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Losch, Bruno. « Coup de cacao en Côte d'Ivoire ». Critique internationale 9, no 4 (1 novembre 2000) : 6–14. http://dx.doi.org/10.3917/crii.p2000.9n1.0006.
Texte intégral
2
WIBAUX, THOMAS, DANY-CLAUDE KONAN, DIDIER SNOECK, PATRICK JAGORET et PHILIPPE BASTIDE. « STUDY OF TREE-TO-TREE YIELD VARIABILITY AMONG SEEDLING-BASED CACAO POPULATIONS IN AN INDUSTRIAL PLANTATION IN CÔTE D'IVOIRE ». Experimental Agriculture 54, no 5 (25 juillet 2017) : 719–30. http://dx.doi.org/10.1017/s0014479717000345.
Texte intégralRésumé :
SUMMARYIn Côte d'Ivoire, the world's largest cocoa producer, cacao (Theobroma cacaoL.) is usually grown from seed. The genetics consist of a mix of amelonado, trinitario and selected hybrids. This mix of varieties generates high phenotypic variabilities, including variability in tree productivity, within cacao populations in both smallholder and industrial plantations. Tree-to-tree variability in yield has been reported in cacao breeding trials under different environmental conditions. However, it has never been considered a limiting factor for agronomical performance of seedling-based cacao plantations. Around 10 000 cacao trees from seven plots under different environmental conditions in a cacao plantation in Côte d'Ivoire were monitored for 2 years. Pod production of individual trees was recorded and annual average tree pod yields were assessed. High heterogeneity in cacao-tree yields was observed in all plots, with coefficients of variation ranging from 56 to 102%. The distribution of cacao-tree yields in each plot was positively skewed. Analysis of these distributions showed that unproductive trees represented a significant proportion of cacao tree populations (7%), and the 20% least productive trees accounted for 3% of production. The 20% most productive trees were responsible for 46% of the total pod production of a plot. This heterogeneity reflects a major imbalance in the agronomical performances of low- and high-yielding trees and also represents possible efficiency gaps in seedling-based cacao plantations, which could be overcome through innovative corrective strategies, opening new pathways for improvement of cacao-based cropping systems.
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Kouakou, K., B. I. Kébé, N. Kouassi, S. Aké, C. Cilas et E. Muller. « Geographical Distribution of Cacao swollen shoot virus Molecular Variability in Côte d'Ivoire ». Plant Disease 96, no 10 (octobre 2012) : 1445–50. http://dx.doi.org/10.1094/pdis-09-11-0749-re.
Texte intégralRésumé :
The discovery of new outbreaks caused by Cacao swollen shoot virus (CSSV) in Côte d'Ivoire in 2003, when this disease seemed to have been eradicated since the end of the 1950s in that country, casts doubt on the sustainability of Ivorian cocoa production. The aims of this study were, first, to carry out a molecular characterization of CSSV isolates from the main outbreaks in Côte d'Ivoire; second, determine their phylogenetic position in relation to isolates already discovered in Togo and Ghana; and, finally, study their geographical distribution to understand the dispersal of the virus. Additionally, this study was intended to enable the implementation and validation of a polyvalent molecular diagnosis assay for CSSV. Sequences analyses, corresponding to a fragment located at the 5′ end of open reading frame (ORF)3 of the CSSV genome, revealed three new CSSV groups (D, E, and F) distinct from the A, B, and C groups already identified in Togo. Only group B was detected in all the outbreaks, whereas groups A and C were not identified in Côte d'Ivoire. In addition, a polymerase chain reaction diagnostic using the ORF3A F/R primer pair was polyvalent, because it enabled the detection of CSSV in 90% of the plots in all the cocoa regions analyzed by this study.
4
Oleh, Kam, Sangare Moussa et Mouroufie Kouassi Kouman Vincent. « Certification des coopératives et stratification sociale dans les communautés cacaoyères en Côte d’Ivoire ». INTERNATIONAL JOURNAL OF COMPUTERS & ; TECHNOLOGY 17, no 2 (5 septembre 2018) : 7273–83. http://dx.doi.org/10.24297/ijct.v17i2.7576.
Texte intégralRésumé :
La certification des coopératives a été envisagée à partir de la campagne 2004/2005 pour faire face à la menace des pays exportateurs de ne plus payer le cacao ivoirien du fait du travail d’enfants dans les exploitations. Cette politique vise non seulement à garantir la vente du cacao, mais aussi à assurer aux producteurs de meilleurs prix. Mais, la certification des premières coopératives cacaoyères soulève déjà de nouveaux problèmes de développement rural. La certification est source de différenciation sociale et de tensions sociales entre les membres des coopératives certifiées. L’objectif de l’étude est de comprendre le lien entre la mise en œuvre de cette politique de certification des coopératives et les problèmes survenus à la suite. Notre enquête menée auprès des agents des ONG de certification (UTZ Certified) et d’organismes de certification agréés (Bureau Véritas), des responsables des coopératives certifiées (Directeurs Généraux, Administrateur de groupe, Paysans Relais) et des producteurs-membres de quatre coopératives révèle que la certification du cacao n’a pu prendre en compte l’entièreté des producteurs de sorte que tous n’ont pu bénéficier de la prime de certification. Dans la coopérative COOPADIS d’Issia par exemple, seulement 52,35% sont certifiés sur un total de 3293 coopérateurs. La certification a ainsi entrainé la catégorisation des paysans à l’origine de la stratification économique et de la fragilisation de la cohésion sociale dans les communautés rurales.
5
Becker, Laurence, et Yoboué N'guessan. « Le riz dans l'ancienne « Boucle du cacao » de Côte d'Ivoire ». Autrepart 31, no 3 (2004) : 133. http://dx.doi.org/10.3917/autr.031.0133.
Texte intégral
6
Losch, Bruno. « Coup de cacao en Côte d'Ivoire [Economie politique d’une crise structurelle] ». Critique internationale 9, no 1 (2000) : 6–14. http://dx.doi.org/10.3406/criti.2000.1614.
Texte intégral
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Cyriak Amani, Yves Frédéric, Kacou Antoine Alban M’bo, Mamadou Cherif, Daouda Koné et Christophe Kouamé. « Diversité des Champignons Mycorhiziens à Arbuscule Associés aux Cacaoyers (Theobroma cacao L.) en Côte d’Ivoire ». European Scientific Journal, ESJ 19, no 27 (30 septembre 2023) : 179. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n27p179.
Texte intégralRésumé :
Les champignons mycorhiziens à arbuscule vivent en symbiose avec les racines des plantes aidant celles-ci à absorber les nutriments nécessaires à leur croissance et développement. En Côte d’Ivoire, cette symbiose n’est pas prise en compte dans les stratégies agroforestières à base de cacaoyer. Ce travail vise à étudier les mycorhizes associés aux cacaoyers dans les systèmes agroforestiers. Les spores et les racines de cacaoyer issus de 32 plantations de cacao localisées dans les 4 principales zones agro-écologiques de production du cacao en Côte d’ Ivoire ont été analysées. La diversité, la densité des spores, les taux de mycorhization et la richesse spécifique des mycorhizes ont été déterminés. L’examen des spores met en évidence 72 morphotypes appartenant à 10 familles, 17 genres et 49 espèces de mycorhize. Claroideoglomus etunicatum est l’espèce dominante du verger cacaoyer. L’abondance des spores varie entre 10,53 à 31,24 spores.g-1 de sol pour une moyenne de 18,30 spores.g-1 de sol. Le nombre des spores est statistiquement le même à l’échelle des zone agroécologique. Les fréquences de mycorhization des cacaoyers sont généralement élevées et oscillent entre 89,31 % à l’Ouest du pays et 92,4 % au Sud-ouest. En revanche, les intensités de mycorhization sont inférieures à 25 % dans l’ensemble du verger cacaoyer. Ces résultats indiquent que les systèmes agroforestiers à cacaoyer en Côte d’Ivoire abritent une grande diversité de champignons mycorhiziens à arbuscule qui pourrait être utilisée dans diverses initiatives biotechnologiques en agriculture durable.
Arbuscular mycorrhizal fungi (AMF) live in symbiosis with plant roots, helping them to absorb the nutrients they need for growth and development. In Côte d'Ivoire, this symbiosis is not considered in cocoa-based agroforestry strategies. The aim of this work is to study the mycorrhizal fungi associated with cocoa trees in agroforestry systems. To this end, cocoa spores and roots from 32 cocoa plantations located in the 4 main agro-ecological zones for cocoa production in Côte d'Ivoire were analysed. The diversity, spore density, mycorrhization rates, species richness and Shannon-Wiener diversity indices of arbuscular mycorrhizal fungi communities were determined. A study of the specific richness and relative abundance of 3271 spores revealed 72 arbuscular mycorrhizal fungi morphotypes in the rhizosphere of cocoa trees in Côte d'Ivoire. On all the sites, 10 families, 17 genera and 49 species of arbuscular mycorrhizal fungi were recorded. Claroideoglomus etunicatum is the dominant species in the cocoa orchard. The abundance of spores in the Ivorian cocoa orchard varied between 7,89 and 17,84 spores. g-1 of soil, with an average of 13,42 spores.g-1 of soil. The number of spores was statistically the same across the agroecological zones. Cocoa mycorrhization frequencies were generally high, ranging from 89,31% in the west of the orchard to 92,4% in the south-west. In contrast, mycorrhization intensities were below 25% throughout the cocoa orchard. These results indicate that cocoa agroforestry systems in Côte d'Ivoire harbour a wide diversity of AMF that could be used in various biotecnological initiatives in sustainable agriculture.
8
Chataigner, Jean. « Situation et perspectives de la production alimentaire en Côte-d'Ivoire ». Économies et Sociétés. Série Progrès en agriculture 19, no 718 (1985) : 57–81. http://dx.doi.org/10.3406/esag.1985.1641.
Texte intégralRésumé :
Aux trois quarts tropicale humide, la Côte-d'Ivoire offre l'exemple d'un pays où la dynamique de plantation café et cacao repose sur la mobilisation toujours croissante de terres et de travail jusque-là disponibles. Il en résulte une production associée de féculents largement suffisante. Mais parallèlement l'amélioration générale des conditions de vie et l'accroissement des revenus monétaires paysans entraînent une augmentation et une diversification du régime alimentaire qui nécessitent des importations croissantes encouragées par une politique de prix favorable aux consommateurs. Les incertitudes qui pèsent sur l'avenir de la dynamique de plantation et la nécessité de maîtriser la balance commerciale , obligent à une nouvelle définition de la politique agricole dont la mise en œuvre reste difficile.
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Klotioloma, Coulibaly, Camara Brahima, Dibi-Gogbé Françoise, Guiraud Brigitte Sahin, Kouame N’Dri Norbert, Acka Kotaix Jacque, N’guessan Walet Pierre et al. « Morphological and Molecular Identification of the Pathogen Associated with Pink Disease of Cocoa (Theobroma cacao L.) in the Nawa Region of Côte d'Ivoire ». Journal of Experimental Agriculture International 45, no 12 (23 décembre 2023) : 160–71. http://dx.doi.org/10.9734/jeai/2023/v45i122274.
Texte intégralRésumé :
Pink cocoa disease, long considered a minor disease in ivorian cocoa farming, has become a major problem for cocoa production, especially in the Nawa region (Soubre), one of the main cocoa-producing areas in Côte d'Ivoire. The disease is characterized by the appearance of spots on infected branches, with fruiting bodies color white to salmon, and red to brownish lesion under the bark of the attacked trunk or branch. When attacks are severe, they cause cankers, leading to defoliation and death of the tree. In Côte d'Ivoire, no studies have yet been carried out on this disease. This study was therefore carried out in this region in order to identify the pathogen. Thirteen (13) farms in three localities of the region were surveyed, and 03 samples of infected organs were collected from each infected plot. Nine isolates were characterized on the basis of morphological characteristics (mycelial growth, color and size of conidia) and molecular characteristics (PCR-sequencing tests) using universal primers (ITS1 and ITS4). The results revealed morphotypes characterized by striated, radiated, sparse or cottony facies, with an average growth rate of 10.70 ± 3.20 mm/d. Alignment of the ITS rDNA sequences of these isolates against Erythricium salmonicolor sequences available in GenBank identified them as Erythricium salmonicolor, with a similarity rate ranging from 92 to 100%. In addition, phylogenetic analysis of E. salmonicolor strains revealed low genetic diversity. This study therefore provides a basis for further research into the pink disease of cocoa in Côte d'Ivoire.
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Kouassi, Koffi Moïse. « Menaces pour la Durabilité du Cacao Ivoirien : La Boucle de Méagui à l’Epreuve d’une Pression Anthropique et d’un Système Agricole Alternatif ». European Scientific Journal, ESJ 19, no 19 (31 juillet 2023) : 48. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n19p48.
Texte intégralRésumé :
Le département de Méagui dans le Sud-Ouest ivoirien figure comme l’un des derniers fronts de production de cacao en Côte d’Ivoire avec 50% de la production nationale de cacao (OIPR, 2015). Depuis 1970, la pression sur la forêt s’est accrue avec un taux important de migration et des pratiques culturales extensives. L’objectif vise à mettre en évidence les facteurs anthropiques sur les performances actuelles des systèmes de production cacaoyère. L’étude a privilégié la démarche qualitative à visée compréhensive des pratiques culturales. La revue documentaire, l’entretien et l’observation directe ont été mobilisés pour la collecte de données. Il ressort des analyses des données que la menace parasitaire impulsée par le régime climatique couplée aux pratiques agricoles traditionnelles participent à rendre vulnérables des producteurs, qui sont déjà confrontés à une baisse de la productivité des plantations cacaoyères. La conversion de la cacaoyère en plantation d’hévéa s’avère comme des stratégies d’adaptation chez certains planteurs. Ces différents facteurs se présentent comme une menace pour la survie et la durabilité du cacao ivoirien.
The department of Méagui in the south-west of Côte d'Ivoire is one of the last frontiers of cocoa production in Côte d'Ivoire with 50% of national cocoa production (OIPR, 2015). Since 1970, the pressure on the forest has increased with a high rate of migration and extensive farming practices. The objective aims to highlight the anthropogenic factors on the current performance of cocoa production systems. The study favored the qualitative approach aimed at understanding cultural practices. Documentary review, interview, and observation were used for data collection. It emerges from the analysis of the data that the parasitic threat driven by the climatic regime coupled with traditional agricultural practices contributes to making producers vulnerable, who are already faced with a drop in the productivity of cocoa plantations. The conversion of the cocoa plantation into a rubber plantation is proving to be an adaptation strategy for some planters. These different factors present themselves as a threat to the survival and sustainability of Ivorian cocoa.
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ZO-BI, Irié Casimir, et Bruno HÉRAULT. « Promouvoir l’agroforesterie ? Les leçons de la Côte d’Ivoire ». BOIS & ; FORETS DES TROPIQUES 356 (4 septembre 2023) : 93–98. http://dx.doi.org/10.19182/bft2023.356.a37132.
Texte intégralRésumé :
L'émergence de l'agroforesterie en Côte d'Ivoire est devenue une priorité nationale. Le secteur agricole du pays génère 70 % des recettes d'exportation, emploie les deux tiers de la population active et contribue à un tiers du PIB. Cependant, ces performances économiques remarquables reposent sur une agriculture de rente qui se développe au détriment des forêts naturelles, entraînant l'un des taux de déforestation les plus alarmants au monde. Pour faire face à cette situation, l'État ivoirien promeut l'agroforesterie comme solution, en particulier dans le secteur du cacao. Cependant, une analyse fine de l’origine des arbres présents dans les champs suggère que l'agroforesterie en Côte d'Ivoire peut être divisée en deux catégories : l'agroforesterie de reforestation, qui permet de reconstituer le couvert forestier en associant progressivement des arbres aux cacaoyers, et l'agroforesterie de déforestation, qui dégrade et appauvrit la couverture forestière en convertissant les forêts naturelles en systèmes agroforestiers. Il est crucial de distinguer ces deux formes d'agroforesterie afin de développer des politiques qui encouragent la reforestation plutôt que la déforestation. Il est également nécessaire de mettre en place des indicateurs dynamiques qui permettent d’évaluer les trajectoires agroforestières des champs dans le temps et, ainsi, de favoriser un engagement à long terme des agriculteurs dans l'augmentation de la couverture forestière.
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Ruf, François. « Libéralisation, cycles politiques et cycles du cacao : le décalage historique Côte-d'Ivoire-Ghana ». Cahiers Agricultures 18, no 4 (juillet 2009) : 343–49. http://dx.doi.org/10.1684/agr.2009.0317.
Texte intégral
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Boone, Catherine, Arsene Brice Bado, Aristide Mah Dion et Zibo Irigo. « Push, pull and push-back to land certification : regional dynamics in pilot certification projects in Côte d'Ivoire ». Journal of Modern African Studies 59, no 3 (26 août 2021) : 247–72. http://dx.doi.org/10.1017/s0022278x21000124.
Texte intégralRésumé :
AbstractSince 2000, many African countries have adopted land tenure reforms that aim at comprehensive land registration (or certification) and titling. Much work in political science and in the advocacy literature identifies recipients of land certificates or titles as ‘programme beneficiaries’, and political scientists have modelled titling programmes as a form of distributive politics. In practice, however, rural land registration programmes are often divisive and difficult to implement. This paper tackles the apparent puzzle of friction around rural land certification. We study Côte d'Ivoire's rocky history of land certification from 2004 to 2017 to identify political economy variables that may give rise to heterogeneous and even conflicting preferences around certification. Regional inequalities, social inequalities, and regional variation in pre-existing land tenure institutions are factors that help account for friction or even resistance around land titling, and thus the difficult politics that may arise around land tenure reform. Land certification is not a public good or a private good for everyone.
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Abdoulaye, Cisse, Aka Jean Claude Kouadio, Kouame Djaha, Vroh Bi Tra Aimé, Adou Yao Constant Yves et N'guessan Kouakou Edouard. « Caracterisation Des Pratiques Agroforestieres A Base De Cacaoyers En Zone De Foret Dense Semi- Decidue : Cas De La Localite De Lakota (Centre- Ouest, Cote d’Ivoire) ». European Scientific Journal, ESJ 12, no 21 (29 juillet 2016) : 50. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2016.v12n21p50.
Texte intégralRésumé :
In the area of Lakota (Midwest, Côte d'Ivoire), where the vegetation is a semi-deciduous forest, cacao growing is practiced by people from different origins. Cacao cropping techniques seem to be influenced by some social and cultural habits, according to the people and the agroecological areas. The present study aimed to understand(1) the cacao cropping systems and to identify(2) the reasons underlying the choice of vegetal species combined to cacao trees in these rural communities. To achieve this goal, interviews were realised with cacao farmers of four villages of the area. These interviews concern farmers’ profiles, the former agriculture practices, the variety of the cultivated cacao and the plants combined to cacao trees. The results show that among the 223 interviewed farmers, 72 (32.3% of the farmers) are natives, 42 (18.8% of the farmers) are immigrants and 109 (48.9% of the farmers) are non-native Ivorians. In total, 77 species regularly combined to cacao trees were named by the farmers and they can be divided into local species and exotic species. Plots ordination shows three agroforestry systems according to ethnic group of the locality. Cacao farms with the large proportion of local species are owned by Lakota native people "Dida". The exotic species are dominant in cacao farms that belong to immigrants (Malian, Burkina Faso and Guinean people) and "Malinké" people (a non-native ivorian ethnic group). The Akan people (a non-native ivorian ethnic group) combine in a same proportions exotic and local species in their cacao farms.
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Perrot, Claude-Hélène. « La Renaissance de l'histoire eotile dans les années soixante ». History in Africa 15 (1988) : 457–66. http://dx.doi.org/10.2307/3171875.
Texte intégralRésumé :
Dans le Sud-Est de la Côte d'Ivoire le début des années soixante est marqué par la tentative de sécession du Sanwi et ses retombées. Le roi du Sanwi, décidant de se détacher de l'Etat ivoirien qui vient d'accéder à l'independance, est allé avec ses partisans s'établir au Ghana où il a formé un gouvernement provisoire. II donne légitimité à ce mouvement en faisant référence au traité d'alliance qu'un de ses prédécesseurs Amon Ndiffou avait signé avec la France, représentée par Fleuriot de Langle, le 4 Juillet 1843.L'érection du Sanwi en Etat indépendant est le signal d'une sévère politique de répression qui s'abat sur les Anyi de la région. A Aboisso régne le sous-préfet Haccandie qui met en place un réseau d'agents de renseignements dans un pays où les villages et les families sont profondément divisées par ce qu'on commence à appeler “I'affaire du Sanwi”. En outre les crédits affectés à la région sont drastiquement réduits. Or antérieurement le Sanwi avait été le premier pôle de développement de la Colonie, dotée d'un important réseau routier pour l'écoulement des “produits” (café, cacao) et d'équipements sanitaires et scolaires. Et brusquement ce pays, d'où était issue une élite de lettrés et de fonctionnaires, se trouve déiaissé, voire sacxifie, au bénéfice d'autres parties de la Côte d'Ivoire.
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Ruf, François. « Les standards dits durables appauvrissent-ils les planteurs de cacao ? Interactions entre déforestation en Côte d’Ivoire et au Libéria, crédit à l’achat d’engrais et baisse des cours ». Cahiers Agricultures 30 (2021) : 38. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2021024.
Texte intégralRésumé :
Pendant des siècles, combinés avec le travail de migrants, la forêt et la rente forêt ont été les principaux facteurs de production du cacao. C’est le modèle universel du cacao, qui a fait de la Côte d’Ivoire le premier producteur mondial. Mais le niveau de déforestation est tel qu’une partie des planteurs doivent trouver des alternatives à la rente forêt, notamment l’engrais minéral. Cet intrant chimique est de fait un facteur d’amélioration des rendements et a priori des revenus. Cependant, si la consommation d’engrais chimique est poussée par le « système », composé des Transnational Corporations (TNC) du cacao, des coopératives, des agences de crédit, des organisations non gouvernementales internationales et des labels de cacao dit « durables », n’y a-t-il pas danger d’effets inverses : contribution à l’excès d’offre de cacao, baisse du cours mondial, endettement et appauvrissement des planteurs ? À partir de trois enquêtes auprès de 150 à 250 planteurs entre 2013 et 2017, d’une enquête auprès de 41 coopératives en 2017 et d’un suivi des prix du cacao et de l’engrais sur 30 ans, l’étude aborde le rôle du prix relatif cacao/engrais et du crédit sur la consommation d’engrais, et leur impact sur la chute du cours du cacao en 2016–2017. L’impact est certain, même si le processus d’expansion cacaoyère par le binôme migration-déforestation reste le facteur essentiel de la hausse de l’offre et de la chute du cours. Le discours selon lequel les gains de rendement vont créer un « cacao durable » et dissuader les planteurs de défricher les forêts reste un mythe. Les migrations continuent aux dépens des toutes dernières forêts classées du pays, à l’est vers Abengourou, à l’ouest vers Blolequin, Man et Touba. Là encore, en dépit de leur communication sur la durabilité, les certifications ont totalement échoué : le cacao de Côte d’Ivoire dépend encore beaucoup de la déforestation. Enfin, de l’autre côté du fleuve Cavally, la grande forêt dense du Libéria disparaît à son tour, sur la voie d’un nouveau boom du cacao. Même si les responsabilités sont partagées avec les politiques publiques, que reste-t-il de « durable » dans la certification et les actions de la majorité des TNC ? Le fossé entre leur communication virtuelle et la réalité n’a jamais été aussi grand.
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Martin, Siapo Yao, Tahiri Annick, Ano Ehui Joachim et Diby Yao Kan Séraphin. « Évaluation Des Pratiques Phytosanitaires Paysannes Dans Les Vergers De Cacao Dans Le Departement De Daloa, Côte d’Ivoire ». European Scientific Journal, ESJ 14, no 33 (30 novembre 2018) : 267. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2018.v14n33p267.
Texte intégralRésumé :
This paper focuses on identifying pesticides uses in the protection of cocoa tree. To do this, a survey was conducted among 129 randomly selected cocoa producers in the Daloa zone in Côte d'Ivoire. The results showed that 79.84% of the producers interviewed, use pesticides. Twenty-seven (27) pesticides were identified; among them, 24 were insecticides, 3 were fungicides, and two were not licensed. More than 50% of the insecticides used by famers were neonicotinoids combined with pyrethroids. None of the pesticides was termiticide although termite damage was cited as major. Fiftythree point four percent (53.4%) of producers store pesticides in their house. Empty packs and containers are abandoned in nature after being used by 96% of surveyed farmers, while 4% reused them. The results indicated that producers should be well sensitized on good agricultural practice.
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Nowak, Jean-Jacques. « Le boom du café et du cacao en Côte-d'Ivoire : une étude de cas du syndrome néerlandais ». Revue d'économie du développement 2, no 4 (1994) : 51–75. http://dx.doi.org/10.3406/recod.1994.911.
Texte intégral
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Thiéry St Urbain, Yeboute Konan. « La Traite Cacaoyère à l’Épreuve de l’Insécurité dans la SousPréfecture de Soubré (Sud-ouest Ivoirien) ». European Scientific Journal, ESJ 18, no 34 (30 novembre 2022) : 97. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n34p97.
Texte intégralRésumé :
Le cacao représente 10 à 15% du Produit Intérieur Brut (PIB) de la Côte d’Ivoire, avec près de 40% de ses recettes d’exportation. Il est la principale source de revenus de près de 800 000 ménages de producteurs. Cependant, le secteur cacaoyer ivoirien est confronté à de nombreux problèmes qui constituent des pesanteurs à son bon développement. Cet article, mené à l’échelle du territoire de la sous-préfecture de Soubré (sud-ouest de la Côte d’Ivoire), analyse la traite cacaoyère et sa pesanteur majeure qu’est l’insécurité causée par les actes criminels. Il s’appuie sur une recherche documentaire et une enquête de terrain auprès divers acteurs de la traite cacaoyère. Au total, 229 individus engagés dans la traite (producteurs, responsables de coopératives, forces de sécurité, responsable du Conseil café-cacao, transporteurs, etc.) ont été interrogés. Il est fondé sur une théorisation de l’environnement sécuritaire de la traite cacaoyère pour aboutir à trois principaux résultats. Ces résultats indiquent d’abord que la traite cacaoyère cristallise essentiellement deux types de flux, impulsés par les activités des acteurs. Ensuite, des facteurs divers concourant à l’installation d’une atmosphère d’insécurité. Enfin, d’une campagne à l’autre, les actes d’infractions connaissent une évolution en fonction de l’intensité des activités commerciales autour de la production du cacao.
Cocoa accounts for 10 to 15 per cent of Côte d'Ivoire's Gross Domestic Product (GDP), with nearly 40 per cent of its export earnings. This crop is the main source of income for nearly 800,000 producer households. However, the Ivorian cocoa sector faces many problems that constitute burdens to its good development. This article, conducted throughout the territory of the sub-prefecture of Soubre (south-west of Côte d'Ivoire), analyses the cocoa trade and its major gravity, which is the insecurity caused by criminal acts. It is based on documentary research and a field survey of actors in the cocoa trade. In sum, 229 persons involved in trafficking (producers, cooperative leaders, security forces, head of the coffee-cocoa council, transporters) were interviewed. It is based on a theorization of the security environment of the cocoa trade to lead to three main results. These results first indicate that cocoa milking essentially crystallizes two types of flows, driven by the activities of the actors. Then, various factors contributing to the installation of an atmosphere of insecurity. Finally, from one campaign to another, the acts of infringements evolve according to the intensity of the commercial activities around the production of cocoa.
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Ollo, SIB, SORO Senan et TRA BI Crolaud Sylvain. « Attacks and damage of termites (Insecta : Isoptera) in different cocoa agroforestry systems (Nawa, Côte d’Ivoire). » Journal of Animal & ; Plant Sciences 44.1 (30 avril 2020) : 7567–76. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v44-1.3.
Texte intégralRésumé :
To maintain its status of leading producer of cocoa in the world, Côte d'Ivoire must be contain the different types of threats, including the emergence of termites in cocoa farms. This study was conducted in the south-west of the country to evaluate the effect of cropping systems (full sun system, intermediate system and shaded system) on termite attacks. The study was conducted in four localities with different cocoa agroforestry systems. The sampling was made on cocoa trees in quadrats of 30mx30m and the attack rate was calculated. Eleven (11) termite species were identified. The wood-feeders groups were dominant. These termites were responsible for 41.82% of the damage on cocoa trees. Termite Attacks vary between different cropping systems. Full sun systems were most attacked comparing to intermediate shade systems that were least attacked by termites. This work shows that the shade system has an effect on termite attacks in cacao trees. The choice of right system can help to significantly reduce termite attacks in cocoa farms.
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Kossonou, Affia Sonmia Francia, Kanga Justin Kouassi, Yao Bertin Kouakou, Venance-Pâques Gniayou Kouadio, Kouassi Bruno Kpangui et Constant Yves Adou Yao. « Femmes, contribution des produits issus des espèces végétales associées aux cacaoyers et sécurité alimentaire des ménages producteurs de cacao dans le centre de la Côte d'Ivoire ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 18, no 4 (3 décembre 2024) : 1478–98. https://doi.org/10.4314/ijbcs.v18i4.21.
Texte intégralRésumé :
Les produits des espèces compagnes du cacaoyer font partie des ressources naturelles que les femmes du centre de la Côte d'Ivoire utilisent pour diversifier la consommation alimentaire de leurs ménages. L’étude menée dans la zone de transition forêt-savane, avait pour objectif d'analyser la contribution des espèces associées aux cacaoyers à la sécurité alimentaire des ménages de femmes impliquées dans la cacaoculture. Pour ce faire, des entretiens semi-structurés ont été menés auprès de ces dernières pour recueillir des données sur leurs habitudes et consommation alimentaires afin d'évaluer le niveau d'autosuffisance et de sécurité alimentaire des ménages. La méthodologie Consolidated Approach to Reporting Food Security Indicators, qui permet d'analyser l'insécurité alimentaire et d'établir sa prévalence au sein d'une population, a été appliquée. Au total, 268 femmes ont été interrogées parmi lesquelles 31,34% d'entre elles possèdent une exploitation cacaoyère. Les espèces associées aux cacaoyers étaient composées d'espèces fruitières et forestières. Les femmes associaient 79 espèces végétales aux cacaoyers. Parmi ces espèces, elles privilégiaient celles qui entrent dans l'autoconsommation et la vente. Les espèces fortement présentes ont été Musa paradisiaca, Persea americana, Citrus sinensis et Elaeis guineensis. Les agroforêts à cacaoyers permettent à 80% des ménages enquêtés d'être en sécurité alimentaire. La commercialisation éventuelle des produits devrait être envisagé afin de procurer des revenus en continus aux femmes pour diversifier les repas et améliorer les conditions de vie des leurs ménages. Women, the contribution of products from plant species associated with cocoa trees and food security in cocoa-producing households in central Côte d'Ivoire Products from cocoa companion species are among the natural resources that women in central Côte d'Ivoire use to diversify their household food consumption. The aim of this study, carried out in the forestsavanna transition zone, was to analyze the contribution of species associated with cocoa trees to the food security of women's cocoa-growing households. To this end, semi-structured interviews were conducted with women to gather data on their food habits and consumption, in order to assess the level of household self- sufficiency and food security. The Consolidated Approach to Reporting Food Security Indicators methodology, which enables food insecurity to be analyzed and its prevalence within a population to be established, was applied. A total of 268 women were interviewed, 31.34% of whom owned a cocoa farm. Species associated with cocoa trees included fruit and forest species. The women associated 79 plant species with cocoa trees. Among these species, they favored those for self-consumption and sale. Species with a strong presence were Musa paradisiaca, Persea americana, Citrus sinensis and Elaeis guineensis. Cocoa agroforests provide food security for 80% of households surveyed. The eventual commercialization of the products should be considered in order to provide women with continuous income to diversify their meals and improve the living conditions of their households.
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Audibert, Martine, Jean-François Brun, Jacky Mathonnat et Marie-Claire Henry. « Effets économiques du paludisme sur les cultures de rente : l'exemple du café et du cacao en Côte d'Ivoire ». Revue d'économie du développement 17, no 1 (2009) : 145. http://dx.doi.org/10.3917/edd.231.0145.
Texte intégral
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DI ROBERTO, Hadrien, Carolina MILHORANCE, Ndèye SOKHNA DIENG et Elsa SANIAL. « L’agroforesterie en contexte post-forestier : perspectives et controverses d’une mise à l’agenda politique en Côte d’Ivoire ». BOIS & ; FORETS DES TROPIQUES 356 (4 septembre 2023) : 81–91. http://dx.doi.org/10.19182/bft2023.356.a37121.
Texte intégralRésumé :
En Côte d’Ivoire, l’agroforesterie devient une notion incontournable après une déforestation massive pour les cultures de plantation. Depuis les années 2010, le terme se généralise dans le vocabulaire politique, les normes internationales de durabilité et la communication des entreprises chocolatières. Cette note examine comment l'agroforesterie s’est imposée dans l'agenda politique ivoirien. Adoptant une approche compréhensive et à partir d’une soixantaine d’entretiens et des documents politiques, elle analyse la manière dont la notion d’agroforesterie est mobilisée en Côte d’Ivoire, les instruments de sa promotion et les controverses qu’elle suscite. D’abord, ce travail montre que la mise à l’agenda de l’agroforesterie en Côte d’Ivoire se fait suivant des canaux pluriels. Différents instruments de promotion de l’agroforesterie se côtoient, tels que les normes de certification privée, la norme africaine régionale de durabilité pour le cacao, les paiements pour services environnementaux ou encore un dispositif national dit « Agro-Forêt », issu du nouveau Code forestier. Ensuite, malgré le consensus sur la promotion de l'agroforesterie, sa définition large permet à des acteurs aux intérêts divergents de s'approprier le concept. Ce travail met par ailleurs en évidence la pluralité des objectifs et des perspectives que recouvre la notion en Côte d’Ivoire. Il identifie ainsi des controverses concernant les critères du système agroforestier, sa finalité, la place des agriculteurs, l’échelle d’analyse et la temporalité à considérer. En définitive, cette note contribue à expliciter les traductions politiques plurielles d’une notion issue des sciences. Les liens complexes entre les recherches biophysiques et la pratique politique soulignent l'importance de prendre en compte cette interface pour une meilleure conception de l'agroforesterie et une transition efficace.
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Boubacar, Ouedraogo, Dibi N’Da Hyppolite et Nanan Noël Kouman Kouassi. « Apport des Donnees d’Observation de la Terre Dans l’Evaluation du Potentiel Forester de la Reserve Narutelle Mabi- Yaya au Sud-est de la Cote d’Ivoire ». European Scientific Journal, ESJ 19, no 21 (31 juillet 2023) : 210. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n21p210.
Texte intégralRésumé :
La réserve naturelle Mabi-Yaya (RNMY) a été créée à travers le décret n° 2019-897 du 30 octobre 2019 par le gouvernement de la Côte d’Ivoire pour palier le problème de pression anthropique qui pèse sur la zone. Elle est située dans le Sud-est de la Côte d’Ivoire et regorge une diversité floristique très riche. La présente étude vise à améliorer les connaissances sur le potentiel forestier de la réserve et les différentes pressions qu’elle subit, pour sa gestion durable. La réalisation de cette étude a été faite à travers les approches de télédétection qui ont consisté à la classification de deux images Sentinel-2A de 2015 et 2020. Cette classification des images Sentinels a ensuite été confirmée par des observations sur le terrain. Les résultats obtenus font état de six (6) classes d’occupation du sol dans la RNMY en 2015 et en 2020, avec les forêts denses humides comme classe dominante. L’analyse spatio-temporelle de ces images a permis d’avoir une carte de la dynamique de 2015 et une carte actualisée de 2020. Il ressort de l’analyse de ces différentes cartes que la RNMY est soumise à une forte pression anthropique. La dynamique de l’utilisation des terres a révélé une perte annuelle de près de 1 % des forêts denses humides, principalement due à la production des cultures pérennes (cacao, hévéa et café).
The Mabi-Yaya Natural Reserve (RNMY) was created through decree n° 2019-897 of October 30, 2019 by the government of Côte d'Ivoire in response to the anthropogenic pressure on the area. It is located in the South-east of Côte d'Ivoire and possesses a very rich floral biodiversity. This study aimed to improve knowledge of the forest potential and the various pressures on the reserve for its sustainable management. This study was carried out through remote sensing approaches which consisted in the classification of the two Sentinel-2A images from 2015 and 2020. The classification of Sentinel images was thereafter confirmed by field observations. The results showed six (6) land cover classes in the RNMY in 2015 and 2020, with dense humid forests as the dominant class. The spatio-temporal analysis of the images depicted a map of the dynamics in 2015 and an updated map of 2020. The analysis of these different maps revealed that the RNMY is heavily affected by anthropogenic pressure. Land use dynamics revealed an annual loss of nearly 1 % of dense humid forests each year mainly due to the production of perennial crops (cocoa, rubber and coffee).
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Yao, Constant Yves Adou, et Edouard Kouakou N'Guessan. « Diversité floristique spontanée des plantations de café et de cacao dans la forêt classée de Monogaga, Côte d'Ivoire | Spontaneous floristic diversity of cocoa and coffee plantations in the classified forest of Monogaga, Côte d'Ivoire (reviewed paper) ». Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 157, no 2 (1 février 2006) : 31–36. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2006.0031.
Texte intégralRésumé :
The inventory and the analysis of the woody species preserved in the different categories of cocoa and coffee plantations showed that they are relatively diversified (presence of endemic, rare and threatened species). They also preserved high tree density and high basal areas. The young plantations are especially diversified. Their number of species,density and basal areas and diversity index are similar to those of the neighbouring old growth and secondary forests. Older plantations display a sharp decline of diversity over time. Agricultural practices in the region represent a threat in the medium term to the preservation of biodiversity.
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Marquet, Yannick. « Programme de ventes anticipées à la moyenne et optimisation des recettes d'exportation : le cas du cacao en Côte-d'Ivoire 1978-1996 ». Revue d'économie du développement 6, no 1 (1998) : 67–92. http://dx.doi.org/10.3406/recod.1998.980.
Texte intégral
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Werdiyasa, I. B. Komang Surya. « Fermented Cocoa Expansion : From Jembrana to The World ». Bali Tourism Journal 5, no 2 (1 août 2021) : 23–26. http://dx.doi.org/10.36675/btj.v5i2.55.
Texte intégralRésumé :
At the beginning of September 2021, Jembrana fermented cocoa product successfully expanded its export market to Japan. In terms of international trade, Indonesia also ranks third with a share of 14.6% of the total 2.96 million tons of world cocoa bean exports in 2010, while the first and second ranks are still occupied by after Côte d'Ivoire and Nigeria with a share of 26 each 7% and 18.6%.3 From the data, Indonesia's role in the world as a cocoa producer is strategic.4 Although known as the third-largest cocoa exporter, before 2013, Indonesian cocoa entrepreneurs were occasionally facing various classic problems. The obstacles were due to poor products and the minor Government support. Currently, With the industrial downstream policies, the cocoa industry's development is heading in a better direction. Further, after being certified by the International certification program, UTZ, Jembrana cocoa product reached a broader market. Jembrana cocoa beans have been known internationally for their unique taste. The fermentation process and post-farm handling become vital in preserving the beans' finest quality.
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Manlé, Tokpapon Eliane, Kan Modeste Kouassi, Brahima André Soumahoro, Tchoa Koné, Kouablan Edmond Koffi et Mongomaké Koné. « Effect of water stress induced by polyethylene glycol 6000 on the somatic embryos conversion into whole plantlets in cocoa (Theobroma cacao L.) ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no 1 (20 avril 2021) : 12–25. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i1.2.
Texte intégralRésumé :
Rainfall scarcity due to climate change is a major constraint that limits cocoa productivity in Côte d'Ivoire. This work aims to regenerate cocoa plants tolerant to water stress using in vitro methods. Staminode and petal explants of the genotypes C1, C9, C14, C15, C16, C18 and C20 were used to produce somatic embryos through two methods. Firstly, somatic embryos were induced under stressfull conditions on media containing different concentrations of polyethylene glycol (PEG) 6000 (0; 25; 50; 75; 100 and 125 g/l) and secondly; under non-stressed conditions. Somatic embryos were placed on a conversion medium in the same stress condition. The number of regenerants decreased with the increase in the concentration of PEG with all genotypes. Only genotypes C1 and C15 regenerated plantlets under water stress conditions. The sensitive genotypes C9, C14, C16, C18 and C20 have not developed plantlets on media containing PEG. The plantlets produced under water deficit conditions exhibited a reduction in stem length and leaves number and an increase in length or offset of the high number of roots. The survival rate of regenerants during acclimatization was higher on the sandsubstrate. The selected genotypes could be used in an improvement program of cocoa production.Keywords: Climate change; plant regeneration; genotype; tolerance; drought; in vitro
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Wibaux, Thomas, Frédéric Normand, Rémi Vezy, Jean-Baptiste Durand et Pierre-Éric Lauri. « Does seasonal flowering and fruiting patterns of cacao only depend on climatic factors ? The case study of mixed genotype populations in Côte d'Ivoire ». Scientia Horticulturae 337 (novembre 2024) : 113529. http://dx.doi.org/10.1016/j.scienta.2024.113529.
Texte intégral
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Karim Kouablan Jean Constant, Saki Suomion Justin, Sea Tehi Bernard, Yoboué Guillaume Arthur Kouassi Loh et Soro Yadé René. « Functional characteristics of cocoa bean powder of the Mercedes and Theobroma cacao varieties from the Lôh-djiboua and Indenie-djuablin regions (Côte d'Ivoire) Primary tabs ». GSC Biological and Pharmaceutical Sciences 12, no 1 (30 juillet 2020) : 062–71. http://dx.doi.org/10.30574/gscbps.2020.12.1.0195.
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Flament, M. H., I. Kebe, D. Clément, I. Pieretti, A. M. Risterucci, J. A.-K. N'Goran, C. Cilas, D. Despréaux et C. Lanaud. « Genetic mapping of resistance factors to Phytophthora palmivora in cocoa ». Genome 44, no 1 (1 février 2001) : 79–85. http://dx.doi.org/10.1139/g00-099.
Texte intégralRésumé :
Phytophthora palmivora causes pod rot, a serious disease on cocoa widespread throughout the producing regions. In order to ascertain the genetic determination of cocoa resistance to P. palmivora, a study was carried out on two progenies derived from crosses between a heterozygous, moderately resistant Forastero clone, T60/887, and two closely related and highly susceptible Forastero clones, one completely homozygous, IFC2, and one partially heterozygous, IFC5. The cumulative size of both progenies was 112 individuals. Plants were subjected to natural and artificial inoculation of P. palmivora in Côte d'Ivoire. The genetic maps of T60/887 and of IFC5 were constructed using amplified fragment length polymorphism (AFLP) markers and microsatellites. The map of T60/887 comprised 198 markers assembled in 11 linkage groups and representing a total length of 793 cM. The map of IFC5 comprised 55 AFLP markers that were assembled into six linkage groups for a total length of 244 cM. Ratio of rotten over total number of fruit under natural infection was measured for each tree over two harvests. Artificial inoculations were performed on leaves and pods. These tests were weakly correlated with the pod rot rate in the field. Five quantitative trait loci (QTLs) of resistance were detected for T60/887 but none were common between the three traits measured. Stability and reliability of the experimental procedures are discussed and revealed the difficult use of these artificial tests on adult trees for a good prediction of field resistance.Key words: Theobroma cacao, Phytophthora palmivora, cocoa black pod disease, genetic map, quantitative trait locus (QTL).
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Coulibaly, Klotioloma, F. J. M. Koffi Kassi, Adama Ouattara, B. F. Gogbe-Dibi, P. Walet N’guessan, J. A. Kotaix Acka, M. Evelyne Assi et al. « Comparative efficacy of essential oils of three aromatic plants as alternatives in the control of Phytophthora spp., agent of cocoa tree (Theobroma cacao L.) black pod disease in Côte d'Ivoire ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no 4 (17 novembre 2021) : 1398–409. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i4.8.
Texte intégralRésumé :
This study aimed at comparing the efficacy of essential oils from three aromatic plants species (Cymbopogon citratus, Eucalyptus citriodora and Ocimum gratissimum) in vitro and in vivo against two Phytophthora strains (Phytophthora palmivora and P. megakarya) in a view to developing new biofongicides for the control of cocoa tree black pod disease. Essential oils were applied at four different concentrations (0.5; 1; 3 and 5 mL/L) in vitro and in vivo on leaf discs of three cocoa clones (NA32, PA150 and SCA6) whichsusceptibility is known. As results, all three essential oils significantly (p˂ 0.05) reduced in vitro mycelial growth of both Phytophthora strains and also reduced the leaf susceptibility to these strains. Inhibition rates in vitro of Phytophthora strains mycelial growth ranged from 83.80 to 100% for the essential oils of Cymbopogon citratus and Ocimum gratissimum species and from 17.7 to 100% for which of Eucalyptus citriodora species. In the biotests, the leaf susceptibility index of clone NA32 (susceptible) was reduced from 3.14 to 0.40. This correspond to reduction rates ranged from 64.87 to 86.70% of leaf susceptibility to both Phytophthora strains. Essential oils (HS and HO) from Cymbopogon citratus and Ocimum gratissimum species were most effective than which from Eucalyptus citriodora species. However, all three essential oils revealed antifungal properties. Therefore, they could be recommended as biofungicides for a sustainable control of cocoa tree black pod disease in Côte d'Ivoire.
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Buono, Clarisse, et Alfred Babo. « Travail des enfants dans les exploitations de cacao en Côte d'Ivoire. Pour une réconciliation entre normes locales et normes internationales autour du « bic », du balai et de la machette ». Mondes en développement 163, no 3 (2013) : 69. http://dx.doi.org/10.3917/med.163.0069.
Texte intégral
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COULIBALY, Klotioloma, Inza Jésus FOFANA, Gogbé Françoise DIBI, Tchéféri Lacina SORO, Kouamé Norbert N’DRI, Brigitte Sahin GUIRAUD, Walet Pierre N’GUESSAN et al. « Incidence de la pourriture noire des cabosses du cacaoyer (Theobroma cacao L.) et caractérisation de Botryodiplodia theobromae, agent causal en Côte d’Ivoire ». Journal of Applied Biosciences 184 (30 avril 2023) : 19349–64. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.184.8.
Texte intégralRésumé :
Objectif : Cette étude a été réalisée dans le but d’évaluer l’incidence de la pourriture noire des cabosses sur la production cacaoyère et d’étudier sur la base des caractères morphologiques, la diversité des isolats de Botryodiplodia theobromae, l’agent responsable. Méthodologie et Résultats : Des observations en champ ont été réalisées pendant deux années consécutives dans 18 plantations cacaoyères choisies dans trois régions de cacaoculture (Sud Comoé, Guémon et Nawa). Le dispositif expérimental a été constitué de 100 cacaoyers sur lesquels, le nombre de cabosses atteintes par la pourriture noire est dénombré par intervalle de 15 jours. Dans ces parcelles, des cabosses atteintes naturellement de pourriture noire ont été prélevées pour l’isolement de différents isolats de Botryodiplodia theobromae en vue de l’étude de leurs caractères morphologiques. Les résultats de cette étude ont révélé pour les deux années d’observation, une différence significative entre les différentes régions. La région du Sud-Comoé a enregistré le plus fort taux de pertes (26,03%), tandis que les régions du Guémon et de la Nawa ont été caractérisées par des taux respectifs de 15,99% et 12,74% de pertes dues à la pourriture noire au cours de la première année d’observation. Au cours la seconde année d’observation, la région du Guémon a enregistré les plus fortes pertes (21.13%), contre des taux respectifs de 7,80% et 7,42% pour les régions du Sud-Comoé et de la Nawa. Quarante (40) isolats de Botryodiplodia theobromae ont été isolés à partir des cabosses de cacaoyer naturellement atteintes de pourriture noire. Les caractères morphologiques ont mis en évidence trois morphotypes sur milieu petit pois gélosé : cotonneux, clairsemé et duveteux, avec une coloration allant de blanchâtre à noirâtre et grisâtre. La vitesse moyenne de la croissance des colonies mycéliennes a varié de 46,4mm/j à 74,95mm/j et la densité sporale de 0,08.105 conidies/ml à 16,92.105 conidies/ml. 19349 Coulibaly et al., J. Appl. Biosci. Vol : 184, 2023 Incidence de la pourriture noire des cabosses du cacaoyer (Theobroma cacao L.) et caractérisation de Botryodiplodia theobromae, agent causal en Côte d’Ivoire Conclusion et application des résultats Cette étude a permis de déterminer les pertes de récolte dues à la pourriture noire des cabosses dans ces régions de productions et de confirmer la variation morphologique des isolats de Botryodiplodia theobromae. A partir de ces résultats, il convient donc de recommander aux cacaoculteurs de considérer cette maladie comme une contrainte importante à la cacaoculture et de l’intégrer dans leurs stratégies de lutte. Mots clés : pourriture noire, incidence, Botryodiplodia theobromae, caractérisation morphologique Incidence of black pod rot of cocoa (Theobroma cacao L.) and characterization of Botryodiplodia theobromae, causal agent in Côte d'Ivoire ABSTRACT Objective: This study was conducted to assess the impact of black pod rot on cocoa production and to study the diversity of isolates of Botryodiplodia theobromae, the causal agent, based on morphological characteristics. Methodology and results: Field observations were carried out during two consecutive years in 18 cocoa plantations selected in three cocoa growing regions (Sud-Comoe, Guemon and Nawa). The experimental set-up consisted of 100 cocoa trees on which the number of pods affected by black rot was counted at 15-day intervals. In these plots, pods naturally affected by black rot were collected for the isolation of different isolates of Botryodiplodia theobromae in order to study their morphological characteristics. The results of this study revealed for the two years of observation, a significant difference between the different regions. The Sud-Comoé region recorded the highest rate of losses (26.03%), while the Guemon and Nawa regions were characterized by respective rates of 15.99% and 12.74% of losses due to black rot during the first year of observation. In the second year of observation, the Guemon region recorded the highest losses (21.13%), compared to respective rates of 7.80% and 7.42% for the Sud-Comoe and Nawa regions. Forty (40) isolates of Botryodiplodia theobromae were isolated from cocoa pods naturally affected by black rot. Morphological characters revealed three morphotypes on agar pea medium: cottony, sparse and fluffy with whitish to blackish and grayish coloration. The average growth rate of mycelial colonies ranged from 46.4mm/d to 74.95mm/d and the spore density from 0.08.105 conidia/ml to 16.92.105 conidia/ml. Conclusion and application of results : This study allowed to determine the crop losses due to black pod rot in these production regions and to confirm the morphological variation of Botryodiplodia theobromae isolates . Based on these results, it is recommended that cocoa farmers consider this disease as an important constraint to cocoa production and integrate it into their control strategies. Keywords: black rot, incidence, Botryodiplodia theobromae, morphological characterization
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Konan, Kouakou Ahossi, Ibourahema Coulibaly, Kra Athanase Kouassi, Foba Foba Sthéphane, Adja Coulibaly et Ibrahim Konaté. « Impact of New Fermentation Systems on the Health Quality of Cocoa Beans (Theobroma cacao L. 1753) in the Main Cocoa-Growing Regions of Côte D'ivoire : Nawa, Bas-Sassandra and Haut-Sassandra ». Journal of Advances in Microbiology 24, no 8 (28 août 2024) : 35–51. http://dx.doi.org/10.9734/jamb/2024/v24i8845.
Texte intégralRésumé :
Aims: Cocoa cultivation plays a crucial role in the Ivorian economy, requiring rigorous post-harvest processes to ensure the quality of the chocolate produced. Fermentation is a fundamental step in these processes, directly influencing the development of the flavor and aromatic characteristics of cocoa beans. This study focuses on evaluating the impact of various fermentation supports on the microbiological quality of cocoa beans after drying. Study Design: The beans were fermented on six types of supports: palm leaves, cocoa pods, polypropylene tarps, polypropylene bags, jute bags, and banana leaves (control), using two varieties of cocoa, Forasteros and Mercedes in the San Pedro, Soubré and Daloa regions. Methodology: At the end of the drying process, 2 kg of dried beans from each fermentation support were collected. The analyses focused on moisture, pH, and the level of microbiological contamination, including fungal flora and Bacillus (spore-forming bacteria). The analyses were performed in triplicate. The fungal flora was identified through macroscopic and microscopic observations, while biochemical tests were used to identify presumptive Bacillus cereus. Results: The results indicate that beans fermented in pods showed a pH above 5.5, and those fermented on polypropylene bags had moisture exceeding 8%. Bacillus bacteria were more frequent in the beans fermented in cacao pods. Molds, primarily Aspergillus ochraceus and Aspergillus niger, were more prevalent on jute bags and in the pods compared to the control. The presence of Bacillus spores and ochratoxigenic molds in the fermented beans, in the pods, and on jute bags poses a risk to the quality and safety of the cocoa beans. Conclusion: In contrast, polypropylene bags, polypropylene tarps, and palm leaves are identified as suitable supports for maintaining the sanitary quality of the beans, similar to banana leaves (control support). These results show that, despite the gradual decline in banana plantations, cocoa producers will benefit from adequate support for the fermentation process, thereby guaranteeing the quality of cocoa beans and enabling them to obtain a competitive purchase price in the field, while offering entrepreneurs the opportunity to acquire higher quality products to increase their turnover.
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Kouassi, Amenan Gisèle, Koné Brahima, Emile B. Bolou-Bi et Albert Yao-Kouamé. « Distribution de l'aluminium échangeable et total dans les sols des agrosystèmes à base de Cacaoyer (<i>Theobroma cacao,/i> ; L.) dans les régions du centre-ouest de la Côte d'Ivoire ». Revue Africaine d’Environnement et d’Agriculture 6, no 4 (9 janvier 2024) : 54–61. http://dx.doi.org/10.4314/rafea.v6i4.6.
Texte intégralRésumé :
Description du sujet. Dans le souci de prévenir les processus d’acidification des sols en cacaoculture, une étude a été menée dans le Centre-Ouest de la Côte d’Ivoire.Objectif. L’objectif est d’évaluer l’état actuel de la toxicité aluminique des sols dans deux agrosystèmes à base de cacaoyer, leurs interactions avec certaines propriétés chimiques des sols.Méthodes. Pour l’atteindre de cet objectif, des sols dans deux agrosystèmes à base de cacaoyer à Divo et Oumé ont fait l’objet d’une prospection pédologique et de prélèvements d'échantillons d’horizons le long d’une toposéquence. Des analyses chimiques classiques de teneurs en aluminium et certains métaux de ces échantillons ont été réalisées en laboratoire.Résultats. Les résultats obtenus ont montré que les différents sols étudiés, quel que soit la position topographique, ne présentent pas de toxicité aluminique. En effet, les indices de toxicité mis en évidence selon la méthode de Kamprath ont des valeurs inférieures à 1 %, largement inférieures à la valeur seuil tolérable de 10 % pour la cacaoculture. Cette absence de toxicité aluminique est la conséquence du statut acido-basique des sols, pH variant de 4,8 à 6,8. Les teneurs en Al échangeable des sols étudiés sont alors très faibles (0,01 cmol+ kg-1 à 1,10 cmol+ kg-1). La présence d’Al échangeable n’a indiqué aucune influence sur les oligo-éléments (Cu, Zn, Mn) révélant que les sols des localités étudiées sont encore très favorables à la cacaoculture.Conclusion. La présence d’Al échangeable n’a indiqué aucune influence sur les oligo-éléments (Cu, Zn, Mn) révélant que les sols des localités étudiées sont encore très favorables à la cacaoculture.
Objective. The objective is to evaluate the current state of aluminum toxicity of soils in two cocoa-based agrosystems, their interactions with certain chemical properties of the soils. Methods. To achieve this objective, soils in two cacoa-based agrosystems in Divo and Oumé were the subject of a pedological prospection and horizon sampling along a toposequence. Classic chemical analyzes of the aluminum and certain metal contents of these samples were carried out in the laboratory. Results. The results obtained showed that the different soils studied, whatever the topographical position, do not present aluminum toxicity. Indeed, the toxicity indices highlighted using the Kamprath method have values less than 1%, well below the tolerable threshold value of 10% for cocoa farming. This absence of aluminum toxicity is the consequence of the acid-base status of the soils, pH varying from 4.8 to 6.8. The exchangeable Al contents of the soils studied are then very low (0.01 cmol+ kg-1 to 1.10 cmol+ kg-1). The presence of exchangeable Al indicated no influence on trace elements (Cu, Zn, Mn) revealing that the soils of the localities studied are still very favorable to cocoa cultivation.Conclusion. The presence of exchangeable Al indicated no influence on trace elements (Cu, Zn, Mn) revealing that the soils of the localities studied are still very favorable to cocoa cultivation.
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« CACAO : Côte d'Ivoire, Ghana ». Africa Research Bulletin : Economic, Financial and Technical Series 57, no 9 (novembre 2020). http://dx.doi.org/10.1111/j.1467-6346.2020.09742.x.
Texte intégral
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Trebissou, Caudou I., Roméo K. N’Guessan, Mathias G. Tahi, Sékou Aïdara, Sélastique D. Akaffou et Simon-Pierre A. N’Guetta. « Response of Forty (40) High-Producing Cacao Genotypes to Cacao Swollen Shoot Disease ». Journal of Experimental Agriculture International, 31 décembre 2020, 1–10. http://dx.doi.org/10.9734/jeai/2020/v42i1030608.
Texte intégralRésumé :
Aims: Cocoa swollen shoot is a dreaded viral disease that is prevalent in the producing areas of West Africa. In Côte d'Ivoire, it undermines the sustainability of cocoa farming. Integrated pest management based on the use of disease-resistant or disease-tolerant plant material remains a sustainable solution.
Place and Duration of Study: Integrated Pest Management Unit against Cocoa swollen shoot, Experimental greenhouse of Bouaflé, National Centre for Agronomic Research (CNRA).
Methodology: Forty elite genotypes of cocoa trees selected from different populations in the Reciprocal Recurrent Selection program of Cocoa in Côte d'Ivoire were evaluated against strain D of Cacao Swollen Shoot Virus (CSSV). Five seedlings of each genotype were infected by patch grafting and observed for 5 months.
Study Design: Plants are placed in a greenhouse in a completely random arrangement, with five repetitions.
Results: Three cocoa genotypes (C77, C87 and C96) were free of disease symptoms and eight genotypes (C77, C87, C96, C3, C12, C26, C53 and C98) had the lowest infection scores. The disease significantly affected plant development and growth.
Conclusion: Some genotypes selected within the Reciprocal Recurrent Selection program are promising for breeding against CSSV disease. These eight genotypes will be tested in a field environment to confirm their tolerance.
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Dieng, Ndèye Sokhna, Alain Karsenty et Boniface Komena. « Arbres et pouvoir : privatisations et processus de territorialisation étatique des forêts en Côte d'Ivoire ». DE Varia 53 (2024). http://dx.doi.org/10.4000/120qc.
Texte intégralRésumé :
En 2018, la Côte d’Ivoire a décidé de transformer ses forêts classées, largement occupées par des planteurs de cacao, en Agroforêts Classées, autorisant l'agriculture sous forme d’agroforesterie. Des entreprises peuvent en devenir concessionnaires. Cette privatisation de la gestion est un désaveu de l’institution en charge des forêts classées, mais ne représente pas un retrait ou une perte de pouvoir de l'État, qui tente de reprendre le contrôle de ces espaces à travers des intermédiaires privés.
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Gbaguidi, Marcel, Kafui Kouassi et Amadou Diop. « Accreditation of Agri-Food and Medical Laboratories in the UEMOA Region : An Opportunity for the Promotion of Sustainable Public Health ». International Journal of Conformity Assessment 2, no 1 (30 mai 2023). http://dx.doi.org/10.55459/ijca/v2i1/mg.kk.ad.
Texte intégralRésumé :
In an increasingly changing and demanding world, Quality Infrastructure is an instrument that is both important and essential in a context marked by health, environmental, economic, and social issues. Among the pillars of Quality Infrastructure, accreditation plays an important role, ensuring the technical competence and integrity of bodies offering conformity assessment services, such as testing, medical testing, calibration, certification, inspection, and validation/verification based on recognized international standards. The objective of this article is to highlight the importance and role of the Système Ouest Africain d’Accréditation/West African Accreditation System (SOAC-WAAS) in preserving and promoting the health of populations and the competitiveness of West African economies. Given the importance of accreditation, the West African Economic and Monetary Union (UEMOA) that gathers eight countries (Benin, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Guinea Bissau, Mali, Niger, Senegal, and Togo) created, in 2005, SOAC-WAAS, a multi-economy accreditation body. The latter is the only authorized accreditation body for the eight UEMOA member states. Its mission is to deliver and promote accreditation in the community area, particularly through the issuance of accreditation certificates to conformity assessment bodies (CABs). To date, SOAC-WAAS has accredited forty-six (46) conformity assessment bodies, including four (4) calibration laboratories, three (3) certification bodies, and thirty-nine (39) testing laboratories. Among the SOAC accredited testing laboratories, one (1) is in the field of forensics and ten (10) are medical laboratories. Fourteen (14) testing laboratories and the three (3) accredited certification bodies are operating in the agri-food sector. This result, which is certainly insufficient for the entire UEMOA region, is still encouraging and contributes to the preservation of health and protection of the population, particularly with regard to accredited agri-food and medical testing laboratories.