Articles de revues sur le sujet « Colonne de la Grande Armée »

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1

Marill, Jean-Marc. « L’offensive à outrance : une doctrine unanimement partagée par les grandes puissances militaires en 1914 ». Revue Historique des Armées 274, no 1 (1 janvier 2014) : 49–64. http://dx.doi.org/10.3917/rha.274.0049.

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Résumé :
Au lendemain des hécatombes que connaissent les armées françaises durant les premières semaines de la Grande Guerre et dans les décennies qui suivent, le constat qui domine chez beaucoup d’observateurs est celui d’un haut commandement défaillant victime d’une mauvaise doctrine : l’offensive à outrance. Les principaux promoteurs de cette doctrine et en premier lieu, le lieutenant-colonel de Grandmaison, sont mis en cause. Depuis lors ces affirmations, devenues représentations, sont reprises sans réel réexamen ; elles sont pourtant largement à nuancer. Tout d’abord, cette « mystique de l’offensive » est partagée par toutes les armées étrangères de l’époque et ne constitue pas un phénomène franco-français qui, lui, s’explique de manière rationnelle par les enseignements et traumatismes nés de la guerre de 1870. Ensuite, la doctrine de l’offensive à outrance se voit singulièrement tempérée par les règlements d’alors qui prennent en compte les notions de sûreté et de renseignement ou encore la nécessité de manœuvrer comme celle de se protéger du feu, autant de principes qui vont à l’encontre d’une armée composée d’officiers fanatiques ne répondant qu’au seul dogme de la « poussée en avant ».
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2

Bourlet, Michaël. « Les volontaires latino-américains dans l’armée française pendant la Première Guerre mondiale ». Revue Historique des Armées 255, no 2 (1 avril 2009) : 68–78. http://dx.doi.org/10.3917/rha.255.0068.

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Résumé :
Dans l’histoire de l’Amérique latine au XX e siècle, la Première Guerre mondiale apparaît comme un épisode marginal. Pourtant, plusieurs centaines de Latino-Américains se sont engagés et ont combattu dans les armées européennes entre 1914 et 1919. Seul le cas français est envisagé pour cette étude, mais des Latino-Américains ont aussi combattu dans les rangs des armées allemande, austro-hongroise ou ottomane. L’exemple le plus connu est celui de Rafaël de Nogales Mendez (1879-1936), Vénézuélien, servant dans l’armée ottomane avec le grade de colonel (Bey). Ces combattants latino-américains ont laissé très peu de témoignages mais quelques souvenirs ont été publiés et étudiés par les historiens. Comment se définissent-ils et quelles sont les raisons qui les conduisent à servir les armes de la « Grande Nation » ?
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Brun, Jean-François, et Jean-François Brun. « Le cheval dans la Grande Armée ». Revue Historique des Armées 248, no 3 (1 août 2007) : 38–74. http://dx.doi.org/10.3917/rha.249.0038.

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Résumé :
Les armées du Consulat et du Premier Empire recourent au cheval comme moyen de déplacement ou force de traction. La proportion s’établit globalement autour d’un cheval pour sept hommes (mais atteint un pour quatre en campagne, essentiellement par l’accroissement des capacités de traction). Les limites structurelles de l’économie préindustrielle empêchent toutefois de remplacer aisément un trop grand nombre d’animaux à la fois, d’où les efforts pour préserver et soigner autant que possible les chevaux au sein des armées. Quoique ne constituant plus l’arme de la décision, la cavalerie, qui combat essentiellement par le choc, reste indispensable pour l’acquisition du renseignement, les missions de sûreté ou l’exploitation de la victoire. La militarisation des moyens de déplacement se traduit de son côté par la création des trains d’artillerie (1800), du génie (1806) et des équipages (1807). Mais les capacités logistiques demeurent limitées (d’où l’échec de la campagne de Russie). Néanmoins, la cavalerie conserve encore, aux yeux de l’opinion publique, tout son prestige.
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Del Negro, Piero, et Adam Molho. « Les Italiens dans la Grande Armée ». Revue Historique des Armées 250, no 1 (1 janvier 2008) : 16–24. http://dx.doi.org/10.3917/rha.250.0016.

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Résumé :
Après avoir insisté sur l’importance des caractéristiques politico-militaires des trois Italie napoléoniennes (royaume d’Italie, royaume de Naples et départements intégrés dans l’Empire français), l’article analyse la participation de l’armée du royaume d’Italie à la campagne de Russie, en comparaison avec la campagne d’Espagne, à travers trois aspects principaux : a) le cadre militaire, b) le rôle – dans le cadre militaire – du patriotisme italien, c) la mémoire de la guerre. Se trouvent ainsi soulignées les contradictions entre le patriotisme des officiers italiens, dans une large mesure subordonnés au culte de Napoléon et aux valeurs et aspirations professionnelles, et la tendance de la mémoire commémorative italienne de considérer la campagne de Russie comme un évènement tragique, isolé, et de fait privé d’une retombée politico-militaire sur la renaissance de la Péninsule, contrairement à l’épisode espagnol.
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Brun, Jean-François. « Le cheval dans la Grande Armée ». Revue Historique des Armées 249, no 4 (1 décembre 2007) : 38–74. http://dx.doi.org/10.3917/rha.249.0038a.

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Résumé :
Les armées du Consulat et du Premier Empire recourent au cheval comme moyen de déplacement ou force de traction. La proportion s’établit globalement autour d’un cheval pour sept hommes (mais atteint un pour quatre en campagne, essentiellement par l’accroissement des capacités de traction). Les limites structurelles de l’économie préindustrielle empêchent toutefois de remplacer aisément un trop grand nombre d’animaux à la fois, d’où les efforts pour préserver et soigner autant que possible les chevaux au sein des armées. Quoique ne constituant plus l’arme de la décision, la cavalerie, qui combat essentiellement par le choc, reste indispensable pour l’acquisition du renseignement, les missions de sûreté ou l’exploitation de la victoire. La militarisation des moyens de déplacement se traduit de son côté par la création des trains d’artillerie (1800), du génie (1806) et des équipages (1807). Mais les capacités logistiques demeurent limitées (d’où l’échec de la campagne de Russie). Néanmoins, la cavalerie conserve encore, aux yeux de l’opinion publique, tout son prestige.
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Steinberg, Sylvie. « Souvenirs d’une courtisane de la Grande Armée ». Annales historiques de la Révolution française, no 344 (1 juin 2006) : 257–59. http://dx.doi.org/10.4000/ahrf.6673.

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Coulson, Bruno. « Jonathan Abel, Guibert : Father of Napoleon’s Grande Armée ». European History Quarterly 48, no 2 (avril 2018) : 325–26. http://dx.doi.org/10.1177/0265691418765637.

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Cañas de Pablos, Alberto. « BAR SHUALI, Jonathan Jacobo. (2022) Breve historia del Ejército Napoleónico. La Grande Armée de Napoleón y sus aliados. Madrid, Nowtilus, 377 pp. » Pasado y Memoria, no 26 (30 janvier 2023) : 490. http://dx.doi.org/10.14198/pasado.22946.

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Bralewski, Sławomir. « Porfirowa kolumna w Konstantynopolu i jej wczesnobizantyńska legenda ». Vox Patrum 55 (15 juillet 2010) : 95–110. http://dx.doi.org/10.31743/vp.4327.

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Résumé :
La colonne de porphyre à Constantinople qui a été créée pendant les règnes de Constantin le Grand dans les années 324- 330, occupe une place extraordinaire dans l’histoire de la capitale orientale d’Imperium Romanum. Elle est devenue même le symbole légendaire de la ville. Mesurant 37 mètres d’hauteur et finie par la statue de l’empereur Constantin- Helios, la colonne devait comporter des reliques de grande valeur pour les chrétiens. Elle constituait aussi un point important dans les célébrations des victoires de l’empereur. De plus, les habitants de la ville croyaient que la colonne pourrait leur assurer la délivrance dans le cas de la destruction de leur monde. Les débuts de la légende de la colonne de porphyre apparaissent avec le début de Byzance. Dans cet article, je voudrais présenter ce que constituait cette tradition et établir si la conscience de l’importance particulière de la colonne existait déjà au début de Byzance. En ce temps- là, le monument liait les idées païennes et chrétiennes, étant le sacrum aussi bien pour les uns que pour les autres. Il est très intéressant de voir comment la colonne a été présentée par les historiens d’église de Constantinople au milieu du Vème siècle: Socrate et Sozomène. Dans son “Histoire ecclésiastique”, Socrate a mentionné la colonne deux fois: d’abord dans la description de la découverte des reliques da la Sainte Croix par Hélène, la mère de Constantin le Grand, et puis quand il présentait les circonstances de la mort de l’hérésiarque Arius. Dans le premier cas, Socrate décrit la colonne comme un lieu où on a mis les reliques de la Sainte Croix: l’empereur qui les a reçues de sa mère, étant convaincu que la ville où se trouverait cette saintété ne pourrait pas déperir, a ordonné de les cacher dans sa propre statue. Dans le
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Bruyère-Ostells, Walter. « Leipzig : les perceptions de l’honneur dans la grande armée ». Inflexions N° 27, no 3 (2014) : 75. http://dx.doi.org/10.3917/infle.027.0075.

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Crépin, Annie. « Walter Bruyère-Ostells, La grande armée de la liberté ». Annales historiques de la Révolution française, no 360 (1 juin 2010) : 264–66. http://dx.doi.org/10.4000/ahrf.11833.

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Catros, Philippe. « Souvenirs d’un cavalier de la Grande Armée 1800-1810 ». Annales historiques de la Révolution française, no 348 (1 juin 2007) : 218–20. http://dx.doi.org/10.4000/ahrf.9583.

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Baldini, Charles. « Normandie-Niemen : l’amalgame des aviateurs de la france libre et de l’armée d’armistice au cœur de l’URSS ». Guerres mondiales et conflits contemporains N° 291, no 3 (30 juin 2023) : 91–104. http://dx.doi.org/10.3917/gmcc.291.0091.

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Résumé :
Durant l’hiver 1943-1944, Normandie-Niémen, pour devenir un régiment de chasse de la nouvelle armée de l’air réunifiée, doit recevoir de nombreux renforts de l’ancienne armée d’armistice. L’escadrille emblématique de la France libre, combattant aux côtés des Soviétiques depuis le début de l’année, doit réaliser un amalgame de grande ampleur. À partir des témoignages des vétérans, notamment des archives orales conservées par le Service Historique de la Défense (SHD), cet article vise à étudier la manière dont l’amalgame a été réalisé malgré les fortes tensions entre les pilotes qui, pendant deux ans, se sont opposés parfois les armes à la main.
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Baty, Régis. « Les prisonniers oubliés de la campagne de Russie ». Revue Historique des Armées 267, no 2 (1 avril 2012) : 51–59. http://dx.doi.org/10.3917/rha.267.0051.

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Résumé :
Le 24 juin 1812 et dans les jours qui suivirent, une armée de plus de 500 000 hommes traversait le Niémen dans le but de contraindre la Russie tsariste à se plier à l’ordre que Napoléon I er voulait imposer au reste de l´Europe. Cinq mois et quelques jours plus tard, par des températures extrêmes, les restes de cette Grande Armée parvenaient non sans peine à s’extraire des rives orientales de la Bérézina. Dans les semaines qui suivirent, une partie des survivants de cette bataille, qui permit l´armée française d´échapper à un encerclement qui lui eût été fatal, devait encore mourir de froid, d´épuisement et de maladie. Combien parmi ceux qui ne regagnèrent pas les rives occidentales du Niémen furent-ils capturés par les Russes ? Quel sort connurent-ils dans la Russie d’Alexandre I er ? Et quelles traces ont-ils laissées dans les archives et la mémoire collective ?
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Brun, Jean-François. « La « maintenance opérationnelle » à la Grande Armée : un concept novateur ? » Revue Historique des Armées 297, no 4 (4 janvier 2019) : 73–83. http://dx.doi.org/10.3917/rha.297.0073.

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Kissoun, Bruno. « Emmanuel PHILIBERT : de la Grande Armée aux fortifications de Guadeloupe ». Bulletin de la Société d'Histoire de la Guadeloupe, no 160 (2011) : 3. http://dx.doi.org/10.7202/1036814ar.

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Kintz, Jean-Pierre. « Gueth (Francis), Robichon (François), La Grande Armée par Victor Huen ». Revue d’Alsace, no 132 (1 septembre 2006) : 581–82. http://dx.doi.org/10.4000/alsace.1403.

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Sabourin, Lise. « Philippe de Carbonnières, La Grande Armée de papier. Caricatures napoléoniennes ». Studi Francesi 202 (LXVIII | I) (2024) : 198–99. http://dx.doi.org/10.4000/11wk6.

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Rouquet, Aurélien. « Les racines oubliées de la logistique ». Revue Française de Gestion 47, no 297 (mai 2021) : 35–52. http://dx.doi.org/10.3166/rfg.2021.00548.

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Résumé :
Cet article revient à l’origine de la logistique. Pour cela, il étudie la fonction de « Maréchal général des logis », à partir de laquelle Jomini forge le terme de « logistique ». En analysant 18 traités militaires parus entre le 16e et le 18e siècle, l’article montre que ce qui pousse à la création de la fonction, c’est la difficulté à l’époque d’organiser les logements et les déplacements d’une armée de plus en plus grande. Le maréchal général des logis est celui qui coordonne les phases d’arrêt et de marche d’une armée en campagne, en mobilisant des compétences géographiques, mathématiques et informationnelles et en s’appuyant sur une structure opérationnelle faite de fourriers, de guides et de vaguemestres.
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Bols, P. E. J., E. Dumas, J. Op de Beeck et H. F. M. De porte. « De Maréchal-Vétérinaire in de Grande Armée van Napoleon (1805-1815) ». Vlaams Diergeneeskundig Tijdschrift 84, no 6 (29 décembre 2015) : 333–42. http://dx.doi.org/10.21825/vdt.v84i6.16440.

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Résumé :
Op 18 juli 2015 was het precies tweehonderd jaar geleden dat Napoleon met zijn Grande Armée werd verslagen door de geallieerde strijdkrachten in wat de geschiedenis zou ingaan als de Slag bij Waterloo. Tijdens de tien jaar die aan deze nederlaag voorafgingen, bouwde de Franse keizer een gigantische troepenmacht uit waarin de bereden component of cavalerie een zeer belangrijke rol speelde. Omdat de paarden die hierin figureerden eerder al het onderwerp waren van een publicatie in dit tijdschrift, richt dit artikel specifiek de aandacht op de militaire veeartsen die als paardenarts instonden voor de verzorging van de honderdduizenden legerpaarden die tijdens het verloop van het keizerrijk onder de wapens werden gebracht. Na een korte inleiding over het ontstaan van het veeartsenijkundig onderricht, wat hand in hand ging met de geboorte van de militaire veearts, wordt dieper ingegaan op zijn rekrutering, statuut en werkomgeving. Hierbij wordt de rol van de keizer zelf beschreven met een bespreking van het decreet van Moskou dat voor het veeartsenijkundig onderwijs van zeer groot belang is geweest. Tenslotte worden de werkomstandigheden van de militaire veeartsen belicht aan de hand van enkele ooggetuigenverslagen.
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Mikaberidze, Alexander. « Napoleon’s Lost Legions. The Grande Armée Prisoners of War in Russia ». Napoleonica La Revue 21, no 3 (2014) : 35. http://dx.doi.org/10.3917/napo.153.0035.

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Brun, Jean-François. « Du Niémen à l’Elbe : la manœuvre retardatrice de la Grande Armée ». Revue Historique des Armées 267, no 2 (1 avril 2012) : 3–32. http://dx.doi.org/10.3917/rha.267.0003.

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Résumé :
Trop fréquemment, l’évocation de la retraite de Russie s’achève sur le franchissement tactique de la Bérézina, qui permet à la Grande Armée d’échapper à la tenaille russe. Mais les survivants ne s’égaillent pas dans la nature pour joindre, dans la deuxième quinzaine d’avril 1813, les régiments nouvellement levés qui entament la contre-offensive contre les coalisés à partir de l’Elbe. En réalité, une manœuvre retardatrice est menée du Niémen à l’Elbe, de décembre 1812 à avril 1813. Ce mouvement rétrograde continu constitue le « chaînon manquant » qui permet de lier la campagne de Russie aux campagnes de Saxe et de France, faisant ainsi un tout des guerres menées par l’Empire français contre un nombre toujours plus important d’adversaires européens, de juin 1812 à avril 1814.
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Lévisse-Touzé, Christine. « L’armée d’Afrique : armée de transition pour une grande revanche ? 1940-1942 ». Revue Historique des Armées 188, no 3 (1992) : 10–19. http://dx.doi.org/10.3406/rharm.1992.4161.

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Raoult, D., O. Dutour et L. Houhamdi. « Les poux, responsables de la débâcle de la Grande Armée en Russie ? » Revue Francophone des Laboratoires 2006, no 380 (mars 2006) : 17. http://dx.doi.org/10.1016/s1773-035x(06)80112-7.

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de Saint-Julien, J. « Le baron Percy (1754–1825). Chirurgien en chef de la Grande-Armée ». Chirurgie 123, no 3 (juin 1998) : 313–17. http://dx.doi.org/10.1016/s0001-4001(98)80127-x.

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Calvet, Stéphane. « La mort des anciens officiers de la grande armée à travers l'exemple charentais ». Annales historiques de la Révolution française 348, no 1 (2007) : 165–83. http://dx.doi.org/10.3406/ahrf.2007.3254.

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Calvet, Stéphane. « La mort des anciens officiers de la Grande Armée à travers l’exemple charentais ». Annales historiques de la Révolution française, no 348 (1 juin 2007) : 165–83. http://dx.doi.org/10.4000/ahrf.9343.

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Calvès, Bruno. « Valéry Giscard d'Estaing, La victoire de la Grande Armée, Paris, Editions Plon, 2010 ». Napoleonica La Revue 10, no 1 (2011) : 111. http://dx.doi.org/10.3917/napo.111.0111.

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Blanco Mas, Jorge. « Breve historia del Ejército Napoleónico. La Grande Armée de Napoleón y sus aliados ». Atenea 2, no 1 (2 avril 2024) : 159–61. http://dx.doi.org/10.61926/ra.v2i1.32.

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Nau, Jean-Yves. « «Moi, Dominique Jean Larrey, baron et chirurgien en chef de la Grande Armée» ». Revue Médicale Suisse 1, no 2 (2005) : 186. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2005.1.2.0186.

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Mak, Ariane. « La guerre des V. » 20 & ; 21. Revue d'histoire N° 156, no 4 (15 septembre 2023) : 103–28. http://dx.doi.org/10.3917/vin.156.0103.

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Résumé :
Le 17 janvier 1941, Victor de Laveleye, speaker belge de la BBC, enjoint ses compatriotes à inscrire en tout lieu, en symbole de défiance à l’occupant, la lettre V : le V de la Victoire, le V de Vrijheid (la liberté) en flamand. Les graffitis du V de la victoire ne tardent pas à proliférer sur les murs des nations européennes occupées, mais également en Grande-Bretagne, où à l’été 1941, la BBC encourage les Britanniques à rejoindre l’« armée des V ». À partir des notes de terrain du collectif d’enquête du Mass-Observation, l’article explore ce cas rare de « graffiti encouragé », politique sans pour autant être subversif – du moins dans la Grande-Bretagne épargnée par l’occupation, comme ne cessent de le rappeler les contemporains.
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Stern, Brigitte. « Souveraineté de l’État et droit international ». Tocqueville Review 19, no 2 (janvier 1998) : 15–36. http://dx.doi.org/10.3138/ttr.19.2.15.

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Résumé :
Quel que soit le fondement ultime de la souveraineté sur le plan interne - Dieu, nation, peuple -, la souveraineté s’incarne aujourd’hui sur le plan international dans l’État-nation. L’État se distingue fondamentalement des autres collectivités humaines, parce qu’il est une collectivité souveraine. Dire qu’il est une collectivité souveraine sur le plan international, c’est dire que l’État ne peut être contraint que par lui- même. ce qui implique concrètement qu’il dispose de la plus grande force, autrement dit qu’il dispose du monopole de la force armée organisée légitime sur son territoire.
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Mrazek, Josef. « Prohibition of the Use and Threat of Force : Self-Defence and Self-Help in International Law ». Canadian Yearbook of international Law/Annuaire canadien de droit international 27 (1990) : 81–111. http://dx.doi.org/10.1017/s0069005800003787.

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Résumé :
SommaireLe principe de l’interdiction de l’usage de la force et de la menace par la force ancré dans l’article 2, §4 de la Charte de l’ONU doit être interprété avant tout dans le contexte des articles 39, 51 et 53 de la Charte. Les dispositions mentionnées utilisent les notions “menace contre la paix,” “rupture de la paix,” “acte d’agression,” “politique d’agression” sans être développés plus en détail dans la Charte. L’article 2, §4 de la Charte a confirmé et renforcé la norme coutumière du droit international. Simultanément, comme l’a confirmé la Cour Internationale de Justice dans le cas du Nicaragua contre USA, cette norme coutumière conserve aussi son applicabilité séparée. Dans son étude, l’auteur part du fait que l’interdiction de la force armée en vertu de la Charte de l’ONU et dans le droit coutumier international est en principe identique. Il polémique avec différents points de vue qui admettent la possibilité d’un usage plus étendu de la force armée que ce soit sur la base d’une interprétation imprécise de la Charte elle-même ou de l’affirmation que le droit coutumier international autorise l’usage de la force armée même dans des cas différents que ceux mentionnés dans la Charte. L’interprétation exacte de l’interdiction impérative de l’usage de la force (jus cogens) dans le droit international actuel est une question fondamentale pour maintenir la paix et la sécurité internationales et pour consolider la jurisprudence internationale.L’étude consacre une grande attention au droit naturel de légitime défense individuelle ou collective dans le droit international. Elle traite également de la détermination des notions “une agression armée” (article 51) et “acte d’agression” (article 39), ainsi que de la définition de leurs rapports réciproques. L’auteur polémique de nouveau avec les points de vue interprétant l’article 51 avec restriction et démontrant que le droit “naturel” ou “inaliénable” à l’autodéfense, selon le droit coutumier, est plus étendu et ne se limite pas par les dispositions de la Charte de l’ONU. Il refuse les opinions qu’on ne peut limiter l’autodéfense seulement aux cas d’agression armée. Il estime inacceptable l’autodéfense contre une agression qui n’est que "menaçante" ou l’“autodéfense" pour la protection de ses propres ressortissants à l’étranger. Dans le droit international actuel, le droit à l’autodéfense avec emploi de la force armée, qui dépasserait le cadre de l’article 51 de la Charte de l’ONU, n’existe pas. Il devient évident que la large et incorrecte interprétation de la notion "agression armée" aurait pour conséquence aussi une large interprétation du droit de légitime défense. Ensuite, l’auteur examine la question des mesures militaires de défense dans les cas d’incidents et de conflits frontaliers et il souligne le principe de la proportionnalité. L’attention est également consacrée aux problèmes de l’autodéfense en liaison avec l’usage de nouveaux systèmes d’armements de destruction massive et particulièrement d’armes nucléaires par l’agresseur. Il est difficile de supposer que l’État qui doit être l’objet d’une agression attendra de réagir jusqu’à ce que les têtes nucléaires touchent son territoire. Pour le moment, le problème en suspens demeure la vérification objective de cette agression envisagée.La dernière partie de l’ouvrage est consacrée à l’analyse du problème de l’autoprotection dans le droit international contemporain et aux différentes interprétations de cette notion. Il existe de grosses confusions dans l’utilisation des notions “autoprotection," “droit à l’autoconservation," “nécessité" et “droit de défense." L’auteur s’efforce d’expliquer la notion de l’“autoprotection.” Ce faisant, il prend également en considération le travail de la Commission de l’ONU pour le droit international. L’auteur estime que l’autodéfense peut englober un large ensemble de mesures diplomatiques, politiques et économiques afin de rétablir l’état de droit. Il estime que l’usage de la force armée dans le cadre de l’auto-protection est injustifié. Ce faisant, il mentionne simultanément de nombreux cas, après 1945, où les États utilisaient la force armée en se justifiant par la notion d’“autoprotection.”
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Le Carvèse, Patrick. « Les décès des généraux de la Grande Armée imputables à la Campagne de Russie ». Napoleonica La Revue 17, no 2 (2013) : 4. http://dx.doi.org/10.3917/napo.132.0004.

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Bidegain, Eneko. « L’enracinement de l’identité française au Pays basque pendant la Première Guerre mondiale ». Emulations - Revue de sciences sociales, no 16 (7 avril 2016) : 33–42. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.016.003.

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Résumé :
Eskualduna était un hebdomadaire en langue basque du Pays basque continental, vendu à plus de 7.000 exemplaires durant la Première Guerre mondiale. Une analyse de contenu a permis de constater que le message de ce journal consistait à soutenir sans arrêt la France tout en exprimant la grande confiance envers son armée. Le Pays basque était présenté comme faisant partie de la France ; les soldats basques morts dans la guerre étaient glorifiés en tant que héros nationaux et présentés comme des Basques exemplaires et des bons Français. En conclusion, ce journal basque a été un promoteur du sentiment national français chez les Basques.
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Renard, Nils. « La Grande Armée et les Juifs de Pologne de 1806 à 1812 : une alliance inespérée ». Napoleonica La Revue N°34, no 2 (2019) : 18. http://dx.doi.org/10.3917/napo.034.0018.

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Millefert, Maxime, et Élisabeth Vallet. « Les forces armées britanniques à l’heure de la mutation ». Études internationales 34, no 1 (8 septembre 2003) : 105–28. http://dx.doi.org/10.7202/006933ar.

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Résumé :
Résumé En ce début de nouveau millénaire, dresser un bilan du processus d’adaptation des armées britanniques peut s’avérer opportun. Publiée en 1998, la sdr n’a que quatre ans et pourtant les résultats sont déjà largement visibles. La nouvelle philosophie de l’armée britannique donne un instrument efficace de soutien à la politique étrangère du gouvernement. Le choix d’une armée de plus en plus intégrée et modernisée, les réformes apportées par la sdr dans le sens d’une plus grande flexibilité devraient être, à cet égard, particulièrement utiles. Au-delà de l’aspect technique des affaires militaires, tel que l’équipement ou la structure des unités, le mod a compris qu’un élément essentiel de sa réussite était la qualité de son personnel. Le Royaume-Uni s’efforce de relever le défi par des moyens aussi divers que la « Policy for People » ou la réforme du rôle des réserves. Et même si l’axe privilégié de la politique étrangère du Royaume-Uni reste la Defence diplomacy, privilégiant la prévention des conflits, la Grande-Bretagne dispose d’un instrument militaire efficace pour l’aider à répondre aux différentes situations qui pourraient se présenter.
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Hau, Michel. « Le poids de l'Allemagne et le sursaut britannique ». Revue économique 51, no 2 (1 mars 2000) : 291–302. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p2000.51n2.0291.

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Résumé :
Résumé L'Allemagne est restée, après sa défaite de 1918, la première puissance industrielle européenne et les annexions de 1938 et de 1939 ont renforcé cette prédominance. Mais, en 1939, l'essentiel du déclin relatif de la Grande-Bretagne n'a pas encore eu lieu et celle-ci se sent encore assez forte pour tenter de contrer les ambitions hitlériennes en Europe. Ayant surmonté la crise des années trente, les deux pays ont un potentiel industriel apte à répondre aux exigences d'une guerre moderne. L'Allemagne a un avantage sur le plan des capacités de production et de l'antériorité du réarmement, l'Angleterre détient des atouts sur le plan des approvisionnements, essentiels dans la perspective d'une guerre longue. Mais aucun des deux pays ne peut l'emporter sur l'autre, car la Grande-Bretagne a différé la constitution d'une armée de terre capable de peser sur le théâtre européen et l'Allemagne a remis à plus tard le développement de sa marine. Ni l'une ni l'autre ne se sont encore aperçues qu'elles ne sont plus que des puissances moyennes, en comparaison des États-Unis et de l'URSS.
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Rey, Marie-Pierre. « La Russie et les Russes dans les écrits des prisonniers de la Grande Armée : une approche comparée ». Revue des études slaves 83, no 4 (2012) : 993–1010. http://dx.doi.org/10.3406/slave.2012.8289.

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Rey, Marie-Pierre. « La Russie et les russes dans les écrits des prisonniers de la Grande Armée, une approche comparée ». Annales historiques de la Révolution française, no 369 (1 septembre 2012) : 61–80. http://dx.doi.org/10.4000/ahrf.12593.

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Corvisier de Villèle, Marie-Anne, et Claude Ponnou. « Du terrain à l'histoire. L'activité du service topographique de la Grande Armée durant la campagne de 1805 ». Revue Historique des Armées 241, no 4 (2005) : 8–15. http://dx.doi.org/10.3406/rharm.2005.5760.

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Gevaert, Bert. « Pour l’honneur ? Duelling in the army of Napoleon ». Acta Periodica Duellatorum 6, no 2 (1 décembre 2018) : 39–76. http://dx.doi.org/10.36950/apd-2018-007.

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Résumé :
Duelling and Napoleonic history go together like a horse and carriage. Though strictly forbidden and disliked by Napoleon, duelling was a very frequent phenomenon in the Grande Armée. It is even possible to speak about a ‘duellomanie’, which caused many (deadly) victims. Nevertheless, for various reasons soldiers crossed blades and duels went according to certain unwritten rules. After an official invitation to go to a certain place at a certain time, a duel, fought with specific weapons, took place under the watchful eye of seconds. Sometimes these duellists wanted to kill their opponent, but in many duels the only intention was to cause a (light) wound. Although duels were honourable and a symbol of masculinity and bravery, they also caused many soldiers to die, not for their country, but in a fight without purpose.
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Gorzałka, Przemysław. « „Under the flags of Homeland” at Napoleon’s side. Insurrection-al activity in Lelow County in 1806 in the light of report of the Lelow County Commission to the Administrative Chamber of Kalisz Department ». Prace Naukowe Uniwersytetu Humanistyczno-Przyrodniczego im. Jana Długosza w Częstochowie. Zeszyty Historyczne 19 (2021) : 217–29. http://dx.doi.org/10.16926/zh.2021.19.10.

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Résumé :
The Greater Poland Uprising of 1806 is one of the few Polish military insurrections ended in victory. It started in November 1806 during the war between Napoleonic France and the Kingdom of Prussia. The uprising started in Poznań Department with support of the Grande Armée and than it spread over the Kalisz Department. After the brilliant conquest of the fortress of Częstochowa, made by Polish insurgents and French chasseurs, the insurrection reached New Silesia, a small part of the former Kraków Voivodeship. The nobles of Lelów County signed an act of uprising and established Lelów County Provisional Commission to take control over the region. They removed old Prussian authorities, symbols and, what is the most important, they started to organise Polish troops. Eventually, their efforts helped to bring into existence the Duchy of Warsaw.
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Giovanangeli, Bernard. « Notes sur l'itinéraire d'un officier de la Grande Armée : Marc-Pierre Huot de Goncourt. 1re partie : 1787-1809 ». Cahiers Edmond et Jules de Goncourt 1, no 9 (2002) : 215–20. http://dx.doi.org/10.3406/cejdg.2002.897.

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Bruyère-Ostells, Walter. « Réseaux maçonniques et para-maçonniques des officiers de la Grande Armée engagés dans les mouvements nationaux et libéraux ». Cahiers de la Méditerranée, no 72 (15 juin 2006) : 153–69. http://dx.doi.org/10.4000/cdlm.1166.

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Osman, Julia. « A Review of “Forging Napoleon's Grande Armée : Motivation, Military Culture, and Masculinity in the French Army 1800–1808“ ». History : Reviews of New Books 42, no 1 (12 novembre 2013) : 29–30. http://dx.doi.org/10.1080/03612759.2013.830874.

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Thoral, Marie-Cecile. « Michael J. Hughes, Forging Napoleon’s Grande Armée : Motivation, Military Culture and Masculinity in the French Army, 1800–1808 ». European History Quarterly 44, no 3 (18 juin 2014) : 543–44. http://dx.doi.org/10.1177/0265691414537193w.

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Adadurov, Vadim. « Relations between the Grande Armée and local nobility in the Western provinces of the Russian empire in 1812 ». Annual of French Studies 1 (2019) : 229–66. http://dx.doi.org/10.32608/0235-4349-2019-1-52-229-266.

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Zemtsov, Vladimir. « Vive l’Emperier ! Opening of the monument to the fallen soldies of the Grande Armée on the Borodino field ». Annual of French Studies 1 (2019) : 330–59. http://dx.doi.org/10.32608/0235-4349-2019-1-52-330-359.

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Pellistrandi, Jérôme. « BRUN Jean-François : La Grande Armée, analyse d’une machine de guerre ; Éditions Pierre de Taillac, 2023, 572 pages ». Revue Défense Nationale N° 860, no 5 (3 mai 2023) : 131–32. http://dx.doi.org/10.3917/rdna.860.0131.

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