Articles de revues sur le sujet « Aristote - Platon »

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1

Teisserenc, Fulcran. « La question barbare� : Platon ou Aristote� ? » Revue de philosophie ancienne XXXII, no 1 (2014) : 87. http://dx.doi.org/10.3917/rpha.321.0087.

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2

Godefroy, Bruno. « L’ordre politique selon Platon et Aristote ». Commentaire Numéro 150, no 2 (27 mai 2015) : 452a—454. http://dx.doi.org/10.3917/comm.150.0452.

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3

Vuillemin, Jules. « Cinématique et dynamique chez Platon et Aristote ». Archives de Philosophie 68, no 2 (2005) : 303. http://dx.doi.org/10.3917/aphi.682.0303.

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Thein, Karel. « Aristote, critique de Platon sur les causes ». Chôra 12 (2014) : 15–46. http://dx.doi.org/10.5840/chora2014122.

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5

Natali, Carlo. « L’expression « ce qui dépend de nous » chez Aristote. Origine et importance ». Revue de philosophie ancienne Tome XLI, no 1 (5 décembre 2023) : 7–55. http://dx.doi.org/10.3917/rpha.411.0007.

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Résumé :
Le terme archê dans l’ Éthique à Nicomaque III désigne le « principe » d’une chose au sens de ce qui a pouvoir sur elle, la cause motrice des actions. Ce pouvoir de domination est exprimé par l’expression eph’hêmin , et c’est Aristote qui l’introduit pour la première fois dans le débat sur la responsabilité morale. Les chapitres où il discute le concept d’ eph’hêmin sont clairement de nature dialectique, et son analyse se situe très probablement à l’intérieur d’un débat académique sur ces thèmes, dont on trouve des traces dans les Lois . Les disciples de Platon pouvaient trouver des difficultés à comprendre les thèses de Platon sur le rapport entre action et caractère, et Aristote propose une solution originale, fondée sur sa théorie des quatre causes. Contre Platon, il refuse de rejeter la responsabilité des actions et du caractère mauvais sur la cité et les éducateurs, et place l’origine du caractère dans les actions et les choix de l’individu. Avec ce choix, Aristote élargit le problème de la responsabilité humaine de la question traditionnelle de savoir si les méchants sont responsables de leurs mauvaises actions au problème général de la responsabilité de toutes les actions, bonnes ou mauvaises.
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Demont, Paul. « Note sur les premiers emplois de èthikos (ἠθικός) chez Aristote. Le sentiment d’amitié et les transactions de gré à gré ». Ktèma : civilisations de l'Orient, de la Grèce et de Rome antiques 23, no 1 (1998) : 81–90. http://dx.doi.org/10.3406/ktema.1998.2718.

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Résumé :
Ethikos, apparaît chez Aristote. L’article retrace la formation à la fois publique et privée du «caractère» dans la théorie aristotélicienne, puis, à propos de la plus longuement discutée des «vertus du caractère», l’amitié dite par Aristote èthikè, par opposition à l’amitié politikè, il étudie le cas des contrats de gré à gré, que Platon et Aristote voudraient exclure de la compétence de la cité, se situant ainsi «en porte-à-faux» (Gernet) par rapport à la réalité.
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DELCOMMINETTE, SYLVAIN. « DIVISION, DIALECTIQUE ET DÈFINITION CHEZ PLATON ET ARISTOTE ». Méthexis 27, no 1 (30 mars 2014) : 25–45. http://dx.doi.org/10.1163/24680974-90000631.

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Résumé :
In this article, I examine the way Aristotle makes use of the methods Plato labelled as "dialectic". After suggesting a unified interpretation of Plato’s dialectic, I show that Aristotle makes room for them not inside the context of demonstrative science, but at the level of the investigation concerning the principles of such a science. These principles are, for the most part, definitions; and Plato’s dialectical methods are designed to search for and obtain definitions. Although Aristotle, contrary to Plato, seems to distinguish between dialectic and philosophy, he relates both to the same capacity, and he suggests that their methods are identical up to a certain point. Moreover, the cognitive state corresponding to dialectic is, for Aristotle as for Plato, intelligence (nous). Nevertheless, there remain important differences between Plato and Aristotle on this issue: while the dialogical dimension of dialectic is for Plato constitutive of philosophy and implies that the philosophical thought is a perpetual motion, it is according to Aristotle what distinguishes dialectic from philosophy, which must for its part come to a rest; and while philosophy presupposes a rupture with sensation according to Plato, Aristotle envisages it in continuity with sensible experience.
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Lévy, Edmond. « La dénomination de l’artisan chez Platon et Aristote ». Ktèma : civilisations de l'Orient, de la Grèce et de Rome antiques 16, no 1 (1991) : 7–18. http://dx.doi.org/10.3406/ktema.1991.2025.

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9

Chaland, Karine. « La famille et l’individu chez Platon et Aristote ». Revue des sciences sociales de la France de l'Est 25, no 1 (1998) : 143–48. http://dx.doi.org/10.3406/revss.1998.1753.

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De Koninck, Thomas. « Être, essence et substance chez Platon et Aristote ». Études Ricoeuriennes / Ricoeur Studies 2, no 1 (25 mai 2011) : 198–203. http://dx.doi.org/10.5195/errs.2011.65.

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Résumé :
Book Review of Paul Ricœur, Être, essence et substance chez Platon et Aristote. Cours professé à l’université de Strasbourg en 1953-1954. Texte vérifié et annoté par Jean-Louis Schlegel, (Paris: Éditions du Seuil, 2011), 348 pp.
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Delcomminette, Sylvain. « Platon et Aristote sur le bien en soi ». Chôra 15 (2017) : 273–91. http://dx.doi.org/10.5840/chora2017/201815/1615.

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Murgier, Charlotte. « Aristote critique de Platon sur le bien pratique ». Chôra 15 (2017) : 293–311. http://dx.doi.org/10.5840/chora2017/201815/1616.

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Lévy, Edmond. « Aristote platonicien ? Platon a-t-il fait amende honorable ? » Ktèma : civilisations de l'Orient, de la Grèce et de Rome antiques 36, no 1 (2011) : 319–30. http://dx.doi.org/10.3406/ktema.2011.1646.

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Lemaire, Juliette. « Charlotte Murgier, Éthiques en dialogue, Aristote lecteur de Platon ». Philosophie antique, no 16 (1 novembre 2016) : 221–23. http://dx.doi.org/10.4000/philosant.698.

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Ildefonse, Frédérique. « Sujet et prédicat chez Platon, Aristote et les Stoïciens ». Archives et documents de la Société d'histoire et d'épistémologie des sciences du langage 10, no 1 (1994) : 3–34. http://dx.doi.org/10.3406/hel.1994.3391.

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Canto, Monique. « Idées grecques sur la Révolution les sophistes, Platon, Aristote ». Cahiers de Fontenay 63, no 1 (1991) : 55–69. http://dx.doi.org/10.3406/cafon.1991.1557.

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Renaud, François. « Tradition et critique : lecture jumelée de Platon et Aristote chez Olympiodore ». Dossier 64, no 1 (31 juillet 2008) : 89–104. http://dx.doi.org/10.7202/018535ar.

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Résumé Quel type d’autorité revêtent Platon et Aristote à la fin de l’Antiquité, en particulier aux yeux d’Olympiodore d’Alexandrie ? Selon une thèse dominante de nos jours, le rapport aux deux classiques grecs, chez tous les néoplatoniciens, se résume à deux présupposés : l’harmonie entre les deux penseurs et la supériorité, plus précisément l’infaillibilité de Platon. La présente étude se propose, dans un premier temps, d’éclairer la notion d’harmonie à la lumière du contexte pédagogique des commentaires tardifs et du principe de vérité comme unité, et dans un deuxième temps, de montrer que la notion d’infaillibilité ne s’applique guère à Olympiodore en raison de la conception socratique que celui-ci se fait de sa propre pratique exégétique et de certains aspects de sa pratique même.
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Dillon, John. « Syrianus polémiste : Métaphysique M et N* ». Dossier 64, no 3 (14 juillet 2009) : 641–49. http://dx.doi.org/10.7202/037696ar.

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Résumé Contrairement à la plupart des écrits néoplatoniciens sur Aristote, le commentaire de Syrianus sur les Livres M et N de la Métaphysique revêt un ton particulièrement polémique. Certes, il s’agit là peut-être d’une réaction prévisible au contenu fortement antiplatonicien de M et N, mais il n’en demeure pas moins que Syrianus choisit délibérément de commenter ces textes-là. À cette fin, il a recours à divers procédés de polémique rhétorique, qu’il manie avec grande habilité. La première stratégie consiste à traiter Aristote avec condescendance, en lui exposant simplement, ainsi qu’à nous, la doctrine platonicienne véritable. Ailleurs, il l’affronte en échangeant sarcasme pour sarcasme. Cependant il lui arrive aussi de chercher à réfuter le Stagirite dans les termes mêmes de ce dernier, en citant Aristote contre Aristote. Je discute quelques exemples de ces trois procédés en les traitant l’un après l’autre puisque chacun présente un intérêt particulier. Je conclus toutefois que cette polémique ne signifie pas forcément que Syrianus rejette le consensus néoplatonicien sur l’accord fondamental entre Platon et Aristote.
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Pollaert, Marion. « Marie-Noëlle Ribas, La Querelle de l’expérience. Aristote, Platon, Isocrate ». Philosophie antique, no 21 (15 décembre 2021) : 281–84. http://dx.doi.org/10.4000/philosant.4233.

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Riou, Yves-François. « Alfarabi, Aristote, Platon, Plutarque et Ptolémée à Reims vers 1479 ». Scriptorium 49, no 1 (1995) : 106–33. http://dx.doi.org/10.3406/scrip.1995.1718.

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Narbonne, Jean-Marc. « Le problème de l’unité dans la cité :Platon, Aristote, Proclus ». École pratique des hautes études. Section des sciences religieuses, no 127 (15 octobre 2020) : 119–32. http://dx.doi.org/10.4000/asr.3276.

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Helmer, Étienne. « Platon et Aristote ou les pouvoirs politiques de la monnaie ». Revue du MAUSS 46, no 2 (2015) : 363. http://dx.doi.org/10.3917/rdm.046.0363.

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Mattéi, Jean-François. « Les deux souches de la métaphysique chez Aristote et Platon ». Philosophique, no 3 (1 janvier 2000) : 3–18. http://dx.doi.org/10.4000/philosophique.280.

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Méchoulan, Éric. « Les à-côtés de la philosophie et le commérage transcendantal ». Études littéraires 42, no 2 (24 juillet 2012) : 31–46. http://dx.doi.org/10.7202/1011518ar.

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Résumé :
RésuméPar une analyse de textes philosophiques de Parménide, Platon, Aristote et Rousseau, l’auteur montre la présence ambivalente du récit. Les apparences mises en scène par la narration ont pu être écartées, par toute une tradition de pensée, comme inopportunes ou accessoires, elles font en fait partie des modalités mêmes de la réflexion, définissant ainsi dans les replis du récit les figures temporelles des idées.
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Dufour, Richard. « S. Roux, La recherche du principe chez Platon, Aristote et Plotin ». Études platoniciennes, no 2 (16 juin 2006) : 387–89. http://dx.doi.org/10.4000/etudesplatoniciennes.1096.

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Gonzalez, Francisco. « Hadrien France-Lanord, Heidegger, Aristote et Platon : Dialogue à trois voix ». Études platoniciennes, no 9 (15 décembre 2012) : 223–28. http://dx.doi.org/10.4000/etudesplatoniciennes.315.

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Van Riel, Gerd. « Plato’s Χώρα : An un‑Aristotelian reading ». Chôra 20 (2022) : 15–32. http://dx.doi.org/10.5840/chora2022202.

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Résumé :
La présentation ambiguë de la χώρα dans le Timée a donné lieu à une grande diversité d’interprétations, dont la plupart se sont inspirées de la critique aristotélicienne du discours de Timée. Depuis l’Antiquité, ceux qui ont voulu sauver l’analyse de Platon face aux objections formulées par Aristote se sont servis des notions et des présuppositions que celui‑ci a imposées au débat. Or, il importe d’essayer de dépouiller de ces présupposés la question de la χώρα, en cherchant à identifier les questions que Platon lui‑même s’est posé, et qu’il a voulu résoudre en établissant la notion de χώρα. Vu que, en Tim. 52d‑53b, Platon indique que la χώρα contenait des qualités avant l’intervention démiurgique, il faut accepter que ce réceptacle qui reçoit les éléments n’est pas sans forme et, dès lors, qu’il ne correspond pas à la notion aristotélicienne de la matière. Il s’agit plutôt d’une masse corporelle douée d’une motion déséquilibrée, et dont la nature n’est pas changée lors de l’imposition de la forme. La matérialité de cette masse corporelle ne faisant l’objet d’aucune conceptualisation, ce passage sur la χώρα, comme d’ailleurs l’analyse des éléments en Tim. 53b‑61c, montre que Platon n’a pas élaboré une theorie de la matière.
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Marques, Ubirajara Rancan de Azevedo. « L' « inné » et l' « épigénétique » : le dialogue de Kant avec Platon et Aristote ». Studia Kantiana 18, no 3 (8 juin 2023) : 197. http://dx.doi.org/10.5380/sk.v18i3.90198.

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This article aims to analyze the dialogue held between Kant and both Plato and Aristotle in his Reflexionen and Vorlesungsnachschriften. This dialogue will be examined from the positions which ascribe Plato and Aristotle the main sources of, respectively, innatism and sensualism. Although he refuses the dogmatic exclusivity of one and the other theories of representation, Kant still admits a form of innatism. Furthermore, he opts by epigenesis, an embryological theory whose bases had been cast by Aristotle. This course will allow us to underscore Kant's debt regarding certain crystallized versions of Plato's and Aristotle's philosophies, such as, for instance, Hissmann's published critique, recommended by Kant himself, of Dutens" work: Recherches sur l"origine des découvertes attribuées aux modernes.
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Helmer, Étienne. « Les philosophes à propos du mariage : un aspect de la pensée économique antique à l’époque classique ». Nuntius Antiquus 14, no 2 (21 février 2019) : 33–60. http://dx.doi.org/10.17851/1983-3636.14.2.33-60.

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Résumé :
Quel regard les philosophes grecs classiques portaient-ils sur l’économie domestique, en particulier sur la relation conjugale au sein de l’oikos, dont elle était une dimension fondamentale ? L’objet de cet article est de comparer les passages des philosophes de la période classique – Platon, Xénophon et Aristote, mais aussi le Pseudo-Aristote – relevant d’une réflexion sur l’économie domestique, pour observer les déplacements et les recoupements auxquels ils se livrent sur ce thème. Si tous s’interrogent sur le principe moteur de l’union conjugale, sa nature et sa finalité, ils ne les envisagent pas de la même façon. Tous s’accordent néanmoins, avec des différences notables cependant, à voir dans cet aspect de l’économie domestique un processus de fabrique des corps des membres de la cité : au sein de l’économie domestique, le mariage est l’institution médiatrice entre le biologique et le politique.
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Papaux, Alain. « L’Union européenne : entre société (Gesellschaft) et communauté (Gemeinschaft), entre Platon et Aristote ». Revue interdisciplinaire d'études juridiques 51, no 2 (2003) : 247. http://dx.doi.org/10.3917/riej.051.0247.

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Gavray, Marc-Antoine. « L’harmonie des doctrines dans le néoplatonisme tardif. Platon et Aristote chez Simplicius ». École pratique des hautes études. Section des sciences religieuses, no 120 (1 octobre 2013) : 83–90. http://dx.doi.org/10.4000/asr.1157.

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Alesse, Francesca. « Annie Hourcade : Le conseil dans la pensée antique. Les sophistes, Platon, Aristote ». Elenchos 39, no 1 (28 août 2018) : 157–62. http://dx.doi.org/10.1515/elen-2018-0007.

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Crubellier, Michel. « Domestiquer l’excès de l’être. La catégorie des relatifs entre Platon et Aristote ». Quaestio 13 (janvier 2013) : 3–15. http://dx.doi.org/10.1484/j.quaestio.1.103580.

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Teske, Roland J. « William of Auvergne and Plato's World of Ideas ». Traditio 53 (1998) : 117–30. http://dx.doi.org/10.1017/s0362152900012101.

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In his well-known article, “Pourquoi saint Thomas a critiqué saint Augustin,” Etienne Gilson remarked concerning William of Auvergne, Le premier point à noter, lorsqu' on veut comprendre Guillaume d'Auvergne, specialement dans cette partie de son oeuvre, c'est qu'Aristote se confond souvent pour lui avec Avicenne et que, partant de cette presupposition, les efforts infructueux auxquels il se livre pour s'expliquer qu'un adversaire de Platon, comme Ie fut Aristote, ait pu enseigner une doctrine aussi nettement platonicienne que celIe d'Avicenne, Ie conduisent aux pires difficultes.
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Wozniakowski, Henryk. « Anomie polonaise : entre droit et symbole, entre civisme et patriotisme ». Tocqueville Review 18, no 1 (janvier 1997) : 121–28. http://dx.doi.org/10.3138/ttr.18.1.121.

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Le génie de Tocqueville consiste notamment en ce que son œuvre, écrite il y a un siècle et demi, nous donne le sentiment de décrire notre propre expérience d'une manière admirablement fraîche. A la lumière de ses réflexions, nos expériences prennent des dimensions nouvelles et deviennent plus significatives que nous ne le pensions. Tocqueville appartient ainsi à une petite famille d'élus — tels que Thucydide, Platon, Aristote, Saint-Thomas, Machiavel, Montaigne, Montesquieu —, qui tous, bien enracinés dans leurs époques respectives, ont atteint et su décrire ce qu'il y a d'essentiel ou d'universel dans les comportements humains.
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Colas, Dominique. « Anomie et légalité : les origines de la science politique chez Platon et Aristote ». Revue européenne des sciences sociales, no XLII-129 (1 mars 2004) : 87–94. http://dx.doi.org/10.4000/ress.374.

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Kriegel, Blandine. « L’Inquiétant en philosophie politique chez Sophocle et Heidegger ». Figures de la psychanalyse 45, no 1 (23 avril 2024) : 101–11. http://dx.doi.org/10.3917/fp.045.0101.

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Résumé :
L’interprétation de l’ Antigone de Sophocle proposée par Heidegger est résolument opposée à la philosophie politique des Anciens (Aristote et Platon) et des modernes de l’École du droit de la nature et des gens. L’auteure montre ici que la conception politique de Heidegger qui attribue à la violence et à l’avantage le fondement de la politique est solidaire de sa représentation de l’Homme, mais elle repose sur une torsion philologique du texte de Sophocle particulièrement éclatante et préoccupante. Elle a d’ailleurs été prise avec précaution naguère par Michel Foucault et Jacques Lacan. La tragédie de Sophocle n’oublie pas la philosophie qui ne peut être à son tour réduite à la tragédie.
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Knoll, Manuel. « La giustizia distributiva tra Platone e Aristotele = Distributive Justice in Plato and Aristotle ». ΠΗΓΗ/FONS 3, no 1 (7 juin 2019) : 21. http://dx.doi.org/10.20318/fons.2019.4550.

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Riassunto: Secondo l’opinione prevalente tra gli studiosi di lingua tedesca, bisogna considerare Aristotele come colui che ha “scoperto” la giustizia particolare. Questo articolo dimostra che quest’opinione è errata, innanzitutto perché Platone aveva già precedentemente sviluppato, nella Repubblica e nelle Leggi, la dottrina della giustizia distributiva e il suo principio di uguaglianza geometrica o proporzionale. In un primo momento, l’articolo interpreta la dottrina della giustizia distributiva esposta da Aristotele nell’Etica Nicomachea e nella Politica. In un secondo momento, si mostra che i principali elementi di questa dottrina erano già stati sviluppati da Platone nelle Leggi. Infine, l’articolo offre un’interpretazione innovativa del concetto di giustizia presentato da Platone nella Repubblica.Parole chiave: Platone, Aristotele, giustizia distributiva, Repubblica, Leggi.Abstract: According to the prevailing opinion in German-speaking research, Aristotle is to be understood as the “discoverer” of particular justice. This article demonstrates that this view is incorrect, especially as Plato developed the doctrine of distributive justice and its principle of geometrical or proportional equality already previously in the Republic and the Laws. In a first step, this article interprets the doctrine of distributive justice that Aristotle lays out in the Nicomachean Ethics and the Politics. In a second step, it shows that the main elements of this doctrine have already been developed by Plato in the Laws. In a final step the article offers an innovative interpretation of the concept of justice that Plato presents in the Republic.Keywords: Plato, Aristotle, Distributive justice, Republic, Laws.
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Sassi, Maria Michela. « Conceptualizing emotions : From Homer to Aristotle ». Chôra 20 (2022) : 217–34. http://dx.doi.org/10.5840/chora20222012.

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Résumé :
Cet article vise à faire ressortir les fils hétérogènes de la pensée sur les émotions qui traversent la littérature philosophique et médicale grecque des cinquième et quatrième siècles avant J.‑C., contribuant à l’émergence de la sphère des passions en tant que territoire autonome pour l’exploration des faits mentaux. Nous examinons d’abord le modèle psychologique homérique dans le but de mettre en évidence son influence sur la littérature philosophique et non philosophique grecque des siècles suivants. Les auteurs hippocratiques, en particulier, se révèlent redevables du monisme «materialiste» d’Homère, mais on retrouve également des traces du modèle épique chez les penseurs qui, par la suite, se sont intéressés à la relation entre le corps et l’entité‑âme. Nous reconstituons ensuite l’évolution au cours de laquelle, d’Héraclite à Démocrite, de Platon à Aristote et au Péripatos, une notion du pathos en tant qu’emotion finit par émerger, prête à être acceptée et bien sûr précisée autant que retravaillée par les philosophies des âges hellénistique et romain.
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Aubry, Gwenaëlle. « Harmonisation, hiérarchisation ou neutralisation ? Plotin et Proclus lecteurs de Métaphysique Lambda ». Les Études philosophiques N° 146, no 3 (2 août 2023) : 117–43. http://dx.doi.org/10.3917/leph.233.0117.

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Les lectures plotinienne et proclusienne de Métaphysique Λ ne se résolvent pas dans ces résultats doctrinaux que sont la hiérarchisation de l’Intellect et de l’Un-Bien et l’harmonisation des causalités efficiente et finale. Pour les saisir tant dans leur différence que dans celle qui les oppose toutes deux aux lectures concordistes, il faut déplacer l’analyse du plan des doctrines à celui des concepts. Plus précisément, il faut demander comment Plotin et Proclus intègrent le concept qui, en Métaphysique Λ, condense la charge polémique portée par Aristote contre Platon, à savoir le concept d’energeia. Ce dernier engage en effet une conception radicalement antiplatonicienne du principe premier, dont on montre qu’elle s’articule en quatre critiques fondamentales. On analyse dès lors les stratégies de lecture de Λ mises en oeuvre par Plotin et Proclus de façon à évaluer les angles de contreattaque qu’elles déterminent. Plutôt qu’à une harmonisation ou à une simple hiérarchisation, on a affaire, dans les deux cas quoique sous des modalités différentes, à une intégration dialectique qui en passe par la neutralisation de la charge polémique du concept d’energeia ainsi que par sa réélaboration, elle-même solidaire de modèles causaux distincts tant de celui de Platon que de celui d’Aristote.
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Backman, Jussi. « Modernity in Antiquity ». Symposium 24, no 2 (2020) : 5–29. http://dx.doi.org/10.5840/symposium202024210.

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Résumé :
This article looks at the role of Hellenistic thought in the historical narratives of Martin Heidegger and Hannah Arendt. To a certain extent, both see—with G. W. F. Hegel, J. G. Droysen, and Eduard Zeller—Hellenistic and Roman philosophy as a “modernity in antiquity,” but with important differences. Heidegger is generally dismissive of Hellenistic thought and comes to see it as a decisive historical turning point at which a protomodern element of subjective willing and domination is injected into the classical heritage of Plato and Aristotle. Arendt, likewise, credits Stoic philosophy with the discovery of the will as an active faculty constituting a realm of subjective freedom and autonomy. While she considers Hellenistic philosophy as essentially apolitical and world-alienated—in contrast to the inherently political and practical Roman culture—it nonetheless holds for her an important but unexploited ethical and political potential.L’article examine le rôle de la pensée hellénistique dans les récits historiques de Martin Heidegger et Hannah Arendt. Dans une certaine mesure, tous les deux voient, avec G. W. F. Hegel, J. G. Droysen et Eduard Zeller, la philosophie hellénistique et romaine comme une « modernité dans l’antiquité », mais avec des différences importantes. Généralement, Heidegger dédaigne la philosophie hellénis-tique et finit par la considérer comme un tournant historique déci-sif qui introduit un élément protomoderne de volonté et de domination subjective dans l’héritage de Platon et Aristote. De même, Arendt attribue à la philosophie stoïque la découverte de la volonté en tant que faculté active constituant un domaine de liberté et d’autonomie subjectives. Même si elle considère la philosophie hellénistique comme fondamentalement apolitique et aliénée du monde—à l’inverse du caractère fondamentalement politique et pratique de la culture romaine—cette pensée détient néanmoins pour elle un potentiel éthico-politique important et sous-exploité.
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Goldberg, Sylvie Anne. « Platon, Aristote et le Bâton de Jacob. Du temps et de la Création dans le judaïsme ». Critique 728-729, no 1 (2008) : 54. http://dx.doi.org/10.3917/criti.728.0054.

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Le Coze, Jean. « La trempe des aciers, points de vue techniques, historiques et scientifiques. Les interpretations du durcissement par la trempe, du 12e au 19e siècles ». Matériaux & ; Techniques 110, no 1 (2022) : 101. http://dx.doi.org/10.1051/mattech/2022015.

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Les premières tentatives de description des mécanismes du durcissement de l’acier pendant la trempe apparaissent au 12e siècle. Elles utilisent des notions empruntées à Aristote sur le continu de la matière contenant des « pores ». Au début du 18e siècle, Réaumur en a donné une définition ressemblant aux atomes de Platon. Jusqu’au début du 20e siècle, les pores ont servi à l’entréedans lemétal, defluides subtils, phlogistique, etc., qui, piégés par la trempe, produisaient le durcissement. Le carbone, à la fin du 18e siècle et au cours du 19e, commença à jouer un rôle, en tant que « carbone de carbure » ou « carbone de trempe ». Après une séquence d’hésitation à la fin du 19e siècle les variétés allotropiques du fer furent identifiées et le diagramme Fe–C fut publié, mais le durcissement par trempe n’avait toujours pas d’explication convaincante. Il manquait une notion précise de solution solide (du carbone dans le fer).
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Auroux, Sylvain. « Brève histoire de la proposition. » Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no 25 (9 avril 2022) : 15–34. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2008.1387.

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Résumé :
La notion de proposition apparaît dès le Sophiste de Platon : pour le philosophe, il n’y a logos que si sont assemblés un onoma et un rhema. Cette découverte sera doublement réinterprétée. D’abord par Aristote et les logiciens, qui réduiront la notion de proposition à celle de discours susceptible d’être vrai, dont ils définissent la forme canonique, ensuite par les grammairiens, qui l’identifieront par la complétude du sens sans utiliser des notions comme sujets et prédicats. La généralisation de la notion de proposition (et l’apparition de notions comme «propositions incidentes», «propositions subordonnées») provient de la nouvelles logique des idées clairement formulée par les Messieurs de Port-Royal et de la grammaire générale. Les limitations de la conception traditionnelle (aristotélicienne) de la structure de la proposition ne seront clairement dépassées que par la conception fonctionnelle de Frege/Russell. Les linguistes ont majoritairement conservé, jusqu’à Benveniste, la conception traditionnelle et la prééminence du rôle de la copule.
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Patiño Rojas, Diana Marcela. « L´œuvre littéraire et le réel : entre l´ambition de saisir le monde et le défi de la création ». Enunciación 21, no 2 (1 juillet 2016) : 201–11. http://dx.doi.org/10.14483/udistrital.jour.enunc.2016.2.a02.

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Résumé :
Cet article propose une réflexion à propos de la nature du lien entre l´oeuvre littéraire et le réel, à travers l´analyse de différentes perspectives théoriques présentées par des philosophes, écrivains et théoriciens de la littérature tels que Platon, Aristote, Diderot, Hugo, Balzac, Champfleury, Maupassant, Baudelaire, Cousin, Proust et Barthes., appartenant à différentes époques. Il s´agit donc de retracer les conceptions de ces auteurs par rapport à l´oeuvre littéraire et son lien avec le réel avec le double propos de definir un panorama de la question, dans lequel l´on met en évidence le développement d´une discussion qui a eu lieu pendant des siècles; et de présenter un point de vue particulier afin de nourrir cette réflexion. Egalement, l´on cherche à constater que les considérations sur le réel et son rapport avec l´oeuvre, continuent d´être de nos jours, l´objet de réflexion et de la création littéraire.
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Delcomminette, Sylvain. « Charlotte Murgier, �thiques en dialogue. Aristote lecteur de Platon, Paris, Vrin, Collection ��Textes et traditions��, 2013, 352�p. » Revue de philosophie ancienne XXXIII, no 2 (2015) : 235. http://dx.doi.org/10.3917/rpha.332.0235.

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Kandil, Feriel. « Arnaud Berthoud, Essais de philosophie économique Platon, Aristote, Hobbes, A. Smith, Marx, Arras-Lille, Presses universitaires du Septentrion, 2002 ». Cahiers d Économie Politique 43, no 2 (2002) : 153. http://dx.doi.org/10.3917/cep.043.0153.

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Amiot, Chantal. « Anne Merker . Une morale pour les mortels . L’éthique de Platon et Aristote . Les Belles Lettres, 2011, 404 pages, 39 € ». Études Tome 416, no 1 (1 janvier 2012) : XX. http://dx.doi.org/10.3917/etu.4161.0119t.

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Abbate, Michele. « La Repubblica di Platone nell’esegesi simbolica, e metafisico-teologica di Proclo ». ΠΗΓΗ/FONS 2, no 1 (14 décembre 2017) : 153. http://dx.doi.org/10.20318/fons.2017.3853.

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Résumé :
Riassunto: Delle diverse tematiche affrontate da Proclo nella sua articolata interpretazione della Repubblica di Platone, il saggio propone una disamina di alcune fra quelle che appaiono particolarmente significative per comprendere in quale direzione proceda complessivamente l’esegesi procliana del dialogo platonico: lo σκοπός (ossia l’argomento principale) e l’impianto simbolico della Repubblica (dissertazione I); la natura, la funzione e il ruolo della giustizia secondo l’esegesi procliana (dissertazioni III e VII-VIII); l’esame e la critica delle obiezioni mosse da Aristotele alla Repubblica di Platone (dissertazione XVII).Parole chiave: Proclo, Platone, Aristotele, Repubblica, skopós, giustiziaAbstract: Among the various themes faced by Proclus in his articulated interpretation of Plato’s Republic, this essay offers an examination of some of those that appear particularly significant in order to understand what direction Proclus’ exegesis of this dialogue takes: the σκοπός (the main argument) and the symbolic system of the Republic (dissertation I); the nature, function and role of justice according to Proclus’ exegesis (dissertations III and VII-VIII); the examination and criticism of the objections raised by Aristotle to Plato’s Republic (dissertation XVII).Keywords: Proclus, Plato, Aristotle, Republic, skopós, justice
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Lamy, Laurent. « ARISTOTELES MULTIPLEX : ». Belas Infiéis 3, no 1 (8 octobre 2014) : 55–103. http://dx.doi.org/10.26512/belasinfieis.v3.n1.2014.11259.

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Résumé :
Cette étude part d’un fait trop négligé : les corpus d’auteurs comme Platon et Aristote ne connaissent leur editio princeps qu’au terme d’un long processus de recouvrement, de transmission, de collation philologique, de restitution et de traduction, contrairement à la majorité des oeuvres où elle coïncide avec la première édition. Référer à l’authorship, au statut d’auctor, c’est aussi considérer l’auctoritas. Pour ce faire, nous allons examiner les vagues de traduction du corpus aristotélicien à la Renaissance, aussi bien à Florence qu’à Padoue, fief des aristotéliciens radicaux, aux vues teintées d’averroïsme. Un champ de bataille se dessine alors entre les tenants de l’oratio, nourrissant un souci d’élégance et d’acuité dans le style inspiré de Cicéron, et les zélateurs du latin de la scolastique médiévale, la logica vetus, affligée par une langue plutôt laborieuse. Une attention particulière est portée aux travaux de traduction et aux prises de position de Leonardo Bruni et de Lorenzo Valla, chauds partisans de l’oratio. Nous inscrivons leur démarche dans une tradition de pensée qui prend son essor chez Cicéron et Quintilien et qui, par le relais du De vulgari eloquentia de Dante Alighieri, va s’épanouir dans la rhétorique des baroques espagnols, dont Baltasar Graciàn, pour ensuite être défendue avec force chez Giambattista Vico à l’encontre du rationalisme cartésien, pour trouver enfin une niche de prédilection dans la théorie critique des Romantiques d’Iéna, non moins que chez Walter Benjamin, qui en est un épigone. Nous en concluons que l’histoire des idées aussi bien que celle des diverses conceptions des usages de la langue sont aussi une histoire de (la) traduction.
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