Articles de revues sur le sujet « Biens communs de la connaissance »

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1

Amabile, Serge, Adrien Peneranda et Coralie Haller. « Management des biens communs de la connaissance : principes de conception et gouvernance de l’action collective ». Systèmes d'information & ; management 23, no 1 (2018) : 11. http://dx.doi.org/10.3917/sim.181.0011.

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Dodier, Nicolas. « L’espace et le mouvement du sens critique ». Annales. Histoire, Sciences Sociales 60, no 1 (février 2005) : 5–31. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900018990.

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Résumé :
RésuméL’article revient sur l’émergence, dans les sciences sociales des années 1980, d’une configuration intellectuelle caractérisée par le choix d’une approche non réductionniste de l’éclatement des références normatives, tant au niveau de la société, de l’action, que de la connaissance. Il précise et discute les infléchissements apportés à cette configuration par le « laboratoire des Cités» issu des recherches de Luc Boltanski et Laurent Thévenot, ainsi que par la sociologie dite des « régimes d’action». S’appuyant alors sur le constat de l’importance, dans les controverses publiques, de la référence aux biens en soi, manière de défendre une position par des objectifs qui valent d’être poursuivis en tant que tels, l’article développe une sociologie des pouvoirs attachée à montrer comment ceux-ci visent des biens de ce type, tout en étant tributaires du caractère incomplet des épreuves susceptibles d’assurer cette dimension morale du travail politique. L’article esquisse enfin comment saisir dans ce contexte la dynamique historique des épreuves et des pouvoirs, et éclairer les transformations du sens critique.
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3

PHOCAS, F., J. BOBE, L. BODIN, B. CHARLEY, J. Y. DOURMAD, N. C. FRIGGENS, J. F. Hocquette et al. « Des animaux plus robustes : un enjeu majeur pour le développement durable des productions animales nécessitant l’essor du phénotypage fin et à haut débit ». INRAE Productions Animales 27, no 3 (28 août 2014) : 181–94. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.3.3066.

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Résumé :
L’enjeu majeur du phénotypage animal est d’acquérir une connaissance systémique de la robustesse des animaux d’élevage pour répondre au mieux à une double finalité en termes d’exploitation de la variabilité des aptitudes animales : une sélection éclairée vers des objectifs majeurs pour améliorer l’efficience et la robustesse des génotypes, et un élevage de précision exploitant la variabilité individuelle des animaux pour gagner en résilience à l’échelle du troupeau, ou pour améliorer la conduite à génotype donné. Deux défis majeurs de connaissance, interdépendants et communs à toutes les filières animales, sont à relever pour améliorer la robustesse des animaux : i) comprendre et prédire les compromis entre fonctions vitales, c’est-à-dire les changements de priorités dans l’allocation de ressources limitées ; ii) comprendre et exploiter les aspects temporels de la robustesse au cours de la vie de l’animal pour lui permettre de maintenir son niveau de production dans une large gamme d’environnements sans pour autant compromettre sa reproduction, sa santé et son bien-être. Atteindre ces objectifs nécessite de lever les verrous techniques suivants : i) définir des phénotypes complexes à partir de l’intégration de données obtenues à différentes échelles moléculaires, tissulaires, de l’animal ou d’une de ses fonctions ; ii) mettre en oeuvre des technologies à haut débit pour caractériser à moindre coût et le plus précisément possible le plus grand nombre d’animaux ; iii) développer d’importantes bases de données, des méthodes et outils informatiques performants, nécessaires aux traitements des informations à des fins de modélisation et de biologie prédictive.
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4

Ndiaye, Lémou, Mamadou Ousseynou Ly, Ousmane Ndiaye et Daouda Ngom. « Perception communautaire des biens et services écosystémiques fournis par les espèces ligneuses en haute Casamance, Sénégal ». International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, no 3 (24 août 2023) : 1056–71. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i3.24.

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Résumé :
Les ressources ligneuses occupent une place très importante notamment pour les populations locales qui en bénéficient considérablement à travers leur savoir-faire longtemps existaient depuis leurs ancêtres. Cependant, ces connaissances locales (variant en fonction des zones, des ethnies, de l’âge et de l’existence de la ressource) sont diversifiées et moins connues pour la plupart du temps. Alors que certaines ressources ligneuses sont maintenant menacées par des facteurs climatiques et anthropiques qui leurs rendent vulnérables ces dernières années. L’objectif de cette étude menée dans la commune de Coumbacara était de contribuer à une meilleure connaissance de la végétation ligneuse et son importance en termes de biens et services écosystémiques pour les populations locales. Pour atteindre cet objectif, des enquêtes ethnobotaniques ont été réalisées à l’aide d’un questionnaire administré à 242 chefs de ménages. Les résultats ont révélé au total 87 espèces ligneuses citées par les populations, appartenant à 33 familles et 71 genres. Elles sont rencontrées par les populations dans les forêts (38,3%), les champs de brousses (28,5%), les vallées (23,9%) et les champs de cases (11,4%). Ces espèces procurent deux catégories de services. Il s’agit des services de régulation (17,5%) et d’approvisionnement (82,5%). Un seul service régulation qui est la fertilisation (17,5%) a été cité par les populations. Les services d’approvisionnements cités sont la pharmacopée (16,9%), l’énergie (15,8%), le fourrage (15,3%), la construction d’habitats (12,7%), l’alimentation humaine (10,8%), l’artisanat (7,6%) et les soins phytosanitaires (3,3%). Ces espèces sont utilisées pour leur bois (32%), feuilles (26,2%), fruits (20,1%), écorces (13,4%), racines (4,1%), graines et noix (2,2%) et autres (2%). Les Facteurs de Consensus Informateurs obtenus sur les usages faits aux espèces variant entre 0,85 et 0,95 soit 85% à 95% montrent qu’il existe un accord important au niveau des populations sur les usages faits aux espèces. Ceci étant dit que les populations locales de cette zone connaissent bien les ressources ligneuses et savent l’utiliser dans différents usages. English title: Community perception of ecosystem goods and services provided by woody species in upper Casamance, Senegal Wood resources are very important, especially for local populations who benefit considerably from their know-how, which has existed since their ancestors. However, this local knowledge (which varies according to area, ethnicity, age and existence of the resource) is diverse and less known for the most part. While some woody resources are now threatened by climatic and anthropogenic factors that make them vulnerable in recent years. The objective of this study conducted in the commune of Coumbacara was to contribute to a better knowledge of woody vegetation and its importance in terms of ecosystem goods and services for local populations. To achieve this objective, ethnobotanical surveys were conducted using a questionnaire administered to 242 heads of households. The results revealed a total of 87 woody species cited by the populations, belonging to 33 families and 71 genera. They are found by the populations in forests (38.3%), bush fields (28.5%), valleys (23.9%) and hut fields (11.4%). These species provide two categories of services. These are regulation (17.5%) and provisioning (82.5%) services. Only one regulatory service, fertilization (17.5%), was cited by the populations. The supply services cited are pharmacopoeia (16.9%), energy (15.8%), fodder (15.3%), habitat construction (12.7%), human food (10.8%), handicrafts (7.6%) and phytosanitary care (3.3%). These species are used for their wood (32%), leaves (26.2%), fruits (20.1%), bark (13.4%), roots (4.1%), seeds and nuts (2.2%) and others (2%). The Informative Consensus Factors obtained on the uses made of the species vary between 0.85 and 0.95, i.e., 85% to 95%, showing that there is significant agreement at the population level on the uses made of the species. This being said, the local populations of this zone are well aware of the woody resources and know how to use them in different ways.
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Damus, Obrillant. « L’allaitement maternel en Haïti comme rite de passage au carrefour des épistémologies du Nord et du Sud ». Revue Education, Santé, Sociétés, Volume 6, Numéro 1 (8 mai 2020) : 57–74. http://dx.doi.org/10.17184/eac.3145.

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Résumé :
Bien qu’il puisse être regardé à travers le prisme d’une théorie, l’allaitement humain est l’objet d’une réflexion multiréférentielle. Qu’il soit artificiel ou naturel, l’allaitement n’est pas un simple acte nourricier. Ancré dans une pensée aux dimensions multiples (symbolique, médicale, religieuse, mythologique et magique), il prend sens dans les creusets culturels et sociaux et constitue donc, de par ses variations anthropologiques, un phénomène complexe. Néanmoins, il existe des règles, des représentations et des mythes communs aux rites d’allaitement dans chaque communauté humaine. L’allaitement s’apparente à un rite de passage classique dont le vécu et les significations se situent au carrefour de l’universel et du particulier. Il n’est pas un phénomène exclusivement biologique. La connaissance de l’invariant anthropologique que représente le rite d’allaitement ne peut se réaliser qu’à travers l’observation de celui-ci dans les différentes cultures humaines. Quelles sont les pratiques d’allaitement dans les communautés rurales d’Haïti ? Quels sont les acteurs communautaires qui accomplissent des actions rituelles au profit des femmes allaitantes dans les milieux ruraux ? Quels sont les facteurs culturels (mythes, tabous, valeurs, symboles, cosmovisions, etc.) qui les accompagnent ? Dans quelle mesure la théorie des rites de passage de Van Gennep peut-elle contribuer à la compréhension du phénomène d’allaitement en milieu rural d’Haïti ?
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Henry, Vincent. « Comment et pourquoi intégrer une approche Knowledge Management dans la recherche biomédicale ». I2D - Information, données & ; documents 1, no 1 (19 juillet 2023) : 72–82. http://dx.doi.org/10.3917/i2d.231.0072.

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Résumé :
Bien que spécialisée dans la production de connaissances (à partir de connaissances déjà acquises) et dans la méthodologie scientifique, la Recherche biomédicale académique (RBA) n’a pour ainsi dire pas de processus formel de gestion de la connaissance. Or, c’est précisément l’objet du Knowledge Management (KM) que de développer des méthodologies et des outils propres à accompagner la création, la capitalisation et la réutilisation de la connaissance et des raisonnements. De la cartographie au portail en passant par le cahier de laboratoire, nous proposons une réflexion sur les moyens d’intégrer une approche KM dans l’univers de la RBA et sur les bénéfices potentiels d’une telle démarche pour les deux domaines, pour peu qu’elle se déploie dans un climat de confiance.
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Charbonnier, Pierre, et Daniela Festa. « Biens communs, beni comuni ». Tracés, #16 (1 octobre 2016) : 187–94. http://dx.doi.org/10.4000/traces.6622.

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Boufoy-Bastick, Béatrice. « RESTRUCTURER LA POLITIQUE LINGUISTIQUE DE L’UE ET DÉFENDRE LA DIVERSITÉ DU PATRIMOINE LINGUISTIQUE EUROPÉEN : PRÉVENIR LA TRAGÉDIE DES COMMUNS ». Verbum 7, no 7 (20 décembre 2016) : 44. http://dx.doi.org/10.15388/verb.2016.7.10257.

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Résumé :
Cet article explique comment la politique linguistique de l’UE en servant les exigences économiques des apprenants en langue contribue à la rapide éradication des langues minoritaires européennes. Il reconnait ce problème comme un exemple classique de la « Tragédie des biens communs » de Hardin (1968) dans laquelle l’intérêt personnel détruit le bien commun. Une solution différente a été présen­tée à la tragédie des biens communs par Elinor Ostrom et Oliver Williamson, lauréats du Prix Nobel en économie en 2009 émergeant des huit principes de gestion durable des biens communs proposés par Ostrom en1990. Cet article applique ces huit principes à la tragédie du bien commun linguistique de l’UE et suggère une restructuration de sa politique linguistique visant la dotation en ressources durables pour sauvegarder les biens communs irremplaçables que constituent les patrimoines linguis­tiques européens.
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Boufoy-Bastick, Béatrice. « RESTRUCTURER LA POLITIQUE LINGUISTIQUE DE L’UE ET DÉFENDRE LA DIVERSITÉ DU PATRIMOINE LINGUISTIQUE EUROPÉEN : PRÉVENIR LA TRAGÉDIE DES COMMUNS ». Verbum 7, no 7 (22 décembre 2016) : 44. http://dx.doi.org/10.15388/verb.2016.7.10285.

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Résumé :
Cet article explique comment la politique linguistique de l’UE en servant les exigences économiques des apprenants en langue contribue à la rapide éradication des langues minoritaires européennes. Il reconnait ce problème comme un exemple classique de la « Tragédie des biens communs » de Hardin (1968) dans laquelle l’intérêt personnel détruit le bien commun. Une solution différente a été présen­tée à la tragédie des biens communs par Elinor Ostrom et Oliver Williamson, lauréats du Prix Nobel en économie en 2009 émergeant des huit principes de gestion durable des biens communs proposés par Ostrom en1990. Cet article applique ces huit principes à la tragédie du bien commun linguistique de l’UE et suggère une restructuration de sa politique linguistique visant la dotation en ressources durables pour sauvegarder les biens communs irremplaçables que constituent les patrimoines linguis­tiques européens.
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Goldenberg, Anne, et Serge Proulx. « L’agir politique au regard des technologies de l’information et de la communication ». Globe 14, no 1 (27 septembre 2011) : 99–120. http://dx.doi.org/10.7202/1005988ar.

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Résumé :
La gauche québécoise peut-elle inventer de nouveaux espaces citoyens à partir des configurations sociopolitiques ouvertes par les technologies de l’information et de la communication (TIC) ? Nous avons repéré trois formes de militantisme à l’oeuvre dans ce nouveau contexte. Un premier militantisme oriente ses actions vers un accès élargi aux moyens techniques. Issus du milieu communautaire, des militants, hommes et femmes, s’assurent que le plus grand nombre puisse utiliser les technologies, les comprendre, les maîtriser, tout en se maintenant à distance des logiques commerciales sous-jacentes au développement technologique. Or, dans un contexte fortement marqué par l’idéologie néolibérale, les milieux communautaires sont aujourd’hui contraints de réorienter leurs modes d’intervention ou de financement, ce qui complexifie leurs actions pour l’accessibilité. Un second militantisme fait plus directement usage des médias. Ainsi, des groupes activistes ont pris l’habitude de publiciser eux-mêmes leurs actions. Par ce moyen, ils proposent une signification globale à leurs actions locales. Ils ont appris à reconsidérer leurs relations aux technologies et à la communication. Face à l’invasion des pratiques publicitaires, certains de ces activistes s’organisent aussi pour subvertir les messages au sein même des espaces de propagande et de marketing. Décriant la privatisation croissante des médias québécois, d’autres initiatives ont émergé pour fournir une option de qualité, portée par des amateurs, mais aussi par des journalistes libérés de leurs contraintes habituelles. Un troisième militantisme s’attaque plus directement à la conception même et à la propriété des dispositifs communicationnels. Ces groupes « activistes de la technique » revendiquent un droit de regard et d’intervention sur la conception et le fonctionnement même des dispositifs sociotechniques qui nous entourent. Ils militent à la fois pour la production de dispositifs au code librement accessible, pour la mise à disposition de biens communs informationnels et pour un libre accès aux connaissances. Comment ces trois formes de militantisme sont-elles reliées ? Dans quelle mesure ces nouveaux militantismes témoignent-ils d’un mouvement global de reconfiguration de l’agir politique ? Ces formes de militance orientées vers la technique peuvent-elles avoir une portée politique à plus long terme ?
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Vérez, Jean-Claude. « Des biens collectifs aux biens communs en Europe ». L'Europe en Formation 376, no 2 (2015) : 61. http://dx.doi.org/10.3917/eufor.376.0061.

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CROSNIER, Hervé LE. « Communs numériques et communs de la connaissance ». Tic & ; société, Vol. 12, N° 1 (31 mai 2018) : 1–12. http://dx.doi.org/10.4000/ticetsociete.2348.

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Lipietz, Alain. « Questions sur les biens communs ». Esprit Janvier, no 1 (2010) : 146. http://dx.doi.org/10.3917/espri.1001.0146.

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Rose, Carol M., Emma Guernoui et Jean-Baptiste Roche. « Réflexions sur les biens communs ». Droit et société N°106, no 3 (2020) : 751. http://dx.doi.org/10.3917/drs1.106.0751.

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Verhaegen, Étienne. « Des biens communs au commun ». Les Politiques Sociales 1-2, no 1 (1 janvier 2018) : 19–33. http://dx.doi.org/10.3917/lps.181.0019.

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Krikorian, Gaëlle, Laurence Duchêne, Sophie Wahnich, Thibault Henneton et Paul Guillibert. « L'anti-recette des biens communs ». Vacarme 63, no 2 (2013) : 1. http://dx.doi.org/10.3917/vaca.063.0001.

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Nubukpo, Kako. « Afrique : néoprotectionnisme et biens communs ». Recherches Internationales 126, no 1 (2023) : 7–21. http://dx.doi.org/10.3406/rint.2023.3384.

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Résumé :
Soudain, grande transformation écologique et protectionnisme décomplexé sont partout d’actualité. En bâtissant véritablement et résolument sa propre solution sur ces deux axes, après plus de 60 ans d’indépendance et d’échecs du «développement» sous ordre néolibéral et néocolonial, l’Afrique doit et peut sortir de son impasse systémique mortifère – dépendances croissantes, aide extérieure inefficace, objectifs onusiens pour 2030 déjà condamnés . D’ici 2050, le continent verra doubler sa population. Faire des «communs» et de la recherche de souverainetés de tous ordres le coeur d’une véritable dynamique publique de prospérité endogène partagée, répond aux actuels enjeux majeurs. Investir dans les campagnes délaissées et l’intensification agroécologique en est le premier impératif et les services ainsi rendus au climat, à la stabilité des populations et à la paix, appellent une contribution mondiale.
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Giraud, Gaël. « Communs et biens publics mondiaux ». Revue d'économie financière N° 151, no 3 (8 novembre 2023) : 41–51. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.151.0041.

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Résumé :
À la traditionnelle partition entre biens publics et privés, les communs ajoutent une nouvelle dimension : celle des ressources, matérielles ou non, que nous pouvons partager et qui sont vulnérables à l'appropriation privée non régulée. On suggère que cette catégorie est clé pour affronter la polycrise écologique, mais elle exige la mise en place d'un nouveau type d'institutions internationales hybrides réunissant acteurs privés, publics et ONG, et dont Drugs for Neglected Disease Initiative (DNDi) offre un exemple prometteur. Classification JEL : F50, F55, G28, Q05.
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Vergès, Emmanuel. « Biens communs et espaces communs à l'ère du numérique ». La pensée de midi N° 17, no 1 (1 janvier 2006) : 140–43. http://dx.doi.org/10.3917/lpm.017.0140.

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VIGNAL, A., C. DIOT, C. MOLETTE, M. MORISSON, T. FARAUT, M. RAO, F. PITEL, V. FILLON et C. MARIE-ETANCELIN. « Génomique des canards ». INRAE Productions Animales 26, no 5 (19 décembre 2013) : 391–402. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.5.3168.

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Résumé :
La démocratisation des outils de la génomique et plus particulièrement du séquençage à haut débit a permis le séquençage du génome du canard commun. Des projets complémentaires sont déjà initiés pour prolonger et exploiter au mieux ces premiers acquis. En tout premier lieu, il s’agit de poursuivre la description de la structure du génome et d’en exploiter les connaissances : cartes d’hybrides irradiés pour ordonner la séquence le long des chromosomes ; génomique comparée avec le génome de la poule pour bénéficier des connaissances sur ce génome modèle ; recherche de SNP (Single Nucleotide Polymorphism) pour les études et la gestion de populations ; carte génétique pour la détection des QTL (Quantitative Trait Locus). La première détection de QTL influençant les performances du mulard, réalisée à l’aide de marqueurs microsatellites chez la cane commune, sera complétée par une seconde étude utilisant des marqueurs SNP développés spécifiquement et permettant une bien meilleure couverture du génome. Par ailleurs, il est important de réaliser une annotation fonctionnelle du génome, ce qui peut être abordé par le séquençage de transcrits. A terme, le génome annoté sera utilisé pour analyser son expression dans différents tissus et/ou conditions d’élevage, la connaissance des modèles de transcrits et de protéines facilitant les études en transcriptomique et protéomique. Le canard mulard, produit du croisement de la cane commune avec le canard de Barbarie, devra également être étudié en raison de son intérêt agronomique, lié à ses performances exceptionnelles dans la filière des palmipèdes gras.
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Ghelfi, Andrea, Isabella Troisi et Antonella Corsani. « Agroécologie, autonomie et nouveaux biens communs ». EcoRev' N° 51, no 2 (9 septembre 2021) : 88–103. http://dx.doi.org/10.3917/ecorev.051.0088.

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Viso, Iñaki Martín, Riccardo Rao et Antoine Heudre. « Communs et dynamiques de pouvoir dans l’Europe du Sud médiévale ». Annales. Histoire, Sciences Sociales 77, no 3 (septembre 2022) : 511–42. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2022.118.

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Résumé :
Cet article propose une analyse comparée de l’évolution des communs dans deux grandes régions de l’Europe méridionale médiévale : l’Italie du centre-nord et le plateau du Duero dans la Péninsule ibérique. Au cours des dernières années, les recherches menées à partir des études économiques d’Elinor Ostrom sur différentes régions d’Europe du Nord ont insisté sur la centralité des communs dans l’agrosystème et l’organisation des communautés depuis le haut Moyen Âge. Face à une Europe du Nord résiliente, où la présence de biens communs stables a permis de résorber les inégalités sociales, les communs en Europe du Sud auraient été moins solides, entraînant une moindre cohésion des communautés. L’étude comparative de longue durée des deux régions met en évidence l’existence de biens communs dès le début du Moyen Âge, puis leurs évolutions successives au Moyen Âge central et au bas Moyen Âge, en même temps que les pratiques documentaires qui les ont enregistrés. Cette résilience a pris des formes différentes dans chacune des régions, en raison de facteurs contingents tout aussi divers. Partie prenante d’une « économie morale », les biens communaux ont donc pu s’adapter à des conditions changeantes et à la présence de nouveaux acteurs sociaux. Finalement, ces formes d’utilisation collective, en dialogue constant avec les notions de propriété et d’appropriation, étaient liées à la création et à la pérennité d’identités (rurales, urbaines) opérant à différentes échelles.
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MATENDA, Jean-Bosco Germain ESAMBU. « L’eradication de L’insecurite dans la Ville de Lubumbashi ». KAS African Law Study Library - Librairie Africaine d’Etudes Juridiques 6, no 3 (2019) : 272–300. http://dx.doi.org/10.5771/2363-6262-2019-3-272.

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Résumé :
La ville de Lubumbashi est en proie à une insécurité dont les origines lointaines remontent plus à l’avènement du pouvoir prédateur du Maréchal Mobutu. La disparition de tout l’Etat, gendarme et providence, n’a pas empêché les inciviques à enfermer un bébé de six mois dans un congélateur; en ce début du mois d’avril 2019. Les discours des politiciens invitent la population à se prendre en charge. Cette réflexion se veut d’expliquer les différentes sources et appellations de l’insécurité, et en donner leurs modes d’opération. Dans un Etat en proie au sous-développement, la constitutionnalisation des erreurs, la mauvaise compréhension de la démocratie occidentale et la privatisation des moyens, biens et services sécuritaires sont autant de détours dans la gestion de la chose publique. Ces détours engendrent l’insécurité dans ses diverses formes. Pour en venir au bout, les autorités sont invitées à définir des politiques publiques de lutte contre l’insécurité urbaine. Parmi les remèdes avancés dans ce papier, il importe, entre autre, que l’on assure la traçabilité des auteurs et données pour avoir une connaissance sur les personnes dangereuses "fichées « S »". La nécessité s’impose également de pouvoir étendre la puissance policière dans les nouveaux quartiers en tenant compte de l’agrandissement de la ville. Ceci postule concrètement à construire des nouveaux postes de police dans les nouveaux communes et quartiers pour approcher l’administration policière des administrés; et surtout contenir les menaces et l’insécurité avant qu’elles sortent de leurs tanières. En dotant les agents de sécurité des moyens techniques, financiers et de locomotion les plus performants, la capacité de répondre aux cas d’urgence sera améliorée. Les moyens judiciaires jouent un rôle important dans la lutte anti-insécurité urbaine. Ils consistent, d’abord, en l’application de la peine capitale qui devra être rétablie et en suite en la responsabilisation des défenseurs des droits de l’Homme qui n’ont jamais condamné les auteurs mais plutôt le pouvoir public.
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Oberti, Marco. « L'analyse localisée de la ségrégation urbaine. Ville, quartiers et cités dans une commune de la banlieue parisienne ». Sociétés contemporaines 22-23, no 2-3 (1 septembre 1995) : 127–43. http://dx.doi.org/10.3917/soco.p1995.22n1.0127.

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Résumé :
Résumé L’analyse localisée de la ségrégation urbaine, mêlant approche quantitative et qualitative, permet de mettre en évidence des différenciations fortes au sein d’une même commune, d’un même quartier, mais aussi entre des cités HLM. Appliquée ici à une commune populaire de la banlieue parisienne, cette démarche fait ressortir des configurations sociospatiales infra-communales qui montrent bien la complexité sociale et urbaine des banlieues. Elle montre aussi la nécessité de prendre en compte l’action des habitants dans les processus de division sociale, et l’importance de la connaissance fine qu’ils manifestent de caractéristiques sociales de différents quartiers, voire de différents immeubles HLM. Une telle démarche pose des problèmes méthodologiques et nécessite une connaissance sociologique pointue des terrains d’étude. Malgré ces limites, elle demanderait à être élargie à un plus grand nombre de communes afin de préciser les typologies existantes et de développer la comparaison en intégrant des aspects qualitatifs de la ségrégation urbaine.
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Le Crosnier, Hervé. « Faire entrer les « communs » dans l'éducation ». Diversité 185, no 1 (2016) : 58–63. http://dx.doi.org/10.3406/diver.2016.4294.

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Résumé :
Dès l’émergence d’un internet grand public, il est apparu que les documents numériques, les relations sociales et les sources de connaissance pouvaient se partager. Comment cette dimension de partage des savoirs peut-elle impacter l’éducation plus formelle ? Comment construire des «communs de la connaissance » et assurer la continuité entre l’éducation formelle et les pratiques culturelles amateurs ?
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Emerich, Yaëll. « Les biens et l’immatérialité en droit civil et en common law ». Les Cahiers de droit 59, no 2 (12 juin 2018) : 389–423. http://dx.doi.org/10.7202/1048586ar.

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Résumé :
La théorie civiliste est traditionnellement attachée à une conception matérialiste de la propriété, ayant pour objet les choses ou les biens corporels ; la common law, quant à elle, étant davantage ouverte sur l’immatériel. Si une partie de la doctrine civiliste continue de considérer que la propriété dans un sens technique porte uniquement sur des biens corporels, qui ont une existence physique, le droit civil québécois semble aujourd’hui admettre que les biens incorporels sont des objets de propriété, aux côtés des biens corporels ou matériels. L’objectif de l’auteure est de montrer que, en dépit d’une opposition classique des traditions juridiques civilistes et de common law quant à la reconnaissance des biens immatériels, il existe un rapprochement de ces traditions dans leur conception du bien et de ses critères, ainsi qu’une tendance, tant en droit civil qu’en common law, à reconnaître dans le domaine de la propriété une variété de choses autres que des objets matériels, à travers la prise en considération des biens incorporels. Devant la montée en puissance de l’immatériel, il convient de s’interroger pour savoir ce qui est commun dans la notion de biens incorporels et ce qui est pluriel ou distinct dans le régime des biens incorporels. La thèse soutenue par l’auteure est qu’il s’agit moins d’une pluralité selon les traditions juridiques que d’une diversité selon les types de biens et qu’il est possible de trouver certains traits communs dans la notion de biens incorporels et dans les règles qui leur sont applicables dans les deux traditions. Dans les deux cas, ces traits communs les rapprochent de la notion et du régime juridique des biens corporels.
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Lucarelli, Alberto, Jérémy Mercier, Thomas Perroud et Eleonora Bottini. « Biens communs. Contribution à une théorie juridique ». Droit et société N° 98, no 1 (2018) : 141. http://dx.doi.org/10.3917/drs.098.0141.

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Coriat, Benjamin. « Les biens communs ou la propriété réinventée ». Les dossiers d’alternatives économiques N° 13, no 3 (1 mars 2018) : 56. http://dx.doi.org/10.3917/dae.013.0056.

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Dechamp, Gaëlle, et Maud Pélissier. « Les communs de connaissance dans les « fablabs » ». Revue Française de Gestion 45, no 279 (mars 2019) : 97–112. http://dx.doi.org/10.3166/rfg.2019.00333.

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Résumé :
Les connaissances, au cœur de la création de valeur pour l’entreprise, font l’objet de nombreux conflits d’appropriation qui ont donné naissance à un mouvement critique pour préserver des communs de connaissance (E. Ostrom). Des structures comme les fablabs, basées sur le faire ensemble, cherchent également à lutter contre cette privatisation de la connaissance. À partir de deux variables déterminant la nature d’un commun de connaissance (mode de gouvernance et systèmes de droits de propriété), les auteurs observent dans six « fablabs » quels facteurs favorisent ou freinent les projets en commun et pour le commun.
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Le Crosnier, Hervé, Olivier Ertzscheid, Valérie Peugeot, Silvère Mercier, Christine Berthaud, Daniel Charnay et Lionel Maurel. « Vers les « communs de la connaissance » ». Documentaliste-Sciences de l'Information 48, no 3 (2011) : 48. http://dx.doi.org/10.3917/docsi.483.0048.

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Moine-Dupuis, Isabelle. « Les biens de santé sont-ils privés ou communs ? » Études Avril, no 4 (20 mars 2019) : 57–66. http://dx.doi.org/10.3917/etu.4259.0057.

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Résumé :
La question de la santé ne cesse de nous rappeler notre commune condition ; dès lors, les biens censés la protéger ne devraient-ils pas être à tous ? Permettre l’accès à des thérapies abordables est un moyen d’ajuster les règles qui en font trop souvent, aujourd’hui, l’apanage des plus favorisés. L’institution d’une sécurité sociale et de politiques corrigeant les excès de la propriété intellectuelle contribuent encore insuffisamment à nous rapprocher d’un statut de biens communs pour au moins les médicaments essentiels.
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Maurel, Lionel. « Des communs positifs aux communs négatifs ». Multitudes 93, no 4 (14 décembre 2023) : 56–61. http://dx.doi.org/10.3917/mult.093.0056.

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Résumé :
La notion de Communs s’est dans une grande mesure diffusée dans la littérature académique en France à partir des travaux de l’économiste Elinor Ostrom autour des Commons Pool Resources . Dans cette conception, les Communs sont toujours des éléments intrinsèquement marqués positivement, en tant qu’ils constituent des biens pourvus d’utilités venant satisfaire des besoins humains (réserves en eau, bois, ressources halieutiques, etc.). Cette vision a permis un temps une meilleure prise en compte des questions écologiques dans le champ de l’économie, en mettant en lumière des pratiques de gestion partagée pouvant contribuer, dans certaines conditions, à la durabilité des ressources. Mais elle est aussi fortement marquée par une perspective « environnementaliste » et « développementiste » peu adaptée à la situation ouverte par l’Anthropocène et les défis qui la caractérisent. Dans un monde marqué par l’urgence climatique, il importe sans doute de rompre avec l’approche « bucolique » des communs positifs pour envisager en tant que Communs négatifs non plus les choses suscitant un désir d’appropriation, mais celles que plus personne au contraire ne souhaite posséder (déchets, ruines industrielles). Penser les Communs au-delà de la ressource et de l’usage permet aussi de penser comme Communs négatifs des éléments dont l’abandon ou la limitation devient critique (énergies fossiles, plastique, viande, trafic aérien, etc.).
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Cadieux, Louise, Jean Lorrain et Pierre Hugron. « La succession dans les entreprises familiales dirigées par les femmes : une problématique en quête de chercheurs ». Revue internationale P.M.E. 15, no 1 (16 février 2012) : 115–30. http://dx.doi.org/10.7202/1008803ar.

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Résumé :
La succession est l’un des volets ayant le plus été étudié en contexte d’entreprises familiales. Pourtant, bien que l’on évalue à plus de 33 % la part des entreprises appartenant à des femmes, à notre connaissance, aucune étude ne s’est encore intéressée à la problématique dans leur cas. En conséquence, l’objectif de cet article est d’expliquer comment deux champs de recherche jusqu’ici séparés peuvent être complémentaires dans la manière d’aborder la problématique de la succession en général. Il s’agit donc d’un exercice de réflexion qui, somme toute, soulève un débat d’actualité sur l’état de nos connaissances sur les femmes entrepreneures en contexte d’entreprises familiales et qui se verront bientôt confrontées à une problématique de taille, celle de la succession.
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Günter, Sven, Michael Weber, Bernd Stimm et Reinhard Mosandl. « Lier la sylviculture tropicale à la gestion forestière durable ». BOIS & ; FORETS DES TROPIQUES 314, no 314 (1 décembre 2012) : 25. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.314.a20487.

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Résumé :
Depuis l'émergence du concept de la " gestion durable des ressources " dans les dernières décennies du XXe siècle, les aspects écologiques, technologiques et socio-économiques constituent les piliers de la gestion forestière durable. Alors que la production de bois et de produits forestiers non ligneux (PFNL) a longtemps été l'objectif premier de la gestion forestière, la demande de services forestiers écologiques s'accroît aujourd'hui en parallèle. Cependant, les systèmes de gestion forestière tropicale ont été conçus pour la plupart il y a fort longtemps, avec pour but principal la production de bois. Cet article présente une approche en six étapes pour passer de la sylviculture tropicale classique axée sur la production de bois à des approches plus globales visant à assurer une gestion réellement durable des ressources forestières. Cet objectif est particulièrement important sous les tropiques, où la production de bois est désormais menacée par un rythme de déforestation alarmant et par l'importance accrue des ressources forestières pour assurer la subsistance des populations locales. L'augmentation des superficies forestières concurrence fortement les autres objectifs d'utilisation des terres, et l'intensification permettant d'accroître la production à l'hectare est donc une approche prometteuse pour résoudre ce problème majeur, par exemple par la mise en oeuvre des techniques sylvicoles à rotations courtes, la domestication d'essences ou l'aménagement des sites. La diversification des structures et des services forestiers est une stratégie complémentaire importante visant à remédier à la dégradation éventuelle des forêts et aux pénuries d'autres biens ou services, et de ce fait à contribuer à la gestion durable à l'échelle d'un paysage. Les échelles de gestion, temporelles et spatiales, doivent donc être adaptées aux besoins des exploitants forestiers individuels (pour la production de bois, par exemple) mais aussi à ceux de la collectivité (eau, biodiversité, stockage du carbone...). La gestion forestière durable dépend fortement de son acceptation par l'ensemble des intéressés, et les approches participatives peuvent y contribuer de façon significative. Cet article présente des exemples montrant comment l'intégration de la sylviculture et de la gestion forestière permet, en englobant tous les aspects indiqués ci-dessus, de contrer la gestion de conception purement extractive pour aboutir à une approche sylvicole moderne en termes de gestion adaptive de l'écosystème. L'autonomie des acteurs sociaux et des mécanismes de marché opérationnels pour les produits et services autres que le bois sont des éléments incontournables de la planification sylvicole moderne, mais n'ont aucune utilité pour la gestion forestière durable tant qu'ils ne s'accompagnent pas d'une solide connaissance des fonctions et processus écologiques et d'une bonne compréhension des impacts des interventions humaines. La sylviculture tropicale et la gestion durable des forêts dépendent l'une comme l'autre de la connaissance des écosystèmes et de son application pratique sur le terrain.
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Combes, Jean-Louis, Pascale Combes-Motel et Sonia Schwartz. « Un survol de la théorie des biens communs ». Revue d'économie du développement 24, no 3 (2016) : 55. http://dx.doi.org/10.3917/edd.303.0055.

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Donadieu, Pierre, Élisabeth Rémy et Michel-Claude Girard. « Les sols peuvent-ils devenir des biens communs ? » Natures Sciences Sociétés 24, no 3 (juillet 2016) : 261–69. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2016025.

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Le Crosnier, Hervé. « Économie de l'immatériel : abondance, exclusion et biens communs ». Hermès 45, no 2 (2006) : 51. http://dx.doi.org/10.4267/2042/24034.

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de Montbrial, Thierry. « La gouvernance des biens communs comme levier politique ». RED N° 2, no 1 (1 mars 2021) : 153–55. http://dx.doi.org/10.3917/red.002.0153.

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Aschieri, Gérard, Nicole Alix et Bénédicte Weiss. « Les biens communs se définissent par la participation ». Les dossiers d’alternatives économiques N° 14, no 4 (1 avril 2018) : 78. http://dx.doi.org/10.3917/dae.014.0078.

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PEYRAUD, J. L., et F. PHOCAS. « Dossier " Phénotypage des animaux d'élevage " ». INRAE Productions Animales 27, no 3 (25 août 2014) : 179–1890. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.3.3065.

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Résumé :
Avant-propos La demande mondiale en produits d’origine animale est en forte expansion1 et l’élevage est l’une des activités agricoles les plus fortement créatrices d’emploi et de valeur ajoutée, tant au niveau de la production et des services qu’elle utilise, que des filières de produits animaux. Mais dans le même temps, l’élevage doit faire face à des enjeux sociétaux qui nécessitent des évolutions importantes dans les modes de production : besoin de compétitivité encore accru, méthodes d’élevage contestées vis-à-vis des atteintes à l’environnement, du respect du bien-être animal et de l’usage des médicaments. Il s’agit de réfléchir ces défis au niveau européen et mondial. Produire plus, mieux et à moindre coût doit contribuer à assurer la sécurité alimentaire mondiale et à répondre aux attentes européennes en termes de systèmes de production et de marchés très diversifiés. L’Europe a ici une responsabilité toute particulière car si elle ne peut pas nourrir le monde, il est de sa responsabilité, en tant que région où la demande sociale est aujourd’hui la plus élevée, de montrer comment concilier production et environnement. Outre les innovations et les adaptations des systèmes d’élevage (cf. Numéro spécial de la revue « Quelles innovations pour quels systèmes d’élevage ? », Ingrand S., Baumont R. (Eds). INRA Prod. Anim., 27, 2), les réponses passent aussi par la recherche d’animaux qui soient d’une part, plus efficients pour transformer leur ration et plus faciles à élever dans une large gamme de conditions climatiques et de systèmes d’élevage et, d’autre part, adaptables face à des aléas climatiques, sanitaires ou économiques tout en préservant la santé, le bien-être et la qualité des produits. Par le passé, la recherche de la maximisation des performances de production (ex : vitesse de croissance, quantité de lait par lactation…) a conduit à des animaux de plus en plus spécialisés. Dans la plupart des filières, cette maximisation s’est accompagnée d’une dégradation des autres aptitudes d’élevage, aujourd’hui source d’inefficience en élevage. La recherche d’une plus grande robustesse (définie comme la capacité pour un animal d’exprimer son potentiel de production dans une large gamme d’environnements sans pour autant compromettre sa santé et son bien-être) devient une priorité. Dans le même temps,l’accès à des techniques d’exploration fonctionnelle toujours plus performantes, les innovations en cours d’appropriation ou à venir dans le domaine de la génomique ouvrent des perspectives d’investigation nouvelles plus précises. Dans ce contexte d’évolution des demandes et des possibilités d’investigation, les projets de recherche en sciences animales doivent être plus systémiques, prédictifs et permettre d’établir des relations fonctionnelles de plus en plus fines entre le phénotype des animaux, leur génotype et le milieu dans lequel il s'exprime. Face au développement spectaculaire des connaissances sur le génome, il y a un manque criant de connaissances sur l’expression des phénotypes, connaissances qui devraient permettre de répondre au mieux à une double finalité en termes d’exploitation de la variabilité des aptitudes animales : i) une sélection éclairée vers des objectifs majeurs pour améliorer l’efficience de la production et la robustesse des génotypes, et ii) un élevage de précision qui valorise la variabilité individuelle des animaux pour gagner en efficience et en résilience à l’échelle du troupeau, ou pour améliorer la conduite des animaux d’un génotype donné. En effet, d’un coté les progrès réalisés par la sélection génomique permettent aujourd’hui de repenser les critères de sélection et de les diversifier tout en raccourcissant les délais entre la définition des objectifs et l’amélioration effective des cheptels, mais cette sélection entraine de nouveaux besoins de phénotypage car elle nécessite la caractérisation d’unepopulation de référence. D’un autre coté, la connaissance plus fine de l’animal associée aux technologies en émergence de l’élevage de précision permettra de mieux piloter la conduite d’élevage pour améliorer l’efficience de l’alimentation ou de la reproduction par une approche individuelle à l’animal, ainsi que par la production d’alertes à destination de l’éleveur pour un diagnostic précoce des troubles permettant d’anticiper les ajustements requis. Le phénotypage est ainsi l’un des principaux défis que doit relever les recherches en production animale et a été reconnu comme tel par l’INRA. Deux types de phénotypage peuvent être envisagés : le phénotypage des caractères d’intérêt socio-économique et le phénotypage de caractères plus élémentaires. Les phénotypes d’intérêt socio-économique constituent la finalité recherchée. Ils résultent de mécanismes faisant appel à des régulations complexes, ils sont d’autant plus onéreux à mesurer qu’il s’agit de critères zootechniques qui doivent être observés sur des pas de temps longs. La recherche de phénotypes plus élémentaires et plus proches du mécanisme causal rend plus facile l’identification des gènes responsables. Ce phénotypage fin implique de réaliser des mesures particulièrement approfondies et à des échelles élémentaires (au niveau moléculaire, cellulaire, tissulaire…) des caractéristiques biologiques de l’animal qui expliquent un phénotype complexe observé à l’échelle de l’animal. Le phénotypage à haut débit signifie qu’une méthode de mesure des phénotypes fiable, automatisable et rapide est établie de sorte que le processus de mesure permette de générer un grand nombre de données dans un laps de temps court. Le haut débit peut s’appliquer au phénotypage fin tout comme à celui des caractères d’intérêt zootechnique. Les contributions significatives qui pourront être attendues d’un phénotypage animal fin et à haut débit concernent la biologie prédictive, à savoir la prédiction des performances à partir de caractères simples observables précocement, nécessaire notamment à la gestion des produits, à la conduite de l’élevage et à la sélection animale. Ce dossier propose le fruit d’une réflexion globale des chercheurs de l’INRA sur les perspectives qu’offre le phénotypage des animaux pour répondre aux enjeux des productions animales. Cette réflexion a eu pour objectif de définir les grands enjeux de connaissance autour du phénotypage animal et de faire émerger les questions de recherches prioritaires, transversales ou spécifiques aux différentes filières animales ainsi que les verrous techniques qui sont soulevés. Cette réflexion a été conduite par un groupe de douze chercheurs2 des départements de « Génétique Animale », « Physiologie Animale et Systèmes d’Elevage » et « Santé Animale » travaillant dans des disciplines et sur des espèces variées, missionné par la Direction Scientifique Agriculture de l’INRA. La réflexion de ce groupe s’est appuyée sur celle d’un collectif plus large de chercheurs INRA travaillant sur les animaux d’élevage par le biais d’un séminaire organisé en mai 2013 ainsi que par la rédaction partagée des articles de ce dossier. L’amélioration de la robustesse des animaux d’élevage étant un objectif central, le premier article de ce dossier développe une approche systémique de la robustesse des animaux d’élevage pour répondre au mieux à une double finalité en termes d’exploitation de la variabilité des aptitudes animales pour la sélection et pour la conduite de l’élevage. Les recherches sur le phénotypage doivent être accompagnées d’une ontologie générique c’est-à-dire d’une représentation et d’un langage communs pour partager les données et les connaissances, ainsi que l’explicite le second article de ce numéro. L’objet des trois synthèses suivantes est de mettre en perspective les fronts de science (phénotypage du microbiote intestinal), les enjeux de connaissance et les verrous techniques encore à lever pour permettre des productions animales de qualité (phénotypage de la qualité des produits) et en quantité (phénotypage de l’efficacité alimentaire), à moindres coûts économique et environnemental. 1 Selon la FAO et l’OCDE, la progression de la consommation de protéines d’origine animale sur la planète devrait se poursuivre au rythme de + 2 à + 3%/an au cours de cette décennie. Sur la période 2000-2050, la consommation totale des viandes devrait progresser de l’ordre de + 70% pour une population en augmentation de + 20%. Selon les mêmes sources et pour la même période la consommation de lait et produits laitiers dans les pays émergents devrait passer de 45 à 78 kg par habitant.
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Van Dongen, Alexandre, Sébastien Lambot, Peter Eeckhout et David Lo Buglio. « Exploitation des numérisations pour l'analyse urbaine en contexte archéologique : réflexion méthodologique sur le site précolombien de Pachacamac ». SHS Web of Conferences 82 (2020) : 03006. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20208203006.

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Résumé :
Cet article a pour objectif d’apporter une réflexion méthodologique sur l’exploitation des numérisations d’un site archéologique de grande échelle. Basées sur un grand volume de données issues de relevés photogrammétriques et GPR aériens, ces numérisations sont bien souvent utilisées pour l’enregistrement de l’état du bâti au moment de l’acquisition ou la prospection archéologique. Notre approche propose d’étendre l’exploitation de ces types de données massives afin d’enrichir la connaissance des logiques de conception urbaine d’une « cité » dont il ne reste que certaines parties monumentales encore visible aujourd’hui. En outre, les méthodes d’analyse urbaine s’appuient largement sur une compréhension occidentale de la ville qui est parfois très éloignée de celle que l’on rencontre en Amérique du sud avant l’arrivée des conquistadors. Au-delà des enjeux de connaissances spécifiques au terrain d’étude, l’ambition première de cet article est de comprendre comment l’apport et l’exploitation des technologies présentes et futures en matière de numérisation patrimoniale pourraient nous aider à accroître notre connaissance du passé. En somme se projeter dans le futur pour opérer un retour vers le passé.
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Sériot, Patrick. « Présentation ». Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no 53 (4 mars 2018) : 1–3. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2018.309.

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Résumé :
Les linguistes et les philosophes ont un objet de connaissance en commun, le langage, dont ils ont, curieusement, peu souvent l’occasion de parler ensemble. Tel était le point de départ de ce projet de rapprochement-interrogation : parlent-ils, au juste, de la même chose, eux qui, dans des départements universitaires différents, semblent vivre en parfaite ignorance réciproque ?Or l’éclairage croisé de leurs approches pouvait, semble-t-il, faire apparaître des problématiques, des thèmes et des modes d’approche qui resteraient invisibles en éclairage direct. D’où l’insistance mise sur la comparaison dans l’appel à communication du recueil. Même si aucun des textes présentés ici ne répond directement à cette demande, leur richesse et leur variété, voire l’allégresse de leur mode d’exposition, font apparaître, parfois indirectement, une évidence : comment travailler en linguistique (du moins en syntaxe) sans avoir en tête une orientation (explicite, mais bien souvent implicite, voire insue) philosophique ? Et comment aborder la philosophie du langage sans avoir une connaissance intuitive (empirique, et non en tant qu’objet construit) de son fonctionnement ? Bien des solutions au problème n’ont pas été envisagées ici, bien des domaines n’ont pas été explorés. Cette tentative aura néanmoins l’avantage, je l’espère, de susciter des discussions, débats et surprises.
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CROSNIER, Hervé LE. « Une introduction aux communs de la connaissance ». Tic & ; société, Vol. 12, N° 1 (31 mai 2018) : 13–41. http://dx.doi.org/10.4000/ticetsociete.2481.

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Gardes-Landolfini, Charlotte. « Replacer les biens publics mondiaux dans un contexte de polycrise ». Revue d'économie financière N° 151, no 3 (8 novembre 2023) : 27–40. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.151.0027.

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Résumé :
Tandis que le monde est confronté à une « polycrise » sans précédent, la fourniture – et la durabilité – des biens publics mondiaux s'en retrouve profondément affectée. En premier lieu, le climat et la nature, mais également les autres biens publics mondiaux que fournissent les communs, qu'il s'agit de protéger. Définir les biens publics mondiaux dans ce contexte revient à mettre en exergue tant leur caractère central – condition préalable à la durabilité dans un monde interconnecté –, mais aussi leur caractère profondément politique. Leur offre insuffisante et les défis de gouvernance qui leur sont propres doivent ainsi être réinterrogés. Cet article s'attache à décrire les caractéristiques des biens publics mondiaux, leur multiplicité, mais également les liens qui les unissent, les nombreux défis auxquels ils sont confrontés et les esquisses de solutions à l'œuvre. Classification JEL : A10, A13, E61, F63.
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Le Crosnier, Hervé. « Une bonne nouvelle pour la théorie des biens communs ». Vacarme 56, no 3 (2011) : 92. http://dx.doi.org/10.3917/vaca.056.0092.

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Cornu, Marie, Fabienne Orsi et Judith Rochfeld. « Genèse d’un ouvrage collectif : le Dictionnaire des biens communs ». Revue internationale des études du développement 233, no 1 (2018) : 185. http://dx.doi.org/10.3917/ried.233.0185.

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Perroud, Thomas. « Les biens communs naturels et la reconceptualisation des propriétés ». Revue du MAUSS 61, no 1 (31 mai 2023) : 199–216. http://dx.doi.org/10.3917/rdm1.061.0199.

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Jamard, Jean-Luc. « Ce que pensent les anthropologies françaises... Ou prudence : de quoi parlent-elles, et comment ? » Article hors thème 20, no 1 (10 septembre 2003) : 199–216. http://dx.doi.org/10.7202/015402ar.

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Résumé :
Résumé « Ce que pensent les anthropologies françaises... Ou prudence : de quoi parlent-elles , et comment ? » Les démarches anthropologiques construisent des objets fort divers, qu'elles « pensent » et dont elles « parlent » de bien des façons, selon des règles et dans des cadres de référence très dissemblables. En se restreignant ici à la recherche française (même ainsi, il n'est pas d'anthropologie au singulier), on évoque la non-commensurabilité des grands paradigmes - marxisme et structuralisme restent là-dessus exemplaires - et leur actuelle désaffection ; est pointée du même coup la variété des « régimes de connaissance » en usage (Science ou Histoire ?). D'où la difficulté d'envisager une théorie axiomatisable et unitaire du social. Il faut pour clarifier les choses développer les collaborations comme les confrontations transdisciplinaires, tout en élaborant une anthropologie des anthropologies et de leurs programmes de vérité concurrents. Mots clés : Jamard, discours anthropologiques, régime de connaissances, épistémologie, théories.
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Gidrol-Mistral, Gaële. « L’affectation à un but durable, vers une nouvelle forme d’appropriation des biens communs ? Réflexions autour de l’article 1030 du Code civil du Québec ». Revue générale de droit 46, no 1 (8 juin 2016) : 95–140. http://dx.doi.org/10.7202/1036575ar.

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Résumé :
L’article 1030 du Code civil du Québec est mieux connu pour son principe du droit au partage que pour la possibilité qu’il offre de le tenir en échec lorsque le bien commun se trouve affecté à un but durable. Bien que l’affectation à but durable soit le plus souvent cantonnée aux affectations objectives de biens mis au service d’autres biens ou destinés à l’exploitation de ces derniers, la généralité de la rédaction de cet article ouvrirait la voie à des affectations sans relation directe avec d’autres biens. S’appuyant sur une analyse jurisprudentielle et doctrinale, cette étude révèle l’existence d’affectations subjectives qui détachent l’affectation du bien commun de toute relation de dépendance à d’autres biens. L’affectation durable reposerait dès lors sur un intérêt commun cristallisé dans la somme des intérêts propriétaires, voire sur un intérêt collectif autonome, dévoilant ainsi une nouvelle facette de l’indivision, outil moderne de gestion collective, réfléchie et durable des biens communs.
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Morel, Camille. « Les câbles sous-marins : un bien commun mondial ? » Études Mars, no 3 (28 février 2017) : 19–28. http://dx.doi.org/10.3917/etu.4236.0019.

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Résumé :
Les câbles sous-marins jouent un rôle central dans le monde actuel, aussi bien pour l’économie que pour la communication ou le champ géopolitique. Mal répartis et vulnérables, ces câbles ne seraient-ils pas des biens communs à protéger ? Quelle gouvernance adopter pour une meilleure gestion de ce réseau ?
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