Articles de revues sur le sujet « Diversité agricole »

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1

Bourgoin, Jérémy, Djibril Diop, Djiby Dia, Moussa Sall, Romaric Zagré, Quentin Grislain et Ward Anseeuw. « Regard sur le modèle agricole sénégalais : pratiques foncières et particularités territoriales des moyennes et grandes exploitations agricoles ». Cahiers Agricultures 29 (2020) : 18. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020018.

Texte intégral
Résumé :
L’enjeu alimentaire lié à l’augmentation démographique est au cœur des agendas internationaux de développement durable et nourrit les débats sur les transitions à entreprendre ou soutenir. Souvent défini en opposition à un modèle agro-industriel intensif et capitaliste, le modèle des agricultures familiales, ensemble de types d’exploitations et d’exploitants aux profils variés, reste difficile à considérer dans sa diversité du fait de sa constante évolution. Certains phénomènes restent peu étudiés, notamment la dynamique d’accumulation foncière d’exploitations agricoles identifiée dans certains pays d’Afrique subsaharienne. Notre contribution, basée sur des enquêtes menées au Sénégal, vise à caractériser les profils et les modalités d’accès au foncier de 1399 exploitations agricoles, concentrant le plus de terres. À l’échelle de différentes zones agro-écologiques, nous mettons en évidence que les chefs d’exploitations agricoles possédant plus de 3 hectares sont majoritairement issus de la localité d’origine, cultivent des terres familiales et investissent dans l’agriculture des revenus issus de cette même activité. Globalement, ces exploitations agricoles ne semblent pas inféodées à une dynamique de gentrification, caractérisée par les investissements d’élites urbaines et rurales, souvent non issues du monde agricole, et faisant l’acquisition de terres grâce à des revenus non agricoles. Concernant les dynamiques foncières, les enquêtes montrent que la majorité des terres reste sous occupation coutumière bien que les territoires ruraux soient en constante évolution. Dans un contexte où les pouvoirs publics insistent sur les besoins d’intensification agricole, à travers la promotion de l’entreprenariat privé et du secteur agro-industriel, il est crucial d’avoir une bonne compréhension de la diversité des formes d’exploitations agricoles. Cela est d’autant plus nécessaire qu’une réforme foncière est en cours et qu’elle contribuera à redéfinir les contours du modèle agricole, entre volontés productivistes et exigences de durabilité et d’équité.
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2

HERCULE, J., V. CHATELLIER, L. PIET, B. DUMONT, M. BENOIT, L. DELABY, C. DONNARS, I. SAVINI et P. DUPRAZ. « Une typologie pour représenter la diversité des territoires d’élevage en Europe ». INRA Productions Animales 30, no 4 (25 juin 2018) : 285–302. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.4.2260.

Texte intégral
Résumé :
Cet article propose une typologie qui décrit la diversité des territoires d’élevage européens, en s’appuyant sur deux critères simples et disponibles : la part des prairies permanentes dans la surface agricole utile (SAU) et la densité animale exprimée en Unité de Gros Bétail (UGB) par hectare de SAU. Appliquée aux données de l’Enquête sur la Structure des Exploitations Agricoles, cette typologie distingue six types de territoires d’élevage, que nous avons projeté sur une carte de l’Union européenne. En utilisant les données du Réseau d’Information Comptable Agricole (RICA), nous mettons en évidence la forte diversité des exploitations européennes d’élevage (en termes de structures, de niveau d’intensification, de productivité, de dépendance aux aides directes…) entre territoires et au sein de chacun d’eux. Ce travail apporte des éléments de cadrage aux autres articles publiés dans ce même numéro de la revue et ciblés sur des territoires ou des types d’élevage particuliers.
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3

Cardona, Aurélie, Marianne Cerf et Marc Barbier. « Mettre en œuvre l’action publique pour réduire l’usage des pesticides : reconnaître les activités d’intermédiation ». Cahiers Agricultures 30 (2021) : 33. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2021020.

Texte intégral
Résumé :
Malgré de nombreuses mesures d’accompagnement à la réduction des pesticides, leur usage ne cesse de croître en France. Doit-on pour autant considérer que rien ne change ? Cet article veut mettre en lumière la manière dont des acteurs de la recherche, du conseil agricole, du développement agricole et rural s’investissent dans des activités d’intermédiation pour accompagner la réduction de l’usage des pesticides. Ces activités d’intermédiation visent à concilier leur engagement dans l’accompagnement au changement avec leur mandat professionnel et avec une diversité de stratégies individuelles ou collectives des acteurs du monde agricole, déployées en réponse à l’injonction de réduction des pesticides. Pour donner à voir ces activités peu visibles, nous avons conçu un « observatoire » d’analyse de l’activité pour explorer, avec treize acteurs de l’accompagnement au changement, le sens qu’ils donnent eux-mêmes à leur action dans les différents contextes où ils l’exercent. Les matériaux produits nous permettent de distinguer trois types d’engagement dans l’accompagnement à la réduction des pesticides, pour lesquels la construction de la légitimité des activités d’intermédiation diffère. Notre attention particulière aux ressources mobilisées dans les activités d’intermédiation nous permet de montrer comment celles-ci reposent sur la capacité à naviguer entre une diversité de solutions et de modèles d’accompagnement au changement, au vu de la diversité d’acteurs concernés par le problème des pesticides. Ainsi, ce travail contribue à enrichir la vision des activités d’accompagnement au changement dans le secteur agricole et soulève la question de la formation à ces activités d’intermédiation, qui prolongent les instruments de politiques publiques et de conseil.
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4

Duvernoy, Isabelle, et María-Amalia Lorda. « L’agriculture urbaine et périurbaine dans la région pampéenne argentine : fonctions et articulations avec les politiques des villes ». Environnement urbain 6 (15 janvier 2013) : 50–63. http://dx.doi.org/10.7202/1013712ar.

Texte intégral
Résumé :
Dans cet article, nous décrivons trois projets dans la province de Buenos-Aires, en Argentine, qui visent à préserver ou à implanter une production agricole en ville ou autour des villes. Nous montrons leur diversité et les logiques qui leur sont sous-jacentes en termes de développements agricole, social et urbain. Nous nous interrogeons particulièrement sur la façon dont ces logiques de développement sont articulées dans les projets d’agriculture urbaine ou périurbaine, afin d’étudier comment de telles articulations peuvent se construire entre, d’une part, des institutions qui promeuvent une production agricole et, d’autre part, des institutions qui portent un projet de ville – tacite ou explicite – dans leurs domaines de compétences.
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Manga, Sylvestre-José-Tidiane. « Les Organismes génétiquement modifiés (OGM) et la société : Le principe de précaution, une norme de régulation du débat social ? » Canadian journal of law and society 15, no 1 (avril 2000) : 221–45. http://dx.doi.org/10.1017/s0829320100006244.

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Résumé :
RésuméL'intervention du génie génétique dans la production de plantes agricoles et de denrées alimentaires n'est pas un domainet réservé aux seuls scientifiques. Les biotechnologies agricoles suscitent un débat social sans précédent. Elles opposent les intérêts des multinationales de l'industrie de la biotechnologie aux préoccupations environnementales des opposants au développement accéléré du recours au génie génétique dans l'agriculture et l'alimentation. Certes, la biotechnologie moderne de la recombinaison de l'ADN peut améliorer la productivité agricole. Toutefois les effets préjudiciables d'une telle technologie sur la diversité biologique et la santé humaine sont de plus en plus dénoncés. Cet article traite de quelques-uns des problèmes sociaux que pose le recours aux OGM dans l'agriculture et l'alimentation et relate l'avènement du principe de précaution dans le commerce international des OGM. L'adoption du principe de précaution dans le Protocole sur la prévention des risques biotechnologiques en fait désormais un cadre de régulation du débat social sur les OGM.
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Audouin, Sarah, Patrick Dugué, Narilala Randrianarisona, Hycenth Tim Ndah, Tovo Ratsimbazafy, Harilala Andriamaniraka, Edson Samuel Noharinjanaharya, Noroseheno Ralisoa et Syndhia Mathé. « Quelle place du conseil agricole dans les services support à l’innovation à Madagascar ? » Cahiers Agricultures 30 (2021) : 29. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2021017.

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Résumé :
Le conseil agricole occupe une place prépondérante dans l’appui aux processus d’innovation, particulièrement dans les pays du Sud. Or, l’accompagnement de l’innovation nécessite une diversité de formes d’appuis, appelés services support à l’innovation (SSI). À partir d’une analyse exploratoire à Madagascar, cet article questionne la place du conseil agricole vis-à-vis de la diversité des organisations et des activités d’accompagnement de l’innovation. Les principales organisations fournissant des SSI ont été étudiées dans quatre régions des Hautes Terres de Madagascar et leur offre de SSI caractérisée. Les résultats montrent que le conseil technique reste prépondérant dans l’éventail de l’offre de SSI, avec un fort pluralisme des fournisseurs de conseil et une diversité de combinaisons avec les autres SSI. Or, les porteurs d’innovation doivent bénéficier d’autres SSI, tels que le renforcement de capacité, la mise en réseau, des appuis institutionnels, un accès au financement, intrants et équipements nécessaires à l’innovation. Ces résultats appellent à renouveler les postures du conseiller agricole vers davantage d’appui au renforcement de capacité et interrogent la stratégie des organisations vis-à-vis de leur appui à l’innovation : la spécialisation dans le conseil, la combinaison à d’autres SSI ou la collaboration avec d’autres organisations. Ces éléments renouvellent le constat du pluralisme de l’offre de conseil qui, analysé par le prisme des SSI, ne s’applique pas seulement à l’échelon de l’agent-conseiller ou de l’organisation, mais également dans des réseaux d’organisations aux configurations variables. Les perspectives de cette analyse sont d’assurer la coordination des dispositifs de conseil avec les autres fournisseurs de SSI pour une plus grande efficacité dans l’accompagnement des porteurs d’innovation.
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Colson, François. « Le développement agricole face à la diversité de l'agriculture française ». Économie rurale 172, no 1 (1986) : 3–9. http://dx.doi.org/10.3406/ecoru.1986.3743.

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SAID (Sonia), RAMEAU (Jean-Claude) et BRUN (Jean-Jacques). « Evolution et diversité végétale en Corse suite à la déprise agricole. » Revue Forestière Française, no 4 (2003) : 309. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5196.

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CHATELLIER, V. « Les exploitations laitières françaises sont-elles assez performantes pour faire face à une baisse du prix du lait ? » INRAE Productions Animales 15, no 1 (12 février 2003) : 17–30. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.1.3684.

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Résumé :
Ecarté de la première réforme en profondeur de la politique agricole commune (PAC) au début des années quatre-vingt-dix, le secteur laitier fait l’objet, depuis l’accord de Berlin de mars 1999, d’une intense réflexion tant de la part des pouvoirs publics que des organisations professionnelles agricoles. L’avenir du mécanisme de contingentement et l’opportunité d’une baisse du prix institutionnel de certains produits laitiers sont deux voies régulièrement explorées. Dans ce contexte, cet article tente, sur la base du Réseau d’Information Comptable Agricole (RICA) de 1999, de rendre compte de la diversité structurelle et économique des exploitations laitières françaises et de leurs inégalités face à une baisse non compensée du prix du lait. Une méthode de classification est proposée afin de hiérarchiser les exploitations laitières françaises selon cinq classes relatives à leurs performances économiques. Ces cinq classes sont ensuite croisées avec plusieurs autres paramètres, tels que le système de production, le niveau de quota, le statut juridique et la localisation. Pour chaque case typologique ainsi créée, l’impact sur le résultat courant d’une baisse non compensée du prix du lait de 10 % est testé. Parmi les 132 000 exploitations laitières françaises, 18 % ont un niveau de performance économique considéré comme très faible. Ces unités, qui ont une référence laitière de 173 700 kg et un résultat courant moyen de 8 600 euros, seraient particulièrement fragilisées par une baisse du prix du lait de 10 % (-60 % du résultat courant contre –16 % pour les 22 000 unités les plus performantes).
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Aissaoui, Sonia, Pascale Bueno Merino et Samuel Grandval. « Les antécédents de la confiance dans la coopération amapienne1 ». Revue internationale P.M.E. 30, no 1 (3 mai 2017) : 121–54. http://dx.doi.org/10.7202/1039788ar.

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Résumé :
Basée sur une méthodologie qualitative, notre recherche a pour principal objectif d’analyser les mécanismes de construction et de maintien de la confiance dans la coopération conclue entre un entrepreneur agricole et un collectif de consommateurs membres d’une association pour le maintien de l’agriculture paysanne (AMAP). De façon plus précise, notre question de recherche porte sur les rôles respectifs de la confiance relationnelle et de la confiance institutionnelle dans l’émergence et la stabilité dans le temps de la coopération amapienne. Nos résultats nous permettent de conclure que l’établissement de la confiance relationnelle procède non seulement d’échanges en face à face, mais également d’échanges virtuels avec l’entrepreneur agricole. Quant à l’établissement de la confiance institutionnelle, celle-ci est générée par la signature d’un contrat, l’existence d’un label bio ou bien encore la référence à une charte nationale. Notre étude a également confirmé le caractère fragile de la coopération amapienne évoqué dans la littérature et lié à la diversité de motivations et d’engagements des consommateurs et à la concurrence d’autres formes de distribution agricole.
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Jousseins, Carole, Jocelyn Fagon, Julien Belvèze et Gérard Servière. « Livestock Farm Networks, a system at the center of French farming development ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 68, no 2-3 (25 mars 2016) : 107. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.20596.

Texte intégral
Résumé :
Les Réseaux d’élevage sont un dispositif dédié au développe­ment de l’élevage herbivore. Fruit de l’histoire du développe­ment agricole français, ils sont présents sur l’ensemble du ter­ritoire national et s’organisent localement. L’originalité de ce dispositif provient de sa nature partenariale entre des éleveurs, les chambres d’agriculture et l’Institut de l’élevage, de sa prise en compte de la diversité des régions d’élevage et de l’étude des systèmes d’élevage à travers l’approche globale. L’objec­tif n’est pas d’être exhaustif mais d’être représentatif de l’éle­vage herbivore à travers le choix des systèmes étudiés, d’en mesurer les évolutions, de créer et de diffuser des références à partir du suivi de 1900 fermes réalisé par 210 agents des chambres d’agriculture, encadré par 35 animateurs de l’Insti­tut de l’élevage, et financé et appuyé par les pouvoirs publics et la profession agricole. Les valorisations régionales et natio­nales des Réseaux s’adressent à différents publics : aux éle­veurs, aux conseillers, aux enseignants (pour le conseil ou la formation), aux individus ou aux collectifs, et aux décideurs locaux et nationaux afin de mieux comprendre les systèmes d’élevage, et de mesurer l’impact de nouvelles politiques agri­coles et d’orienter leur modalité d’application. Le rôle des Réseaux s’illustre également dans leur capacité à se mobiliser sur des thématiques émergentes. Les aspects viabilité, compé­titivité, conditions de travail ou encore enjeux environnemen­taux étaient inclus dans les champs d’étude du dispositif bien avant que le concept de développement durable ne devienne un centre d’intérêt. Les Réseaux en tant que dispositif partena­rial sont parfois complexes à gérer et paraissent coûteux, mais c’est ce partenariat fort qui leur apporte la reconnaissance en tant que ressource clé et qui leur donne leur légitimité. La diversité des productions agricoles et l’hétérogénéité des sys­tèmes d’exploitation favorisent les innovations et permettent l’adaptation de l’agriculture française aux nouveaux enjeux. Les Réseaux d’élevage permettent non seulement d’observer ces évolutions mais également de les catalyser, de les accom­pagner et de les diffuser.
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Etienne Diatta, Jean Noël, et Thérèse Marie Ndébane Ndiaye. « L’agrobusiness Dans la Vallée du Fleuve Sénégal ou Quand le Système d’Innovation Impulse une Trajectoire de Transformation et de Modernisation de l’Agriculture ». European Scientific Journal, ESJ 18, no 35 (30 novembre 2022) : 50. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n35p50.

Texte intégral
Résumé :
L’agrobusiness répond aux besoins impérieux de sécurisation alimentaire et de croissance économique. Dans la vallée du fleuve Sénégal, cette innovation agricole a émergé à la faveur de la fin de l’Etat providence combinée à la faible productivité des exploitations familiales. Ceci a permis l’émergence de nouveaux acteurs avec des ambitions arrimées aux réalités contextuelles et qui impulsent la nouvelle dynamique de l’agriculture. Cet article a pour objectif d’analyser le processus de mise en place de l’agrobusiness en tant qu’innovation agricole dans la région de la vallée du fleuve Sénégal ainsi que les dynamiques d’appropriation par la diversité des entrepreneurs agricoles qui y sont présents. Des entretiens menés entre 2019 et 2020 auprès de producteurs privés installés à Thilène, Ndiaye Mbéress, Ross-Béthio et Ngomène dans le département de Dagana (région de Saint-Louis du Sénégal) et des acteurs des services étatiques de vulgarisation et de conseil agricole à savoir la Société Nationale d’Exploitation des Terres du Delta du Fleuve Sénégal et des Vallées du Fleuve Sénégal et de la Falémé (SAED) et l’Institut Sénégalais de Recherche Agricole (ISRA) ont permis d’identifier les composantes et les dynamiques d’appropriation de cette innovation qui tracent la nouvelle trajectoire de l’agriculture résolument orientée vers le marché et l’accumulation de profits. Les résultats indiquent également qu’en dehors des entreprises agroindustrielles, une catégorie d’acteurs constituée par les exploitations de taille familiale, renferme un vivier d’entrepreneurs innovateurs à même de porter les initiatives agricoles autour d’un système plus ou moins complexe en vue de moderniser la pratique agricole et de porter les ambitions d’atteinte de la sécurité alimentaire. Ils montrent aussi que le développement de l’agrobusiness dans la vallée du Fleuve Sénégal est porté par un réseau d’acteurs aux niveaux d’implication et d’interaction variés. Ils montrent enfin la trajectoire de ce long processus d’innovation ponctuée par plusieurs séquences. Agribusiness responds to the imperative needs of food security and economic growth. In the Senegal River valley, this agricultural innovation emerged thanks to the end of the welfare state combined with the low productivity of family farms. This has allowed the emergence of new actors with ambitions linked to contextual realities and who are driving the new dynamics of agriculture. This article aims to analyze the process of setting up agribusiness as an agricultural innovation in the region of the Senegal River Valley as well as the dynamics of appropriation by the diversity of agricultural entrepreneurs present there. Interviews conducted between 2019 and 2020 with private producers based in Thilène, Ndiaye Mbéress, Ross-Béthio and Ngomène in the department of Dagana (Saint-Louis a region of Senegal) and actors of the state extension and agricultural advisory services, namely the National Society for the Exploitation of Lands of the Senegal River Delta and the Valleys of Senegal and Faleme River (SAED) and the Senegalese Institute of Agricultural Research (ISRA) have made it possible to identify the components and dynamics of appropriation of this innovation which trace the new trajectory of agriculture resolutely oriented towards the market and the accumulation of profits. The results also indicate that apart from agro-industrial companies, a category of actors made up of family-sized farms, contains a pool of innovative entrepreneurs capable of carrying agricultural initiatives around a more or less complex system with a view to modernizing agricultural practice and carrying the ambitions of achieving food security. They also show that the development of agribusiness in the Senegal River valley is driven by a network of actors with varying levels of involvement and interaction. Finally, they show the trajectory of this long process of innovation punctuated by several sequences.
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Laurant, Delphine, Didier Bazile, Christophe Le Page et Emilie Rousselou. « Proposition d’un cadre d’analyse des nouvelles formes collectives d’exploitation agricole en France ». Cahiers Agricultures 30 (2021) : 45. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2021031.

Texte intégral
Résumé :
Depuis une dizaine d’années en France, de nouvelles formes d’installations collectives émergent et semblent motivées par la réalisation d’un projet de vie associé à l’exercice du métier d’agriculteur. Encore peu documentées, ces formes d’exploitations collectives pourraient cependant favoriser la conduite de systèmes plus diversifiés, dont la gestion plus complexe serait permise par la diversité des acteurs impliqués dans le processus de production. Pour appréhender les interactions entre l’organisation collective et la combinaison d’activités caractérisant l’exploitation agricole, nous proposons un cadre générique permettant d’analyser et de comparer différentes stratégies organisationnelles. Considérant une combinaison de données récoltées sur treize fermes collectives, nous proposons un cadre conceptuel générique basé sur le formalisme AGR (Agent-Groupe-Rôle) issu du domaine de la recherche en informatique. Sa déclinaison en un cadre d’analyse appliqué à trois cas d’étude contrastés illustre la diversité des formes d’organisation de collectifs et des différents enjeux qu’ils portent, ainsi que les façons dont le partage des ressources structure les groupes.
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DRONNE, Yves. « Les matières premières agricoles pour l’alimentation humaine et animale : l'UE et la France ». INRA Productions Animales 31, no 3 (18 janvier 2019) : 181–200. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.3.2347.

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Résumé :
L’UE qui produit environ 80 millions de tonnes de protéines végétales (dont la moitié de fourrages) en importe près de 15 millions sous forme de produits en l’état (céréales, graines oléagineuses) ou coproduits des industries agricoles et alimentaires (en particulier tourteaux) non consommables par l’Homme. Environ 87 % de la consommation intérieure de ces protéines est destinée à l’alimentation animale et permet la production de 11 millions de tonnes de protéines animales sous forme de lait, de viandes et d’œufs. L’industrie des aliments composés particulièrement développée apporte 67 % des protéines hors fourrages et fait apparaître une forte diversification dans ses matières premières consommées. Le soja, dont les importations européennes ont sensiblement baissé au cours des 10 dernières années, ne représente plus que 18 % des protéines végétales utilisées par les animaux. La part de l’UE dans les importations mondiales est passée de 60 % au début des années 1970 à moins de 19 % actuellement. La France consomme 12 millions de tonnes de protéines végétales en alimentation animale (dont la moitié de fourrages) et présente de nombreuses similitudes avec l’UE, mais une différence essentielle, celle d’être globalement exportatrice nette de 1,5 million de tonnes de protéines, largement sous forme de céréales. Alors que l’UE est importatrice nette de « surface agricole », la France peut in fine exporter à la fois des protéines animales et des protéines végétales grâce à l’importance de sa surface agricole et à la diversité de ses agricultures (spécialisation animale du Grand Ouest et végétale de certaines autres régions qui permettent d’atteindre des rendements élevés).
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Fernandes, Sylvie. « Diversité des parcours d'accès à l'autonomie professionnelle d'anciens élèves de l'enseignement agricole ». Pour 211, no 4 (2011) : 171. http://dx.doi.org/10.3917/pour.211.0171.

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Ouallal, Imane, Younes Abbas, Sara Ech-cheddadi, Mohamed Ouajdi, Moussa Ouhadach, Houda El Yacoubi, Benaissa Kerdouh, Younes El Goumi et Atmane Rochdi. « Diversité des champignons endomycorhiziens de l’arganier et potentiel mycorhizogène des sols rhizosphériques des arganeraies du Sud-Ouest marocain ». BOIS & ; FORETS DES TROPIQUES 338 (11 février 2019) : 73. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.338.a31678.

Texte intégral
Résumé :
L’arganier, Argania spinosa, est une espèce endémique du Maroc, structurant des formations forestières remarquables et façonnant un terroir agricole original. Si son statut mycorhizien a été largement étudié, la diversité mycorhizienne associée et son efficacité, en tenant compte du lien avec les contextes pédoclimatiques et la diversité des territoires de l’arganier, demeure méconnue. Aussi, neuf arganeraies du Sud-Ouest marocain ont fait l’objet d’investigations afin, d’une part, d’explorer la diversité des communautés de champignons mycorhiziens associés à cet arbre dans diverses situations édapho-climatiques, et, d’autre part, d’évaluer le potentiel mycorhizogène des environnements rhizosphériques, en vue de les exploiter comme sources d’inocula. L’examen microscopique des racines de l’arganier confirme la mycotrophie de l’espèce et sa dépendance aux champignons mycorhiziens arbusculaires (CMA), quel que soit le site prospecté. Les spores de CMA isolées des sols rhizosphériques des arganeraies étudiées restent de faible densité. Les corrélations entre les différents morphotypes sont très hautement significatives au sein du genre Glomus. Dans certains sites, une corrélation positive apparaît entre la densité de spores et l’intensité de mycorhization des racines. Une corrélation négative se présente entre le potentiel mycorhizien des neuf sols étudiés et les propriétés chimiques des sols. Ces résultats suggèrent que d’autres facteurs édaphiques (propriétés biologiques des sols, par exemple) ou le degré de perturbation des sols des arganeraies, lié aux usages agricoles et au pâturage, pourraient influencer fortement le processus de mycorhization de l’arganier. Il en est ainsi de la performance des spores mycorhiziennes, ce qui conduit à devoir éviter de contre-sélectionner des CMA inefficients en matière de survie et de croissance de l’arganier, qu’il s’agisse de production en pépinières forestières ou de réhabilitation en milieu naturel.
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MIGNOLET, C., M. BENOIT et D. SAINTOT. « Systèmes d’élevage et risque de pollution azotée. Construction d’un indicateur de risque et application dans la plaine des Vosges ». INRAE Productions Animales 10, no 4 (8 octobre 1997) : 275–85. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.4.4002.

Texte intégral
Résumé :
Une méthode d’évaluation et de localisation des risques de pollution nitrique diffuse des eaux souterraines, liés à la diversité des systèmes d’élevage de ruminants et à leurs assolements caractéristiques, est mise au point et appliquée sur les 2211 exploitations présentes en 1993 dans la plaine des Vosges. Cette méthode associe des mesures des lixiviations nitriques réelles sous des parcelles agricoles, une typologie des exploitations d’élevage qui contient des informations sur les assolements et un système d’information géographique qui permet de localiser les informations au sein d’unités territoriales de gestion des ressources en eau. Les exploitations combinant des surfaces importantes en grandes cultures et un système fourrager à base de maïs génèrent actuellement les plus forts risques de pollution par les nitrates, alors que les exploitations spécialisées dans les productions de lait et/ou de viande à base d’herbe apparaissent les moins polluantes. La localisation des types d’exploitation permet d’identifier des zones géographiques exposées à un fort risque de pollution d’origine agricole, caractérisées par une combinaison des types d’exploitation d’élevage
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Ceperley, Natalie, Florencia Montagnini et Armand K. Natta. « Importance des sites sacrés pour la conservation des forêts-galeries au Centre-Bénin ». BOIS & ; FORETS DES TROPIQUES 303, no 303 (1 mars 2010) : 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.303.a20450.

Texte intégral
Résumé :
Les mares, bassins ou sites sacrés de forêtsgaleries le long des cours d'eau, encore appelés Íbú ódó en langue Tchabè, sont respectés par les communautés Tchabè le long des fleuves Ouémé et Okpara au Centre-Bénin (Afrique de l'Ouest). Le caractère sacré de ces sites et points d'eau a un impact évident sur la conservation de la biodiversité, à travers la prohibition de l'utilisation des poisons pour la pêche, de la pollution des eaux, l'interdiction de l'élevage, les défrichements dans leur voisinage immédiat, etc. La structure et la diversité des forêts-galeries et Íbú ódó ont été examinées dans trois sites différents (Djabata, Idadjo et Monka) de forêts-galeries adjacents à des sites et points d'eau sacrés. En outre, les caractéristiques des forêts-galeries ont été analysées du point de vue des différents modes d'utilisation et de gestion des terres, en zones agricole, domaines utilisés par les villages et sites sacrés des religions traditionnelles. La diversité des ligneux (dbh 10 cm) est plus élevée dans les sites des forêts sacrées, tandis que la surface terrière est plus grande dans les sites à forte emprise humaine ou adjacents aux Íbú ódó. Sur le plan floristique, les forêts-galeries les plus éloignées des villages sont les plus diversifiées, avec les plus grandes surfaces terrières. L'enquête ethnobotanique auprès des anciens et des chefs chasseurs a révélé l'importance culturelle et la diversité des ressources des sites de forêtsgaleries sacrés. Les Íbú ódó sont respectés par tous les villageois y compris les immigrants et colons agricoles non Tchabè. Les fonctions des écosystèmes riverains (telles que brisevent, fertilité des sols, sites privilégiés de chasse) sont reconnues et valorisées par les populations riveraines. La présente étude recommande d'inclure les sites sacrés de forêts-galeries dans une stratégie de gestion durable du bassin du fleuve Ouémé, afin d'inverser la destruction de la végétation et de préserver la diversité des forêts-galeries. C'est une nécessité pour un contrôle efficace des inondations et la conservation de la biodiversité au Centre-Bénin. (Résumé d'auteur)
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Moumouni, Ismail, Aurelle de Romemont, Fortuné Amonsou-Biaou et Guy Faure. « Standardisation du conseil agricole et diversité des modalités d’action des conseillers au Bénin ». Économie rurale, no 348 (30 septembre 2015) : 43–57. http://dx.doi.org/10.4000/economierurale.4691.

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CHATELLIER, V., et V. JACQUERIE. « La diversité des exploitations laitières européennes et les effets différenciés de la réforme de la PAC de juin 2003 ». INRAE Productions Animales 17, no 4 (5 octobre 2004) : 315–33. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.4.3606.

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Résumé :
L’objectif de cet article est, d’une part, de rendre compte de la forte diversité des exploitations laitières européennes et, d’autre part, d’analyser les effets supposés de la réforme de la Politique agricole commune (PAC) de juin 2003 sur leurs résultats économiques (revenu, aides directes, estimation du paiement unique). En s’appuyant sur les données individuelles du Réseau d’Information Comptable Agricole (RICA) des quinze Etats membres, cette analyse prend en compte les principales caractéristiques des exploitations laitières réparties selon plusieurs bassins de production, systèmes techniques, classes de taille (quota laitier par exploitation) et classes de performances économiques (suivant une méthode de classification privilégiant trois indicateurs). Dans l’hypothèse d’une baisse intense du prix du lait, la réforme de la PAC se manifesterait par une fragilisation importante du revenu des exploitations spécialisées et économiquement peu performantes. Dans tous les cas, elle entraînera une augmentation importante du poids des aides directes dans la formation du revenu des producteurs de lait. Le montant du paiement unique par hectare diffèrera de façon importante entre bassins de production, mais également au sein de chacun d’eux, en fonction principalement du niveau d’intensification et du système fourrager.
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Dury, Sandrine, Arlène Alpha, Nadine Zakhia-Rozis et Thierry Giordano. « Les systèmes alimentaires aux défis de la crise de la Covid-19 en Afrique : enseignements et incertitudes ». Cahiers Agricultures 30 (2021) : 12. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020052.

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Résumé :
La crise liée au SARS-CoV2 (syndrome respiratoire aigu sévère–coronavirus 2) a donné lieu à une profusion de documents et webinaires sur la sécurité alimentaire au niveau international, ce qui tend à brouiller la compréhension des dynamiques à l’œuvre sur le terrain. Cet article se propose de faire le point sur la situation des secteurs agricole et agroalimentaire, à partir des informations relayées par un réseau d’experts du Cirad et de leurs partenaires dans une diversité de pays en Afrique subsaharienne. Mises en perspective avec les rapports des organisations internationales, ces informations permettent de dresser un constat nuancé. Si le commerce mondial des produits de base et la production agricole dans les pays du Sud ont été relativement peu affectés par les mesures de restriction prises pour limiter la propagation du virus, certaines filières de produits périssables ont rencontré des difficultés pour écouler leurs produits. Mais surtout, la crise a mis en exergue la déconnexion entre le monde de la production agricole, du commerce alimentaire et la situation des consommateurs précaires, qui dans les villes et dans le secteur informel ont pris de plein fouet l’arrêt des activités économiques. Cette crise sanitaire invite à repenser les mesures de gestion de la crise, tant à court terme qu’à plus long terme, avec une approche intégrée des systèmes alimentaires pour renforcer leur résilience et soutenir les stratégies d’adaptation des acteurs.
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Sourisseau, Jean-Michel, Pierre-Marie Bosc, Sandrine Fréguin-Gresh, Jean-françois Bélières, Philippe Bonnal, Jean-François Le Coq, Ward Anseeuw et Sandrine Dury. « Les modèles familiaux de production agricole en question. Comprendre leur diversité et leur fonctionnement ». Autrepart 62, no 3 (2012) : 159. http://dx.doi.org/10.3917/autr.062.0159.

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Lourme-Ruiz, Alissia, Sandrine Dury et Yves Martin-Prével. « Consomme-t-on ce que l’on sème ? Relations entre diversité de la production, revenu agricole et diversité alimentaire au Burkina Faso ». Cahiers Agricultures 25, no 6 (novembre 2016) : 65001. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2016038.

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Vaillant, Ludovic, et Gwenaëlle Halter. « L’usage des TIC dans pratiques logistiques des circuits courts alimentaires de proximité. Proposition d’une typologie ». Lucrările Seminarului Geografic "Dimitrie Cantemir" 48, no 2 (2020) : 124–40. http://dx.doi.org/10.15551/lsgdc.v48i2.01.

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Résumé :
Si l’impact des TIC a abondamment été étudié dans les techniques de production agricole, les différents types d’usages des TIC dans les Circuits Courts Alimentaires de Proximité (CCAP) restent à ce jour très peu étudié. Pourtant, à l’instar des chaines logistiques « longues », de nombreux espoirs sont portés sur la capacité des TIC à améliorer les organisations logistiques des CCAP souvent sous-optimales. Façonnés au regard des besoins logistiques de distribution des produits, les organisations de transport et de logistiques (OLT) s’avèrent protéiformes, ce qui invite à poser l’hypothèse d’une diversité des modalités d’inclusion des TIC dans les OLT des CCAP. La diversité des besoins logistiques explicitée à l’aune de l’économie des conventions fonde une proposition de typologie des CCAP et les apports de l’économie des services permet de préciser pour chaque type les TIC mobilisées. Une étude menée dans les Hauts-de-France en 2018 corrobore cette hypothèse et illustre la typologie proposée.
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COLSON, F., et V. CHATELLIER. « Les exploitations bovines françaises sont parmi les plus extensives de l’Union européenne ». INRAE Productions Animales 9, no 4 (17 août 1996) : 273–84. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.4.4061.

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Résumé :
Cet article présente une analyse comparée des exploitations bovines des douze états membres de l’Union Européenne. Dans un premier temps, l’analyse porte sur l’hétérogénéité des exploitations bovines, prises dans leur ensemble, en termes de types de production (allaitant, laitier, mixte, sans vache) et de niveau d’intensification des superficies fourragères. Dans un second temps, une analyse plus fine est proposée pour les seules exploitations allaitantes. Cette étude s’appuie sur les données du Réseau d’Information Comptable Agricole de chaque pays, pour souligner la diversité des systèmes de production, des dimensions économiques et mettre en évidence une relation entre niveaux d’intensification des superficies fourragères et performance économique. Dans les pays de l’Europe du Nord, la dimension économique, la rémunération du travail agricole et la rentabilité du capital augmentent avec le niveau de chargement des exploitations. Dans les pays du Sud (Italie, Espagne, Portugal, Grèce), l’impact du niveau d’intensification est moins perceptible tant les exploitations sont de petite taille et les superficies fourragères limitées. Les exploitations allaitantes françaises sont, avec un chargement moyen de 1,23 UGB herbivores par hectare de superficie fourragère contre 1,45 en moyenne européenne, parmi les plus extensives de la Communauté.
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COLSON, F., et V. CHATELLIER. « Les exploitations bovines françaises sont parmi les plus extensives de l’Union européenne ». INRAE Productions Animales 9, no 4 (20 août 1996) : 273–84. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.4.4068.

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Résumé :
Cet article présente une analyse comparée des exploitations bovines des douze états membres de l’Union Européenne. Dans un premier temps, l’analyse porte sur l’hétérogénéité des exploitations bovines, prises dans leur ensemble, en termes de types de production (allaitant, laitier, mixte, sans vache) et de niveau d’intensification des superficies fourragères. Dans un second temps, une analyse plus fine est proposée pour les seules exploitations allaitantes. Cette étude s’appuie sur les données du Réseau d’Information Comptable Agricole de chaque pays, pour souligner la diversité des systèmes de production, des dimensions économiques et mettre en évidence une relation entre niveaux d’intensification des superficies fourragères et performance économique. Dans les pays de l’Europe du Nord, la dimension économique, la rémunération du travail agricole et la rentabilité du capital augmentent avec le niveau de chargement des exploitations. Dans les pays du Sud (Italie, Espagne, Portugal, Grèce), l’impact du niveau d’intensification est moins perceptible tant les exploitations sont de petite taille et les superficies fourragères limitées. Les exploitations allaitantes françaises sont, avec un chargement moyen de 1,23 UGB herbivores par hectare de superficie fourragère contre 1,45 en moyenne européenne, parmi les plus extensives de la Communauté.
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CHATELLIER, V., F. COLSON, M. FUENTES et T. VARD. « Les exploitations d’élevage herbivore dans l’Union européenne ». INRAE Productions Animales 13, no 3 (18 juin 2000) : 201–13. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.3.3781.

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Résumé :
Pour mieux appréhender la diversité des exploitations européennes d’élevage herbivore et pour affiner l’analyse des effets différenciés de changements de la Politique agricole commune (PAC) sur les exploitations laitières, allaitantes et ovines, la Direction Générale de l’Agriculture de la Commission européenne (1) a souhaité que soit élaborée, sur la base des données du Réseau d’Information Comptable Agricole (RICA), une méthode de classification complémentaire à celle privilégiant les orientations technico-économiques (OTEX). Cette typologie intitulée GLS, pour Grazing Livestock System, conduit à répartir, de façon homogène entre les Etats membres, les 1,6 millions d’exploitations européennes détenant plus d’une Unité de Gros Bétail (UGB) herbivore en quatre types de production, neuf systèmes d’élevage et dix-huit systèmes techniques. L’analyse des caractéristiques des exploitations selon cette typologie permet de rendre compte de la complexité des combinaisons productives, de la très forte hétérogénéité de structures d’exploitation entre Etats membres (en termes notamment de dimension économique, de spécialisation et d’intensification), de la forte contribution des exploitations laitières à l’offre de viande et du poids déterminant des aides directes dans la formation du revenu des éleveurs. (1) Cette étude n’engage que la responsabilité de ses auteurs.
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FARRUGGIA, A., B. MARTIN, R. BAUMONT, S. PRACHE, M. DOREAU, H. HOSTE et D. DURAND. « Quels intérêts de la diversité floristique des prairies permanentes pour les ruminants et les produits animaux ? » INRAE Productions Animales 21, no 2 (23 juin 2008) : 181–200. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.2.3391.

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Les prairies permanentes occupent environ un tiers de la surface agricole utile et présentent un grand potentiel de diversité biologique. L’élevage a de ce fait un rôle majeur à jouer dans la préservation de la biodiversité sur le territoire français. L’objectif de cette synthèse est d’aborder la question de la diversité floristique des prairies et de l’élevage en s’interrogeant sur l’intérêt de cette diversité construite par les éleveurs, pour les ruminants et les produits animaux. Une seule composante de la diversité biologique des prairies est prise en compte : la diversité floristique. Il est réalisé dans cette synthèse un état des connaissances pluridisciplinaires des effets de cette diversité sur la valeur nutritive des fourrages, l’ingestion des animaux, les caractéristiques sensorielles et nutritionnelles des produits laitiers et carnés, enfin sur deux aspects de la santé animale, la lutte contre les infestations par les strongles digestifs et la prévention des processus de peroxydation. Dans chacune des thématiques abordées, des effets liés à la composition botanique des prairies ont été mis en évidence, mais sans qu’il puisse être toujours fait la part entre les effets liés à la présence d’un grand nombre d’espèces dans la parcelle, les effets liés à la présence de certaines espèces et les effets liés au stade phénologique. Le rôle probable important des dicotylédones et notamment des légumineuses a été souligné à plusieurs reprises, en particulier du fait de leur plus grande teneur en métabolites secondaires que les graminées. Enfin, l’intérêt de fournir aux animaux des sources d’alimentation diversifiées a également été évoqué en particulier sur les aspects liés à l’ingestion et à la santé animale.
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Eychenne, Mathieu. « La production agricole de Damas et de la Ghūṭa au XIVe siècleDiversité, taxation et prix des cultures maraîchères d’après al-Jazarī (m. 739/1338) ». Journal of the Economic and Social History of the Orient 56, no 4-5 (2013) : 569–630. http://dx.doi.org/10.1163/15685209-12341334.

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Résumé :
Résumé L’histoire économique de Damas et du Bilād al-Shām à l’époque mamelouke demeure un champ de recherche difficile à explorer du fait de la rareté des documents d’archives disponibles et du caractère épars des informations dans les textes historiques. En prenant comme source principale un passage particulièrement détaillé de la chronique de l’historien al-Jazarī (viiie/xive siècle), cet article entend non seulement mettre en lumière la richesse et la diversité de la production agricole de Damas mais également contribuer à une meilleure connaissance de l’économie et du système fiscal de la ville et de sa campagne, la Ghūṭa, à la fin de la période médiévale.
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Gravel, Sylvie, Stéphanie Bernstein, Jill Hanley, Francisco Villanueva et Daniel Crespo-Villareal. « Impact de l’embauche des travailleurs étrangers temporaires sur la cohabitation de résidence et des métiers dans les communautés rurales du Québec : le point de vue des employeurs ». Diversité urbaine 14, no 2 (4 mars 2016) : 97–122. http://dx.doi.org/10.7202/1035427ar.

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L’embauche des travailleurs étrangers temporaires (TET) a des impacts sur la cohabitation résidentielle et sur la cohabitation des métiers dans les communautés rurales. Cette étude repose sur le discours des chefs d’entreprises (n=17) et d’informateurs-clés (n=23) des secteurs agricole, horticole et de l’aménagement paysager au Québec. Ce type d’embauche a incité différents acteurs à reconsidérer leurs pratiques de gestion pour recréer un équilibre dans des petites communautés déstabilisées par l’apport démographique saisonnier entraîné par l’arrivée des TET. De l’analyse de discours a émergé un modèle de gestion de la diversité qui rend compte des défis de cohabitation pour les employeurs et les TET.
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DURU, M., C. DONNARS, J. RYCHAWY, O. THEROND et B. DUMONT. « La « grange » : un cadre conceptuel pour appréhender les bouquets de services rendus par l’élevage dans les territoires ». INRA Productions Animales 30, no 4 (25 juin 2018) : 273–84. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.4.2259.

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Résumé :
L’élevage et les produits animaux sont souvent examinés par domaine (environnement, économie) ou par niveau d’organisation (exploitation agricole, filière, territoire, pays) si bien qu’il est difficile d’évaluer simultanément la diversité des services et impacts issus de l’élevage dans les territoires. En cohérence avec la littérature scientifique sur les systèmes socio-écologiques, nous avons représenté l’élevage et ses produits à l’interaction de trois systèmes (écologique, technique et social). Ceci permet d’identifier la diversité des facteurs (interactions biotiques, pratiques, modes d’organisation) à l’origine des impacts et des services rendus par l’élevage. Nous en avons ensuite dérivé une représentation simplifiée, « la grange » qui permet de visualiser l’élevage (l’usage des terres, les animaux…) et ses impacts ou services sur cinq interfaces (les intrants, l’environnement et le climat, les marchés, le travail et l’emploi, et les enjeux sociaux et culturels), et les synergies/antagonismes entre services au sein d’un territoire. Nous définissons ensuite différentes formes d’élevage afin de représenter la diversité de l’élevage entre territoires, et d’identifier différentes voies d’innovation pour augmenter ses services et réduire ses impacts. Celles-ci se distinguent par l’insertion des élevages dans les systèmes alimentaires (mondialisés vs territorialisés), ainsi que par l’autonomie en intrants pour l’alimentation des animaux. Cette classification est mobilisée pour introduire les différents cas d’études analysés dans ce numéro spécial.
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Pédelahore, Philippe. « Systèmes agroforestiers à cacaoyers et transition capitaliste : l’exemple du Centre-Cameroun ». BOIS & ; FORETS DES TROPIQUES 321, no 321 (17 juillet 2014) : 55. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.321.a31218.

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Résumé :
La production cacaoyère camerounaise est issue de systèmes agroforestiers com-plexes. Après une longue période de stag-nation entre 1963 et 1993, cette produc-tion a doublé entre 1993 et 2013. Quels sont les exploitants agricoles qui portent ces dynamiques d’accroissement de la production cacaoyère ? Sur quels moyens de production et stratégies se sont-ils ap-puyés pour parvenir à relancer cette filière et à en doubler la production sur une aussi courte période ? Pour contribuer à appor-ter des éléments de réponse à ces ques-tions, des entretiens semi-directifs ont été conduits auprès de 82 planteurs repré-sentatifs de la diversité du principal bas-sin de production, dans la région Centre. Les résultats obtenus montrent que l’essor de la production cacaoyère de la zone étu-diée repose en grande partie sur la mon-tée en puissance des formes patronale et capitaliste de la production agricole. Ces planteurs d’un genre nouveau investissent d’importants volumes de capitaux finan-ciers d’origine urbaine dans la création de grandes plantations dans les zones de fronts pionniers. Ces résultats incitent à analyser l’évolution de ces systèmes agro-forestiers en portant une plus grande at-tention qu’auparavant aux interactions en-tre les différentes formes de production (familiale, patronale, capitaliste) et entre les trajectoires d’accumulation en capital qui se développent en milieu rural et en milieu urbain.
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Piché, Geneviève. « Voyage sur les rives du Mississippi : diversité culturelle et influence atlantique dans la Louisiane antebellum ». Dossier Antilles et Louisiane 32, no 2 (3 novembre 2014) : 111–33. http://dx.doi.org/10.7202/1027199ar.

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Résumé :
Au début du XIXe siècle, la Louisiane est une région agricole fort prospère, qui connaît un essor spectaculaire. La population servile augmente considérablement, alors que le système esclavagiste se développe et se radicalise. La Louisiane antebellum1 est ainsi le théâtre parfait pour étudier la rencontre entre religion et esclavage. Comment les esclaves parviennent-ils à se forger une culture religieuse bien distincte de celle de leurs maîtres ? Comment cette culture apparaît-elle aux yeux des voyageurs qui atteignent la Nouvelle-Orléans au XIXe siècle ? En quoi les pratiques religieuses des esclaves des Antilles, qui arrivent en grand nombre au tournant du siècle, ont-elles influencé la religion des esclaves louisianais ? En se basant sur les récits de voyage du XIXe siècle, cet article nous permettra de partir à la découverte de la culture religieuse des esclaves de Louisiane.
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Daré, William’s, et Jérôme Queste. « Diversité de choix et inégalités d’accès aux services publics : le paradoxe de l’écologisation de la politique agricole à La Réunion ». Lien social et Politiques, no 66 (20 avril 2012) : 225–43. http://dx.doi.org/10.7202/1008880ar.

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Résumé :
Depuis 1992, le discours pour une agriculture plus respectueuse de l’environnement s’est traduit par une multiplication des instruments et dispositifs de politiques publiques visant à orienter le changement des pratiques des agriculteurs. Le portefeuille de dispositifs agri-environnementaux (DAE) facultatifs s’est étoffé. Mais à La Réunion, l’« équipement » des possibilités de choix réalisé par les institutions agricoles pour opérationnaliser ces DAE limite les marges de manoeuvre des agriculteurs et aboutit à un paradoxe : aux prises avec les exigences de rentabilité, les services publics agricoles continuent de cibler des agriculteurs professionnels et marginalisent encore davantage les agriculteurs informels, situés en dehors des réseaux administratifs, pourtant source potentielle de pollution plus grande que ces premiers, et essentiels pour la ruralité réunionnaise.
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PELLERIN, Sylvain, Bertrand NEY, N. JEAN-BART et J. L. COCODEAU. « Diversité des systèmes de production agricole dans le périmètre irrigué de l'Est Grande Terre (Guadeloupe, F.W.I.) ». Agronomie 7, no 7 (1987) : 497–505. http://dx.doi.org/10.1051/agro:19870705.

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Baldy, CM, et CM Rebella. « Diversité bioclimatique et potentiel de diversification des cultures : un atout pour le développement agricole de l'Argentine ». Agronomie 10, no 8 (1990) : 665–85. http://dx.doi.org/10.1051/agro:19900807.

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Dasylva, Maurice, Ngor Ndour et Aly Diallo. « Diversité et Caractéristiques des Systèmes de Production Agricole Végétale dans la Commune de Ziguinchor au Sénégal ». European Scientific Journal, ESJ 19, no 3 (31 janvier 2023) : 120. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n3p120.

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Résumé :
Bien que l’agriculture soit reconnue pour les services qu’elle rend aux citadins, elle peine à se développer dans les villes africaines. L’étude a été conduite dans la commune de Ziguinchor, situé au Sud du Sénégal. Elle vise à caractériser des systèmes de production végétale de l’agriculture urbaine dans cette commune et s’est appuyé, essentiellement, sur des enquêtes, auprès de 390 agriculteurs. Quatre systèmes de production végétale exploités par des femmes (74,4%) ont été recensés. Le maraîchage est le plus représenté avec 59,7% de cas de citation. Avec 24 spéculations cultivées dans les bas-fonds ou dans les interstices urbains. Ce système de production mobilise plus de producteur en saison sèche (51,5%) qu’en hivernage. Les grandes cultures pluviales qui représentent 32,9% des cas compte 9 essences cultivées réparties dans la famille des Poaceae, des Fabaceae et des Pedaliaceae. Le riz se distingue parmi les grandes cultures pluviales par l’envergure des vallées non aedificandi (838,9 ha) qui abritent ses activités de production. L’arboriculture fruitière et la floriculture constituent les systèmes de production les moins représentés avec respectivement 6,8% et 0,7% des cas. Avec 8 espèces d’arbres fruitiers inventoriées, l’arboriculture est, essentiellement, notée dans la périphérie Sud de la commune où sont localisés plus de vergers d’anacardiers. La floriculture, comptant 13 principales espèces cultivées, est une activité qui subsiste avec seulement 5 exploitations notées dans toute la commune. Toutefois, il faut rappeler que ces divers systèmes de production végétale souffrent de l’avancée du front urbain et de l’occupation de l’espace par le bâti. Il urge, donc, que l’agriculture soit prise en compte dans les prochains plans d’aménagement urbain de Ziguinchor. Although agriculture is recognised for the services it provides to city dwellers, it is struggling to develop in African cities. The study was conducted in the commune of Ziguinchor, located in southern Senegal. It aimed to characterise the plant production systems of urban agriculture in this commune and was based essentially on surveys of 390 farmers. Four crop production systems, mainly operated by women (74.4%), were identified. Market gardening is the most represented with 59.7% of cases cited. With 24 crops cultivated in the lowlands or in the urban interstices, this production system mobilises more producers in the dry season (51.5%) than in the winter season. Rainfed field crops, which account for 32.9% of cases, include 9 species cultivated in the Poaceae, Fabaceae and Pedaliaceae families. Rice stands out among the major crops due to the scale of the not aedificandi valleys (838.9 ha) in which it is produced. Fruit growing and flower growing are the least represented production systems, with 6.8% and 0.7% of cases respectively. With 8 species of fruit trees inventoried, arboriculture is essentially noted in the southern periphery of the district where more cashew orchards are located. Floriculture, with 13 main species produced, is an activity wich survives with only 5 farms noted in the district. However, it should be remembered that these various plant production systems are suffering from urbanisation and the occupation of space by buildings. It is therefore urgent that agriculture be taken into account in the next urban development plans for Ziguinchor.
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Balleux, André, Joëlle Castellan et Philippe Sahuc. « Quelques parcours typiques d’entrée en enseignement professionnel en France et au Québec : croisement de perspectives ». Nouveaux cahiers de la recherche en éducation 13, no 1 (30 juillet 2013) : 43–61. http://dx.doi.org/10.7202/1017460ar.

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Résumé :
Résultat de recherches menées parmi les enseignants accédant à la titularisation de l’enseignement agricole en France et parmi les enseignants débutants de la formation à l’enseignement professionnel au Québec, cet article propose une lecture de leur entrée en enseignement et en formation. Mais au-delà de la diversité relevée parmi les parcours existentiels et professionnels enregistrés pour cette recherche, l’exercice de mise en commun de situations de transition québécoises et françaises ne cherche pas à comparer des systèmes, mais vient plutôt interroger de part et d’autre ce qui apparaissait comme typique d’un système national. Du même coup, il convient de voir apparaitre les complémentarités plutôt que les différences et ainsi de questionner les références initiales qui avaient présidé à la mise en œuvre de ces recherches séparées.
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LELYON, B., V. CHATELLIER et K. DANIEL. « Fin des quotas laitiers, contractualisation et stratégies productives : enseignements d’une modélisation bioéconomique ». INRAE Productions Animales 25, no 1 (31 mars 2012) : 67–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.1.3198.

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Résumé :
Les quotas laitiers, instaurés en 1984, seront supprimés à horizon de 2015. A partir d’un modèle de type bioéconomique, cet article discute des principales implications productives et économiques de cette évolution importante de la Politique Agricole Commune (PAC). L’hypothèse est faite que, concomitamment à l’abandon des quotas laitiers, un système de contractualisation de type «double volume avec des prix différenciés» sera mis en œuvre entre les producteurs et les industriels. Le modèle utilisé a pour objectif de maximiser le revenu de l’exploitation tout en tenant compte d'un ensemble de contraintes, qu’elles soient zootechniques, agronomiques, environnementales, structurelles et réglementaires. Ce modèle, qui permet d’intégrer le risque lié à la volatilité des prix, est appliqué à quatre types d'exploitations reflétant une partie de la diversité des systèmes de production localisés dans l’Ouest de la France. D’après les résultats issus de cette modélisation, il apparaît que de nombreuses exploitations laitières de l’Ouest disposent, moyennant une modification de leurs stratégies productives (intensification, spécialisation), d’un potentiel assez important d’augmentation de la production laitière, à structures constantes. La quantité de lait supplémentaire susceptible d’être produite dans cette région dépendra de l’évolution de la demande de produits laitiers, de la compétitivité des industries laitières et des normes environnementales. Pour une exploitation donnée, ces quantités supplémentaires sont également conditionnées au prix de vente du lait produit dans les deux volumes contractualisés et aux prix relatifs entre les produits agricoles (lait, viande bovine et céréales).
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PERROT, C. « Typologie d’exploitations construite par agrégation autour de pôles définis à dires d’experts. Proposition méthodologique et premiers résultats obtenus en Haute-Marne ». INRAE Productions Animales 3, no 1 (3 février 1990) : 51–66. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.1.4360.

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Résumé :
La typologie d’exploitations agricoles est, pour les organismes départementaux de développement agricole, un investissement qui tient une place centrale dans l’organisation du conseil individuel aux agriculteurs. La typologie constitue un modèle de la diversité des exploitations qui permet d’orienter la recherche de références technico-économiques en s’appuyant sur l’étude de la complexité du fonctionnement des systèmes de production, puis de bâtir un dispositif pertinent pour comparer les performances des exploitations au référentiel ainsi structuré, afin de faciliter la formulation d’un diagnostic et d’un conseil adapté. La méthode typologique présentée dans cet article a été mise au point et testée dans le département de la Haute-Marne. Elle est basée sur la mobilisation des connaissances des experts de terrain. Ces connaissances sont recueillies au cours d’entretiens semi-directifs individuels, puis formalisées en pôles d’agrégation qui résument, à l’aide de quelques indicateurs discriminants, les caractéristiques essentielles des différents groupes d’exploitations identifiés par les experts. Cette formalisation est réalisée de manière itérative et interactive avec ceux-ci jusqu’à l’établissement d’un consensus sur la définition des pôles d’agrégation. Une clé typologique, étalonnée avec les experts sur des fichiers-tests, calcule un coefficient de ressemblance entre une exploitation à classer et chacun des pôles. L’exploitation est ensuite rattachée au pôle auquel elle ressemble le plus. L’ensemble des exploitations agrégées autour d’un pôle constitue un type. La procédure de classement se déroule donc de façon maîtrisée, transparente et explicite aux yeux des utilisateurs grâce à l’évaluation quantitative, donc nuancée, de la ressemblance entre exploitations et pôles, sur la base de quelques indicateurs familiers pour les experts. Chaque pôle peut être défini à l’aide d’indicateurs spécifiques, indépendamment des autres pôles, ce qui confère à la typologie la capacité à évoluer avec les systèmes de production : on pourra en effet modifier la définition d’un pôle pour un type qui évolue, ou créer de nouveaux pôles. Cette dernière propriété est particulièrement importante lorsque l’on considère la typologie non pas comme une image instantanée de la diversité des exploitations, mais comme un outil méthodologique pérenne au service du conseil individuel aux agriculteurs.
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FIORELLI, C., S. MOURET et J. PORCHER. « Les rationalités du travail avec les animaux d'élevage : produire, vivre ensemble et se construire ». INRAE Productions Animales 25, no 2 (1 juin 2012) : 181–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.2.3207.

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Résumé :
Pour les zootechniciens, comprendre la diversité des rapports au travail des éleveurs est un préalable nécessaire à la conception de systèmes d’élevage qui soient plus durables. Pour rendre compte de cette diversité, nous mobilisons trois recherches portant sur la dimension affective, le sens moral et le rapport subjectif au travail en élevage, fondées sur des enquêtes auprès d’éleveurs. Celles-ci montrent que, du point de vue des personnes enquêtées, travailler avec des animaux d’élevage, ce n’est pas seulement produire, c’est aussi se construire et vivre ensemble avec les animaux et entre êtres humains. Les rationalités du travail avec les animaux sont donc multiples et ne sont pas seulement d’ordre technico-économique. L’amitié, le pouvoir, la morale, la construction de soi, le contact avec la nature, l’autonomie décisionnelle et organisationnelle fondent les rationalités relationnelles et identitaires du travail. L’organisation du travail conditionne fortement la possibilité pour les éleveurs d’éprouver du plaisir ou au contraire de la souffrance : réduire le travail des hommes avec les animaux à sa rationalité technico-économique est cause de souffrances. Sur la base de ces résultats nous proposons deux innovations : un concept de camion-abattoir alternatif à l’abattage industriel, et un cadre d’analyse qui articule deux points de vue, technique et humain sur l’organisation du travail, visant à renouveler le conseil agricole.
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DOCKES, A. C., et F. KLING-EVEILLARD. « Les représentations de l’animal et du bien-être animal par les éleveurs français ». INRAE Productions Animales 20, no 1 (6 mars 2007) : 23–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.1.3429.

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Résumé :
Plusieurs travaux récents ont permis d’appréhender les représentations des éleveurs, vis-à-vis de l’animal et du bien-être animal. Ils mettent en évidence un certain nombre d’éléments communs à tous les éleveurs : la place centrale de l’animal dans la définition du métier, la relation professionnelle aux animaux, le rôle central de l’observation dans le métier d’éleveur… Ils montrent la diversité des représentations de l’élevage, des animaux d’élevage et des pratiques, en fonction du type d’animaux, de l’histoire personnelle des individus et des démarches qualité dans lesquelles ils sont engagés : degré d’affectivité et d’attachement aux animaux, vision éthique de leur métier, perception des besoins des animaux… Les résultats de ces projets ouvrent des perspectives pour la recherche et le développement agricole afin de concevoir des outils pour le conseil, ainsi que des formations de techniciens ou d’éleveurs.
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CHATELLIER, V., F. COLSON, F. ARNAUD, J. C. GUESDON, M. KEMPF, J. LEGENDRE et C. PERROT. « La diversité des systèmes d’élevage bovin en France et leur contribution à la production de viande bovine ». INRAE Productions Animales 10, no 3 (8 août 1997) : 227–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.3.3997.

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Résumé :
Cet article présente un dénombrement et une caractérisation des exploitations bovines françaises réparties selon différents systèmes techniques d’élevage. Basé sur les informations du Réseau d’Information Comptable Agricole (1995), il a également pour objectif de mesurer la contribution de chaque système d’élevage à la production nationale de viande bovine (vive). La typologie, élaborée en relation avec les experts régionaux de l’Institut de l’Elevage, vise à concilier une représentation fine de la diversité des types d’élevage et l’obtention d’échantillons représentatifs. La classification des exploitations laitières s’appuie sur trois critères, la localisation géographique, le système fourrager et la spécialisation pour les activités lait et viande bovine. Parmi les exploitations allaitantes, six systèmes techniques sont distingués en fonction du produit brut bovin dégagé par vache allaitante et du profil des animaux commercialisés. Cette étude met en évidence le poids important des exploitations laitières dans la production nationale de viande bovine et montre ainsi l’intérêt que représenterait une réforme conjointe des organisations communes de marchés du lait et de la viande bovine pour parvenir à une nécessaire maîtrise des volumes de production.
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Kimpolo, Luc, Saint Fédriche Ndzai et Félix Koubouana. « Richesse Floristique Et Stockage De Carbone De La Zone Agricole De La Forêt De Kissila Dans Le Mayombe Congolais ». European Scientific Journal ESJ 17, no 40 (30 novembre 2021) : 1–19. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n40p1.

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Résumé :
La gestion durable des forêts reste un problème majeur que doit faire face la communauté internationale et locale dans la lutte contre la déforestation et la dégradation des forêts. Ces forêts connaissent de nos jours une dégradation très accentuée principalement causée par les pratiques agricoles. Cette étude a pour objectif d’évaluer la richesse floristique et d’estimer le stock de carbone aérien afin de contribuer à une meilleure connaissance des ressources naturelles de cette forêt du Mayombe en général et celle du village Kissila en particulier. Cinq parcelles de 50 m de côté chacune ont été installées avec une superficie totale de 12.500 m² soit 1,25 ha. Tous les arbres de Diamètre à Hauteur de la Poitrine (DHP) ≥10 cm ont été inventoriés à 1,30 m du sol dans chaque parcelle. La richesse spécifique, le spectre écologique, les indices de diversité floristique, ainsi que les paramètres structuraux ont été étudiés. La biomasse aérienne a été calculée à partir de l’équation allométrique de Djomo et l’estimation du carbone par la biomasse aérienne x 0,47. L’inventaire floristique a permis d’identifier 309 arbres répartis en 79 espèces, 63 genres et 32 familles. La famille des Annonaceae (11,39 %°) est la plus représentée qualitativement et celle des Olacaceae quantitativement (11,65%). Les indices de diversité de Shannon tendent vers 5, la densité à l’hectare et la surface terrière moyenne sont de 247 arbres et 10,71 m²/ha. La biomasse aérienne moyenne calculée est de 311,76tC/ha et le stock de carbone aérien moyen est de 89,5 tC/ha. Cette étude montre que la forêt de cette zone peut être classée comme une forêt secondaire fortement perturbée.
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Minassian, Laure. « Unification des filières de l’enseignement agricole et diversité d’établissements : un effet positif en termes de réduction des inégalités ? » Education et sociétés 35, no 1 (2015) : 133. http://dx.doi.org/10.3917/es.035.0133.

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Alexandre, G., H. Borel, Gérard Matheron et C. Remy. « Elevages caprins en Guadeloupe ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, special (1 mai 1991) : 27–39. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9243.

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Résumé :
Une enquête a été réalisée dans 120 élevages par l'INRA-CRAAG afin de déterminer les caractéristiques de l'élevage local et ses potentialités. Les données sont exploitées selon des techniques classiques d'analyse multidimensionnelle aboutissant à une description des différents paramètres de l'exploitation guadeloupéenne et à une typologie des élevages. L'élevage caprin présente certaines originalités : spéculation fréquemment associée à l'élevage bovin permettant une exploitation variable selon les systèmes d'une large diversité de ressources (savanes naturelles, prairies plantées et parcours) auxquelles s'ajoutent différents aliments apportés en compléments et les fourrages issus de la "fauche sauvage". Cet élevage apparaît comme un moyen d'intensification, d'augmentation du produit "socio-économique" de l'exploitation agricole. Certains éleveurs choisissent de mettre en place des structures semi-intensives d'élevage. La pratique du pâturage tournant est proposée. Cependant, la pratique de l'élevage au piquet reste très vivace et serait un moyen de résoudre pour certains éleveurs le problème du foncier.
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Tonin, Perrine. « Les productions françaises d’oléagineux de spécialité : des démarches en filière pour créer de la valeur dans nos territoires ». OCL 25, no 2 (mars 2018) : D203. http://dx.doi.org/10.1051/ocl/2018015.

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Résumé :
Dans un contexte de demande de diversification de la part du consommateur, de recherche de nouveaux débouchés pour les producteurs et de mondialisation des marchés oléagineux, les acteurs de la filière française ont développé des productions de spécialité afin de redonner de la valeur ajoutée à la filière. Cette analyse dresse un panorama de ces productions à travers quatre exemples : la filière oléique pour des qualités nutritionnelles et fonctionnelles reconnues, la filière érucique pour une diversité de débouchés en oléochimie, la filière Fleur de Colza – démarche de long terme de partenariat agricole – et la filière bio – un marché jeune, dynamique, en cours de structuration. Dans chaque cas, la valorisation pour le producteur nécessite une démarche de filière avec l’accompagnement de l’ensemble des acteurs afin de valoriser l’origine française par la traçabilité, apporter conseil et formation aux agriculteurs, optimiser la supply chain, soutenir la recherche variétale et développer la contractualisation pluriannuelle.
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Gaillard, Cédric, Sofyan Martin, Pierre-Marie Bosc, Jalila El-Ati, Marie Claude Dop, Tarek Trabelsi, Marie-Josephe Amiot et Sandrine Dury. « Explorer les liens entre agriculture et sécurité alimentaire : une enquête auprès des femmes du gouvernorat de Sidi-Bouzid en Tunisie ». Cahiers Agricultures 27, no 1 (janvier 2018) : 15501. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2018005.

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Résumé :
Cet article présente et décrit le contenu d’une base de données construite à partir d’une enquête menée dans le gouvernorat de Sidi-Bouzid, situé dans le centre de la Tunisie. Sur ce territoire en transition, le secteur agricole, qui tient une place prédominante dans l’activité économique, est caractérisé par la diversité de ses exploitations, aussi bien sur le plan organisationnel (main-d’œuvre familiale ou salariée à dominante féminine) que technique (présence d’infrastructure d’irrigation, de culture sous-abri). Sur le plan des orientations technico-économiques, les cultures arboricoles et maraîchères se développent quand d’autres cultures plus traditionnelles persistent (oléiculture, céréaliculture). Des politiques publiques récentes ont également encouragé l’élevage laitier. Berceau de la révolution du Jasmin en 2010, Sidi-Bouzid fait face à des difficultés économiques et sociales. Dans ce contexte, l’agriculture a un rôle essentiel pour assurer la sécurité alimentaire de la population. L’objectif de cette enquête était d’identifier les liens existants entre la structure, le fonctionnement et les performances des exploitations agricoles, et la sécurité alimentaire des femmes adultes du territoire. Les revenus individuels des membres du ménage, l’autoconsommation de produits agricoles, et l’autonomie des femmes peuvent aussi jalonner ce chemin d’impact. En effet, le développement du salariat peut permettre aux femmes d’accroître leur autonomie, privilégiant ainsi, à travers la maîtrise de leurs dépenses, leurs besoins alimentaires et ceux du ménage auquel elles appartiennent. L’enquête est articulée autour de trois questionnaires. Cinq cent soixante-quinze femmes, sélectionnées aléatoirement à partir d’un échantillon représentatif des femmes de 20 à 49 ans du gouvernorat de Sidi-Bouzid, 575 chefs de ménages et 316 chefs d’exploitations ont répondu aux questionnaires. La collecte a été réalisée sur questionnaire papier, en entretien face-à-face en décembre 2015. Les données ont été ensuite saisies et contrôlées sur le logiciel EpiData, avant d’être nettoyées sur le logiciel Stata. Les données sont disponibles sur le lien doi: 10.18167/DVN1/LWT7BG.
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Havard, Michel, A. Fall et Aboubakar Njoya. « La traction animale au coeur des stratégies des exploitations agricoles familiales en Afrique subsaharienne ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no 3-4 (1 mars 2004) : 183. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9889.

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Résumé :
Cet article fait une analyse comparative de trois situations contrastées d’utilisation de la traction animale : le bassin arachidier du Sénégal, le Nord-Cameroun et l’est du Burkina Faso. L’objectif est de caractériser les dynamiques de la traction animale dans les exploitations agricoles. Dans chaque situation, les données, collectées selon des méthodes et outils spécifiques et avec la collaboration de partenaires différents, n’ont pas permis de faire systématiquement des comparaisons entre les trois pays. Dans tous les cas, cette analyse montre que l’appropriation de la traction animale dans l’exploitation est un processus souvent difficile et progressif. La première étape est l’acquisition d’un attelage pouvant demander des années d’efforts. Elle engendre d’importantes transformations dans le fonctionnement du système de production de l’agriculteur qui doit chercher à équilibrer le disponible en force de traction, en surface agricole et en main-d’oeuvre. La traction animale favorise l’extension des superficies cultivées et renforce l’intégration agriculture élevage. Elle modifie l’organisation et la répartition du travail, et elle est source d’augmentation et de diversification des revenus. Enfin, elle créée de nouvelles tâches, comme l’élevage d’animaux de trait qui engendre des dépenses supplémentaires. A l’échelle des exploitations agricoles, les analyses font ressortir la variété des trajectoires d’équipements et donc la diversité des stratégies des agriculteurs pour accéder à la traction animale, puis la conserver. Elles confirment aussi le rôle pivot de la traction animale dans leur cycle de vie. A l’échelle du village, elles montrent le rôle déterminant des échanges de travail et de terre entre les exploitations dans le processus d’appropriation de la traction animale. Ce processus, qui doit encore être accompagné, est avancé dans le bassin arachidier, et il est en cours dans l’est du Burkina Faso et au Nord-Cameroun. Les priorités sont l’acquisition des attelages pour les exploitations non équipées à l’est du Burkina Faso et au Cameroun, et la reproductibilité des exploitations équipées (diversification des activités, maîtrise de la technique, innovations endogènes) dans toutes les situations étudiées, et particulièrement au Sénégal.
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Osman, M., I. Daoud, S. Melak, E. Salah, Y. Hafez, A. Haggah, A. Aboul Naga, V. Alary et Jean-François Tourrand. « Animal husbandry complexity in the crop-livestock farming systems of the New Reclaimed Lands in Egypt ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, no 4 (2 octobre 2015) : 201. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.20562.

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Résumé :
Les New Reclaimed Lands (NRL, Egypte) sont les terres désertiques entourant le delta du Nil aménagées au cours du dernier demi-siècle pour le développement de l’agriculture irriguée. Elles ont été peuplées par des migrants d’origines diverses, dont d’anciens étudiants et des paysans sans terre en provenance des zones à haute densité démographique du delta et de la vallée du Nil. La littérature aborde peu la production agricole familiale des NRL, en particulier leur composante animale, les pratiques d’élevage, l’intégration agriculture-élevage, leurs performances et leur diversité. Le projet CLIMED vise à produire des données sur ces thèmes pour décrire et mieux comprendre les systèmes agriculture- élevage des NRL, évaluer leurs performances et dynamiques dans le contexte égyptien et méditerranéen actuel, ainsi que définir les priorités en termes de recherche et de politique de développement. Les auteurs décrivent les systèmes agricoles à partir des données collectées au cours d’un suivi mensuel d’exploitations sur une année sur un échantillon de treize fermes dans trois zones sélectionnées à partir d’une vaste enquête menée sur 160 exploitations dans quatre zones. Le suivi montre la grande complexité de ces systèmes pour les trois raisons principales suivantes : la multifonctionnalité de l’élevage, la forte dépendance de l’élevage vis-à-vis des aliments produits sur l’exploitation, et les facteurs sociaux en particulier la gestion des compétences et du travail à l’échelle de l’exploitation. Directement lié à cette complexité, le suivi montre l’énorme enjeu des services de développement face aux incertitudes du marché, au faible accès à la terre, aux contraintes futures sur l’eau, de même que la faible attractivité de l’agriculture pour les jeunes.
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