Littérature scientifique sur le sujet « Centre de documentation en lettres québécoises »

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Articles de revues sur le sujet "Centre de documentation en lettres québécoises"

1

Leclerc, Catherine, et Lianne Moyes. « Littératures en contiguïté ». Étude 37, no 3 (9 août 2012) : 127–43. http://dx.doi.org/10.7202/1011957ar.

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Résumé :
À partir d’un incident en apparence mineur, soit le rejet par le Conseil des Arts du Canada d’une demande de subvention du Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises, demande qui visait à accueillir l’auteure acadienne France Daigle à titre d’écrivaine en résidence, cet article examine les enjeux entourant l’intégration d’une auteure acadienne au sein de l’institution littéraire québécoise. S’inspirant des analyses de Barbara Godard sur l’interaction entre différents champs culturels et sur les rapports de pouvoir complexes qui sont en cause lors de telles interactions, il propose une analyse à la fois de la tension existant à la frontière de lettres québécoises et acadiennes et de la porosité de cette frontière.
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2

Mathis-Moser, Ursula. « L’émergence des études francophones et québécoises en Autriche ». Globe 4, no 2 (14 février 2011) : 239–56. http://dx.doi.org/10.7202/1000646ar.

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Résumé :
L’émergence des études québécoises en Autriche est étroitement liée à celle des études francophones et toutes deux témoignent d’un changement de paradigme qui, dans une certaine mesure, affecte aussi le rôle de la France. Après la guerre, celle-ci est sans aucun doute l’alternative la plus importante à l’Allemagne; l’apprentissage du français au secondaire prend son essor jusqu’aux années 1960, tandis que dans les universités autrichiennes les études françaises ne sortent de la tutelle pan-romaniste typique des pays de langue allemande qu’au cours des années 1970. Les années 1980 à 1990 amènent par la suite la naissance des études francophones qui, aujourd’hui, contribuent visiblement à façonner le profil des universités autrichiennes: si Vienne est l’université « la plus francophone » de l’Autriche, Innsbruck semble être l’université « la plus québécoise ». En général, les études québécoises en Autriche se situent surtout dans le domaine des Lettres et plus particulièrement dans celui de la littérature. Pendant longtemps, elles ont été liées à des chercheurs individuels, avant d’entrer dans une phase de consolidation et d’institutionnalisation avec, entre autres, la création du Centre d’étude de la chanson québécoise à l’Université d’Innsbruck. Le présent article ne présente pas seulement les recherches des principaux québécistes autrichiens, mais aussi l’évolution des activités de conférenciers et le développement de l’enseignement universitaire.
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3

Marcotte, Véronique. « La nouvelle Bibliothèque nationale du Québec : une institution culturelle au service des Québécois ». Documentation et bibliothèques 49, no 2 (5 mai 2015) : 77–82. http://dx.doi.org/10.7202/1030241ar.

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Résumé :
Depuis une quinzaine d’années, de grandes bibliothèques publiques se construisent un peu partout dans le monde, particulièrement en Amérique du Nord et en Europe de l’Ouest. Chez nos voisins américains, les villes de Chicago, Denver, New York, Phoenix et San Francisco se sont dotées de bibliothèques modernes et imposantes. Chez nos cousins français, une nouvelle Bibliothèque nationale de France a vu le jour en 1994, et le site François Mitterrand/Tolbiac a ouvert ses portes au public en 1996. Le projet de Grande bibliothèque du Québec (GBQ), qui a vu le jour en 1998 grâce à une loi votée par l’Assemblée nationale, s’inscrit dans ce contexte international. Le Québec, tout comme ces autres grandes villes, avait besoin de se doter d’une nouvelle institution culturelle dans le domaine du livre, de la lecture et de la documentation capable de relever les défis de la société du savoir. La Bibliothèque nationale du Québec (BNQ) et la Bibliothèque centrale de Montréal (BCM) éprouvaient des problèmes d’espace qui empêchaient une diffusion adéquate de la documentation. La Grande bibliothèque du Québec, en réunissant dans un nouvel édifice la collection de diffusion de la BNQ et la collection de la BCM, se voulait une solution à ces problèmes d’espace. Son mandat initial consistait à être une bibliothèque grand public et à fournir une vitrine privilégiée pour l’édition québécoise. En 2001, le projet de Grande bibliothèque du Québec a pris un tout autre tournant lorsque le gouvernement du Québec a décidé de fusionner en une seule et même institution la GBQ et la BNQ pour créer la nouvelle Bibliothèque nationale du Québec (NBNQ) dotée à la fois d’une mission de conservation et de diffusion. Dans ce contexte, quels doivent être le rôle et les priorités de services de cette nouvelle institution à l’égard des bibliothèques publiques du Québec ? Un bref retour sur l’historique du développement des bibliothèques publiques au Québec permettra d’obtenir un portrait de la situation actuelle des bibliothèques publiques québécoises et de constater que le réseau souffre d’un retard important. Pour consolider le réseau des bibliothèques publiques québécoises, la NBNQ doit assumer un rôle de leadership en plus d’offrir un accès le plus large possible à ses collections, de promouvoir la lecture et le livre et de constituer un centre d’expertise.
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4

Lacelle, Nathalie. « De Beaudrap, A.R., Duquesne, D. et Houssais, Y. (2004). Images de la littérature et de son enseignement. Étude réalisée à l’IUFM des Pays de la Loire auprès des PLC de Lettres. Nantes : Centre régional de documentation pédagogique des Pays de la Loire. » Revue des sciences de l'éducation 32, no 2 (2006) : 505. http://dx.doi.org/10.7202/014581ar.

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5

Surbakti, Kardilla, Andi Wete Polili et Nurilam Harianja. « ANALYSE CONTRASTIVE DU VERBE TRANSITIF-INTRANSITIF FRANÇAIS ET INDONÉSIEN ». HEXAGONE Jurnal Pendidikan, Linguistik, Budaya dan Sastra Perancis 4, no 1 (5 novembre 2015). http://dx.doi.org/10.24114/hxg.v4i1.3543.

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Résumé :
RÉSUMÉ Kardilla Surbakti. 2103131013. Analyse Contrastive du Verbe Transitif-Intransitif Français et Indonésien. Section Française du Département de Langue Étrangère de lettres et d’arts. Unimed. Medan. 2015. Cette recherche a pour objectif de trouver quelles sont les types du verbe transitif-intransitif Français et Indonésien, les différences du verbe transitif-intransitif Français et Indonésien, et les similarités du verbe transitif-intransitif Français et Indonésien. Cette recherche utilise la méthode qualitative descriptive. Les donnés sont collectées en utilisant la technique de documentation. Dans cette recherche l’auteur centre l’attention sur les similarités et différences du verbe transitif-intransitif Français et Indonésien.Pour analyser des données, premièrement l’auter explique quels sont lest types du verbe transitif-intransitif Français et Indonésien, les différences du verbe transitif-intransitif Français et Indonésien, et les similarités du verbe transitif-intransitif Français et Indonésien. Et puis, on compare ceux des verbes pour tirer une conclusion.Le résultat d’analyse, montre que les types du verbe transitif Français se compose de trois catégories, intransitif Français se compose de deux catégories, transitif indonésien se compose de 3 catégories aussi et intransitif indonésien se compose de 3 catégories. Alors, le verbe transitif-intransitif français et indonésien ont les similarités soit le type du verbe et soit la formation. On peut savoir la préposition trouve devant le nom, l’adjectif, l’ardverbe et l’infinitif. D’ailleurs, il y a aussi les différences de la structure du verbe qui suivi la prépositions, en français, il y a des verbes qui doivent être suivis par le nom et l’infinitif. Tandis qu’en indonésien il n’y pas de regle l’utilisation le verbe avec la chose. Les mots clés : le verbe, la prépositions, le nom
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