Articles de revues sur le sujet « Douleur chronique – Psychologie »

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Bioy, A., et B. Lionet. « Mobilité psychique et douleur chronique : étude phénoménologique du vécu de 14 personnes souffrant de douleur chronique ». Douleur et Analgésie 32, no 3 (septembre 2019) : 165–70. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2019-0072.

Texte intégral
Résumé :
La douleur chronique atteint le sujet dans sa globalité. Par le passé, les études en psychologie se sont principalement intéressées aux facteurs de vulnérabilité : les facteurs individuels, les facteurs psychopathologiques et les facteurs émotionnels. Dorénavant, la recherche s’intéresse aux aspects protecteurs en tant qu’alternatives aux effets délétères de la douleur chronique. Nous présentons ici les résultats de notre étude sur la notion de mobilité psychique. Nous envisageons la mobilité psychique comme un mouvement du côté du sujet défini comme sa capacité à bouger dans ses représentations, ses investissements et son rapport à la douleur. La méthode est celle d’une recherche non interventionnelle portant sur le vécu de 14 personnes atteintes de douleur chronique. Deux entretiens de recherche sont réalisés à deux mois d’intervalle en amont de la prise en charge par une équipe douleur. Les données d’entretien sont exploitées en utilisant l’Interpretative Phenomenological Analysis. La structuration de la relation d’objet est appréciée à travers la Social Cognition Object Relation Scale. Le vécu de la douleur est évalué à l’ENS et à l’EVA. Les résultats montrent que l’impact délétère de la douleur chronique domine l’expression du vécu spontané. La mobilité psychique est malgré tout présente chez la majorité des répondants. Deux voies sont repérables. Elles passent toutes les deux par la demande de soin et l’investissement actif dans les soins. La première voie « identitaire » se poursuit à travers la capacité à se représenter dans l’avenir et à intégrer son identité de douloureux chronique. La seconde voie est celle de l’incertitude. Elle concerne le fait de ne plus chercher à contrôler systématiquement sa douleur pour faire face à l’incertitude et à l’angoisse qu’elle génère. La qualité de structuration de la relation d’objet est globalement corrélée avec la mobilité psychique, mais elle n’est pas une condition suffisante. L’absence de mobilité psychique est effectivement liée à un vécu d’aggravation des pics douloureux évalués à l’EVA. La prise en compte de la mobilité psychique est une dimension pertinente pour les psychologues exerçants en équipe douleur. Elle peut être intégrée à leur évaluation et constituer un levier intéressant dans le cadre des psychothérapies.
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Aguerre, Colette. « Regards croisÉs sur la santÉ, le rÉtablissement et le bien-Être : psychologie positive, psychopathologie clinique et psychologie de la santÉ ». Revue québécoise de psychologie 38, no 1 (8 juin 2017) : 83–102. http://dx.doi.org/10.7202/1040071ar.

Texte intégral
Résumé :
Cet article vise à donner un aperçu de ce que la psychologie positive peut apporter à la psychopathologie et à la psychologie de la santé, en vue de mettre en lumière quelques-unes de leurs complémentarités. Nous montrerons dans un premier temps comment la psychologie positive a contribué à revisiter les questions de santé et de rétablissement, en soulignant l’importance de promouvoir une santé positive et un rétablissement complet. Nous illustrerons notre propos en relatant quelques résultats d’études portant sur la dépression et la douleur chronique. Puis nous soulignerons les bienfaits de dispositifs cliniques permettant de cultiver des émotions positives et un sentiment de bien-être, en essayant de cerner les processus de changement qu’ils mobilisent.
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Chambellan, Sylvie, Thierry Wable, Pierre Freger, Benoit Veber et Olivier Vittecoq. « Formation à la relation médecin-malade dans le cadre d’une pathologie chronique. Un dispositif original basé sur l’intervention d’une psychologue clinicienne et d’un professeur de communication ». Pédagogie Médicale 21, no 3 (2020) : 159–67. http://dx.doi.org/10.1051/pmed/2020040.

Texte intégral
Résumé :
Contexte et problématique : À l’ère de la médecine basée sur les preuves, les critères d’évaluation utilisés par les médecins tendent à s’écarter des attentes des patients atteints de pathologies chroniques dont la douleur est difficile à estimer. La relation médecin-malade s’en trouve altérée du fait d’un manque de formation dans la gestion de situations complexes par les médecins mais également du fait de l’utilisation de critères d’évaluation parfois inadaptés. Ces situations, comme celle que représente l’annonce d’un diagnostic ou de la prise en charge de la douleur, sont difficiles à appréhender sans formation préalable adaptée. Objectif : Rapporter l’expérience du service de rhumatologie du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Rouen relative à l’implantation d’ateliers de formation à la relation médecin-patient pour les stagiaires du second cycle des études médicales. Exposer notamment les démarches didactique et pédagogique suivies par les promoteurs et en documenter certains impacts. Méthodes : Les ateliers sont organisés en petits groupes, animés par une psychologue clinicienne et un professeur de communication, encadrés par un médecin. Lors de cette séance qui dure deux heures, les deux animateurs, qui jouent le rôle de médiateur, offrent un espace de parole permettant aux étudiants de s’exprimer autour de leur relation au patient et éclairent les problématiques soulevées par l’apport d’éléments théoriques dans les champs de la psychologie et de la communication. Ces ateliers comprennent deux temps : l’un basé sur l’apprentissage en situation (en lien direct avec les patients pris en charge), l’autre consistant en la mise en application par des jeux de rôle. Résultats : L’enquête d’évaluation menée auprès des stagiaires a permis de documenter des résultats très encourageants pour cette nouvelle forme d’apprentissage qui s’inscrit en complément de l’enseignement académique. Conclusion : Les ateliers apportent aux étudiants une expérience d’apprentissage complémentaire par rapport aux autres activités organisées sous l’égide des soignants lors du stage, en mettant l’accent sur les différentes dimensions de la relation médecin-patient, en lien avec les champs de la psychologie et de la communication.
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Dugué, Sophie, et Barbara Tourniaire. « Les douleurs chroniques en pédiatrie : qu’en savons-nous ? » Perspectives Psy 60, no 2 (avril 2021) : 148–54. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/2021602148.

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Résumé :
Lorsque la douleur persiste ou se répète, elle impacte tous les domaines de vie de l’enfant ou de l’adolescent, entraînant des retentissements sur les capacités fonctionnelles et relationnelles de l’enfant que ce soit dans la vie familiale ou sociale. Elle s’accompagne souvent de troubles du sommeil, de troubles anxieux, dépressifs ou de manifestations psychopathologiques induites ou associées pouvant renforcer l’expérience douloureuse. Dans ces situations, mais aussi lorsque la douleur résiste aux traitements habituels, cela renforce le cercle vicieux de la douleur chronique. Alors une évaluation globale de la situation, selon le modèle biopsychosocial est indispensable, afin de proposer un projet thérapeutique personnalisé et adapté. Lorsque les impacts de cette douleur qui persiste, se répète ou résiste aux traitements, sont trop importants, l’enfant doit être adressé en consultation dans une Structure Douleur Chronique (SDC) pour bénéficier d’une prise en charge par une équipe multiprofessionnelle et multidisciplinaire qui sera en lien avec les professionnels de santé de proximité (médecin ou pédiatre traitant, psychologue, kinésithérapeute, médecine scolaire...). Après une synthèse des principales caractéristiques disponibles dans la littérature concernant les douleurs chroniques de l’enfant, nous verrons comment s’est développée depuis les années 1990 la prise en charge des douleurs chroniques de l’enfant en France et comment s’organise le parcours de soin à l’heure actuelle.
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Santiago Delefosse, Marie. « De la douleur physique chronique : étude comparative des positions de la médecine et de psychologie clinique ». Psychologie clinique et projective 3, no 1 (1997) : 89–108. http://dx.doi.org/10.3406/clini.1997.1101.

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Résumé :
Marie Santiago Delefosse, Chronic physical pain : A comparative study of the positions held in médecine and in psychological clinical practice. Basing his work on the confrontation between the medical and psychoanalytical positions relative to physical pain, the author demonstrates the incompatibility of the two positions, and makes a case for the "ethics of intervention" of a clinical psychologist in Pain Clinics. His institutional function and role must not be confused with his role in the framework of a psychoanalytical cure. Each time the clinical psychologist finds himself consulted because of "the patient's transfer to the medical realm" he runs the risk of being seen as a "supplement" and can quickly become a complementary instrument used by médecine in its effort to have all possible assets on its side. The ethics of the psychologist should be to respect the patient's desire and to accept his refusal to know. Beginning with this respect which avoids forcible interpretations and taking as much time as necessary, including the time of verbalized accompaniment, it will be possible for the psychologist to participate in the construction of a space which takes the psychic dimension into account. Key words : Chronic physical pain, Clinical psychology, Psychoanalysis, Médecine, Pain Clinics, Homo dolorus.
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Tourniaire, Barbara. « L’expérience d’un centre de la douleur chronique de l’enfant et de l’adolescent ». Perspectives Psy 60, no 2 (avril 2021) : 155–63. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/2021602155.

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Résumé :
La douleur chronique de l’enfant est une expérience sensorielle et émotionnelle complexe intriquée avec des éléments individuels et familiaux, des événements de vie, la rencontre bien souvent d’un événement somatique et d’une histoire de vie. Les recommandations en tiennent compte, prônant le modèle biopsychosocial pour les consultations et centres de la douleur. Mais comment faire en pratique ? Comment organiser et dérouler la consultation, comment évoquer les éléments émotionnels tout en tenant compte des éléments cliniques et plus somatiques du dossier ? Comment proposer un projet de soin individualisé ? Cet article décrit l’expérience et le dispositif du Centre de la douleur de l’enfant d’un hôpital pédiatrique, l’art médical et la façon de croiser les regards en équipe médicale et psychologique sur les situations complexes. Il expose un modèle de fonctionnement d’équipe, de consultations fréquentes en binôme médecin-psychologue, reliant ainsi des domaines souvent distingués dans la médecine actuelle, mais qui doivent être remis en commun pour aborder les douleurs chroniques. Il évoque les projets de soins possibles et les articulations avec l’entourage professionnel et personnel de l’enfant douloureux.
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Queneau, P., A. Serrie, R. Trèves et D. Bontoux. « Les douleurs chroniques en France Recommandations pour une meilleure prise en charge ». Douleur et Analgésie 32, no 3 (septembre 2019) : 147–54. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2019-0073.

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Résumé :
Environ 22 millions de Français (environ 30 % de la population adulte) souffrent de douleurs chroniques rebelles aux traitements antalgiques conventionnels. La France a été l’un des premiers pays déterminés à lutter contre la douleur chronique, en mettant en place plusieurs plans gouvernementaux. Toutefois, l’état actuel fait apparaître de réelles menaces sur la prise en charge des malades douloureux chroniques, en raison : 1) de départs prochains à la retraite de nombreux médecins spécialisés, qui avaient créé les « structures spécialisées douleur chronique » (SDC) ; 2) et de grandes difficultés de recrutement de leurs successeurs. L’Académie nationale de médecine émet les recommandations suivantes : 1) consolider l’existence des 273 SDC pour les années à venir ; 2) désigner au sein de chaque faculté de médecine un « coordinateur universitaire douleur » rattaché à la sous-section « Thérapeutique médecine de la douleur » du Conseil national des universités ou à une des grandes disciplines universitaires concernant la douleur ; 3) veiller au renouvellement des équipes des SDC par : des médecins ayant reçu une formation spécialisée transversale « Médecine de la douleur », en plus de leur diplôme d’études spécialisées d’origine ; d’autres soignants (infirmières, physiothérapeutes, psychologues…) ayant bénéficié d’une formation « douleur » ; 4) en plus de l’indispensable formation initiale de tous les médecins et soignants à la spécificité de la douleur chronique, faciliter l’accès à des formations complémentaires sur les nouvelles approches non médicamenteuses, technologiques et psychosociales ; 5) développer la recherche clinique et fondamentale translationnelle par la mise en place de choix stratégiques, politiques et organisationnels.
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Loisel, Alexandra, Hervé Lefèvre, Pierre Quartier et Jonathan Lachal. « Pourquoi le clinicien est-il en difficulté devant l’adolescent présentant une douleur musculo-squelettique chronique fonctionnelle ? Une étude qualitative ». Perspectives Psy 60, no 3 (juillet 2021) : 235–42. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/2021603235.

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Résumé :
Contexte : La prise en charge des douleurs musculo squelettiques fonctionnelles chroniques chez l’adolescent est souvent jugée difficile par les patients, leurs familles, et les professionnels eux-mêmes. Objectifs : Explorer l’expérience des professionnels de santé sur la démarche diagnostique et le parcours de soins des douleurs musculo squelettiques chroniques inexpliquées chez l’adolescent et le jeune adulte (11-19 ans). Méthode : Étude qualitative observationnelle menée dans trois centres hospitaliers universitaires de référence de rhumatologie de l’adolescent et du jeune adulte à l’aide d’une approche phénoménologique. Participants : 25 professionnels médecins (rhumatologues, pédiatres, algologue, psychiatre, orthopédiste) ou paramédicaux (kinésithérapeutes, ostéopathes, ergothérapeutes, psychologues) ont été interrogés à l’aide d’entretiens semi-structurés. Résultats : La douleur fonctionnelle est un diagnostic d’élimination sans être une entité nosologique, ce qui rend son affirmation difficile. La posture de méfiance réciproque entre le praticien, le patient et sa famille et la nécessité d’une approche pluridisciplinaire limite la constitution d’une alliance thérapeutique de bonne qualité. Sa prise en charge demande des compétences et des ressources difficiles d’accès. Conclusion : Une approche holistique semble la plus constructive pour considérer ces douleurs. Les recherches sur la physiopathologie de la sensibilisation centrale sont prometteuses et pourraient être appliquées à la douleur fonctionnelle de l’adolescent Why dealing with functional chronic musculoskeletal pain in adolescents is challenging for the clinician: a qualitative study
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Reiter, F. « Le travail avec les familles en clinique de la douleur de l’enfant et de l’adolescent ». Douleur et Analgésie 33, no 4 (décembre 2020) : 229–34. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2020-0138.

Texte intégral
Résumé :
Les enfants et adolescents qui consultent au Centre de la douleur et de la migraine de l’enfant et de l’adolescent (CDMEA) présentent pour la plupart des douleurs chroniques — douleurs musculosquelettiques, céphalées, douleurs abdominales, syndrome douloureux régional complexe de type 1 (SDRC1), etc. Elles sont installées depuis quelques mois à parfois plusieurs années selon les situations. Les demandes diffèrent d’un patient et d’une famille à l’autre. La souffrance qui perdure peut mener à une rupture dans le développement de l’enfant ou de l’adolescent en empêchant son autonomisation. Le parent peut se sentir impuissant à aider son enfant. À travers deux vignettes cliniques, nous aborderons comment les consultations du psychologue avec les familles peuvent ouvrir à la possibilité de changement et permettre une modification dans les règles de fonctionnement de la famille : laisser une place différente à chacun.
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Pagé, M. Gabrielle, Anaïs Lacasse, Lise Dassieu, Maria Hudspith, Gregg Moor, Kathryn Sutton, James M. Thompson et al. « Une étude transversale sur l’évolution de la douleur et la détresse psychologique chez les personnes atteintes de douleur chronique : l’étude pancanadienne « Douleur chronique et COVID-19 » ». Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 41, no 5 (février 2021) : 157–69. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.41.5.01f.

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Résumé :
Introduction La pandémie de COVID-19 a eu un impact disproportionné sur les populations vulnérables, notamment les personnes atteintes de douleur chronique. Nous avons examiné les associations entre les variations géographiques des taux d’infection par le coronavirus, le stress et l’intensité de la douleur et nous avons étudié les facteurs associés à l’évolution de la douleur et à la détresse psychologique chez les personnes atteintes de douleur chronique pendant la pandémie. Méthodes Cette analyse s’inscrit dans le cadre d’une initiative plus vaste, l’étude pancanadienne « Douleur chronique et COVID-19 », qui emploie une méthode de recherche transversale observationnelle. Au total, 3 159 personnes atteintes de douleur chronique ont répondu à une enquête quantitative entre le 16 avril et le 31 mai 2020. Résultats Les deux tiers (68,1 %) des participants avaient entre 40 et 69 ans, et 83,5 % étaient des femmes. Les deux tiers (68,9 %) des répondants ont signalé une aggravation de leur douleur depuis le début de la pandémie. Un niveau élevé de risques perçus liés à la pandémie (rapport de cotes ajusté : 1,27 %; intervalle de confiance [IC] à 95 % : 1,03 à 1,56), un niveau élevé de stress (1,21; IC à 95 % : 1,05 à 1,41), la modification des traitements de la douleur pharmacologiques (3,17; IC à 95 % : 2,49 à 4,05) et physiques/psychologiques (2,04; IC à 95 % : 1,62 à 2,58) et enfin le fait d’occuper un emploi au début de la pandémie (1,42; IC à 95 % : 1,09 à 1,86) étaient associés à une probabilité accrue de déclarer une aggravation de la douleur. La perte d’emploi (34,9 % des personnes travaillaient avant la pandémie) a été associée à une probabilité inférieure (0,67; IC à 95 % : 0,48 à 0,94) de déclarer une aggravation de la douleur. Près de la moitié (43,2 %) des personnes ont indiqué une détresse psychologique d’intensité modérée ou grave. Les émotions négatives à l’égard de la pandémie (2,14; IC à 95 % : 1,78 à 2,57) et le stress global (1,43; IC à 95 % : 1,36 à 1,50) ont été associés à une détresse psychologique modérée ou grave. Conclusion Les résultats de l’étude ont permis de cerner, outre les facteurs biomédicaux, plusieurs facteurs psychosociaux à prendre en compte pour surveiller l’état des patients atteints de douleur chronique et faciliter leur accès aux traitements pendant une pandémie.
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Proulx-Cabana, Stephanie, Louis Picard, Marie-Claude Fortin, Jo-Anne Couillard, Danielle Taddeo, Olivier Jamoulle, Jean-Yves Frappier et Chantal Stheneur. « PRISE EN CHARGE MULTIDISCIPLINAIRE D’ADOLESCENTS AVEC SYMPTÔMES DOULOUREUX FONCTIONNELS RÉFRACTAIRES ». Paediatrics & ; Child Health 23, suppl_1 (18 mai 2018) : e2-e3. http://dx.doi.org/10.1093/pch/pxy054.006.

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Résumé :
Abstract BACKGROUND La douleur chronique, d’origine organique ou somatique, représente un fardeau financier important au niveau du système de santé. L’intervention multidisciplinaire a été démontrée efficace pour améliorer cliniquement l’impact fonctionnel de cette condition. OBJECTIVES Étude de l’impact d’une prise en charge multidisciplinaire pédiatrique et psychologique sur les symptômes douloureux fonctionnels et leur retentissement dans une population adolescente référée pour échec de prise en charge nitiale. DESIGN/METHODS Analyse rétrospective de dossiers d’adolescents, de 14 à 18 ans, suivis en clinique des adolescents pour des symptômes douloureux fonctionnels entre janvier 2016 et juin 2017. L’équipe multidisciplinaire est composée de pédiatre, psychologue en suivi individuel ou lors du groupe d’intervention en gestion de la douleur, physiothérapeute et infirmière. RESULTS 24/36 adolescents ayant des symptômes réfractaires avaient des dossiers exploitables. L’âge médian était de 15,9 ans [14,9; 16,3] avec 87,5% de filles dans l’échantillon. Les principales plaintes rapportées étaient des céphalées (50%), nausées/vomissements (50%), douleurs abdominales (37,5%), douleurs musculo-squelettiques (37,5%), fatigue (37,5%) et symptômes neurologiques (20,8%). Le nombre médian de plaintes étaient de 2 par patient. À la consultation initiale, pour le symptôme principal, la durée médiane écoulée depuis l’apparition était de 13 mois [3,75; 34,5], l’intensité médiane de 6/10 et la fréquence médiane de 7 jours/semaine. Le nombre médian de consultations médicales avant la prise en charge spécialisée était de 3 [2; 5], dont 76,6% d’entre elles en surspécialité pédiatrique. Les patients avaient un nombre médian d’intervenants psychosociaux impliqués au dossier initial de 1, dont un psychologue dans 42,4%. Initialement, 83,3% des patients présentaient un absentéisme scolaire significatif. Suite à la prise en charge, nous avions une amélioration des symptômes pour 70,8% et de l’absentéisme scolaire pour 63,6%. Les symptômes de nausées/vomissements étaient les plus persistants. Sur notre petit groupe d’adolescents, il n’a pas été possible de mettre en évidence de différence significative entre ceux qui avaient bénéficié du groupe d’intervention et les autres. CONCLUSION Dans une population d’adolescents avec symptômes douloureux fonctionnels dont la prise en charge en première ligne n’a pas été efficace, une prise en charge multidisciplinaire spécialisée permet une amélioration des symptômes et de la fréquentation scolaire dans 2/3 des cas.
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Mazzola, Alexandra, Marìa Lujàn Calcagno, Marìa Teresa Goicochea, Honorio Pueyrredòn, Jorge Leston et Fernando Salvat. « L’EMDR dans le traitement de la douleur chronique ». Journal of EMDR Practice and Research 4, no 3 (août 2010) : 31–44. http://dx.doi.org/10.1891/1933-3196.4.3.e31.

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La douleur chronique peut réduire considérablement la qualité de vie, engendrant dépression, anxiété et troubles du sommeil ; elle peut déclencher des processus neuroplastiques qui influencent la régulation de la douleur. La présente étude examine le traitement EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing) de 38 patients souffrant de douleur chronique, en 12 séances hebdomadaires de 90 minutes. Une batterie de questionnaires auto-administrés, portant sur la qualité de vie, l’intensité de la douleur et le niveau de dépression, a été complétée avant et après le traitement en vue d’une évaluation objective des résultats. L’Entretien clinique structuré du DSM a été administré lors du pré-traitement afin d’identifier les traits de personnalité des participants susceptibles d’influencer la perception de la douleur. Les patients ont manifesté une amélioration statistiquement significative par rapport à leur état initial après 12 semaines de traitement EMDR. Nos résultats suggèrent que l’EMDR constitue un outil efficace pour le traitement psychologique de la douleur chronique, conduisant à une diminution des sensations douloureuses, des affects négatifs en lien avec la douleur, et des niveaux d’anxiété et de dépression. Nous examinons les théories pouvant expliquer les mécanismes par lesquels l’EMDR produit ces effets. Les résultats sont cohérents avec la prémisse sous-jacente de l’EMDR selon laquelle les émotions ont un effet important sur la perception de la douleur.
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Dionne, Frédérick, Marie-Claude Blais et Jean-Louis Monestès. « Mieux vivre avec la douleur chronique grâce à la thérapie d’acceptation et d’engagement ». Santé mentale au Québec 38, no 2 (21 mars 2014) : 131–52. http://dx.doi.org/10.7202/1023993ar.

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Résumé :
Cet article vise à présenter les particularités de la thérapie d’acceptation et d’engagement (Acceptance and Commitment Therapyou « ACT ») dans l’intervention auprès de patients souffrant de douleur chronique. Il décrit le contexte historique du développement des thérapies comportementales et cognitives dans ce domaine et présente les fondements théoriques de l’ACT. Il introduit les composantes d’une intervention basée sur l’acceptation et la pleine conscience en visitant plusieurs concepts du modèle de la flexibilité psychologique. Enfin, il synthétise un certain nombre de données probantes provenant des études expérimentales, corrélationnelles et cliniques qui appuient l’utilisation de l’ACT dans le domaine de la douleur chronique.
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Minjard, R., et B. Duplan. « Identité, douleur aiguë, traumatisme : repères théoricocliniques ». Douleur et Analgésie 31, no 4 (décembre 2018) : 223–27. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2018-0039.

Texte intégral
Résumé :
Les auteurs de cet article proposent un regard croisé de rhumatologue, d’algologue et de psychologue au sujet de la potentialité traumatique de la douleur aiguë. Cette perspective permet, en appui sur la définition de la conjoncture traumatique, de mettre en évidence les liens entre douleur aiguë et vacillement identitaire, ouvrant une voie potentielle à la douleur chronique. L’article porte sur l’articulation entre la douleur aiguë et l’identité abordée comme un processus vivant et dynamique marqué par la réflexivité, la continuité, l’altérité et la paradoxalité. Il ouvre sur une proposition de voies de recherches sur le plan psychopathologique, clinique, épistémologique, thérapeutique et sur un questionnement au sujet de notre manière d’interroger nos pratiques soignantes.
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Hunsicker, M., N. Dumet, R. Minjard, M. Jourdan et E. Bismuth. « Des maux du corps à la corporalité des mots : étude des effets d’un groupe danse pour patients douloureux ». Douleur et Analgésie 32, no 4 (décembre 2019) : 189–95. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2020-0086.

Texte intégral
Résumé :
À partir d’une expérience en consultation douleur en psychiatrie, et plus particulièrement d’un dispositif à médiation de danse biodynamique, cette recherche, élaborée en appui sur des théorisations psychanalytiques et psychodynamiques, tente de démontrer des processus psychosomatiques à l’œuvre dans ce groupe de sujets douloureux chroniques. Objectif : L’objectif thérapeutique de ce groupe à médiation psycho-corporelle d’expression et de mouvement biodynamique est de tenter de remettre au travail les liens à l’autre, à soi ainsi qu’au corps de sujets fortement contraints pour ne pas dire fixés dans une douleur chronique (ou en voie de l’être). Matériel et méthodes : La médiation est organisée en groupe fermé, une demi-journée, une fois par quinzaine, pendant onze séances, chacune autour d’un thème. La demi-journée s’organise autour de trois temps : un temps d’accueil, un temps d’activité et un temps de reprise. Les patients choisis pour ce groupe ne présentent pas nécessairement la même pathologie, mais de manière globale une altération de leur sensori-motricité, ainsi qu’un syndrome anxio-dépressif sous-jacent. Il est animé par deux professionnelles de la danse biodynamique, une infirmière, une psychologue clinicienne et une psychologue stagiaire. Pour l’évaluation, nous avons utilisé l’échelle HADS, un questionnaire d’évaluation de la douleur, l’observation individuelle et groupale sur les plans à la fois sensori-moteurs, psychologiques et intersubjectifs ainsi que des entretiens de recherche à deux mois de la fin du groupe. Résultats : D’une part dans une double dimension, intrasubjective et intersubjective, le sujet semble trouver une possibilité au travers de la médiation danse et du cadre associé, d’une réappropriation par le corps de ses vécus non subjectivés. La sensori-motricité est également plus fluide, dans un processus de (re)liaison du sujet de son psychosoma. D’autre part, nous constatons une baisse significative de l’item Dépression de l’échelle HADS. Conclusion : Cette médiation psycho-corporelle présente donc des effets multiples chez des patients douloureux chroniques souvent enkystés dans la problématique douloureuse. La découverte de la danse bio dynamique comme médiation encadrée dans un hôpital de jour, suivie d’un temps de parole, permet une diminution significative de la dépression. Au delà de l’intérêt de l’articulation soma-psyché cette médiation amorce une potentialité de réhabilitation sociale.
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Barfety-Servignat, Véronique, Anne Bera-Louville, Céline Taylor, Véronique Delêtre, Thibaud Liegeard et Antoine Bioy. « Douleur et retentissement psychologique en période Covid-19 : deux enquêtes sur un an de pandémie Covid-19 en France ». Perspectives Psy 62, no 1 (janvier 2023) : 73–83. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/2023621073.

Texte intégral
Résumé :
Nous avons étudié le retentissement psychologique des confinements à partir des réponses d’une étude réalisée en deux phases sur une année dans une population de patients douloureux chroniques. Ce travail montre l’impact en termes de majoration importante des douleurs, des troubles de l’humeur et des conduites instinctuelles dans les populations de patients douloureux chroniques. Pour la moitié des répondants, l’expérience de confinement a produit angoisse, troubles de l’humeur et du sommeil, fatigue. Les liens entre durée prolongée du confinement et risque accru de troubles anxio-dépressifs témoignent également de la nécessité d’être vigilant à cette symptomatologie dans les cas de re-confinement, même lorsqu’ils sont partiels. Dans ces espaces de restriction, les psychologues auront sans doute à mettre en travail le rapport au corps, à mobiliser la résistance vitale individuelle chez les patients et dans les équipes de soins – puisque nous partageons cette même expérience – et chercher à mobiliser les capacités d’imagination et de rêverie individuelle et collective.
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Henry, Franck. « Groupes de relaxation et douleur chronique : l'expertise du psychologue ». Douleurs : Évaluation - Diagnostic - Traitement 18, no 5 (octobre 2017) : 262–63. http://dx.doi.org/10.1016/j.douler.2017.09.006.

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Minjard, R., et V. Barfety-Servignat. « Méthode d’évaluation psychologique et psychopathologique du patient douloureux chronique ». Douleur et Analgésie 32, no 3 (septembre 2019) : 177–82. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2019-0076.

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Résumé :
Après un bref exposé des modalités psychologiques et psychopathologiques de la douleur chez le sujet, les auteurs présentent une méthode d’évaluation et de bilan psychodynamique du sujet douloureux. Ils proposent également deux outils adaptés à la prise en charge des patients douloureux au sein d’équipes pluriprofessionnelles : la trame pour un bilan psychodynamique et des « items interface » permettant un échange pluriprofessionnel pour l’accompagnement des patients. Trois axes : psychopathologie, méthode et utilisation du bilan, résultats mis en évidence des organisations sous-jacentes nécessaires à la prise en charge.
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19

Henry, Franck. « Profil cognitif et adaptation psychologique à la douleur chronique ». Douleurs : Evaluation - Diagnostic - Traitement 11, no 2 (avril 2010) : 94–95. http://dx.doi.org/10.1016/j.douler.2010.01.004.

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Defontaine Catteau, M. C. « Actualisation de l’évaluation de la douleur chronique ; l’évaluation psychologique ». Douleurs : Evaluation - Diagnostic - Traitement 13 (novembre 2012) : A4—A5. http://dx.doi.org/10.1016/j.douler.2012.08.019.

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21

Reydellet, Dominique. « De la douleur chronique ». Revue française de psychanalyse 63, no 3 (1999) : 1711. http://dx.doi.org/10.3917/rfp.g1999.63n3.1711.

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Tison, P., M. Hautekeete, C. Bardiaux et A. Roussez. « Croyances dans la douleur chronique ». Journal de Thérapie Comportementale et Cognitive 19, no 2 (juin 2009) : 67–71. http://dx.doi.org/10.1016/j.jtcc.2009.07.001.

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Soyeux, E., F. Laroche, J. B. Fassier, V. Blanchet, I. Cohen, C. Cunin et L. Jammet. « EP19 Prise en charge psychologique de la douleur chronique par le réseau « lutter contre la douleur » Paris ». Douleurs : Evaluation - Diagnostic - Traitement 8 (octobre 2007) : 104–5. http://dx.doi.org/10.1016/s1624-5687(07)73228-6.

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Conradi, S., et M. Régnier. « De la question de l’évaluation psychologique et de la psychométrie en douleur chronique ». Pratiques Psychologiques 25, no 1 (mars 2019) : 51–61. http://dx.doi.org/10.1016/j.prps.2018.02.002.

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Camacho, Laura, et Anne Brun. « La douleur comme indicateur et tentative de régulation des interactions avec l’objet ». Cliniques méditerranéennes 109, no 1 (14 mars 2024) : 161–73. http://dx.doi.org/10.3917/cm.109.0157.

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Résumé :
La douleur chronique peut constituer une trace des liens avec l’objet et se présente ainsi comme une tentative de régulation de ces liens. Par sa fonction d’affect inconscient, elle constitue un processus qui tente de fixer le traumatisme. La douleur impose ainsi un retrait du Moi, et permet donc au sujet de préserver son sentiment d’existence face à des objets incorporés qui ne laisseraient pas de place à des possibilités de subjectivation. En même temps, c’est seulement après la survenue des crises algiques, à des moments clés du suivi, qu’une partie du Moi perdu de la personne paraît revenir. Dans ce sens, l’incarcération de l’ombre de l’objet par la douleur met en retrait une partie du sujet : le repérage des signifiants formels au cours du suivi du patient permet d’identifier la relation avec l’objet incorporé et de dégager le patient de l’ombre de cet objet incorporé.
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Airagnes, Guillaume, Dominique Tripodi et Audrey Petit Le Manac’h. « Douleur chronique : la place du psychiatre ». Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique 172, no 2 (mars 2014) : 146–53. http://dx.doi.org/10.1016/j.amp.2014.01.007.

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Laroche, Françoise. « Douleur chronique. Thérapies comportementales et cognitives ». Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique 172, no 2 (mars 2014) : 132–35. http://dx.doi.org/10.1016/j.amp.2014.01.017.

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Bastuji, H., et L. Garcia-Larrea. « Exploration neurophysiologique de la douleur chronique ». Médecine du Sommeil 5, no 16 (juin 2008) : 29–32. http://dx.doi.org/10.1016/s1769-4493(08)70015-3.

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Reynier, Gérard. « Le hors-temps de la douleur chronique ». Topique 112, no 3 (2010) : 99. http://dx.doi.org/10.3917/top.112.0099.

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Marcotte, C. « L’entérite radique chronique : paradoxe entre rémission et maladie chronique ». Psycho-Oncologie 13, no 1 (mars 2019) : 31–33. http://dx.doi.org/10.3166/pson-2019-0080.

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Résumé :
Les complications intestinales de la radiothérapie abdominopelvienne entraînant douleurs, diarrhées et malabsorption intestinale sont regroupées sous le terme d’entérite radique. Nous avons choisi d’illustrer les conséquences psychiques de cette affection grave et chronique, consécutive au traitement du cancer, par une situation clinique d’une patiente en rémission souffrant d’incontinence. Au-delà du paradoxe entre rémission et maladie chronique, la blessure narcissique consécutive à la perte de la maîtrise sphinctérienne est centrale dans cette pathologie dont les symptômes, souvent source de honte, freinent l’investissement de la vie sociale.
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Vannotti, Marco, et Michèle Gennart. « L'expérience « pathique » de la douleur chronique : une approche phénoménologique ». Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux 36, no 1 (2006) : 13. http://dx.doi.org/10.3917/ctf.036.31.

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32

Bouckenaere, Dominique. « La douleur chronique et la relation médecin-malade ». Cahiers de psychologie clinique 28, no 1 (2007) : 167. http://dx.doi.org/10.3917/cpc.028.0167.

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Derzelle, M. « Clinique de la douleur chronique et approche psychanalytique ». Psycho-Oncologie 1, no 2 (juin 2007) : 88–92. http://dx.doi.org/10.1007/s11839-007-0020-6.

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Greco, Céline, Adèle Mulliez et Élise Fertout-Aharouni. « Prise en charge de l’algoneurodystrophie ou Syndrome Douloureux Régional Complexe chez l’enfant et l’adolescent : la nécessité d’une approche en équipes ». Perspectives Psy 60, no 3 (juillet 2021) : 249–54. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/2021603249.

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Résumé :
Dans le cadre de consultations spécifiques pour des patients souffrant de « douleurs chroniques », nous sommes régulièrement amenés à rencontrer des enfants (en général dès l’âge de 7 ans) et des adolescents, adressés le plus souvent par des chirurgiens orthopédistes pédiatriques pour la prise en charge d’algoneurodystrophies (ou Syndrome Douloureux Régional Complexe de type 1) rebelles aux traitements antalgiques classiques. Nous décrivons notre expérience auprès de ces patients avec la nécessité de porter autant d’attention à la véracité de leur vécu douloureux qu’à leur histoire de vie, leur personnalité et les relations avec leur entourage. La réussite de la rencontre avec ces patients, leur acceptation de notre aide reposent sur la qualité de notre écoute et la pluridisciplinarité de la prise en charge : celui du médecin et du psychologue en consultation, celui des autres professionnels et des équipes relais.
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Lemogne, C., P. O. Smagghe, M. C. Djian et F. Caroli. « La douleur chronique en psychiatrie : comorbidité et hypothèses ». Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique 162, no 5 (juin 2004) : 343–50. http://dx.doi.org/10.1016/j.amp.2003.09.011.

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Roussel, Ph. « Les thérapies cognitivo-comportementales dans la douleur chronique ». Médecine du Sommeil 5, no 16 (juin 2008) : 33–36. http://dx.doi.org/10.1016/s1769-4493(08)70016-5.

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Masselin-Dubois, Anne. « Thérapie d’acceptation et d’engagement (ACT) et Mindfulness, un modèle de flexibilité psychologique pour la douleur chronique ». Douleurs : Evaluation - Diagnostic - Traitement 17, no 5 (novembre 2016) : 233–51. http://dx.doi.org/10.1016/j.douler.2016.08.003.

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Minjard, R., C. Castagnet, S. Heritier et C. Moyenin. « « L’évaluation psychologique » en structure d’évaluation et traitement de la douleur chronique : une nouvelle figure de la paradoxalité ? » Douleur et Analgésie 29, no 3 (septembre 2016) : 145–51. http://dx.doi.org/10.1007/s11724-016-0472-1.

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Lionet, Bertrand. « Le soulagement de la douleur chronique, une demande en trompe-l’œil ». Corps & ; Psychisme N° 78, no 1 (14 septembre 2022) : 93–101. http://dx.doi.org/10.3917/cpsy2.078.0094.

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Antoine, P., et I. Leboeuf. « Quelles sont les facettes de l’anxiété face à la douleur chronique ? » Journal de Thérapie Comportementale et Cognitive 17 (décembre 2007) : 49. http://dx.doi.org/10.1016/s1155-1704(07)74126-5.

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Henry, Franck. « Flexibilité psychologique et retentissement émotionnel des douleurs chroniques : intérêt de l’Acceptation and Commitment Therapy (ACT) ». Douleurs : Evaluation - Diagnostic - Traitement 11, no 3 (juin 2010) : 145–46. http://dx.doi.org/10.1016/j.douler.2010.03.011.

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Dumont, A., et C. Acquaviva. « Le sentiment d’efficacité personnelle dans la gestion de la douleur chronique : approche sociocognitive ». Journal de Thérapie Comportementale et Cognitive 17, no 3 (octobre 2007) : 130–34. http://dx.doi.org/10.1016/s1155-1704(07)73243-3.

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Beaupré, Michelle, et Michelle McKerral. « Impact de la douleur chronique sur la cognition et facteurs psychologiques concomitants ». Revue de neuropsychologie Volume 4, no 1 (1 mars 2012) : 53–59. http://dx.doi.org/10.1684/nrp.2012.0203.

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D’Incau, Emmanuel, Radhia Benbelaïd, Florence Chemla, Virginie Chuy, Nicolas Fougeront et Bernard Fleiter. « Évaluation de la qualité subjective du sommeil et de l’insomnie chronique en présence de douleur orofaciale myofasciale chronique ». Médecine du Sommeil 21, no 1 (mars 2024) : 28. http://dx.doi.org/10.1016/j.msom.2023.12.069.

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Doufik, Jalal, Hicham Laaraj, Mina Ouhmou, Omar El Oumary, Khalid Mouhadi et Ismail Rammouz. « Au-delà de la dépression, des antidépresseurs pour traiter la douleur chronique ». Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique 180, no 2 (février 2022) : 141–44. http://dx.doi.org/10.1016/j.amp.2021.09.021.

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Derzelle, Martine. « Le déni de la complexité en douleur chronique : la part psychique maltraitée ». Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique 172, no 2 (mars 2014) : 136–38. http://dx.doi.org/10.1016/j.amp.2014.01.009.

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Delrue, Nicolas, et Arnaud Plagnol. « Douleur chronique et État de Stress Post-Traumatique chez la personne âgée ». Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique 174, no 5 (juin 2016) : 331–37. http://dx.doi.org/10.1016/j.amp.2015.08.001.

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Guillouf, V., J. Moussu, E. Touchard, J. Y. Guincestre, E. Marie, P. Delassus et P. Denise. « Les techniques cognitivo-comportementales en groupes pour les douleurs chroniques ». Journal de Thérapie Comportementale et Cognitive 17 (décembre 2007) : 36. http://dx.doi.org/10.1016/s1155-1704(07)74104-6.

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Camaret-Durquety, Léa, et Anne-Laure Pouzoulet. « La douleur chronique à l’adolescence : achoppement du processus de séparation-individuation. Prise en charge psychomotrice et psychologique en unité de psychiatrie ». Nouvelle Revue de l'Enfance et de l'Adolescence N° 1, no 1 (18 juillet 2019) : 133–50. http://dx.doi.org/10.3917/nrea.001.0133.

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Aguerre, C., I. Vanier et G. Thoraval. « Propension au changement et efficacité des prises en charge cognitivo-comportementales de la douleur chronique ». Journal de Thérapie Comportementale et Cognitive 14 (décembre 2004) : 26. http://dx.doi.org/10.1016/s1155-1704(04)97507-6.

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