisse que peut susciter l’avenir de l’humanité sur une planète mise en danger par une gestion trop techniciste et inéquitable. Ce sont bien les principes du développement durable qui sont ainsi convoqués. Et afin de répondre à cette problématique, Nous tenterons de rapprocher les grandes causes dégradant la biodiversité et l’environnement et la propagation des maladies. Donc, l’étude de la relation entre la biodiversité, l’environnement et notre santé, mérite en fait la plus grande rigueur. C'est le mérite de la présente manifestation de donner à penser correctement et trouver des solutions faces à ces problèmes.
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Dipama, Jean-Marie. « Les risques de dégradation des écosystèmes liés à la culture du coton au Burkina Faso : le cas du parc national de Pô ». Articles 40, no 2 (24 mars 2011) : 29–52. http://dx.doi.org/10.7202/1001387ar.

Texte intégral
Résumé :
Depuis 1995, la culture du coton connaît une expansion considérable au Burkina Faso. Sa promotion vise à accroître les revenus monétaires des paysans et lutter contre la pauvreté. L’engouement pour la culture du coton est à l’origine de l’envolée de la production du pays qui est passée de 147 000 à 600 000 tonnes entre 1996 et 2006. Cette dynamique suscite des polémiques sur les effets environnementaux avérés ou supposés de la culture du coton, susceptibles de compromettre la préservation des ressources naturelles et de la biodiversité surtout lorsque la culture côtoie une aire protégée comme le parc national de Pô. À partir d’une analyse diachronique d’images satellites (Landsat et Aster) et des investigations menées sur deux terroirs qui jouxtent le parc, cette étude met en évidence une dégradation de la végétation et la flore, une pollution des eaux de surface et de sérieuses menaces sur certaines populations de la faune. Il s’avère nécessaire de renforcer les mesures d’accompagnement qui concilient le développement harmonieux de la filière avec la gestion durable des ressources naturelles.
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Diop, Cheikh, Dorothée Dewaele, Aminata Toure, Mathilde Cabral, Fabrice Cazier, Mamadou Fall, Baghdad Ouddane et Amadou Diouf. « Étude de la contamination par les éléments traces métalliques des sédiments cotiers au niveau des points d’évacuation des eaux usées à Dakar (Sénégal) ». Revue des sciences de l’eau 25, no 3 (28 novembre 2012) : 277–85. http://dx.doi.org/10.7202/1013107ar.

Texte intégral
Résumé :
Les écosystèmes marins côtiers sont des milieux de plus en plus affectés par l’activité humaine à cause des rejets urbains et l’utilisation de l’océan comme dépotoir pouvant mener à de hauts niveaux de pollution. L’objectif de cette étude était de déterminer les profils de concentration en éléments traces métalliques (Cd, Cr, Cu, Co, Ni, Pb et Zn) des sédiments dans des zones présumées être contaminées par les rejets des eaux usées à Dakar et d’évaluer leur qualité. Pour ce faire, des échantillons de sédiments ont été prélevés au niveau de cinq points d’évacuation des eaux usées vers la mer à Dakar (Sénégal). Les résultats montrent des caractéristiques géochimiques (granulométrie, alcalinité, teneur en carbone organique et en soufre) comparables. L’évaluation de la qualité des sédiments a été effectuée par le calcul de divers indices. Un enrichissement important des sédiments en cadmium et en plomb a surtout été noté. L’Indice de Pollution Sédimentaire (IPS), qui estime le degré de contamination d’un site en fonction de la toxicité relative de chaque métal considéré, fait état d’une forte pollution, voire même d’une dangerosité des sédiments étudiés. En effet, le cadmium et le plomb, présents en fortes teneurs dans les sites, contribuent respectivement à l’ordre de 94 % et 5 % à la dangerosité potentielle des sédiments (selon le classement de l’indice de pollution sédimentaire) alors que le zinc, le cuivre, le nickel et le chrome, également présents en fortes concentrations, ne représentent que 1 % de la pollution globale. Des corrélations positives élevées et modérées sont observées entre Pb/Cd, Pb/Co, Cr/Cu, Cr/Zn, Cr/Fe, Cr/Mn, Cu/Ni, Cu/Fe, Cu/Mn et Zn/Mn, indiquant leurs sources communes possibles à partir des activités industrielles et/ou urbaines ainsi que des comportements comparables dans le sédiment.
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Pellerin-Massicotte, Jocelyne, Bruno Vincent et Émilien Pelletier. « Évaluation écotoxicologique de la baie des Anglais à Baie-Comeau (Québec) ». Water Quality Research Journal 28, no 4 (1 novembre 1993) : 665–86. http://dx.doi.org/10.2166/wqrj.1993.035.

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Résumé :
Résumé La baie des Anglais à Baie-Comeau (Québec) est un site industriel reconnu comme étant contaminé aux hydrocarbures et aux biphényls polychlorés (BPC). Une expérience de transfert à moyen terme de deux bivalves marins, Mya arenaria et Mytilus edulis L., a été réalisée entre un site de référence en aval de la baie des Anglais (Franquelin) et des sites contaminés près de Baie-Comeau suivant un gradient de contamination déterminé selon des données physico-chimiques antérieures. Les analyses chimiques de contaminants ont montré qu’il n’y a pas eu d’enrichissement en hydrocarbures, au mercure et en BPC pour toute la durée du protocole mais, parmi les sondes bioanalytiques choisies pour évaluer l’état de santé de cet écosystème, celles qui se sont avérées les plus sensibles chez Mya arenaria furent le glycogène et les lipides dans les gonades, et pour les deux bivalves, la fragilité de la membrane lysosomale de la glande digestive qui est un excellent indicateur de stress toxique. Les présents résultats sont compatibles avec un modèle qui consisterait à établir une évaluation ecotoxicologique d’un écosystème que l’on soupçonne perturbé par la pollution par (i) l’analyse de la bioaccumulation des substances toxiques que l’on croit présentes dans l’écosystème (hydrocarbures, BPC et métaux lourds) et (ii) l’évaluation des effets physiologiques et biochimiques des polluants à l’aide de sondes bioanalytiques appropriées.
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Moore, Jean-David. « Premières mentions de vers de terre au parc naturel et historique de l’île aux Basques ». Le Naturaliste canadien 143, no 2 (4 juin 2019) : 33–38. http://dx.doi.org/10.7202/1060053ar.

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Résumé :
Deux espèces exotiques de vers de terre, d’origine européenne, ont été trouvées à plusieurs endroits au parc naturel et historique de l’île aux Basques (Québec, Canada). Il s’agit des premières mentions de vers de terre sur cette île. Cet article ne permet pas d’établir avec certitude quand les vers de terre sont arrivés sur l’île. Ceux-ci pourraient avoir été involontairement introduits par les Basques dès les 16e et 17e siècles. D’autres sources potentielles d’introduction sont également discutées. Pour le moment, il est difficile d’évaluer l’ampleur des effets qu’ont pu avoir les vers de terre sur les différents écosystèmes de l’île, étant donné l’absence de suivi à long terme et d’inventaires approfondis. Cependant, les espèces de vers de terre recensées jusqu’à maintenant sur l’île ont généralement des effets moindres sur les écosystèmes que ceux d’autres espèces exotiques de vers de terre européens présentes au Québec. Des inventaires supplémentaires seraient nécessaires afin de documenter si de telles espèces sont présentes, l’ampleur du phénomène de colonisation par les vers de terre, et les effets potentiels de celle-ci sur les écosystèmes de cette île.
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Ramade, François, et Hélène Roche. « Effets des polluants sur les écosystèmes récifaux ». Revue d'Écologie (La Terre et La Vie) 61, no 1 (2006) : 3–33. http://dx.doi.org/10.3406/revec.2006.1297.

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Roux, Natacha, Pauline Salis et Vincent Laudet. « Les larves de poissons coralliens : un nouveau modèle d’étude de la métamorphose et des hormones thyroïdiennes ». Biologie Aujourd'hui 213, no 1-2 (2019) : 27–33. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2019010.

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Résumé :
Les transitions (développementales, écologiques, etc.) au cours du cycle de vie des organismes sont essentielles à la survie de nombreuses espèces animales. Cependant, les mécanismes contrôlant ces événements sont encore largement méconnus. Les poissons des récifs coralliens vivent plusieurs transitions majeures au cours de leur vie. En effet, les adultes se reproduisent à proximité du récif, émettant des œufs qui se dispersent et éclosent dans l’océan où les larves vont se développer. Les larves retournent ensuite vers les récifs où elles s’installent et persistent, cette étape constituant le recrutement larvaire. Cette transition écologique (du grand bleu au récif) qui a lieu au cours du recrutement larvaire est accompagnée d’une transition développementale permettant à la larve de devenir un juvénile. Cette transition essentielle, considérée comme une métamorphose, est contrôlée par les hormones thyroïdiennes (TH : T4, T3) et leurs récepteurs nucléaires (TRαa, TRαb et TRβ). Ainsi, une augmentation des taux de TH et de l’expression des TR chez les larves entraîne le déclenchement de leur métamorphose leur permettant ainsi de s’installer dans les récifs à l’état de juvénile. Nous avons observé ces évènements chez différentes espèces de poissons coralliens, laissant à penser qu’ils pourraient intervenir chez toutes. Du fait de ce contrôle hormonal, la transition de la larve en juvénile peut être affectée par des perturbateurs endocriniens dans l’environnement ainsi que par d’autres polluants. Nous avons notamment montré qu’un pesticide, le chlorpyrifos, perturbe la métamorphose du poisson chirurgien et du poisson clown, diminuant ainsi la qualité des juvéniles sortant de cette transition. La métamorphose et le recrutement larvaire étant essentiels au maintien des populations de poissons et, par voie de conséquence, à la résilience des récifs coralliens, il est important de mieux comprendre aux niveaux moléculaire, développemental et comportemental, comment le changement global et la pollution peuvent menacer les écosystèmes récifaux.
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9

Beauchesne, David, Cindy Grant, Dominique Gravel et Philippe Archambault. « L’évaluation des impacts cumulés dans l’estuaire et le golfe du Saint-Laurent : vers une planification systémique de l’exploitation des ressources ». Le Naturaliste canadien 140, no 2 (2 juin 2016) : 45–55. http://dx.doi.org/10.7202/1036503ar.

Texte intégral
Résumé :
L’intensification de l’empreinte humaine dans l’estuaire et le golfe du Saint-Laurent impose une planification systémique de l’exploitation des ressources marines. Une évaluation régionale des impacts cumulés dans le Saint-Laurent demeure pourtant encore attendue. Un nombre important d’activités (p. ex. transport maritime, pêche, aquaculture) caractérise l’exploitation humaine du Saint-Laurent. Ces activités imposent plusieurs stresseurs environnementaux (p. ex. destruction de l’habitat) affichant un chevauchement spatial croissant. Individuellement, ils peuvent affecter la structure et le fonctionnement des écosystèmes. Imposés simultanément, les stresseurs peuvent agir en synergie et entraîner des effets non linéaires imprévisibles. Ces effets demeurent largement incompris et conséquemment ignorés lors d’évaluations d’impacts environnementaux, qui demeurent orientées sur des espèces ou secteurs uniques et l’approbation de projets. Plusieurs défis relatifs aux impacts cumulés dans le Saint-Laurent doivent être relevés : 1) améliorer l’état des connaissances des impacts de multiples stresseurs sur les écosystèmes, 2) améliorer l’applicabilité des méthodes d’évaluation d’impacts cumulés, 3) identifier des indicateurs d’impacts cumulés, 4) créer un protocole de suivi environnemental et d’impacts humains, et de partage de données et 5) développer une capacité de gestion adaptative pour le Saint-Laurent. La planification systémique de l’utilisation des ressources naturelles au sein du Saint-Laurent nécessitera une vision intégrative de la structure et du fonctionnement des écosystèmes ainsi que des vecteurs de stress qui leur sont imposés. Une telle approche ne sera réalisable que lorsque nous aurons développé les infrastructures et les outils nécessaires à une gestion écosystémique du Saint-Laurent.
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Bachand, Étienne, et Sophie Comtois. « Recharge en sable et revégétalisation de 2 plages de l’estuaire du Saint-Laurent, Québec ». Le Naturaliste canadien 140, no 2 (2 juin 2016) : 105–12. http://dx.doi.org/10.7202/1036508ar.

Texte intégral
Résumé :
En 2012, le comité ZIP (Zone d’intervention prioritaire) du Sud-de-l’Estuaire a réalisé 2 projets de recharge en sable sur des plages du Bas-Saint-Laurent. C’est respectivement 275 m3 et 295m3 de sédiments qui ont été déposés sur une plage de Sainte-Flavie et de Rivière-Ouelle. Les recharges en sable étaient accompagnées d’une revégétalisation à l’aide d’espèces indigènes possédant une forte capacité de rétention des sols. Ces techniques souples de restauration des berges s’appuient sur le principe de la dynamique naturelle des écosystèmes côtiers pour atténuer les effets de l’érosion littorale et diminuer les dégâts liés à la submersion marine. Sur chacun des sites, 100 m linéaires de plage ont été restaurés pour une fraction (453 $/m linéaire) des coûts nécessaires à la construction d’un enrochement (7 000 $/m linéaire). Après 3 années de suivi, on a noté un engraissement et un élargissement des plages ainsi qu’un développement rapide des végétaux dans le milieu. La restauration des écosystèmes littoraux est une solution durable, écologique, peu coûteuse et accessible aux communautés côtières.
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Rosset, Christian. « La valeur ajoutée de la digitalisation : être plusinformé, connecté et agile ». Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 172, no 4 (30 juin 2021) : 198–204. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2021.0198.

Texte intégral
Résumé :
La valeur ajoutée de la digitalisation: être plusinformé, connecté et agile La digitalisation et les nouvelles technologies représentent un grand potentiel pour soutenir une gestion des écosystèmes forestiers qui soit proche de la nature, multifonctionnelle et durable. Il existe déjà de nombreux exemples concrets de l’utilisation judicieuse de ces technologies dans ce domaine exigeant et complexe. Les capteurs des satellites, des drones ou des smartphones fournissent des informations toujours plus précises sur l’état de la forêt et son évolution. La digitalisation et la mise en réseau des processus de gestion favorisent une pensée systémique et aident à mieux appréhender la complexité de la gestion forestière. Les plateformes d’échange d’expériences et de connaissances permettent de mettre en commun les nombreuses et diverses expertises venant de la pratique, ce qui permet de mieux comprendre, en fonction des situations et des faits, la dynamique des écosystèmes forestiers, les techniques sylvicoles utilisées et leurs effets. La réalité virtuelle offre la possibilité de rapprocher la forêt du grand public. Par exemple, le «voyage dans le temps», permis par une documentation visuelle de la forêt au cours du temps, peut être utilisé pour illustrer les effets des mesures sylvicoles et les relier concrètement aux attentes de la société et des propriétaires forestiers. Etre bien informé et renforcer la pensée systémique et les échanges avec les acteurs forestiers sont des conditions préalables importantes pour pouvoir s’adapter rapidement, de façon flexible et efficace et faire preuve d’agilité, ce d’autant plus dans un contexte de changements profonds, tels que les changements climatiques.
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Jeffries, D. S., S. E. Doka, M. L. Mallory, F. Norouzian, A. Storey et I. Wong. « Effets des précipitations acides sur les écosystèmes aquatiques au Canada : Situation actuelle et future ». Revue des sciences de l'eau 11 (12 avril 2005) : 129–43. http://dx.doi.org/10.7202/705335ar.

Texte intégral
Résumé :
Cet article représente une évaluation de l'état actuel et des tendances observées dans les écosystèmes lacustres, ainsi que de leur état futur probable lorsque les réductions d'émissions requises dans le cadre de l'Entente Canada-États-Unis sur la qualité de l'air auront été effectives. Outre une synthèse des faits saillants de ce dossier pour l'ensemble du Canada, le présent article s'appuie aussi sur l'ensemble des données physico-chimiques récentes (8874 échantillons) observées sur 2779 lacs de l'est canadien, ainsi que celles recueillies (1012 échantillons) sur 252 lacs de l'ouest canadien depuis 1985. Des données biologiques (poissons, benthos, zooplancton et oiseaux aquatiques) ont également été inventoriées pour identifier l'ampleur des dommages biologiques. Les nombreux lacs ayant subi une acidification anthropique récente sont situés pour la plupart dans l'est du Canada où les dépôts de SO- sont élevés. La sensibilité des sols influence également leur distribution spatiale. Durant la période s'échelonnant de 1981 à 1994, seulement 33% des 202 lacs faisant l'objet d'un suivi temporel dans l'est du Canada ont montré une amélioration significative de leur acidité (réduction) en réponse à la baisse des dépôts de SO- (11% des lacs ont subi une hausse d'acidité et 56% n'ont montré aucun changement). Plus de la moitié des lacs ayant récupéré se situent à proximité de Sudbury en Ontario. Plusieurs processus biogéochimiques sont responsables du retard dans la réversibilité de l'acidification. Pour cette raison, la récupération biologique a été très faible dans l'est canadien, exception faite de la région immédiate de Sudbury. Trois scénarios d'émissions ont été considérés: scénario 1: niveaux d'émission canadiens et américains de 1985; scénario 2: émissions canadiennes de 1994 et émissions américaines de 1990 ; scénario 3: réductions d'émissions américaines et canadiennes complétées. Ces scénarios de réductions d'émissions, qui ont été utilisés comme données d'entrée à des modèles stationnaires simulant la chimie des eaux de surface et qui ont été appliqués à cinq grandes zones lacustres du l'est canadien, suggèrent que la proportion de lacs "endommagés" (définis comme étant des lacs de pH<6) diminuera conséquemment aux réductions d'émissions américaines et canadiennes. De 11 à 49% des lacs acidifiés le resteront après l'ensemble des réductions prévues (scénario 3). Le Québec et l'Ontario, qui reçoivent actuellement les plus fortes retombées acides, bénéficieront le plus des réductions. Les gains environnementaux seront plus faibles dans l'est et dans l'ouest du Canada. De plus faibles dépôts acides et une contribution naturelle à l'acidité pourraient expliquer cette moins grande récupération. Il est maintenant reconnu que le pH est le principal facteur d'influence de la diversité spécifique du poisson, bien que d'autres facteurs comme la morphométrie du lac, l'altitude et les concentrations de COD soient aussi en partie responsables. Une réduction des dommages biologiques (i.e.baisse des disparitions de populations de poisson) serait donc possible, mais cette amélioration ne surviendra qu'après la hausse du pH des eaux de surface. L'importance relative des gains au plan biologique suivra une évolution similaire à celui des aspects chimiques. Des dommages significatifs aux écosystèmes lacustres subsisteront néanmoins après réalisation de l'ensemble des réductions d'émissions. Des pertes de populations de poissons devraient subsister dans 6% (Sudbury) à 15% (Kejimkujik) des lacs. Compte tenu du grand nombre de lacs situés dans le sud-est canadien, les pourcentages précédents impliquent que les ressources piscicoles perdues pourraient être très élevées. La restauration des communautés piscicoles devra passer dans bien des cas par un ré-enpoissonnement. De nouveaux programmes de contrôle visant des réductions supplémentaires d'émissions seront dès lors nécessaires pour protéger correctement les écosystèmes sensibles.
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Michaud, Dominique. « Impact environnemental des cultures transgéniques ». Articles de synthèse 86, no 2 (9 mars 2006) : 107–24. http://dx.doi.org/10.7202/012511ar.

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Résumé :
La publication d’un article scientifique sur les effets néfastes d’un hybride de maïs transgénique exprimant une δ-endotoxine duBacillus thuringiensiscontre des larves du papillon monarque causait, il y a quelques années, une controverse sans précédent sur l’impact environnemental des caractères recombinants introduits au bagage génétique des cultures agricoles. Le présent article de synthèse, complémentaire à un article de ce même numéro abordant la migration des transgènes dans l’environnement (Michaud 2005), discute de l’impact des caractères recombinants encodés par les transgènes sur l’incidence et le développement des différents organismes vivants du milieu. L’impact des nouveaux caractères est d’abord considéré à l’échelle des écosystèmes, à la lumière des effets exercés par les pratiques agricoles courantes sur la diversité biologique au champ. L’impact de ces caractères est ensuite considéré en fonction des interactions spécifiques établies au champ ou en conditions de laboratoire entre la plante modifiée et une gamme d’espèces modèles incluant des ravageurs herbivores secondaires, des arthropodes prédateurs et différents organismes du sol.
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Galgani, François. « La pollution marine : une lutte à intensifier ». Questions internationales 107-108, no 3 (22 juin 2021) : 116–24. http://dx.doi.org/10.3917/quin.107.0116.

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Résumé :
Si une attention accrue est accordée depuis peu aux ressources océaniques, des décennies de pollution ont gravement dégradé l’état des écosystèmes marins avec des impacts de plus en plus mesurables sur l’environnement et sur la santé humaine, une capacité de régénération des océans limitée et des outils de gestion qui restent très imparfaits, faute de connaissances et d’une mauvaise gouvernance .
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Denier-Pasquier, Florence. « L’action de France Nature Environnement pour faire face collectivement au bouleversement climatique du cycle de l’eau ». Annales des Mines - Responsabilité et environnement N° 112, no 4 (25 octobre 2023) : 94–98. http://dx.doi.org/10.3917/re1.112.0094.

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Résumé :
Les profonds effets du dérèglement climatique sur les hydrosystèmes font désormais peser des menaces à la fois sur les milieux naturels et la ressource en eau. Cet article retrace la mobilisation qu’opère le mouvement France Nature Environnement (FNE), première fédération d’associations de protection de la nature en France, dans le paysage de la politique de l’eau. Nous identifions les freins et leviers d’une action publique qui doit aujourd’hui à la fois croiser les enjeux de préservation des écosystèmes et de partage de la ressource, de qualité et de quantité, d’anticipation et de gouvernance collective. Nous insistons sur la place fondamentale que doivent occuper les Solutions fondées sur la Nature et la sobriété.
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Jeanblanc-Risler, Florence. « Les Terres australes et antarctiques françaises : des territoires-frontières au cœur des enjeux de la planète ». Administration N° 279, no 3 (4 octobre 2023) : 54–56. http://dx.doi.org/10.3917/admi.279.0054.

Texte intégral
Résumé :
Situées aux confins du territoire national, les Terres australes et antarctiques françaises, formées par l’archipel Crozet, l’archipel Kerguelen, les îles Saint-Paul et Amsterdam (dits « districts austraux »), la terre Adélie et les îles Éparses, illustrent la notion de « frontière » dans toutes ses dimensions. Elles sont en effet non seulement constitutives de frontières nationales ( borders ), mais également d’opportunités d’échanges et de coopérations, notamment en matière de recherche scientifique. Longtemps envisagées comme des fronts pionniers ( frontier en anglais), elles font aujourd’hui l’objet d’une politique de restauration et de conservation visant à rétablir leurs écosystèmes originels. L’accélération de la compétition entre les grandes puissances dans la zone indopacifique et les effets du changement climatique, qui touche directement ces territoires-frontières en apparence préservés du chaos du monde, font peser un risque non négligeable sur leur stabilité.
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Lors, Christine, Pauline Leleux et Chung-Hae Park. « Biodégradabilité des plastiques biosourcés : revue bibliographique sur l’acide polylactique ». Matériaux & ; Techniques 110, no 6 (2022) : 604. http://dx.doi.org/10.1051/mattech/2023002.

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Résumé :
Le développement de plastiques biosourcés est une alternative intéressante pour diminuer la dépendance au pétrole et pour limiter l’effet des plastiques pétrosourcés sur l’environnement conduisant à des effets délétères sur les écosystèmes terrestres et marins. En parallèle du développement de plastiques biosourcés, il est important de se préoccuper de leur fin de vie. Leur dégradation par des processus biologiques en conditions aérobies ou anaérobies permettrait de réduire leur impact environnemental. Parmi les plastiques biosourcés déjà développés depuis plusieurs années, l’acide polylactique (PLA) est l’un des biopolymères les plus produits actuellement. Cet article dresse un état de l’art sur la biodégradation des plastiques à base de PLA en détaillant les principaux mécanismes de biodégradation impliqués en conditions aérobies et anaérobies et les micro-organismes catalysant les différentes réactions biochimiques. Il reporte également les différents essais de biodégradation existants standardisés ou non et les techniques analytiques permettant d’évaluer la biodégradabilité du PLA.
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Drévès, Luc. « Effets climatiques sur les écosystèmes marins Exemple du recrutement des Crustacés Cirripèdes sur la côte ouest du Cotentin ». Hydroécologie Appliquée 13 (2001) : 101–12. http://dx.doi.org/10.1051/hydro:2001009.

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Michaud, Dominique. « Impact environnemental des cultures transgéniques ». Articles de synthèse 86, no 2 (9 mars 2006) : 93–105. http://dx.doi.org/10.7202/012510ar.

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Résumé :
L’adoption à grande échelle des cultures transgéniques depuis dix ans a soulevé de nombreuses questions quant aux impacts possibles de ces nouvelles lignées végétales sur les écosystèmes agricoles et naturels. Des questions ont été soulevées, en particulier, sur le devenir des transgènes dans le milieu et sur une possible « pollution » du patrimoine génétique des organismes vivants à l’échelle des écosystèmes. Après une énumération des impacts environnementaux associés aux végétaux transgéniques, cet article de synthèse dresse un aperçu des connaissances actuelles sur le devenir – ou la migration – des transgènes dans le milieu. Les phénomènes d’hybridation et d’introgression génique en direction d’espèces ou de lignées apparentées sont d’abord abordés, après quoi sont considérés les phénomènes de transfert horizontal des transgènes en direction d’organismes non apparentés. Un article complémentaire publié dans ce même numéro traite de l’impact environnemental des protéines recombinantes encodées par les transgènes (Michaud 2005).
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Glémarec, M., H. Le Bris et C. Le Guellec. « Modifications des écosystèmes des vasières cotières du sud-Bretagne ». Hydrobiologia 142, no 1 (novembre 1986) : 159–70. http://dx.doi.org/10.1007/bf00026756.

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Farget1, Doris. « Colonialisme et pollution environnementale ». Criminologie 49, no 2 (19 décembre 2016) : 95–114. http://dx.doi.org/10.7202/1038418ar.

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Résumé :
Sachant que la contamination de l’environnement altère, limite ou élimine l’accès à certains domaines utilisés ou revendiqués par des peuples autochtones, notamment le territoire, la faune et la flore, quels sont les effets de la pollution de l’environnement sur les droits de ces peuples ? Dans le cadre de cet article, nous soutenons l’idée selon laquelle les effets de la pollution environnementale prolongent ou reproduisent ceux du colonialisme sur le plan des droits reconnus et de la normativité autochtone. C’est à travers cette lunette que nous analysons l’exercice ou l’accès à certains droits reconnus aux peuples autochtones dans un contexte de contamination environnementale, puis que nous analysons le type d’effet que celle-ci produit.
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AHONONGA, Fiacre Codjo, Gérard Nounagnon GOUWAKINNOU, Samadori Sorotori Honoré BIAOU et Séverin BIAOU. « Vulnérabilité des terres des écosystèmes du domaine soudanien au Bénin de 1995 à 2015 ». BOIS & ; FORETS DES TROPIQUES 346 (13 janvier 2021) : 35–50. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.346.a36295.

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Résumé :
Le Nord du Bénin abrite 92,5 % de la couverture forestière nationale, principalement constituée des réserves de faune et de forêts classées, destinées à la conservation de la biodiversité. Ces zones du domaine classé, pourtant dotées pour la plupart de plans d’aménagement et d’un système de surveillance qui devraient limiter la dégradation du milieu, sont soumises à un fort taux de régression de la couverture forestière, dû aux pressions anthropiques. Cette étude vise à analyser la vulnérabilité des formations forestières dans les domaines classé et non classé de trois communes du Nord-Bénin : Matéri, Toucountouna et Ségbana. Une interprétation visuelle des images SPOT de 1995, 2005 et 2015, avec le logiciel Quantum GIS, a été effectuée pour faire ressortir les changements et évaluer la vulnérabilité des formations forestières. Les résultats révèlent une régression des formations forestières naturelles au profit de celles anthropiques. Les champs et jachères ont vu leur superficie multipliée par près de cinq entre 2005 et 2015. Au cours de cette même période, la dégradation a été plus forte dans le domaine classé que dans le non classé, alors qu’à l’inverse la déforestation a surtout affecté le domaine non classé. Les formations naturelles ont été vulnérables à la perte de superficie au profit des champs et jachères et des habitations. Les taux de vulnérabilité des différentes formations sont fonction de la période et du niveau de protection. Ces situations constituent une menace pour la biodiversité et nécessitent la mise en place d’une politique de planification de l’occupation des terres dans la périphérie du domaine classé. Cela garantira leur fonction et réduira les effets des facteurs de déforestation et de dégradation sur les réserves forestières.
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Mare, Anta Seye, et Jean Marcial Bell. « Stratégies d’Adaptation du Secteur Touristique de La Petite Côte Sénégalaise Face Aux Effets Du Changement Climatique ». International Journal of Progressive Sciences and Technologies 34, no 1 (7 septembre 2022) : 37. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v34.1.4535.

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Résumé :
La présente étude s’intéresse aux incidences des effets du changement climatique sur le tourisme de la Petite Côte. Elle vise, d’une part, à identifier et à analyser ces impacts sur l’activité touristique en tant que telle et d’autre part, elle propose des mesures d’adaptation capables de les atténuer pour une meilleure prise en charge du secteur touristique local en général et de l’activité balnéaire en particulier. Etant entendu que le tourisme est une activité transversale qui agit sur la société, l’économie, l’environnement naturel, le bâti et sur le territoire. Depuis quelques décennies, l’espace côtier sénégalais fait face à d’importantes mutations qui se manifestent notamment par le développement d’infrastructures diverses telles que les installations touristiques qui sont, d’une part, susceptibles d’engendrer des impacts négatifs directs sur le territoire et les écosystèmes marins et côtiers, d’autre part, elles subissement, de par leur proximité à la mer, les effets du changement climatique notamment l’érosion côtière compte tenu de la faiblesse des mesures de protection et de la nature des aménagements.En s’appuyant sur différents exemples de littérature et sur des observations qualitatives par rapport à l’occupation du littoral des territoires touristiques, des enquêtes ont été menées auprès des acteurs, des touristes, des institutions publiques et privées ainsi que des visites de terrains au niveau des sites cibles de la Petite Côte. Ces enquêtes ont permis d’apporter des réponses à la question soulevée. Par ailleurs, ce travail permettra, à travers les résultats obtenus, de donner des recommandations par rapport au développement du tourisme balnéaire face aux défis actuels du changement climatique.
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Chanel, Olivier, Elsa Faugère, Ghislain Geniaux, Robert Kast, Stéphane Luchini et Pascale Scapecchi. « Valorisation économique des effets de la pollution atmosphérique ». Revue économique 55, no 1 (2004) : 65. http://dx.doi.org/10.3917/reco.551.0065.

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Chinet, T. « Effets sur l'appareil respiratoire de la pollution atmosphérique ». EMC - Pneumologie 4, no 4 (janvier 2007) : 1–10. http://dx.doi.org/10.1016/s1155-195x(07)47949-x.

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Reyes Hernández, Humberto, Jose Nelson Montoya Toledo, Javier Fortanelli Martínez, Miguel Aguilar Robledo et José Garcia Pérez. « Applications de méthodologies participatives pour l'analyse du déboisement en forêt tropicale de montagne à San Luis Potosí, Mexique ». BOIS & ; FORETS DES TROPIQUES 318, no 318 (1 décembre 2013) : 27. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.318.a20515.

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Résumé :
Les forêts tropicales de montagne, ou forêts de brume, sont parmi les écosystèmes les plus riches en biodiversité de la planète. L'État de San Luis Potosí au Mexique a perdu 2 868 hectares de ces forêts en 35 ans. Cet article analyse, dans ce contexte, les causes de ce déboisement et les solutions possibles pour protéger les derniers lambeaux de ces forêts de brume en s'appuyant sur des techniques de recherche participatives : ateliers, cartographie participative, transects, entretiens semi-structurés et observations participatives. Les premières causes de destruction de ces forêts sont les contrats d'exploitation forestière, les subventions publiques à l'élevage, le défrichage pour les cultures et l'abattage sélectif. Si les services écosystémiques rendus par les forêts tropicales de montagne sont bien connus, ils sont moins appréciés que les services rendus par l'agriculture et l'élevage. De plus, les effets du sous-développement, de la pauvreté et des problèmes liés à la propriété foncière se conjuguent au détriment de cet écosystème, qui risque de disparaître dans les prochaines années. Cette étude fait valoir enfin que la création de réserves forestières communautaires représenterait la seule solution réaliste permettant de conserver cet écosystème en voie de disparition.
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Kleinschroth, Fritz, Sylvie Gourlet-Fleury, Valéry Gond, Plinio Sist et John R. Healey. « LOGGING ROADS IN TROPICAL FORESTS : SYNTHESIS OF LITERATURE WRITTEN IN FRENCH AND ENGLISH HIGHLIGHTS ENVIRONMENTAL IMPACT REDUCTION THROUGH IMPROVED ENGINEERING ». BOIS & ; FORETS DES TROPIQUES 328, no 328 (20 juillet 2017) : 13. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.328.a31299.

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Résumé :
Les pistes forestières sont considérées comme des causes majeures de dégrada- tion des forêts en raison de leurs impacts directs et indirects sur le fonctionnement et la diversité des écosystèmes. Compte tenu de l’importance de l’exploitation forestière tropi- cale dans le monde, la bonne gestion de l’in- frastructure routière est cruciale pour réduire les impacts environnementaux associés à ces activités tout en réduisant les coûts des opé- rations. Notre étude visait à analyser comment la question des pistes de débardage avait été traitée dans la littérature scientifique. Des études publiées depuis 65 ans, la plupart en français, dans la revue Bois et Forêts des Tro- piques (BFT), ont été comparées à une série d’études plus récentes extraites des bases de données Scopus et Web of Knowledge. La moitié des articles BFT datent d’avant 1972, alors que les bases de données plus géné- ralistes indiquent une augmentation régu- lière, depuis cette date, du nombre d’articles publiés sur ce thème, qui atteint aujourd’hui un niveau record. Sur l’ensemble de la biblio- graphie, nous avons sélectionné, à des fins d’évaluation critique, 126 articles traitant des impacts et de la gestion des pistes forestières tropicales. Les articles de BFT se caractérisent par une attention particulière portée à des questions pratiques d’ingénierie, tandis que de nombreux articles rédigés en anglais se concentrent sur l’identification des impacts sur les écosystèmes forestiers. Les impacts environnementaux liés aux pistes forestières proviennent de la destruction du couvert pen- dant leur construction, de l’accroissement des effets de lisière, de l’érosion des sols, de la perturbation de la faune et de l’accès plus facile aux forêts pour la chasse et la colonisa- tion agricole. Nous présentons, sur la base de cette revue de la littérature, une liste de recommandations permettant de réduire ces impacts. En conclusion, nous constatons, que malgré l’intérêt continu pour le sujet des pistes forestières, nous savons très peu de choses sur leur devenir à long terme dans les paysages forestiers.
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Dormoy-Boulanger, Jade, Irene Gregory-Eaves, Philippe Juneau et Beatrix E. Beisner. « Effets de différentes conditions environnementales sur la production, l’excrétion et la dégradation des cyanotoxines dans les écosystèmes d’eau douce et saumâtre ». Le Naturaliste canadien 144, no 2 (2020) : 65. http://dx.doi.org/10.7202/1073989ar.

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Duhaime, L., et B. Pinel-Alloul. « Méthode de sélection de lacs de référence dans le cadre d'une étude Before-After Control-Impact (BACI) évaluant les effets des coupes forestières sur le zooplancton des lacs de la forêt boréale ». Revue des sciences de l'eau 18 (12 avril 2005) : 199–220. http://dx.doi.org/10.7202/705584ar.

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Résumé :
Plusieurs approches tentent de mesurer l'impact des perturbations anthropiques sur les écosystèmes. L'approche BACI (Before-After Control-Impact) consiste à suivre deux groupes de sites (contrôle et impact), avant et après une perturbation, afin de mesurer l'effet de cette dernière sur les écosystèmes. Les études BACI permettent de contrôler la variabilité naturelle entre les groupes de sites, par le suivi des mêmes sites d'impact avant et après la perturbation, tout en minimisant la variabilité naturelle entre les années grâce au suivi de sites de contrôle échantillonnés également avant et après la perturbation. Puisque la variation naturelle entre les années dans les sites d'impact est estimée à partir de celle des sites de contrôle, il est nécessaire de sélectionner des sites de contrôle dont les caractéristiques limnologiques sont semblables à celles des sites d'impact. Ceci est essentiel pour une bonne application de l'approche BACI, afin de s'assurer que les sites naturels et perturbés répondent de la même façon aux variations naturelles interannuelles dans l'environnement et que les différences observées dans les sites d'impact avant et après la perturbation soient attribuables à celle-ci. Cet article propose une méthode de sélection des sites de contrôle dans le cadre d'une étude BACI portant sur l'impact des coupes forestières sur le zooplancton des lacs de la forêt boréale au Québec. Le zooplancton de 16 lacs de la forêt boréale a été échantillonné un an avant (2000) et deux ans après (2001-2002) des coupes forestières sur le bassin versant de certains lacs. Six lacs ont subi des coupes importantes sur 44 à 77 % du bassin versant (lacs de coupe: DA2, DF2, DF7, DF9, K4, K8) et 10 lacs sont restés à l'état naturel ou n'ont subi que des coupes négligeables sur moins de 2 % du bassin versant (lacs de référence: K2, AB34, AB35, AB40, CSL5, DA4, DF4, N35, N89, N43). Parmi ces dix lacs de référence, nous avons sélectionné les six lacs les plus semblables aux lacs de coupe, à l'aide d'analyses en composantes principales (ACP) basées sur la similarité des variables morphométriques, de la qualité de l'eau et du zooplancton avant la coupe (2000). De plus, les variables ayant la plus grande contribution à la variation totale au niveau de ces trois groupes de variables ont été déterminées. Quatre lacs ont été exclus (K2, N89, AB35, AB40) et six lakes (AB34, CSL5, DA4, DF4, N35, N43) ont été sélectionnés comme référence. Finalement, la validité du choix des six lacs de référence a été testée par des analyses de redondance (RDA) avec une variable binaire qui permettait de distinguer les lacs de coupe des lacs de référence sélectionnés. Les analyses de redondance ont montré que les variables de la morphométrie, de la qualité de l'eau et du zooplancton des lacs de référence sélectionnés ne différaient pas significativement de celles des lacs de coupe avant la perturbation. En conséquence, les différences observées après la perturbation dans les six lacs de coupe, relativement aux variations naturelles dans les six lacs de référence sélectionnés, devraient être attribuables à l'effet de la coupe forestière. La méthode de sélection développée dans le cadre de cette étude peut être utilisée pour évaluer à l'aide d'une approche BACI les effets de toute perturbation anthropique sur les écosystèmes
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Clement, C., W. Rühm, J. Harrison, K. Applegate, D. Cool, C. M. Larsson, C. Cousins et al. « Maintenir les recommandations de la CIPR adaptées aux besoins ». Radioprotection 57, no 2 (avril 2022) : 93–106. http://dx.doi.org/10.1051/radiopro/2022010.

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Résumé :
La Commission internationale de protection radiologique (CIPR) a initié un examen et une révision du système de radioprotection afin de mettre à jour les recommandations générales de 2007 dans la Publication 103 de la CIPR. Il s’agit du début d’un processus de plusieurs années qui nécessite une collaboration ouverte et transparente avec les organismes et les personnes du monde entier. Bien que le système soit robuste et efficace, il convient de l’adapter à l’évolution des connaissances scientifiques et de la société afin de demeurer adapté aux besoins. Le présent document vise à encourager les discussions sur les domaines du système qui pourraient bénéficier le plus d’un examen, et à engager des initiatives de collaboration. Le renforcement de la clarté et de la cohérence constitue une priorité. Plus le degré de compréhension du système est élevé, plus il est possible de l’appliquer efficacement, ce qui se traduit par une amélioration de la protection et une harmonisation accrue. De nombreux domaines pourraient faire l’objet d’un examen, notamment : la classification des effets, avec un accent particulier sur les réactions tissulaires ; la reformulation du détriment radiologique, qui pourrait inclure les maladies non cancéreuses ; la réévaluation de la relation entre le détriment et la dose efficace, et la possibilité de définir des détriments pour les hommes et les femmes et différentes classes d’âge ; la variation de la réponse individuelle à l’exposition aux rayonnements ; les effets héréditaires ; les effets et risques pour le biote non humain et les écosystèmes. Certains des concepts de base sont également examinés, notamment le cadre permettant de réunir la protection des personnes et de l’environnement, les améliorations progressives des principes fondamentaux de justification et d’optimisation, une approche plus large de la protection des personnes et la clarification des situations d’exposition introduites en 2007. En outre, la CIPR envisage de déterminer dans quels cas l’incorporation explicite des fondements éthiques dans le système présenterait un avantage, comment mieux refléter l’importance des échanges et de l’implication des parties prenantes, et de donner des conseils supplémentaires sur l’éducation et la formation. La CIPR invite à répondre à ces questions et à d’autres liées à l’examen du système de radioprotection.
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Sola, F., J. Isaia, A. Masoni et B. Lahlou. « Effets des métaux lourds sur la physiologie des poissons ». Journal français d’hydrologie 24, no 1 (1993) : 9–27. http://dx.doi.org/10.1051/water/19932401009.

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Lemaire, Nicolas, et Émilien Pelletier. « Un modèle de risque comme outil de gestion d’une aire marine protégée : l’exemple du parc marin du Saguenay–Saint-Laurent ». Conservation et gestion 142, no 2 (5 juin 2018) : 140–56. http://dx.doi.org/10.7202/1047155ar.

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Résumé :
Dans les aires marines protégées, la biodiversité et la complexité des écosystèmes sont souvent menacées par les activités humaines et leurs multiples effets. Afin de soutenir les gestionnaires dans leurs efforts de conservation et de protection, un modèle du risque relatif a été développé comme outil pour localiser les zones cumulant le plus de risques environnementaux, identifier les sources anthropiques de stress et évaluer des approches permettant de réduire les risques et d’augmenter le niveau général de protection dans une aire marine de conservation. Une interface informatique permet une utilisation simplifiée du modèle de risque par l’équipe scientifique et les gestionnaires. À titre d’exemple, l’application du modèle au parc marin du Saguenay–Saint-Laurent (PMSSL) a permis de cartographier les zones les plus à risque en période estivale, alors que les activités anthropiques sont les plus intenses et les sources de risques sont les plus nombreuses. Les résultats montrent que l’embouchure du fjord du Saguenay et la zone côtière des Bergeronnes sont les secteurs les plus à risque du PMSSL. La grande flexibilité du modèle permet de travailler avec des simulations (augmentation ou diminution d’une ou plusieurs sources de stress) et de déterminer la portée relative d’une activité de conservation.
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Dritsch, Nicolas, Alice Baras, Jean-Noel Vergnes et Christophe Bedos. « Vers une santé orale planétaire ». Santé Publique 35, HS1 (1 décembre 2023) : 163–71. http://dx.doi.org/10.3917/spub.hs1.2023.0163.

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Résumé :
Il est temps de considérer la protection de notre environnement comme un enjeu majeur de santé publique en médecine bucco-dentaire. Des données probantes montrent en effet que les activités liées à la pratique dentaire, comme le transport de patients, l’utilisation de matériaux rares, de produits chimiques, ou la consommation énergétique, affectent nos écosystèmes et contribuent aux dégradations planétaires que nous observons de plus en plus. Par rétroaction, la dégradation de notre environnement est considérée comme la plus grande menace pour notre santé. L’exposition des tissus de la sphère orale à de multiples facteurs environnementaux peut en effet conduire à des états pathologiques. À ces effets directs s’ajoutent des phénomènes plus complexes, induisant des co-déficits sur la santé des populations. L’exemple de l’industrie du sucre illustre les défaillances systémiques menant à la double dégradation de l’environnement et de la santé des individus. À ces phénomènes en interaction dynamique, les communautés humaines doivent envisager des réponses systémiques comme celles que nous décrivons dans cet article. La communauté dentaire devra faire sa juste part et considérer la santé orale planétaire comme un enjeu central. Ce travail conceptuel permettra de définir les innovations nécessaires et les actions adaptées pour garantir une pratique équitable et respectueuse des limites planétaires.
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Agbohessi, Prudencio, et Ibrahim Imorou Toko. « Effets toxiques des herbicides à base du glyphosate sur les poissons et autres animaux aquatiques : approche bibliographique ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no 6 (23 février 2022) : 2685–700. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i6.33.

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Résumé :
Le glyphosate est un herbicide total foliaire systémique dont le principe actif est rarement utilisé seul mais le plus souvent mélangé à des formulants. Afin de faire la lumière sur ses effets toxicologiques sur les écosystèmes aquatiques, un travail de synthèse documentaire nous a permis d’établir sa toxicité sur les poissons, les invertébrés aquatiques et les amphibiens. Ainsi les CL50-96 h (Concentrations létales médianes sur 96 h) sur les poissons varient de 0,03 mg/L (Ictalurus punctatus) à 975 mg/L (Phalloceros caudimaculatus). Les effets chroniques recensés sur les poissons sont, entre autres, l’altération de la mémoire, la réduction de la mobilité, les dommages sur les paramètres hématologiques et plusieurs lésions histopathologiques sur les branchies, le tube digestif, le foie et le rein. Chez les invertébrés, les CL50 varient de 3-100 mg m.a/L (Daphnia magna) à 147 mg m.a/L (Ceriodaphnia dubia) avec, entre autres, comme effets chroniques les perturbations de la reproduction et du développement, les perturbations des fonctions cardiaques et des paramètres du stress oxydatif. Les CL50 varient chez les amphibiens de 78 mg m.a/L (Crinia insignifera) à 138,9 mg m.a/L (Rana clamitans). Au total, les effets toxiques sont induits par de fortes concentrations du polluant et ainsi le glyphosate est considéré par la majorité des auteurs, peu toxique à la faune aquatique. English title: Toxic effects of glyphosate-based herbicides on fish and other aquatic animals: bibliographic approach Glyphosate is a total foliar systemic herbicide, whose active ingredient is rarely used alone but more often mixed with formulants. In order to shed light on its toxicological effects on aquatic ecosystems, documentary synthesis has enabled us to establish its toxicity on fish, aquatic invertebrates and amphibians.Thus, LC50-96 h (Median Lethal Concentrations over 96 h) on fish vary from 0.03 mg / L (Ictalurus punctatus) to 975 mg / L (Phalloceros caudimaculatus). Recurrent chronic effects in fish include impaired memory, reduced mobility, damage to haematological parameters and several histopathological lesions on the gills, digestive tract, liver and kidney. In invertebrates, LC50s vary from 3-100 mg ai / L (Daphnia magna) to 147 mg ai / L (Ceriodaphnia dubia) with, among other chronic effects, disturbances of reproduction and development, disturbances of cardiac functions and parameters of oxidative stress. LC50s vary in amphibians from 78 mg a.i / L (Crinia insignifera) to 138.9 mg a.i / L (Rana clamitans). In conclusion, the toxic effects are induced by high concentrations of the pollutant, consequently, glyphosate is considered by the majority of authors to be of low toxicity to aquatic fauna.
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DE CARVALHO, A. R., et J. COUCHEROUSSET. « Microplastiques dans l’eau, les sédiments et les organismes de la Garonne : bilan et perspectives ». Techniques Sciences Méthodes 5 (22 mai 2023) : 83–100. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202305083.

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Résumé :
L’omniprésence des microplastiques (MP) représente une nouvelle pression environnementale agissant sur les écosystèmes d’eau douce et une meilleure compréhension de la dynamique de cette pollution est nécessaire. Dans nos études portant sur le bassin versant de la Garonne (sud-ouest de la France), les changements spatiaux et temporels de la pollution en MP (gamme de taille allant de 700 μm à 5 mm) ont été analysés dans l’eau et le sédiment. De plus, la consommation de ces particules par les poissons et les macro-invertébrés a été quantifiée. La majorité des MP échantillonnés était composée de trois principaux types de polymères : le polyéthylène, le polystyrène et le polypropylène. La concentration de MP variait fortement à la fois dans l’espace et dans le temps en fonction de l’urbanisation et des conditions hydrologiques, respectivement. Des concentrations plus élevées avec des particules de MP plus petites ont été observées pendant les périodes estivales avec de plus faibles débits. Lors des épisodes de crue, la concentration de MP a globalement augmenté et cette augmentation était plus importante dans le site situé en aval de Toulouse. L’occurrence de la consommation de MP par les macro-invertébrés et les poissons a été démontrée et liée à des niches trophiques individuelles qui ont été quantifiées à l’aide d’analyses d’isotopes stables (δ13C et δ15N). La quantité de MP ingérés était différente entre les macro-invertébrés et les poissons et n’était pas directement corrélée à la pollution de MP dans l’eau et dans les sédiments. La contamination augmentait avec la taille des organismes et avait tendance à augmenter avec la position trophique des macro-invertébrés. Chez les poissons, l’origine des ressources consommées affectait significativement le nombre de MP ingérés. Ces résultats suggèrent l’absence de bioaccumulation des MP de cette gamme de taille et la prédominance d’une consommation directe, très probablement accidentelle. La quantification des risques induits par la pollution en MP dans les écosystèmes d’eau douce est désormais nécessaire, en appréhendant cette pollution comme une forme de stress multiple en raison du comportement particulier de ces particules, de leur toxicité intrinsèque et des interactions potentielles avec d’autres contaminants environnementaux.
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DONNARS, C., P. CELLIER et J. L. PEYRAUD. « Nouvelles de la recherche : expertise sur les flux d’azote liés aux élevages ». INRAE Productions Animales 25, no 4 (2 octobre 2012) : 389–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.4.3226.

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Résumé :
Une expertise scientifique collective conduite par l’Inra (INRA 2012) pointe l’importance des flux d’azote liés aux activités d’élevage et identifie des leviers pour limiter la pression sur l’environnement. Depuis une vingtaine d’années, les pollutions azotées font l’objet de diverses législations et plans d’action dans le cadre des politiques relatives à la qualité des eaux, de l’air et des écosystèmes. La transposition de la directive «Nitrates» (12 décembre 1991) fait actuellement l’objet d’un contentieux avec la commission européenne. C’est dans ce contexte que les ministères français en charge de l’Agriculture et de l’Ecologie ont sollicité l’Inra pour dresser un bilan de l’état des connaissances scientifiques sur les flux d’azote en élevage et leur devenir. L’objectif était de mettre à disposition des décideurs et des acteurs publics et privés les connaissances scientifiques actualisées et d’identifier des options permettant de réduire les pressions de l’azote sur l’environnement. 1/LA MÉTHODE D’EXPERTISE SCIENTIFIQUE COLLECTIVELe travail d’expertise a été porté par un collectif de 22 experts. Deux tiers d’entre eux appartiennent à l’Inra, un tiers à d’autres organismes de recherche (Irstea, CNRS, universités) dont deux experts des Pays-Bas (WUR) et un du Canada (Agriculture et Agroalimentaire Canada). Les sciences sociales ont fourni un quart de l’effectif d’experts, la zootechnie et l’approche systémique des systèmes d’élevage 40% et le complément regroupe des spécialistes des cycles biogéochimiques et de l’agronomie. La méthode a consisté à dresser un état des lieux critique des connaissances scientifiques publiées. Quelque 1360 références bibliographiques (2900 auteurs) ont été sélectionnées parmi les articles les plus récents (80% des sources sont postérieures à 1998) et relatifs ou transposables au cadre géographique français. L’analyse a privilégié l’échelle de l’exploitation agricole car c’est l’unité de référence des politiques agricoles et environnementales et des actions agronomiques. Cependant les informations scientifiques portent souvent sur un niveau infra : l’animal, l’atelier d’élevage, la parcelle, le bâtiment, la zone de stockage, etc., ou sur un niveau supra : le bassin versant, le paysage, les statistiques et modélisations nationales et internationales. Ces différents niveaux d’information ont permis d’approcher les variations entre productions et celles liées aux pratiques agricoles. 2 / L’EXPERTISE A MIS EN AVANT LE RÔLE MAJEUR DE L’ÉLEVAGE DANS LES FLUX D’AZOTE ET LES IMPACTS POTENTIELS 2.1 / Les flux d’azote en élevage et les fuites vers l’environnement sont élevésL’élevage utilise plus des trois quarts des quantités d’azote entrant dans les systèmes agricoles. Mais l’efficience, c’est-à-dire le rapport entre les sorties valorisées et les entrées d’azote, calculée au niveau de l’animal est globalement faible : souvent beaucoup moins de la moitié de l’azote ingéré se retrouve sous forme de protéines consommables, lait, œufs et viande. A l’échelle de l’exploitation d’élevage, une part de l’azote excrété dans les déjections est recyclée avec les effluents mais l’efficience reste néanmoins généralement inférieure à 50%. Le reste de l’azote se disperse dans l’environnement. L’élevage contribue ainsi pour environ la moitié aux pertes nationales de nitrates vers les eaux, et pour plus des trois quarts aux émissions nationales atmosphériques azotées, notamment sous forme d’ammoniac (et jusqu’à 90% si on tient compte du fait qu’une grande partie des engrais industriels est employée sur les cultures utilisées pour produire des aliments du bétail). L’azote se trouve de ce fait à la croisée de préoccupations croissantes en termes de compétitivité des filières animales et d’impacts sur l’environnement et sur la santé humaine. Ces impacts ont été récemment décrits dans une expertise européenne (European Nitrogen Assessment 2011). Ils interviennent au niveau de l’écosystème environnant (dépôts de NH3), de la région (NH3, NO3 -) et plus globalement dans le changement climatique (émissions de N2O). 2.2 / La question de l’azote ne se réduit pas à celles du nitrate, les émissions de NH3 constituent un enjeu fort Alors qu’en France, la question du nitrate a longtemps focalisé les débats, dans certains pays d’Europe du Nord, l’ammoniacest aussi de longue date au centre des préoccupations. D’abord étudié pour son rôle dans l’acidification et l’eutrophisation des milieux, l’ammoniac est aujourd’hui examiné dans le cadre de la pollution de l’air par les particules. Au niveau national, le premier contributeur d’émissions d’ammoniac est l’élevage bovin. 2.3 / Risques et impacts dépendent aussi de la sensibilité des territoires et de leur capacité d’épurationLes teneurs en nitrate des eaux ne dépendent pas seulement du niveau de surplus des bilans azotés mais aussi du climat, des types de sol, de la topographie et des modes d’occupation des sols : densité animale, part des terres agricoles dans les utilisations totales des surfaces, importance des prairies permanentes, etc. La présence majoritaire de prairies au sein des territoires réduit les risques de fuites de nitrate et d’émissions d’ammoniac. 3/LES FLUX D’AZOTE SONT AUSSI DÉTERMINÉS PAR DES CONSIDÉRATIONS ÉCONOMIQUES ET JURIDIQUES3.1 / La concentration spatiale des élevages a un rôle déterminant dans les impacts des pollutions azotéesLes plus fortes pressions azotées se situent dans les territoires de l’Ouest qui combinent productions de ruminants et de monogastriques. Les quantités d’azote contenues dans les effluents y dépassent parfois largement les capacités d’absorption des surfaces agricoles. Les territoires d’élevage plus extensifs connaissent des pressions azotées faibles. Cette hétérogénéité s’explique par la concentration géographique des filières animales, résultant principalement de facteurs économiques dont les moteurs relèvent des économies d’échelle et des économies d’agglomération qui sont liées à l’intensification et à la spécialisation des élevages ainsi qu’à leur concentration territoriale. La littérature scientifique pointe la difficulté de sortir d’une telle trajectoire, notamment parce que le fonctionnement technique et économique des acteurs des filières (producteurs d’intrants, éleveurs, transformateurs) est étroitement dépendant. 3.2 / L’encadrement juridique n’a pas permis d’atteindre les objectifs environnementaux La réglementation française a abouti à une multiplicité de zonages auxquels sont dédiés des normes, obligations ou programmes d’action volontaire. L’architecture d’ensemble est confuse et ses résultats critiqués de longue date. Parmi les difficultés rencontrées, la littérature pointe i) le caractère diffus des pollutions, qui, à la différence d’autres pays, n’a pas incité en France àune responsabilisation individuelle des éleveurs, ii) l’intégration de préoccupations économiques et sociales dans les politiques environnementales, iii) le suivi des objectifs environnementaux confié aux acteurs du développement agricole et les échelles administratives peu pertinentes vis-à-vis du réseau hydrographique. Enfin, la multiplicité des formes de pollution azotée pose la question de la cohérence d’ensemble des politiques, notamment entre les critères de la directive «Nitrates» et ceux la Convention de Genève sur la pollution atmosphérique (1979). 4/DE NOMBREUSES PISTES DE PROGRÈS EXISTENT QUI ENGAGENT PLUS OU MOINS EXPLOITANTS AGRICO- LES, TERRITOIRES ET FILIÈRES D’ÉLEVAGE4.1 / Améliorer les pratiques à l’échelle de l’exploitationLa littérature fournit de nombreuses pistes d’actions pour limiter les pertes d’azote dans l’exploitation (figure 1). Il est encore possible d’optimiser la nutrition azotée des animaux, cependant les gains escomptés sont modestes en regard des enjeux. La maîtrise de la chaîne de gestion des effluents ouvre plus de marges de manœuvre pour préserver l’azote organique et réduire les achats d’engrais minéraux. En effet, selon les modalités de gestion des effluents, les fuites vers l’environnement varient de 30 à 75% de l’azote rejeté par les animaux. Des innovations sont déjà disponibles pour le stockage et l’épandage, même si les incertitudes sur les facteurs de variation des émissions sont encore grandes. Il est enfin démontré que développer les prairies à base de légumineuses, les cultures intermédiaires pièges à nitrate (Cipan) et ajuster les rotations réduit les risques de lixiviation du nitrate. A l’échelle des systèmes, les modes de production à bas intrants (moins de fertilisants et d’aliments riches en protéines) améliorent l’efficience de l’azote et limitent donc les pertes vers l’environnement. Les indicateurs de type bilan d’azote à l’échelle de l’exploitation et de ses sous-systèmes (troupeau, gestion des effluents, sols et cultures) sont des outils adaptés pour identifier les sources d’inefficacité et rechercher les voies d’amélioration les mieux adaptées localement. De nombreux autres indicateurs approchent les niveaux d’émissions, de pollution ou les impacts, mais ne sont pas toujours d’usage facile. pour le document complet voir le pdf https://www6.inrae.fr/productions-animales/content/download/6365/88149/version/1/file/nouvelles+de+la+recherche.pdf
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FLAMMARION, P., A. DEVAUX et J. GARRIC. « MARQUEURS BIOCHIMIQUES DE POLLUTION DANS LES ÉCOSYSTÈMES AQUATIQUES CONTINENTAUX. EXEMPLES D'UTILISATION ET PERSPECTIVES POUR LE GESTIONNAIRE. » Bulletin Français de la Pêche et de la Pisciculture, no 357-360 (2001) : 209–26. http://dx.doi.org/10.1051/kmae/2001045.

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Pépin, Denise. « Pollution extéerieure et intérieure : Quelles causes, quels effets sur l'homme ? » Revue Française des Laboratoires 2003, no 349 (janvier 2003) : 21–22. http://dx.doi.org/10.1016/s0338-9898(03)80465-1.

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GARREC, J. P. « Pollution atmosphérique en milieu urbain. Les effets sur les arbres ». Revue Forestière Française, S (1989) : 99. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26035.

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Sambiani, Danbenoa. « Cartographie et caractérisation écologique des formations végétales à épineux du socle Eburnéen au Togo ». Revue Ecosystèmes et Paysages 3, no 2 (30 décembre 2023) : 1–11. http://dx.doi.org/10.59384/recopays.tg3218.

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Résumé :
La présente étude, réalisée dans le paysage du socle éburnéen au Togo, vise à contribuer à une meilleure conservation des habitats naturels résilients aux effets néfastes du changement climatique. De déterminer la répartition des formations à épineux sur le socle éburnéen ; Caractériser l’écologie des formations à épineux du socle éburnéen. L’approche méthodologique basée sur l’analyse multicritère couplée aux évaluations physiques sur, a confirmé l’importance des outils SIG-télédétection dans la cartographie des habitats des formations à épineux. Elle a permis de visualiser les habitats potentiels des formations végétales à épineux. Les analyses des données révèlent que 13349,147 ha (10,54%), 67461,744 ha (53,28%), et 45805,298 ha (36,17%) correspondent respectivement aux habitats très favorables, favorables et peu favorables à la conservation et à la restauration écologique des écosystèmes à dominance épineux. La corrélation R2 (0,69) entre données d’observations spatiales et données de vérifications sur site est supérieure à 0,5. Un total de 49 espèces ligneuses réparties en 41 genres et 21 familles sont recensées suivant les trois habitats suite à un échantillonnage aléatoire dans 35 relevés de 1 ha par relevé. La gestion des formations à épineux peut être étendue par la promotion de l’agroforesterie qui constitue un bon compromis entre l’agriculture et le terroir dans un contexte de nécessité de la gestion efficace des formations et des sols.
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South, Nigel, Rob White2 et Florence Dubois. « L’émergence et l’avenir de la criminologie environnementale1 ». Criminologie 49, no 2 (19 décembre 2016) : 15–44. http://dx.doi.org/10.7202/1038415ar.

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Résumé :
Cet article propose une introduction générale à la criminologie environnementale et à l’étude du crime environnemental. Il examine l’émergence de cette approche, les concepts clés, les questions empiriques et les enjeux susceptibles d’être abordés dans les futurs travaux dans ce domaine. L’article s’intéresse entre autres à l’écojustice (relative à des types spécifiques de victimisation environnementale) et à l’écocide (liée à la criminalisation du dommage environnemental). Les transgressions touchant les humains, les écosystèmes et les espèces non humaines offrent un cadre général de discussion des types spécifiques de crimes et de dommages, de la pêche illégale à la pollution contribuant au réchauffement climatique. Une analyse rétrospective et un tour d’horizon permettent de tracer les grandes lignes conceptuelles, passées et présentes, de la criminologie environnementale.
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Larbaitgt, G., M. Bonnefille, D. Peyre et A. Tabonet. « Détermination du niveau de toxicité des sédiments de rivière par le test de bioluminescence bactérienne ». Revue des sciences de l'eau 4, no 3 (12 avril 2005) : 329–42. http://dx.doi.org/10.7202/705103ar.

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Résumé :
A partir de références bibliographiques encore réduites, les auteurs ont mis au point un protocole expérimental d'évaluation de la toxicité des sédiments de rivière, après extraction au dichlorométhane et mesure de la toxicité par le lest de Bioluminescence Bactérienne. Ce protocole simple appliqué à quarante-trois prélèvements correspondant à des situations de pollution diversifiées, a permis d'établir et de proposer une typologie des sédiments en fonction de leur niveau de toxicité. Correspondant à une approche nouvelle (tests biologiques de toxicité sur sédiments), la méthodologie apparaît particulièrement intéressante pour la gestion patrimoniale des cours d'eau (réseaux de surveillance, mise en évidence de situations de pollutions), et devrait être intégrée dans les opérations de mesure de l'impact des pollutions toxiques sur les écosystèmes aquatiques.
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Meyer, Caroline, Sébastien Leblond, Bénédicte Jacquemin et Émeline Lequy. « Métaux, pollution de l’air et santé ». médecine/sciences 36, no 4 (avril 2020) : 376–81. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2020062.

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L’exposition à long terme aux particules atmosphériques a des effets bien documentés sur la santé humaine, mais le rôle des métaux reste à explorer. En France, la réglementation impose le suivi des teneurs ambiantes de certains métaux. Mais ces données, du fait d’un maillage trop large ou irrégulier, sont difficilement exploitables en épidémiologie à grande échelle. Les mousses, des végétaux capables d’accumuler les métaux atmosphériques, sont utilisées depuis plusieurs décennies en biosurveillance de la qualité de l’air. Elles fournissent des données exploitables en épidémiologie grâce auxquelles nous avons montré une association entre métaux d’origine anthropique et sur-risque de mortalité en France.
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Montiel, A. « Effets des réserves d'eau en amont des usines de traitement d'eau potable ». Journal français d’hydrologie 16, no 2 (1985) : 103–5. http://dx.doi.org/10.1051/water/19851602103.

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Rizet, M., J. Depardieux, M. Cognet et F. Lorentz. « Populations microscopiques des réseaux de distribution d'eau potable - effets d'un nettoyage mécanique ». Journal français d’hydrologie 16, no 3 (1985) : 269–86. http://dx.doi.org/10.1051/water/19851603269.

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Denizeau, F., et M. Marion. « Effets synergiques de métaux lourds sur des cultures primaires d'hépatocytes de rat ». Journal français d’hydrologie 17, no 2 (1986) : 121–29. http://dx.doi.org/10.1051/water/19861702121.

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Pascal, L. « Effets à court terme de la pollution atmosphérique sur la mortalité ». Revue Française d'Allergologie 49, no 6 (octobre 2009) : 466–76. http://dx.doi.org/10.1016/j.reval.2009.08.005.

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Pascal, L. « Effets à court terme de la pollution atmosphérique sur la mortalité ». Revue des Maladies Respiratoires 26, no 2 (février 2009) : 207–19. http://dx.doi.org/10.1016/s0761-8425(09)71597-9.

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Pascal, L. « Effets à court terme de la pollution atmosphérique sur la mortalité ». Revue des Maladies Respiratoires 26, no 2 (février 2009) : 236. http://dx.doi.org/10.1016/s0761-8425(09)71609-2.

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Pascal, L. « Effets à court terme de la pollution atmosphérique sur la mortalité ». Revue des Maladies Respiratoires 26, no 2 (février 2009) : 239. http://dx.doi.org/10.1016/s0761-8425(09)71618-3.

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