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ATTYE, Arnaud, Félix Renard, Pierrick Coupé, Sylvie Grand, Alexandre Krainik, Franck Durif, Ana Marques et Fernando Calamante. « Détection de la maladie de parkinson précoce à l'aide d'une technique d'intelligence artificielle explicable ». Journal of Neuroradiology 49, no 2 (mars 2022) : 141–42. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurad.2022.01.045.

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2

Depairon, Michèle, Daniel Hayoz et Roger Darioli. « Détection précoce de la maladie athéroscléreuse ». Revue Médicale Suisse 2, no 51 (2006) : 330–36. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2006.2.51.0330.

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3

Hazart, Doriane, Malvyne Rolli-Derkinderen, Brigitte Delhomme, Pascal Derkinderen, Martin Oheim et Clément Ricard. « L’intestin, lanceur d’alerte, dans les prémices de la maladie de Parkinson ». médecine/sciences 40, no 6-7 (juin 2024) : 544–49. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2024082.

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Résumé :
Le système nerveux entérique (SNE), souvent qualifié de « deuxième cerveau », joue un rôle crucial dans la régulation des fonctions digestives. Des dysfonctionnements du SNE sont associés à diverses maladies telles que la maladie de Parkinson. Des études récentes suggèrent que les troubles digestifs précoces, notamment la constipation chronique, pourraient être des signes avant-coureurs de cette maladie neurodégénérative. L’imagerie tridimensionnelle du SNE offre de nouvelles perspectives pour un diagnostic précoce via notamment l’analyse de biopsies intestinales. Ce nouvel axe de recherche soulève des questions sur l’origine intestinale de la maladie de Parkinson et ouvre la porte à une meilleure compréhension et une prise en charge anticipée de cette maladie.
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4

Braune. « Vegetative Störungen beim idiopathischen Parkinsonsyndrom : diagnostische Relevanz und therapeutische Möglichkeiten ». Praxis 91, no 10 (1 mars 2002) : 402–6. http://dx.doi.org/10.1024/0369-8394.91.10.402.

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Résumé :
La participation du système nerveux autonome dans la maladie de Parkinson est un exemple du caractère multisystémique qui dépasse le système extrapyramidal de cette maladie. Les symptômes qui sont provoqués par celle-ci apparaissent chez 40 à 60% des patients et provoquent une diminution importante de la qualité de vie. La cause en est principalement une lésion postganglionnaire du système nerveux autonome. La scintigraphie avec metaiodebenzylguanidine (MIBG) met en évidence une atteinte précoce du système nerveux et peut être utilisée pour le diagnostic différentiel entre la maladie de Parkinson et d'autres maladies neurodégénératives déjà durant la phase précoce. Cet examen a une sensibilité d'au moins 89.7% et une spécificité de 94.6% pour la différentiation d'une atrophie multisystémique. Un symptôme trop souvent négligé d'une insuffisance autonome est l'hypotension orthostatique. La vérification du diagnostic et l'investigation des causes peuvent être effectuées avec des méthodes cliniques simples; des options physiothérapeutiques et médicamenteuses sont à disposition pour le traitement.
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Schuster, J. P. « Dépression et maladie de Parkinson ». European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014) : 577–78. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.274.

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Résumé :
La maladie de Parkinson a longtemps été considérée comme un trouble neurodégénératif d’expression motrice pure. Il est à ce jour établi que la triade symptomatique « hypertonie extrapyramidale-tremblement- akinésie » ne peut résumer la complexité du trouble. Parmi les troubles psychiatriques comorbides à la maladie de Parkinson, la dépression est probablement la plus importante en termes de fréquence et d’impact. La prévalence de la dépression est particulièrement élevée, estimée à environ 40 %. Les symptômes dépressifs peuvent être évidents et même précéder les troubles moteurs de la maladie, cependant, le diagnostic d’épisode dépressif est le plus souvent complexe, en raison d’un chevauchement symptomatique des deux troubles. Pouvant inaugurer la maladie de Parkinson ou survenir plus tardivement, la dépression a un retentissement majeur sur l’autonomie fonctionnelle et la qualité de vie des patients. Il existe par ailleurs un lien entre dépression et troubles cognitifs chez les sujets atteints de maladie de Parkinson. La prise en charge de l’épisode dépressif majeur chez un patient présentant une maladie de Parkinson ne fait pas l’objet de recommandation. Les essais cliniques randomisés réalisés sont, à ce jour, trop peu nombreux et les résultats très hétérogènes. La dépression comorbide à la maladie de Parkinson de part sa fréquence et son impact, nécessite un repérage et une prise en charge spécifique et précoce.
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Manus, Jean-Marie. « Essai du lixisénatide dans la maladie de Parkinson précoce ». Revue Francophone des Laboratoires 2024, no 564 (juillet 2024) : 10. http://dx.doi.org/10.1016/s1773-035x(24)00241-7.

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Benmahdjoub, Mustapha, Selma Kesraoui, Sofiane Bouchetara, Abderrezak Bouamra et Mohamed Arezki. « Aspects épidémiologiques de la maladie de Parkinson précoce en Algérie ». Revue Neurologique 178 (avril 2022) : S14. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2022.02.150.

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Jacquot, L. « Olfaction et troubles cognitifs. Application aux pathologies neurodégénératives ». European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015) : S31. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.093.

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Résumé :
Il est maintenant clairement établi que de nombreuses maladies neurodégénératives, en particulier la maladie de Parkinson et la maladie d’Alzheimer, sont associées à des troubles olfactifs qui peuvent même précéder l’apparition des symptômes moteurs ou cognitifs. Décrits pour la première fois il y a près de quatre décennies [1,2], les déficits de l’olfaction dans ces pathologies ont depuis fait l’objet de nombreuses études qui mettent notamment en avant leur importante prévalence (autour de 95 % pour la maladie de Parkinson ) et leur apparition dans les stades précoces de la maladie . Des travaux récents soulignent ainsi l’intérêt de l’évaluation clinique des déficiences olfactives dans l’établissement du diagnostic précoce ou différentiel. L’objectif de cette présentation est de faire une synthèse de l’état des connaissances sur les déficits olfactifs dans les pathologies neurodégénératives et, en particulier, dans la maladie de Parkinson. La première partie de l’exposé abordera de façon générale les troubles de l’olfaction, leurs étiologies les plus fréquentes et présentera les différents tests permettant l’examen des fonctions olfactives. La deuxième partie portera plus spécifiquement sur la nature et la physiopathologie des altérations olfactives dans la maladie de Parkinson et sur les analogies et les différences avec d’autres pathologies neurodégénératives, notamment la maladie d’Alzheimer. Enfin, une dernière partie présentera les résultats de quelques études récentes montrant les effets bénéfiques potentiels de l’entraînement olfactif sur la récupération de certaines fonctions olfactives.
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Villani, Riccardo, Astrid Roosendaal, Pauline Hämmerli et Christophe E. Iselin. « PSA et IRM : comment s’en servir de façon raisonnable pour la détection du cancer de la prostate ». Urologie in der Praxis 22, no 4 (16 novembre 2020) : 153–59. http://dx.doi.org/10.1007/s41973-020-00118-7.

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Résumé :
RésuméLe cancer de la prostate est la deuxième tumeur la plus fréquemment diagnostiquée chez les hommes. Elle est responsable d’un impact significatif sur la mortalité ou la qualité de vie des patients, mais, contrairement à d’autres tumeurs, est parfois une maladie à lente progression.Une détection précoce avec dosage de lʼantigène prostatique spécifique (PSA) et un toucher rectal doit être proposé à tout sujet masculin bien informé sur ses conséquences.Le double but du dépistage est de diagnostiquer les cancers potentiellement mortels ou causant une morbidité importante, tout évitant la mise en place d’investigations et traitements agressifs pour des maladies de bas grade, surtout chez les patients âgés.Le PSA est un marqueur sensible mais non spécifique et son dosage doit être accompagné d’un contexte clinique précis, pour éviter la réalisation de biopsies superflues.Lʼimagerie par résonance magnétique multiparamétrique est un examen essentiel avant l’éventuelle réalisation d’une biopsie ainsi que pour la stadification et le suivi du cancer de la prostate (CaP).Des nouveaux biomarqueurs plus spécifiques sont attendus de longue date pour améliorer la détection précoce du CaP.
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Delaby, Constance, et Sylvain Lehmann. « Vers un diagnostic biologique sanguin de la maladie d’Alzheimer ? » médecine/sciences 40, no 4 (avril 2024) : 351–60. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2024037.

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Résumé :
Le nombre croissant de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer (MA) représente un problème majeur de santé publique. Le diagnostic de la MA est multidisciplinaire et intègre des marqueurs biologiques dosés dans le liquide cérébrospinal1. Les progrès techniques et analytiques récents permettent de disposer désormais de nouveaux biomarqueurs sanguins prometteurs pour la détection précoce et peu invasive de la MA, mais aussi pour le diagnostic différentiel de la démence et pour le suivi des patients. L’objectif de cette synthèse est de fournir une vue d’ensemble des biomarqueurs sanguins actuels et candidats de la MA, de leur valeur informative et de leur potentiel à être intégrés prochainement à la pratique clinique.
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Awadalla, Hala Ibrahim, Mostafa Hassan Ragab et Samia Ali Temtamy. « Biomarqueurs Cytogénétiques et Déterminant Environnemental pour la Détection Précoce de la Maladie d’Alzheimer ». Middle East Journal of Age and Ageing 15, no 2 (juillet 2018) : 56. http://dx.doi.org/10.5742/mejaa.2018.93408.

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Czernecki, Virginie. « La cognition sociale, une atteinte précoce dans la maladie de Parkinson ». Ortho Magazine 29, no 169 (novembre 2023) : 17–20. https://doi.org/10.1016/s1262-4586(23)00135-8.

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David, R. « Avoir du nez ! Intérêt de l’olfaction dans l’évaluation et la prise en charge des troubles cognitifs et comportementaux dans les pathologies neuropsychiatriques ». European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015) : S31. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.091.

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Résumé :
Les déficits de l’olfaction sont de plus en plus mis en évidence dans les pathologies psychiatriques (troubles bipolaires) comme dans les pathologies neurologiques et dégénératives (maladie de Parkinson, maladie d’Alzheimer). Ils peuvent constituer un marqueur de vulnérabilité et de dépistage précoce pour certaines de ces pathologies, mais ils peuvent aussi constituer une alternative prometteuse dans la prise en charge non pharmacologique de certaines perturbations émotionnelles et comportementales (anxiété, dépression, troubles du sommeil…), ainsi que de certains déficits cognitifs et mnésiques dans le spectre des pathologies neuropsychiatriques. L’objectif de ce symposium est tout d’abord de présenter les bases neurobiologiques de l’olfaction et de ses déficits, puis d’aborder l’intérêt du dépistage précoce des déficits de l’olfaction dans les pathologies neuropsychiatriques ainsi que les modalités thérapeutiques de la stimulation sensorielle olfactive en lien avec le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication.
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Krebs, M. O. « Signes précoces des schizophrénies : des prodromes à la notion de prévention ». European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015) : S76. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.348.

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Résumé :
Les troubles schizophréniques, qui débutent chez l’adolescent et l’adulte jeune, représentent à eux seuls la 3e cause de handicap, devant les pathologies somatiques. Cet ouvrage synthétise les connaissances actuelles sur les phases précoces des troubles schizophréniques. Il décrit les différents symptômes évocateurs, les frontières avec d’autres troubles du développement et les outils pour les explorer. Il présente une revue des anomalies biologiques, cognitives, et cérébrales associées aux phases précoces de la maladie et les modèles de compréhension de l’émergence des troubles, en lien avec les processus de maturation cérébrale à l’adolescence. Enfin, il détaille les modalités de prises en charge thérapeutique et discute des enjeux de la détection précoce et la rupture que constitue l’introduction de la notion de stade évolutif de la maladie, d’état mental à risque et de prévention des psychoses.
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Dufournet, Boris, Karine Nguyen, Nicole Philip, Alexandre Eusebio, Frédérique Fluchere, Chantal Missirian et Jean-Philippe Azulay. « Microdélétion 22q11.2 : une cause génétique à rechercher devant une maladie de Parkinson précoce ». Revue Neurologique 171 (avril 2015) : A207. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2015.01.471.

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Gorse, Marine, Charline Bianchi et Charlotte Proudhon. « Épigénétique et cancer ». médecine/sciences 40, no 12 (décembre 2024) : 925–34. https://doi.org/10.1051/medsci/2024180.

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Résumé :
Les altérations des profils de méthylation de l’ADN sont retrouvées dans les cellules cancéreuses, combinant une hypométhylation globale du génome avec une hyperméthylation de régions spécifiques, telles que les îlots CpG, normalement non méthylés. Des effets moteurs dans le développement du cancer ont été associés à certaines régions modifiées par la méthylation de l’ADN, induisant par exemple la répression de gènes suppresseurs de tumeur ou l’activation d’oncogènes et de rétrotransposons. Ces altérations représentent des candidats de premier plan pour le développement de marqueurs spécifiques pour la détection, le diagnostic et le pronostic du cancer. En particulier, ces marqueurs, distribués le long du génome, représentent une mine d’informations qui offre des perspectives d’innovation en biopsie liquide, notamment grâce à l’émergence de l’intelligence artificielle à visée diagnostique. Ceci pourrait lever les verrous liés aux sensibilités et spécificités qui restent encore limitées pour les applications les plus difficiles en oncologie : la détection des cancers à un stade précoce, le suivi de la maladie résiduelle et l’analyse des tumeurs cérébrales. Le ciblage des processus enzymatiques qui contrôlent l’épigénome offrent en outre de nouvelles stratégies thérapeutiques qui pourraient remédier aux anomalies de régulation de ces épigénomes altérés.
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Roland, Virginie, Véronique Delvaux, Myriam Piccaluga, Clémence Verhaegen et Kathy Huet. « L’évaluation de la dysarthrie comme outil d’aide au diagnostic précoce dans la maladie de Parkinson ». Revue Neurologique 179 (avril 2023) : S198. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2023.02.057.

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Danel Buhl, N., C. Moreau, C. Robin-Plumart, B. Seignez-Dartois, F. Niset, D. Seguy et L. Defebvre. « P195 : Étude prospective des troubles de la déglutition au stade précoce de la maladie de Parkinson ». Nutrition Clinique et Métabolisme 28 (décembre 2014) : S170. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(14)70837-4.

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GOCKO, X. « DALI ». EXERCER 31, no 168 (1 décembre 2020) : 435. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2020.168.435.

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Résumé :
En 1817, le médecin anglais James Parkinson publie « An essay on the shaking palsy ». L’observation de six patients âgés de plus de 50 ans lui permet de répertorier les symptômes de cette « paralysis agitans » (paralysie agitante). Les différents symptômes avaient déjà été décrits, mais jamais réunis dans une seule et nouvelle entité nosologique. En 1868, Armand Trousseau ajoute la marche festinante à ces symptômes, et en 1872 le neurologue Jean-Martin Charcot ajoute la rigidité. Le futur créateur des Archives de neurologie baptise cette entité nosologique maladie de Parkinson. Par la suite, le processus lésionnel est décrit dans le locus niger (1919), l’effondrement du neurotransmetteur dopamine dans les années 1960, et de ses récepteurs à partir des années 1970. L’article de Bayen, et al. « Pas à pas » nous rappelle que la maladie de Parkinson comporte bien d’autres signes cliniques que les tremblements1. Ces autres signes peuvent nous aider à réaliser un diagnostic plus précoce et à avoir une prise en charge plus adaptée. Notre spécialité est une spécialité clinique : face à une toux, nous recherchons des signes pulmonaires, d’autres réalisent une tomodensitométrie, et en ce moment la couplent avec un test PCR COVID-19. Cette démarche clinique ne nous empêche pas d’être curieux et de lire, avec intérêt et sourire, les travaux publiés en 2017 par Forsythe, et al.2. D’après ces travaux, l’analyse fractale (technique d’imagerie numérique analysant la complexité) des toiles de peintres atteints de maladie de Parkinson permettrait de diagnostiquer plus précocement ces maladies. Ainsi le diagnostic chez Salvator Dali pouvait être fait à 38 ans, alors que sa main n’a tremblé qu’à 76 ans. Toujours dans « Pas à pas », Bayen, et al. prennent soin des patients atteints de maladie de Parkinson. Ils rappellent l’importance et la complexité de l’annonce du diagnostic, l’importance de l’autonomie, et l’importance des aidants. Ils évaluent la balance bénéfice-risque des différents traitements. Ils nous guident pour coordonner les soins au mieux. Dans un deuxième article, Debuyser, et al. nous présentent l’avis des patients atteints de maladie de Parkinson sur la télé-expertise3. Leurs avis s’éloignent des mirages actuels de la téléconsultation qui, faut-il le rappeler ?, ne permet pas d’ausculter les poumons. Ces patients sont prêts à l’utiliser, même si elle ne remplace pas une consultation présentielle, si elle permet de diminuer les délais de consultation d’un neurologue. Si Salvator Dali consultait en médecine générale, son médecin traitant l’observerait, à l’instar de Parkinson pour les tremblements et de Trousseau pour sa marche. Ce médecin rechercherait de la rigidité comme Charcot. Il évaluerait l’impact de ces symptômes sur le travail du maître, et sur ses loisirs, comme les échecs. Il évaluerait aussi le retentissement psychique de ces symptômes. Il annoncerait le diagnostic et l’histoire naturelle de la maladie au maître, mais en prenant en compte ce que ce patient veut savoir à ce moment donné de la maladie. Ce médecin de famille pourrait s’appuyer, avec l’accord du maître, sur l’entourage du patient et en particulier sur Gala. Après avis du maître, il coordonnerait les soins et organiserait le suivi, avec peut-être un premier avis neurologique en télé-expertise du fait des délais, en attendant mieux. Salvator Dali le remercierait probablement pour son écoute et son engagement. Et si Salvator Dali avait été dépisté à 38 ans par analyse fractale ? Son diagnostic de syndrome extrapyramidal lui aurait-il permis de peindre « Les pyramides et le sphinx de Gizeh » en 1954 ? Seule une intelligence artificielle semble capable de répondre à cette question.
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Jacquet, Clémence, Caroline Moreau, Odile Pennel, Nicolas Danel Buhl, Luc Defebvre, Arnaud Delval et Alain Destee. « Étude prospective de la dysarthrie et de la déglutition au stade précoce de la maladie de Parkinson ». Revue Neurologique 168 (avril 2012) : A109. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2012.01.279.

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Cesaro, P., et L. Defebvre. « Traitement médicamenteux de la maladie de Parkinson à la phase précoce (de novo et « lune de miel ») ». Revue Neurologique 170, no 4 (avril 2014) : 237–46. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2013.10.015.

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Rees, Erin E., Rachel Rodin et Nicholas H. Ogden. « Approche de surveillance de la population afin de détecter les nouveaux agrégats de cas de COVID-19 et y répondre ». Relevé des maladies transmissibles au Canada 47, no 56 (9 juin 2021) : 266–74. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v47i56a01f.

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Résumé :
Contexte : Pour maintenir le contrôle de l’épidémie de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) lorsque les mesures de confinement seront levées, il sera essentiel de renforcer les mesures de santé publique alternatives. En ce qui concerne la surveillance, il sera nécessaire de détecter rapidement une grande proportion de tous nouveaux cas afin de pouvoir les isoler, et retrouver et mettre en quarantaine les personnes qui y ont été exposées. Nous présentons ici une approche mathématique qui peut être utilisée pour déterminer combien d’échantillons doivent être recueillis par unité de surface et par unité de temps pour détecter de nouveaux agrégats de cas de COVID-19 à un stade suffisamment précoce pour contrôler une éclosion. Méthodes : Nous présentons une méthode de détermination de la taille de l’échantillon qui utilise une approche de pondération relative. Compte tenu du fait que les résultats du test de diagnostic de la COVID-19 provenant de sous-populations ont contribué à détecter la maladie à un niveau de prévalence seuil pour contrôler l’éclosion, il s’agissait de 1) déterminer si le nombre prévu d’échantillons hebdomadaires fournis par la surveillance actuelle des infections virales respiratoires fondée sur les soins de santé peut fournir une taille d’échantillon déjà adéquate pour détecter de nouveaux agrégats de cas de COVID-19 et, dans le cas contraire, 2) de déterminer combien d’échantillons hebdomadaires supplémentaires étaient nécessaires à partir d’un échantillonnage volontaire. Résultats : Lors d’une démonstration de notre méthode à une fréquence hebdomadaire et à l’échelle des provinces et territoires canadiens, nous avons constaté que seuls les provinces et les territoires les plus peuplés disposaient d’un nombre suffisant de dépistages provenant des visites médicales en raison de maladies respiratoires pour détecter la COVID-19 à notre niveau de prévalence cible — qui doit être suffisamment élevé pour identifier et contrôler les nouveaux agrégats de cas. En outre, la détection de la COVID-19 est plus efficace (moins d’échantillons requis) lorsque la surveillance se concentre sur l’exigence de tests de dépistage de patients symptomatiques par les services des soins de santé. Dans les populations volontaires : plus les taux de contact sont élevés, plus le niveau de prévalence attendu est élevé, et moins il faut d’échantillons pour détecter la COVID-19 à un seuil prédéterminé. Conclusion : Cette étude présente une stratégie de surveillance ciblée, combinant des échantillons de surveillance passive et active, afin de déterminer le nombre d’échantillons à recueillir par unité de surface et par unité de temps pour détecter de nouveaux agrégats de cas de COVID-19. L’objectif de cette stratégie est de permettre une détection suffisamment précoce pour contrôler une éclosion.
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Lamy, Florian, Ouhaid Lagha-Boukbiza, Clélie Philipps, Nadine Longato, Jimmy Voirin, Mathieu Anheim et Christine Tranchant. « Évaluation précoce des comportements hyperdopaminergiques dans la maladie de Parkinson après stimulation cérébrale profonde : description et facteurs prédictifs ». Revue Neurologique 177 (avril 2021) : S21. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2021.02.124.

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Damier, Ph, L. Barbin, P. Sauleau, C. Magne et Y. Pereon. « Existe-t-il des mécanismes de compensation cortico-sous-corticaux au stade précoce de la maladie de Parkinson ? » Revue Neurologique 161, no 1 (janvier 2005) : 11–12. http://dx.doi.org/10.1016/s0035-3787(05)85004-0.

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Piallat, B., A. Davin, S. Chabardes, H. Belaid, L. Liu, S. Michallat et O. David. « Caractérisation de la somnolence diurne survenant en phase précoce de maladie de Parkinson chez le primate non humain ». Médecine du Sommeil 15, no 1 (mars 2018) : 43. http://dx.doi.org/10.1016/j.msom.2018.01.113.

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Hache, G., M. Fall, C. Magnaudet, P. Rossi, E. Benchetrit, S. Grimaldi, A. Eusebio, T. Witjas, J. P. Azulay et F. Fluchere. « Autonomisation précoce des patients atteints de la maladie de Parkinson nécessitant la mise en place d’une pompe à apomorphine ». Pratique Neurologique - FMC 11, no 4 (décembre 2020) : 270–75. http://dx.doi.org/10.1016/j.praneu.2020.06.002.

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Azulay, J. P., F. Durif, R. Rogez, C. Tranchant, I. Bourdeix et K. Rerat. « Étude Précoce : évaluation d’un autoquestionnaire de dépistage et prise en charge précoces des fluctuations dans la maladie de Parkinson ». Revue Neurologique 164, no 4 (avril 2008) : 354–62. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2008.01.003.

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Topie, Emmanuel, et Anne Gogny. « Conduite à tenir face à un chien ou un chat atteint ou suspect d'être atteint par une maladie transmissible ». Le Nouveau Praticien Vétérinaire canine & ; féline 18, no 80 (2021) : 11–17. http://dx.doi.org/10.1051/npvcafe/80011.

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Résumé :
La prise en charge des animaux contagieux, ou suspects de l’être, suit des procédures définies et écrites adaptées à la structure vétérinaire. La première barrière à l’introduction d’un germe contagieux dans une structure de soins est une application quotidienne stricte quel que soit l’animal des mesures d’hygiène de base, que ce soit pour l’hygiène des mains, des locaux, des surfaces et du matériel. L’animal suspect ou confirmé contagieux est orienté dès son arrivé dans la structure, ou à défaut le plus tôt possible dès la détection du problème, vers le circuit pour animaux contagieux. La confirmation d’une infection par un agent infectieux transmissible est à effectuer le plus tôt possible. Une information claire, visible et précoce du personnel en charge de l’animal sur l’agent infectieux suspecté doit être donnée. En cas d’identification tardive, après circulation dans les locaux, d’un animal contagieux, il est nécessaire de retracer son parcours (locaux, matériel, personnel, ...) afin de pouvoir mettre en place les mesures de nettoyage et de désinfection adaptées. Que ce soit en consultation, en hospitalisation ou lors de la réalisation d’examens complémentaires, un isolement spatial ou temporel par rapport aux autres individus sensibles à la maladie concernée est nécessaire. Le personnel dédié aux soins est limité au strict nécessaire. L’utilisation d’un matériel jetable, ou à défaut facilement nettoyé et désinfecté, est préconisée. La gestion des déchets et excrétas suit la même logique en évitant dans la mesure du possible la contamination de l’extérieur des contenants afin de ne pas disséminer l’agent pathogène lors du transport de ces déchets.
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AUXÉMÉRY, Y., J. BABAI, C. CARNIO et G. FIDELLE. « Mode d’entrée dans une schizophrénie : illustration en milieu militaire ». Médecine et Armées Vol. 40 No. 2, Volume 40, Numéro 2 (1 avril 2012) : 121–28. http://dx.doi.org/10.17184/eac.6599.

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Résumé :
Dans le cas d’une schizophrénie débutante à mécanisme d’entrée progressif, un patient peut rester sans soin, dissocié et délirant à bas bruit pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois, avant que la pathologie ne soit reconnue. Ce temps de latence diagnostique est problématique car certains sujets en souffrance tardent à bénéficier d'un traitement adapté ce qui grève de manière importante le pronostic de l’affection. Le médecin généraliste de l’unité est en première ligne dans cette phase de détection précoce : la mise en évidence de symptômes prodromiques et psychotiques repose exclusivement sur l'entretien clinique. Nous nous proposons dans ce travail de décrire les indices d’alerte qui ont été utiles au médecin d’unité pour reconnaître précocement l’entrée d’un patient militaire dans la maladie schizophrénique. La population étudiée intéresse trente sujets militaires âgés de 19 à 30 ans recrutés sur cinq années consécutives, adressés par les médecins d’unité au service de psychiatrie d’un hôpital d’instruction des armées pour orientation thérapeutique devant une schizophrénie débutante. Il s’agit principalement de jeunes patients célibataires âgés de 22 à 26 ans présentant des antécédents psychiatriques personnels ou familiaux. Militaires du rang en majorité, ils intègrent plus souvent une unité opérationnelle de l’armée de Terre. La décompensation survient régulièrement dans les deux premières années d’engagement, parfois en lien avec une opération extérieure récente. Les signes prodromiques d’alerte sont dominés par les troubles du comportement, les premiers à être remarqués devant les manifestations délirantes et les éléments dépressifs. Lors de l’entrée dans la phase psychotique, les symptômes positifs sont les plus faciles à repérer et sont surtout dominés par les troubles du cours de la pensée et de la logique (hermétisme, bizarrerie, rationalisme morbide…) ainsi que par les idées délirantes de persécution. Plusieurs formes cliniques d'entrée dans la maladie schizophrénique ont été décrites dans ce travail, ce qui illustre la richesse des tableaux psychopathologiques rencontrés mais également la difficulté d'un tel repérage.
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Somé, OR, A. Dembélé, V. Konségré, H. Belemlilga, N. Yabré, N. Keita, C. Zaré et S. Ouattara. « C101 : Place de la chirurgie dans la prise en charge du cancer du sein au CHU Sourô Sanou à Bobo Dioulasso ». African Journal of Oncology 2, no 1 Supplement (1 mars 2022) : S42—S43. http://dx.doi.org/10.54266/ajo.2.1s.c101.lzzp3550.

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Résumé :
INTRODUCTION : Décrire les résultats de la chirurgie dans la prise en charge des cancers du sein. MATERIELS ET METHODES : Il s’est agi d’une étude descriptive transversale du 31 Juillet 2015 au 31 Mai 2020 au CHU Sourô Sanou à Bobo Dioulasso. Elle a porté sur 368 cas de cancer du sein dont huit chez l’homme. L’âge moyen était de 46,6 (15 – 90) ± 12,1 ans. La tumeur était T4 dans 77% (n=283). Les stades III et IV représentaient respectivement un effectif de 149 (40,5%) et 134 (36,4%) patients. On notait un cancer triple négatif dans 53% (18/34). Les données sur la chirurgie ont été étudiées. RESULTATS : Deux cent trois patients (55%) avaient été opérés. Les lésions étaient non résécables dans 81 cas (22%). On répertoriait 84 patients perdus de vue (23%). La chirurgie curative a été réalisée chez 138 patients (37,5%). Parmi eux, 84% (116/138) avaient réalisé une chimiothérapie néoadjuvante. La chirurgie a été conservatrice avec plastie et curage axillaire chez 12 patientes (3,7%) et radicale type mastectomie selon Madden chez 128 patients (34,2%). Le nombre moyen de ganglions ramenés était de 11 avec des extrêmes allant de trois à 29. La mastectomie de propreté avait été réalisée chez 65 (17,7%) patients. La morbidité était de 30% (cœlome, suppuration, retard de cicatrisation). La survie à un an était de 50%. Cette survie était liée au stade de la maladie avec une différence statistiquement significative (p=0,00074). CONCLUSION : Le stade localement avancé et le coût élevé de la chimiothérapie réduisent les indications de la chirurgie pour cancer du sein. Les résultats oncologiques du traitement conservateur et radical sont encourageants et devraient inciter à promouvoir la détection précoce.
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Louis, M. H., C. Meyer, V. Legrain et A. Berquin. « Facteurs pronostiques précoces dans le syndrome douloureux régional complexe : une revue systématique ». Douleur et Analgésie 36, no 3 (septembre 2023) : 133–47. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2022-0267.

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Résumé :
Contexte et objectif : Plusieurs facteurs de risque associés à l’apparition d’un SDRC ont été découverts, mais les preuves scientifiques concernant les facteurs pronostiques associés à la progression de cette pathologie restent rares. Toutefois, la détection et la prise en charge de ces facteurs sont nécessaires pour élaborer des stratégies de prévention secondaire. L’objectif de cette revue systématique était d’identifier les facteurs pronostiques chez les adultes souffrant d’un SDRC précoce. Base de données et traitement des données : PubMed, Embase, PsycINFO, Cochrane Library et Scopus, publiées entre janvier 1990 et novembre 2021. Deux investigateurs indépendants ont sélectionné les études transversales et longitudinales s’intéressant aux facteurs pronostiques précoces (< 12 semaines après l’apparition de la maladie) de la douleur, du score de sévérité du SDRC, de l’incapacité fonctionnelle, du retour au travail ou de la qualité de vie. L’outil QUIPS (Quality In Prognostic Studies) a été utilisé pour évaluer le risque de biais. Une métasynthèse qualitative a été réalisée. Résultats : Sur 4 652 articles différents, six études répondaient aux critères d’inclusion. Nous avons identifié 21 facteurs précoces associés à un pronostic défavorable dans le SDRC de type I. Six d’entre eux présentaient un niveau de preuves modéré : intensité de la douleur, incapacité fonctionnelle, anxiété, peur du mouvement (kinésiophobie), sexe féminin et intensité du traumatisme physique déclencheur. Seules deux études présentaient un risque de biais globalement faible. Conclusions : Cette étude a révélé un manque important d’informations sur les facteurs pronostiques précoces dans le SDRC. Un seul article s’est intéressé au lien entre le risque de chronicité et les caractéristiques psychologiques. Il est indispensable de réaliser des études de plus grande envergure, avec une population bien définie et des mesures validées.
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Hanon, C. « EPA - Le projet mPIVAS : l’EPA s’engage avec les jeunes psychiatres dans la santé sur smartphone ! » European Psychiatry 29, S3 (novembre 2014) : 671–72. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.075.

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Résumé :
Les antipsychotiques ont largement montré leur efficacité dans le traitement pharmacologique du trouble bipolaire et de la schizophrénie. Cependant, ils sont associés à des effets secondaires qui peuvent affecter la qualité et l’espérance de vie des patients [1]. Notamment, bien que la prise de poids constitue un des facteurs majeurs de non compliance au traitement, peu d’interventions visant à en limiter l’impact ont été évaluées [2]. De plus, le suivi de ces effets secondaires est peu fréquemment effectué de manière systématique et standardisée.Du fait d’une diminution de leur prix et de leur simplicité d’utilisation, les smartphones font partie du quotidien d’une majorité de patients, ce qui en fait un outil de choix pour le recueil de données de santé. Notamment, par une détection plus précoce, ou encore d’une prévention plus efficace, des économies substantielles pourraient être réalisées au niveau européen [3].Le projet mPIVAS (mHealth psychoeducational intervention versus antipsychotic-induced side effects), porté par l’Early Career Psychiatrists Committee de l’European Psychiatric Association (EPA-ECPC) a pour objectif d’utiliser la technologie des smartphones pour évaluer et diminuer la sévérité des effets secondaires des traitements antipsychotiques. PsyLog, une application smartphone spécialement dédiée pour ce projet, permet à tout moment au patient de renseigner le type et la sévérité des effets secondaires dont il souffre, et au clinicien d’accéder à ces données. Elle offre également des conseils d’hygiène de vie, des techniques de coping personnalisées, et des informations sur les traitements. Son efficacité va être évaluée par un projet de recherche clinique multicentrique, contrôlé et randomisé. L’ensemble du projet et l’application PsyLog ont pour but ultime de faciliter la communication entre patients et cliniciens, en offrant un support pour échanger sur la maladie, les traitements et leurs effets secondaires.
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Mejri, Selma. « Fièvre de la vallée du Rift en Tunisie : Synthèse sur la situation actuelle et perspectives ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 76 (13 avril 2023) : 1–7. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.36975.

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Résumé :
La fièvre de la vallée du Rift (FVR) est une infection zoonotique émergente infectant les humains et les ruminants. L’agent étiologique de cette infection est le virus de la FVR, un arbovirus transmis principalement par les piqûres de moustiques des genres Aedes et Culex. Durant les deux dernières décennies, des cas de FVR ont été rapportés dans des régions jusque-là indemnes et les épidémies sont devenues de plus en plus fréquentes. De par sa localisation stratégique dans le bassin méditerranéen, la Tunisie a de nombreux échanges avec les autres pays africains ainsi qu’avec l’Europe. L’analyse de la situation épidémiologique de la FVR dans ce pays pourrait aider à comprendre la situation globale de cette infection dans la région méditerranéenne et à élaborer des stratégies efficaces de surveillance à mettre en œuvre dans la région. Dans ce cadre et afin d’étudier l’état des lieux de la FVR en Tunisie, cette synthèse présente une analyse à partir de tous les articles scientifiques traitant de ce sujet dans le pays. La Tunisie est considérée comme à haut risque de propagation de la FVR en raison de sa localisation, de ses caractéristiques climatiques et environnementales, de l’abondance des vecteurs transmettant le virus de la FVR, et de la présence d’espèces animales à risque pour cette maladie. Ainsi, des mesures strictes doivent être prises afin de contrôler et de limiter toute émergence et propagation de la FVR. De telles mesures doivent inclure le contrôle des mouvements des animaux (particulièrement aux frontières), le contrôle des espèces vectrices du virus, et le perfectionnement des outils de diagnostic pour la détection précoce de tout cas suspect. L’implémentation d’une approche « Une seule santé » multidisciplinaire serait l’une des meilleures solutions pour faire face aux maladies zoonotiques à transmission vectorielle comme la FVR.
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Rego, Cécilia Alves Do, Izzie Namer, Christophe Marcel, Ouhaid Lagha Boukbiza, Mathilde Renaud, Christine Tranchant et Mathieu Anheim. « Intérêt de la scintigraphie myocardique au MIBG et du test à la clonidine pour distinguer la maladie de Parkinson de l’atrophie multi-systématisée à la phase précoce ». Revue Neurologique 173 (mars 2017) : S139. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2017.01.249.

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Marchand, Felix, Viard Romain, Jonas Wiedemann, Luc Defebvre, David Devos, Alexis Mathieu et Caroline Moreau. « Données préliminaires concernant une approche multimodale pour une caractérisation précoce de la maladie de Parkinson (MP) et de l’atrophie multisystématisée (AMS) : une étude prospective avec semelles connectées ». Revue Neurologique 179 (avril 2023) : S47. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2023.01.366.

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Coutu, Camille, Élisabeth Gaudreau, Lynette Israilian, Joëlle Latreille et Viviane Lavigne. « Acidocétose euglycémique attribuable aux inhibiteurs du cotransporteur sodium-glucose de type 2 : savoir la prévenir, la reconnaître et la traiter ». Pharmactuel 58, no 1 (28 mars 2025) : 22–30. https://doi.org/10.63209/2025.1549.

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Résumé :
Objectif : L’objectif du présent article est de discuter d’un effet indésirable rare, mais grave des inhibiteurs du cotransporteur sodium-glucose de type 2 (iSGLT2), soit l’acidocétose euglycémique. Nous passerons aussi en revue sa physiopathologie, sa détection, sa prise en charge et sa prévention. Sources des données et sélection des études : Une revue de la littérature scientifique publiée entre 2010 et 2024 dans des bases de données telles que PubMed et Google Scholar a été effectuée en utilisant et en reliant des mots clés comme diabetic ketoacidosis, diagnosis, euglycemic ketoacidosis, iSGLT2, management, non-diabetic ketoacidosis, normoglycemic ketoacidosis, prevention, SGLT2 inhibitors, sodium-glucose cotransporter-2 inhibitors. Revue du sujet traité : L’acidocétose euglycémique présente un défi diagnostique. De multiples facteurs précipitants associés à l’état de santé, aux habitudes de vie et à la prise concomitante de certains médicaments peuvent prédisposer au développement d’une acidocétose euglycémique. Le traitement hospitalier de l’acidocétose euglycémique repose sur trois axes principaux, soit la réplétion liquidienne, la correction de l’acidocétose et la prévention des hypoglycémies. La surveillance des cétones pourrait permettre une détection précoce de l’acidocétose euglycémique en contexte post-opératoire. La gestion des jours de maladie est un élément crucial à discuter avec les patients pour prévenir les acidocétoses euglycémiques attribuables aux iSGLT2. Conclusion: Le pharmacien, qu’il pratique en milieu hospitalier ou communautaire, joue un rôle clé dans la prise en charge globale de l’acidocétose euglycémique liée aux iSGLT2. Summary Objective: To discuss euglycemic ketoacidosis, a rare, but serious adverse effect of sodium-glucose cotransporter-2 (SGLT-2) inhibitors. Pathophysiology and detection, management, and prevention strategies are also reviewed. Data sources and study selection: A review of the scientific literature published between 2010 and 2024 in databases such as PubMed and Google Scholar was conducted using and linking keywords such as diabetic ketoacidosis, diagnosis, euglycemic ketoacidosis, iSGLT2, management, non-diabetic ketoacidosis, normoglycemic ketoacidosis, prevention, SGLT2 inhibitors, sodium-glucose cotransporter-2 inhibitors. Subject review: Euglycemic ketoacidosis is a diagnostic challenge. Multiple precipitating factors associated with health status, lifestyle habits, and the concomitant use of certain medications may predispose patients to the development of euglycemic ketoacidosis. Hospital treatment is based on three main principles: fluid resuscitation, correction of ketoacidosis, and prevention of hypoglycemia. Ketone monitoring could enable early detection of euglycemic ketoacidosis in the postoperative setting. Management of medication during sick days is a crucial element to be discussed with patients to prevent euglycemic ketoacidosis secondary to SGLT-2 inhibitor use. Conclusion: The pharmacist, whether working in the hospital or community setting, plays a key role in the management of SGLT-2 inhibitor-related euglycemic ketoacidosis.
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Delolme, M., Bruno Pozzetto, Josselin Rigaill, Manon Lleres-Vadeboin, Paul Verhoeven, Florence Grattard, Rémi Labetoulle, S. Gonzalo, Thomas Bourlet et Tereza Spilioti. « Les tests de diagnostic virologique de la Covid-19 ». Revue de biologie médicale 359, no 2 (1 avril 2021) : 17–28. https://doi.org/10.3917/rbm.359.0017.

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Résumé :
L’infection Covid-19 a émergé soudainement dans la ville chinoise de Wuhan, en décembre 2019, et est devenue rapidement pandémique. Mi-janvier 2021, plus de 96 millions de cas confirmés sont survenus dans 218 pays ou territoires depuis son émergence un an auparavant, dont plus de 2 millions de cas mortels. Le virus responsable a été promptement identifié comme un nouveau coronavirus probablement issu d’un virus de chauve-souris, dénommé SARS-CoV-2, ce qui a permis de mettre au point des techniques permettant de le dépister. Le diagnostic repose principalement sur la détection du génome viral (ARN) dans les sécrétions respiratoires (prélèvements naso-pharyngés, à la phase précoce de la maladie, et respiratoires profonds, au stade de pneumonie) ; le résultat de l’analyse est disponible dans un délai de 1 à 4 heures selon la technique employée. Les tests détectant les protéines virales (antigéniques), apparus plus récemment, sont environ 1 000 fois moins sensibles, mais ils permettent un diagnostic de l’infection en 15 minutes. Le pic de l’infectiosité se situe entre le 2 e jour avant et le 4 e après le début des symptômes. Le virus peut également être identifié dans le sang et dans les selles, bien qu’à ce jour, l’infectiosité du virus n’y soit pas avérée. À un stade plus tardif de l’infection, une réponse humorale anti-SARS-CoV-2 peut être mise en évidence à partir du 8 e jour après le début des symptômes. Il est intéressant de souligner que l’apparition des anticorps peut être tardive dans les formes pauci- ou asymptomatiques. De nombreuses questions sont encore non résolues, notamment le caractère protecteur de cette réponse humorale et sa durée, ainsi que son rôle dans la physiopathologie des formes sévères. Cette revue présente l’éventail des différents tests disponibles début 2021 pour le diagnostic de l’infection à SARS-CoV-2 et leurs indications respectives à l’heure du déploiement des vaccins prophylactiques destinés à contribuer au contrôle de la pandémie.
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Birem, M. A. « Calciférol et cerveau, quelles interactions ? » European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015) : S147. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.295.

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Résumé :
Les recherches sur le calciférol (vitamine D) apportent sans cesse leur lot de nouvelles découvertes, et les troubles de santé pouvant résulter d’une carence en vitamine D sont légion : diabète de type II, maladies cardiaques, ostéoporose, maladies auto-immunes, maladie de Parkinson, fibromyalgie, cancers, etc. Le cerveau aussi n’est pas en reste, il est l’un des principaux organes du corps humain à ressentir une carence en vitamine D. Au cours des 25 dernières années, un nombre croissant d’études a permis de documenter l’implication de la vitamine D dans le fonctionnement du cerveau, notamment : la découverte du « récepteur VDR et de la 1-hydroxylase » dans les neurones cérébraux. Il est maintenant évident que la vitamine D est nécessaire au maintien d’une bonne santé mentale tout au long de la vie. En effet, des études récentes ont découvert un lien entre le taux de vitamine D et le développement précoce du cerveau, la dépression chez les enfants et les adultes, la schizophrénie et le déclin des fonctions cognitives chez les adultes plus âgés. Ce qui démontre l’importance d’un taux de vitamine D adéquat pour maintenir la santé mentale, son développement et son fonctionnement. Les recommandations actuelles sont une concentration sanguine minimale au-dessus de 30 ng/mL de vitamine D, indiquent les chercheurs. Et près de 55 % de la population mondiale sont à des niveaux inférieurs à ce seuil. De plus, les niveaux adéquats ont chuté au cours des deux dernières décennies, soulignent-ils. Cette chute marquée coïncide avec une hausse de certains troubles psychiatriques. Nous allons passer en revue les données qui incitent à penser que la carence en vitamine D pourrait être un cofacteur important de l’apparition et/ou de l’évolution de certaines maladies neuro-dégénératives ou psychiatriques. Et mettre ainsi en lumière l’importance de la supplémentation aux stades de la prévention primaire et secondaire.
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Kabuga, A. I., A. Nejati et S. Shahmahmoodi. « Enterovirus and Parechovirus meningitis in children : a review of the epidemiology, diagnostic challenges, and significance of on-site CSF virology tests in tropical paediatric patients’ care ». African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 22, no 1 (26 janvier 2021) : 12–20. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v22i1.3.

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Résumé :
Enteroviruses and Parechoviruses are increasingly recognized as the cause of aseptic meningitis, especially in the paediatric age group. However, because of indistinguishable clinical features with bacterial meningitis, many clinicians cannot make a clear distinction in disease presentation, and a large number of cases go undiagnosed. Although polymerase chain reaction is the current standard diagnostic approach, it takes many hours or days to get a result and these tests are not available at primary and secondary levels of care in many resource-poor countries. Furthermore, diagnosis is often difficult in children due to nonspecific cellular and biochemical cerebrospinal fluid findings. Some affected children may develop neurologic or/and systemic complications, resulting in prolonged hospital admission, increasing the risk of avoidable deaths, and healthcare expenditures. This review focuses on epidemiology, presentation, and diagnosis of Enterovirus and Parechovirus meningitis, highlighting the challenges in diagnosis and the potential roles of on-site CSF virology tests in improving the quality of paediatric patient’s care. The information provided should help early case detection, thereby ensuring avoidance of unnecessary antibiotics, minimal complications, a short period of hospital stays, and a reduction in healthcare-associated costs. Keywords: Aseptic meningitis; Enterovirus; Parechovirus; Diagnostic challenge; On-site virology test; Children FrenchTitle: Méningite à Entérovirus et Parechovirus chez les enfants: un examen de l’épidémiologie, des défis diagnostiques et de l’importance du tests virologique sur site du LCR dans les soins aux patients pédiatriques tropicaux Les entérovirus et les parechovirus sont de plus en plus reconnus comme la cause de la méningite aseptique, en particulier dans le groupe d'âge pédiatrique. Cependant, en raison des caractéristiques cliniques indiscernables de la méningite bactérienne, de nombreux cliniciens ne peuvent pas faire une distinction claire dans la présentation de la maladie, et un grand nombre de cas ne sont pas diagnostiqués. Bien que la réaction en chaîne par polymérase soit l'approche diagnostique standard actuelle, il faut plusieurs heures ou jours pour obtenir un résultat et ces tests ne sont pas disponibles aux niveaux de soins primaires et secondaires dans de nombreux pays pauvres en ressources. En outre, le diagnostic est souvent difficile chez les enfants en raison de découvertes non spécifiques du liquide céphalo-rachidien cellulaire et biochimique. Certains enfants atteints peuvent développer des complications neurologiques ou systémiques, entraînant une hospitalisation prolongée, augmentant le risque de décès évitables et les dépenses de santé. Cette revue se concentre sur l'épidémiologie, la présentation et le diagnostic de la méningite à entérovirus et parechovirus, mettant en évidence les défis du diagnostic et les rôles potentiels des tests virologiques sur place dans le LCR dans l'amélioration de la qualité des soins aux patients pédiatriques. Les informations fournies devraient contribuer à la détection précoce des cas, garantissant ainsi d'éviter les antibiotiques inutiles, des complications minimales, une courte période d'hospitalisation et une réduction des coûts associés aux soins de santé. Mots clés: méningite aseptique; Entérovirus; Parechovirus; Défi diagnostique; Test de virologie sur place; Enfants
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Mahendran, Sujitha, et Daniel Waldvogel. « Un symptôme précoce de la maladie de Parkinson ». Forum Médical Suisse ‒ Swiss Medical Forum, 31 août 2022. http://dx.doi.org/10.4414/fms.2022.09024.

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Aubignat, M., M. Tir et P. Krystkowiak. « Les symptômes non-moteurs de la maladie de Parkinson de la physiopathologie au diagnostic précoce ». La Revue de Médecine Interne, juillet 2020. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2020.06.019.

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Laurent, V., E. Coron, T. Matysiak-Budnik, M. de Préville, JF Mosnier, M. Mohty et JP Galmiche. « Détection précoce de la maladie aiguë du greffon contre l'hôte par vidéo-capsule endoscopique et endomicroscopie confocale : vers un algorithme de détection endoscopique moins invasif ? » Endoscopy 43, no 03 (mars 2011). http://dx.doi.org/10.1055/s-0031-1273143.

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VEISSIER, Isabelle, Florence KLING-EVEILLARD, Marie-Madeleine MIALON, Mathieu SILBERBERG, Alice DE BOYER DES ROCHES, Claudia TERLOUW, Dorothée LEDOUX, Bruno MEUNIER et Nathalie HOSTIOU. « Élevage de précision et bien-être en élevage : la révolution numérique de l’agriculture permettra-t-elle de prendre en compte les besoins des animaux et des éleveurs ? » INRA Productions Animales, 24 avril 2019, 281–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2019.32.2.2478.

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Résumé :
Les techniques d'élevage de précision ont été développées essentiellement pour augmenter la rentabilité et réduire la charge de travail en appliquant des processus automatiques de surveillance des animaux et de leur environnement. Par exemple la détection de l'œstrus permet une insémination rapide, tandis que la détection des boiteries à un stade précoce ou d’un déséquilibre nutritionnel ou même des paramètres d'ambiance anormaux dans l'étable peuvent aider à prendre des mesures correctives rapidement. Les données générées par les capteurs pourraient également contribuer au bien-être des animaux. Un système détectant les problèmes de santé (par exemple, mammite ou cétose chez les vaches laitières) peut faire partie de la gestion du bien-être. En plus et surtout, certains dispositifs de l’élevage de précision sont basés sur la détection du comportement animal directement ou indirectement par la position des animaux : temps passé à se nourrir, ruminer, se reposer, marcher, etc. Des changements subtils de comportement peuvent indiquer l'état mental d'un animal : hyper-réactivité vs apathie, isolement social, modification du rythme quotidien d'activité, réduction du comportement de jeu ou du toilettage, hyper-agressivité. Ces changements peuvent être autant de signes de malaise dus à la maladie, au stress, à l'instabilité sociale, etc. Ainsi les techniques de l’élevage de précision offrent un large éventail de possibilités d'utiliser des signes de comportement animal pour aborder le bien-être dans des élevages modernes, qu’il s’agisse du bien-être lié à l'état de santé, aux relations sociales, aux relations homme-animal ou à un environnement quelconque stressant. À l'heure actuelle, ces possibilités sont peu explorées. Par ailleurs, l’élevage de précision modifie le travail des agriculteurs et potentiellement leurs interactions avec les animaux. Il est nécessaire que les animaux restent au centre de l'attention si l'on veut respecter leur bien-être et ce en harmonie avec celui de l’éleveur.
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BOUIZMAOUN, Mohamed, Hamza LAYAT, Mohamed Yassine ALAMI, Lhoucine BALOUCH, Youssef BAMOU et Fatima EL BOUKHRISSI. « FACTEURS DE RISQUE DE LA NEPHROPATHIE DIABETIQUE À L'HOPITAL MILITAIRE MOULAY ISMAIL DE MEKNES-MAROC ». MedPeer publisher, 2025. https://doi.org/10.70780/medpeer.000qglt.

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CONTEXTE : La néphropathie diabétique (ND) est la principale cause de maladie rénale chronique dans le monde. Sa détection précoce par la mesure de l'albuminurie est impérative afin de retarder l'apparition et la progression de cette complication. L'objectif de ce travail est de déterminer la prévalence de la ND au sein d'une population marocaine de patients diabétiques de type 2 et d'identifier les facteurs de risque prédictifs liés à cette complication. PATIENTS ET MÉTHODES : Il s'agit d'une étude rétrospective incluant tous les patients diabétiques de type 2 suivis dans le service d'endocrinologie de l'hôpital militaire Moulay Ismail de Meknès sur une période de 12 mois, de janvier 2017 à janvier 2018, divisés en deux groupes selon la présence ou l'absence de néphropathie diabétique. RÉSULTATS ET DISCUSSION : Au total, 99 patients diabétiques de type 2 ont été inclus dans l'étude, soit 41 cas (ND+) et 58 témoins (ND-). L'âge moyen des patients était de 57 ± 7,90 ans avec une prédominance masculine (56,5%). L'analyse bivariée a révélé des associations statistiquement significatives entre la néphropathie diabétique et l'âge avancé (p = 0,033), la durée du diabète (p = 0,023), l'hypertension artérielle (p = 0,025), le déséquilibre glycémique (p = 0,034). Les facteurs de risque trouvés dans notre étude sont largement similaires à ceux des études précédentes menées dans différentes régions du monde. L'hypertension et l'équilibre glycémique restent les principales cibles thérapeutiques. CONCLUSION : La néphropathie diabétique demeure une maladie avec une morbidité et une mortalité élevée. Un rôle plus actif de la part de l'État, des organisations non gouvernementales et des professionnels de la santé est nécessaire pour prévenir le déclin de la fonction rénale liée à la ND associée au diabète de type 2.
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Szurhaj, William, Etienne Labyt, Jean‐Louis Bourriez, François Cassini, Luc Defebvre, Jean‐Jacques Hauser, Jean‐Daniel Guieu et Philippe Derambure. « Variations de l'activité des rythmes EEG en relation à un événement. Application à la physiologie et à la pathologie du mouvement ». Epileptic Disorders 3, SP1 (décembre 2001). http://dx.doi.org/10.1684/j.1950-6945.2001.tb00412.x.

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Résumé :
RÉSUMÉ La traduction la plus classique d'un événement répété sur l'électroencéphalogramme (EEG) est le potentiel évoqué dont la mise en évidence repose sur le moyennage de l'EEG. La condition nécessaire à cette technique est qu'il existe une relation de phase entre le stimulus et le potentiel évoqué par ce stimulus. La réactivité des rythmes EEG induite par un événement ne peut donc pas être mise en évidence par une simple technique de moyennage, cette réactivité ne survenant pas toujours à la même phase du signal. L'étude de cette réactivité est possible par la méthode des Désynchronisations et Synchronisations Liées à l'Événement (DLE/SLE) proposée par Pfurtscheller et Aranibar en 1977. Cette méthode consiste à mesurer l'évolution temporelle de la puissance du signal EEG dans une bande de fréquence donnée, avant, pendant, et après un événement. La DLE correspond à l'atténuation d'amplitude d'un rythme EEG en rapport avec un événement. Inversement, une augmentation d'amplitude en relation avec l'événement correspond à une SLE. Les DLE traduisent l'activation des aires corticales sous‐jacentes. Les SLE traduiraient en partie la mise au repos du cortex, et probablement également des phénomènes de réafférentation somesthésique. Cette méthode peut être appliquée à l'étude de nombreux processus: mnésiques, auditifs, attentionnels, anticipatoires et moteurs. Ainsi un mouvement volontaire auto‐commandé de la main dominante s'accompagne d'une DLE précoce des rythmes mu et bêta précédant le mouvement de respectivement 2 000 et 1 500 ms, enregistrée en regard de la région centrale contralatéral. Cette DLE devient bilatérale au début du mouvement et est maximale à la fin de celui‐ci. Elle est alors suivie d'une SLE des rythmes bêta. Nous montrons que ces phénomènes de DLE/SLE varient en fonction du type de mouvement, et permettent d'explorer les modifications de l'excitabilité corticale rencontrées au cours de la maladie de Parkinson et de l'épilepsie avec crises motrices.
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Moffo, Fabien, Auguste Noumsi Woguia, Joseph Mvogo Ngono et Samuel Bowong. « Analysis of COVID-19 Coughs : From the Mildest to the Most Severe Form, a Realistic Classification Using Deep Learning ». Revue Africaine de Recherche en Informatique et Mathématiques Appliquées Volume 42 - Special issue CRI... (17 janvier 2025). https://doi.org/10.46298/arima.13343.

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Résumé :
soumission à EpisciencesCough is the most common symptom of lung disease. COVID-19, a respiratory illness, has caused over 700 million positive cases and 7 million deaths worldwide. An effective, affordable, and widely available diagnostic tool is crucial in combating lung disease and the COVID-19 pandemic. Deep learning and machine learning algorithms could be used to analyze the cough sounds of infected patients and make predictions. Our research lab and the COUGHVID research lab provide the cough data. This diagnostic approach can distinguish cough sounds from COVID-19 patients and people suffering from other ailments as well as healthy people using deep learning and feature extraction from Mel spectrograms. The model used is a variant of ConvNet. This ConvNet model can easily capture features in MFCC Vectors and enable convolution parallelism, which increases processing speed. ConvNet attains translational invariance in features through the sharing of weights between layers. During data acquisition for model training, it is important to consider quiet environments to reduce errors in audio quality. The architecture of the convolutional neural networks gives an F1-score of 89%, an accuracy of 90.33% and sensitivity of 87.3%. This system has the potential to significantly impact society by reducing virus transmission, expediting patient treatment, and freeing up hospital resources. Early detection of COVID-19 can prevent disease progression and enhance screening effectiveness.La toux est le symptôme le plus courant des maladies pulmonaires. Le COVID-19, une maladie respiratoire, a provoqué plus de 700 millions de cas positifs et 7 millions de décès dans le monde. Un outil de diagnostic efficace, abordable et largement disponible est essentiel pour lutter contre les maladies pulmonaires et la pandémie de COVID-19. Des algorithmes d'apprentissage profond et d'apprentissage automatique pourraient être utilisés pour analyser les bruits de toux des patients infectés et faire des prédictions. Notre laboratoire de recherche et le laboratoire de recherche COUGHVID fournissent les données sur la toux. Cette approche diagnostique peut distinguer les bruits de toux des patients atteints de COVID-19 et des personnes souffrant d'autres maladies ainsi que des personnes en bonne santé en utilisant l'apprentissage profond et l'extraction de caractéristiques à partir des spectrogrammes de Mel. Le modèle utilisé est une variante de ConvNet. Ce modèle ConvNet peut facilement capturer les caractéristiques des vecteurs MFCC et permettre le parallélisme de convolution, ce qui augmente la vitesse de traitement. ConvNet atteint l'invariance translationnelle des caractéristiques grâce au partage des poids entre les couches. Lors de l'acquisition des données pour l'entraînement du modèle, il est important de prendre en compte les environnements calmes pour réduire les erreurs de qualité audio. L'architecture des réseaux neuronaux convolutionnels donne un score F1 de 89 %, une précision de 90,33 % et une sensibilité de 87,3 %. Ce système peut avoir un impact significatif sur la société en réduisant la transmission des virus, en accélérant le traitement des patients et en libérant des ressources hospitalières. La détection précoce du COVID-19 peut prévenir la progression de la maladie et améliorer l'efficacité du dépistage.
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Delicat Loembet, Lucrece Marcelline, A. D. Nno Mabiala, Ulrich Bisvigou, Eveline Avoune, Solange Bongo, André N’Tchoreret, Arnaud Kouoyo et al. « Diagnosis of Sickle Cell Disease in Gabon Using Sickle SCAN® : A Point-of-Care Blood Test ». International Journal of Translational Medical Research and Public Health 6, no 2 (3 janvier 2023). http://dx.doi.org/10.21106/ijtmrph.315.

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Résumé :
Background: Sickle cell disease (SCD) is the world’s most common genetic blood disorder. Most infant deaths from SCD occur in sub-Saharan Africa, and the mortality rate is exceptionally high in Gabon in Central Africa. In Gabon, there are limited resources for early and accurate detection of sickle cell or trait conditions. Most affected individuals reside in low-resource areas where access to diagnostic testing is often very limited. The most commonly used diagnostic methods require trained staff, adequate infrastructure, electric power, and enough time to perform the analysis. These requirements do not currently allow mass screening to be performed in remote areas of Gabon. The purpose of this pilot study is to develop a standardized screening procedure for SCD in order to determine its prevalence in the southeast area of Gabon by using a rapid and reliable test that does not require significant resources, such as the Sickle SCAN® device. Methods: The accuracy of the Sickle SCAN® device was assessed based on testing 272 blood samples. The exact hemoglobin was identified in 100% of the samples. The test comprises three proprietary indicators that detect the presence of hemoglobin A, S, and C, thus allowing the user to rapidly distinguish between normal (HbAA, N=142), carrier (HbAS, N=41), and sickle cell disease (HbSS, N=88; HbSC, N=1) samples. Hemoglobin variants (S and C) were confirmed by capillary electrophoresis (MinicapR; Sebia). The sensitivity and specificity were calculated for each phenotype. Results: The Sickle SCAN® test analysis revealed the following normal and abnormal phenotypes, including sickle cell trait (HbAS=14,71%) and SCD [HbSS (32.35%) and HbSC (0,74)]. There are no false positives in Sickle SCAN® result for the presence of hemoglobin variant, compared to gold standard approaches to capillary electrophoresis. The estimated sensitivity of the Sickle Scan® test was 92.2%, 100%, and 100% for HbSS, HbAS, and HbSC, respectively. The specificity exceeded 88.23% for all phenotypes (HbSS, HbAS, and HbSC). Conclusion and Implications for Translation: The Sickle Scan® device was found to be reliable with a sensitivity of 92.2%, 100%, and 100% for HbSS, HbAS, and HbSC, respectively. The specificity exceeded 88% for all phenotypes. RESUME Contexte: La drépanocytose est la maladie génétique du sang la plus répandue dans le monde. La plupart des décès de nourrissons dus à la drépanocytose surviennent en Afrique subsaharienne, et le taux de mortalité est particulièrement élevé au Gabon, en Afrique Centrale. Au Gabon, les ressources pour la détection précoce et précise de l’anémie falciforme ou du trait de l’anémie sont limitées. La plupart des personnes touchées résident dans des zones à faibles ressources où l’accès aux tests de diagnostic est souvent très limité. Les méthodes de diagnostic les plus couramment utilisées nécessitent un personnel formé, une infrastructure adéquate, de l’électricité et suffisamment de temps pour effectuer l’analyse. Ces exigences ne permettent pas actuellement de réaliser un dépistage de masse dans les zones reculées du Gabon. L’objectif de cette étude pilote est de développer une procédure standardisée de dépistage de la drépanocytose afin de déterminer sa prévalence dans la région sud-est du Gabon en utilisant un test rapide et fiable qui ne nécessite pas de ressources importantes, tel que le dispositif Sickle SCAN®. Méthodes: La précision du dispositif Sickle SCAN® a été évaluée sur la base de 272 échantillons de sang. L’hémoglobine exacte a été identifiée dans 100% des échantillons. Le test comprend trois indicateurs exclusifs qui détectent la présence d’hémoglobine A, S et C, permettant ainsi à l’utilisateur de distinguer rapidement les échantillons normaux (HbAA, N=142), porteurs (HbAS, N=41) et drépanocytaires (HbSS, N=88; HbSC, N=1). Les variantes d’hémoglobine (S et C) ont été confirmées par électrophorèse capillaire (MinicapR; Sebia). La sensibilité et la spécificité ont été calculées pour chaque phénotype. Résultats: L’analyse du test Sickle SCAN® a révélé les phénotypes normaux et anormaux suivants, y compris le trait drépanocytaire (HbAS=14,71%) et l’anémie disséminée [HbSS (32,35%) et HbSC (0,74)]. Il n’y a pas de faux positifs dans le résultat de Sickle SCAN® pour la présence de variante d’hémoglobine, comparé aux approches de référence que sont l’électrophorèse capillaire. La sensibilité estimée du test Sickle Scan® était de 92,2%, 100% et 100% pour HbSS, HbAS et HbSC, respectivement. La spécificité était supérieure à 88,23 % pour tous les phénotypes (HbSS, HbAS et HbSC). Conclusion et Implications pour la Traduction: Le dispositif Sickle Scan® s’est avéré fiable avec une sensibilité de 92,2 %, 100 % et 100 % pour HbSS, HbAS et HbSC, respectivement. La spécificité était supérieure à 88 % pour tous les phénotypes. Copyright © 2022 Delicat-Loembet et al. Published by Global Health and Education Projects, Inc. This is an open-access article distributed under the terms of the Creative Commons Attribution License CC BY 4.0.
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