Littérature scientifique sur le sujet « Cinéma sud-coréen »

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Articles de revues sur le sujet "Cinéma sud-coréen"

1

Coppola, Antoine. « La Corée du Nord dans le cinéma sud-coréen ». Questions internationales N° 123, no 7 (16 février 2024) : 124–30. http://dx.doi.org/10.3917/quin.123.0124.

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Résumé :
Longtemps contrôlée par les autorités de Séoul, la représentation des Nord-Coréens dans le cinéma du Sud a largement évolué au fil des décennies. Les personnages nord-coréens, autrefois réduits à des stéréotypes négatifs, diabolisés ou dépolitisés, sont désormais dépeints de manière plus nuancée. Reflets d’un contexte idéologique et politique fluctuant, ces représentations restent soumises non plus à la censure mais à de nouvelles pressions économiques, qui limitent dorénavant la liberté des cinéastes sud-coréens .
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2

Joinau, Benjamin. « Aux origines de la vague sud-coréenne : le cinéma sud-coréen comme soft power ». Pouvoirs 167, no 4 (2018) : 107. http://dx.doi.org/10.3917/pouv.167.0107.

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3

Coppola, Antoine. « Regain religieux dans le cinéma sud-coréen : vers une trans-religion du futur ? » Sociétés 144, no 2 (2019) : 95. http://dx.doi.org/10.3917/soc.144.0095.

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4

Duay, Justine. « Mémoire, traumatisme et histoire dans le cinéma sud-coréen contemporain : Mother et Peppermint Candy ». Décadrages, no 19 (10 octobre 2011) : 120–29. http://dx.doi.org/10.4000/decadrages.319.

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5

Joinau, Benjamin. « Soi-même comme un autre. Identité et altérité dans le cinéma sud-coréen populaire ». Critique 848-849, no 1 (2018) : 123. http://dx.doi.org/10.3917/criti.848.0123.

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6

Coppola, Antoine. « La science-fiction dans le cinéma coréen du Sud et du Nord : enjeu culturel et politique ». Sociétés 135, no 1 (2017) : 103. http://dx.doi.org/10.3917/soc.135.0103.

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7

Habib, André. « En terrains connus ou « choses vues » dans Paris : Night and Day (2008) de Hong Sang-soo ». Études littéraires 45, no 2 (4 mars 2015) : 97–107. http://dx.doi.org/10.7202/1028980ar.

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Résumé :
Paris est, avec peut-être New York comme seul rival, un des « personnages » les plus illustres de l’histoire du cinéma. Des « vues Lumière » jusqu’aux pérégrinations des héros de la Nouvelle Vague, de la psychogéographie de Debord aux cartographies affectives de Rohmer, en passant par les Paris vu par (1965, 1985) et autres Paris je t’aime (2006), peu de villes ont été autant filmées, et peu de villes ont eu autant d’influence sur l’imaginaire cinématographique. Il est notamment fascinant de constater la migration de cet imaginaire au sein des cinématographies asiatiques contemporaines. Cet article se penche sur le film Night and Day (2008) de Hong Sang-soo, tourné principalement dans le XIVe arrondissement à Paris, seul film de ce cinéaste sud-coréen à avoir été réalisé à l’extérieur de son pays. Le cinéma de Hong Sang-soo tourne autour d’un périmètre très limité et obsessif de lieux (cafés, bars, appartements), de quartiers et de situations (beuveries, triangles amoureux, vacances). Night and Day, avec le XIVe arrondissement comme toile de fond, en offre une énième variation, délocalisée, certes, mais totalement marquée par la présence du familier. Plutôt que d’être une expérience de la ville fondée sur le choc des cultures ou la rencontre avec l’autre, Night and Day propose un regard tout à fait décomplexé sur Paris, attentif aux « choses vues » les plus triviales, et marqué par un attachement aux lieux ordinaires, au commun, au quotidien, aux parcours du héros (qui n’y rencontre, à peu de choses près, que des Coréens). Par ailleurs, comme pour Tsai Ming-liang (Et là-bas, quelle heure est-il ? [2001], Visage [2009]) ou Hou Hsiao-hsien (Le Voyage du ballon rouge, 2007), l’appropriation de Paris est indissociable d’une culture cinéphilique (en l’occurrence, dans le cas de Hong Sang-soo, du cinéma de Rohmer). Il s’agira donc d’essayer de décrire les modes d’appropriation de l’espace de la ville dans ce film, et l’imaginaire culturel par lequel ils transitent.
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Thèses sur le sujet "Cinéma sud-coréen"

1

Guerdin, Daphnée. « Puissance et persistance du mélodrame dans le cinéma sud-coréen : se raconter pour se réinventer ». Electronic Thesis or Diss., Strasbourg, 2024. http://www.theses.fr/2024STRAC008.

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Résumé :
Ce travail a pour vocation d’interroger l’omniprésence du mélodrame dans le cinéma sud-coréen, afin de cerner les puissances du genre dans la fabrique en constante mutation d’un imaginaire commun. Il s’agit d’aborder le mélodrame selon l’espace intertextuel que tracent les œuvres pour y déceler les rapports de pouvoir – socio-historiques, politiques, transnationaux – qui se déploient au cœur des formes qu’il prend ou reprend au cours de son histoire. Nous analysons les conditions ayant favorisé son émergence dès les débuts du cinéma en Corée, interrogeons ses potentiels conformiste et subversif au contact de la censure, et sa constante réinvention dans un cinéma composite, fait de perpétuelles réappropriations exogènes. Il s’agit en outre de dégager une dialectique avec l’Histoire du pays comme du cinéma, par le recours aux métaphores, aux allégories, et par la transformation de l’Histoire en matériau filmique venant nourrir l’imaginaire national
This work aims to question the omnipresence of melodrama in South Korean cinema, in order to identify the powers of the genre in the constantly changing fabric of a common imagination. It is a question of approaching melodrama according to the intertextual space that the works trace in order to detect the power relations – socio-historical, political, transnational – which are deployed at the heart of the forms that it takes or resumes during its history. We analyze the conditions that favored its emergence from the beginnings of cinema in Korea, question its conformist and subversive potential in contact with censorship, and its constant reinvention in a composite cinema, made of perpetual exogenous reappropriations. It is also a question of establishing a dialectic with the History of the country as well as of cinema, through the use of metaphors and allegories, and by the transformation of History into filmic material that nourishes the national imagination
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Hong, Sora. « La génération des centres culturels (Munhwawon sedae) et la nouvelle vague du cinéma sud-coréen des années 1980-1990 ». Thesis, Paris, EHESS, 2019. http://www.theses.fr/2019EHES0051.

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Résumé :
Depuis les années 1980, la Corée du Sud a observé un processus de légitimation culturelle du cinéma. En prenant appui sur ce phénomène, cette thèse attire l’attention sur le rôle des cinéphiles regroupés sous l’expression, « Munhwawon sedae » : la génération des centres culturels. Dans cette thèse, nous la définissons comme un réseau social de cinéphiles sud-coréens qui émerge à partir de la fréquentation des centres culturels européens à Séoul sur une période qui s’étend entre 1977 et 1984. Notre analyse de ce réseau s’appuie sur une méthode prosopographique permettant d’apprécier les rapports entre individus et institutions, et en particulier la trajectoire et les différents discours portant sur le 7e art de la Munhwawon sedae. Cette trajectoire est nourrie par un type intellectuel de cinéphilie en provenance de l’Europe, notamment de la France et de l’Allemagne, mais aussi plus localement, par les théories portées par le mouvement culturel pour le « minjung » (peuple). Les discours produits sur ce nouveau cinéma sud-coréen se situent donc, à la frontière entre l’art et la politique, celle-ci étant pensée comme un contrepoids à un système politique jugé corrompu. Cependant, avec l’effervescence du mouvement pour la démocratisation du pays, la résistance contre le régime autoritaire prend alors plus d’importance que le 7e art en tant que tel. Il faut attendre l’apaisement du mouvement social dû à certains processus de démocratisation politique pour qu’un équilibre se dessine entre l’ambition esthétique et l’ambition politique de la Munhwawon sedae. Son engagement pour l’évolution du cinéma sud-coréen constitue une réelle initiative dans le champ cinématographique du pays. Dès lors, les « membres » de la Munhwawon sedae qui, autrefois n’avaient été que simples spectateurs, diffusent leur cinéphilie en tant que réalisateurs, producteurs, critiques et professeurs de cinéma. Dans l’ensemble, notre thèse s’attache à montrer comment, au milieu des années 1990, la Munhwawon sedae a marqué la fin de « l’âge sombre » du cinéma sud-coréen. En se positionnant de cette manière, au cœur d’une nouvelle vague artistique et politique, elle a contribué à établir une nouvelle élite culturelle sud-coréenne. La Munhwawon sedae était donc à la fois la première bénéficiaire des changements de contexte social autour du cinéma en Corée du Sud et la facilitatrice de la légitimation culturelle du cinéma sud-coréen
A process of cultural legitimation of the cinema has occurred in South Korea since the 1980s. This thesis focuses on the role that cinephiles grouped under the expression of the Munhwawon sedae, the generation of cultural centers, have played in this process. Accordingly, I analyze this notion, understood as a social network of South Korean cinephiles who emerged as a result of frequenting European countries’ cultural centers in Seoul between 1977 and 1984. The analysis is based on a prosopographic method to understand the relationships between individuals and institutions, particularly the trajectory and various discourses on the Seventh Art of the Munhwawon sedae. As I demonstrate, this trajectory is nourished not only by an intellectual type of European cinephilia but also, more locally, by theories of cultural movement for the minjung (people). The discourses produced on the “South Korean new cinema” therefore exist on the border between art and politics. The latter side was seen as a counterweight to an absurd political system. Thus, I strive to show how the political objective has progressively taken precedence over the artistic objective with the effervescence of the movement for the democratization of the country: the resistance against the presumed incoherence of society then becomes more important than the pursuit of the Seventh Art. Until the end of the political democratization process of the country, a balance is drawn between the aesthetic and political ambition of the Munhwawon sedae. The engagement of these cinephiles within the evolution of the South Korean cinema constitutes a new initiative in the field. Now, the “members” of the Munhwawon sedae, who once were movie fans frequenting European countries’ cultural centers, have spread their cinephilia as directors, producers, critics, and film educators. Overall, this thesis focuses on how, in the mid-1990s, the Munhwawon sedae announced an end to the dark age of South Korean cinema. By positioning itself in this way, literally at the heart of this artistic and political new wave, the Munhwawon sedae formed as the new cultural elite of South Korean society
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Livres sur le sujet "Cinéma sud-coréen"

1

Le cinéma sud-coréen : Du confucianisme à l'avant-garde : Splendeurs et misères du réalisme dans le nouvel ordre spectaculaire. L'Harmattan, 1997.

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Chapitres de livres sur le sujet "Cinéma sud-coréen"

1

Monvoisin, Frédéric. « Déterritorialisation-reterritorialisation de la frontière dans le cinéma sud-coréen ». Dans Filmer les frontières, 69. Presses universitaires de Vincennes, 2016. http://dx.doi.org/10.3917/puv.maury.2016.01.0069.

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Hong, Sora. « La Munhwawŏn sedae et le Centre culturel français à Séoul : la naissance de la Korean New Wave, le nouveau cinéma sud-coréen dans les années 1980-1990 ». Dans Des ciné-goûters aux séances pour les cinéphiles, 235–46. Presses universitaires du Septentrion, 2021. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.104235.

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