Littérature scientifique sur le sujet « Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Philosophie de la nature »

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Thèses sur le sujet "Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Philosophie de la nature"

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Dos, Santos Nélio Gilberto. « Préservation et Usage. Le dualisme de la fin chez Aristote ». Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL142.

Texte intégral
Résumé :
Selon Aristote, la cause finale est double, suivant ce qu’il indique en cinq endroits stratégiques du corpus : à propos de la relation causale entre la finalité et la matière, dans Physique II ; par rapport à la finalité de la reproduction animale, dans De Anima II ; et un peu plus loin, dans cette même ouvrage, le dualisme est affirmé pour éclairer la manière dont l’âme est fin pour le corps ; dans l’Éthique à Eudème, où il s’agit de préciser la façon dont le dieu est fin pour la sagesse pratique ; enfin, concernant la causalité téléologique du Premier Moteur, dans Métaphysique Λ. Ce dualisme téléologique, formulé dans les occurrences du De Anima II à travers l’expression technique τὸ οὗ et τὸ ᾧ, ayant été développée dans une étude qui ne nous est pas parvenue, est fréquemment comprise en fonction de la finalité de la production technique et traduite par « le but visé » et « le bénéficiaire ». Toutefois, cette tentative d’éclaircir cette expression laconique pose des problèmes assez importants, dont celui de sa pertinence pour l’approche des phénomènes naturels qu’elle est censée expliquer. Cette étude cherche à restituer ce dualisme de la fin au centre de la compréhension aristotélicienne de la téléologie. L’examen des occurrences, ainsi que l’étude des thèmes majeurs de la finalité dans la philosophie de la nature d’Aristote, nous conduisent à mettre en avant deux notions qui permettent expliciter ce à quoi fait référence le dualisme téléologique : la notion d’usage, χρῆσις, et celle de préservation, σωτηρία
According to Aristotle, the final cause is twofold, as it indicates in five strategic places of the corpus: concerning the causal relation between finality and matter, in Physics II; with respect to the purpose of animal reproduction, in De Anima II; and a little further on, in this same work, this dualism is affirmed to enlighten the way in which the soul is end for the body; in Eudemian Ethics, where is it to specify the way in which the god is an end for practical wisdom; finally, concerning the teleological causality of the Prime Mover, in Metaphysics Λ. This teleological dualism, formulated in the occurrences of De Anima II through the technical expression τὸ οὗ and τὸ ᾧ, having been developed in a study that has not survived to our times, is frequently understood in terms of purpose in technical production and translated by "purpose" and "beneficiary". However, this attempt to clarify this laconic expression raises quite significant problems, including that of its relevance for the approach of the natural phenomena that it is supposed to explain. This study attempts to restore this dualism of the end at the centre of Aristotelian understanding of teleology. The examination of occurrences, as well as the study of the major themes of finality in Aristotle's philosophy of nature, lead us to put forward two notions that make explicit what the teleological dualism refers to: the notion of usage, χρῆσις, and that of preservation, σωτηρία
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2

Gautier, Timothée. « Législation et éducation dans la politique d' Aristote ». Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2022. http://www.theses.fr/2022PA01H214.

Texte intégral
Résumé :
Dans les premières lignes du livre VIII de la Politique, Aristote affirme : « Que donc le législateur doive s’occuper avant tout de l’éducation des jeunes gens, nul ne saurait le contester. Et, en effet, dans les cités où ce n’est pas le cas, cela est dommageable à la constitution. » Pour Aristote le rôle fondamental et premier du législateur est donc de conduire les membres de la cité dont ils ont la charge à la vertu en garantissant par là-même sa stabilité, sa pérennité et sa justice. C’est sur cette fonction pédagogique de l’homme politique que porte le présent travail, qui tâche de mettre au jour « le cercle de l’action politique » par lequel la bonne éducation produit de bons gouvernants qui, en retour, établissent un système politique et pédagogique favorisant la diffusion de la vertu dans la cité. L’enjeu principal de la réflexion est de déterminer les finalités de l’action du véritable politique et les modalités privilégiées de son intervention dans la cité afin de comprendre comment, pour Aristote, un homme devient vertueux. Notre intuition est la suivante : la perspective pédagogique que l’on peut porter sur l’œuvre politique d’Aristote, du point de vue du nomothète, permet d’en comprendre la cohérence et, si ce n’est dissiper, au moins éclairer un certain nombre des difficultés traditionnelles que rencontre l’exégèse. Cette intuition se déploie à travers trois axes principaux portant sur la nature et le sens du projet politique et philosophique d’Aristote, la finalité de l’éducation et les moyens et les modalités d’une paideia véritable
In the first lines of Book VIII of the Politics, Aristotle affirms: “That therefore the legislator should above all be concerned with the education of young people, no one can dispute it. And, indeed, in cities where this is not the case, it is damaging to the constitution.” For Aristotle, the fundamental and primary role of the legislator is to lead the members of the city for which they are responsible to virtue by thereby guaranteeing its stability, its durability and its justice. It is on this pedagogical function of the politician that the present work focuses, which tries to bring to light "the circle of political action" by which good education produces good rulers who, in return, establish a political and pedagogical system favoring the diffusion of virtue in the city. The main challenge of the reflection is to determine the purposes of the action of the true politician and the privileged modalities of his intervention in the city in order to understand how, for Aristotle, a man becomes virtuous. Our intuition is as follows: the pedagogical perspective that can be brought to bear on the political work of Aristotle, from the point of view of the nomothete, makes it possible to understand its coherence and, if not to dissipate, at least to enlighten a certain number of the traditional difficulties encountered by exegesis. This intuition unfolds through three main axes relating to the nature and meaning of Aristotle's political and philosophical project, the purpose of education and the means and modalities of a true paideia
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3

Torrente, Luca. « Génération, nature et individuation chez Aristote ». Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2022. https://accesdistant.sorbonne-universite.fr/login?url=https://theses-intra.sorbonne-universite.fr/2022SORUL015.pdf.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse se propose d’examiner le problème de l’individuation chez Aristote à partir d’une étude sur la génération des êtres vivants. Ce choix a permis d’aborder un problème controversé selon une perspective quasiment inédite. La première partie de la thèse est une analyse de la génération des substances physiques dans le corpus aristotélicien. Ce chapitre vise à mettre en évidence les caractères propres de la génération absolue des substances par rapport aux autres types de devenir. La deuxième partie étudie l’embryogenèse des vivants dans une perspective qui cherche à intégrer le modèle hylémorphique dans un autre modèle, plus complexe et exhaustif, qui est celui du développement dynamique. Dans la troisième partie, c’est le problème de l’individuation qui est visé. On achève l’analyse de la génération animale jusqu’à sa fin : le développement des caractères héréditaires et particuliers de chaque individu. Les deux thèses les plus connues – l’identification du principe d’individuation avec la matière ou la forme – sont discutées et critiquées. On propose enfin une solution qui établit trois causes particulières capables d’expliquer la génération d’un individu en tant qu’individu, en s’appuyant sur un passage de Métaphysique Λ 5. La quatrième partie prend en compte la spécificité de l’être humain dans la question de l’individuation. Il est question de l’individualisation de l’homme, c’est-à-dire du processus par lequel un certain individu cherche à se constituer comme sujet agent et personne morale autonome à l’intérieur d’une communauté donnée
My thesis proposes to examine the problem of individuation in Aristotle’s philosophy from a study on the generation of living beings. This choice has made possible to approach a controversial problem from an almost unprecedented perspective. The first part of the thesis is an analysis of the generation of physical substances in the Aristotelian corpus. This chapter aims to highlight the specific characteristics of the absolute generation of substances in relation to other types of becoming. The second part studies the embryogenesis of the living beings from a perspective that seeks to integrate the hylomorphic model into another, more complex and exhaustive model, which is that of dynamic development. In the third part, the problem of individuation is addressed. We complete the analysis of the animal generation to its end: the development of the hereditary and particular characteristics of each individual. The two best-known theses – the identification of the principle of individuation with matter or form – are discussed and criticized. Finally, a solution is proposed that establishes three particular causes capable of explaining the generation of an individual as an individual, based on a passage from Metaphysics Λ 5. The fourth part considers the specificity of the human being in the question of individuation. It is a question of the individualization of man, the process by which a certain individual seeks to constitute himself as an agent subject and autonomous legal person within a given community
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4

Vanandruel, Jean-Pierre. « L'analyse du mouvement dans les traités de philosophie de la nature et dans les traités métaphysiques d'Aristote ». Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2019. http://www.theses.fr/2019PA01H230.

Texte intégral
Résumé :
Les traités des Métaphysiques d’Aristote contiennent des analyses du mouvement. Ce travail cherche à déterminer la raison de leur présence dans ces textes, ainsi que le point de vue propre – différent de celui des études physiques – sous lequel Aristote y étudie ce que sont les causes et les principes des mouvements naturels. Une étude des opinions antérieures et de la construction des apories corrélatives, montre qu’Aristote situe les recherches des Métaphysiques en continuité avec celles des autres philosophes : il s’agit de concevoir ce que sont les premiers principes de toutes choses, ou de tous les étants, mieux que ne l’on fait les physiciens et les platoniciens. Or, puisqu’il reproche aux principes de ses prédécesseurs d’être incapables d’expliquer les mouvements naturels, on peut en conclure que les solutions conçues par Aristote fournissent des principes premiers aptes à rendre compte de ces mouvements. La sagesse et la science première des Métaphysiques est donc, pensons-nous, cette recherche des premiers principes et des premières causes ; cette science est une science de la substance et elle se distingue ainsi de la science physique, en établissant que les substances sont les premiers principes de toutes choses, et cela en trois sens différents : (1) les substances sont principes de toutes choses, puisque sans elles, il n’y a aucun autre étant, ni aucun mouvement ; (2) la forme est substance première, principe des substances composées ; et elle est, avec la matière, un principe inengendré pour leurs générations et leurs mouvements ; (3) il y a des substances antérieures aux substances naturelles : les moteurs ordonnés des mouvements des sphères célestes
Aristotle's Metaphysics contains analyses of movement. The present thesis seeks to determine the reasons for their presence in these texts, and the point of view - different from that of physics - under which Aristotle studies what the causes and principles of natural movements are. A study of previous opinions and the construction of correlative aporias shows that Aristotle situates the inquiry of the Metaphysics in continuity with those of other philosophers: the aim is to conceive what the first principles of all things, or of all beings, are, in a way that improves on the Physicists and the Platonists. Now, since he criticises his predecessors’ principles on the ground that they are incapable of explaining natural movements, we can conclude that the solutions conceived by Aristotle do provide first principles capable of accounting for natural movements. The wisdom and the first science of the Metaphysics is, in my view, this search for the first principles and the first causes. This science is the science of substance, and so is distinguished from physical science, in that it establishes that substances are the first principles of all things, and this in three different senses: (1) substances are principles of all things, since without them there can be no other beings and no movement; (2) the form is first substance and principle of compound substances; and, with matter, it is an ungenerated principle for their generations and their movements; (3) there are substances that are prior to natural substances: the ordered movers of the movements of the celestial spheres
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5

Fiat, Éric. « L'oubli de la phusis : du recouvrement par la modernité de la conception aristotélicienne de la nature ». Marne-la-Vallée, 2002. http://www.theses.fr/2001MARN0114.

Texte intégral
Résumé :
La pensée d'Aristote eut dans l'histoire de la philosophie un destin singulier : tantôt en pleine lumière, tantôt rejetée dans l'ombre, au point qu'il peut sembler que l'humanité occidentale passa son temps et à oublier, et à redécouvrir Aristote. Cette pensée, nous avons cru pouvoir la désigner par un mot : phusis. Par ce mot, nous entendons désigner : une réalité ontologique ; le discours qui la décrit ; le rôle qu'elle joue en métaphysique et en éthique. Après avoir dit ce qu'il en était de la phusis, nous nous sommes demandés s'il n'y avait pas un oubli aristotelicien de la phusis : il ne nous a pas semblé. Malgrè la radicalité de sa signification, la révélation chrétienne elle-même n'a pas occulté le meilleur de la conception aristotelicienne de la nature : << Platon, pour disposer au christianisme >> a bien des égards l'hylemorphisme eut pourtant mieux disposé à l'accueil de l'incarnation. La pensée moderne en revanche n'a-t-elle pas eu pour fondement le rejet de la philosophie de la nature d'Aristote ? Ce rejet fut-il oubli, occultation, ou oubli de son oubli ? Ce qui fut rejeté n'était-il pas destiné à faire retour ? De cet oubli et de ses métamorphoses, nous avons trouvé témoignage d'abord dans l'oeuvre de Descartes (ou pourtant quelque chose de l'éthique et de l'hylemorphisme aristoteliciens revint) ; ensuite dans la pensée pascalienne de l'infini et du néant ; enfin chez Kant, accomplissant en morale le geste que Descartes n'osa faire. De cet oubli et de ses conséquences, nous avons trouvé traces dans le statut que donne à la technique notre époque, pensée comme modernité tardive, ou les enfants ne sont plus attendus, mais faits, les porcs non plus élèvés, mais produits : mort de la phusis. Hégéliens qui considérons l'aristotelisme comme une exigence permanente de la pensée, nous avons cependant cherché les germes possibles d'une résurrection de la phusis. Ce travail sur l'oubli de la phusis fut une discussion permanente avec la théorie heideggerienne de l'histoire de la philosophie comme histoire de l'oubli de l'être. Il n'invite pas à un retour à Aristote, mais veut rappeler la profondeur latente et les promesses de fécondite de la phusis.
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Chacón, Leiva Natalia. « Βίος et ζωή chez Aristote : qu’est-ce que la vie pour un biologiste ? » Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2014. http://www.theses.fr/2014PA080042.

Texte intégral
Résumé :
Le présent travail s’inscrit dans une démarche de reconstitution de la notion de vie au sein de la pensée antique. Il s’agit de rétablir son sens au coeur de la langue et de la culture grecque, et particulièrement, à l’intérieur de la philosophie et de la pensée aristotélicienne. L’étude s’organise autour de deux termes fondamentaux et propres à la langue grecque, à savoir les mots βίος et ζωή. La première partie s’attache à dégager la forme et le sens «original» des mots, et étudie les facteurs linguistiques et culturels intervenant dans la formation et l’évolution de la forme et du sens des mots en question. Les mots βίος et ζωή se présentent donc comme les éléments structurants de cette étude. La reconstitution du contexte historico-linguistique des mots conduit à la deuxième partie de ce travail, où sont analysés le travail de poètes tels Homère et Hésiode, ainsi que des premiers philosophes, usuellement nommés présocratiques. Dans cette partie du travail de recherche, la notion de vie est dégagée de l’enquête naturelle menée par les premiers penseurs, ainsi que des images fournies par la tradition poétique. Après avoir replacé la notion de vie au sein de son contexte historico-culturel et linguistique, on entame l’étude de la pensée aristotélicienne sur la vie. L’interrogation de départ tient au fait de déterminer si la notion de «vie» chez Aristote passe nécessairement et uniquement par l’étude des êtres vivants et de l’âme, ou si elle dépasse la finalité biologique pour embrasser autres domaines de sa philosophie. Cette partie vise une approche intégrationniste et dynamique de la vie à l’intérieur de la pensée aristotélicienne. La reconstitution de la notion de vie chez Aristote amène à une réflexion sur son lien avec l’enquête naturelle menée par les premiers penseurs. En dernier ressort, l’hétérogénéité de cette étude permet de voir de quelle façon Aristote, certes pionnier dans les recherches sur la vie, conserve pourtant toujours une structure de pensée propre à la Grèce antique : Aristote élabore sa pensée à partir et à l’intérieur de son temps et de la tradition qui lui précède
The reconstitution of the notion of life within the ancient philosophy is the principal idea of the present study. The aim is to re-establish the conception of this notion within the Greek language and culture, especially within the knowledge of early philosophers and the philosophy of Aristotle. The arrangement of this contribution is based on the meaning and relation of the words βίος and ζωή, two fundamental terms, exclusive to the Greek language. The first part of the study shed new light on the formal constitution and «original» meaning of these words. In particular the linguistic and cultural factors which converge in their formation and evolution are investigated in detail. The reconstruction of the historical and linguistic context of the words βίος and ζωή gives rise to the second part of the study by the means of reconstructing the notion of life within the poetical tradition and investigation of nature, conducted by the early philosophers. The third part of the study approaches the notion of life in the philosophy of Aristotle from the principle question at issue: whether the idea of life is reduced to the investigation of living organisms and his theory of soul or if it exceeds the biologic purpose to encompass other categories of his philosophy. This analysis of the notion of life within the philosophy of Aristotle is conducted by an integrating and dynamic perspective. The reconstitution of the notion of life in the work of Aristotle leads to a reflection about the closeness of his ideas to anterior investigations of natural objects and processes done by the early philosophers. Apart from being a pioneer in the investigation of life, he is also tributary to a particular kind of thinking in ancient Greece. Aristotle’s way of thinking, although far-reaching, is based within his period and preceding traditions
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Cherif, Zahar Farah. « Le traité d’Aristote sur l’éternité du mouvement. Traduction et commentaire de Physique VIII ». Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040186.

Texte intégral
Résumé :
La thèse consiste en une nouvelle traduction du livre VIII de la Physique d’Aristote, suivie d’un commentaire linéaire et problématisé du traité. Ce travail propose de repérer et d’analyser aussi bien les difficultés d’interprétation que les problèmes philosophiques internes au système aristotélicien en prenant appui sur les apports de la riche littérature secondaire et en se nourrissant de l’exégèse ancienne grecque et arabe. Il montre que le livre VIII est consacré de bout en bout à la question de l’éternité du mouvement et est susceptible de trois interprétations très différentes en fonction de la manière dont on identifie la nature de cette éternité. Après avoir présenté la première lecture, commune à la tradition néoplatonicienne (Philopon et Simplicius) et à la première réception arabe du traité (Fārābī, Ibn Bāǧǧa et le jeune Averroès), puis la seconde interprétation, propre à l’Averroès tardif, cette recherche met à distance ces deux interprétations historiques pour déployer une nouvelle lecture, « sous-déterminée », du traité, plus fidèle à sa lettre
The dissertation consists of a new translation of the eighth book of Aristotle’s Physics followed by a linear and analytical commentary of the treatise. Based on a study of the contemporary secondary literature and a close examination of the Greek and Arabic exegesis, the aim of this work is to identify and analyse the difficulties of interpretation as well as the philosophical problems that arise inside the Aristotelian system. It demonstrates that Book VIII is all the way long a study of the eternity of motion and gives rise to three very different interpretations according to the way one understands the nature of this eternity. After a presentation of the first reading of the treatise, common to the Neoplatonist tradition (Philoponus and Simplicius) and the first Arabic reception of the text (Fārābī, Ibn Bāǧǧa and the young Averroes), and of the second reading, specific to the late works of Averroes, this research distances itself from both historical interpretations and develops a new reading of the treatise closer to the Aristotelian text
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Dos, Santos Nélio Gilberto. « Préservation et Usage. Le dualisme de la fin chez Aristote ». Thesis, Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL142.

Texte intégral
Résumé :
Selon Aristote, la cause finale est double, suivant ce qu’il indique en cinq endroits stratégiques du corpus : à propos de la relation causale entre la finalité et la matière, dans Physique II ; par rapport à la finalité de la reproduction animale, dans De Anima II ; et un peu plus loin, dans cette même ouvrage, le dualisme est affirmé pour éclairer la manière dont l’âme est fin pour le corps ; dans l’Éthique à Eudème, où il s’agit de préciser la façon dont le dieu est fin pour la sagesse pratique ; enfin, concernant la causalité téléologique du Premier Moteur, dans Métaphysique Λ. Ce dualisme téléologique, formulé dans les occurrences du De Anima II à travers l’expression technique τὸ οὗ et τὸ ᾧ, ayant été développée dans une étude qui ne nous est pas parvenue, est fréquemment comprise en fonction de la finalité de la production technique et traduite par « le but visé » et « le bénéficiaire ». Toutefois, cette tentative d’éclaircir cette expression laconique pose des problèmes assez importants, dont celui de sa pertinence pour l’approche des phénomènes naturels qu’elle est censée expliquer. Cette étude cherche à restituer ce dualisme de la fin au centre de la compréhension aristotélicienne de la téléologie. L’examen des occurrences, ainsi que l’étude des thèmes majeurs de la finalité dans la philosophie de la nature d’Aristote, nous conduisent à mettre en avant deux notions qui permettent expliciter ce à quoi fait référence le dualisme téléologique : la notion d’usage, χρῆσις, et celle de préservation, σωτηρία
According to Aristotle, the final cause is twofold, as it indicates in five strategic places of the corpus: concerning the causal relation between finality and matter, in Physics II; with respect to the purpose of animal reproduction, in De Anima II; and a little further on, in this same work, this dualism is affirmed to enlighten the way in which the soul is end for the body; in Eudemian Ethics, where is it to specify the way in which the god is an end for practical wisdom; finally, concerning the teleological causality of the Prime Mover, in Metaphysics Λ. This teleological dualism, formulated in the occurrences of De Anima II through the technical expression τὸ οὗ and τὸ ᾧ, having been developed in a study that has not survived to our times, is frequently understood in terms of purpose in technical production and translated by "purpose" and "beneficiary". However, this attempt to clarify this laconic expression raises quite significant problems, including that of its relevance for the approach of the natural phenomena that it is supposed to explain. This study attempts to restore this dualism of the end at the centre of Aristotelian understanding of teleology. The examination of occurrences, as well as the study of the major themes of finality in Aristotle's philosophy of nature, lead us to put forward two notions that make explicit what the teleological dualism refers to: the notion of usage, χρῆσις, and that of preservation, σωτηρία
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Doumic, Jacques. « La substance sensible : unicité de la forme substantielle et position de la substance. Essai de philosophie de la nature ». Electronic Thesis or Diss., Université de Lorraine, 2023. https://docnum.univ-lorraine.fr/ulprive/DDOC_T_2023_0121_DOUMIC.pdf.

Texte intégral
Résumé :
La notion de substance emporte avec elle divers traits connus : c’est le sous-jacent aux changements de faible ampleur ; c’est le sujet existant en lui-même et capable d’accueillir des accidents ; c’est l’individu par excellence. Non sans vigoureuse simplification, on peut faire remonter ce modèle sommaire à Aristote et Thomas d’Aquin, et en déduire diverses conséquences : omniprésence (tout est substance, partie de substance, ou accident rattaché à une substance) ; unicité de la forme substantielle (un ensemble de substances ou une partie de substance ne sont pas des substances) ; univocité (la notion de substance n’est pas susceptible de plus et de moins).Une belle vivacité éditoriale témoigne que les travaux de conceptualisation relatifs à la substance se poursuivent, avec de fréquentes références à des auteurs anciens et notamment à Aristote. Une cartographie orientée des travaux notamment contemporains, constitue en soi un important travail de synthèse philosophique, et l’un des objectifs de la présente thèse. En pratique, vu l’ampleur de ce que l’on peut tirer du corpus aristotélicien et de ses exégèses, une partie très importante du mémoire sera consacrée à l’approche aristotélicienne de la substance (plus de 400 pages). Cette approche sera complétée, de manière plus succincte, par les apports propres de l’école thomiste : notion de création (qui, par contraposition, éclaire celle de changement), doctrine de l’analogie, distinction réelle de l’essence et de l’esse et identification de la substance à travers une relation.particulière de l’essence et de l’esse.Cette synthèse orientée sur la nature de la substance ne constituera toutefois qu’un objectif auxiliaire. Notre ambition consistera principalement à explorer un problème aussi ancien mais plus rarement étudié, du moins sous la forme brutale que nous lui avons donnée. Les conceptions de la substance, telles qu’esquissées ci-dessus, sont très générales. Résistent-elles à une confrontation à la réalité sensible ? Tel pan de la réalité concrète (nuage, goutte d’eau, océan, cellule, animal…) est-il ou n’est-il pas une substance ? Et si ce n’est pas une substance, de quelle substance dépend-il, de quelle substance est-il une partie ou un accident ?En faisant porter ainsi notre effort sur la position de la substance, nous pensons indiquer l’extrême tension inhérente à la notion même de substance, au moins dans son modèle sommaire. Cette tension se retrouve avec toute sa force dans la difficulté à concilier l’unicité de la forme substantielle, son univocité et son omniprésence, et ce particulièrement lorsque l’on se confronte au réel concret, et à la hiérarchie quotidienne des êtres qui nous entourent. Notre objectif final sera d’explorer une voie d’apaisement. Moyennant enrichissement et dépassement de ce modèle sommaire, peut-on dégager une notion de substance susceptible d’une prédication en un sens univoque, en un sens analogique, et à même d’aborder la question de la position de manière opératoire ? Notre réponse, bien qu’encore incomplète, sera largement positive, mais nécessitera des explicitations nouvelles, d’origine épistémologique, en particulier pour souligner l’existence objective et mathématisable d’une causalité du tout sur ses parties, en lien avec la question (souvent jugée aporétique) de l’émergence à laquelle nous proposons une solution
The idea of substance is associated to various well-known features: it is the underlying of small-scale changes; it is the subject existing in itself and able to host accidents; it is the individual of choice. Against the price of a vigorous simplification, one can trace this basic model back to Aristotle and Aquinas, and deduce various consequences from it: omnipresence (everything is substance, part of substance, or accident attached to a substance); uniqueness of the substantial form (a set of substances or a part of substance are not substances); univocity (the notion of substance is not susceptible of more and less).A beautiful editorial vivacity can testify that the conceptualization works relating to the substance goes on, with frequent references to ancient authors and in particular to Aristotle. In itself, an oriented cartography of works, especially contemporary ones, constitutes an important task of philosophical synthesis, and one of the objectives of the present thesis. In practice, given the extent of what can be drawn from the Aristotelian corpus and its exegeses, a very important part of the thesis will be devoted to the Aristotelian approach to substance (more than 400 pages). This approach will be completed, in a more succinct way, by the contributions of the Thomistic school : the notion of creation (which, by contraposition, sheds light on the notion of change), the doctrine of analogy, the real distinction between essence and esse and the identification of substance through a particular relation between essence and esse
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Vernier, Jean-Marie, et Albert le Grand. « Le Livre sur la nature et l'origine de l'âme d'Albert le Grand : introduction, traduction et notes, suivies de notes complémentaires et de traduction de lieux parallèles pris des Commentaires d'Albert sur la Métaphysique, Le traité de l'âme et la Physique d'Aristote ». Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040230.

Texte intégral
Résumé :
Le livre sur la nature et l'origine de l'âme de Saint-Albert le Grand. Introduction, traduction et notes, suivies de notes complémentaires et de la traduction de lieux parallèles pris des Commentaires d'Albert sur la Métaphysique, le Traite de l'âme et la Physique d'Aristote. Époque concernée : XIIIème siècle. Genre de l’œuvre : traite de philosophie naturelle (au sens aristotélicien). Auteur :Albert le Grand (dominicain et évêque du XIIIème siècle, docteur de l'église). Langue : latin médiéval. Thèmes étudiés : traité I : La causalité de l'intellect sur la nature; l'être et le devenir naturels (diversité des formes, inchoation des Formes, éduction des formes de la matière); la génération et la nature de l'âme végétative, sensitive et rationnelle; les puissances cognitives (intellect possible, intellect agent) et motrices de l'âme rationnelle. Traite II : la séparation et l'immortalité personnelle de l'âme, l'état et le lieu de l'âme séparée selon les philosophes, l'état de l'âme après la mort. Sources principales rencontrées : Platon (Timee, Phèdre), Aristote (Traite de l'âme, Métaphysique, Physique), Macrobe (Sur le songe de Scipion), Calcidius (commentaire sur le Timee), pseudo-denys L'aréopagite (traite des noms divins), Liber de causis, Avicenne (livre sur l'âme), Averroes (grand Commentaire sur le traité de l'âme). Cette thèse manifeste, au terme de l'introduction, l'influence de cette oeuvre sur Dante (banquet), Berthold de Moosburg (Commentaire sur les éléments de théologie de Proclus), Guillaume de Vaurouillon (Livre sur l'âme), Marsile Ficin (Théologie platonicienne de l'immortalité des âmes)
The Albert the Great's book on nature and origin of the soul: introduction, translation and footnotes, followed by complementary notes and translation of paralell texts taken from Albert the Great's commentaries on Aristotle's Metaphysics, Treatise on the soul and Physics. Age : XIIIth century. Type : Treatise of natural philosophy (in an Aristotelian meaning). Author : Albert the Great (dominican and bishop, Doctor of the Church). Language : medieval latin. Themes : First Treatise : The Intellect's causality on the Nature, the natural being and gradual change; the generation and nature of the vegetative, sensitive and rational soul; the cognitive and motor faculties of the rational soul. Second Treatise : the separation and personal immortality of the soul, the state and the place of the separated soul according to the philosophers, the state of the soul after the death. Main authorities : Plato, Aristotle, Macrobius, Calcidius, Pseudo-Dionysius, Liber De Causis, Avicenna, Averrois. The introduction of this doctoral thesis shows the influence of this Albert's book on Dante (Convivio), Berthold von Moosburg, Guillaume de Vaurouillon, Marsile Ficin
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