Littérature scientifique sur le sujet « Château de Clagny, Versailles »

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Articles de revues sur le sujet "Château de Clagny, Versailles"

1

Dufour, Jean-Yves. « Versailles (Yvelines). Château de Versailles, cour Royale ». Archéologie médiévale, no 37 (1 décembre 2007) : 206. http://dx.doi.org/10.4000/archeomed.45915.

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2

Dufour, Jean-Yves. « Versailles (Yvelines). Château de Versailles, cour de l’Opéra ». Archéologie médiévale, no 37 (1 décembre 2007) : 207. http://dx.doi.org/10.4000/archeomed.45920.

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3

Krause, Peter. « ZAUBER DER VERWANDLUNG ». Opernwelt 65, no 5 (2024) : 46–47. http://dx.doi.org/10.5771/0030-3690-2024-5-046.

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4

Loilier, Dominique. « Restauratrice au château de Versailles ». Diplômées 195, no 1 (2000) : 241–43. http://dx.doi.org/10.3406/femdi.2000.7921.

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5

Dufour, Jean-Yves. « Versailles (Yvelines). Château de Versailles, cour du Grand Commun ». Archéologie médiévale, no 37 (1 décembre 2007) : 207. http://dx.doi.org/10.4000/archeomed.45925.

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6

Dauphin, Noëlle. « Versailles, le château et la ville ». Histoire urbaine 9, no 1 (2004) : 79. http://dx.doi.org/10.3917/rhu.009.0079.

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7

Le Tourneau, Dominique. « Claire CONSTANS - Philippe LAMARQUE (éds.), Les Salles des Croisades. Château de Versailles, Château de Versailles-Éditions du Gui, Versailles-Doussard 2002, 500 pp. » Anuario de Historia de la Iglesia 12 (2 mai 2018) : 495–97. http://dx.doi.org/10.15581/007.12.23828.

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8

Le Guillou, Jean-Claude, et Jean-Yves Dufour. « L’enceinte du château de Louis XIII à Versailles ». Bulletin Monumental 166, no 4 (2008) : 305–13. http://dx.doi.org/10.3406/bulmo.2008.2007.

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9

Lavoie, Vincent. « Les Animaux du Roi au Château de Versailles ». Revue de l'art N° 218, no 4 (23 février 2023) : 80–83. http://dx.doi.org/10.3917/rda.218.0080.

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10

Blaizeau, Robert. « Le château de Versailles pendant la Seconde Guerre mondiale ». Versalia. Revue de la Société des Amis de Versailles 19, no 1 (2016) : 93–108. http://dx.doi.org/10.3406/versa.2016.960.

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Thèses sur le sujet "Château de Clagny, Versailles"

1

Leferme-Falguières, Frédérique. « Le monde des courtisans : la haute noblesse et le cérémonial royal aux XVIIe et XVIIIe siècles ». Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010670.

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Résumé :
Cette thèse analyse la participation de la haute noblesse au cérémonial royal dans ses diverses manifestations aux XVIIe et XVIIIe siècles. Les courtisans, spectateurs et acteurs de la représentation monarchique, sont au cœur d'un processus d'évolution du cérémonial délaissant en partie les grands rituels, pour développer des manifestations plus quotidiennes s'étendant à la famille royale dont les naissances, mariages et obsèques deviennent des évènements ritualisés et s'ancrant dans une étiquette de cour complexe codifiant étroitement les relations sociales. A partir de 1682, la vie aulique s'inscrit dans un monde clos. Pour la haute noblesse, loger à la cour, servir dans la Maison du roi sont autant de critères de définition et de légitimation permettant de vivre dans la commensalité du roi, d'avoir une fonction à la cour, d'organiser le cérémonial. Enfin, la vie aulique consacre le triomphe des apparences définissant l'identité sociale et entraînant une intense compétition pour le prestige.
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Szanto, Catherine. « Le promeneur dans le jardin : de la promenade considérée comme acte esthétique. Regard sur les jardins de Versailles ». Phd thesis, Université Paris VIII Vincennes-Saint Denis, 2009. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00537912.

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Résumé :
De nombreux chercheurs ont récemment reconnu l'importance du mouvement pour étudier les usages des jardins. En effet le jardin n'existe pour ses visiteurs que dans la mesure où ils l'ont découvert, parcouru, « vécu ». C'est pourquoi la promenade comme mode d'expérience du jardin apparaît comme un thème de recherche essentiel pour comprendre l'expérience spatiale offerte par le jardin. Le jardin de Versailles, souvent considéré comme statique, a été dès l'origine un lieu de promenade très apprécié. L'analyse du jardin que je propose est basée d'une part sur des descriptions de promenade contemporaines à sa création sous Louis XIV, et d'autre part sur une analyse phénoménologique de l'expérience des formes spatiales, corroborée par les récents résultats de la recherche sur la perception. L'espace est compris non comme une chose vue qui se déroule à nos côtés, ni comme un réceptacle neutre pour nos mouvements, mais comme une constante invitation, comme un partenaire dans un dialogue qui prend ici la forme d'une promenade. La richesse du dialogue vient des choix complexes que l'espace propose au promeneur par ses formes qui s'offrent à la possibilité simultanée d'attitudes spatiales variées (en repos ici, en attente de..., en mouvement vers...), à plusieurs échelles spatiales et temporelles. Ce travail pourrait être l'ébauche d'une théorie de l'« acte de la promenade », d'une « esthétique de la promenade ». La promenade, comme la lecture, est un ‘acte de construction de sens', requérant la ‘compétence' du promeneur. La question est de comprendre ce que peut vouloir dire ‘structure de sens' dans le jardin, et ce que constitue sa ‘construction' au cours de la promenade.
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Szántó, Catherine. « Le Promeneur dans le jardin : de la promenade considérée comme acte esthétique : Regard sur les jardins de Versailles ». Paris 8, 2009. http://octaviana.fr/document/152080066#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

Texte intégral
Résumé :
De nombreux chercheurs ont récemment reconnu liimportance du mouvement pour étudier les usages des jardins. En effet le jardin n'existe pour ses visiteurs que dans la mesure où ils l'ont découvert, parcouru, "vécu". C'est pourquoi la promenade comme mode d'expérience du jardin apparaît comme un thème de recherche essentiel pour comprendre l'expérience spatiale offerte par le jardin. Le jardin de Versailles, souvent considéré comme statique, a été dès l'origine un lieu de promenade très apprécié. L'analyse du jardin que je propose est basée d'une part sur des descriptions de promenade contemporaines à sa création sous Louis XIV, et d'autre part sur une analyse phénoménologique de l'expérience des formes spatiales, corroborée par les récents résultats de la recherche sur la perception. L'espace est compris non comme une chose vue qui se déroule à nos côtés, ni comme un réceptacle neutre pour nos mouvements, mais comme une constante invitation, comme un partenaire dans un dialogue qui prend ici la forme d'une promenade. La richesse du dialogue vient des choix complexes que l'espace propose au promeneur par ses formes qui s'offrent à la possibilité simultanée d'attitudes spatiales variées (en repos ici, en attente de. . . , en mouvement vers. . . ), à plusieurs échelles spatiales et temporelles. Ce travail pourrait être l'ébauche d’une théorie de l'"acte de la promenade", d'une "esthétique de la promenade". La promenade, comme la lecture, est un "acte de construction de sens", requérant la "compétence" du promeneur. La question est de comprendre ce que peut vouloir dire "structure de sens" dans le jardin, et ce que constitue sa "construction" au cours de la promenade
Recently there has been a new awareness among garden historians of the importance of movement in shaping the experience of a garden. Indeed, the garden exists for its visitors only inasmuch as its spaces have been discovered, sensed, “lived”. The garden is the garden explored. Promenade – a leisurely walk with no other end than itself – is thus a privileged activity to study spatial experience. Despite historians' awareness of an itinerary through the gardens devised by Louis XIV himself, Versailles has hardly been studied as a place for promenade. In my thesis I look at the experiential potential of the gardens of Versailles by combining 17th century descriptions of promenades in the garden and a phenomenological description of spatial experience corroborated by recent physiological research on perception. Thus, our ability to move defines the structures of the spatio-temporal modes of „here” and „there”. Through the changes or continuity in specific sensory experiences that occur as we move, the garden offers the possibility for heightened experiences of ‘here’ – views, objects, spaces seen on axis - and ‘there’ – distant views and objects that appear reachable. But more subtly, the garden can accompany the transition from the fulfillment of being ‘here’ to the desire of going ‘there’ and thus enrich our motion itself. Space is here conceived not as a backdrop that we see as we move, but as an invitation to motion, as a spatial dialogue taking the shape of a promenade. The richness of this dialogue in Versailles comes from the complexity of the choices offered to the promeneur, allowing one to build through time a meaningful aesthetic experience of the garden
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Santini, Chiara. « Il giardino di Versailles come modello di progettazione del paesaggio : maîtres jardiniers e tecniche d'aménagement del territorio nell'età del re Sole ». Paris, EHESS, 2004. http://www.theses.fr/2004EHES0152.

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Résumé :
La thèse se propose de tracer la création d'un modèle d'organisation du paysage, les jardins de Versailles, en prêtant attention à la formation et à la pratique des techniciens qui l'ont réalisé. Le but du travail est celui d'analyser le processus théorique et la réalisation pratique du projet d'aménagement du territoire mis en place en France, à l'époque du Roi-Soleil, pour la création du grand parc de Versailles. Le travail de recherche va s'articuler sur trois thématiques fondamentales : 1)la publication, dans la première moitié du XVIIe siècle, de traités d'art et composition des jardins qui vont théoriser un nouveau type de conception de l'espace jardin. 2) L'analyse des pratiques administratives, des techniques et savoirs employés par les différentes corporations de métiers qui travaillent au chantier de Versailles. 3) La naissance et la formation d'une nouvelle figure du jardinier, plutôt un architecte-paysagiste ante litteram qu'un simple horticulteur
This thesis aims at outlining the creation of a model of landscape organization, the one of the garden of Versailles, focusing the attention on the formation and pratice of the technicians who made it. The target of this work is analysing the theoretical process and the practical realization of a landscape-organization project put into effect in France, at the King Sun age for the creation of the Grand Parc of Versailles. The reearch articulates through three main themes : 1) the publication, during the first half of the XVII century, of art and garden composition treatrises which theorise a new model of garden-space. 2) The analysis of administrative practices, of the techniques and knowledge used by several trade corporations which work for 50 years in the yard of versailles. 3) The birth and the formation of a new gardener role, nearer to the one of the landscape-painter architect more than the simple horticulture man
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Landgraf, Eric. « Louis-Philippe, roi bâtisseur : le rêve d'une nation unifiée. Le chantier du château de Versailles de 1830 à 1848 ». Thesis, université Paris-Saclay, 2021. http://www.theses.fr/2021UPASK008.

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Résumé :
En décidant, en 1832, de transformer le château de Versailles en un musée historique et militaire évoquant toutes les époques glorieuses de la France et, en premier lieu, son régime, le roi Louis-Philippe marque d'une empreinte durable le chef-d’œuvre de son aïeul Louis XIV et, au travers d'une scénographie grandiose, adresse un message politique fort au pays. L’importance du chantier témoigne de l’investissement personnel du monarque dans la protection des monuments patrimoniaux. Conduit par le bras armé du souverain, la Liste civile, le chantier alors entrepris fait se transformer le château en un lieu de mémoire. Louis-Philippe cherche ainsi à fédérer les divers courants politiques et à les unifier dans un site unique dédié à la nation postrévolutionnaire. Cet acte royal ouvre la voie à la configuration du Palais tel que nous le connaissons aujourd’hui. La remarquable fréquentation du lieu qui en résulte marque le début de la démocratisation progressive du monument. Des travaux d’ampleur vont modifier pour toujours les grands appartements des ailes du Midi, du Nord et du Corps principal. Au cours de notre étude, nous avons voulu faire revivre les metteurs en scènes de ce nouveau décor, à savoir l’élite des fonctionnaires de la Liste civile, les opérateurs ou entreprises soumissionnés et les acteurs immédiats, les ouvriers – tous à l’œuvre sur le plus grand chantier culturel de la monarchie de Juillet. Le relevé des effectifs et la consultation des mémoires de travaux permettent d’appréhender la prolifération des tâches, de déterminer les trois grands ensembles de travaux – « entretien », « grosses réparations » et « travaux nouveaux et extraordinaires » – et d’étudier la concrétisation du parcours. Les démolitions transforment les lieux, les décorations ajoutées modifient le style d’origine et le musée expose en majorité les œuvres d’art peintes et sculptées par les artistes renommés de la période dans un cadre choisi et modernisé par le monarque. Notre étude établit enfin, grâce à un strict examen des archives comptables, le bilan financier du chantier, projet controversé à l’époque, dont les dépenses surveillées par une administration tatillonne sont bousculées par un roi tantôt trop économe, tantôt exagérant ses demandes au détriment du budget alloué. Le bilan social, quant à lui, apparaît plus contrasté. Il conforte l’idée que la monarchie de Juillet est bien une société libérale et inégalitaire, enrichissant les plus fortunés et ne concédant aux pauvres que de faibles revenus en échange d’un travail pénible. Le chantier du château de Versailles, reflet du monde entrepreneurial et ouvrier du milieu du XIXe siècle, constitue un condensé de l’organisation administrative, politique et économique de la France de Louis-Philippe
By deciding, in 1832, to transform the Palace of Versailles into a historical and military museum evoking all of France's glorious eras and, first and foremost, its regime, King Louis-Philippe left a lasting impression on the masterpiece of his forefather Louis XIV and, through its grandiose scenography, sent a strong political message to the country. The importance of the construction site bears witness to the monarch's personal investment in the protection of heritage monuments. Led by the sovereign's armed wing, the Civil List, the construction site then undertaken led the castle to be transformed into a place of remembrance. Louis-Philippe thus sought to federate the various political currents and unify them in a single site dedicated to the post-revolutionary nation. This royal act paved the way for the configuration of the Palace as we know it today. The remarkable attendance that resulted marks the beginning of the gradual democratization of the monument. Major works will forever modify the large apartments of the South, North and Central wings. In the course of our study, we wanted to revive the directors of this new decor, namely the elite of civil servants of the Civil List, the operators or companies that were bidding for the contract and the immediate actors, the workers - all of them at work on the largest cultural site of the July Monarchy. A census of the workforce and consultation of the work reports allows us to understand the proliferation of tasks, to determine the three major sets of work - "maintenance", "major repairs" and "new and extraordinary works" - and to study the realization of the project. The demolitions transformed the place, the added decorations modified the original style and the museum exhibits mostly works of art painted and sculpted by the famous artists of the period in a setting chosen and modernized by the monarch. Our study finally establishes, thanks to a strict examination of the accounting archives, the financial balance sheet of the construction site, a controversial project at the time, whose expenses supervised by a meticulous administration were pushed by a king who was sometimes too thrifty, sometimes exaggerating his demands to the detriment of the allocated budget. The social balance sheet, for its part, appears more contrasted. It reinforces the idea that the July Monarchy is indeed a liberal and inegalitarian society, enriching the wealthy and granting the poor only low incomes in exchange for hard work. The construction site of the Palace of Versailles, a reflection of the entrepreneurial and working-class world of the mid-19th century, is a summary of the administrative, political and economic organization of Louis-Philippe's France
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Sorkine, Florence. « Propagande et mécénat royal : les fêtes louis-quatorziennes à Versailles et leurs représentations, 1661-1682 ». Paris 3, 1993. http://www.theses.fr/1994PA030022.

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Résumé :
Quoique etant une realite historique et sociale, la fete de cour louis quatorzienne est desormais uniquement reperable par la litterature qu'elle a suscitee. Celle-ci est par ailleurs revelatrice des choix esthetiques d'un pouvoir qui concoit les fetes, particulierement celles offertes a versailles, comme une vitrine du royaume. En outre, l'etude du phenomene festif a travers cette litterature fonctionnelle revele les premices des importantes mutations du regime trop souvent presentees comme le fait de la seconde periode du regne
Although a real historic and social phenomenon, the "fete de cour" during the reign of louis xiv can now only be traced through the literature it gave rise to. Moreover this literature reveals the aesthetic choices of a regime which intended the celebrations, particularly those given at versailles, as a royal showcase. The study of the celebrations through this functional literature gives a glimpse of the beginnings of important changes in the regime, changes which are too often presented as a feature of the second period of the reign
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Maral, Alexandre. « La chapelle royale de Versailles sous Louis XIV : architecture, institutions, liturgie ». Paris 4, 1997. http://www.theses.fr/1997PA040041.

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Résumé :
Cinq chapelles se sont succédé au château de Versailles entre 1661 et 1715. Celle de 1672, dont le décor était dû en grande partie à Le Brun, fut la plus remarquable des trois premières, mais son existence fut fort courte. La chapelle de 1682, conçue comme provisoire, dura en fait jusqu'en 1710. Son aménagement intérieur peut aisément être reconstitue. La dernière chapelle, consacrée en 1710, est le fruit de vingt années d'élaboration, et elle unit à l'audace de son parti architectural une étonnante richesse iconographique, d'un symbolisme profond. La desserte de la chapelle royale de Versailles était assurée par deux corps d'ecclésiastiques distincts : les officiers de la maison du roi et, à partir de l'installation définitive de la cour à Versailles en 1682, les prêtres de la mission ou lazaristes. Chacune de ces institutions répondait à des fonctions précises, qui sont connues par les sources officielles émanant de la maison du roi et par le coutumier de la chapelle. C'est à travers ce dernier document, ainsi que par les chroniques du temps, que l'on peut reconstituer le déroulement au quotidien de la vie de la chapelle. Les cérémonies liturgiques, où la musique tenait une place privilégiée, y étaient fort nombreuses et variées. Les pères de la mission les accomplissaient avec une régularité immuable, tandis que les officiers ecclésiastiques de la maison du roi suivaient la cour dans ses déplacements. Outre les messes et offices ordinaires, semblables à ceux qui se pratiquaient dans les paroisses du royaume, des cérémonies liées au roi et à sa famille se déroulaient dans la chapelle du château, notamment baptêmes et mariages princiers, fêtes de l'ordre du Saint-Esprit, serments d'évêques et réceptions des cardinaux. Par ailleurs, la fonction quasi sacerdotale du très chrétien était manifestée par un ensemble de rites assimilant le roi à un évêque, tels ceux de l'aspersion d'eau bénite, du baisement de l'évangile et du corporal, de l'encensement, des révérences du célébrant. Tous ces éléments permettent d'établir une vision cohérente de la religion du roi dans son cadre versaillais
Five chapels succeeded each other between 1661 and 1715. The chapel built in 1672, whose decoration was mainly due to Le Brun, was the most remarkable of the first three, whose existence was nevertheless very short. The chapel built in 1682, designed to be temporary, lasted in fact until 1710. Its internal decoration can be easily reconstituted. The last chapel, consecrated in 1710, was planned and built over a period of twenty years, and to the boldness of its architectural style it adds an amazing richness in its deeply symbolical iconography. The services of the chapel royal of Versailles were ensured by two groups of ecclesiastics: the king's household officers and, after the installation of the court at Versailles in 1682, the priests of the mission, also known as lazarists. Each of these institutions carried out precise functions, which have been rediscovered thanks to the sources coming from the officers of the king's household and the regulations of the chapel. It is through this latter document as well as the contemporary chronicles that the everyday life of the chapel can be reconstituted. The liturgical ceremonies, during which music was given a very important place, were numerous and varied. The fathers of the mission performed them with an immutable regularity, while the ecclesiastical officers of the king's household followed the movements of the court. Besides the ordinary masses and offices, which were identical to those performed in parish churches throughout the kingdom, some ceremonies in the presence of the king and his family took place in the chapel at Versailles. These particularly included princely baptisms and weddings, feasts of the order of the saint-esprit, bishops’ oaths and cardinals' receptions. In other respects, the almost sacerdotal function of the most Christian king was expressed by some rites which attributed an episcopal role to the king, like those of the aspersion of holy water, the kissing of the gospels and of the corporal, the incensing, the celebrant's bows. All these elements enable us to establish a coherent understanding of the king's religion in the context of the daily life of the French court at Versailles
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Antichan, Sylvain. « Mettre la France en tableaux : la formation politique et sociale d’une iconographie nationale au musée historique du château de Versailles (1830-1950) ». Thesis, Paris 1, 2014. http://www.theses.fr/2014PA010331.

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Résumé :
En 1837, le château de Versailles est « converti » en un vaste musée visant à « réunir tous lessouvenirs historiques nationaux qu’il appartient aux arts de perpétuer ». Durant près d’unsiècle, cette histoire muséale de la France est reconduite, remaniée et actualisée jusqu’auprésent du Second Empire puis de la Troisième République. Notre thèse tente de comprendre,à partir d’un matériau archivistique dense, la contribution du musée à l’élaboration tout autantqu’à la diffusion d’un imaginaire national et civique.L’analyse iconographique de près de 1300 peintures, réinscrites dans leur cadre palatial,permet d’approcher les mises en forme picturales et matérielles du politique, ses variations etses invariants. Dès lors, l’enjeu est d’appréhender comment ces visions historicisées d’unÉtat-nation ont pu tenir et être appropriées. Leurs succès ne relèvent pas seulement d’uneaction politique et administrative mais s’arriment à l’agencement réciproque de différentessphères sociales et strates d’appartenance. Cette histoire nationale se forme en retraduisant lesunivers les plus familiers des acteurs, en empruntant à la mémoire domestique des « grandsnotables », aux normes et aux enjeux de groupements professionnels (peintres, historiens,militaires) ou encore en solennisant les pratiques routinières d’un « public mêlé ». L’histoirede France s’objective dans cette interpénétration des identités et des loyautés, dans cesconsolidations croisées de secteurs sociaux, dans ces dynamiques de politisation du social etde socialisation du politique. Saisir la formation, le contenu et la diffusion de cet imaginairenational équivaut alors à scruter des systèmes de relation entre groupements sociaux, desarticulations variables entre le quotidien et le national, entre l’art et l’histoire, entre le social etle politique
In 1837, the Palace of Versailles was « converted » into a vast museum aiming to « gather allthe national historical memories that it belongs to the arts to perpetuate ». For about a century,the Second Empire, followed by the Third Republic, maintained, reshuffled and expanded themuseum, to include representations of contemporaneous events. This thesis aims tounderstand, based on a dense network of archival materials, the museum’s contribution to theelaboration and diffusion of a national and civic imagination.The iconographic analysis of nearly 1,300 paintings within the context of their palatialframework allows us to explore the pictorial and material representations of the political, theirsimilarities and differences. The issue, therefore, is to apprehend the manner in which thesehistoricized visions of the nation-Statecould hold and become internalized. Their success isnot only the result of political and administrative action, but also finds its source in the mutualreinforcement of different social spheres and loyalties. This national history takes shape byreproducing the actors’ most familiar environments, by borrowing from the domestic memoryof the “great notables” and from the norms and issues of professional groups (painters,historians, the military), or by solemnizing the popular habits. The history of France becomesobjective through this interpenetration of identities, through this mutual reinforcement ofsocial sectors, in these processes of politicization of the social and socialization of thepolitical. To understand the formation, content and diffusion of this national imaginationamounts to scrutinizing the systems of relationships between social groups, the evolvinginterrelations between everyday life and the national, between art and history, and betweenthe social and the political
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Lacaze, Julien. « Validité et opposabilité des classements au titre des monuments historiques : la protection juridique du domaine de Versailles de l'origine à nos jours ». Paris 10, 2004. http://www.theses.fr/2004PA100059.

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Résumé :
Cette thèse traite des régimes successifs de validité et d'opposabilité des classements comme monument historique. Elle a pour support pratique la protection du Domaine de Versailles. Elle souligne les spécificités d'un tel classement parmi les servitudes d'utilité publique, et apprécie l'efficacité de la protection du Domaine. La 1ère partie de l'étude est consacrée au régime des protections sous les lois de tutelle préfectorale ; on y étudie le classement de Versailles en 1853. La 2ème partie concerne les conditions transitoires de la loi du 30 mars 1887 appliquées aux anciens classements. La 3ème partie est relative au texte de 1887 applicable pour le futur ; on y étudie la validité et l'opposabilité des classements de 1905 et 1906 puis leur relation avec celui de 1853. La 4ème partie concerne la validité et l'opposabilité des classements sous la loi du 31 décembre 1913, ainsi que les conflits de lois. Enfin, la 5ème partie est consacrée à l'extension des abords des monuments classés.
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Châtelet, Valentine. « Nouvelles technologies et valorisations d'un patrimoine : les marbres, des Pyrénées à Versailles ». Thesis, Toulouse 2, 2016. http://www.theses.fr/2016TOU20081/document.

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Résumé :
Cette thèse porte sur la valorisation du patrimoine marbrier des Pyrénées grâce aux technologies mobiles et se propose d’interroger le rôle de l’historien de l’art dans le développement de ces activités sur les territoires. Les marbres des Pyrénées sont abordés comme ressource géologique dont l’exploitation a façonné les paysages de la montagne et composé les architectures de palais royaux ; ces marbres intègrent le patrimoine sous toutes ses formes, du matériel à l’immatériel. Leur valorisation est multiforme, convoque les notions de paysage et de développement durable et interroge celle du terroir. D’un point de vue patrimonial, les technologies mobiles offrent de nouveaux moyens de médiation. Elles ouvrent ainsi de nouvelles perspectives, dont peuvent se saisir les acteurs impliqués dans la valorisation. Grâce au soutien de la société Camineo, spécialiste de médiation multimédia mobile, deux projets ont été déployés en regard l’un de l’autre : dans les Pyrénées et au domaine de Trianon à Versailles. Ils permettent de questionner l’apport de l’histoire de l’art à la production de récits de médiation patrimoniale et, plus généralement, au regard porté sur l’environnement
This thesis focuses on the enhanced promotion of the the French Pyrenees’ marble heritage through the use of mobile technologies. It aims to question the role of the art historian in the development of these activities on such territories. The quarrying of these Pyrenean marbles, a valued geological resource, dramatically transformed the makeup of mountainous landscapes and shaped the architecture of royal palaces; these marbles are an integral part of our heritage, in both tangible and intangible forms. Their promotion is multifaceted, invoking our perception of the landscape, of sustainable development, and of the concept of terroir itself. From a heritage point of view, mobile technologies offer new channels for cultural mediation. They therefore open up new avenues which can be seized upon by those involved in the promotion of this patrimony. Thanks to the support of Camineo, a company specialising in the interpretation of the marble heritage through mobile technologies, two projects were led in conjunction: one in the Pyrenees and the other on the Domaine du Trianon in Versailles. This has enabled us to question the contribution of history of art in the production of outreach material about this heritage, and more generally, on our perception of the environment
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Livres sur le sujet "Château de Clagny, Versailles"

1

Zega, Andrew. Versailles : Trianon, Marly : Clagny et Sceaux. [France] : Connaissance et mémoires, 2007.

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2

Hoste, Jean Georges d'. Tout Versailles. Florence : Bonechi, 2008.

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Thomas, Garnier, Christian Milet, Didier Saulnier et Christophe Fouin. Le château de Versailles. Paris : Albin Michel, 2016.

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4

Lemoine, Pierre. Versailles : Château, domaine, collections. Paris : Art Lys, 2016.

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5

Lemoine, Pierre. Versailles : Château, estate, collections. Paris : Éditions Artlys, 2016.

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6

Cangioli, Paolo. Versailles. Alphen aan den Rijn : Atrium, 1989.

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7

Cangioli, Paolo. Versailles. [s.l.] : Manfred Pawlak, 1989.

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8

Guillou, Jean-Claude Le. Versailles : Le château en construction. Versailles : Art Lys, 2006.

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9

Babelon, Jean-Pierre. L'ABCdaire du Château de Versailles. Paris : Flammarion, 1996.

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10

Cornette, Joël. Versailles. Paris : Pluriel, 2012.

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Chapitres de livres sur le sujet "Château de Clagny, Versailles"

1

Perschler, Martin. « From Oblivion to Eternity : The Château de Versailles and the Politics of Commemoration in the 1920s ». Dans Memory & ; Oblivion, 363–68. Dordrecht : Springer Netherlands, 1999. http://dx.doi.org/10.1007/978-94-011-4006-5_41.

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2

« Claude III Audran and Jean de La Fontaine’s Fables : Maintaining the Social Hierarchy ». Dans Claude III Audran, Arbiter of the French Arabesque. Nieuwe Prinsengracht 89 1018 VR Amsterdam Nederland : Amsterdam University Press, 2024. http://dx.doi.org/10.5117/9789463729284_ch03.

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Résumé :
When the crown ordered the renovation of the Ménagerie at Versailles, Jules Hardouin-Mansart (1646–1708) tapped Audran to complete the interior design. The concepts of convenance and bienséance provide historical context to explain Audran’s use of La Fontaine’s Fables motifs and other design elements in the interiors. The design motifs coordinated with custom decorative arts set a precedent for elite interiors. Analysis of these motifs shows how they relate to the status and position of Marie-Adélaïde. Audran’s subsequent commission at the château Sceaux includes the discussion of painted harpsichords and harpsichord music. In addition, a later commission for Audran from the architect Jules-Robert de Cotte (1683–1767) at his Château de Réveillon represents the second project to illustrate La Fontaine Fables.
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3

Giraud, Laurent. « Versailles dans les Mémoires d’un médecin d’Alexandre Dumas : du palais d’Ancien Régime au château romantique ». Dans Châteaux romantiques, 133–43. Presses Universitaires de Bordeaux, 2005. http://dx.doi.org/10.4000/books.pub.28201.

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4

Oppermann, Fabien. « Le milliardaire et le diplomate : le rôle de Jules Jusserand dans la donation Rockefeller pour le château de Versailles ». Dans Deux grandes figures de l'amitié franco-américaine : Gabriel Hanotaux et Jules Jusserand, 99–111. Direction des Archives, 2023. http://dx.doi.org/10.4000/books.dameae.1856.

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