Articles de revues sur le sujet « Connaissance partielle du canal »

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1

FOURNIER, Marcel. « Durkheim et la sociologie de la connaissance scientifique ». Sociologie et sociétés 14, no 2 (30 septembre 2002) : 55–66. http://dx.doi.org/10.7202/001258ar.

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Résumé :
Résumé Même si elles ne sont pas systématiques, les diverses remarques et réflexions que Durkheim et ses collaborateurs formulent tout au long de leurs diverses activités de recherche constituent les éléments d'une sociologie de la science : mode de connaissance distinct du sens commun, la science y est analysée tantôt en tant qu'institution sociale, en relation avec la société par l'intermédiaire des opinions, tantôt en tant que communauté relativement autonome, chargée d'élaborer et d'imposer à ses membres règles ou normes sociales. Mais, en raison même de la conception, largement positiviste, de la science que partagent les durkheimiens, cette entreprise de constitution de la science en tant qu'objet de l'analyse sociologique demeure partielle.
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2

Leclercq, Dieudonné. « La connaissance partielle chez le patient : pourquoi et comment la mesurer ». Education thérapeutique du patient - Therapeutic patient education 1, no 2 (décembre 2009) : S201—S212. http://dx.doi.org/10.1051/tpe/2009017.

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3

Biard, Joël. « Présence et représentation chez Pierre d'Ailly. Quelques problèmes de théorie de la connaissance au XIVe siècle ». Dialogue 31, no 3 (1992) : 459–74. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300012099.

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Résumé :
Face aux difficultés soulevées par le rapport de l'intellect à la chose intelligée — question qui suscite de nombreux débats aux confins des XIIIe et XIVe siècles —, Guillaume d'Ockham adopte une solution radicale: elle consiste à supprimer tout intermédiate entre l'acte d'intellection et la chose réelle, donnée dans sa présence singulière, ultime cause efficiente du procès d'émergence et d'élaboration de la connaissance. De ce fait, Guillaume d'Ockham rejette tout corrélat de la connaissance qui serait distinct de la chose même. Cela revient à invalider aussi bien l'idée d'intentio in concreto que celle d'esse obiectivum. Sans faire l'unanimité, loin de là, la solution ockhamiste trouve des echos aussi bien chez des anglais tels que Gauthier Chatton ou Robert Holkot, que dans la pensée parisienne à partir de Jean Buridan. L'essentiel, de ce point de vue, est l'exigence de présence de la chose même dans le renvoi sémantique et dans le rapport de connaissance, par conséquent la détermination de l'objet — entendu comme ce qui fait face à l'intellect — à partir de la présence et de l'être donné, l'instauration d'une relation de causalité efficiente (au moins à titre de cause partielle) entre la chose et la connaissance.
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4

Gagnon, Richard. « Une perspective fonctionnelle pour la formation professionnelle technique assistée par ordinateur ». Articles 25, no 2 (17 octobre 2007) : 211–42. http://dx.doi.org/10.7202/031999ar.

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Résumé :
Résumé Dans cet article, les environnements de formation assistés par ordinateur sont considérés comme une réponse partielle à la problématique contemporaine de la formation professionnelle technique. Dans cette perspective, le développement par l'élève technicien d'une connaissance fonctionnelle y est préconisé et sa signification définie. La nature de l'expertise y est étudiée en distinguant le sujet sur lequel elle porte, ses degrés de formalisation et de généralité, de même que ses origines diversifiées. Pour former les élèves, on y propose une organisation des connaissances du domaine en réseaux conceptuels technoscientifiques. On y justifie la nécessité d'incorporer à l'environnement de formation des stratégies de « gestion de l'ignorance » en raison d'une connaissance fragmentaire des savoirs véritables des élèves. À cette fin, on examine le contrôle des connaissances mobilisées dans l'acte d'apprendre et le contrôle des processus d'apprentissage.
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5

SOURDIOUX, M., S. LAGARRIGUE et M. DOUAIRE. « Analyse génétique d’un caractère quantitatif ». INRAE Productions Animales 10, no 3 (8 août 1997) : 241–58. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.3.4000.

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Résumé :
Depuis quelques années, de nombreux travaux ont été entrepris pour identifier les gènes contrôlant directement une part de la variabilité de caractères quantitatifs afin d’enrichir les méthodes d’amélioration génétique. Ils ont été classés en deux types d’approche. Une première stratégie exploite la connaissance de cartes géniques et recherche des QTL (Quantitative Trait Loci), régions du génome contrôlant un caractère quantitatif. Elle permet une application à la sélection par l’utilisation de structures géniques (appelées marqueurs) associées au caractère ; c’est aussi une étape dans la découverte du gène directement responsable d’une part de la variabilité. L’autre approche s’appuie sur la connaissance biologique du caractère et s’intéresse directement à quelques gènes, supposés importants pour le niveau d’expression du caractère, qui deviennent ainsi des candidats à l’exploitation de la variabilité observée. L’analyse de ces méthodes et des résultats obtenus permet aujourd’hui de mieux percevoir leurs potentialités et leurs limites et surtout de mettre en évidence leur complémentarité dans l’analyse du génome contrôlant des caractères d’intérêt économique, voire leur similitude partielle dans l’élaboration et l’utilisation des dispositifs expérimentaux.
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6

Légère, Anne. « La malherbologie au coeur des enjeux du XXIe siècle1 ». Sujets spéciaux / Minisynthèse 90, no 1 (27 janvier 2010) : 5–11. http://dx.doi.org/10.7202/038981ar.

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Résumé :
Ce texte a pour objectif de cerner la dimension malherbologique de nombreux enjeux contemporains, agricoles et autres, alors que paradoxalement les ressources scientifiques et techniques dans cette discipline se font de plus en plus rares. L’adoption récente des cultures transgéniques résistantes aux herbicides a permis de caractériser les problèmes agroécologiques associés aux flux géniques et à la persistance de transgènes dans l’environnement. Les questions concernant les cultures transgéniques de deuxième génération restent cependant sans réponses. Les changements climatiques qui affectent les zones d’adaptabilité et la croissance des cultures modifient aussi celles des plantes nuisibles. Des adventices notoires bénéficient déjà de l’accroissement des concentrations atmosphériques d’ozone et de CO2. En contrepartie, des espèces nuisibles sont pressenties comme sources de biocarburants et de nouvelles cultures malgré une connaissance incomplète des conséquences de leur mise en culture. On tente aussi de reconnaître la contribution de certaines mauvaises herbes à la biodiversité malgré une compréhension fort partielle des relations entre les mauvaises herbes et les autres organismes de l’écosystème agricole. La connaissance des plantes « nuisibles » revêt plus que jamais une importance stratégique, ces plantes étant au coeur de secteurs névralgiques, économiques et environnementaux.
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Coulibaly, Yaya ibrahim, et Et Al. « Campagnes de sensibilisation adaptées à la schistosomiase urinaire : un besoin de santé publique dans le district sanitaire de Kéniéba, Mali ». Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie 16, no 3 (12 janvier 2022) : 18–27. http://dx.doi.org/10.53597/remim.v16i3.2020.

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Résumé :
Introduction : Dans le district sanitaire (DS) de Kéniéba la prévalence de la schistosomiase est de 83,6% malgré plusieurs campagnes de distribution médicamenteuse de masse (DMM) de praziquantel. Ce travail a étudié les facteurs associés à la connaissance de la schistosomiase dans le DS de Kéniéba. Méthodes : Une étude transversale utilisant une approche qualitative et quantitative a été conduite de mai à juillet 2019 chez les 9 et 14 ans et adultes de 15 à 65 ans dans le DS de Kéniéba. Une régression logistique, des focus group de discussion et des entretiens individuels ont été conduits. Résultats : Sur un total de 822 participants, le sexe masculin était de 55,1% (86/156) chez les 9 et 14 ans et le sexe féminin représentait 58% (386/666) chez les adultes. L’âge médian des participants était de 33 ans. Les 51,2% (421/822) n’étaient pas scolarisés. Le sexe, l’âge, le risque d’attraper la schistosomiase, le canal d’information, l’habitude de participer aux DMM et la connaissance du mode de transmission étaient statistiquement associés à la connaissance de la schistosomiase. Conclusions : L’étude a rapporté une connaissance faible de la schistosomiase comme obstacle dans la lutte contre elle. Une éducation sanitaire intensive continue adaptée aux conditions socio-culturelles pour un changement de comportement serait nécessaire
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8

Bilic, Josip Bruno. « « Oui, je parle un peu, hago lo que puedo » : les caractéristiques de l’alternance codique chez les Franco-Argentins de Buenos Aires ». SHS Web of Conferences 138 (2022) : 12009. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202213812009.

Texte intégral
Résumé :
Un Franco-Argentin est un citoyen argentin d’ascendance complète, partielle, ou majoritairement française. A notre connaissance, il n’existe pas de données exactes sur le nombre de locuteurs francophones héréditaires en Amérique du Sud. La langue s’est perdue plus fréquemment avec la deuxième génération d’émigrés qui, pour mieux s’intégrer dans le nouveau pays où la langue dominante est l’espagnol et, dans une moindre mesure, l’italien, renonçaient progressivement à leur héritage linguistique. L’alternance codique entre l’espagnol et le français est une pratique répandue et pertinente qui remplit à la fois des fonctions communicatives et identitaires. Dans cet article, nous avons l’intention d’analyser l’évolution de l’alternance codique français-espagnol, sur la base du discours des Franco-Argentins à Buenos Aires (Argentine) lors d’entretiens semi-directifs menés par l’auteur en juillet/août 2021 (cf. Bilic 2021). En particulier, nous observerons les caractéristiques formelles de l’alternance codique qui se produisent à différents niveaux structuraux.
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Souza, Jessica Larissa Dos Santos, et Elenize Cristina Oliveira Da Silva. « L’expérience de stage du projet “ Meu canal no Youtube : en apprenant la langue française à travers les genres audiovisuels” ». Revista Letras Raras 9, no 5 (30 novembre 2020) : 298. http://dx.doi.org/10.35572/rlr.v9i5.1973.

Texte intégral
Résumé :
Ce travail a pour objectif de présenter l'expérience dans le stage supervisé en langue française au niveau élémentaire, dans le cadre du projet "Meu Canal” dans le Youtube: en apprenant la langue française à travers les genres audiovisuels", organisé par le Cours de Lettres-Portugais et Français, de l'Université Fédérale de Roraima-UFRR. On montrera les difficultés rencontrées et les résultats des productions des vidéos développées. Ce projet est basé sur la théorie socio-interactionniste où l'apprentissage se fait dans des contextes historiques, sociaux et culturels; sachant que la connaissance réelle de l'enfant est donc le point de départ de la connaissance potentielle, Schneuwly (2004), Joaquim Dolz (2004) et Antônio Marcuschi (2005), proposent la production et l'analyse de genres, présentent l'enseignement de la langue maternelle et de la langue étrangère avec la conception de séquences didactiques à travers les genres textuels. MOTS-CLÉ: L’expérience de stage; Genre audiovisuel; Enseignement; Langues étrangères.
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Haloui, N., M. Oumaya, Y. Laâjili et R. Bouzid. « Étude du lien entre épilepsie et schizophrénie. À propos d’un cas ». European Psychiatry 28, S2 (novembre 2013) : 53–54. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.140.

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Résumé :
IntroductionLes patients présentant une épilepsie ont un risque accru de survenue de symptômes psychotiques et notamment de schizophrénie. Le rapport étiopathogénique entre ces deux pathologies reste mal élucidé. ObjectifAnalyser à travers une observation clinique et en fonction des données de la littérature le lien entre épilepsie et schizophrénie.MéthodesDans ce travail, nous avons rapporté le cas d’un patient suivi pour schizophrénie et atteint d’épilepsie.RésultatsM. F., âgé de 38 ans, aux antécédents de convulsions fébriles à l’âge de 2 ans, est suivi depuis l’âge de 18 ans pour une schizophrénie désorganisée avec une rémission partielle sous rispéridone. À 20 ans, il a présenté des crises d’agitation et d’agressivité suivies de perte de connaissance avec mouvements tonico-cloniques, perte d’urines et amnésie postcritique. L’examen neurologique était normal. L’électroencéphalogramme était comitial. Le diagnostic d’épilepsie partielle secondairement généralisée a été posé. L’évolution sous valproate, carbamazépine et rispéridone a été marquée par l’absence de récidives des crises convulsives et une meilleure rémission des symptômes psychotiques. Plusieurs études ont rapporté que les troubles mentaux étaient fréquents au cours de l’épilepsie et qu’il existait une association entre la schizophrénie et l’épilepsie à travers une atteinte commune des structures limbiques telles que le lobe temporal ou le diencéphale. Dans la schizophrénie, il existe actuellement des lésions neuropathologiques bien décrites telles qu’un élargissement ventriculaire, une atrophie cérébrale prédominant au niveau temporal ou une dysplasie du cortex entorhinal. Les conclusions neuropathologiques, génétiques et de neuro-imagerie montrent que les anomalies structurelles du cerveau et les anomalies génétiques sont présentes aussi bien chez les patients atteints de schizophrénie que chez les patients atteints d’épilepsie.
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El Yacoubi, Souhail, Imad Ziouziou, Mohamed Zizi, Ahmed Jahid, Tariq Karmouni, Khalid El Khader, Abdellatif Koutani et Ahmed Iben Attya Andaloussi. « Pyélonéphrite xanthogranulomateuse bilatérale focale : à propos d’un cas ». Canadian Urological Association Journal 8, no 9-10 (9 septembre 2014) : 666. http://dx.doi.org/10.5489/cuaj.700.

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Résumé :
Nous présentons l’observation clinique d’un cas rare de pyélonéphrite xanthogranulomateuse (PXG) bilatérale chez un jeune patient âgé de 17 ans. La découverte progressive de l’infection a débuté par l’apparition de lombalgies bilatérales évoluant depuis un mois, sans autre signe associé. L’urotomodensitométrie penchait en faveur de deux masses rénales bilatérales, soit une masse polaire inférieure droite et une masse polaire supérieure gauche, toutes deux de densité tissulaire. Une biopsie écho guidée a suggéré la présence d’une réaction inflammatoire non spécifique. Une néphrectomie partielle polaire inférieure droite a été effectuée devant la forte présomption de tumeurs rénales malignes. Finalement, l’histologie a orienté le diagnostic vers une PXG. Il s’agit, à notre connaissance, du sixième cas de PXG focale bilatérale rapporté dans la littérature. Notre patient a reçu un traitement antibiotique à base de fluoroquinolone pendant un mois. L’évolution clinique s’est avérée bonne, et les lésions visibles à la tomodensitométrie se sont entièrement résorbées au bout d’un mois. Le patient vit toujours après un an et présente une fonction rénale normale.
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Calabi, Donatella, et Paolo Morachiello. « Le pont du Rialto : un chantier public à Venise à la fin du XVIe siècle ». Annales. Histoire, Sciences Sociales 43, no 2 (avril 1988) : 453–76. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1988.283499.

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Résumé :
A Venise, entre 1588 et 1594 : le grand chantier public qui s'ouvre au Rialto, le centre de la ville, au croisement des principales voies d'eau et de terre, fait participer un certain nombre d'institutions d'État et de maîtres d'oeuvres à la réalisation d'un ouvrage extraordinaire tant par ses dimensions que par l'ampleur des moyens techniques utilisés.Depuis presque un siècle, le nouveau pont de pierre sur le Grand Canal est un sujet de discussion, mais on continue de procéder à la restauration partielle ou à la remise en état complète du vieil édifice de bois. En 1551, le Sénat, bien décidé à clore une longue histoire de précarité et d'alertes successives avait réagi en constituant une juridiction « spéciale ».
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Meier, Olivier, et Pierre-Xavier Meschi. « Approche Intégrée ou Partielle de l’Internationalisation des Firmes : Les Modèles Uppsala (1977 et 2009) face à l’Approche « International New Ventures » et aux Théories de la Firme ». Management international 15, no 1 (15 février 2011) : 11–18. http://dx.doi.org/10.7202/045621ar.

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Résumé :
La firme qui décide de se développer hors de son marché local est confrontée à plusieurs questions : Quel pays choisir ? Quel mode d’entrée faut-il utiliser ? Et à partir de quels critères, ces différents choix vont-t-il se faire ? Plusieurs théories de la firme se sont intéressées à ces questions et ont proposé un certain nombre de réponses. Ces théories de la firme ont cependant pour la plupart d’entre-elles une approche partielle du processus d’internationalisation et des critères de choix (du pays et du mode d’entrée) associés. A notre connaissance, seul le modèle Uppsala a apporté une réponse conjointe à ces questions et a développé ainsi une véritable théorie du processus d’internationalisation de la firme. Dans cet article introductif, notre objectif est double : il s’agit tout d’abord de faire un état du modèle Uppsala dans ses deux versions, initiale (1977) et amendée (2009). Ensuite, cet article vise à présenter les critiques et les réponses apportées d’une part pour le choix du pays cible, par l’approche « international new ventures », et d’autre part pour le choix du mode d’entrée, par les théories de la firme.
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Varène, Pierre. « L'apport de l'ethno-archéologie à la connaissance des techniques antiques de construction : deux exemples tirés de la reconstruction partielle d'un temple à Glanum ». Journal of Roman Archaeology 6 (1993) : 193–204. http://dx.doi.org/10.1017/s1047759400011533.

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Haro, Moïse, Moussa Zongo et Balé Bayala. « Caractérisation morpho-biométrique du testicule du bouc sahélien ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 16, no 2 (8 juillet 2022) : 713–20. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v16i2.16.

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Résumé :
Une meilleure connaissance de l’appareil génital du bouc permet d’appliquer les biotechnologies de la reproduction correctement telle que la technologie de la semence chez les caprins. Ce travail visait à décrire les caractéristiques anatomiques et biométriques des testicules du bouc du sahel. L’étude a concerné 130 boucs sahéliens d’âge et de poids variant respectivement entre 8 et 36 mois et entre 25 et 40 kg. Le poids des testicules, la longueur de l’épididyme et du canal déférent, la longueur et la largeur du scrotum, l’écart entre les deux membres postérieurs et la hauteur des testicules ont été appréciés respectivement avec une balance et un ruban métrique. Le volume testiculaire a été déterminé par orchidométrie. Le poids moyen des testicules, la longueur moyenne de l’épididyme et du canal déférent ont été respectivement de 40,91±8,52 g, de 11,5±1,57 cm et de 11,75±1,80 cm. Les volumes moyens testiculaires ont été de 94,27±16,78 cm3 et de 93,96±16,89 cm3 respectivement pour le testicule gauche et le testicule droit. La hauteur moyenne des testicules au sol a été de 27,65±5,53 cm. L’écart moyen entre les membres postérieurs a été de 14,15±1,72 cm. Ces caractéristiques montrent que le bouc sahélien pourrait être un excellent animal d’exploitation dans la technologie de la semence.
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Olarte-Sierra, María Fernanda. « (Un)Doing the Colombian Armed Conflict ». Social Anthropology/Anthropologie sociale 30, no 3 (1 septembre 2022) : 19–37. http://dx.doi.org/10.3167/saas.2022.300303.

Texte intégral
Résumé :
English Abstract: In 2005, Colombia enacted the Justice and Peace Law, which was a transitional framework for addressing the legal status of demobilised members of the paramilitary group Autodefensas Unidas de Colombia [United Self-Defence of Colombia] and other armed groups. In exchange for providing intelligence on the whereabouts of the bodies of people these groups had kidnapped and killed, prison sentences could be reduced. Forensic experts from the Attorney General’s Office were in charge of exhuming and identifying the bodies, placing them centre-stage as a source of scientific evidence, testimony and authority based on their presumed objectivity and non-prejudicial approach. However, forensic knowledge, like all knowledge, is situated, partial and performative. Here, I attend to the effects of forensic knowledge on victims’ right to truth, memory practices and the administration of justice under the Justice and Peace Law. I argue that forensic knowledge co-produces conflict by producing victims and perpetrators whose identities and stories can be at odds with other accounts of the violence that occurred.French Abstract: En 2005, la loi sur la justice et la paix a été promulguée en Colombie. Il s’agissait d’un cadre transitoire permettant de régler le statut juridique des membres démobilisés du groupe paramilitaire Autodefensas Unidas de Colombia [Autodéfenses unies de Colombie] et d’autres groupes armés. Cette loi prévoyait la réduction des peines de prison en échange de renseignements sur l’emplacement des corps des personnes que ces groupes avaient enlevées et tuées. Des experts médico-légaux du bureau du procureur étaient chargés d’exhumer et d’identifier les corps. Cela les plaçait au centre de la scène en tant que source de preuves scientifiques, de témoignages et d’autorité, en raison de leur objectivité présumée et de leur approche non préjudiciable. Cependant, la connaissance médico-légale, comme toute connaissance, est située, partielle et performative. Je m’intéresse ici aux effets des connaissances médico-légales sur le droit des victimes à la vérité, les pratiques de mémoire et l’administration de la justice dans le cadre de la loi Justice et Paix en Colombie. Je soutiens que les connaissances médico-légales coproduisent des conflits en produisant des victimes et des auteurs dont les identités et les histoires peuvent être en contradiction avec d’autres récits de la violence qui s’est produite.
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Da Fonseca, D. « TDAH : les spécificités cliniques chez l’adulte, les pièges diagnostiques ». European Psychiatry 30, S2 (novembre 2015) : S28. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.084.

Texte intégral
Résumé :
Le trouble déficit de l’attention/hyperactivité est actuellement un trouble relativement bien connu chez l’enfant et l’adolescent. Mais depuis quelques années, de nombreuses études ont démontré une persistance partielle ou complète de ce syndrome à l’âge adulte. En effet, beaucoup d’adultes présentent des symptômes similaires à ceux retrouvés chez les enfants mais avec une symptomatologie plus souvent marquée par le déficit de l’attention que par l’hyperactivité psychomotrice et l’impulsivité. Le diagnostic différentiel reste difficile en particulier avec les troubles anxieux, les troubles de l’humeur ou les troubles de la personnalité. En effet, le TDAH partage de nombreux symptômes avec ces troubles psychopathologiques ce qui engendre de nombreuses difficultés diagnostiques. L’objectif de cette présentation est de montrer en quoi le TDAH est une entité distincte sur le plan clinique et neuropsychologique ainsi qu’au niveau fonctionnel et anatomique. Nous évoquerons également la question des comorbidités relativement fréquentes qui participent à la confusion et à la méconnaissance du trouble. À l’instar des enfants, le TDAH de l’adulte engendre malheureusement de nombreux dysfonctionnements tant au niveau social et professionnel qu’au niveau affectif. En revanche, il semble que ce trouble soit particulièrement sensible aux différents traitements (psychothérapies et/ou médicaments) qui permettent aux patients une meilleure qualité de vie. Une meilleure connaissance de ce trouble paraît donc incontournable afin de mieux comprendre les difficultés quotidiennes qu’il engendre mais aussi de proposer la prise en charge la mieux adaptée.
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Hertrich, Véronique. « Les réponses des hommes valent-elles celles des femmes ? Une double collecte sur les questions génésiques et matrimoniales dans une population du Mali ». Population Vol. 52, no 1 (1 janvier 1997) : 45–61. http://dx.doi.org/10.3917/popu.p1997.52n1.0061.

Texte intégral
Résumé :
Résumé Hertrich (Véronique).- Les réponses des hommes valent-elles celles des femmes ? Une double collecte sur les questions génésiques et matrimoniales dans une population du Mali S'appuyant sur une double collecte biographique dans un village du Mali, cet article compare les déclarations des hommes et des femmes sur les mariages qui leur sont communs et les naissances qui en sont issues. Contrairement au schéma attendu, les hommes déclarent mieux les grossesses n'ayant pas abouti à une naissance vivante que leurs épouses, probablement en raison d'une occultation ou négligence des femmes à déclarer des événements qui s'affirment comme des échecs de fécondité. L'omission des enfants décédés en bas âge est, en revanche, plus forte de la part des hommes et les estimations de mortalité établies à partir de leurs histoires génésiques sous- estiment ainsi celles que permettent les données féminines. Par rapport à l'ensemble des naissances vivantes, la sous-déclaration des hommes est cependant très modeste et n'entrave pas l'obtention d'une mesure satisfaisante de la fécondité masculine. Du point de vue matrimonial, les déclarations masculines paraissent de meilleure qualité ; elles décrivent plus complètement les composantes du processus préalable à l'union, surtout sur la période ancienne, ce qui tient probablement à leur implication plus importante dans la pratique matrimoniale. Les femmes, associées plus tardivement dans les procédures matrimoniales, en ont une connaissance plus partielle qui rend leurs déclarations moins satisfaisantes pour décrire les procédures matrimoniales et leur évolution. Ces résultats invitent à s'intéresser davantage aux biographies familiales des hommes.
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Hertrich, V. « Are men's and women's answers to be equally trusted ? A dual collection of birth and marriage histories in a population in Mali (Population, 1, 1997) ». Population Vol. 53, HS2 (2 décembre 1998) : 303–18. http://dx.doi.org/10.3917/popu.p1998.10n2.0318.

Texte intégral
Résumé :
Résumé Hertrich (Véronique).- Les réponses des hommes valent-elles celles des femmes ? Une double collecte sur les questions génésiques et matrimoniales dans une population du Mali S 'appuyant sur une double collecte biographique dans un village du Mali, cet article compare les déclarations des hommes et des femmes sur les mariages qui leur sont communs et les naissances qui en sont issues. Contrairement au schéma attendu, les hommes déclarent mieux les grossesses n'ayant pas abouti à une naissance vivante que leurs épouses, probablement en raison d'une occultation ou négligence des femmes à déclarer des événements qui s'affirment comme des échecs de fécondité. L'omission des enfants décédés en bas âge est, en revanche, plus forte de la part des hommes et les estimations de mortalité établies à partir de leurs histoires génésiques sous- estiment ainsi celles que permettent les données féminines. Par rapport à l'ensemble des naissances vivantes, la sous-déclaration des hommes est cependant très modeste et n'entrave pas l'obtention d'une mesure satisfaisante de la fécondité masculine. Du point de vue matrimonial, les déclarations masculines paraissent de meilleure qualité ; elles décrivent plus complètement les composantes du processus préalable à l'union, surtout sur la période ancienne, ce qui tient probablement à leur implication plus importante dans la pratique matrimoniale. Les femmes, associées plus tardivement dans les procédures matrimoniales, en ont une connaissance plus partielle qui rend leurs déclarations moins satisfaisantes pour décrire les procédures matrimoniales et leur évolution. Ces résultats invitent à s'intéresser davantage aux biographies familiales des hommes.
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BROCHARD, M., K. DUHEM, T. GESLAIN, P. L. GASTINEL et J. L. PEYRAUD. « Phénotypage et génotypage de la composition fine du lait : les filières laitières et la recherche française investissent pour l’avenir ». INRAE Productions Animales 27, no 4 (21 octobre 2014) : 299–302. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.4.3075.

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Résumé :
Le programme PhénoFinlait a permis de nombreux développements en matière d’analyse du lait, de mise en relation des facteurs d’élevage et d’alimentation avec la composition fine du lait, et de déterminisme génétique des acides gras et protéines. Cela a été permis, en particulier, par un suivi de quelques 1500 fermes privées. Les filières laitières françaises, bovines, caprines et ovines, disposent, à l’issu de ce programme d’équations d’estimation en routine à partir des données spectrales MIR de la composition fine du lait en acides gras et protéines ; d’une nouvelle méthode hautement résolutive d’analyse qualitative et quantitative des protéines du lait ; de référentiels sur les liens entre les systèmes d’élevage et d’alimentation et la composition fine du lait, allant jusqu’à un outil de prédiction de sa composition en quelques acides gras d’un mois sur l’autre ; de populations de référence pour l’évaluation génomique et plus généralement d’une connaissance du déterminisme génétique de ces caractères. Au-delà de ces résultats, le programme PhénoFinlait est également à l’origine de méthodologies relatives à l’exploitation des spectres MIR éprouvées ainsi que de bases de données et de banques d’échantillons (lait et ADN) conséquentes, aisément mobilisables pour aller plus loin dans la caractérisation fine du lait ou pour explorer d’autres domaines (traçabilité des modes de production, suivi des animaux - santé, reproduction -, rejets de méthane entérique…). L’appropriation et la valorisation de ces acquis par les différentes filières est en cours, mais elle est encore très partielle car un travail conséquent d’explication et d’analyse cas par cas des modalités de valorisation les plus adaptées est nécessaire. Par ailleurs, plusieurs nouveaux projets sont issus ou s’appuient en partie sur l’investissement initial PhénoFinlait. Gageons que cela génère encore pendant plusieurs années des connaissances, références et outils nouveaux pour la recherche, les éleveurs et les filières françaises.
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Stellzig-Eisenhauer, Angelika, Eva Decker, Philipp Meyer-Marcotty, Christiane Rau, Britta S. Fiebig, Wolfram Kress, Kathrin Saar et al. « Défaut primaire d’éruption (DPE). Analyse génétique clinique et moléculaire ». L'Orthodontie Française 84, no 3 (septembre 2013) : 241–50. http://dx.doi.org/10.1051/orthodfr/2013055.

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Résumé :
Définition : Le « défaut primaire d’éruption » (DPE), parfois aussi appelé « échec primaire d’éruption », désigne l’absence d’éruption partielle ou totale d’un germe non-ankylosé. Elle est due à une perturbation du mécanisme d’éruption. Le processus moléculaire conduisant à ce dysfonctionnement n’est pas connu à ce jour. Échantillon et méthodes : Quatre familles ont été étudiées. Dans chacune, au moins deux individus étaient affectés d’un défaut primaire d’éruption (DPE) non syndromique. Un diagnostic radiologique (panoramique) a été conduit sur tous les patients et les membres de leur famille qui n’étaient pas affectés (groupe contrôle). L’analyse génétique comprenait une analyse de liens pangénomique suivie d’un séquençage direct de l’ADN avec une cartographie des gènes candidats positionnels. Résultats : En partant des patients affectés, nous sommes parvenus à reconstituer des pédigrées sur deux ou trois générations dans les familles avec une transmission du défaut primaire d’éruption non syndromique selon un mode autosomique dominant. Quinze patients atteints de DPE ont été diagnostiqués. La distribution selon le genre s’est révélée pratiquement égale (7 femmes et 8 hommes). L’analyse génétique moléculaire du gène PTHR1 révèle trois mutations hétérozygotes (c.1050-3C>G ; c.543 + 1G>A ; c.463G>T). Aucune mutation n’a été trouvée chez les personnes non affectées. Conclusion : La connaissance des causes génétiques du DPE non syndromique peut maintenant être utilisée pour effectuer un diagnostic différentiel en cas de défaut d’éruption. Elle permet d’identifier très tôt les membres d’une famille qui sont touchés et pourrait, à long terme, déboucher sur de nouvelles possibilités de traitement. Le diagnostic génétiquement validé de défaut primaire d’éruption peut soustraire les patients et leurs orthodontistes à des années de tentatives de tractions vouées à l’échec, car le traitement orthodontique seul n’est pas une solution valable. Au contraire, il produit des effets iatrogènes sur les dents d’ancrage non affectées et sur les maxillaires.
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Bessy, Christian. « Salaire d’embauche, négociation du contrat de travail et intermédiaires du recrutement ». Articles 67, no 3 (28 septembre 2012) : 426–52. http://dx.doi.org/10.7202/1012538ar.

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Résumé :
En France, le recul relatif de la négociation collective de branche dans la détermination du salaire, mais aussi le renouveau en droit de la figure du contrat du travail au cours de la fin des années 1980, ont redonné une marge de manoeuvre à l’employeur et à l’employé dans la détermination des termes du contrat, participant ainsi à un processus d’individualisation de la relation de travail. Les entreprises peuvent alors mieux prendre en compte les contraintes imposées par le marché du travail et, notamment, attirer des candidats compétents. Mais, pour cela, elles sont dépendantes le plus souvent des intermédiaires du placement qui ont une meilleure connaissance de l’état du marché. Or, le choix d’une stratégie de recrutement, en particulier l’arbitrage entre vitesse du recrutement et qualité de l’appariement, qui va amener à choisir un canal de recrutement ou un autre, a des conséquences sur la négociation des termes contractuels. L’objectif de ce texte est d’analyser l’effet des canaux de recrutement sur la détermination du salaire d’embauche, en examinant en particulier dans quelle mesure ils peuvent amener les agents à négocier les termes de leur contrat de travail. À partir d’une enquête statistique sur les pratiques de recrutement réalisée en 2005, auprès de 4 000 établissements français, nous estimons une équation de salaire d’embauche et montrons l’impact significatif de canaux de recrutement (comme les agences privées de placement) en plus des effets liés aux variables de « capital humain » (âge, genre, éducation, etc.) et aux caractéristiques des emplois et des entreprises. Cet impact ne serait pas simplement lié à des durées de recrutement plus longues, comme dans les modèles d’« affichage du salaire », mais au fait que certains canaux doteraient les candidats de capacités de négociation propices à la surenchère ou qu’ils amélioreraient la qualité des appariements sur le marché du travail.
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Carisse, Colette, Jeanne Leroux, Mario Santerre, Robert Saucier et Nicole Stafford. « Les messages : eux et nous ». Notes de recherche 13, no 2 (12 avril 2005) : 255–65. http://dx.doi.org/10.7202/055578ar.

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Résumé :
Au cours de l'hiver 1971, dans le cadre d'un enseignement de communication de masse, les étudiants ont fabriqué trois émissions de télévision d'une demi-heure chacune, après un stage intensif d'entraînement aux techniques audio-visuelles. Ces émissions ont été diffusées sur le canal 9 (câble) les mardi soir à 19 heures 30, pendant trois semaines consécutives. Les étudiants se sont alors rendus dans des familles à l'écoute, pour vérifier sur place l'effet de leur propre message. Nous avons recueilli quelque soixante-dix heures d'entrevues qui devaient porter sur les émissions. Le matériel est de nature spontanée, malgré un schéma général d'entrevue. Pour trouver les informateurs, nous sommes partis d'un échantillon de 900 personnes, tiré parmi les 90,000 abonnés du câble, et classé ensuite selon l'indice socio-économique du secteur de recensement où se trouve le domicile (indice de Schefsky). Nous avons d'abord sélectionné les familles du centre de la distribution pour éviter les variations qu'on ne pouvait analyser, à cause du nombre restreint de familles à étudier (quinze). Nous avons choisi des familles complètes avec adolescent. Obtenir des collaborateurs s'est avéré très difficile, d'abord parce que le câble dessert une population qui risque d'offrir des caractéristiques particulières : célibataires, personnes âgées, invalides, travailleurs de nuit, langue maternelle autre que français ou anglais, etc. De plus, la collaboration était onéreuse, puisque les familles devaient nous consacrer quatre soirées. En fait, le choix s'est déplacé du centre vers la distribution des mieux nantis ; nous avons atteint le middle mass, avec quatre ouvriers spécialisés, trois employés de bureau, un fonctionnaire, un représentant de compagnie, mais aussi un chômeur et trois ouvriers non qualifiés (deux non spécifiés). La moyenne de scolarisation est de dix années d'études, la majorité des pères de familles ayant complété une neuvième année. Cette population ne représente donc pas ce qu'il est convenu d'appeler « les défavorisés », i.e. ceux qui n'ont qu'un cours primaire et auxquels s'adresse un programme comme Multi-Media ; il s'agit toutefois d'une « vraie » population. Nous avons ainsi pu réfléchir sur des données vivantes, plutôt qu'à partir de nos pré-conceptions. On ne saurait toutefois parler de savoir accumulé car, à notre connaissance, aucun résultat de recherche sur le processus global de communication de masse auprès de la population réelle n'a jamais été publié.
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Irie, Jean-Gael Trazie Bi, Marie-Laure Aney Kando, Clarisse Akoua Kra et Sougo Aoua Coulibaly. « Effet des saisons sur la variation du niveau de pollution organique des eaux de la lagune Ebrié en Côte d’Ivoire ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, no 2 (3 juin 2023) : 720–34. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i2.35.

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Résumé :
La lagune Ebrié, plan d’eau vitale pour l’économie de la Côte d’ Ivoire, subit des pressions naturelles et anthropiques qui ont des conséquences néfastes sur sa faune aquatique. En effet, elles rejettent dans ce hydrosystème d’importantes quantités de polluants organiques, entrainant son eutrophisation. Une meilleure connaissance de la distribution de ces polluants dans la lagune Ebrié pourrait conduire à sa préservation durable. Cette étude s’est donnée pour objectif de déterminer l’impact de la variation des saisons sur la répartition des polluants organiques dans les eaux de la lagune Ebrié. Deux compagnes, menées en saison sèche et en saison pluvieuse, ont permis de mesurer les valeurs de la conductivité, du TDS et du potentiel d’oxydoréduction avec un appareil multi-paramètre de type YSI V2 et de prélever des échantillons d’eau. Ces échantillons ont été traités selon les protocoles appropriés pour obtenir les teneurs de l’orthophosphate, du nitrite, de l’ammonium, des matières en suspension et de la DBO5. Les teneurs des sels nutritifs et de la demande biochimique en oxygène ont permis la détermination du niveau de pollution organique des eaux lagunaires, grâce à l’indice de pollution organique (IPO). Les fortes valeurs de conductivité et du TDS s’observent en face du canal de Vridi et dans les baies du Banco et de Biétry. Les eaux ont un potentiel d’oxydoréduction et une teneur en matières en suspension plus important en période pluvieuse. Les baies enregistrent les teneurs les plus élevées pour la demande biochimique en oxygène et les contaminants azotés et phosphorés. Les valeurs de l’IPO fluctuent de 1,25 à 3,5 en saison pluvieuse et entre 1,5 et 3,5 en saison sèche. L’intensité de la pollution organique des eaux, en saison sèche et saison pluvieuse, varient de modérée à très fortement polluée. Les milieux qui présentent des intensités de pollution fortes ou très fortes pendant les deux saisons sont les baies de Marcory, Cocody, Koumassi, Adiopodomé, Yopougon et de Biétry. La variation des saisons entraine une distribution hétérogène des polluants organiques dans les eaux de la lagune Ebrié. The Ebrié lagoon, a body of water vital to the economy of Côte d'Ivoire, is subject to natural and anthropogenic pressures which have harmful consequences on its aquatic fauna. Indeed, they reject in this hydrosystem large quantities of organic pollutants, causing its eutrophication. A better knowledge of the distribution of these pollutants in the Ebrié lagoon could lead to its sustainable preservation. This study set itself the objective of determining the impact of the variation of the seasons on the distribution of organic pollutants in the waters of the Ebrié lagoon. Two campaigns, carried out in the dry season and in the rainy season, made it possible to measure the values of conductivity, TDS and oxidation-reduction potential with a multi-parameter device of the YSI V2 type and to take water samples. These samples were processed according to the appropriate protocols to obtain the contents of orthophosphate, nitrite, ammonium, suspended solids and BOD5. The levels of nutrient salts and biochemical oxygen demand made it possible to determine the level of organic pollution of lagoon waters, thanks to the organic pollution index (IPO). The high conductivity and TDS values are observed opposite the Vridi channel and in Banco and Biétry bays. The waters have a redox potential and a higher content of suspended solids during the rainy season. Berries record the highest levels for biochemical oxygen demand and nitrogen and phosphorus contaminants. The IPO values fluctuate from 1.25 to 3.5 in the rainy season and between 1.5 and 3.5 in the dry season. The intensity of organic water pollution, in the dry and rainy seasons, varies from moderate to very heavily polluted. The environments with high or very high pollution intensities during both seasons are the bays of Marcory, Cocody, Koumassi, Adiopodomé, Yopougon and Biétry. The variation of the seasons leads to a heterogeneous distribution of organic pollutants in the waters of the Ebrié lagoon.
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CANDELIER, Kévin, et Jean-François TRÉBUCHON. « Bois et Forêts des Tropiques contribue à la médiation scientifique pour accompagner les changements indispensables de la société ». BOIS & ; FORETS DES TROPIQUES 349 (11 octobre 2021) : 2–3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2021.349.a36797.

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Résumé :
Bois et Forêts des Tropiques contribue à la médiation scientifique pour accompagner les changements indispensables de la société Les connaissances et les savoirs sont essentiels pour faire évoluer les sociétés. Ils constituent un élément-clé pour mieux cerner le monde qui nous entoure et mieux comprendre les changements et les défis auxquels nous devons faire face. Le métier de chercheur consiste à exploiter ce gisement intarissable représenté par l’inconnu. Les chercheurs apportent au grand public cette ressource en la modelant de façon à la rendre accessible aux diverses strates de la société. Malgré la multitude de formes imaginées pour interagir, il s’avère que ces dialogues peinent encore à tisser les liens solidaires indispensables entre les différentes parties prenantes pour transformer ensemble le monde. Les citoyens se sentent bien souvent exclus et les scientifiques ont le sentiment de ne pas toujours être bien entendus. La communication ou médiation scientifique, notamment celle liée aux sciences du bois, sciences forestières et sciences de l’environnement, doit aujourd’hui amener à considérer tout public en tant qu’acteur essentiel, en l’invitant à participer aux réflexions scientifiques. Cette ouverture vers le grand public aidera à mieux le préparer aux évolutions de son environnement scientifique tout en développant une pensée critique et rationnelle. Cela amènera tous les citoyens à participer de manière responsable aux grands enjeux sociétaux et environnementaux. C’est donc en introduisant la science dans la société, et vice versa, que les évolutions scientifiques et sociétales seront mieux acceptées. Le travail des chercheurs ne se résume pas uniquement à la publication de leurs expériences et de leurs résultats dans des articles ou tout autre support destiné et réservé uniquement aux univers académique et scientifique. Ce travail de partage de connaissances et savoirs attire le chercheur bien au-delà de cette sphère d’évaluation et de publication nécessaire à la profession. Les chercheurs trouvent des occasions et des solutions pour familiariser le grand public à la démarche scientifique. C’est dans cette perspective que Bois et Forêt des Tropiques s’associe à cette démarche de médiation scientifique et de diffusion des savoirs au sein de la société et vers le grand public. Cette action se traduit par la mise en avant de quelques exemples d’implications de chercheurs des sciences du bois et des sciences forestières. Il est essentiel que le grand public prenne connaissance du fonctionnement des forêts, de leur utilité pour l’environnement, ainsi que des multiples services qu’elles rendent à l’humanité. Pour mieux comprendre tous ces phénomènes observés et les méthodes scientifiques employées, le citoyen a besoin de pratiquer par une mise en situation. Il s’impliquera ainsi plus facilement dans des réflexions collectives relatives aux grands enjeux planétaires et locaux, pour lesquels chacun d’entre nous joue un rôle, qu’il s’agisse de la conservation de la biodiversité, de la protection et de la valorisation des forêts, ou de l’atténuation du changement climatique. Cet engagement sociétal se manifeste par exemple lorsqu’un chercheur intervient auprès d’un jeune public, en accompagnant des enfants à découvrir la démarche scientifique et les postures adoptées dans son travail. C’est ce que nous rapporte l’expérience menée par Candelier et al., en partenariat avec le dispositif « Savanturiers – École de la Recherche », publié ici dans ce numéro de Bois et Forêts des Tropiques. À cette occasion, les auteurs nous décrivent la fraîcheur du candide face à l’inconnu et les nouveaux savoirs qu’ils tentent de faire émerger et d’intégrer avec méthode et rigueur, encadrés par le chercheur. Ce qu’ils nous disent, c’est que cet échange entre la sphère scientifique et la société doit s’adosser aux principes d’une éducation aux sciences et à la démarche scientifique, à un accès équitable à la connaissance, mais aussi, et surtout, à l’incontournable entrelacement collaboratif des différents acteurs en quête de savoirs. Dans ce cas, le chercheur et l’enseignant inscrivent l’élève dans une démarche de pédagogie collaborative tout en le rendant acteur de son auto-apprentissage. Elle déclenche chez l’apprenant les mécanismes pour observer, expérimenter, exposer son jugement et le discuter à travers des jeux, des mises en scène, des ateliers, et via des expériences sensorielles, sociologiques, écologiques. Les possibilités de transmission de savoirs vers la société sont sans limites et parfois même imperceptibles. Elles peuvent apparaître dans des festivals, des expositions, des ateliers pédagogiques, des randonnées nature, dans la presse quotidienne, dans des films, des livres, les bandes dessinées, etc. Les chercheurs sont libres de faire jouer leur imagination et d’utiliser à loisir les médias afin de mieux se connecter avec le citoyen. Cette médiation peut prendre la forme d’une exposition itinérante sur la manière de préserver et de valoriser les forêts d’Afrique centrale, telle qu’organisée par Rossi et Lescuyer (2021), ou un livre adressé au grand public sur les pistes possibles de préservation et de valorisation des forêts tropicales, tel Vivre avec les forêts tropicales rédigé et illustré par le collectif de recherche Forêts et Sociétés (Sist et al., 2021), ou encore un jeu de rôle comme Foster forest (Fouqueray, 2019 et 2020) pour adapter les pratiques professionnelles de la foresterie afin de faire face aux changements climatiques, produit émergeant du parcours d’un doctorant encadré par une équipe de chercheurs. L’énumération serait longue tant elle est foisonnante. Les scientifiques encouragent les différentes strates de la société à s’approprier les savoirs et les connaissances qui les amèneront à prendre des décisions individuelles et collectives éclairées. Par le canal médiatique de Bois et Forêts des Tropiques, ils promeuvent les produits de la recherche autrement que les articles qui y sont publiés traditionnellement. C’est pourquoi paraissent dans les pages de cette revue scientifique et technique des résumés de thèse et des descriptifs techniques. Dans l’avenir, les chercheurs pourront occasionnellement s’y exprimer sous d’autres formes encore, comme l’ont proposé Candelier et al. (2021). Ces efforts de médiation aident à réagir face aux petits et grands défis qui tapissent les paysages de l’environnement dans lesquels nous évoluons tous, tels que les grands changements sociétaux liés à la démographie, le partage des ressources et savoirs, les changements des climats, pour ne citer que ceux-là. L’exposé de ces quelques exemples d’entrelacement sociétal témoignent donc de l’implication quotidienne de la recherche dans la société, et vice versa. Kévin Candelier, Jacques Tassin, Jean-François TrÉbuchon Membres de l’équipe éditoriale de la revue Bois et Forêts des Tropiques
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Poznanski, Thaddée. « Loi modifiant la loi des accidents du travail ». Commentaires 22, no 4 (12 avril 2005) : 558–65. http://dx.doi.org/10.7202/027838ar.

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Résumé :
Le Bill 79 modifiant la Loi (québécoise) des accidents du travail a été sanctionné le 12 août 1967 et est entré en vigueur le même jour, mais plusieurs dispositions essentielles de la nouvelle loi ne prennent effet qu'à compter du 1er septembre 1967. Les changements principaux apportés par ce Bill concernent l'amélioration des prestations versées aux accidentés et à leurs survivants; ceci non seulement pour les accidents qui surviendront à compter du 1er septembre 1967, mais aussi celles versées présentement pour les accidents antérieurs à cette date. Mentionnons, cependant, que pour les accidents survenus à compter du 1er septembre 1967 la limite du salaire annuel compensable est haussée à $6,000, cette limite n'étant avant cette date que de $5,000 et cela à partir du 1er janvier 1960 ($4,000 à partir du 1er janvier 1955, $3,000 à partir du 1er février 1952, $2,500 à partir du 1er juillet 1947 et $2,000 depuis 1931 — l'année d'entrée en vigueur de la Loi des accidents du travail). Pour saisir l'importance de la modification du plafond des salaires compensables de $5,000 à $6,000, on peut mentionner qu'en 1966 presque 40% des accidentés ayant droit à une prestation pécuniaire ont eu un salaire dépassant la limite de $5,000, et dans quelques classes de risque le pourcentage en question dépasse 75% (par exemple: aciéries, etc.). Pour les accidentés d'avant le 1er septembre 1967 le salaire compensable reste le même que lors de l'accident (« gains moyens pendant les douze mois précédant l'accident si son emploi a duré au moins douze mois, ou de ses gains moyens au cours de toute autre période moindre pendant laquelle il a été au service de son employeur »),avec les limites alors en vigueur, même si le salaire effectif de l'accidenté (calculé de la manière précitée) dépassait la limite en question. Mais déjà lors de la revalorisation des rentes effectuée en 1964 (avec effet du 1er octobre 1964) on a tenu compte, dans une certaine mesure, des modifications successives du plafond et les pourcentages ajoutés aux montants des rentes des accidentés d'antan sont basées justement sur l'échelle de ces plafonds et leurs relations. Toutefois, dans l’intention de vouloir couvrir la capitalisation des majorations dues à la revalorisation par le fonds disponible, on s'est vu obligé de n'accorder que 40% de l'augmentation; ainsi, par exemple, pour les accidents des années 1931-1947, quand la limite des salaires compensables était de $2,000 par année, la revalorisation accordée en 1964 était de 60%, tandis que le plafond a augmenté de 150%, à savoir de $2,000 à $5,000; de la même façon, les rentes pour les accidents survenus entre le 30 juin 1947 et le 1er février 1952 ont été augmentées de 40% et celles pour les accidents survenus entre le 31 janvier 1952 et le 1er janvier 1955 de 27% et celles des années 1955-1959 de 10%. La revalorisation prévue présentement, par le Bill 79, est basée sur d'autres principes que celle effectuée en 1964. En premier lieu, il est à noter que lors de la revalorisation en 1964 on n'a pas tenu compte, du moins explicitement, du fait que les rentes des bénéficiaires dont les accidents datent d'avant 1956 sont calculées d'après un taux inférieur à 75% présentement (à partir du 1er janvier 1956) applicable pour l'incapacité permanente totale (et des taux proportionnels en cas d'incapacité permanente partielle), à savoir selon un taux de 66 2/3% pour les accidents survenus de 1931 au 31 janvier 1952 et selon le taux de 70% du 1er février 1952 au 31 décembre 1955. On peut toutefois signaler que les montants des rentes revalorisées en 1964 selon les pourcentages consignés à l'art. 38 de la loi (donc de 40% à 10% selon l'année de l'accident) sont, dans tous les cas, supérieurs aux montants théoriques provenant d'un ajustement hypothétique selon le taux de 75%. En passant, il est à mentionner que dans les autres provinces canadiennes le seul ajustement effectué à date, c'est de recalculer les rentes en les basant sur le taux de 75%. * La revalorisation prévue par le Bill 79 tient compte de trois facteurs. En premier lieu, la majoration de la rente ne part pas du montant initial de la rente, mais de celui augmenté par la revalorisation de 1964. Le deuxième facteur amène toutes les rentes au taux de 75%, expliqué plus haut. Le troisième facteur tient compte du changement de l'indice du coût de la vie entre la date de l'octroi de la rente (date de l'accident) et l'année 1966, avec correction que la rente ainsi ajustée, d'après le coût de la vie, ne soit pas inférieure à celle d'après le principe du taux de 75%. Voici donc la table des majorations prévue par le Bill 79 (annexe A), applicable aux rentes payables le 30 septembre 1967, donc déjà augmentées, le cas échéant d'après la revalorisation de 1964. ANNEXE "A" A LA LOI Année de l'accident Taux de majoration 1931 -1939 40 % 1940 34 % 1941 26 % 1942 21 % 1943 19 % 1944 18 % 1945 7 % 1946 14 % 1947 -1951 12.5 % 1952 -1954 7.14 % 1955 10 % 1956 9 % 1957 5 % 1958 2.2 % 1959 1.1 % 1960 10 % 1961 9 % 1962 8 % 1963 6 % 1964 4 % 1965 2 % Cette échelle des majorations selon l'année de l'accident nécessite, peut-être, quelques explications par des exemples suivants: a) Les rentes provenant des accidents survenus après le 1er janvier 1960, n'étaient pas revalorisées en 1964. D'après l'échelle maintenant adoptée, elles seront majorées selon un taux de 2% par année écoulée depuis l'année de l'accident jusqu'à 1966. b) Les rentes provenant des accidents de la période 1955-1959 ont été revalorisées en 1964 de 10%; pour tenir compte de l'indice du coût de la vie, l'échelle prévoit des augmentations allant de 1.1% à 10% selon l'année de l'accident. c) Les rentes provenant des accidents de la période 1952-1954 ont été revalorisées en 1964 de 27%; après la revalorisation d'un tel pourcentage, les rentes sont déjà plus élevées que d'après l'indice du coût de la vie; l'échelle du Bill prévoit donc pour ces rentes un ajustement de 70% à 75%, c'est-à-dire une majoration de 7.14%. d) Les rentes provenant des accidents de la période 1948-1951 ont été revalorisées en 1964 de 40%; maintenant, d'après le Bill 79, elles sont majorées de 12.5% pour tenir compte de la relation de 75% à 66 2/3%. e) La même chose s'applique aux rentes provenant de la première moitié de l'année 1947, revalorisées en 1964 de 60%. f) Pour les rentes provenant des accidents d'avant le 1er janvier 1947, l'échelle du Bill 79 prévoit une majoration selon l'indice du coût de la vie, car un ajustement de 66 2/3% à 75% serait inférieur. En plus de la revalorisation des rentes aux accidentés, tel que décrit plus haut, le Bill 79 prévoit une majoration substantielle des rentes aux survivants; ces rentes sont, en principe, indépendantes du salaire compensable de l'ouvrier — victime d'un accident. D'après le Bill 79 les rentes mensuelles versées aux veuves (ou veufs invalides) seront portées de $75 à $100, donc une majoration de 33 1/3%. Les rentes pour les enfants seront portées de $25 à $35 par enfant, donc une majoration de 40%, et les rentes aux orphelins de père et de mère de $35 à $55. Mentionnons, en passant, que lorsque de la revalorisation en 1964 des rentes aux accidentés, les montants des rentes aux survivants n'ont pas été modifiés; la rente de veuve au montant de $75 existe depuis le 1er janvier 1960 (antérieurement à cette date elle était de $40 de 1931 à 1947 et de $45 durant la période 1947-1954). De même les rentes pour les enfants au montant de $25 et $35 aux orphelins existent depuis le 1er janvier 1960 (antérieurement elles étaient de $10 resp. $15 durant la période 1931-1947 et de $20 resp. $30 durant la période 1947-54). Il est à remarquer que dans tous les cas le montant des rentes était fixé selon la date du paiement (de l'échéance) quelle que soit la date de l'accident. La loi prévoit à l'art. 34, par. 10 qu'en principe, le total des rentes mensuelles payées au décès d'un ouvrier, ne peut excéder 75% de son salaire compensable et, le cas échéant, les rentes sont réduites proportionnellement. Cependant la rente mensuelle minimum payable à une veuve (ou un veuf invalide) avec un seul enfant est fixée d'après le Bill 79 à $135 en prévoyant ainsi une augmentation de la situation précédente de $35; pour une veuve avec deux enfants la rente est portée de $125 à $170 (une augmentation de $45) et pour une veuve avec plus de deux enfants de $150 à $205 (une augmentation de $55). S'il y a plus que deux enfants admissibles à ces rentes (donc âgés de moins de 18 ans ou aux études ou invalides) le montant à la veuve (y compris pour les enfants) peut excéder le dit montant de $205 par mois lorsque le salaire mensuel de la victime dépasse $273.33 (car 75% de $274 est de $205.50). Le Bill 79 en majorant les rentes en cours payables aux survivants des victimes des accidents survenus avant le 1er septembre 1967, prévoit une augmentation identique aux rentes qui seront accordées aux survivants des victimes des accidents survenus à compter du 1er septembre 1967. En outre, le Bill stipule que l'allocation spéciale payable à la veuve (ou à la mère adoptive) en plus des dépenses encourues pour les funérailles de l'ouvrier, devient $500 au lieu de $300. Une autre amélioration des prestations provient du fait que dorénavant les rentes accordées dans le cas d'incapacité permanente (totale ou partielle) seront versées jusqu'à la fin du mois durant lequel décède un tel rentier. D'après le texte précédent l'ouvrier n'a droit à sa rente que « sa vie durant »; ainsi les rentes exigibles pour le mois dans lequel a eu lieu le décès n'étaient payables (à la succession) que proportionnellement selon le nombre de jours qu'il a vécus (il est à mentionner à cette occasion que la loi parle toujours de la « rente hebdomadaire » quoique ces rentes sont versées en termes mensuels). La modification à ce propos est d'ailleurs conforme aux principes du Régime de rentes où on stipule que « le paiement d'une prestation est dû au début du mois, mais il est versé à la fin de chaque mois pour le mois écoulé ». En parlant des rentes aux victimes des accidents, il peut être intéressant de signaler que la très grande partie de ces rentes sont: payées pour l'incapacité partielle; ainsi selon l'état au 31 décembre 1966 le nombre des rentiers dont l'incapacité ne dépasse pas 20% est d'environ 63% du total et même la proportion de ceux avec une incapacité ne dépassant pas 50% est de 91%. Le degré moyen d'incapacité s'élevait à 24.4%. Parmi d'autres modifications apportées par le Bill 79, on peut mentionner l'article qui couvre le cas d'aggravation d'un mal d'un accidenté du travail. L'amendement prévoit que dans de tel cas la compensation pour l'incapacité temporaire ou permanente sera basée sur le salaire de l'ouvrier au moment de l'aggravation (rechute, etc.) si celle-ci survient plus que trois (3) ans après cet accident, bien entendu lorsque ce salaire est plus élevé que ceux qui ont servi de base pour établir la compensation antérieure. Dans le passé ce délai était de 5 ans. Une autre modification, inspirée celle-ci par la Loi sur le Régime de rentes, prévoit que la CAT peut déclarer morte une personne disparue à la suite d'un accident survenu par le fait ou à l'occasion du travail, dans les circonstances qui font présumer son décès et reconnaître, la date de l'accident (ou la disparition) comme date de son décès, et par le fait même, de verser aux survivants les prestations requises. Une disposition spéciale du Bill 79 concerne le cas de pneumoconiose (silicose et amiantose); d'après la nouvelle teneur de l'article en question la CAT peut accepter une réclamation à cette fin, aussi si la pneumoconiose « est accompagnée d'une autre complication »; dans le passé il existait justement la restriction que la pneumoconiose ne soit « accompagnée d'aucune complication » (art. 108 de la Loi) pour avoir droit à une compensation. Enfin un article du Bill 79 donne droit aux compensations à toute personne qui serait blessée ou tuée alors qu'elle accompagne un inspecteur des mines, en vertu de la Loi des mines, même si c'est un travail d'occasion ou étranger à l'industrie de l'employeur, lesquels cas, règle générale, ne donnent droit aux compensations. De la revalorisation des rentes en cours vont profiter en 1967 environ 15 mille bénéficiaires (soit accidentés ou atteints de maladie professionnelle) et l'augmentation des rentes atteindra $62,500 par mois ou $750,000 par année; cela fait en moyenne environ 10% des montants versés avant la revalorisation. En ce qui concerne les rentes aux veuves leur nombre est d'environ 2,300, tandis que le nombre d'enfants admissibles atteint environ 3,800 (y compris les orphelins de père et de mère, ainsi que les étudiants au dessus de 18 ans et les enfants-invalides). L'article 5 du Bill 79 prévoit que l'obligation de payer l'augmentation des rentes aux accidentés découlant de la revalorisation incombe au fond d'accident ou à l'employeur de la même manière que celle de la rente de base; une disposition semblable se trouvait dans l'amendement de la Loi lors de la revalorisation en 1964. Par contre le Bill 79 ne dit pas explicitement à qui incombe l'obligation de payer l'augmentation des rentes aux survivants décrétée par ce Bill. On peut toutefois déduire de l'art. 3 de la Loi que l'employeur dont l'industrie est mentionnée dans la cédule II (et qui par le fait même ne contribue pas au fond d'accident) est personnellement tenu de payer la compensation y compris la modification accordée par le Bill. D'autre part, toujours d'après le même article, l'employeur dont l'industrie est mentionnée à la cédule I, n'est pas responsable de payer la compensation, étant tenu de contribuer au fond d'accident de la Commission. La réforme des prestations aux survivants (des rentes et de l'allocation spéciale) causées par les accidents mortels, survenus après le 31 août 1967 aura comme conséquence l'augmentation des dépenses de la Commission et, par ricochet, amènera une faible majoration des taux de contributions. On estime que de ce fait le taux futur de contribution devra subir une majoration moyenne de moins de 4% du taux actuel; la majoration ne sera pourtant uniforme dans toutes les classes d'industries ou de risque; elle dépendra, en premier lieu, de la fréquence des accidents mortels qui est très différente selon la classe. Par contre, la revalorisation des rentes aux accidentés et l'ajustement de celles aux survivants (veuve, enfants)en cours en septembre 1967, c'est-à-dire causées par les accidents antérieurs soulève un problème particulier. Lors de la revalorisation des rentes en 1964, la Commission pouvait se prévaloir d'un excédent qui se trouvait (implicitement) dans son fond d'accident, pour former la capitalisation des augmentations des rentes provenant de la dite revalorisation. Contrairement à la position de 1964, la situation financière de la CAT en 1967 n'accuse pas de tel excédent (ni explicitement, ni implicitement) pour former la capitalisation des majorations décrétées par le Bill 79. D'après une déclaration du ministre du Travail en Chambre, les majorations en question exigeraient une capitalisation d'environ $21,5 millions. Il serait impossible (et même illogique) de prélever des employeurs une telle somme d'un seul coup. La Commission pourra donc se prévaloir, paraît-il, des dispositions de l'art. 32 de la Loi qui prévoit que « la Commission peut, de la manière et à telle époque ou à telles époques qu'elle croit le plus équitable et le plus en harmonie avec les principes généraux et les dispositions de la présente loi, prélever des employeurs qui ont exploité dans le passé, qui exploitent actuellement ou qui exploiteront à l'avenir une des industries visées par la présente loi, les sommes additionnelles résultant de l'augmentation des compensations payables en vertu des dispositions de la présente loi ». En vertu de cet article (qui est rédigé quasi « sur mesure » de notre problème) il est donc loisible à la Commission de répartir le montant nécessaire sur une longue période, par exemple 25 ans, en prélevant annuellement à titre de sommes additionnelles (sans nécessairement les identifier comme telles) aux contributions régulières; une telle répartition sur une période de 25 ans exigerait environ 6.4% du montant de la capitalisation nécessaire de $21,5 millions, donc environ $1,400,000 par année; ce montant tient compte d'intérêt à raison de 4% composé annuellement, c'est-à-dire le même que le taux d'escompte appliqué pour évaluer la valeur présente des augmentations accordées. Dans l'hypothèse que les contributions annuelles régulières dépasseront $50 millions, la cotisation additionnelle serait d'ordre de 3% et possible moins, si on envisage que la hausse du plafond des salaires compensables de $5,000 à $6,000 et l'assujettissement projeté de nouveaux groupes des travailleurs augmentera sensiblement le volume global des contributions régulières. D'après le plan quinquennal préparé par la Commission et annoncé par le ministre du Travail dans la Gazette du Travail du Québec (juillet 1967) on peut s'attendre que le nombre des salariés couverts par la Loi augmentera dans 5 ans de 50%, en passant de un million en 1966 à un million et demi en 1972, ceci selon les données disponibles actuellement concernant les nouvelles entreprises qui deviendront progressivement assujetties à la Loi. Lors de la discussion du Bill 79 à l'Assemblée législative on a soulevé la question du rajustement ou de l'adaptation automatique au coût de la vie des prestations de la Commission aux accidentés (et à leurs survivants), tout comme cela est prévu pour les prestations du Régime de rentes (au Québec et dans les autres provinces canadiennes) et aussi pour les pensions (fédérales) de la sécurité de la vieillesse. Selon l'explication donnée en Chambre par le ministre du Travail, le gouvernement a envisagé d'une manière objective la question de la revalorisation automatique future des rentes de la CAT, mais le gouvernement n'a pas voulu cette année, selon l'expression du ministre, en faire une disposition particulière dans la loi, bien qu'on y avait songé; et cela surtout, d'après le ministre, à cause du coût supplémentaire pour les employeurs (lesquels, comme on sait, sont les seuls qui contribuent à la CAT), lequel serait occasionné par un tel ajustement automatique. Le ministre a ajouté que le gouvernement est bien conscient du problème et qu'il ne l'a pas abandonné. Il faut donc comprendre qu'il sera étudié plus tard, peut-être, avec l'ajustement automatique d'autres prestations payables par le gouvernement.1 A ce propos, il est à signaler qu'à date, à notre connaissance, il y a une seule province au Canada, celle de la Colombie-Britannique, dans laquelle les prestations périodiques sont sujettes à un accroissement automatique, selon l'indice des prix à la consommation. En substance, si cet indice augmente d'une année à l'autre de pas moins de 2%, les rentes seront accrues de 2% pour chaque augmentation de 2% de l'indice.
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Mayneris, Florian. « Focus 12 - février 2014 ». Regards économiques, 12 octobre 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2014.02.25.01.

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Résumé :
Afin de redynamiser la zone du Canal, caractérisée par un taux de chômage élevé et un faible revenu de ses résidents, le gouvernement bruxellois a décidé d'offrir des incitants financiers aux entreprises venant s'y installer : extension des aides à l'investissement (la Région bruxelloise pouvant prendre en charge jusqu'à 35 % du coût de ces investissements), aides à l'embauche (avec des subventions pouvant aller jusqu'à 30 % du salaire brut) et, enfin, exemption partielle de la taxe sur les surfaces de bureau (taxe communale pesant sur les entreprises industrielles, commerciales et agricoles). Pour bénéficier de ces aides, les entreprises doivent toutefois respecter une «clause d'embauche locale» : 30 % de leur personnel doit résider dans la zone d'économie urbaine stimulée (ZEUS), qui couvrira plusieurs quartiers le long du Canal, d'Anderlecht à Schaerbeek.
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Labbi, Abdelkader, et Ammar Mokhnache. « Un simple algorithme mono-canal pour l’estimation de la température de surface à partir des images du canal infrarouge thermique de METEOSAT ». Journal of Renewable Energies 13, no 2 (25 octobre 2023). http://dx.doi.org/10.54966/jreen.v13i2.200.

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Résumé :
La température de surface est utilisée dans plusieurs applications, notamment en agro météorologie, climatologie et les études environnementales. Dans cette étude, nous avons développé un algorithme mono-canal pour l’estimation de la température de surface (Ts) dans une bande spectrale donnée, telle que pour le canal infrarouge (IR) du satellite METEOSAT-7. Cet algorithme nous permet de relier par une relation de second ordre la température de surface à la température de brillance (Tb) au niveau du capteur. L’algorithme est obtenu à partir de l’équation de transfert radiatif et exige la connaissance de la transmittance atmosphérique l’émissivité du sol et de la température effective de l’air (Ta). Les résultats obtenus ont été validés à l’aide du code de transfert radiatif Modtran3.5. Pour des valeurs du contenu intégré en vapeur d’eau (W) inférieur ou égale à 3.1 g/cm2 et pour des valeurs des émissivités égale ou supérieur à 0.98, nous avons trouvé que la différence maximale entre la température de surface estimée par l’algorithme et la température de surface simulée par Modtran3.5 ne dépasse pas 2 °C.
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Asseh, Ebah Estelle, Konan Yao et Emma Aké-Assi. « Diversité et Connaissance Ethnobotanique des Espèces de la Famille des Acanthaceae de la Réserve Naturelle Partielle de Dahliafleur, Côte d’Ivoire ». European Scientific Journal ESJ 15, no 9 (31 mars 2019). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2019.v15n9p444.

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TOUZÉ, Olivier. « La séquence gravettienne de Belgique : mise à jour et mises au point ». Comptes Rendus Palevol, no 25 (11 août 2023). http://dx.doi.org/10.5852/cr-palevol2023v22a25.

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Le Gravettien en Belgique est documenté dans un nombre limité de gisements. Il s’agit en général de gisements de grottes ou d’abris sous roche situés dans le bassin mosan, qui ont souvent fait l’objet de fouilles dès le xixe siècle, notamment les plus importants d’entre eux. La connaissance que nous avons du Gravettien belge doit énormément aux recherches de M. Otte. Dans les années 1970, cet auteur a compilé, synthétisé et structuré une documentation éparse et bien souvent imprécise et, sur cette base, formulé une proposition de séquence régionale. Les connaissances accumulées au cours des dernières décennies permettent d’aborder certains aspects de ce modèle sous un angle différent, tandis que de nouvelles questions sont également apparues. Cet article a ainsi pour objectif de dresser un bilan critique du phasage de la séquence gravettienne belge, à partir des données chronologiques et lithiques de quatre sites majeurs : Maisières-Canal, les grottes et l’Abri supérieur de Goyet, et la Station de l’Hermitage. Au terme de ce bilan, trois entités sont identifiées. Le Maisièrien et le Gravettien ancien correspondent à des traditions lithiques, dont les aires de répartition s’étendent sur une partie de l’Europe nord-occidentale, et qui sont bien documentées en Belgique grâce à deux sites de référence. Un Gravettien « post-phase ancienne » est aussi détecté, mais uniquement dans des ensembles dont l’intégrité pose question, ou qui sont limités quantitativement. Seule la découverte de nouveaux sites, fouillés avec des moyens modernes, permettra d’en acquérir une connaissance plus précise.
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Muller, Aurelia Marine, Claudia Thurnherr et Daniel Algernon. « Intégration d’un système CND Impact Echo sur un drone ». e-journal of nondestructive testing 28, no 9 (septembre 2023). http://dx.doi.org/10.58286/28518.

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Résumé :
L’automatisation, même partielle, des procédures de contrôle non-destructif des structures dans le domaine du génie civil présente de nombreux avantages. Parmi ses avantages, on peut citer une plus grande répétabilité des mesures, une diminution des erreurs liée au facteur humain ainsi que la réduction du risque de compromettre la sécurité des personnes. Cette étude explore le concept et le développement du projet UACIS (Uncrewed Aerial Concrete Inspection System), en particulier l’intégration d’un système de mesure Impact Echo. Le projet UACIS consiste à embarquer différentes méthodes de CND par ultrasons via des charges utile interchangeable sur un drone à hélice dans le but de faciliter l’inspection de structure en béton. En particulier, UACIS a pour but de faciliter l’inspection de zones en hauteur dont l’accès s’avère dangereux et difficile. Le drone utilisé dans cette étude est un robot commercial développé par ©Voliro Airbone Robotics qui a été conçu spécifiquement pour permettre un contact physique, en cours de vol, entre le système de mesure embarqué et la structure inspectée. Un système d’inspection Impact Echo, comprenant une sonde piézoélectrique et un élément de frappe solénoïde, a été intègre au drone. Cette méthode est communément utilisée pour l’inspection de structure en béton. L’élément de frappe permet de générer des ondes acoustiques dans le matériau, les ondes sont ensuite captées par la sonde piézoélectrique puis converties en signal A-scan et spectre de fréquence. L’analyse du spectre de fréquence et la connaissance de la vitesse des ondes dans le matériau permettent de caractériser la structure. Les différentes contraintes liées à l’intégration du CND impact écho au drone ainsi que les premiers résultats et mesures effectués seront présenter. Parmi les sujets abordés seront notamment les restrictions en matière de poids et de dimensions, la communication entre les différentes interfaces, la mise en place d’un transfert de données sans fil en temps réel entre le système CND/drone et l'interface utilisateur au sol, l’actionnement à distance de l’élément de frappe et de la sonde, les stratégies d'atténuation du bruit et de traitement du signal.
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Khouja, Nihel, Jihen Hsinet, Kais Abdennadher, Emna Baraketi, Saloua Ismail, Amani Dallagi, Sami Abdelfattah et Aida Benzarti Mezni. « Troubles musculo-squelettiques professionnels du coude en Tunisie : Epidémiologie et conséquences socio-professionnelles ». La Tunisie Médicale 102, no 4 (6 avril 2024). http://dx.doi.org/10.62438/tunismed.v102i4.4546.

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Résumé :
Introduction : Les troubles musculo-squelettiques (TMS) occupent le premier rang des maladies professionnelles (MP) en Tunisie. Ils peuvent toucher le coude et être source d’handicape professionnel. Objectifs: Décrire les caractéristiques épidémiologiques et cliniques des TMS du coude reconnus en Tunisie, déterminer les facteurs associés à ces affections et évaluer leur impact socio-professionnel. Méthodes: Etude descriptive rétrospective portant sur les cas de TMS du coude reconnus comme MP par les Comités de Reconnaissance des Maladies Professionnelles de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie, en Tunisie, entre 2012-2018. Résultats: Nous avons colligé 431 cas de TMS du coude soit 8,35% de toutes les MP reconnues et 11,8% des TMS reconnus durant la même période. L'incidence annuelle moyenne était de 4,3 cas. Les patients avaient un âge moyen de 43,59 ans et une nette prédominance féminine (82,2%). Le secteur d’activité le plus pourvoyeur était l’industrie textile (60,6%). L’ancienneté professionnelle moyenne était de 16,78 ans. Les facteurs biomécaniques étaient des mouvements répétitifs (92,8%), des mouvements forcés (67,1%) et une posture statique prolongée (7,4%). Il s’agissait d’épicondylite latérale (79,1%), d’épicondylite médiale (14,2%) et de syndrome du nerf ulnaire (10,7%). Ces pathologies étaient associées à d’autres TMS notamment le syndrome du canal carpien (25,8%). Ces TMS étaient à l'origine de 15342 jours de travail perdus. Le taux d’incapacité partielle permanente était de 10,6% avec une perte d'emploi chez 15,63%. Conclusion: Les TMS du coude sont responsables de lourdes conséquences économiques et socio-professionnelles justifiant la mise en place d’une stratégie préventive adaptée au sein des secteurs à risque.
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BEMMOUSSAT, Nabil Djawad, et Smail BEMMOUSSAT. « The Sapir-Whorf Hypothesis Revisited : A Reconsideration of the Weltanschauung in an Algerian EFL Context ». Revue plurilingue : Études des Langues, Littératures et Cultures 7, no 1 (14 juillet 2023). http://dx.doi.org/10.46325/ellic.v7i1.96.

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Résumé :
Language teaching theorists, unanimously, recognize de facto that culture teaching is a vital component of any language course, be it second or foreign. Knowledge of the target culture, awareness of its dominant characteristics and of the striking differences between the target culture and the mainstream culture should constantly be part of a language teaching menu. Thus, considering a priori the oft-held view that language teaching consists of the four skills plus culture is at present all too often held to be partially true, yet more deluding than enlightening; culture in the language teaching-learning process ought not to be is an expendable fifth skill: an added frill. Additionally, culture teaching should not be restricting, as it were, to a mere passing of information about the people of the target language, and about their general thoughts and worldviews. However, a large load of what is called culture is a sheer social construct, an unmitigated product of self- perceptions and others’ weltanschauung. This ethno-linguistic dimension, assuming that different languages are likely to lead people to perform different actions because language shapes their worldview, is the nub of our research work. Language-wise, what is the place of this hypothesis, and its pedagogical implications in our Algerian EFL classroom? The answer to the question represents the general lay-out of the present article. Résumé Les théoriciens de l’enseignement des langues reconnaissent unanimement et de facto que l’enseignement de la culture est un élément vital dans la composante d’un cours de langue, qu’elle soit seconde ou étrangère. Une connaissance de la culture cible, une sensibilisation aux caractéristiques dominantes et aux différences pertinentes entre la culture cible et la culture dominante devrait, d’une manière constante, faire partie intégrale d’un menu d’un cours de langue. On considérant a priori, que l’enseignement d’une langue consiste à développer les quatre compétences plus culture, cette approche est de nos jours une vérité partielle, plus fallacieuse qu’instructive. La culture dans le processus de l’enseignement et l’apprentissage des langues ne devrait pas être une cinquième compétence optionnelle : un volant ornemental. En outre, l’enseignement de la culture ne doit pas se limiter à une simple transmission d’information sur les personnes parlant la langue cible, et sur leurs pensées et leurs visions du monde. Cependant, une grande partie de ce qu’on appelle culture n’est qu’une conception ou construction sociale, un produit absolu des self-perceptions et de la weltanschauung des autres. Cette dimension ethnolinguistique, supposant que différentes langues entrainent probablement des individus à effectuer des actions différentes parce que la langue agit comme un filtre sur leur vision du monde, constitue l’essence même de ce travail de recherche. Côté langue, quelle place accordons-nous à cette hypothèse, et quelles en sont les implications pédagogiques dans une classe d’enseignement d’anglais en Algérie ? La réponse à cette question représente le plan général du présent travail.
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Administrateur- JAIM, Adjirata KOAMA, Bénilde Marie-Ange TIEMTORE–KAMBOU, Céline BAMBARA, Donald BAYALA et Rabiou CISSE. « La dysplasie fibreuse de l’os temporal, une cause rare de surdité de diagnostic scanographique : rapport de cas ». Journal Africain d'Imagerie Médicale (J Afr Imag Méd). Journal Officiel de la Société de Radiologie d’Afrique Noire Francophone (SRANF). 15, no 4 (19 décembre 2023). http://dx.doi.org/10.55715/jaim.v15i4.555.

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Résumé :
Introduction : Fibrous dysplasia is a rare benign congenital pathology. Its temporal location is rare with auditory complications. In the literature, only 60 cases have been described to our knowledge. The scanner do its diagnosis; we report a case, in order to recall the CT semiology. Observation : 46-year-old woman is admitted for left-sided hypoacusis associated with chronic left ear dysmorphism. She is referred to an ENT specialist for better management. Physical examination showed a detachment of the left pinna and a hard mass bulging the anterior wall of the left external auditory canal. Threshold tone audiometry revealed severe mixed first-degree hearing loss with a hearing threshold of 72 dB on the left. Computed tomography of the petrous bones showed diffuse hyperdensity of the temporal bone with a sclerotic appearance and hypertrophy. There was also a densification of the footplate of the stapes and a widening of the ossicular V. The diagnosis fibrous dysplasia of the temporal bone was retained. Awaiting histological confirmation and a therapeutic proposal, the patient was lost to sight. Conclusion : Fibrous dysplasia of the temporal bone is a rare pathology. The scanner of the petrous bone makes it possible to make a positive diagnosis and to detect the damage, in particular the ossicular, responsible for the deafness. RÉSUMÉ Introduction : La dysplasie fibreuse est une pathologie congénitale bénigne rare. Sa localisation temporale est rare et émaillée de complication auditive. Dans la littérature seulement 60 cas ont été décrit à notre connaissance. Le scanner permet de faire son diagnostic ; nous rapportons un cas, afin de rappeler la sémiologie scanographique. Observation : Il s’agit d’une patiente de 46 ans, reçu pour hypoacousie à prédominance gauche associée à une dysmorphie de l’oreille gauche d’évolution chronique. Devant l’intensification des symptômes elle est référée en ORL pour une meilleure prise en charge. On ne retrouvait pas d’antécédent familial ou personnel particulier. L’examen physique montrait un décollement du pavillon gauches et une masse dure bombant la paroi antérieure du conduit auditif externe gauche. L’audiométrie tonale liminaire retrouvait une déficience auditive sévère de premier degré mixte avec un seuil auditif de 72 dB à gauche. La tomodensitométrie des rochers a montré une hyperdensité diffuse en verre dépoli de l’os temporal avec une hypertrophie osseuse. On notait également une densification de la platine de l’étrier et un élargissement du V ossiculaire. Le diagnostic dysplasie fibreuse de l’os temporal a été retenu. En attente d’une confirmation histologique et d’une proposition thérapeutique, la patiente a été perdu de vu. Conclusion : La dysplasie fibreuse de l’os temporal est une pathologie rare. Le scanner du rocher permet de faire le diagnostic positif et de détecter les atteinte notamment ossiculaire responsable de la surdité.
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Vibert, Stephane. « Tradition et modernité ». Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.081.

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« Tradition » et « modernité » sont longtemps apparues, pour les sciences sociales et le sens commun, non seulement comme des notions relatives, initialement définies l’une par rapport à l’autre dans un rapport d’exclusivité mutuelle, mais plus encore, comme des qualificatifs désignant de véritables régimes d’humanité – sociétés traditionnelles et modernes. Pourtant, de l’intérieur même du champ anthropologique, de nombreuses critiques se sont régulièrement élevées à l’encontre de ce découpage trop schématique, appelant à davantage de réflexivité quant à l’usage de ces catégories englobantes. En effet, durant une majeure partie de son existence, l’anthropologie a été associée à l’étude des sociétés « primitives », ou « traditionnelles », alors que la description des sociétés « civilisées », ou « modernes », était dévolue à la sociologie. Cette distinction épousait de fait l’auto-compréhension des sociétés occidentales, dont la reconstruction évolutionniste de l’histoire de l’humanité présentait celle-ci selon une succession linéaire et nécessaire de stades indiquant les progrès de l’esprit humain, manifestes tant au niveau de l’organisation sociale, de la connaissance des phénomènes, de la morale personnelle que des réalisations matérielles et techniques. Aussi, dès la rencontre effective avec des sociétés aux langues, mœurs, croyances ou activités dissemblables, l’intérêt pour l’altérité comme différence s’est trouvé en tension avec une volonté de classification abstraite, selon une philosophie de l’histoire élaborée à partir des catégories intellectuelles propres à la trajectoire occidentale. Cela passe notamment, à partir des 18éme-19èmes siècles, par une auto-identification à la Raison universelle, seule apte à circonscrire le savoir « vrai » sur la réalité physique ou sociale, à distance de tous les préjugés enfermant l’humain dans la coutume, l’ignorance et la superstition. De cette configuration culturelle particulière (dite « post-traditionnelle »), nouveau mode de représentation du monde et de l’Homme apparu à la Renaissance et aboutissant aux Lumières, découleront tant un ensemble de processus socio-politiques définissant la « modernité » (développement scientifique et technique, révolution industrielle, État de droit, capitalisme marchand, individualisation des comportements et des valeurs, etc.) qu’une opposition globale à la « tradition » (les « survivances », en termes évolutionnistes). Ce « désenchantement du monde » – pour reprendre l’expression célèbre de Max Weber –, sera perçu à travers une dichotomie généralisée et normativement orientée, déclinée sous de multiples aspects : religion / science, immobilisme / changement, hiérarchie / égalité, conformisme / liberté, archaïsme / progrès, communauté / société, etc. Si le « grand partage » entre Nous et les Autres, entre modernité et tradition, a pu constituer un soubassement fondamental à la prime ambition empirique et positiviste du savoir anthropologique, il n’en a pas moins dès l’origine de la discipline été contesté sur bien des points. En anthropologie, l’idée d’une tradition fixe et rigide s’avère critiquée dès Malinowski, l’un des premiers à souligner la rationalité contextuelle des « primitifs » en référence à leurs règles communes de coexistence, et à récuser l’assimilation indue de la tradition à une obéissance servile et spontanée, sorte d’inertie mentale ou d’instinct groupal. Chez les Trobriandais ou ailleurs, soulignait-il, « dans des conditions normales, l’obéissance aux lois est tout au plus partielle, conditionnelle et sujette à des défaillances et (…) ce qui impose cette obéissance, ce ne sont pas des motifs aussi grossiers que la perspective du châtiment ou le respect de la tradition en général, mais un ensemble fort complexe de facteurs psychologiques et sociaux » (Malinowski, 2001 : 20). L’anthropologie, par sa mise en valeur relativiste des multiples cultures du monde, insistera alors davantage sur l’importance de la tradition dans la constitution de toute société, comme ensemble de principes, de valeurs, de pratiques, de rituels transmis de génération en génération afin d’assurer la permanence d’un monde commun, fût-ce à travers d’essentielles dynamiques de réappropriation, d’altération et de transformation, trait fondamental de toute continuité historique. Selon Jean Pouillon, « la tradition se définit – traditionnellement – comme ce qui d’un passé persiste dans le présent où elle est transmise et demeure agissante et acceptée par ceux qui la reçoivent et qui, à leur tour, au fil des générations, la transmettent » (Pouillon, 1991 : 710). En ce sens, « toute culture est traditionnelle », même si elle se conçoit comme radicalement nouvelle et en rupture totale avec le passé : son inscription dans la durée vise implicitement un « devenir-tradition ». Dès les années 1950, le courant « dynamique » de l’anthropologie britannique (Gluckman, 1956 ; Leach, 1954 ; Turner, 1957), les analyses de l’acculturation aux États-Unis (Herskovits, 1955) ou les travaux pionniers de Balandier (1955) et Bastide (1960) en France avaient montré combien les « traditions », malgré les efforts conservateurs des pouvoirs religieux et politiques afin de légitimer leur position, recelaient de potentialités discordantes, voire contestataires. A partir des années 1980, certains courants postmodernes, post-coloniaux ou féministes en anthropologie (Clifford et Marcus, 1986 ; Appadurai, 1996 ; Bhabha, 1994 ; Abu-Lughod, 1993), souvent inspirés par la French Theory des Foucault, Deleuze ou Derrida (Cusset, 2003), se sont inscrits dans cette veine afin d’élaborer une critique radicale de la perspective moderne : partant du native point of view des populations subalternes, objectivées, dépréciées et opprimées, il s’agit de dénoncer le regard implicitement colonialiste et essentialiste, qui – au nom de la science objective – avait pu les rejeter unanimement du côté de l’archaïsme et de l’arriération.. Cette reconsidération féconde de la « tradition » rejaillit alors nécessairement sur son envers relatif, la « modernité ». A partir des années 1950, suite au cataclysme totalitaire et aux puissants mouvements de décolonisation, apparaît une critique anthropologique argumentée des principes de développement et de modernisation, encore approfondie dans les années 1990 avec la fin du communisme réel en Europe et l’avènement d’une crise écologique liée à l’hégémonie du capitalisme industriel. Sous l’effet d’une « mondialisation » aux dimensions hétérogènes voire contradictoires, l’Occident semble redécouvrir les vertus des approches dites « traditionnelles » en de nombreux domaines (spiritualité, médecine, artisanat, agriculture, patrimoine, etc.), à la faveur de réseaux d’information et de communication toujours plus denses. Sans trancher sur le fait de savoir si notre époque globalisée relève encore et toujours de la modernité (seconde, avancée ou tardive), ou alors de la postmodernité (Bonny, 2004) du fait des formes hybrides ainsi produites, la remise en cause de la rationalité progressiste entendue comme « métarécit » (Lyotard, 1979) semble favoriser une compréhension plus équilibrée des « traditions vivantes », notamment des mœurs des populations autochtones ou immigrées (pluralisme culturel, tolérance religieuse, éloge de la diversité et du cosmopolitisme), même si certaines contradictions n’en apparaissent pas moins toujours prégnantes entre les divers répertoires de sens disponibles. Dès lors, les deux termes du contraste classique tradition / modernité en ressortent désormais foncièrement relativisés, et surtout complexifiés. Les études historiques ont montré combien les sociétés apparemment les plus modernes contribuaient plus ou moins consciemment à une constante « invention de traditions » (Hobsbawm et Ranger, 1992), évidente dans la manifestation de certains nationalismes ou fondamentalismes religieux cherchant à légitimer leurs revendications politiques et culturelles les plus contemporaines par le recours à un passé idéalisé. D’une certaine manière, loin d’avoir strictement appliqué un programme rationaliste de séparation nature / culture, « nous n’avons jamais été modernes » (Latour, 1991), élaborant plutôt à notre insu un monde composite et hétéroclite, sous la domination d’un imaginaire social qui érige paradoxalement le progrès, la rationalité et la croissance en mythe de la maîtrise rationnelle. Et lorsqu’elle s’exporte, cette « ontologie naturaliste » (Descola, 2005) se voit réinterprétée, transformée, voire inversée, selon une « indigénisation de la modernité » (Sahlins, 2007 : 295) qui bouscule tant les univers locaux de signification que les principes globaux d’arraisonnement du monde. S’avère désormais entérinée l’existence de « modernités multiples », expression synonyme d’une évolution différenciée des trajectoires socio-culturelles à travers des cheminements à la fois interreliés, métissés, contingents et comparables. A l’inverse, nul ne semble pouvoir dorénavant se réclamer ingénument de la tradition sans être confronté à un paradoxe fondamental, déjà repéré par Hocart (1927) : puisqu’elle ne vit généralement qu’ignorée de ceux qui la suivent (selon un agir pratique incorporé dans les us et coutumes du quotidien), on fait appel à la tradition d’abord pour justifier ce qui justement ne va plus de soi, et se trouve en danger de disparaître. Ce passage de la tradition au « traditionalisme » peut prendre à la fois la forme légitime d’une sauvegarde de valeurs et coutumes ou de la résistance à la marchandisation globale, mais aussi le visage grimaçant d’une instrumentalisation idéologique, au service d’un ordre social chimérique, soi-disant pur et authentique, fût-il répandu par les moyens technologiques les plus modernes.
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