Thèses sur le sujet « Château de Clagny, Versailles »

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1

Leferme-Falguières, Frédérique. « Le monde des courtisans : la haute noblesse et le cérémonial royal aux XVIIe et XVIIIe siècles ». Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010670.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse analyse la participation de la haute noblesse au cérémonial royal dans ses diverses manifestations aux XVIIe et XVIIIe siècles. Les courtisans, spectateurs et acteurs de la représentation monarchique, sont au cœur d'un processus d'évolution du cérémonial délaissant en partie les grands rituels, pour développer des manifestations plus quotidiennes s'étendant à la famille royale dont les naissances, mariages et obsèques deviennent des évènements ritualisés et s'ancrant dans une étiquette de cour complexe codifiant étroitement les relations sociales. A partir de 1682, la vie aulique s'inscrit dans un monde clos. Pour la haute noblesse, loger à la cour, servir dans la Maison du roi sont autant de critères de définition et de légitimation permettant de vivre dans la commensalité du roi, d'avoir une fonction à la cour, d'organiser le cérémonial. Enfin, la vie aulique consacre le triomphe des apparences définissant l'identité sociale et entraînant une intense compétition pour le prestige.
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2

Szanto, Catherine. « Le promeneur dans le jardin : de la promenade considérée comme acte esthétique. Regard sur les jardins de Versailles ». Phd thesis, Université Paris VIII Vincennes-Saint Denis, 2009. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00537912.

Texte intégral
Résumé :
De nombreux chercheurs ont récemment reconnu l'importance du mouvement pour étudier les usages des jardins. En effet le jardin n'existe pour ses visiteurs que dans la mesure où ils l'ont découvert, parcouru, « vécu ». C'est pourquoi la promenade comme mode d'expérience du jardin apparaît comme un thème de recherche essentiel pour comprendre l'expérience spatiale offerte par le jardin. Le jardin de Versailles, souvent considéré comme statique, a été dès l'origine un lieu de promenade très apprécié. L'analyse du jardin que je propose est basée d'une part sur des descriptions de promenade contemporaines à sa création sous Louis XIV, et d'autre part sur une analyse phénoménologique de l'expérience des formes spatiales, corroborée par les récents résultats de la recherche sur la perception. L'espace est compris non comme une chose vue qui se déroule à nos côtés, ni comme un réceptacle neutre pour nos mouvements, mais comme une constante invitation, comme un partenaire dans un dialogue qui prend ici la forme d'une promenade. La richesse du dialogue vient des choix complexes que l'espace propose au promeneur par ses formes qui s'offrent à la possibilité simultanée d'attitudes spatiales variées (en repos ici, en attente de..., en mouvement vers...), à plusieurs échelles spatiales et temporelles. Ce travail pourrait être l'ébauche d'une théorie de l'« acte de la promenade », d'une « esthétique de la promenade ». La promenade, comme la lecture, est un ‘acte de construction de sens', requérant la ‘compétence' du promeneur. La question est de comprendre ce que peut vouloir dire ‘structure de sens' dans le jardin, et ce que constitue sa ‘construction' au cours de la promenade.
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3

Szántó, Catherine. « Le Promeneur dans le jardin : de la promenade considérée comme acte esthétique : Regard sur les jardins de Versailles ». Paris 8, 2009. http://octaviana.fr/document/152080066#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

Texte intégral
Résumé :
De nombreux chercheurs ont récemment reconnu liimportance du mouvement pour étudier les usages des jardins. En effet le jardin n'existe pour ses visiteurs que dans la mesure où ils l'ont découvert, parcouru, "vécu". C'est pourquoi la promenade comme mode d'expérience du jardin apparaît comme un thème de recherche essentiel pour comprendre l'expérience spatiale offerte par le jardin. Le jardin de Versailles, souvent considéré comme statique, a été dès l'origine un lieu de promenade très apprécié. L'analyse du jardin que je propose est basée d'une part sur des descriptions de promenade contemporaines à sa création sous Louis XIV, et d'autre part sur une analyse phénoménologique de l'expérience des formes spatiales, corroborée par les récents résultats de la recherche sur la perception. L'espace est compris non comme une chose vue qui se déroule à nos côtés, ni comme un réceptacle neutre pour nos mouvements, mais comme une constante invitation, comme un partenaire dans un dialogue qui prend ici la forme d'une promenade. La richesse du dialogue vient des choix complexes que l'espace propose au promeneur par ses formes qui s'offrent à la possibilité simultanée d'attitudes spatiales variées (en repos ici, en attente de. . . , en mouvement vers. . . ), à plusieurs échelles spatiales et temporelles. Ce travail pourrait être l'ébauche d’une théorie de l'"acte de la promenade", d'une "esthétique de la promenade". La promenade, comme la lecture, est un "acte de construction de sens", requérant la "compétence" du promeneur. La question est de comprendre ce que peut vouloir dire "structure de sens" dans le jardin, et ce que constitue sa "construction" au cours de la promenade
Recently there has been a new awareness among garden historians of the importance of movement in shaping the experience of a garden. Indeed, the garden exists for its visitors only inasmuch as its spaces have been discovered, sensed, “lived”. The garden is the garden explored. Promenade – a leisurely walk with no other end than itself – is thus a privileged activity to study spatial experience. Despite historians' awareness of an itinerary through the gardens devised by Louis XIV himself, Versailles has hardly been studied as a place for promenade. In my thesis I look at the experiential potential of the gardens of Versailles by combining 17th century descriptions of promenades in the garden and a phenomenological description of spatial experience corroborated by recent physiological research on perception. Thus, our ability to move defines the structures of the spatio-temporal modes of „here” and „there”. Through the changes or continuity in specific sensory experiences that occur as we move, the garden offers the possibility for heightened experiences of ‘here’ – views, objects, spaces seen on axis - and ‘there’ – distant views and objects that appear reachable. But more subtly, the garden can accompany the transition from the fulfillment of being ‘here’ to the desire of going ‘there’ and thus enrich our motion itself. Space is here conceived not as a backdrop that we see as we move, but as an invitation to motion, as a spatial dialogue taking the shape of a promenade. The richness of this dialogue in Versailles comes from the complexity of the choices offered to the promeneur, allowing one to build through time a meaningful aesthetic experience of the garden
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Santini, Chiara. « Il giardino di Versailles come modello di progettazione del paesaggio : maîtres jardiniers e tecniche d'aménagement del territorio nell'età del re Sole ». Paris, EHESS, 2004. http://www.theses.fr/2004EHES0152.

Texte intégral
Résumé :
La thèse se propose de tracer la création d'un modèle d'organisation du paysage, les jardins de Versailles, en prêtant attention à la formation et à la pratique des techniciens qui l'ont réalisé. Le but du travail est celui d'analyser le processus théorique et la réalisation pratique du projet d'aménagement du territoire mis en place en France, à l'époque du Roi-Soleil, pour la création du grand parc de Versailles. Le travail de recherche va s'articuler sur trois thématiques fondamentales : 1)la publication, dans la première moitié du XVIIe siècle, de traités d'art et composition des jardins qui vont théoriser un nouveau type de conception de l'espace jardin. 2) L'analyse des pratiques administratives, des techniques et savoirs employés par les différentes corporations de métiers qui travaillent au chantier de Versailles. 3) La naissance et la formation d'une nouvelle figure du jardinier, plutôt un architecte-paysagiste ante litteram qu'un simple horticulteur
This thesis aims at outlining the creation of a model of landscape organization, the one of the garden of Versailles, focusing the attention on the formation and pratice of the technicians who made it. The target of this work is analysing the theoretical process and the practical realization of a landscape-organization project put into effect in France, at the King Sun age for the creation of the Grand Parc of Versailles. The reearch articulates through three main themes : 1) the publication, during the first half of the XVII century, of art and garden composition treatrises which theorise a new model of garden-space. 2) The analysis of administrative practices, of the techniques and knowledge used by several trade corporations which work for 50 years in the yard of versailles. 3) The birth and the formation of a new gardener role, nearer to the one of the landscape-painter architect more than the simple horticulture man
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Landgraf, Eric. « Louis-Philippe, roi bâtisseur : le rêve d'une nation unifiée. Le chantier du château de Versailles de 1830 à 1848 ». Thesis, université Paris-Saclay, 2021. http://www.theses.fr/2021UPASK008.

Texte intégral
Résumé :
En décidant, en 1832, de transformer le château de Versailles en un musée historique et militaire évoquant toutes les époques glorieuses de la France et, en premier lieu, son régime, le roi Louis-Philippe marque d'une empreinte durable le chef-d’œuvre de son aïeul Louis XIV et, au travers d'une scénographie grandiose, adresse un message politique fort au pays. L’importance du chantier témoigne de l’investissement personnel du monarque dans la protection des monuments patrimoniaux. Conduit par le bras armé du souverain, la Liste civile, le chantier alors entrepris fait se transformer le château en un lieu de mémoire. Louis-Philippe cherche ainsi à fédérer les divers courants politiques et à les unifier dans un site unique dédié à la nation postrévolutionnaire. Cet acte royal ouvre la voie à la configuration du Palais tel que nous le connaissons aujourd’hui. La remarquable fréquentation du lieu qui en résulte marque le début de la démocratisation progressive du monument. Des travaux d’ampleur vont modifier pour toujours les grands appartements des ailes du Midi, du Nord et du Corps principal. Au cours de notre étude, nous avons voulu faire revivre les metteurs en scènes de ce nouveau décor, à savoir l’élite des fonctionnaires de la Liste civile, les opérateurs ou entreprises soumissionnés et les acteurs immédiats, les ouvriers – tous à l’œuvre sur le plus grand chantier culturel de la monarchie de Juillet. Le relevé des effectifs et la consultation des mémoires de travaux permettent d’appréhender la prolifération des tâches, de déterminer les trois grands ensembles de travaux – « entretien », « grosses réparations » et « travaux nouveaux et extraordinaires » – et d’étudier la concrétisation du parcours. Les démolitions transforment les lieux, les décorations ajoutées modifient le style d’origine et le musée expose en majorité les œuvres d’art peintes et sculptées par les artistes renommés de la période dans un cadre choisi et modernisé par le monarque. Notre étude établit enfin, grâce à un strict examen des archives comptables, le bilan financier du chantier, projet controversé à l’époque, dont les dépenses surveillées par une administration tatillonne sont bousculées par un roi tantôt trop économe, tantôt exagérant ses demandes au détriment du budget alloué. Le bilan social, quant à lui, apparaît plus contrasté. Il conforte l’idée que la monarchie de Juillet est bien une société libérale et inégalitaire, enrichissant les plus fortunés et ne concédant aux pauvres que de faibles revenus en échange d’un travail pénible. Le chantier du château de Versailles, reflet du monde entrepreneurial et ouvrier du milieu du XIXe siècle, constitue un condensé de l’organisation administrative, politique et économique de la France de Louis-Philippe
By deciding, in 1832, to transform the Palace of Versailles into a historical and military museum evoking all of France's glorious eras and, first and foremost, its regime, King Louis-Philippe left a lasting impression on the masterpiece of his forefather Louis XIV and, through its grandiose scenography, sent a strong political message to the country. The importance of the construction site bears witness to the monarch's personal investment in the protection of heritage monuments. Led by the sovereign's armed wing, the Civil List, the construction site then undertaken led the castle to be transformed into a place of remembrance. Louis-Philippe thus sought to federate the various political currents and unify them in a single site dedicated to the post-revolutionary nation. This royal act paved the way for the configuration of the Palace as we know it today. The remarkable attendance that resulted marks the beginning of the gradual democratization of the monument. Major works will forever modify the large apartments of the South, North and Central wings. In the course of our study, we wanted to revive the directors of this new decor, namely the elite of civil servants of the Civil List, the operators or companies that were bidding for the contract and the immediate actors, the workers - all of them at work on the largest cultural site of the July Monarchy. A census of the workforce and consultation of the work reports allows us to understand the proliferation of tasks, to determine the three major sets of work - "maintenance", "major repairs" and "new and extraordinary works" - and to study the realization of the project. The demolitions transformed the place, the added decorations modified the original style and the museum exhibits mostly works of art painted and sculpted by the famous artists of the period in a setting chosen and modernized by the monarch. Our study finally establishes, thanks to a strict examination of the accounting archives, the financial balance sheet of the construction site, a controversial project at the time, whose expenses supervised by a meticulous administration were pushed by a king who was sometimes too thrifty, sometimes exaggerating his demands to the detriment of the allocated budget. The social balance sheet, for its part, appears more contrasted. It reinforces the idea that the July Monarchy is indeed a liberal and inegalitarian society, enriching the wealthy and granting the poor only low incomes in exchange for hard work. The construction site of the Palace of Versailles, a reflection of the entrepreneurial and working-class world of the mid-19th century, is a summary of the administrative, political and economic organization of Louis-Philippe's France
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Sorkine, Florence. « Propagande et mécénat royal : les fêtes louis-quatorziennes à Versailles et leurs représentations, 1661-1682 ». Paris 3, 1993. http://www.theses.fr/1994PA030022.

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Résumé :
Quoique etant une realite historique et sociale, la fete de cour louis quatorzienne est desormais uniquement reperable par la litterature qu'elle a suscitee. Celle-ci est par ailleurs revelatrice des choix esthetiques d'un pouvoir qui concoit les fetes, particulierement celles offertes a versailles, comme une vitrine du royaume. En outre, l'etude du phenomene festif a travers cette litterature fonctionnelle revele les premices des importantes mutations du regime trop souvent presentees comme le fait de la seconde periode du regne
Although a real historic and social phenomenon, the "fete de cour" during the reign of louis xiv can now only be traced through the literature it gave rise to. Moreover this literature reveals the aesthetic choices of a regime which intended the celebrations, particularly those given at versailles, as a royal showcase. The study of the celebrations through this functional literature gives a glimpse of the beginnings of important changes in the regime, changes which are too often presented as a feature of the second period of the reign
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Maral, Alexandre. « La chapelle royale de Versailles sous Louis XIV : architecture, institutions, liturgie ». Paris 4, 1997. http://www.theses.fr/1997PA040041.

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Résumé :
Cinq chapelles se sont succédé au château de Versailles entre 1661 et 1715. Celle de 1672, dont le décor était dû en grande partie à Le Brun, fut la plus remarquable des trois premières, mais son existence fut fort courte. La chapelle de 1682, conçue comme provisoire, dura en fait jusqu'en 1710. Son aménagement intérieur peut aisément être reconstitue. La dernière chapelle, consacrée en 1710, est le fruit de vingt années d'élaboration, et elle unit à l'audace de son parti architectural une étonnante richesse iconographique, d'un symbolisme profond. La desserte de la chapelle royale de Versailles était assurée par deux corps d'ecclésiastiques distincts : les officiers de la maison du roi et, à partir de l'installation définitive de la cour à Versailles en 1682, les prêtres de la mission ou lazaristes. Chacune de ces institutions répondait à des fonctions précises, qui sont connues par les sources officielles émanant de la maison du roi et par le coutumier de la chapelle. C'est à travers ce dernier document, ainsi que par les chroniques du temps, que l'on peut reconstituer le déroulement au quotidien de la vie de la chapelle. Les cérémonies liturgiques, où la musique tenait une place privilégiée, y étaient fort nombreuses et variées. Les pères de la mission les accomplissaient avec une régularité immuable, tandis que les officiers ecclésiastiques de la maison du roi suivaient la cour dans ses déplacements. Outre les messes et offices ordinaires, semblables à ceux qui se pratiquaient dans les paroisses du royaume, des cérémonies liées au roi et à sa famille se déroulaient dans la chapelle du château, notamment baptêmes et mariages princiers, fêtes de l'ordre du Saint-Esprit, serments d'évêques et réceptions des cardinaux. Par ailleurs, la fonction quasi sacerdotale du très chrétien était manifestée par un ensemble de rites assimilant le roi à un évêque, tels ceux de l'aspersion d'eau bénite, du baisement de l'évangile et du corporal, de l'encensement, des révérences du célébrant. Tous ces éléments permettent d'établir une vision cohérente de la religion du roi dans son cadre versaillais
Five chapels succeeded each other between 1661 and 1715. The chapel built in 1672, whose decoration was mainly due to Le Brun, was the most remarkable of the first three, whose existence was nevertheless very short. The chapel built in 1682, designed to be temporary, lasted in fact until 1710. Its internal decoration can be easily reconstituted. The last chapel, consecrated in 1710, was planned and built over a period of twenty years, and to the boldness of its architectural style it adds an amazing richness in its deeply symbolical iconography. The services of the chapel royal of Versailles were ensured by two groups of ecclesiastics: the king's household officers and, after the installation of the court at Versailles in 1682, the priests of the mission, also known as lazarists. Each of these institutions carried out precise functions, which have been rediscovered thanks to the sources coming from the officers of the king's household and the regulations of the chapel. It is through this latter document as well as the contemporary chronicles that the everyday life of the chapel can be reconstituted. The liturgical ceremonies, during which music was given a very important place, were numerous and varied. The fathers of the mission performed them with an immutable regularity, while the ecclesiastical officers of the king's household followed the movements of the court. Besides the ordinary masses and offices, which were identical to those performed in parish churches throughout the kingdom, some ceremonies in the presence of the king and his family took place in the chapel at Versailles. These particularly included princely baptisms and weddings, feasts of the order of the saint-esprit, bishops’ oaths and cardinals' receptions. In other respects, the almost sacerdotal function of the most Christian king was expressed by some rites which attributed an episcopal role to the king, like those of the aspersion of holy water, the kissing of the gospels and of the corporal, the incensing, the celebrant's bows. All these elements enable us to establish a coherent understanding of the king's religion in the context of the daily life of the French court at Versailles
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Antichan, Sylvain. « Mettre la France en tableaux : la formation politique et sociale d’une iconographie nationale au musée historique du château de Versailles (1830-1950) ». Thesis, Paris 1, 2014. http://www.theses.fr/2014PA010331.

Texte intégral
Résumé :
En 1837, le château de Versailles est « converti » en un vaste musée visant à « réunir tous lessouvenirs historiques nationaux qu’il appartient aux arts de perpétuer ». Durant près d’unsiècle, cette histoire muséale de la France est reconduite, remaniée et actualisée jusqu’auprésent du Second Empire puis de la Troisième République. Notre thèse tente de comprendre,à partir d’un matériau archivistique dense, la contribution du musée à l’élaboration tout autantqu’à la diffusion d’un imaginaire national et civique.L’analyse iconographique de près de 1300 peintures, réinscrites dans leur cadre palatial,permet d’approcher les mises en forme picturales et matérielles du politique, ses variations etses invariants. Dès lors, l’enjeu est d’appréhender comment ces visions historicisées d’unÉtat-nation ont pu tenir et être appropriées. Leurs succès ne relèvent pas seulement d’uneaction politique et administrative mais s’arriment à l’agencement réciproque de différentessphères sociales et strates d’appartenance. Cette histoire nationale se forme en retraduisant lesunivers les plus familiers des acteurs, en empruntant à la mémoire domestique des « grandsnotables », aux normes et aux enjeux de groupements professionnels (peintres, historiens,militaires) ou encore en solennisant les pratiques routinières d’un « public mêlé ». L’histoirede France s’objective dans cette interpénétration des identités et des loyautés, dans cesconsolidations croisées de secteurs sociaux, dans ces dynamiques de politisation du social etde socialisation du politique. Saisir la formation, le contenu et la diffusion de cet imaginairenational équivaut alors à scruter des systèmes de relation entre groupements sociaux, desarticulations variables entre le quotidien et le national, entre l’art et l’histoire, entre le social etle politique
In 1837, the Palace of Versailles was « converted » into a vast museum aiming to « gather allthe national historical memories that it belongs to the arts to perpetuate ». For about a century,the Second Empire, followed by the Third Republic, maintained, reshuffled and expanded themuseum, to include representations of contemporaneous events. This thesis aims tounderstand, based on a dense network of archival materials, the museum’s contribution to theelaboration and diffusion of a national and civic imagination.The iconographic analysis of nearly 1,300 paintings within the context of their palatialframework allows us to explore the pictorial and material representations of the political, theirsimilarities and differences. The issue, therefore, is to apprehend the manner in which thesehistoricized visions of the nation-Statecould hold and become internalized. Their success isnot only the result of political and administrative action, but also finds its source in the mutualreinforcement of different social spheres and loyalties. This national history takes shape byreproducing the actors’ most familiar environments, by borrowing from the domestic memoryof the “great notables” and from the norms and issues of professional groups (painters,historians, the military), or by solemnizing the popular habits. The history of France becomesobjective through this interpenetration of identities, through this mutual reinforcement ofsocial sectors, in these processes of politicization of the social and socialization of thepolitical. To understand the formation, content and diffusion of this national imaginationamounts to scrutinizing the systems of relationships between social groups, the evolvinginterrelations between everyday life and the national, between art and history, and betweenthe social and the political
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Lacaze, Julien. « Validité et opposabilité des classements au titre des monuments historiques : la protection juridique du domaine de Versailles de l'origine à nos jours ». Paris 10, 2004. http://www.theses.fr/2004PA100059.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse traite des régimes successifs de validité et d'opposabilité des classements comme monument historique. Elle a pour support pratique la protection du Domaine de Versailles. Elle souligne les spécificités d'un tel classement parmi les servitudes d'utilité publique, et apprécie l'efficacité de la protection du Domaine. La 1ère partie de l'étude est consacrée au régime des protections sous les lois de tutelle préfectorale ; on y étudie le classement de Versailles en 1853. La 2ème partie concerne les conditions transitoires de la loi du 30 mars 1887 appliquées aux anciens classements. La 3ème partie est relative au texte de 1887 applicable pour le futur ; on y étudie la validité et l'opposabilité des classements de 1905 et 1906 puis leur relation avec celui de 1853. La 4ème partie concerne la validité et l'opposabilité des classements sous la loi du 31 décembre 1913, ainsi que les conflits de lois. Enfin, la 5ème partie est consacrée à l'extension des abords des monuments classés.
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Châtelet, Valentine. « Nouvelles technologies et valorisations d'un patrimoine : les marbres, des Pyrénées à Versailles ». Thesis, Toulouse 2, 2016. http://www.theses.fr/2016TOU20081/document.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse porte sur la valorisation du patrimoine marbrier des Pyrénées grâce aux technologies mobiles et se propose d’interroger le rôle de l’historien de l’art dans le développement de ces activités sur les territoires. Les marbres des Pyrénées sont abordés comme ressource géologique dont l’exploitation a façonné les paysages de la montagne et composé les architectures de palais royaux ; ces marbres intègrent le patrimoine sous toutes ses formes, du matériel à l’immatériel. Leur valorisation est multiforme, convoque les notions de paysage et de développement durable et interroge celle du terroir. D’un point de vue patrimonial, les technologies mobiles offrent de nouveaux moyens de médiation. Elles ouvrent ainsi de nouvelles perspectives, dont peuvent se saisir les acteurs impliqués dans la valorisation. Grâce au soutien de la société Camineo, spécialiste de médiation multimédia mobile, deux projets ont été déployés en regard l’un de l’autre : dans les Pyrénées et au domaine de Trianon à Versailles. Ils permettent de questionner l’apport de l’histoire de l’art à la production de récits de médiation patrimoniale et, plus généralement, au regard porté sur l’environnement
This thesis focuses on the enhanced promotion of the the French Pyrenees’ marble heritage through the use of mobile technologies. It aims to question the role of the art historian in the development of these activities on such territories. The quarrying of these Pyrenean marbles, a valued geological resource, dramatically transformed the makeup of mountainous landscapes and shaped the architecture of royal palaces; these marbles are an integral part of our heritage, in both tangible and intangible forms. Their promotion is multifaceted, invoking our perception of the landscape, of sustainable development, and of the concept of terroir itself. From a heritage point of view, mobile technologies offer new channels for cultural mediation. They therefore open up new avenues which can be seized upon by those involved in the promotion of this patrimony. Thanks to the support of Camineo, a company specialising in the interpretation of the marble heritage through mobile technologies, two projects were led in conjunction: one in the Pyrenees and the other on the Domaine du Trianon in Versailles. This has enabled us to question the contribution of history of art in the production of outreach material about this heritage, and more generally, on our perception of the environment
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Castex, Jean-Gérald. « Graver Le Brun au siècle des Lumières : le recueil gravé de la Grande galerie de Versailles de Jean-Baptiste Massé ». Paris 10, 2008. http://www.theses.fr/2008PA100007.

Texte intégral
Résumé :
Baptiste Massé (1687-1767) obtint du duc d’Antin, alors surintendant des Bâtiments, un brevet l’autorisant à graver, à ses frais et à son profit, les décors de la grande galerie de Versailles et des salons adjacents de la Guerre et de la Paix. Reprenant un projet initié en 1687 par Le Brun lui-même, et s’inscrivant dans la continuité du Cabinet du Roi, le recueil gravé de la Grande Galerie de Versailles nécessita trente ans de travail avant sa parution en 1753. S’appuyant sur des méthodes empruntées à l’histoire matérielle du livre et sur de nombreuses archives et sources contemporaines, cette thèse est consacrée à l’aventure artistique de ce recueil : elle s’attache à décrire toutes les étapes de sa réalisation, de sa conception jusqu’à sa réception durant la seconde moitie du XVIIIe siècle. Elle vise à replacer cette entreprise dans un contexte artistique plus large afin de souligner l’importance et le poids que jouèrent ces grandes publications gravées d’après l’œuvre des grands maîtres à partir de la fin du XVIIe siècle, dans la diffusion et l’appréciation artistique. L’étude du recueil gravé de la Grande Galerie de Versailles permet de mettre en lumière la réception de l’œuvre de Le Brun au XVIIIème siècle, à une époque où les peintures de ce décor pourtant célèbre n’étaient ni comprises, ni mêmes matériellement visibles
In 1723, one year after the young Louis XVth and the Court returned to Versailles, the duc d’Antin, Minister of Arts, allowed the miniaturist Jean-Baptiste Massé (1687-1767) to make, at his own expense and for his own benefit, the engraved decoration of the Grande gallery of Versailles and, also, that of the contiguous Peace and the War rooms. Based on a project begun by Le Brun himself in 1687, in the line of the Cabinet du Roi, the engraved compilation of the Grande Galerie de Versailles took thirty years to complete before it’s publication in 1753. Based on methods borrowed from the material history of books and on numerous archives and contemporary testimonies, this thesis is dedicated to the artistic adventure of this compilation. It tries to describe all the stages of its making, from it’s conception to it’s reception during the second half of the XVIIIth century. It also tries to replace this work within a wider art context, in order to emphasize the part played, from the end of the XVIIIth century, by engraved publications of masters’ works in spreading art and helping it to be appreciated by the public. The study of the engraved compilation of the Grande Galerie de Versailles sheds light on the way Le Brun’s art was perceived in the XVIIIth century, at a time when these paintings, however famous, were not understood anymore, nor even visible
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Grimald, Patrice. « Une galère à Versailles : reconstitution de la réale du Grand Canal construite en 1685 ». Phd thesis, Université d'Evry-Val d'Essonne, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00974361.

Texte intégral
Résumé :
Versailles au Grand Siècle était le foyer d'où rayonnait la gloire du Roi-Soleil. Toutes les institutions du Royaume, tout comme les Arts, les Sciences et les Lettres y jouaient un rôle en décor de fond des trois grandes scènes où se produisait la majesté royale : le château, les jardins et le Grand Canal. La Marine y participait, conformément à la politique de développement élaborée par Colbert. Le Grand Canal fut alors une annexe des arsenaux, un site d'exposition navale, où, à côté de bateaux dédiés aux loisirs nautiques appréciés par la Cour, des innovations, des prototypes et des bâtiments de combat furent présentés au Roi et concoururent à l'image de sa puissance. Au-dessus de cette flottille de Versailles régnait un bâtiment d'exception, superbe héritier de vingt cinq siècles d'histoire maritime des peuples de la Méditerranée : la galère réale du Grand Canal construite en 1685. A l'époque, la galère - parvenue à son apogée conceptuelle et technique - constituait toujours le navire emblématique de la domination navale du Roi. Bien que surclassée dans les batailles par l'artillerie des vaisseaux, elle conservait un prestige exceptionnel qui tenait notamment à sa magnificence et à son influence dans la communication politique et diplomatique de Louis XIV. Servir sur les galères, tant pour les officiers que pour les sous-officiers, les marins ou les soldats, conférait une haute dignité, très recherchée, sous l'égide de la Foi, de la Justice, de la grandeur et de la puissance du Roi. Une galère à Versailles, une réale, bien sûr, était ainsi dans l'ordre des choses. Elle y fut construite en 1685. Sa renaissance se situerait aujourd'hui dans la logique des restaurations menées depuis plus d'un siècle dans le château et son Domaine pour en retrouver l'apparence et l'atmosphère. Il n'en reste que deux panneaux décoratifs latéraux, et quelques rares informations d'archives. Rien qui renseigne directement sur les cotes de ce navire d'exception. Il a donc été nécessaire de reconstituer d'abord les méthodes de conception et de construction des galères. Il fallut ensuite adapter les résultats obtenus, parfois incompatibles entre eux, à la fonction du bâtiment, afin de parvenir à ressusciter son architecture générale dans laquelle convergent en cohérence toutes les sources et analyses historiques sur ce sujet.
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Maës, Antoine. « Un sculpteur romain à la cour de France : alliances, fortune et œuvre de Jean-Baptiste Tuby (1629-1700) ». Thesis, Tours, 2019. http://www.theses.fr/2019TOUR2024.

Texte intégral
Résumé :
Né à Rome en 1629, Jean-Baptiste Tuby fit toute sa carrière dans le royaume de France. Devenu « sculpteur ordinaire du roi » en 1659, probablement peu après son installation à Paris, il connut une ascension rapide dès les premières années du règne de Louis XIV. Agréé et reçu à l’Académie royale de Peinture et de Sculpture en 1663, puis logé à la manufacture des Gobelins à partir de 1664-1665, il reçut ses lettres de naturalité en 1672. Le sculpteur fut régulièrement sollicité pour contribuer à l’embellissement des résidences royales, en particulier Versailles, où il donna la pleine mesure de son talent, et prit également part à l’exécution de prestigieux monuments funéraires. Il travailla souvent à partir de dessins fournis par Charles Le Brun, Premier Peintre du roi, qu’il sut traduire avec virtuosité dans différents matériaux, notamment le marbre et le plomb, tout en insufflant son propre style. Parmi les treize enfants connus que Tuby eut avec ses deux épouses successives, seul Jean-Baptiste II Tuby entreprit une carrière de sculpteur. Celle-ci ne fut toutefois pas aussi féconde que celle de son père, décédé en 1700
Born in Rome in 1629, Jean-Baptiste Tuby did the whole of his career in the kingdom of France. Become « sculpteur ordinaire du roi » (sculptor of the King) in 1659, probably shortly after his settle in Paris, he knew a fast rise from the first years of the reign of Louis XIV. Applied and received to the Académie royale de Peinture et de Sculpture in 1663, then established in the Gobelins manufactory from 1664-1665, he was made a naturalized French citizen in 1672. The sculptor was regularly solicited to contribute to the beautification of royal residences, in particular Versailles, where he gave the best of his talent, and he participated also in the execution of prestigious funeral monuments. He often worked from the drawings given by Charles Le Brun, First Painter of the King, and he was able to translate them with virtuosity in different materials, as marble and lead, and moreover, he injected his own style in. Among the thirteen known children that Tuby had with his two successive wives, only Jean-Baptiste II Tuby undertook a career as a sculptor. Nevertheless, this one was not as fecund as his father’s, who died in 1700
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Sarmant, Thierry. « Les demeures du Soleil : Louis XIV, Louvois et la surintendance des bâtiments du roi ». Paris, EPHE, 2014. http://www.theses.fr/2002EPHE4053.

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Hsu, Yu-Lun, et 許祐綸. « French Cultural Heritage in Change : a case study of Joana Vasconcelos Versailles at the Château de Versailles ». Thesis, 2014. http://ndltd.ncl.edu.tw/handle/36851886415309507470.

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Résumé :
碩士
國立臺灣師範大學
歐洲文化與觀光研究所
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This research is based on an inquiry into the implications of the controversial contemporary art exhibition project at the Château de Versailles since 2008, and a reflection on the juxtaposition of contemporary arts and historical sites in the French context. The research takes the 2012 exhibition Joana Vasconcelos Versailles as a case study to analyze the issue. Drawing upon Bourdieu’s “field” theory, the research explores the significance of contemporary art exhibition as a strategy of field struggle in the change of French cultural heritage field. It describes the cultural heritage changes from the 18th century to present, and the distinctive nature of the conjunction of contemporary arts and French heritage sites, then examines the characteristics of Joana Vasconcelos Versailles as Versailles’ strategy of field struggle. The research also analyzes the exhibition by meaning construction and power engaged knowledge shaping, through an investigation of the dialogues between the exhibition and the historical space. Through archive research, interviews, discourse analysis on the artworks and exhibition as well as fieldworks methods, the research demonstrates the post-modernization of heritages, field struggles, and exhibition politics. The case study points out that Joana Vasconcelos Versailles is a product of the postmodern change of the Château de Versailles, and part of the strategies of the renewal of symbolic capitals and the position taking of the French cultural heritage within the recent decade. Through the case study of Joana Vasconcelos Versailles, the research provides a contextual analysis and a critical interpretation of the exhibition as a form of juxtaposition of contemporary arts and historical settings.
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