Articles de revues sur le sujet « Débits de rivière »

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Brigode, Pierre, Damien Lilas, Vazken Andréassian, Pierre Nicolle, Nicolas Le Moine, Charles Perrin, Sébastien Gremminger et Bénédicte Augeard. « Une cartographie de l'écoulement des rivières de Corse ». La Houille Blanche, no 1 (février 2019) : 68–77. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2019009.

Texte intégral
Résumé :
Cet article présente une cartographie de l'écoulement des cours d'eau de Corse, constituée de deux débits caractéristiques : le débit moyen annuel (module), qui caractérise les écoulements moyens d'une rivière, et le débit mensuel minimal de fréquence quinquennale sèche (QMNA5), qui caractérise les basses eaux d'une rivière. Ces débits ont été calculés en tout point du réseau hydrographique corse grâce à deux modèles de prédétermination construits à l'échelle nationale et transposés en Corse. Ces modèles s'appuient sur une base de données hydro-climatiques récentes et critiquées regroupant 20 bassins versants jaugés. Les cartographies finales de ces débits seront diffusées par l'Agence Française pour la Biodiversité sur le portail Eaufrance (http://www.eaufrance.fr/). Ce travail permet également de quantifier de manière synthétique les écoulements des rivières de Corse, territoire très productif en eau superficielle relativement aux grands bassins versants français, puisque 50 % des eaux précipitées en Corse s'écoule en rivière (contre environ 30 % pour les bassins Artois-Picardie et Seine-Normandie, par exemple).
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2

Assani, A. A., T. Buffin-Bélanger et A. G. Roy. « Analyse d'impacts d'un barrage sur le régime hydrologique de la rivière Matawin (Québec, Canada) ». Revue des sciences de l'eau 15, no 2 (12 avril 2005) : 557–74. http://dx.doi.org/10.7202/705469ar.

Texte intégral
Résumé :
Malgré la présence de nombreux barrages au Québec, peu d'études ont été consacrées à l'analyse des impacts de ces ouvrages sur les régimes hydrologiques des cours d'eau. La présente note a pour but d'analyser les impacts d'un barrage sur le régime hydrologique de la rivière Matawin en comparant le régime hydrologique de la rivière en amont (1390 km2) et en aval (4070 km2) du barrage pendant une période de 60 ans (1930-1990) et sur trois échelles temporelles distinctes. A l'échelle interannuelle, l'influence du barrage se manifeste par une persistance plus marquée des effets des épisodes humides ou secs ainsi qu'une hausse ou une baisse des débits moyens annuels respectivement durant ces périodes. Mais cette succession et cette persistance n'ont pas affecté significativement la stationnarité de la série hydrologique. Aux échelles mensuelles et saisonnière, l'influence du barrage se manifeste par une inversion du régime hydrologique caractérisée par une hausse des débits hivernaux et une baisse des débits printaniers. Cette influence se traduit aussi par une baisse significative du débit maximum mensuel mais une hausse du débit minimum mensuel. Il en résulte une diminution du coefficient d'immodération. A l'échelle journalière, le barrage modifie la période d'occurrence des débits extrêmes minimums et maximums. Il provoque la diminution significative des débits extrêmes minimums et maximums. Mais l'écrêtement des crues est modéré pour les débits de récurrence=10 ans. L'impact le plus significatif du barrage de Matawin est sans nul doute l'inversion du régime hydrologique dont les conséquences morphologiques et biologiques ne sont pas encore documentées dans la littérature scientifique canadienne. Cette inversion résulte du faible écoulement hivernal et d'une forte production de l'énergie électrique pendant la saison froide.
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3

El Adlouni, Salaheddine, et Taha B. M. J. Ouarda. « Étude de la loi conjointe débit-niveau par les copules : Cas de la rivière Châteauguay ». Canadian Journal of Civil Engineering 35, no 10 (octobre 2008) : 1128–37. http://dx.doi.org/10.1139/l08-054.

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Résumé :
Plusieurs catastrophes naturelles sont le résultat de l’occurrence simultanée de deux ou plusieurs événements extrêmes. L’évaluation du risque d’apparition de ces catastrophes repose sur une bonne estimation de la probabilité conjointe de ces événements. Le présent travail étudie l’effet combiné des débits extrêmes à l’embouchure de la rivière Châteauguay avec le niveau au Lac Saint-Louis. La modélisation de la loi conjointe de ces deux variables est basée sur la notion de copule qui permet de séparer le choix des lois marginales de la structure de dépendance. Les résultats montrent que le fait d’ignorer l’effet combiné du débit de la rivière ou du niveau du lac, conduit à une sous-estimation des événements extrêmes.
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Vescovi, Luc, Alain N. Rousseau, Alain Mailhot et Jean-Pierre Villeneuve. « Modélisation hydro-bio-chimique du bassin versant de la rivière Saint-Charles ». Water Quality Research Journal 34, no 2 (1 mai 1999) : 317–34. http://dx.doi.org/10.2166/wqrj.1999.015.

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Résumé :
Abstract Cet article présente la démarche de modélisation hydrologique qui a été réalisée à l’aide des données existantes sur le bassin versant de la rivière Saint-Charles. Les débits sur le bassin sont obtenus à l’aide du modèle CEQUEAU. Les débits obtenus par CEQUEAU sont utilisés par la suite lors de la modélisation bio-chimique, qui est le sujet d’un second article. Cette étude est réalisée dans l’optique de voir dans quelle mesure une telle approche de modélisation est facile d’utilisation pour le gestionnaire de la ressource eau. Les résultats de simulations de CEQUEAU sont bons pour la partie rurale du bassin. À cause du manque de données disponibles sur les bassins des principaux tributaires, en particulier celui de la rivière Lorette, les résultats y sont moins bons. Pour la partie urbanisée du bassin les différences entre les débits observés et les débits simulés sont imputables au manque de données observées, à une forte influence anthropique sur la gestion de l’eau et vraisemblablement à une trop grande simplification mathématique des processus hydrologiques en milieu urbain.
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Morin, G., et M. Slivitzky. « Impacts de changements climatiques sur le régime hydrologique : le cas de la riviere Moisie ». Revue des sciences de l'eau 5, no 2 (12 avril 2005) : 179–95. http://dx.doi.org/10.7202/705127ar.

Texte intégral
Résumé :
Les résultats du modèle de circulation générale (MCG) à haute résolution du Centre climatologique canadien (CCC) sont utilisés pour estimer l'ampleur des impacts d'éventuels changements climatiques sur le régime hydrologique d'une rivière de la côte nord du Saint-Laurent. Pour le Québec, le MCG du CCC prévoit des augmentations annuelles de l'ordre de 0 à 15 % pour les précipitations et de 4 à 5° C pour les températures, tandis que les variations saisonnières seraient beaucoup plus importantes, les températures hivernales (décembre à février) augmentant de 6 à 9° C et les précipitations 15 à 20 %. Le modèle hydrologique CEQUEAU est appliqué au bassin versant de la rivière Moisie, pour simuler les débits dans le contexte climatique actuel et dans ce nouveau contexte climatique. Pour ce bassin versant, les précipitations annuelles seraient pratiquement inchangées alors que les températures annuelles augmenteraient de 4° C. En appliquant, aux 24 dernières années (1986-1989), les changements mensuels de précipitation et température découlant du MCG, le débit annuel moyen serait réduit d'environ 5 % et l'écart-type augmenterait de 15 %. La probabilité des années humides serait pratiquement inchangée alors que pour les années les plus sèches enregistrées au cours de ces 25 dernières années soit 600 mm, la probabilité de non dépassement dans ce nouveau contexte climatique passerait de 0,12 à 0,28 ; les débits annuels, d'occurence décennale, diminueraient d'environ 10 %. On assisterait à une modification plus importante dans la distribution mensuelle des écoulements. Les débits moyens des mois d'été (juillet à septembre) seraient réduits d'environ 35 % tandis que pour les mois d'hiver les écoulements moyens seraient plus soutenus.
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Orand, A., et M. Colon. « La fluorimétrie appliquée à la mesure du débit en milieu torrentie ». Revue des sciences de l'eau 6, no 2 (12 avril 2005) : 195–209. http://dx.doi.org/10.7202/705173ar.

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Résumé :
L'utilisation de traçeurs pour la mesure des débits n'est pas un concept nouveau. Néanmoins les applications pratiques sont peu répandues, les méthodes au moulinet étant préférées, dans la plupart des cas, bien qu'elles s'avèrent souvent de mise en oeuvre difficile, surtout en régime torrentiel. C'est dans le cadre particulier d'études des transferts de pollution dans des bassins versants montagnards, que nous avons été amené à développer un dispositif de mesure intégré des débits basé sur des traçages à la rhodamine. Nous avons choisi la rhodamine wt pour son innocuité vis-à-vis de l'environnement et sa faible affinité pour les matières en suspension (MES). Un fluorimètre équipé d'une cuve à circulation, plaçé près de la rivière, permet de suivre en continu et in situ le signal de fluorescence. La mesure de la fluorescence permet de définir la concentration moyenne et le temps de passage du nuage et par conséquent le débit Q = M/ (Cm * t). La précision de la méthode dépend du soin avec lequel l'étalonnage au laboratoire a été effectué. On définit tout d'abord la constante spécifique du colorant en faisant varier température et concentration de rhodamine wt dans plusieurs solutions étalons. La constante de la rhodamine a été évaluée à : n = -0.024°C-1 et la fluorescence ramenée à 10 °C à : Fs = Ft.e-0.024(ts-t) La relation entre concentration et fluorescence est : Cµg. l-1 = 0.0047 F1.0049 La présence de matières en suspension (MES) a pour effet de diminuer la fluorescence du colorant. Mesurée dans des solutions d'eau, de rhodamine wt (0 à 0.3 µg. l-1) et de MES (0 à 2 g. l-1), la fluorescence de la rhodamine wt, pour les conditions extrêmes, est sous estimée de 6 %. La méthode de mesure des débits par coloration à la rhodamine wt a été appliquée à quelques rivières du Chablais (bassin versant du Léman) et, en particulier, a permis de définir la relation hauteur-débit de la transe au pont de Vongy.
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Jacopin, Bertrand, Emilie Andries, Yohann Beureno, Fabienne Mercier, Pierre-Yves Valantin et Yann Laborda. « Atlas dynamique des zones inondables : outil operationnel d'aide à la décision ». La Houille Blanche, no 1 (février 2019) : 13–18. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2019002.

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Résumé :
Le Syndicat Mixte d'Aménagement de la Vallée de la Durance (SMAVD) s'attache depuis de nombreuses années à compléter les portés à connaissances règlementaires par des études hydrauliques spécifiques. Pour cela, le SMAVD construit et exploite des modèles numériques Telemac 2D, qui, fréquemment mis à jour, reflètent fidèlement les mécaniques complexes d'inondation du secteur. Pour répondre aux besoins de ses communes membres et après un audit des acteurs de la prévention des risques, il est apparu prioritaire au SMAVD de développer un outil permettant de se préparer aux inondations, de transformer les prévisions de débits en prévision de zones inondables potentielles (ZIP). Sur un premier tronçon de rivière équipé de très nombreux ouvrages anciens peu fiables, les hydrauliciens du SMAVD ont élaboré une méthodologie de modélisation du cours d'eau permettant de représenter les conséquences aléatoires liées à la tenue ou à la rupture des ouvrages. Une gamme étendue de débits de débits de crue a été modélisée. La représentation graphique des résultats a été mise au point dans le cadre d'une large concertation : en étroite collaboration avec les représentants de la commune pilote de Villelaure (84) puis avec l'ensemble des utilisateurs identifiés. L'Atlas Dynamique des Zones Inondables (AZI) de la Durance constitue le document pivot des plans communaux de sauvegarde, un outil de mesure des conséquences des potentielles ruptures d'ouvrages, le chainon manquant entre prévision de débit et prévision d'inondation mais également une aide précieuse lors des projections opérationnelles des services de secours. Première action mise en œuvre dans la Stratégie Locale de Gestion du Risque Inondation (SLGRI) de la Durance, le projet AZI se déploie en régie interne au sein du SMAVD. Il couvre plus de 100 km de rivière. Il contribue au projet national Viginonde en mettant à disposition du Service de Prévision des Crues les différentes couches SIG des Zones Inondables Potentielles. L'outil sera par ailleurs largement partagé, avec entre autres les gestionnaires routiers, les communes et EPCI, les SDIS...
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SEIDOU, O., J. ROUSSELLE, M. LEFEBVRE, N. LAUZON et J. RIBEIRO. « Modélisation de l'incertitude sur les séquences futures de débits en rivière ». Hydrological Sciences Journal 47, no 3 (juin 2002) : 367–85. http://dx.doi.org/10.1080/02626660209492941.

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Bouanani, Abderrazak, Kamila Baba-Hamed et Wassila Fandi. « Production et transport des sédiments en suspension dans l’oued Sikkak (Tafna – nord-ouest Algérie) ». Revue des sciences de l’eau 26, no 2 (3 juin 2013) : 119–32. http://dx.doi.org/10.7202/1016063ar.

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Résumé :
Résumé L’envasement et le transport solide constituent, par leur importance, un problème majeur en Algérie (dégradation des sols agricoles, alluvionnement des retenues). Les études d’aménagement hydrotechnique butent très souvent sur le problème du manque ou du nombre réduit de données relatives au transport solide. De nombreux chercheurs ont travaillé pour pallier ce problème en mettant au point des modèles spécifiques aux bassins étudiés. Ces derniers servent à combler les lacunes des mesures et à étendre la série existante en fonction du débit liquide souvent mesuré. Cette étude porte sur la quantification du transport solide et du taux d’érosion ainsi que sur la détermination des périodes d’érosion actives et la recherche d’un modèle reliant les débits solides aux débits liquides au niveau de l’oued Sikkak. Sous-bassin de la rivière Tafna, le bassin versant du Sikkak est situé dans le nord-ouest algérien et couvre une surface de 218 km2 où est érigé un barrage d’une capacité de 30 Hm3. Les résultats d’analyse graphique des valeurs instantanées des débits solides en suspension dans l’oued Sikkak à la station d’Aïn Youcef et leurs relations avec les débits liquides (campagnes de prélèvement de 1972 à 1990), ont permis de montrer l’existence de deux périodes d’érosion active. Le flux de matières solides en suspension dans le cours d’eau est très variable d’une année à une autre et la dégradation spécifique moyenne annuelle est estimée à 170 t•km‑2•an‑1 variant de 4 à 745 t•km‑2•an‑1. Ces taux de dégradation restent très modérés par rapport à ceux publiés pour d’autres bassins de l’Algérie et du Maghreb, mais très proches de ceux trouvés pour quelques sous-bassins de la Tafna.
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Jimenez, C., W. Hipel et A. McLeod. « Développements récents dans la modélisation de la persistance à long terme ». Revue des sciences de l'eau 3, no 1 (12 avril 2005) : 55–81. http://dx.doi.org/10.7202/705065ar.

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Résumé :
Afin de modéliser efficacement la persistance dans les séries chronologiques rencontrées en hydrologie, des développements récents autour du modèle fractionnaire auto-régressif à moyenne mobile (FARMA) (fractional autoregressive-moving average model) sont présentés. On s'intéresse particulièrement ici à de nouvelles procédures permettant d'estimer les paramètres du modèle FARMA d'une manière efficace au point de vue calcul. Pour obtenir les distributions d'échantillons des estimateurs des paramètres à partir de petits échantillons, une technique faisant appel au bootstrap peut être utilisée. Des applications pratiques à des séries de débits en rivière, de précipitations et de températures, montrent l'utilité des modèles FARMA.
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Drouin, Ariane. « Élaboration d’un modèle de simulation des niveaux d’inondation à partir d’un SIG et application à un site : rivière Saint-François à Sherbrooke ». Environnement Urbain 2 (28 octobre 2008) : 33–49. http://dx.doi.org/10.7202/019220ar.

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Résumé :
Résumé Afin de mieux identifier spatialement les zones les plus à risques pour les populations riveraines et les infrastructures lors de fortes crues, un projet visant l’élaboration et l’application d’un modèle de simulation des niveaux d’inondation à partir d’un Système d’information géographique (SIG) a été mis en place. Ce modèle de simulation intègre, à partir d’un SIG, des données de débits et de niveaux et un modèle numérique d’élévation (MNE) de haute précision, rendant possible la simulation ainsi que la visualisation des différents niveaux atteints par la rivière Saint-François. Les résultats du modèle sont présentés visuellement sous forme de cartes permettant d’observer et d’identifier les limites des nappes d’eau lors des crues ou inondations majeures.
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Houbrechts, Geoffrey, Éric Hallot, Frédéric Gob, Julien Mols, Olivier Defechereux et François Petit. « Fréquence et importance du charriage dans les rivières du Massif ardennais ». Géographie physique et Quaternaire 60, no 3 (13 mai 2008) : 241–51. http://dx.doi.org/10.7202/017998ar.

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Résumé :
RésuméL’analyse du transport de la charge de fond de plusieurs rivières du massif ardennais (Belgique) par différentes techniques de marquage de galets (peinture, charge métallique, émetteurs radio) a permis d’identifier le débit critique où débute le charriage. Pour les rivières les plus importantes (plus de 500 km2), la mise en mouvement se produit à des débits légèrement inférieurs au débit à plein bord (0,7 à 1 Qb), débits qui se présentent en moyenne 5 à 11 jours par an. Pour les rivières de taille intermédiaire (entre 100 et 500 km2), le charriage débute à un débit avoisinant 0,5 fois le débit à plein bord, avec une récurrence de 0,3 an et une durée variant entre 8 et 12 jours par an. Pour les rivières de dimension modeste (moins de 100 km2), la mise en mouvement se produit à des débits compris entre 0,5 et 0,8 Qb, mais leur récurrence est relativement faible et le charriage peut se produire jusqu’à 20 jours par an. Par ailleurs, le transport solide a été évalué à l’aide de pièges à sédiments dans les rivières de petite dimension (moins de 10 km2) ; il est relativement peu important dans les bassins forestiers (0,5 t/km2/an), en raison de la multiplication des embâcles végétaux qui accroissent la rugosité du lit. Pour les rivières plus importantes, le transport solide a été estimé entre 0,4 et 2,5 t/km2/an grâce à l’analyse des quantités curées systématiquement aux mêmes sites et à la réalisation de levés topographiques de contrôle. Nous avons ensuite analysé l’évolution des quantités charriées en fonction de la puissance spécifique à plein bord développée par ces rivières. La relation établie sur la base de ces données a permis de mettre en évidence le déficit en sédiments de certaines rivières ainsi que plusieurs facteurs influençant le charriage.
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Le Lay, Matthieu, Agnès Brenot, Joël Gailhard et Pierre Bernard. « Évolution récente et future de la ressource en eau dans les Alpes. Résultats d’une modélisation hydrologique spatialisée sur le bassin de l’Isère à Grenoble ». E3S Web of Conferences 346 (2022) : 01028. http://dx.doi.org/10.1051/e3sconf/202234601028.

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Résumé :
Comment évoluent les ressources en eau dans les Alpes sous l’effet du changement climatique ? Diminution de l’enneigement, fonte des glaciers, étiages plus sévères : autant de questions aujourd’hui cruciales pour l’ensemble des usages de l’eau dans ces régions, parmi lesquels la production hydro-électrique. Y répondre suppose à la fois de savoir modéliser finement le fonctionnement de ces hydro-systèmes et de savoir quantifier l’évolution du climat à ces échelles. Une nouvelle version spatialement distribuée du modèle hydrologique MORDOR d’EDF [1] a été déployée sur l’ensemble du bassin versant de l’Isère à Grenoble, en valorisant l’ensemble des données hydro-nivologiques disponibles sur ce bassin (mesures de débit, d’enneigement, images satellites de surfaces enneigées, bilans glaciaires…). Elle a pour objectif de répondre aux nombreux enjeux que pose l’exploitation hydro-électrique de la vallée, en simulant la réponse hydrologique en tout point du bassin et dans différents contextes climatiques. Forcée par des scénarios climatiques préalablement dé-biaisés et régionalisés, elle permet de simuler l’évolution des débits en rivière, les changements de régimes saisonniers, ou encore l’évolution des contributions glaciaires. Autant de données d’entrée précieuses pour quantifier finement les changements déjà observés et adapter au mieux la gestion et l’exploitation des aménagements de la vallée.
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Nguyen, Hong Trang, Sophie Duchesne, Jean-Pierre Villeneuve, Babacar Toumbou et Nomessi Kokutse. « Modélisation du régime hydrologique à l’échelle du bassin versant dans le cas de données restreintes : cas de la rivière Cau au Vietnam ». Revue des sciences de l’eau 31, no 3 (10 décembre 2018) : 201–15. http://dx.doi.org/10.7202/1054303ar.

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Résumé :
Les aménagements opérés sur le territoire d’un bassin versant, notamment les processus rapides d’urbanisation et d’industrialisation, ont souvent un impact important sur les ressources en eau, tant en quantité qu’en qualité. La gestion intégrée des ressources en eau par bassin versant (GIEBV) est une méthode reconnue pour évaluer et contrôler l’impact de ces aménagements sur le régime hydrologique. Cette approche de GIEBV est d’autant plus bénéfique dans un contexte de données restreintes et/ou de mauvaise qualité. Dans un tel contexte, un modèle hydrologique peut permettre d’estimer les débits en rivière en tout point du bassin versant. Cet article étudie la capacité du modèle hydrologique distribué Hydrotel à reconstruire le régime hydrologique dans un contexte de données restreintes. Une application sur le bassin versant de la rivière Cau, au Vietnam, est présentée. Une méthodologie originale est également proposée pour identifier la discrétisation spatiale la plus appropriée pour la simulation hydrologique à l’échelle d’un bassin versant en fonction de l’objectif recherché. Les résultats obtenus démontrent que, même sur un bassin versant où les données disponibles sont limitées en quantité et en qualité, Hydrotel peut apporter des informations utiles pour la mise en place de la GIEBV. Cette application réussie d’Hydrotel dans une région tropicale soumise à la mousson et où les données hydrologiques sont restreintes permettra de promouvoir la démarche de GIEBV basée sur la modélisation des processus en Asie du Sud-Est, en général, et au Vietnam, plus particulièrement.
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Poligot-Pitsch, Stéphanie, Pierre Marchand, Aurélie Tisserand, Alexandre Pirolley, Bernard Héry, Christian Salles, Marie-Andrée Arago, Frédéric Hernandez, Claire Rodier et Marie George Tournoud. « Hydrométrie et continuité écologique : méthodes pour un compromis entre sensibilité et franchissabilité ». La Houille Blanche, no 5-6 (octobre 2018) : 58–65. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2018052.

Texte intégral
Résumé :
Dans beaucoup de régions, le contexte physique et la sévérité des étiages que les cours d'eau connaissent ont conduit les hydromètres à utiliser de nombreux seuils comme contrôles hydrauliques afin de fiabiliser les mesures des bas débits. L'amélioration de l'état écologique des cours d'eau requiert a contrario une diminution des obstacles à la continuité écologique. La DREAL Pays de la Loire s'est donc impliquée pour rechercher des solutions de compromis et une méthodologie d'étude évitant le cas par cas pour aboutir à des principes directeurs pour l'étude et le dimensionnement des modifications des seuils. Dans le même temps, l'UMR Hydrosciences de Montpellier étudiait un remodelage d'un seuil implanté près de l'exutoire du tributaire principal de l'étang de Thau, en France, la rivière Vène. L'enjeu essentiel est d'intégrer au seuil existant, un dispositif de montaison de l'anguille européenne (Anguilla anguilla) et de conserver la sensibilité de la mesure pour les conditions de crue tout en améliorant la sensibilité en période d'étiage. Lors de cette étude, on retrouve en filigrane les principes directeurs établis par la DREAL Pays de la Loire. Ceux-ci, établis par croisement des contraintes de l'hydrométrie et de la continuité écologique, consistent à privilégier un profil de seuil à crête épaisse et présentant une encoche, la concentration de l'écoulement à faible débit étant conjointement favorable. L'article propose des exemples de dimensionnement par le calcul et par prototype modifiable in-situ.
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Derrien, Sébastien, Anne Clutier, Benoît Blancher et Florian Carraz. « Étude sur modèle réduit des affouillements en aval du barrage de Beaumont-Monteux sur l'Isère ». La Houille Blanche, no 1 (février 2019) : 48–55. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2019007.

Texte intégral
Résumé :
Situé sur l'Isère à 10 km en amont de la confluence avec le Rhône, le barrage mobile en rivière de Beaumont-Monteux a connu dès le début de son exploitation en 1921 des phénomènes d'érosion en aval du radier. Les confortements successifs n'ont pas permis d'assurer une protection pérenne de l'ouvrage vis-à-vis des affouillements. Dans la continuité d'une étude sur modèle numérique 3D réalisée par EDF, ARTELIA a réalisé pour le compte d'EDF une étude sur modèle réduit au 1/50ème des affouillements en aval du barrage. La difficulté de représentation sur modèle physique de la molasse gréseuse formant l'assise du barrage a conduit à choisir un matériau granulaire affouillable, calibré sur la base de plusieurs formules empiriques d'estimation des profondeurs d'affouillement. La mesure des vitesses en aval du barrage, l'établissement des champs de vitesse en surface (en amont et en aval) et le relevé bathymétrique par photogrammétrie ont permis d'établir une description complète des conditions d'écoulement et des affouillements générés en état actuel. Les différentes solutions " anti-affouillement " testées ont permis d'apprécier l'influence des règles de gestion des organes mobiles sur la formation des affouillements pour les débits faibles et moyens, et d'identifier les modifications structurelles les plus efficaces pour la réduction du risque d'affouillement (réalisation d'un bassin de dissipation exploitant au mieux la structure existante, mise en œuvre d'un tapis d'enrochements).
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Gaborit, E., G. Pelletier, P. A. Vanrolleghem et F. Anctil. « Simulation du débit de la rivière Saint-Charles, première source d’eau potable de la ville de Québec ». Canadian Journal of Civil Engineering 37, no 2 (février 2010) : 311–21. http://dx.doi.org/10.1139/l09-139.

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Résumé :
Sur le bassin versant de la rivière Saint-Charles, il est nécessaire de mieux gérer l’eau, d’un point de vue quantitatif et qualitatif. Or la prise de décisions peut être aidée par la modélisation hydrologique. Ce travail porte sur la mise en place du modèle semi-distribué de qualité de l’eau SWAT (« soil and water assessment tool ») sur ce bassin versant urbain et relativement montagneux, et sur l’évaluation de sa capacité à simuler les débits. Cette première approche est comparée à deux autres, reposant pour l’une sur l’utilisation du modèle hydrologique global GR4J, et pour l’autre sur l’emploi d’un réseau de neurones. La quantité d’eau issue de la fonte de la neige, calculée ici par le module de fonte de SWAT, a été renseignée à ces deux autres modèles. Ce bassin présente par ailleurs de réelles difficultés pour ce type de modélisation, liées essentiellement au manque de données : quasi-absence d’information spatiale sur les précipitations et absence d’étude pédologique détaillée. Les résultats, globalement satisfaisants, montrent toutefois que la performance hydrologique résultant des trois approches est limitée par ces manques : celle utilisant SWAT davantage que les deux autres. Dans ce cas, les lacunes ne permettent pas d’utiliser le plein potentiel du modèle SWAT, dont la structure plus lourde devient un inconvénient dès que les données sont disponibles en quantité et en qualité insuffisantes pour en justifier l’exploitation, en opposition à GR4J et au réseau de neurones. Il semble donc incontournable, considérant l’importance stratégique du bassin versant de la rivière Saint-Charles pour l’approvisionnement en eau potable et le support aux activités récréatives et touristiques, que l’effort d’observation de ce territoire soit accru, afin d’y augmenter notamment les données climatologiques et pédologiques disponibles.
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Rudy, Jarrett, et Cécile Laziteau. « Maternalisme, conflit de classes et les débuts de l’heure avancée à Trois-Rivières, de 1918 à 19371 ». Revue d’histoire de l’Amérique française 66, no 3-4 (11 juin 2014) : 395–417. http://dx.doi.org/10.7202/1025535ar.

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Résumé :
Ce texte étudie les débuts de l’heure avancée à Trois-Rivières. Après avoir retracé les origines de l’heure avancée en Angleterre et sa mise en oeuvre initiale au Canada pendant la Première Guerre mondiale, cet article se concentre sur les deux référendums sur l’heure avancée tenus à Trois-Rivières (en 1922 et en 1937). Cette mesure, rejetée par une importante majorité lors du premier référendum, a bénéficié de l’appui de la majorité au cours du deuxième référendum, mettant essentiellement fin au débat public sur la question. Cet article, qui analyse à l’échelle locale un phénomène international, explore les enjeux constitutionnels, culturels et sociaux ainsi que les idéologies qui ont posé le cadre des débats entourant la normalisation du temps. Nous affirmons que les débuts de l’heure avancée à Trois-Rivières ont été marqués par le fédéralisme canadien, le pouvoir des employeurs, le maternalisme de l’Église catholique, l’émergence d’une culture de masse et, à un moindre degré, les croyances que cette mesure venait défier l’autorité divine.
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Hauet, Alexandre, Magali Jodeau, Jérôme Le Coz, Bertrand Marchand, Andrés die Moran, Raphaël Le Boursicaud et Guillaume Dramais. « Application de la méthode LSPIV pour la mesure de champs de vitesse et de débits de crue sur modèle réduit et en rivière ». La Houille Blanche, no 3 (juin 2014) : 16–22. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2014024.

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Guillaud, Jean-François, et Luc Bouriel. « Relation concentration-débit et évolution temporelle du nitrate dans 25 rivières de la région Bretagne (France) ». Revue des sciences de l'eau 20, no 2 (16 mai 2007) : 213–26. http://dx.doi.org/10.7202/015814ar.

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Résumé :
Résumé La concentration de nitrate dans les 25 principales rivières bretonnes est, dans 90 % des cas, corrélée positivement au débit. Les caractéristiques hydrogéologiques des bassins versants jouent sur les termes de cette corrélation; ainsi, un taux d’écoulement superficiel important (caractéristique des bassins versants peu perméables) renforce cette corrélation et diminue le décalage temporel entre les pointes de crue et de concentration de nitrate. L’évolution pluriannuelle des concentrations de nitrate dans les rivières bretonnes est caractérisée par un quadruplement durant les trente dernières années. Par contre, depuis le milieu des années 90, on observe sur 80 % des rivières une tendance à la décroissance, indépendamment des évolutions pluriannuelles des débits. Le taux annuel de décroissance est d’autant plus fort que le bassin versant présente une part importante d’écoulements superficiels, et a donc une moins grande inertie hydrogéologique. Étant donné que les temps de réaction des bassins versants sont relativement courts (2‑10 ans), il se peut que l’on commence à constater l’effet sur les eaux superficielles d’une inversion de tendance concernant la pression agricole (baisse des fumures organiques et minérales azotées depuis le début des années 90). Ces tendances restent à confirmer et ne permettent pas encore d’atteindre, dans de nombreuses rivières, des concentrations de nitrate inférieures au seuil à partir duquel se produisent des proliférations macroalgales en zone côtière, ou de permettre sans problème la production d’eaux destinées à la consommation humaine.
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Lavoie, I., F. V. Warwick, P. Reinhard et J. Painchaud. « Effet du débit sur la dynamique temporelle des algues périphytiques dans une rivière influencée par les activités agricoles ». Revue des sciences de l'eau 16, no 1 (12 avril 2005) : 55–77. http://dx.doi.org/10.7202/705498ar.

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Résumé :
Le périphyton de la rivière Boyer Nord, une rivière affectée par les activités agricoles dans le sud du Québec (Canada), a été échantillonné toutes les deux semaines de la mi-mai à la fin septembre 1999 afin d'évaluer son évolution temporelle et d'identifier les variables potentielles qui le contrôlent. Les résultats montrent la grande variabilité temporelle de la biomasse périphytique (poids sec organique et chlorophylle a) et de la structure de la communauté de diatomées. La communauté d'algues benthiques dans la rivière Boyer était principalement composée de diatomées (Nitzschia, Cocconeis, Cymbella, Cyclotella), d'algues vertes (Scenedesmus, Pediastrum, Cosmarium, Closterium) et de cyanobactéries (Phormidium, Oscillatoria, Merismopedia). La pointe de débit observée durant la semaine précédant l'échantillonnage était fortement corrélée à plusieurs variables physico-chimiques (N-total, NH3-N, NO3-N, P-total, turbidité) et était le plus fortement corrélée aux changements temporels de la biomasse. La biomasse (chlorophylle a et poids sec organique) était négativement corrélée au phosphore total, ce qui reflète la relation avec le débit. Les changements temporels dans la composition spécifique des diatomées étaient régis par différentes variables physico-chimiques, selon les limites de tolérances et la valence écologique des espèces. Les algues périphytiques de cette communauté ont réagi aux variations de l'environnement à l'intérieur d'une période de 2 semaines puisque des changements majeurs dans la structure de l'assemblage de diatomées ont été observés lors de chaque échantillonnage. Ces observations montrent la forte variabilité de la biomasse et de la structure de la communauté périphytique dans les rivières enrichies par les éléments nutritifs et souligne l'influence majeure du débit dans ce type d'environnement.
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Lemarquis, David, Pierre-Yves Boesch, Jean-François Escapil Inchauspe, Romain Roux, Rémy Peltier et Anne Delvert. « Ma Rivière et moi / Une plateforme numérique d’EDF Hydro pour renforcer le dialogue avec les usagers de la rivière et les acteurs des territoires ». E3S Web of Conferences 346 (2022) : 03004. http://dx.doi.org/10.1051/e3sconf/202234603004.

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Résumé :
Informer, sensibiliser, écouter, notifier, voilà ce que Ma Rivière et moi propose au travers d’une plateforme numérique. Construit avec les parties prenantes du territoire, l’outil répond aux attentes de transparence et de dialogue autour de la rivière et de l’hydroélectricité. Des données numériques issues du fonctionnement des aménagements alimentent Ma Rivière et moi pour renseigner les utilisateurs sur l’état de fonctionnement des centrales hydroélectriques, la production, le remplissage des lacs, l’accessibilité des mises à l’eau. Les contenus s’articulent autour de la description des ouvrages, des chantiers et leurs impacts éventuels, des partenariats sportifs et culturels. Une dimension particulière est accordée à la sécurité grâce à la cartographie des tronçons de rivières influencés. Enfin, tout utilisateur peut s’abonner à des notifications sur des évènements exceptionnels, et dialoguer avec EDF Hydro notamment pour signaler une situation potentiellement anormale. Le projet a débuté par des ateliers participatifs avec les parties prenantes de la vallée d’Aspe (Pyrénées) et d’Arlysère (Alpes). Le prototype a fait l’objet de tests auprès de riverains et d’élus, avant d’être mis en ligne en juillet 2019. Aujourd’hui Ma Rivière et moi couvre une centaine d’ouvrages hydroélectriques, et est disponible en application smartphone et site internet.
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Galéa, G., P. Javelle et N. Chaput. « Un modèle débit-durée-fréquence pour caractériser le régime d'étiage d'un bassin versant ». Revue des sciences de l'eau 13, no 4 (12 avril 2005) : 421–40. http://dx.doi.org/10.7202/705401ar.

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Résumé :
La méthodologie débit-durée-fréquence (QdF), appliquée ces dernières années aux étiages, a permis de définir quatre modèles types recouvrant l'ensemble des rivières étudiées. L'identification de la typologie du site étudié et l'estimation de deux descripteurs hydrologiques locaux suffisent au modèle, dit de référence, pour en déduire les courbes QdF (1j ≤ d ≤ 30j) en débit moyen minimum sur l'année (VCNd) ou débit seuil minimum annuel (QCNd) non dépassé sur ces mêmes durées. S'il est relativement aisé de définir les descripteurs hydrologiques, il est plus difficile d'identifier, sans observation de débit, le modèle à prendre en compte. En reconsidérant avec plus de rationalité la démarche d'identification des typologies, et en particulier les distributions multidurées relatives à chaque bassin, il est apparu possible d'évoluer vers un modèle unique pouvant être calé en chaque site observé. Ce nouveau concept de modélisation repose sur la propriété d'affinité des distributions, relatives aux échantillons de valeurs de durées d. Par souci de continuité avec l'approche QdF à référence typologique, la loi statistique log-normale à deux paramètres a été choisie. Le modèle, dont la conceptualisation est indépendante de la loi statistique choisie, aura dans le cas de la loi log-normale trois paramètres à ajuster sur les VCNd échantillonnés. Trente six sous bassins du bassin hydrographique de la Moselle ont été étudiés. Le modèle développé pour les débit moyens VCNd peut être appliqué aux débits seuils QCNd en conservant le même jeu de paramètres, grâce à une relation observée entre débits moyens et débits seuils. Cette nouvelle modélisation rationalise l'approche antérieure basée sur la typologie d'écoulement de basses eaux des bassins versants.
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Stumpf, André, Emmanuel Augereau, Julien Bonnier, Christophe Delacourt et Eric Delcher. « Mesure des débits par photogrammétrie adaptée aux rivières torrentielles ». La Houille Blanche, no 5-6 (octobre 2018) : 66–74. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2018053.

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Résumé :
Face aux besoins de suivis hydrométriques et compte tenu des limites d'installation de stations de mesure traditionnelles sur les cours d'eau réunionnais à lit mobile et en tresse, l'Office de l'eau Réunion et les universités de Bretagne Occidentale et de La Réunion ont développé un système de mesure automatique des débits par photogrammétrie. Ce système innovant se base sur la mesure des vitesses d'écoulement de surface par la technique de la PIV (Particle Image Velocimetry), sur l'élaboration d'un modèle numérique de terrain du tronçon de mesure et une détection automatique du masque d'eau. Des algorithmes de calcul ont été développés sous MATLAB de manière (i) à traiter une vidéo acquise en temps réel ou pour réaliser des jaugeages à distance et (ii) à convertir un pack de vidéos acquises automatiquement toutes les 30 minutes afin d'obtenir une chronique de débit en continu. Les comparaisons avec les valeurs de débits jaugés ont montré des écarts maximums de 9.0 % après la calibration du système de mesure. Cette technologie, pouvant être autonome en énergie ou raccordée au réseau électrique, ouvre des perspectives intéressantes pour le suivi des cours d'eau complexe ou des phénomènes hydrologiques extrêmes.
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Vadnais, Marie-Ève, Ali A. Assani, Éric Hallot et François Petit. « Facteurs de variabilité spatiale des caractéristiques des débits minimums annuels des rivières Wallonnes (Belgique) ». Revue des sciences de l’eau 24, no 3 (28 novembre 2011) : 311–27. http://dx.doi.org/10.7202/1006479ar.

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Résumé :
Cette note avait pour but de déterminer les facteurs environnementaux qui influencent la variabilité spatiale des caractéristiques des débits minimums annuels en Wallonie (Belgique) de 34 rivières, au moyen de deux méthodes complémentaires : la méthode de classification ascendante hiérarchique et la corrélation linéaire. Les deux méthodes ont été appliquées sur les données transformées par l’analyse en composantes principales. La classification ascendante hiérarchique (méthode de Ward) a mis en évidence l’influence de la lithologie et des activités anthropiques (pompage en eaux souterraines) sur les caractéristiques fondamentales des débits minimums annuels. Les rivières qui drainent un substrat relativement perméable sont caractérisées par des volumes d’écoulement très élevés, une faible variabilité interannuelle de ce volume, une forte variabilité interannuelle de la période d’occurrence et par de faibles valeurs de coefficients d’asymétrie. C’est le contraire pour les rivières qui coulent sur un substrat peu perméable ou imperméable. Les rivières, dont les débits sont artificiellement influencés, sont caractérisées par une variabilité de la magnitude et de la période d’occurrence des débits minimums annuels plus importante que celle des rivières naturelles. L’analyse des corrélations entre les caractéristiques des débits et les facteurs environnementaux a mis en évidence une corrélation entre la forme de courbe de distribution des débits minimums annuels et plusieurs facteurs environnementaux (climat, utilisation des sols, localisation et caractéristiques physiographiques des bassins versants).
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Hajhouji, Youssef, Vincent Simonneaux, Simon Gascoin, Younes Fakir, Bastien Richard, Abdelghani Chehbouni et Abdelghani Boudhar. « Modélisation pluie-débit et analyse du régime d'un bassin versant semi-aride sous influence nivale. Cas du bassin versant du Rheraya (Haut Atlas, Maroc) ». La Houille Blanche, no 3 (juin 2018) : 49–62. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2018032.

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Résumé :
Le débit des rivières et la recharge des nappes dans la région de Marrakech sont étroitement liés à la dynamique hydrologique dans le Haut-Atlas. Pour anticiper les effets du changement climatique dans cette région où la demande en eau est croissante, il est essentiel de mieux connaitre la contribution respective de la fonte de la neige et des pluies au débit des oueds de montagne. Cette étude vise à modéliser les débits de l'oued Rheraya dans le Haut-Atlas marocain (225 km², altitudes comprises entre 1030 m et 4165 m) en prenant en compte la composante nivale. Pour cela, le modèle conceptuel global GR4J est appliqué sur la période 1989-2009 en y adjoignant le module CemaNeige qui simule la dynamique de la composante neigeuse de manière semi-distribuée. Ces travaux permettent d'affiner la caractérisation du régime hydrologique du bassin. La fraction enneigée simulée se révèle corrélée avec celle extraite du produit neige MODIS durant la période 2000-2009 (R2 = 0,64). De plus, l'équivalent en eau de la neige simulé est cohérent avec celui mesuré par une station automatique durant la période 2004-2006 (R2 = 0,81). Enfin, nous obtenons une simulation des débits qui reproduit bien la très forte variabilité saisonnière et interannuelle. Le Nash relativement faible par rapport aux standards habituels (0,45) peut s'expliquer par la faible qualité des mesures de débit (régime d'oued à lit instable). En conclusion, le régime hydrologique de l'oued Rheraya est pluvio-nival avec une distribution des débits unimodale dont le maximum en avril coïncide avec la fonte des neiges. C'est à ce moment que les populations en aval sont les plus vulnérables au déficit de débit car les cultures irriguées entrent en période de croissance.
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Assani, A. A., É. Gravel, T. Buffin-Bélanger et A. G. Roy. « Impacts des barrages sur les débits annuels minimums en fonction des régimes hydrologiques artificialisés au Québec (Canada) ». Revue des sciences de l'eau 18, no 1 (12 avril 2005) : 103–27. http://dx.doi.org/10.7202/705552ar.

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Résumé :
Les débits annuels minimums des rivières déterminent le volume d’habitat minimum disponible pour assurer la survie des espèces aquatiques en période d’étiage. Dans cette étude, nous comparons les impacts de barrages sur les caractéristiques (période d’occurrence, magnitude, amplitude de variation et asymétrie) de ces débits dans trois régimes hydrologiques artificialisés d’une part, et les débits annuels minimums mesurés en aval des barrages aux normes de débits réservés pour protéger les habitats du poisson au Québec, d’autre part. Nous avons analysé 72 stations appartenant aux régimes artificialisés d’Inversion (26 stations), d’Homogénéisation (18 stations) et de Type Naturel (28 stations). Toutes ces stations appartiennent au bassin versant du fleuve Saint-Laurent. La présente analyse est fondée sur la comparaison des débits mesurés en rivières naturelles (75 stations) à ceux mesurés en aval des barrages au moyen des méthodes de proportionnalité et graphique. Il ressort de ces comparaisons les principaux résultats suivants. En régime artificialisé d’Inversion caractérisé par les débits mensuels maximums en hiver et les débits mensuels minimums au printemps, les impacts des barrages se traduisent par une hausse significative de fréquence des débits annuels minimums au printemps au moment de la fonte des neiges mais une baisse en été, une diminution significative de la magnitude des débits pour les bassins versants de taille < 10 000 km2, une hausse de la variabilité inter-annuelle et une forte asymétrie de la distribution. En régime artificialisé de Type Naturel caractérisé par des débits mensuels maximums au printemps et des débits mensuels minimums en hiver ou en été, on observe une hausse de la fréquence des débits annuels minimums pendant la première moitié de la période froide (de novembre à janvier), une diminution significative de la magnitude pour certaines rivières de taille < 6000 km2. En régime d’Homogénéisation caractérisé par des débits mensuels quasi constats toute l’année, les barrages provoquent une hausse de la fréquence des débits annuels minimums (printemps et automne) mais une baisse en été. Mais contrairement aux deux régimes précédents, l’impact des barrages se manifeste surtout par une hausse de la magnitude des débits annuels minimums pour quelques rivières. Pour les trois régimes artificialisés et durant les quatre saisons, les débits réservés sont systématiquement supérieurs aux débits annuels minimums lâchés en aval des barrages. L’écart entre les deux types de débits est surtout observé au printemps et en été pour les bassins versants > 10 000 km2.
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Assani, Ali A., Francis Lajoie et Charles Laliberté. « Impacts des barrages sur les caractéristiques des débits moyens annuels en fonction du mode de gestion et de la taille des bassins versants au Québec ». Revue des sciences de l'eau 20, no 1 (7 mai 2007) : 127–46. http://dx.doi.org/10.7202/015741ar.

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Résumé :
Résumé Nous avons comparé les impacts des barrages sur les caractéristiques (volume d’écoulement-fréquence, variabilité interannuelle et forme de courbe de distribution) des débits moyens annuels dans les trois régimes régularisés observés (inversion, homogénéisation et type naturel) au Québec. Nous avons appliqué la méthode de proportionnalité qui consiste à comparer les caractéristiques des débits des rivières naturelles et celles des rivières régularisées en fonction de la taille des bassins versants. En ce qui concerne le volume d’écoulement-fréquence et sa variabilité interannuelle, le changement a été observé seulement en régime d’inversion. Il se traduit par une baisse des débits moyens annuels durant les années hydrologiques sèches et une variabilité interannuelle relativement forte par rapport aux rivières naturelles. Ces changements sont attribués principalement au mode de gestion des réservoirs car on lâche moins d’eau durant ces années hydrologiques sèches. Enfin, les changements des coefficients d’asymétrie et d’aplatissement ont été observés surtout en régime d’homogénéisation. Cette étude démontre que les barrages peuvent modifier toutes les caractéristiques des débits moyens annuels contrairement à l’opinion couramment admise.
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Assani, Ali A., Francis Lajoie, Marie-Ève Vadnais, Safia Benseghir et Caroline Bureau. « Modes de variabilité temporelle des débits moyens annuels et leurs liens avec les indices climatiques au québec (canada) ». Géographie physique et Quaternaire 60, no 3 (13 mai 2008) : 215–24. http://dx.doi.org/10.7202/017996ar.

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Résumé :
Résumé La variabilité interannuelle des débits moyens annuels (1970-1995) de 70 stations hydrologiques réparties dans les trois grands bassins versants du Québec a été étudiée au moyen d’une analyse en composantes principales et d’un lissage par une moyenne mobile simple. Cinq modes de variabilité ont été ainsi identifiés selon la succession des phases de baisse et de hausse des débits. Les trois premiers modes caractérisent les rivières du bassin du fleuve Saint-Laurent. Le premier mode, qui regroupe le plus grand nombre de stations situées sur les deux rives du fleuve, montre une période de baisse des débits (avant 1980), suivie d’une longue phase de hausse modérée des débits. Ce mode est positivement corrélé à l’oscillation australe. Le second mode, qui regroupe les rivières situées au nord de la rive sud du Saint-Laurent, est caractérisé par des débits qui diminuent entre 1975 et 1985, puis augmentent. Il n’est corrélé à aucun indice climatique. Les stations qui forment le troisième mode sont principalement localisées en rive nord. Ce mode est caractérisé par deux phases de hausse séparées par une phase de baisse des débits. Certaines stations de ce mode sont corrélées aux oscillations arctique, australe et nord atlantique. Les deux derniers modes caractérisent les rivières situées au nord du 55e parallèle, dans les bassins de la Baie d’Ungava et de la Baie d’Hudson. Ces modes montrent une phase de diminution continue depuis la seconde période des années 1970 ou une phase de diminution précédée d’une longue phase normale des débits. Ils sont négativement corrélés à l’oscillation arctique et nord atlantique. Il se dégage de cette étude que la variabilité interannuelle des débits n’est pas synchrone à l’intérieur du bassin du fleuve Saint-Laurent.
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Delage, Pierre-Luc, Claude Marche et Bruno Larouche. « Formulation de fonctions de transfert de débit entre les aménagements hydroélectriques de la rivière Péribonka ». Canadian Journal of Civil Engineering 35, no 7 (juillet 2008) : 676–88. http://dx.doi.org/10.1139/l08-031.

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Résumé :
Une méthode pour représenter les comportements dynamiques d’une rivière par des fonctions de transfert fiables est proposée. Elle est appliquée à la rivière Péribonka (Québec). L’article détaille la création de ces fonctions entre les centrales Chutes-des-Passes et Chute-du-Diable, incluant la centrale Péribonka en construction (lors de la rédaction de cet article). Le logiciel FLDWAV modélise les écoulements sous des conditions de production variées. Le modèle a été étalonné sur plusieurs saisons estivales grâce aux stations hydrométriques de la rivière Péribonka. Les multiples fonctions de transfert de débit (FTD) obtenues pour diverses conditions de débit et de niveau d’eau ont été simplifiées en vue de leur usage en optimisation de la production. Elles ont été validées sur chaque tronçon de la rivière. Les tests montrent qu’elles respectent bien la dynamique des écoulements en eau libre. Toutefois, l’utilisation des mêmes FTD n’est pas recommandable pour simuler l’écoulement de l’eau en période hivernale.
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Pelletier, Antoine, et Vazken Andréassian. « Caractérisation de la mémoire des bassins versants par approche croisée entre piézométrie et séparation d'hydrogramme ». La Houille Blanche, no 3 (juin 2020) : 30–37. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2020032.

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Résumé :
L'intensité et la durée des étiages des rivières ne dépendent pas seulement des conditions climatiques de l'année hydrologique en cours. En effet, l'humidité ou la sécheresse des années antérieures influe sur le débit observé en étiage, particulièrement dans les bassins où le soutien d'étiage est assuré par des aquifères. La compréhension de cette mémoire pluriannuelle du bassin versant est cruciale pour expliquer les dynamiques de sécheresse. Deux approches sont possibles pour évaluer ce phénomène de mémoire. La première est d'étudier, dans des bassins dont les étiages sont connus pour être soutenus par des aquifères conséquents, les relations entre les dynamiques interannuelles de la piézométrie et celles du climat. La seconde consiste à décomposer les hydrogrammes observés en une composante lente, dite débit de base, et une composante rapide. Les variations interannuelles du débit de base donnent une représentation conceptuelle des dynamiques d'étiage observées. Nous appliquons ici une méthode conceptuelle de séparation d'hydrogramme à quatre sous-bassins du bassin de l'Huisne et une analyse de la mémoire de la piézométrie par régression linéaire sur sept piézomètres représentant trois grandes formations aquifères. Les résultats montrent une corrélation entre les mémoires des débits et des piézomètres, en mettant notamment en exergue la longue mémoire de la nappe des sables du Perche.
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Castonguay, Stéphane, et Dany Fougères. « Les rapports riverains de la ville : Sherbrooke et ses usages des rivières Magog et Saint-François, XIXe -XXe siècles ». Articles 36, no 1 (16 mai 2013) : 3–15. http://dx.doi.org/10.7202/1015816ar.

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Résumé :
Cet article analyse le travail continu de révision et de mise en oeuvre des rapports riverains de la ville de Sherbrooke. Sherbrooke est situé aux confins de la Magog et de la Saint-François, qui toutes deux se posent à la fois comme frein et tremplin au développement de la ville. C’est autour de la présence de ces rivières dans la ville de Sherbrooke que nous aborderons les rapports riverains. Au rythme des préoccupations sur la présence de l’eau dans la ville, ces rapports riverains se matérialisent également en fonction de la diversité des usages des rivières : production d’énergie hydraulique et hydro-électrique, construction de mur de soutènement et dragage pour maintenir un débit régulier, déversement d’eaux usées et approvisionnement d’eau potable, aménagement récréo-touristique. Sur une période de près de 100 ans, soit des débuts de l’industrialisation de la ville aux années 1970, la matérialité propre à chacun des rapports riverains est tour à tour revue et corrigée, et les pratiques qui y sont associées, remplacées. Ce qui reste de toute cette succession, ce sont les rivières elles-mêmes et des rapports qui trouvent leur matérialité dans les rives et les lits continuellement aménagés. En fait, notre recherche nous amène à considérer les rivières comme des infrastructures qui, tel un service public ou une voie publique locale, devaient continuellement s’adapter à la demande économique, sociale et culturelle changeante, mais qui, inversement, ordonnaient les développements de la ville, de l’espace urbain et de ses usages.
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Ashkar, F., N. El-Jabi et T. B. M. J. Ouarda. « Etude des variations saisonnières des crues par le modèle de dépassement ». Revue des sciences de l'eau 6, no 2 (12 avril 2005) : 131–52. http://dx.doi.org/10.7202/705170ar.

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Résumé :
Cet article présente les résultats d'une étude traitant de deux aspects importants de l'application du modèle de dépassement en hydrologie. Ce modèle a été utilisé pour l'étude des variations saisonnieres des débits des rivières du Québec et du Nouveau-Brunswick. Ces variations ont généralement un effet important sur l'homogénéité des débits dans différentes périodes de l'année. Les modèles de dépassement sont capables de prendre ces variations saisonnières en considération en tenant compte des dépassements qui ne sont pas identiquement distribués lorsqu'ils proviennent de différentes saisons. L'étude traite spécialement le problème du choix de saisons à entrer dans le modèle. Particulièrement, on souligne l'importance de déterminer les saisons en se basant sur les données disponibles au lieu de se limiter aux quatre saisons habituelles: hiver, printemps, été et automne. On propose une procédure graphique qui, associée au modèle de dépassement, permet de délimiter les saisons dans les stations hydrologiques étudiées. La procédure est appliquée, sous deux formes différentes, à des stations de jaugeage dans les provinces du Québec et du Nouveau-Brunswick. Ceci nous a permis de diviser l'année convenablement en saisons dans différentes parties des deux provinces. Cette partition a été basée uniquement sur les débits de crues dans chaque station, et sans donner aucune considération à la location géographique de ces stations, mais il s'est avéré ultérieurement que cette subdivision des deux provinces représente en fait une partition géographique des stations hydrologiques. L'évaluation du débit de base représente un point d'une importance majeure dans l'application du modèle de dépassement. Une estimation du débit de base est proposée dans ce travail en utilisant l'analyse de régression multiple. Une approche basée sur l'ajustement du nombre de dépassements à une loi de Poisson a été suivie pour la détermination de ce niveau de base dans chaque station de jaugeage. Une forte corrélation est détectée entre le débit de base et la surface drainée, impliquant qu'il est possible de calculer le débit de base dans une station qui ne contient pas d'enregistrements. Les résultats de la régionalisation géographique de la saisonnalité sont analysés pour détecter et interpréter les liens entre les régions déterminées et les caractéristiques physiques et climatologiques des zones étudiées dans les deux provinces. Une association est démontrée entre ces deux paramètres qui semble être justifiable du point de vu hydrologique et climatologique. En conclusion, les résultats de cet article montrent la faisabilité technique et l'efficacité du modèle proposé pour l'étude des variations saisonnières des crues.
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Sluse, Pascal, et François Petit. « Évaluation de la vitesse de déplacement de la charge de fond caillouteuse dans le lit de rivières ardennaises au cours des trois derniers siècles, à partir de l’étude des scories métallurgiques ». Géographie physique et Quaternaire 52, no 3 (2 octobre 2002) : 373–80. http://dx.doi.org/10.7202/004869ar.

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Résumé :
Résumé La vitesse de déplacement de la charge de fond de trois rivières ardennaises a pu être estimée de façon indirecte grâce à la présence de macroscories, résidus de l'ancienne industrie métallurgique qui s'est établie au début du XVII e siècle dans les vallées du sud de l'Ardenne. Des éléments ont été retrouvés 12 km en aval de la forge la plus proche, ce qui donne une vitesse de progression de la charge de fond d'un peu plus de 3 km par siècle. Une relation a été établie entre la taille des éléments et la distance qui les sépare des forges où elles ont été rejetées ; cette relation de type exponentiel montre tout d'abord une diminution rapide de la taille des éléments qui passent de près de 80 mm à 20- 30 mm en moins de cinq km, suivie d'une absence de décroissance de la taille du matériel. Il s'opère donc un tri hydraulique dans les premiers kilomètres suivant le lieu d'injection. D'autre part, la taille des éléments, qui en aval reste constante quelle que soit la distance, donne une indication quant à la compétence réelle de cette rivière ; la taille de ce matériel (9-12 mm en terme de diamètre équivalent de densité 2,65) apparaît faible mais se justifie par le fait que la rivière développe des puissances spécifiques peu importantes (25-30 W.m -2 ).
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Ouarda, T. B. M. J., P. F. Rasmussen, B. Bobée et J. Bernier. « Utilisation de l'information historique en analyse hydrologique fréquentielle ». Revue des sciences de l'eau 11 (12 avril 2005) : 41–49. http://dx.doi.org/10.7202/705328ar.

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Résumé :
L'utilisation de l'information historique dans une analyse fréquentielle permet de mieux mobiliser l'information réellement disponible et devrait donc permettre d'améliorer l'estimation des quantiles de grande période de retour. Par information historique, on entend ici de l'information relative à des grandes crues qui se sont produites avant le début de la période de mesure (dite période de jaugeage systématique) des niveaux et débits des lacs et rivières. On observe de manière générale que l'utilisation de l'information historique conduit à une diminution de l'impact des valeurs singulières dans les séries d'enregistrements systématiques et à une diminution de l'écart-type des estimations. Dans le présent article on présente les méthodes statistiques qui permettent la modélisation de l'information historique.
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Richard, S., A. Grégoire et P. Gosse. « Efficacité d'un seuil artificiel sur l'oxygénation de l'eau et l'élimination de CH4 contenu dans l'eau évacuée par la barrage hydroélectrique de Petit Saut (Guyane française) ». Revue des sciences de l'eau 18 (12 avril 2005) : 127–41. http://dx.doi.org/10.7202/705580ar.

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Résumé :
Quelques mois après le début de la mise en eau du barrage de Petit Saut, la mise en service normale de l'usine conduisait à une désoxygénation de l'eau du tronçon de rivière aval, le rendant incompatible avec la vie aquatique. La solution retenue a été la construction d'un seuil, afin d'apporter de l'oxygène et d'éliminer les gaz réducteurs produits au fond de la retenue, notamment le méthane, consommateur potentiel d'oxygène dissous. Un seuil métallique à deux lames déversantes successives a été construit ; sa configuration prend en compte les principaux critères physiques jouant un rôle significatif sur l'oxygénation de l'eau (hauteur de chute, épaisseur de la lame déversante, le dimensionnement du bassin de réception des chutes, la présence de dispositifs favorisant l'éclatement de la lame d'eau). Placé dans le canal de fuite de l'usine, à une centaine de mètres à l'aval du barrage principal, il est à l'abri des crues et ne crée pas d'obstacle supplémentaire en rivière. L'article chiffre l'effet d'aération de ce seuil pour les deux gaz O2 et CH4 dans deux configurations : celles consécutives à l'abaissement partiel de la chute amont réalisé en deux étapes. Après décembre 2001, pour le débit moyen turbiné (près de 200 m3 /s), l'efficacité d'aération du seuil a baissé de près de 10 % (gain de 80 % en oxygène dissous et élimination de 70 % et 75 % du méthane dissous). Après février 2003, pour un débit de 100 m3/s, 75 % du déficit amont en oxygène dissous est comblé et près de 70 % du méthane dissous éliminé.
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Carbonnel, J. P., R. Petrorian et P. Serban. « Evolution récente du régime hydrologique de quelquesrivières de Roumanie Centrale. (Courte note) ». Revue des sciences de l'eau 10, no 4 (12 avril 2005) : 545–52. http://dx.doi.org/10.7202/705293ar.

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Résumé :
L'étude de la stationnarité de séries de débits annuels et saisonniers de 15 rivières roumaines et du Danube à Orsova met en évidence l'existence d'une "phase hydrologique" sèche importante depuis 1983. L'écoulement hivernal a diminué de 50% depuis cette date et semble principalement responsable de cette sécheresse hydrologique. L'extension géographique de cette sécheresse est précisée en Roumanie Centrale. L'analyse des débits du Danube montre qu'une partie importante de son bassin versant est touché par le phénomène.
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DELAIGUE, Olivier, Vazken ANDRÉASSIAN, Benoît GÉNOT, Pierre BRIGODE et Claire MAGAND. « Les cours d’eau sous leur meilleur ProfHyl ». Sciences Eaux & ; Territoires, no 42 (29 janvier 2023) : 13–15. http://dx.doi.org/10.20870/revue-set.2023.42.7291.

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Résumé :
Cette note présente l’outil de visualisation cartographique ProfHyl, qui propose une représentation originale du débit de référence des cours d’eau sous forme de profils en long, assurant une cohérence amont-aval explicite des valeurs de débit. Les cartes produites deviennent plus aisément utilisables, notamment par des utilisateurs non-experts. Les principaux fleuves et rivières de France sont disponibles (une soixantaine en 2022) et nous projetons de poursuivre le déploiement dans les années à venir en étendant la gamme de rivières concernées.
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DRAMAIS, Guillaume, Jérôme LE COZ, Jean-Maxence DITCHE, Fabien THOLLET, Benoit CAMENEN, Mickaël LAGOUY, Adrien BONNEFOY et Fanny COURAPIED. « Outils pour améliorer la mesure du débit minimum biologique des petits cours d'eau ». Sciences Eaux & ; Territoires, no 42 (29 janvier 2023) : 7–11. http://dx.doi.org/10.20870/revue-set.2023.42.7293.

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Résumé :
Dans un contexte de tension sur la ressource en eau, la répartition des usages de l’eau des rivières est réglementée pour permettre le maintien de l’équilibre écologique de nos rivières. En France, le contrôle du respect du débit minimum biologique en aval des aménagements est assuré par les agents en charge de la police de l’eau, majoritairement ceux de l’Office français de la biodiversité (OFB). INRAE est engagé depuis de nombreuses années pour accompagner l’OFB dans cette mission par des formations et la diffusion d’outils pour faciliter et améliorer la mesure du débit des cours d’eau. Cet article présente deux exemples de réalisations récentes issues de la convention OFB-INRAE 2019-2021. Le premier est la réalisation d’un essai interlaboratoire de mesures de débit par la méthode par dilution de traceur, le second est le développement et la diffusion d’un modèle de perche transparente à charge dynamique, un outil de mesure de débit à bas coût.
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Govare, Étienne, et Pierre Gangloff. « Les Dépôts lacustres d’obsturation de Saint-Placide, Charlevoix, Québec ». Géographie physique et Quaternaire 45, no 2 (13 décembre 2007) : 141–54. http://dx.doi.org/10.7202/032857ar.

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Résumé :
RÉSUMÉ À l'ouest de Baie-Saint-Paul (Charlevoix), Ia vallée du bras du Nord-Ouest de la rivière du Gouffre est colmatée par plus de 120 m de sédiments wisconsiniens. À la base, les Dépôts lacustres d'obturation de Saint-Placide se composent de sables sous-aquatiques surmontés de 60 m de rythmites. Celles-ci contiennent des blocs glaciels, des lentilles de diamicton et des niveaux de plications syngénétiques attribuables à un environnement proglaciaire. Malgré leur puissance, les rythmites correspondent à une palynozone unique: une toundra arbustive dominée par Betula glandulosa, Alnus crispa et des Graminées. Quelques rares diatomées d'eau douce et l'altitude élevée (300 m) du toit des rythmites font supposer une origine lacustre. Compte tenu de sa situation physiographique dans une vallée ouverte sur le moyen estuaire du Saint-Laurent, le paléolac résulte d'un barrage glaciaire dont la localisation reste incertaine. Un till de fusion, de 20 m d'épaisseur moyenne, surmonte les Dépôts lacustres d'obturation de Saint-Placide. Le till s'épaissit localement en une moraine et peut atteindre 52 m d'épaisseur. Il se compose d'un diamicton interstratifié de quelques lits de sable et mis en place par un écoulement glaciaire en provenance du nord. Les Dépôts lacustres d'obturation de Saint-Placide et le till qui les recouvre sont interprétés comme étant deux membres d'une même formation corrélative au Stade de Trois-Rivières. Les Dépôts lacustres d'obturation de Saint-Placide constituent le début du stade; le till de fusion et la moraine en marquent la fin. Le maximum glaciaire du Stade de Trois-Rivières, dans la coupe étudiée, se traduirait par une lacune sédimentaire, voire une érosion du sommet des rythmites.
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Bondue, Vitalie, Claudine Boyer, Michel Lamothe, André G. Roy et Bassam Ghaleb. « Évolution récente du delta de la Yamachiche (Québec) : processus naturels et impacts anthropiques ». Géographie physique et Quaternaire 60, no 3 (13 mai 2008) : 289–306. http://dx.doi.org/10.7202/018001ar.

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Résumé :
Résumé Le lac Saint-Pierre, un élargissement du fleuve Saint-Laurent, pourrait connaître une baisse importante de niveau d’eau dans les cinquante prochaines années, conséquence du réchauffement climatique global. Sept rivières débouchent dans ce lac fluvial peu profond qui risquerait d’enregistrer une sédimentation importante. Nous avons étudié le delta de l’un de ces tributaires, la Yamachiche, pour évaluer les processus de sédimentation et les réponses de la rivière aux changements environnementaux passés. L’évolution du delta de la Yamachiche a été reconstituée par des photographies aériennes, des cartes anciennes, des analyses sédimentologiques et stratigraphiques de six coupes et de quatorze forages, et la datation par luminescence optique, 210Pb et 14C. Le delta est caractérisé par deux types de dépôts. La base est constituée de dépôts sableux de lit mineur du chenal, mis en place dans des conditions de sédimentation et d’érosion fréquentes. Ils sont surmontés par des dépôts limoneux de plaine d’inondation deltaïque, comprenant des lits sableux locaux. Ces dépôts présentent une variabilité latérale et longitudinale expliquée par les variations de niveau d’eau du lac et de la rivière à une échelle annuelle et décennale, par les migrations du chenal et par l’action érosive des vagues du lac Saint-Pierre. Le delta s’est formé depuis 150 ans, comme le montre la carte de 1859 où le delta n’était que très peu développé. La luminescence optique attribue des âges de 140 et de 280 ans aux dépôts sableux à la base. Les datations révèlent des taux d’accumulation verticale moyens compris entre 0,5 et 1,5 cm/an. Cette accumulation importante serait liée aux perturbations anthropiques affectant les sources sédimentaires du bassin versant depuis le début de la colonisation il y a 200 ans. L’âge récent du delta serait également expliqué par la stabilisation tardive du lac Saint-Pierre à son niveau actuel, qui est intervenue entre 1000 et 150 ans.
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Assani, A. A., et S. Tardif. « Classification, caractérisation et facteurs de variabilité spatiale des régimes hydrologiques naturels au Québec (Canada). Approche éco-géographique ». Revue des sciences de l'eau 18, no 2 (12 avril 2005) : 247–66. http://dx.doi.org/10.7202/705559ar.

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Résumé :
Nous proposons onze nouvelles variables pour classifier, caractériser et analyser les facteurs de variabilité spatiale des régimes hydrologiques des affluents du fleuve Saint-Laurent au Québec. Ces variables se rapportent exclusivement aux débits mensuels et utilisent quatre (volume d’écoulement, période d’occurrence, durée et amplitude de variabilité intra-annuelle des débits) des cinq critères proposés par Richter et al. (1996) pour caractériser écologiquement les régimes hydrologiques. L’analyse en composantes principales de ces onze variables hydrologiques a permis d’extraire trois composantes principales significatives après rotation d’axes par la méthode varimax. La première composante principale est associée aux débits saisonniers hivernaux et aux mois d’occurrence des débits mensuels maximums et minimums. La seconde composante est associée aux débits saisonniers printaniers et au rapport entre ces débits et les débits estivaux. Enfin, la dernière composante est associée au coefficient d’immodération (rapport entre les débits mensuels maximums et minimums) et aux débits mensuels minimums. La variance totale expliquée par ces trois composantes, à part presqu’égale, est d’environ 83%. Sur la base des signes de notes factorielles sur les trois composantes principales, les 72 rivières analysées ont été groupées en huit régimes hydrologiques naturels non contigus dans l’espace. Les caractéristiques de chaque régime hydrologique ont été clairement définies. Quant aux facteurs environnementaux qui influencent la variabilité spatiale des régimes hydrologiques, il est apparu que les six variables hydrologiques associées aux trois composantes principales sont principalement influencées par la température de l’air ainsi que la superficie couverte par les forêts, les lacs et les marais.
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Cluzel, Philippe. « Étude pour la réduction de l’impact des éclusées sur le fleuve Aude ». E3S Web of Conferences 346 (2022) : 02009. http://dx.doi.org/10.1051/e3sconf/202234602009.

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Résumé :
Avec un bassin versant de près de 5 500 km2, l’Aude constitue le fleuve côtier le plus important de la Région Occitanie. Il est soumis à un régime d’éclusées ayant pour origine la production d’énergie hydroélectrique de pointe et, en période d’étiage estival, le placement de l’eau au service des sports d’eaux vives et de l’agriculture. Ces éclusées se traduisent par une fluctuation des débits instantanés, liée à des lâchers d’eau limités dans le temps se superposant au débit de base naturel. Ce fonctionnement est générateur de perturbations sur le milieu (hydromorphologie, physico-chimie, biologie), et les phénomènes de marnages posent des difficultés de gestion pour les différentes catégories d’usagers, notamment les préleveurs. Ce phénomène pourrait être aggravé à moyen terme puisque la mise en place d’un système complémentaire de compensation des prélèvements multi-usagers depuis des ressources sécurisées est en discussion. Dans ce contexte, le Syndicat Mixte des Milieux Aquatiques et des Rivières (SMMAR) mène une étude spécifique dont l’objectif est de mieux comprendre les phénomènes d’éclusées et leurs incidences, afin de proposer des solutions d’aménagement et de gestion visant à respecter les objectifs de bon état des milieux imposés par la Directive Cadre, tout en garantissant les usages.
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Bamory, Kamagaté, Séguis Luc, Goné Droh Lanciné, Favreau Guillaume et Koffi Kouadio. « Processus hydrogéochimiques et séparation d’hydrogrammes de crue sur un bassin versant en milieu soudano-tropical de socle au Bénin (Donga, haute vallée de l’Ouémé) ». Revue des sciences de l'eau 21, no 3 (10 septembre 2008) : 363–72. http://dx.doi.org/10.7202/018782ar.

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Résumé :
Résumé Le projet international et pluridisciplinaire AMMA (Analyse Multidisciplinaire de la Mousson Africaine) a été initié en vue de mieux comprendre les variabilités climatiques de l’Afrique de l’Ouest et leur impact hydrologique. La haute vallée de l’Ouémé au Bénin (10 000 km2) a été retenue et instrumentée (pluie, débit et nappe) depuis 1997. Le sous-bassin de la Donga (586 km2), cadre d’observations intensives depuis 2003, permet de préciser les processus majeurs et quantifier les termes du bilan hydrologique. Le travail vise à déterminer le fonctionnement hydrogéochimique du bassin de la Donga, et à identifier et quantifier les composantes majeures de l’écoulement de surface par traçage géochimique naturel. Le caractère temporaire des eaux de surface, la très faible minéralisation des écoulements ainsi que l’asynchronisme entre le tarissement des rivières et la vidange de la nappe phréatique traduisent une origine superficielle des débits et un échange de flux négligeable entre cette nappe et le réseau hydrographique. L’écoulement à l’exutoire, limité à la saison des pluies, apparaît être essentiellement formé d’un flux rapide (ruissellement Hortonien et écoulement sur surfaces saturées) et d’un flux lent de subsurface (vidange de nappes perchées saisonnières), sans contribution significative de la nappe phréatique. En accord avec ce fonctionnement, une séparation géochimique de l’hydrogramme de trois crues a été réalisée.
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Codignola, Luca. « Rome et les débuts de Saint-Boniface, 1818-1836 ». Articles, essais 27, no 2 (6 janvier 2016) : 179–209. http://dx.doi.org/10.7202/1034283ar.

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Résumé :
Saint-Boniface, en dépit de son isolement relatif par rapport aux régions de l’Est et malgré sa population éparse, s’inscrivait dans un contexte, un réseau international qui incluait la ville de Québec, Londres et Rome. Le Saint-Siège voyait la rivière Rouge comme une porte qui s’ouvrait sur le vaste Ouest nord-américain et estimait que Joseph-Norbert Provencher (1787-1853) avait un rôle essentiel à jouer dans le bien-être spirituel d’une communauté multi-ethnique et composite, comprenant des personnes d’origines européenne, métisse et autochtone. Provencher fut, entre 1818 et jusqu’à sa mort en 1853, le plus éminent représentant de l’Église catholique dans la colonie de la Rivière-Rouge. Si Rome était au coeur de bien des besoins et préoccupations de Provencher, Rome semble également avoir su y répondre et avoir été capable de fournir des solutions. Par exemple, toutes les décisions à l’égard des mariages irréguliers, de la doctrine et de la liturgie émanaient du Saint-Siège, comme c’était le cas d’ailleurs du financement du diocèse et de ses missions, du moins en dernière instance. En 1835-1836, Provencher voyagea jusqu’à Rome, dans l’espoir de résoudre de nombreux problèmes, et il y fut très bien reçu par le pape et les cardinaux responsables des missions. Mais l’influence de Rome sur cette communauté isolée dans l’Ouest s’étend encore bien au delà des échanges administratifs et des relations personnelles qui ponctuaient régulièrement les échanges entre Rome et Saint-Boniface. Les jeunes garçons y étudiaient le latin, étaient éduqués dans des écoles où l’instruction reposait sur les classiques de la Rome antique, par exemple Suétone, Horace, etc., exactement comme c’était le cas dans l’ensemble du diocèse de Québec. Et même si des efforts particuliers ont été déployés pour effectuer des traductions dans les langues autochtones locales (pour les Saulteaux notamment), la liturgie et les cérémonies étaient conformes au canon romain.
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Piégay, Herve, Anne Citterio et Laurent Astrade. « Ligne de débris ligneux et recoupement de méandres, exemple du site de Mollon sur la rivière d'Ain (France) ». Zeitschrift für Geomorphologie 42, no 2 (30 juin 1998) : 187–208. http://dx.doi.org/10.1127/zfg/42/1998/187.

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Poulin, M. « Modélisation numérique des échanges hydrauliques et thermiques entre rivière et nappe alluviale ». Revue des sciences de l'eau 1, no 1-2 (12 avril 2005) : 107–28. http://dx.doi.org/10.7202/705005ar.

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Résumé :
Dans les régions de plaine, la présence d'un cours d'eau s'accompagne généralement de celle d'une nappe alluviale. Des échanges entre nappe et rivière ont lieu à travers le fond du lit et les berges. Ces écoulements ont une influence sur leur régime thermique respectif. Dans un premier temps, afin de préciser ce terme souvent négligé du bilan thermique des cours d'eau, nous avons calculé, à l'aide d'un modèle numérique, le débit et les apports thermiques correspondants en provenance de la nappe lorsque la nappe alimente la rivière. Les résultats sont fonction de paramètres décrivant la forme du système, de la perméabilité de la couche aquifère et de la pente de la surface piézométrique. A l'inverse, lorsque le cours d'eau alimente la nappe de façon permanente, le régime thermique du cours d'eau, dont les fluctuations annuelles sont plus marquées que celles de la nappe, est susceptible d'influencer celui de la nappe. Nous avons également simulé cette influence. De plus, on a envisagé l'effet sur la nappe d'un échauffement du cours d'eau au-dessus de sa température naturelle. Des abaques ont été tracés pour regrouper les résultats. Ils permettent de connaître pour un grand nombre de situations, la distance depuis la rive à laquelle subsiste un échauffement dans l'aquifère égal à la moitié de l'échauffement de la rivière.
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Hétu, Bernard, Serge Occhietti, Pierre J. H. Richard et Alayn C. Larouche. « Dépôts de versant pléistocènes associés aux rythmites du Saint-Maurice, vallée du Saint-Laurent, Québec ». Géographie physique et Quaternaire 49, no 2 (30 novembre 2007) : 275–89. http://dx.doi.org/10.7202/033042ar.

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Résumé :
RÉSUMÉ Un mince dépôt de versant fossile a été observé sous 45 m de sédiments quaternaires appartenant à la séquence supérieure du Wisconsinien classique de la vallée du Saint-Laurent. Il repose sur des sédiments ayant donné un âge au 14C >39 970 BP (Beta-46412). Le contexte stratigraphique et les données paléoécologiques indiquent qu'il s'agit d'un ensemble de concavités colluviales de pied de versant mises en place au début du dernier cycle glaciaire régional, à la marge d'une rivière, dans un paysage dominé par les conifères, sous un climat de type boréal. La séquence de versant intègre des coulées boueuses dérivées d'un manteau colluvial déstabilisé par érosion latérale à la base, des lits de sable fluviatile, des blocs glaciels isolés et des couches organiques constituées de débris végétaux divers apportés lors des crues. Ces dépôts, qui n'ont pas de signification paléoclimatique, se sont probablement accumulés rapidement, pendant des phases de ré-équilibration du versant. Le colluvionnement a commencé soit à la fin de l'épisode des Sédiments de Saint-Pierre soit au début de l'ennoiement de la vallée du Saint-Laurent par le Lac de La Vérendrye et s'est poursuivi pendant l'inondation lacustre. Les colluvions intercalées dans les Rythmites du Saint-Maurice indiquent la limite minimale du Lac de La Vérendrye, proche de l'altitude du seuil de Glens Falls dans l'État de New York.
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Delwaide, Ann, et Louise Filion. « Dendroséries du pin blanc (Pinus strobus L.) et de la pruche de l'Est (Tsuga canadensis L. [Carr.]) dans la région de Québec ». Géographie physique et Quaternaire 53, no 2 (2 octobre 2002) : 265–75. http://dx.doi.org/10.7202/004853ar.

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Résumé :
Nous présentons ici deux séries dendrochronologiques, l'une pour le pin blanc, la série Champlain (1470-1987), l'autre pour la pruche, la série de la Rivière-du-Moulin (1524-1982) qui, toutes deux, couvrent l'ensemble de la période historique en Amérique du Nord. Pour le pin blanc, l'élaboration d'une série de longue durée a été rendue possible par l'utilisation de séries élémentaires locales en provenance : 1) d'arbres fossiles récoltés dans la région de Charlevoix au site d'un ancien glissement de terrain survenu lors du séisme de 1663 (période 1470-1662) ; 2) d'arbres vivants échantillonnés au site de la Rivière-du-Moulin, dans la région de Lotbinière (période 1734-1987) et 3) de pièces récoltées dans quelques sites archéologiques de la région de Québec, et à même deux autels de la Chapelle des Ursulines, dans la ville de Québec. Datant de la fin du XVIIe siècle et du début du XVIIIe siècle, ce troisième groupe d'échantillons a permis de faire le pont entre les séries élémentaires de Charlevoix et de Lotbinière. La série de la pruche (Rivière-du-Moulin), élaborée à partir d'arbres vivants échantillonnés dans la région de Lotbinière, couvre la période 1524-1982.
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Lefebvre, Mario. « Au sujet du débit maximal de la rivière Mistassibi durant la période printanière ». Canadian Journal of Civil Engineering 28, no 6 (1 décembre 2001) : 1041–45. http://dx.doi.org/10.1139/l01-071.

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Résumé :
First a stochastic model is found for the maximal flow of the Mistassibi river, in Québec, during each of the months of April, May, and June, as well as for the maximal flow during the 3-month period. Next, the problem of forecasting the maximal flow in May, based on the maximal flow in April, is considered.Key words: stochastic modeling, hydrological forecast, Gaussian distribution, lognormal distributrion, linear regression, correlation, peak criterion.
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