Articles de revues sur le sujet « Cancer séreux de haut grade »

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Selle, Frédéric, Florence Joly, Laurence Gladieff, Karine Prulhière, Alexandra Leary, Elsa Kalbacher, Etienne Rouleau et Isabelle Ray-Coquard. « Prise en charge des carcinomes ovariens de haut grade séreux et/ou endométrioïdes de stades avancés (III-IV) et testing HRD-BRCA en 2023 : actualisation selon les données publiées et/ou présentées en 2022 ». Bulletin du Cancer 110, no 6 (juin 2023) : 6S5–6S9. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-4551(23)00329-6.

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Mederos, Nuria, Anita Wolfer, Patrice Mathevet, Maged Zaher et Apostolos Sarivalasis. « Le cancer séreux de haut gradede l’ovaire en 2018 : avancéeset controverses ». Revue Médicale Suisse 14, no 607 (2018) : 1037–41. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2018.14.607.1037.

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Svrcek, Magali. « Pathologie tumorale du péritoine : cas no 7 : adénocarcinome papillaire séreux peu différencié de haut grade, primitif du péritoine ». Annales de Pathologie 35, no 4 (août 2015) : 351–56. http://dx.doi.org/10.1016/j.annpat.2015.05.012.

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Mollevi, C., P. E. Colombo, P. Rouanet, S. Carrère, F. Quenet, M. Gutowski, A. Mourregot, I. Coupier et M. Fabbro. « Probabilités conditionnelles de survie et facteurs pronostiques chez les patientes longues survivantes traitées pour un carcinome séreux ovarien de haut grade (CSOHG) ». Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 66 (mai 2018) : S135. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2018.03.343.

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MALMARTEL, A. « DEPISTAGE DU CANCER COLORECTAL : SUIVI APRES POLYPECTOMIE COLIQUE ». EXERCER 32, no 178 (1 décembre 2021) : 460–61. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2021.178.460.

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Résumé :
En 2021, la Société française d’endoscopie digestive (SFED) a publié des recommandations concernant la surveillance après une polypectomie colique réalisée dans le cadre d’un dépistage du cancer colorectal (CCR) avec une coloscopie initiale de haute qualité1. Une qualité insuffisante de coloscopie nécessitait une nouvelle coloscopie dans un délai d’un an. Les patients ayant subi l’exérèse de 5 adénomes ou plus, ou d’au moins 1 polype O 10 mm ou en dysplasie de haut grade, ou d’au moins 1 polype festonné d’au moins 10 mm ou comportant des lésions de dysplasie sont dits à haut risque. Pour ces patients, une coloscopie à trois ans est recommandée, suivie d’une nouvelle coloscopie cinq ans après. Ces examens permettent parfois de reclasser le patient en patient à faible risque.
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Selle, Frédéric, Jérôme Alexandre, Karine Prulhière, Elsa Kalbacher, Isabelle Ray-Coquard et Alexandra Leary. « Traitement médical de première ligne du cancer épithélial de l’ovaire de haut grade ». Bulletin du Cancer 108, no 9 (décembre 2021) : S5—S12. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-4551(21)00582-8.

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Bergeron, Christine, et Gérard Orth. « La prévention du cancer du col utérin ». médecine/sciences 39, no 5 (mai 2023) : 423–28. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2023057.

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Résumé :
Le dépistage du cancer du col de l’utérus concerne les femmes âgées de 25 à 65 ans. Il consiste à recueillir des cellules en frottant le col utérin avec une spatule. Le matériel biologique prélevé est ensuite déposé directement sur lame ou après l’avoir dilué dans un conservateur et cytocentrifugé (cytologie en milieu liquide). Il est ensuite analysé au microscope. En juillet 2019, la Haute autorité de santé a recommandé de rechercher l’ADN des types de papillomavirus humains (human papillomavirus, HPV) à haut risque ou potentiellement oncogènes, par PCR (test HPV HR), comme première étape du dépistage après l’âge de 30 ans. Ce test est plus sensible que la cytologie pour diagnostiquer une lésion histologique malpighienne intraépithéliale de haut grade, et plus efficace pour prévenir les cancers invasifs. Lorsque ce test est positif, une analyse cytologique sur le même prélèvement est réalisée afin de sélectionner les patientes nécessitant une colposcopie. Le deuxième volet de la prévention du cancer du col utérin repose sur la vaccination. Nous discutons, dans cette revue, l’importance de la détection des lésions du col utérin et le rôle des HPV.
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Siproudhis, L., et S. Henno. « Dépistage du cancer de l’anus et des lésions précancéreuses du canal anal ». Côlon & ; Rectum 14, no 3 (août 2020) : 127–32. http://dx.doi.org/10.3166/cer-2020-0133.

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Résumé :
Il existe aujourd’hui deux modalités de dépistage et de suivi des lésions de dysplasies et de cancer de l’anus. L’une est très consommatrice d’énergie et de temps (anuscopie haute résolution répétée), et l’autre est celle d’une approche minimaliste (anuscopie). La première expose à une mauvaise observance et de nombreux perdus de vue, la seconde à un diagnostic et une prise en charge trop tardifs (cancer invasif) quand la surveillance et le traitement de la dysplasie de haut grade peuvent apparaître des objectifs ambitieux mais cohérents.
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Boman, F., A. Duhamel, D. Q. Trinh, I. Farré, P. Collinet, J. L. Leroy et R. Beuscart. « Correspondance histologique des frottis cervico-utérins détectant un cancer ou une lésion de haut grade ». Gynécologie Obstétrique & ; Fertilité 32, no 5 (mai 2004) : 404–8. http://dx.doi.org/10.1016/j.gyobfe.2004.03.014.

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Bailleul, Quentin, Andria Rakotomalala, Isabelle Ferry, Pierre Leblond, Samuel Meignan et Alessandro Furlan. « L’art de la guerre appliqué aux DIPG ». médecine/sciences 37, no 2 (février 2021) : 159–66. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2020279.

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Résumé :
Les tumeurs cérébrales pédiatriques représentent la principale cause de mortalité par cancer chez l’enfant. Alors que l’exérèse complète a une valeur pronostique dans certains gliomes de haut grade, les DIPG (diffuse intrinsic pontine gliomas) ne peuvent en bénéficier du fait d’une localisation critique au niveau du tronc cérébral et de leur caractère infiltrant. La radiothérapie demeure le traitement de référence contre ces tumeurs depuis bientôt cinquante ans, et les tentatives pour améliorer le pronostic vital des patients à l’aide de chimiothérapies ou de thérapies ciblées se sont révélées infructueuses. La connaissance des altérations moléculaires dans ces gliomes a fortement progressé cette dernière décennie, grâce aux progrès du séquençage à haut débit. Cela a permis de révéler des entités distinctes au niveau moléculaire et de préciser des diagnostics discriminants. Dans cette revue, nous faisons le point sur ces nouvelles connaissances et les perspectives qu’elles apportent en termes de stratégies cliniques.
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Harnoy, Yann, Yoram Bouhnik, Nathalie Gault, Véronique Desfourneaux, Laurent Sulpice, Dominique Cazals-Hatem, Yves Panis, Eric Ogier-Denis et Xavier Treton. « L’appendicectomie est un facteur de risque de dysplasie de haut grade et de cancer colorectal dans la rectocolite hémorragique ». Journal de Chirurgie Viscérale 152, no 5 (octobre 2015) : A11. http://dx.doi.org/10.1016/s1878-786x(15)30019-x.

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Marcoux, I. « « Avoir le moral » après l’annonce d’un cancer : une étude auprès de personnes atteintes d’une tumeur cérébrale de haut grade ». Psycho-Oncologie 6, no 4 (décembre 2012) : 209–16. http://dx.doi.org/10.1007/s11839-012-0393-z.

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Ibrir, Messaouda, Abdelaziz Lankar, Fouad Redjem, Houssem Eddine OUARHLENT et Messaouda Oudjehih. « HER2 hyper-expression in urothelial carcinoma of the bladder in a 30 cases study ». Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 8, no 2 (28 décembre 2021) : 102–4. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsoa.2021.8202.

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Résumé :
Objectif. L’objectif de notre étude est d’évaluer l’expression du HER 2 dans le carcinome urothélial de la vessie sur 30 cas sélectionnés parmi une série de 361 cas colligée au service d’anatomie pathologie du CHU de Batna et de comparer nos résultats aux données de la littérature. Matériels et méthodes. Dans notre étude, nous avons évalué la surexpression de l’HER2 par technique immunohistochimique sur 30 cas, en utilisant les mêmes critères d’interprétation que pour le cancer du sein. Les résultats ont été évalués en utilisant le score d’interprétation de l’American Society of Clinical Oncology (l’ASCO), basé sur le pourcentage de cellules marquées, et l'intensité du marquage dans la perspective d'un traitement par le Trastuzumab (Herceptine). Dans notre étude, seul le score 3 + est considéré comme positif. Résultats et discussion. Nous avons constaté qu’aucun cas de tumeurs à faible potentiel de malignité (TFPM) n’a exprimé le HER2, et que 40 % des carcinomes de haut grade (HG) ont exprimé un marquage intense. Une surexpression de HER2 a été retrouvée dans 23,33% de nos échantillons tumoraux. Ce taux est proche de ceux décrits dans la littérature, allant de 23% à 80% avec d’importants écarts qui pourraient être expliqué par plusieurs hypothèses. Les résultats discordants rapportés dans la littérature nécessitent la standardisation des méthodes des laboratoires. Les différentes études démontrent que les décisions et l’algorithme actuellement utilisés dans les cancers du sein sont également adaptables dans les cancers de la vessie. Conclusion. Malgré la taille réduite de notre échantillon, l’expression de l’HER2 est présente surtout dans les carcinomes de haut grade ce qui concorde avec les données de la littérature des grandes séries. Ces résultats peuvent avoir des implications cliniques sur la prise en charge des tumeurs HER2-positifs localement avancées et/ou métastatiques. Ces patients sont donc des candidats potentiels pour la thérapie ciblée anti HER 2 (Herceptine).
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BOUSSAGEON, R., E. FERRAT, M. FLORI, S. ERPELDINGER, C. MAYNIE-FRANCOIS, I. SUPPER et D. POUCHAIN. « Vaccin HPV et prévention du cancer du col de l’utérus ». EXERCER 31, no 165 (1 septembre 2020) : 310–15. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2020.165.310.

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Résumé :
Introduction. En 2018 en France, l’incidence annuelle du cancer du col de l’utérus (CCU) était d’environ de 6,1/100 000, ce qui en fait aujourd’hui un cancer « rare ». L’article d’Ecollan et al., publié dans exercer en 2018 sur la vaccination contre le papillomavirus humain (HPV), suggérait que le rapport bénéfice/risque de la vaccination anti-HPV dans la prévention du CCU était favorable. Mé thodes. Analyse complémentaire de la méta-analyse Cochrane de Arbyn et al., avec inclusion de l’essai clinique randomisé VIVIANE sur les critères CIN3+ et AIS. Résultats. L’inclusion de l’ECR VIVIANE modifiait les résultats de la méta-analyse Cochrane sur les critères CIN3+ et AIS. À ce jour, il n’est pas démontré que le vaccin anti-HPV diminue l’ensemble des lésions cervicales précancéreuses de haut grade (CIN3+ et AIS), quel que soit le type de HPV. Discussion. La méta-analyse Cochrane de Arbyn et al. n’était pas fiable concernant les CIN3+ et AIS. Il est nécessaire de faire l’analyse complète de tous les essais cliniques randomisés ayant évalué l’efficacité et la tolérance du vaccin HPV avant de promouvoir une généralisation de la vaccination anti-HPV. Ce d’autant plus que les données en vie réelle dans les pays à forte couverture vaccinale ne montrent pas encore de réduction de l’incidence du CCU. Conclusion. En l’absence d’urgence sanitaire, il convient de prendre le temps d’une analyse indépendante, exhaustive, et transparente des données. Étant donné le bénéfice individuel incertain, la décision médicale partagée avec les patientes doit être plus que jamais promue dans cette situation de prévention primaire, d’autant plus que le programme de dépistage organisé du cancer cervical débute.
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Joly, Florence, et Isabelle Ray-Coquard. « Mise à jour 2021 des recommandations pour la pratique clinique de Nice/Saint-Paul-de-Vence dans le cancer de l’ovaire épithélial de haut grade ». Bulletin du Cancer 108, no 9 (décembre 2021) : S1—S4. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-4551(21)00581-6.

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Scailteux, L., F. Balusson, E. Nowak, S. Vincendeau, N. Rioux-Leclercq et E. Oger. « Risque de cancer de la prostate de haut grade après 2 ans d’utilisation de 5-ARI dans le traitement de l’hyperthrophie bénigne de la prostate ». Progrès en Urologie 27, no 13 (novembre 2017) : 730–31. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2017.07.111.

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Canard, J. M., G. Rahmi, L. Palazzo, B. Landi, T. Manière, C. Cellier et R. Jian. « Évolution favorable à long terme des patients traités par résection muqueuse endoscopique pour une dysplasie de haut grade ou un cancer épidermoïde superficiel de l’œsophage ». Acta Endoscopica 41, no 4 (21 juin 2011) : 193–99. http://dx.doi.org/10.1007/s10190-011-0174-8.

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Ezebialu, C. U., I. U. Ezebialu et C. C. Ezenyeaku. « Persistence of cervical human papillomavirus infection among cohort of women in Awka, Nigeria ». African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 22, no 3 (2 juillet 2021) : 344–51. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v22i3.5.

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Résumé :
Background: Many women are known to contract human papilloma virus (HPV) infection in their lifetime but only a few develop cervical cancer. One of the major factors that contribute to development of cervical cancer is HPV persistence. Several other factors including viral load have been implicated in cervical cancer development. This work therefore intends to investigate the persistence of cervical HPV infection among cohort of women in Awka, Nigeria.Methodology: A cohort of 58 women with normal Papanicolaou (Pap) test but positive HPV DNA selected from a population of 410 women at baseline were followed up over a period of 6 months from April to October 2015. Cervical specimens collected were subjected to HPV DNA test and viral quantification using TaqMan Real Time PCR and cervical cytology. Risk factors were obtained using semi structured interviewer administered questionnaires. Variables were analysed using descriptive statistics and T-test on IBM SPSS statistics version 21.0 and EPI INFOTM 7.0Results: At the 6-month follow up, cervical HPV infection persisted in 29 women, representing 50% of the women followed up. Among the 29 women, 7 (24.1%) developed abnormal Pap smear (Low grade Squamous Intraepithelial Lesion). Factors significantly associated with persistence at bivariate analysis of HPV include previous sexually transmitted infection (STI) (p=0.005), HIV positivity (p=0.04), HIV positivity but no anti-retroviral drugs (p=0.014), HPV 16 infection (p<0.0001) and age less than 40 years (p<0.0001). At multinomial logistic regression, only age above 17 years at first sexual intercourse (p=0.003, CI=0.012-0.392) and multiple lifetime sexual partners (p=0.021, CI=0.20-0.726) were statistically significant.Conclusion: High risk HPV infection, in addition to other factors peculiar to an individual may influence HPV persistenceKey words: cervical cancer, human papillomavirus, persistence, cytology, risk factors, infection French Title: Persistance de l'infection cervicale par le papillomavirus humain parmi une cohorte de femmes à Awka, Nigéria Contexte: De nombreuses femmes sont connues pour contracter une infection au virus du papillome humain (VPH) au cours de leur vie, mais seules quelques-unes développent un cancer du col de l'utérus. L'un des principaux facteurs qui contribuent au développement du cancer du col de l'utérus est la persistance du VPH. Plusieurs autres facteurs, y compris la charge virale, ont été impliqués dans le développement du cancer du col de l'utérus. Ce travail vise donc à étudier la persistance de l'infection cervicale au VPH parmi la cohorte de femmes à Awka, au Nigeria. Méthodologie: Une cohorte de 58 femmes avec un test de Papanicolaou (Pap) normal mais un ADN HPV positif sélectionné parmi une population de 410 femmes au départ ont été suivis sur une période de 6 mois d'avril à octobre 2015. Les échantillons cervicaux collectés ont été soumis à l'ADN HPV. test et quantification virale à l'aide de la PCR en temps réel TaqMan et de la cytologie cervicale. Les facteurs de risque ont été obtenus à l'aide de questionnaires semi-structurés administrés par les intervieweurs. Les variables ont été analysées à l'aide de statistiques descriptives et d'un test T sur IBM SPSS statistics version 21.0 et EPI INFOTM 7.0 Résultats: Au suivi de 6 mois, l'infection cervicale au VPH persistait chez 29 femmes, soit 50% des femmes suivies. Parmi les 29 femmes, 7 (24,1%) ont développé un test Pap anormal (lésion squameuse intraépithéliale de bas grade). Les facteurs significativement associés à la persistance lors de l'analyse bivariée du VPH comprennent les antécédents d'infection sexuellement transmissible (IST) (p=0,005), la positivité au VIH (p=0,04), la positivité au VIH mais pas d'antirétroviraux (p=0,014), l'infection au VPH 16 (p<0,0001) et moins de 40 ans (p<0,0001). Lors de la régression logistique multinomiale, seuls les âges supérieurs à 17 ans lors du premier rapport sexuel (p=0,003, IC=0,012-0,392) et les multiples partenaires sexuels à vie (p=0,021, IC=0,20-0,726) étaient statistiquement significatifs. Conclusion: Une infection au VPH à haut risque, en plus d'autres facteurs propres à un individu, peut influencer la persistance du VPH Mots clés: cancer du col de l'utérus, papillomavirus humain, persistance, cytologie, facteurs de risque, infection
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Bellio, Hélène, et Marc-Antoine Benderra. « Nouvelles AMMs : Nivolumab en monothérapie en traitement adjuvant des carcinomes urothéliaux de haut grade PD-L1≥1 %, à haut risque de rechute après chirurgie radicale ». Bulletin du Cancer, août 2022. http://dx.doi.org/10.1016/j.bulcan.2022.05.006.

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« C52 : Génotypage des virus du Papillome Humain dans les lésions pré-cancéreuses et cancéreuses du col utérin à Bamako (Mali) ». African Journal of Oncology 2, no 1 Supplement (1 mars 2022) : S23. http://dx.doi.org/10.54266/ajo.2.1s.c52.dgje6798.

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Résumé :
INTRODUCTION : Le cancer du col de l’utérus est dans 99% des cas du à un Virus Papillome Humain à haut risque (HR-HPV). Cette étude a été initiée pour déterminer les types d’HPV associées aux lésions précancéreuses et cancéreuses du col utérin à Bamako. MATERIELS ET METHODES : Nous avons mené une étude transversale prospective, entre le 1er Janvier 2016 et le 30 Avril 2017. Les sites étaient d’une part le service d’Anatomie et Cytologie Pathologiques du Centre Hospitalier Universitaire (CHU) du Point-G (Bamako – MALI) ou l’examen histologique des fragments de biopsies et des pièces opératoires, provenant des centres de dépistages a été réalisé et d’autre part le Centre de Recherche Biomoléculaire Pietro Annigoni (CERBA/LABIOGENE) de Ouagadougou (Burkina Faso), pour le génotypage des échantillons recueillis. Avec la technique PCR multiplex en temps réel, nous avons recherché 14 génotypes du HR-HPV dans 192 prélèvements de Lésions Intra-Epithéliales de Haut Grade (LIEHG) et de cancers invasifs du col de l’utérus. Les données ont été analysées sur le logiciel SPSS 18.0. RESULTATS : Seulement 43,2% (83/192) avaient un résultat positif. Le génotypage a révélé la présence de 13 génotypes HR-HPV, les plus fréquents étaient HPV18 (16,3%), HPV45 (16,3%). Les fréquences d’infections uniques et multiples étaient respectivement de 77,1 et 22,9%. La majorité des femmes avec un HPV positif était des multipares avec 30,9%. Le type histologique le plus représenté était les Néoplasies Intra-Epithéliales modérées (CIN2) avec 42,2%. CONCLUSION : L’approche moléculaire doit faire partir de l’arsenal des techniques utilisées dans le dépistage du cancer du col pour une meilleure prise en charge.
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Konaté, A., SB Sissoko, B. Coulibaly, A. Sow, M. Keïta, R. Maïga, CB Traoré, B. Kamaté, S. Bayo et J. Simporé. « Génotypage des Virus du Papillome Humain (VPH/HPV) dans les lésions précancéreuses et cancéreuses du col utérin à Bamako (Mali) ». Mali Santé Publique, 30 juin 2019, 49–52. http://dx.doi.org/10.53318/msp.v9i01.1478.

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Résumé :
Introduction : Le cancer du col de l'utérus est, dans 99% des cas, dû à un Virus Papillome Humain à Haut Risque (HR-HPV). Cette étude a été initiée pour déterminer les types d'HPV associés aux lésions précancéreuses et cancéreuses du col utérin à Bamako. Matériel de méthodes : Nous avons mené une étude transversale prospective, entre le 1er Janvier 2016 et le 30 Avril 2017. Les sites étaient d'une part le service d'Anatomie et Cytologie Pathologiques du Centre Hospitalier Universitaire (CHU) du Point-G (Bamako- Mali) où l'examen histologique des fragments de biopsies et des pièces opératoires, provenant des centres de dépistages, a été réalisé et d'autre part le Centre de Recherche Biomoléculaire Pietro Annigoni (CERBA/LABIOGENE) de Ouagadougou (Burkina Faso), pour le génotypage des HPV des échantillons recueillis. Avec la technique PCR multiplex en temps réel, nous avons recherché 14 génotypes du HR-HPV dans 192 prélèvements de Lésions Intra-Epithéliales de Haut Grade (LIEHG) et de cancers invasifs du col de l'utérus. Les données ont été analysées sur le logiciel SPSS 18.0. Résultats : Seulement 43,2% (83/192) avaient un résultat positif. Le génotypage a révélé la présence de 13 génotypes HR-HPV, les plus fréquents étaient HPV18 (16,3%), HPV45 (16,3%). Les fréquences d'infections uniques et multiples étaient respectivement de 77,1 et 22,9%. La majorité des femmes avec un HPV positif était des multipares avec 30,9%. Le type histologique le plus représenté était les Néoplasies Intra-épithéliales modérées (CIN2) avec 42,2%. Conclusion : L'approche moléculaire doit faire partir de l'arsenal des techniques utilisées dans le dépistage du cancer du col pour une meilleure prise en charge.
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Coron, E., M. de Préville, T. Matysiak, M. Robaszkiewicz, M. Giovannini, B. Filoche, S. Lecleire, A. Meining, JF Mosnier et JP Galmiche. « Diagnostic par endomicroscopie de la dysplasie de haut grade/cancer sur endobrachyoesophage : validation des critères endomicroscopiques à partir de biopsies obtenues par minisonde confocale et endocytoscope ». Endoscopy 42, no 03 (26 février 2010). http://dx.doi.org/10.1055/s-0030-1250786.

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Dujardin, Clémence, Thibault Balcaen, Antoine Vanoost, Denis Chatelain, Jean Gondry, Mathurin Fumery et Arthur Foulon. « Facteurs de risque de lésions malpighiennes intra-épithéliale de haut grade ou de cancer du col de l’utérus en cas de Maladie Inflammatoire Chronique de l’Intestin ». Gynécologie Obstétrique Fertilité & ; Sénologie, janvier 2024. http://dx.doi.org/10.1016/j.gofs.2024.01.008.

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Roussel-Simonin, Cyril, Sabrina Croce, Frédéric Guyon, Carmen Llacer, Isabelle Ray-Coquard, Pierre Meeus, Catherine Genestie et al. « Sarcomes utérins du stroma de haut grade et sarcomes indifférenciés – Référentiels de prise en charge du Groupe Sarcome Français et du groupe des Tumeurs Rares Gynécologiques ». Bulletin du Cancer, avril 2023. http://dx.doi.org/10.1016/j.bulcan.2023.03.017.

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Boyer, J., P. Burtin, D. Luet et A. Croué. « Traitement endoscopique des longs segments circulaires d'endobrachyoesophage (EBO) avec dysplasie de haut grade (DHG) et/ou cancer superficiel ; intérèt de la bithérapie ou trithérapie séquentielle ; à propos d'une série de 15 patients ». Endoscopy 40, no 03 (7 mars 2008). http://dx.doi.org/10.1055/s-2008-1066943.

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Bretagne, JF, C. Piette, G. Mallard, S. Manfredi et G. Durand. « Définition du niveau de risque de dysplasie de haut grade et d'adénocarcinome intra-muqueux (Tis) en fonction de la taille des adénomes. Étude prospective de population à risque moyen de cancer colorectal soumise au dépistage par test Hémoccult® ». Endoscopy 40, no 03 (7 mars 2008). http://dx.doi.org/10.1055/s-2008-1066895.

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