Littérature scientifique sur le sujet « Dysgueusie »

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Articles de revues sur le sujet "Dysgueusie"

1

Boulinguez, S., M. Mularcyk et R. Viraben. « Dysgueusie amère aux pignons de pin ». Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 141, no 3 (mars 2014) : 220–22. http://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2014.01.006.

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2

Aynaou, H., F. M. O. Elilie et H. Latrech. « Hyperparathyroïdie primaire et dysgueusie : une association inhabituelle ». Annales d'Endocrinologie 77, no 4 (septembre 2016) : 442–43. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2016.07.556.

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3

Gutiérrez-Cid, Isabel, Arthur Lionnet et Yann Péréon. « Dysphonie et dysgueusie aiguës : l’ENMG reste un élément clé du diagnostic ». Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 46, no 3 (juin 2016) : 225. http://dx.doi.org/10.1016/j.neucli.2016.06.020.

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4

Cabon, M., G. Cinquetti, C. Cuvelier, X. Roux, C. Villa, J. Bordachar, D. Maugard et al. « Une carence de mauvais goût : à propos d’une dysgueusie révélatrice d’une carence martiale ». La Revue de Médecine Interne 33 (juin 2012) : S96—S97. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2012.03.128.

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5

Le Moigne, M., M. Saint-Jean, A. Jirka, G. Quéreux, L. Peuvrel, A. Brocard, A. Khammari, D. Darmaun et B. Dréno. « Dysgueusie et perte de poids sous vismodegib : intérêt d’une prise en charge nutritionnelle spécifique ». Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 140, no 12 (décembre 2013) : S392. http://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2013.09.069.

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6

Crameri, Manuel, Renzo Bassetti, Peter Werder et Johannes Kuttenberger. « Tonsillolithes sur l’orthopantomogramme (OPT) ». SWISS DENTAL JOURNAL SSO – Science and Clinical Topics 126, no 1 (11 janvier 2016) : 33–36. http://dx.doi.org/10.61872/sdj-2016-01-04.

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Résumé :
La lithiase amygdalienne est caractérisée par la présence de concrétions calciques (tonsillolithes) dans les cryptes des amygdales. Le plus souvent, ces concrétions se situent dans les amygdales palatines. Leur prévalence est de 16 à 46,1%. Les tonsillolithes peuvent provoquer une mauvaise haleine chronique (halitose), une toux irritative, une dysphagie, des otalgies, des sensations de corps étranger, un mauvais goût dans la bouche (dysgueusie) ainsi que des épisodes récurrents d’amygdalite et des ulcérations de l’amygdale. Mais ces concrétions sont souvent asymptomatiques. En général, les calculs amygdaliens sont découverts fortuitement lors de l’évaluation d’un orthopantomogramme (OPT), même s’ils ne sont pas toujours reconnus comme tels. Le présent travail rapporte deux cas de lithiase amygdalienne asymptomatique. Les tonsillolithes avaient été repérés à l’OPT dans la région de la branche montante de la mandibule, et leur présence a été confirmée par la suite au scanner (CT) et respectivement à l’IRM.
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7

Carignan, Alex, Louis Valiquette, Cynthia Grenier, Jean Berchmans Musonera, Delphin Nkengurutse, Anaïs Marcil-Héguy, Kim Vettese et al. « Anosmie et dysgueusie associées à l’infection au SRAS-CoV-2 : étude cas–témoins appariée selon l’âge ». Canadian Medical Association Journal 192, no 46 (15 novembre 2020) : E1487—E1492. http://dx.doi.org/10.1503/cmaj.200869-f.

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8

Jirka, A., M. Saint-Jean, M. Le Moigne, G. Quéreux, L. Peuvrel, A. Brocard, A. Khammari, D. Darmaun et B. Dréno. « P273 : Dysgueusie et dénutrition au cours des traitements par le vismodegib : effet d’une prise en charge nutritionnelle ». Nutrition Clinique et Métabolisme 28 (décembre 2014) : S212. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(14)70915-x.

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9

Roblot, P., M. Paccalin, F. Roy-Péaud, C. Landron, L. Juhel et B. Becq-Giraudon. « Les dysgueusies acquises : après la iatrogénie… ». La Revue de Médecine Interne 22 (juin 2001) : 72–73. http://dx.doi.org/10.1016/s0248-8663(01)83426-3.

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10

Ruhin-Poncet, B., A. Guerre, P. Goudot et C. Escande. « Dysosmies et dysgueusies post-traumatiques : aspects médicolégaux ». Revue de Stomatologie et de Chirurgie Maxillo-faciale 111, no 5-6 (novembre 2010) : 296–98. http://dx.doi.org/10.1016/j.stomax.2010.10.009.

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Thèses sur le sujet "Dysgueusie"

1

Buiret, Guillaume. « TORquegueusie avant, pendant et après traitement d’un Cancer des voies AéroDigestives supérieures : étiologies, impact sur la qualité de vie (TORCAD) ». Electronic Thesis or Diss., Bourgogne Franche-Comté, 2024. http://www.theses.fr/2024UBFCI009.

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Résumé :
Contexte : Le goût métallique est fréquemment rapporté par les patients au cours de leur traitement d’un cancer des voies aérodigestives supérieures. Très peu d’éléments sont connus sur ce symptôme : quelle est sa fréquence ? Ses cause(s) ?Nous avons mené une étude prospective observationnelle afin d’en déterminer l’incidence et la ou les causes, potentiellement possibles d’après la littérature. Deux hypothèses étaient possibles : une lipopéroxydation au niveau de la muqueuse orale et la levée d’inhibition du nerf facial sur le nerf glossopharyngien.Méthodes : 44 patients ont été suivis avant pendant et jusqu’à un an de la fin de leur traitement du cancer des voies aérodigestives supérieures. Des évaluations par questionnaires, prélèvements salivaires et tests supraliminaires d’intensité et de reconnaissance gustatifs ont été réalisés régulièrement, jusqu’à huit fois, durant un an.Un antidote potentiel, la lactoferrine en bain de bouche, a également été proposé en cas de goût métallique. Résultats : Le « goût » métallique a touché 27.2% des patients avec une intensité modérée à sévère chez 42.9% des personnes en souffrant. Il apparaissait surtout au milieu et à la fin de la radiothérapie ou de la radiochimiothérapie, avec un lien significatif avec la présence ou non d’une mucite orale. Ce goût métallique avait un impact significatif sur la qualité de vie liée au goût mais pas sur l’échelle visuelle analogique des ingestas ni sur le poids. Les hypothèses étiologiques de la lipopéroxidation et de la levée d’inhibition du nerf facial sur le nerf glossopharyngien n’étaient pas vérifiées. Enfin, le goût métallique pouvait être atténué par le bain de bouche de lactoferrine dans 63% des cas (de manière complète dans 16% et de manière partielle dans 47%).Conclusion : le goût métallique touche fréquemment et de manière intense les patients atteints d’un cancer des voies aérodigestives supérieures, surtout en cas de mucite. Les causes précises n’ont toujours pas été identifiées. La lactoferrine en bain de bouche semble atténuer ce symptôme
Background: Metallic taste is frequently reported by patients during treatment for head and neck. Very little is known about this symptom: What is its frequency? Its cause(s)?A prospective observational study was carried out to determine the incidence and cause(s), potentially possible according to the literature. Two hypotheses were put forward: lipoperoxidation of the oral mucosa, and release of facial nerve inhibition on the glossopharyngeal nerve.Methods: 44 patients were followed before, during and up to one year after completion of treatment for head and neck cancer. Evaluations by questionnaires, salivary sampling and supraliminal taste intensity and recognition tests were carried out regularly, up to eight times, for one year.A potential antidote, lactoferrin mouthwash, was also proposed in case of metallic taste. Results: The metallic “taste” affected 27.2% of patients, with moderate to severe intensity in 42.9% of sufferers. It appeared mainly in the middle and at the end of radiotherapy or radiochemotherapy, with a significant association with the presence or absence of oral mucositis. The metallic taste had a significant impact on taste-related quality of life, but not on the visual analog scale of ingestion or weight. The etiological hypotheses of lipoperoxidation and lifting of facial nerve inhibition on the glossopharyngeal nerve were not verified. Finally, the metallic taste could be alleviated by lactoferrin mouthwash in 63% of cases (completely in 16% and partially in 47%).Conclusion: metallic taste is a frequent and intense complaint in patients with head and neck cancer, especially in cases of mucositis. The precise causes have yet to be identified. Lactoferrin mouthwash seems to alleviate this symptom
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