Littérature scientifique sur le sujet « Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Traduction en chinois »

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Thèses sur le sujet "Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Traduction en chinois"

1

Zhu, Weijia. « La diffusion et l'influence de la philosophie d'Aristote en Chine à partir des dynasties Ming et Qing ». Electronic Thesis or Diss., Limoges, 2015. http://www.theses.fr/2015LIMO0014.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse porte sur la diffusion et l’influence des idées d’Aristote en Chine de la fin de la dynastie Ming jusqu’à la période contemporaine. Le but de cette recherche consiste à cerner les impacts interculturels et à favoriser la compréhension des dialogues et des échanges entre la culture d’origine européenne et chinoise. Il était important de découvrir la traduction des oeuvres et les recherches spécialisées concernant la philosophie d’Aristote en Chine. Il semblait aussi pertinent de se pencher sur l’étude comparative entre la philosophie d’Aristote et quelques courants de pensée principaux de la Chine dans certains domaines, comme l’éthique et l’éducation de Confucius, la philosophie naturelle de Lao zi, la logique de Mo zi et la pensée politique de Han Feizi. Et pour conclure, il fallait reconnaître les influences considérables d’Aristote dans ces domaines en Chine. Cette étude s’appuie sur une base documentaire large et variée que j’ai dépouillée en France et en Chine
This thesis focuses on the spread and the influence of Aristotle¡¯s ideas in China from the end of the Ming`s Dynasty to the contemporary period. The purpose of this research is to identify the interculturals impacts and to promote the understanding of the dialogues and the exchanges between European and Chinese native culture. It was of great importance to find out the translation of the works and also the specialized research on the philosophy of Aristotle in China. In addition, a comparative study on the philosophy of Aristotle and several major schools of thought in China in some areas, such as the ethics and the education of Confucius, the natural philosophy of Laozi, the logic of Mo Zi and the political thought of Han Feizi. At the end, we try to conclude with the considerable influence of Aristotle in several areas in China. This study is based on a wide series of documents we have got through in France and in China
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2

Zhang, Yijing. « Traduire l’impensé, penser l’intraduisible. La première traduction chinoise des Catégories d’Aristote ». Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040119.

Texte intégral
Résumé :
Le traité des Catégories d’Aristote est l’une des premières œuvres de la philosophie occidentale traduite en chinois. Introduit par les jésuites en Chine au XVIIème siècle, sa traduction fut une confrontation entre la pensée gréco-chrétienne et la pensée chinoise. Elle nous renseigne sur le rapport entre la langue et la pensée. Le premier chapitre est un aperçu de l’environnement historico-culturel dans lequel cette traduction a été réalisée. Le deuxième chapitre présente notre méthode et nos outils de travail. Nous expliquons, dans le troisième chapitre, le titre de l’ouvrage en chinois : il est censé être la traduction du mot « logique », mais il est composé de mots qui renvoient à des doctrines philosophiques chinoises traitant de problèmes fondamentalement différents de ceux dont s’occupe la logique aristotélicienne. Les quatrième et cinquième chapitres constituent un commentaire de la traduction chinoise du premier chapitre du traité aristotélicien. Les différences linguistiques entre le chinois et les langues indo-européennes se révèlent tant sur le plan lexical que sur le plan grammatical. Nous terminons notre travail par une discussion sur la traduction du verbe « être ». Notre objet est de montrer que ce qui est perdu dans la traduction est moins le sens du mot « être » que sa syntaxe et le mode de pensée qui lui est lié. Étudier les intraduisibles en philosophie, c’est découvrir les différentes façons de thématiser et de problématiser, qui caractérisent chaque système de pensée. Cette étude de philosophie comparée gréco-chinoise espère contribuer à la réflexion sur la pluralité linguistique et culturelle
Aristotle’s Categories is one of the first Western philosophical texts translated into Chinese. Since Jesuit missionaries introduced scientific thoughts into China in the 17th century, Chinese literati have shown a strong interest in the demonstration method that was originated in Aristotelian logic. This dissertation presents a detailed study of the Chinese translation Ming li tan, with the aim of addressing several issues on the relationship between language and thought. Chapter 1 is an overview of the historical and cultural environment in which the translation took place. Chapter 2 presents our approach to comparative philosophy. Chapter 3 discusses the translation of the title “Ming li tan”. The term “ming li” is used as a translation of the word “logic”, but is actually composed of terms referring to Chinese philosophical doctrines which deal with problems fundamentally different from those of the Aristotelian logic. Chapters 4 and 5 provide a detailed commentary of the Chinese translation of the first chapter of Categories, focusing in particular on three notions: homonym, synonym and paronym. We conclude our work with a discussion on the translation of the verb “to be” and its derivatives (e.g., being, substance), and explain the reasoning behind its various Chinese renditions. Our central claim is that what is lost in translation is less the literal meaning of word “to be” than its syntax and the way of thinking underlying the use of this word. The focus on translation provides a unique approach to studying linguistic relativism and linguistic and cultural pluralism. A good understanding of these issues is crucial for improving the intercultural dialogue
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3

Yang, Jing. « Traductologie, linguistique,culture : recherches sur des perspectives interculturelles relatives à l'héritage de l'Europe et de la Chine ». Electronic Thesis or Diss., Limoges, 2015. http://www.theses.fr/2015LIMO0002.

Texte intégral
Résumé :
En partant d’une synthèse sur les relations entre l’évolution de langue, la culture et la traduction, la thèse vise à établir une recherche à propos des effets d’influence de la culture d’arrivée sur le choix des stratégies de traduction. Sélectionnés en vue d’une fonction contrastive, trois sujets d’échanges culturels sont discutés dans la thèse. Les études nominales et culturelles de style comparatif sur les trois sujets d’intérêt acheminent ultérieurement la thèse vers les analyses sur les méthodes de la traduction sous influences d’idéologie culturelle
Begin with a synthesis on the relations between the evolution of language, the culture and the translation, this thesis aims to establish a recherche regarding the effects of the target culture in influencing the choice of translation strategies. Selected for a contrastive purpose, three topics of cultural exchanges are discussed in the thesis. The nominal and cultural studies of the three topics from a comparative view then paved the path of the thesis towards the analysis with reference to the methods of translation under the influence of cultural ideology
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Zhu, Weijia. « La diffusion et l'influence de la philosophie d'Aristote en Chine à partir des dynasties Ming et Qing ». Thesis, Limoges, 2015. http://www.theses.fr/2015LIMO0014.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse porte sur la diffusion et l’influence des idées d’Aristote en Chine de la fin de la dynastie Ming jusqu’à la période contemporaine. Le but de cette recherche consiste à cerner les impacts interculturels et à favoriser la compréhension des dialogues et des échanges entre la culture d’origine européenne et chinoise. Il était important de découvrir la traduction des oeuvres et les recherches spécialisées concernant la philosophie d’Aristote en Chine. Il semblait aussi pertinent de se pencher sur l’étude comparative entre la philosophie d’Aristote et quelques courants de pensée principaux de la Chine dans certains domaines, comme l’éthique et l’éducation de Confucius, la philosophie naturelle de Lao zi, la logique de Mo zi et la pensée politique de Han Feizi. Et pour conclure, il fallait reconnaître les influences considérables d’Aristote dans ces domaines en Chine. Cette étude s’appuie sur une base documentaire large et variée que j’ai dépouillée en France et en Chine
This thesis focuses on the spread and the influence of Aristotle¡¯s ideas in China from the end of the Ming`s Dynasty to the contemporary period. The purpose of this research is to identify the interculturals impacts and to promote the understanding of the dialogues and the exchanges between European and Chinese native culture. It was of great importance to find out the translation of the works and also the specialized research on the philosophy of Aristotle in China. In addition, a comparative study on the philosophy of Aristotle and several major schools of thought in China in some areas, such as the ethics and the education of Confucius, the natural philosophy of Laozi, the logic of Mo Zi and the political thought of Han Feizi. At the end, we try to conclude with the considerable influence of Aristotle in several areas in China. This study is based on a wide series of documents we have got through in France and in China
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5

Yang, Jing. « Traductologie, linguistique,culture : recherches sur des perspectives interculturelles relatives à l'héritage de l'Europe et de la Chine ». Thesis, Limoges, 2015. http://www.theses.fr/2015LIMO0002/document.

Texte intégral
Résumé :
En partant d’une synthèse sur les relations entre l’évolution de langue, la culture et la traduction, la thèse vise à établir une recherche à propos des effets d’influence de la culture d’arrivée sur le choix des stratégies de traduction. Sélectionnés en vue d’une fonction contrastive, trois sujets d’échanges culturels sont discutés dans la thèse. Les études nominales et culturelles de style comparatif sur les trois sujets d’intérêt acheminent ultérieurement la thèse vers les analyses sur les méthodes de la traduction sous influences d’idéologie culturelle
Begin with a synthesis on the relations between the evolution of language, the culture and the translation, this thesis aims to establish a recherche regarding the effects of the target culture in influencing the choice of translation strategies. Selected for a contrastive purpose, three topics of cultural exchanges are discussed in the thesis. The nominal and cultural studies of the three topics from a comparative view then paved the path of the thesis towards the analysis with reference to the methods of translation under the influence of cultural ideology
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6

Dorion, Louis-André. « Les réfutations sophistiques d'Aristote : introduction, traduction et commentaire ». Paris 1, 1991. http://www.theses.fr/1991PA010535.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse sur les réfutations sophistiques d’Aristote comporte trois grandes parties : une introduction, une traduction et un commentaire. L'introduction se subdivise elle-même en deux: premièrement, nous retraçons l'évolution sémantique du terme elenchos ("réfutation"). Cette évolution est tout à fait remarquable puisque ce terme signifie, a l'origine, "honte". Nous tentons de montrer que la définition aristotélicienne de l'elenchos marque une rupture très nette avec la conception traditionnelle de l'elenchos qui a prévalu depuis Homère jusqu'à Platon inclusivement. La définition aristotélicienne, qui est purement logique, s'oppose en effet à la conception éthique de l'elenchos. Deuxièmement, nous proposons un expose d'ensemble des réfutations sophistiques, ou nous examinons en détail les principaux problèmes d'interprétation soulevés par cette œuvre. Notre traduction des réfutations sophistiques se démarque en plusieurs passages des deux seules autres traductions françaises de ce traite, soit celle de J. Barthelemy Saint-Hilaire (1843) et celle de J. Tricot (1939). Quant au commentaire, il est composé de 472 notes qui s'efforcent de conférer le maximum d'intelligibilité au texte, souvent difficile, d’Aristote. Ce commentaire vient combler un vide flagrant, puisque la dernière étude d'ensemble sur les réfutations sophistiques remonte à 1866
This thesis on the sophistical refutations of Aristotle is divided into three main sections: an introduction, a translation and a commentary. The introduction subdivides itself in two parts; in the first part we relate the semantic evolution of the term elenchus ("refutation"). This evolution is altogether remarkable as this word originally signifies "shame". We attempt to demonstrate that Aristotle’s' definition of elenchus is a radical break from the traditional conception that had prevailed from homer to Plato inclusively. Aristotle’s' definition, which is purely logical, is in fact opposed to an ethical conception of elenchus. Next we submit an overall view of the sophistical refutations and examine in detail the main interpretative problems that arise in this text. Our translation of the sophistical refutations differs in several places from the two other French translations of this essay, both the one by J. Barthelemy Saint-Hilaire (1843) and the one by J. Tricot (1939). The commentary is composed of 472 notes attempting to confer a maximum of clarity to this often difficult text by Aristotle. It fills a blatant void, since the last overall study of the sophistical refutations goes back to 1866
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Zhang, Yijing. « Traduire l’impensé, penser l’intraduisible. La première traduction chinoise des Catégories d’Aristote ». Thesis, Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040119.

Texte intégral
Résumé :
Le traité des Catégories d’Aristote est l’une des premières œuvres de la philosophie occidentale traduite en chinois. Introduit par les jésuites en Chine au XVIIème siècle, sa traduction fut une confrontation entre la pensée gréco-chrétienne et la pensée chinoise. Elle nous renseigne sur le rapport entre la langue et la pensée. Le premier chapitre est un aperçu de l’environnement historico-culturel dans lequel cette traduction a été réalisée. Le deuxième chapitre présente notre méthode et nos outils de travail. Nous expliquons, dans le troisième chapitre, le titre de l’ouvrage en chinois : il est censé être la traduction du mot « logique », mais il est composé de mots qui renvoient à des doctrines philosophiques chinoises traitant de problèmes fondamentalement différents de ceux dont s’occupe la logique aristotélicienne. Les quatrième et cinquième chapitres constituent un commentaire de la traduction chinoise du premier chapitre du traité aristotélicien. Les différences linguistiques entre le chinois et les langues indo-européennes se révèlent tant sur le plan lexical que sur le plan grammatical. Nous terminons notre travail par une discussion sur la traduction du verbe « être ». Notre objet est de montrer que ce qui est perdu dans la traduction est moins le sens du mot « être » que sa syntaxe et le mode de pensée qui lui est lié. Étudier les intraduisibles en philosophie, c’est découvrir les différentes façons de thématiser et de problématiser, qui caractérisent chaque système de pensée. Cette étude de philosophie comparée gréco-chinoise espère contribuer à la réflexion sur la pluralité linguistique et culturelle
Aristotle’s Categories is one of the first Western philosophical texts translated into Chinese. Since Jesuit missionaries introduced scientific thoughts into China in the 17th century, Chinese literati have shown a strong interest in the demonstration method that was originated in Aristotelian logic. This dissertation presents a detailed study of the Chinese translation Ming li tan, with the aim of addressing several issues on the relationship between language and thought. Chapter 1 is an overview of the historical and cultural environment in which the translation took place. Chapter 2 presents our approach to comparative philosophy. Chapter 3 discusses the translation of the title “Ming li tan”. The term “ming li” is used as a translation of the word “logic”, but is actually composed of terms referring to Chinese philosophical doctrines which deal with problems fundamentally different from those of the Aristotelian logic. Chapters 4 and 5 provide a detailed commentary of the Chinese translation of the first chapter of Categories, focusing in particular on three notions: homonym, synonym and paronym. We conclude our work with a discussion on the translation of the verb “to be” and its derivatives (e.g., being, substance), and explain the reasoning behind its various Chinese renditions. Our central claim is that what is lost in translation is less the literal meaning of word “to be” than its syntax and the way of thinking underlying the use of this word. The focus on translation provides a unique approach to studying linguistic relativism and linguistic and cultural pluralism. A good understanding of these issues is crucial for improving the intercultural dialogue
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Cherif, Zahar Farah. « Le traité d’Aristote sur l’éternité du mouvement. Traduction et commentaire de Physique VIII ». Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040186.

Texte intégral
Résumé :
La thèse consiste en une nouvelle traduction du livre VIII de la Physique d’Aristote, suivie d’un commentaire linéaire et problématisé du traité. Ce travail propose de repérer et d’analyser aussi bien les difficultés d’interprétation que les problèmes philosophiques internes au système aristotélicien en prenant appui sur les apports de la riche littérature secondaire et en se nourrissant de l’exégèse ancienne grecque et arabe. Il montre que le livre VIII est consacré de bout en bout à la question de l’éternité du mouvement et est susceptible de trois interprétations très différentes en fonction de la manière dont on identifie la nature de cette éternité. Après avoir présenté la première lecture, commune à la tradition néoplatonicienne (Philopon et Simplicius) et à la première réception arabe du traité (Fārābī, Ibn Bāǧǧa et le jeune Averroès), puis la seconde interprétation, propre à l’Averroès tardif, cette recherche met à distance ces deux interprétations historiques pour déployer une nouvelle lecture, « sous-déterminée », du traité, plus fidèle à sa lettre
The dissertation consists of a new translation of the eighth book of Aristotle’s Physics followed by a linear and analytical commentary of the treatise. Based on a study of the contemporary secondary literature and a close examination of the Greek and Arabic exegesis, the aim of this work is to identify and analyse the difficulties of interpretation as well as the philosophical problems that arise inside the Aristotelian system. It demonstrates that Book VIII is all the way long a study of the eternity of motion and gives rise to three very different interpretations according to the way one understands the nature of this eternity. After a presentation of the first reading of the treatise, common to the Neoplatonist tradition (Philoponus and Simplicius) and the first Arabic reception of the text (Fārābī, Ibn Bāǧǧa and the young Averroes), and of the second reading, specific to the late works of Averroes, this research distances itself from both historical interpretations and develops a new reading of the treatise closer to the Aristotelian text
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Aluze, Vincent. « Rhétorique et politique dans les "Librorum deperditorum Fragmenta" d'Aristote : avec présentation, édition, traduction, annotations et commentaire des fragments relatifs à la rhétorique, à l'éthique et à la politique ». Electronic Thesis or Diss., Aix-Marseille, 2016. http://www.theses.fr/2016AIXM3111.

Texte intégral
Résumé :
La thèse examine la relation de la rhétorique, de l’éthique et de la politique dans les fragments des œuvres perdues d’Aristote, et la recherche porte plus largement sur le lien de cette relation avec l’ensemble de la philosophie d’Aristote. Cette étude tente donc de savoir si Aristote, par opposition à ses prédécesseurs, est bien « l’inventeur » de la rhétorique – à laquelle il confère le rang de technique avec une méthode et un objet propres dans le traité éponyme – dès ses premières œuvres de jeunesse, ou bien si sa conception a évolué au cours du temps. Ce faisant et en considérant les aspects éthico-politiques des ces œuvres perdues, l’examen discute les grandes hypothèses interprétatives qui ont été proposées à ce sujet pour soutenir la thèse d’une cohérence de la pensée d’Aristote plutôt que celle d’une évolution. L’étude comporte deux grands moments. Le premier consiste en l’édition, la traduction parfois inédite en langue française, et l’annotation des fragments des Librorum deperditorum relatifs à la rhétorique et la politique, avec la présentation des apparats critiques correspondants. Le second se consacre à l’examen de la cohérence de la pensée aristotélicienne au moyen du commentaire des fragments et de leur comparaison aux œuvres des sophistes (Protagoras, Gorgias, Isocrate, Lycophron), de Platon (Gorgias, Phèdre) et des traités aristotéliciens. Pour ce faire, le travail propose une étude lexicale du vocabulaire employé par Aristote, une analyse philosophique de certains concepts importants (andreia, eleutheriotês, eugeneia, metron, orgê, phronêsis) justifiée par leur emploi dans les fragments et le reste du Corpus aristotelicum, et une exégèse d’ensemble
The thesis investigates the relationship between rhetoric, ethics and politics in the fragments of Aristotle’s lost works, and more globally its relation in Aristotle’s entire philosophy. This study intends to understand if Aristotle, in opposition to his predecessors, is the « inventor » of the rhetoric – to which he awards the value of technique with a proper methodology and object in the eponym treatise – from is early years works, or if his conception of it evolved in time. In doing so, and considering the ethico-political aspects of these lost works, the thesis discusses the main interpretative hypothesis that have been proposed on this subject in order to support the theory of Aristotle’s thought consistency, more than its evolution. The study stands in two main parts. The first one consists in the edition, the translation sometimes unprecedented in French language, and the annotation of Librorum deperditorum’s fragments related to rhetoric and politics, including the corresponding critical apparatus. The second inspects the consistency of Aristotle’s thought using the fragments’ comments and in comparison to the works of the sophists (Protagoras, Gorgias, Isocrates, Lycophron), of Plato (Gorgias, Phaedrus) and of the aristotelian treatises. To proceed, a lexical study of the vocabulary used by Aristotle, a philosophic analysis of a few main concepts (andreia, eleutheriotês, eugeneia, metron, orgê, phronêsis) justified by their presence in the fragments and the rest of the Corpus aristotelicum, and a comprehensive textual exegesis have been undertaken
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10

Colle, Philippe. « Traduction du De inventione dialectica de Rodolphe Agricola ». Electronic Thesis or Diss., Université Grenoble Alpes, 2020. http://www.theses.fr/2020GRALL027.

Texte intégral
Résumé :
Traduction du De l’Invention dialectique, de Rodolphe Agricola (1483) : première traduction intégrale en français. Le Moyen Age a surtout pratiqué la dialectique : art de l’emporter, dans un débat, sur l’adversaire. Pour Agricola, il s’agit aussi d’enseigner (docere) : développer un exposé devant un auditoire sans prévention, mais peu formé. Il cherche, auprès des auteurs et des maîtres de rhétorique de l’Antiquité, les moyens d’obtenir l’abondance nécessaire (copia). Le traité poursuit ces deux objectifs. La traduction essaie de rendre la différence de style qui résulte de ce double projet : plus rigoureux et dépouillé dans les chapitres centrés sur la dialectique ; plus fluide et imagé dans les passages où c’est la rhétorique qui domine
Translation of Rodolphe Agricola's De Inventione dialectica (1483). First full translation into French. The Middle Ages practised above all dialectic, i.e. the art of winning in a debate over an adversary. But for Agricola, it's also about teaching (docere), i.e. developing a presentation in front of an audience without prevention, but little initiated. Agricola seeks, from the authors and masters of the Antiquity, to obtain "abundance" (copia). These are the two goals of this treaty.The translation tries to make the difference in style associated with these two objectives : more rigorous in the dialectical chapters, but more fluid and imaged in passages where rhetoric dominates
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