Littérature scientifique sur le sujet « Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Pensée politique et sociale »

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Thèses sur le sujet "Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Pensée politique et sociale"

1

Cordell, Paris Crystal. « La science politique d'Aristote : la cité et son régime ». Paris, EHESS, 2009. http://www.theses.fr/2009EHES0021.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse porte sur la science politique d'Aristote. Dans la Première partie, il s'agit de considérer la relation entre la science politique moderne et la science politique aristotélicienne. Cette partie comporte trois développements: une comparaison entre la conception ancienne de l'animal politique et la conception moderne de l'individu à partir d'un état de nature pré-politique; un examen du rejet moderne de la téléologie aristotélicienne; et une analyse des usages contemporains de la science politique d'Aristote. La Deuxième partie est consacrée à une interprétation de la pensée politique d'Aristote et, notamment, de la science aristotélicienne du régime politique, science qui est examinée à partir des notions de communauté (koinônia), de gouvernement politique (archè politikè) et de prudence (phronèsis). Ces notions permettent de comprendre des analyses clés concernant la nature politique de l'homme; le régime le meilleur; et le statut de la science pratique et politique
This doctoral thesis is an examination of Aristotle's political science. In the first part, the relation between modern political science and Aristotelian political science will be considered. This part includes three lines of argument: a comparison between the ancient conception of the political animal and the modern conception of the individual, originating in a pre-political state of nature; an examination of the modern rejection of Aristotelian teleology; and an analysis of contemporary uses of Aristotle's political science. The second part is devoted to an interpretation of Aristotle's political thought, and to the Aristotelian science of the political regime, in particular. This science is examined through the notions of community (koinônia), political rule (archè politikè), and prudence (phronèsis). These notions will enable us to elucidate crucial analyses concerning the political nature of man; the best regime; and the status of practical and political science
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2

Tchana, Jules. « Pouvoir et autorité : regard aristotélicien sur les rapports entre les sciences politiques (politologie) et la philosophie politique ». Paris 1, 1998. http://www.theses.fr/1998PA010687.

Texte intégral
Résumé :
Le gouvernement des hommes, a quelque niveau que ce soit, s'improvise-t-il ? aussi invraisemblable qu'on puisse le constater, la politique semble a portee de la main de tout premier venu. Autant les hommes se preparent dans les ecoles specialisees avant de s'engager dans la vie professionnelle, autant tout laisse penser que le gouvernement des hommes ne necessite aucune formation particuliere. Pour ameliorer les hommes, qu'ils soient nombreux ou peu nombreux, et organiser leur vie en communaute, il faut, comme en medecine et dans les autres domaines que requierent soin et prudence ; etre connaisseur et bien forme, preconise aristote. Les traites ethiques et politiques du stagirite sont un enseignement qu'il adresse, en tant que philosophe, aux hommes politiques, soutient bodeus, pour leur formation. Il devoile a ceux-ci la verite sur le bien humain, veritable et sur la nature de l'homme, et il les aide a acquerir l'excellence (vertu) politique ou la disposition pratique qui les rendra capables d'organiser la cite en formulant des lois justes qui concourent a la perfection du devenir humain et a la vie heureuse. L'experience des choses de la vie, l'aptitude critique, une moralite eprouvee et une excellente education sont des prealables requis pour suivre avec profit une formation philosophique politique. Le jeune homme, inexperimente, sans education accompli et enclin a suivre ses passions en est incapable, d'autant plus que le but de celle-ci n'est pas la connaissance mais l'action. Contrairement a platon qui souhaite que le philosophe devienne roi, aristote pense que le role du philosophe est de former les gouvernants pour qu'ils organisent les conditions du + bien-vivre ; commun, contribuent a la perfection des hommes et ordonnent leurs concitoyens a la vie heureuse. Tels sont les trois axes sur lesquels s'articule la reflexion ethico-politique du stagirite : les conditions du + bien-vivre ; politique ou l'instauration de la constitution excellente ; le perfectionnement du devenir humain ou la question de l'education ; enfin la vie heureuse ou la determination du principe de finalite de la vie humaine. Ces trois axes correspondent aux trois parties de notre etude : la politologie (ou sciences politiques), l'education et la philosophie politique. L'homme et la constitution excellente sont l'objet de la philosophie pratique aristotelicienne. Apres avoir defi
Does the government of men at whatever level improvise itself? as unlikely for one to note, politics seems to be easily within the grasp of anyone. There are as much of those who prepare themselves in specialized schools before becoming engaged in the professional life as those who think that governing does not need any particular formation. Aristotle recommends the importance of having one who is knowledgeable and well-formed. . . Like in medicine, who is attentive and prudent in various domains in order to improve the situation of men, whether they be numerous or few, and to organize community life. Bodeus maintains that the treatises on ethics and politics of the stagirite are lessons of a philosopher intended for the formation of political men. He uncovers the truth on what is the true human good and the nature of man. He helps them to acquire political excellence (virtue) - that practical disposition rendering one capable of organizing the city throught the formulation of just laws for the perfecting of man's becoming and for the happy life. Experience, a critical aptitude, proven morality, and an excellent education are the prerequisites in order for one to profit well from a philosophical political formation. An inexperienced young man, lacking in education and subject to his passions would be incapable of this formation for his end is in action rather than in knowledge. Unlike plato who wanted that the philosopher become king, aristotle thought that the role of philosopher was to form those who would govern so that they might know how to organize the conditions for the common +good living;, contribute towards the perfecting of man, and ordaining the citizens to a happy life. Such are the three main thrusts of the stagirite's ethi co-political reflection : the conditions of a political +good living)) or the establishment of the excellent constitution; the perfecting of human becoming or the question of education; and finally, the happy life or the determination of the principle of finality of human life. These three points correspond with the three parts of our study : politology (political sciences), education and philosophical politics. The objects of the aristotelean political philosophy are man and the excellent constitution. Having defined in his politics that happiness is an activity of the soul conform with perfect virtue, aristotle then examines
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3

Gautier, Timothée. « Législation et éducation dans la politique d' Aristote ». Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2022. http://www.theses.fr/2022PA01H214.

Texte intégral
Résumé :
Dans les premières lignes du livre VIII de la Politique, Aristote affirme : « Que donc le législateur doive s’occuper avant tout de l’éducation des jeunes gens, nul ne saurait le contester. Et, en effet, dans les cités où ce n’est pas le cas, cela est dommageable à la constitution. » Pour Aristote le rôle fondamental et premier du législateur est donc de conduire les membres de la cité dont ils ont la charge à la vertu en garantissant par là-même sa stabilité, sa pérennité et sa justice. C’est sur cette fonction pédagogique de l’homme politique que porte le présent travail, qui tâche de mettre au jour « le cercle de l’action politique » par lequel la bonne éducation produit de bons gouvernants qui, en retour, établissent un système politique et pédagogique favorisant la diffusion de la vertu dans la cité. L’enjeu principal de la réflexion est de déterminer les finalités de l’action du véritable politique et les modalités privilégiées de son intervention dans la cité afin de comprendre comment, pour Aristote, un homme devient vertueux. Notre intuition est la suivante : la perspective pédagogique que l’on peut porter sur l’œuvre politique d’Aristote, du point de vue du nomothète, permet d’en comprendre la cohérence et, si ce n’est dissiper, au moins éclairer un certain nombre des difficultés traditionnelles que rencontre l’exégèse. Cette intuition se déploie à travers trois axes principaux portant sur la nature et le sens du projet politique et philosophique d’Aristote, la finalité de l’éducation et les moyens et les modalités d’une paideia véritable
In the first lines of Book VIII of the Politics, Aristotle affirms: “That therefore the legislator should above all be concerned with the education of young people, no one can dispute it. And, indeed, in cities where this is not the case, it is damaging to the constitution.” For Aristotle, the fundamental and primary role of the legislator is to lead the members of the city for which they are responsible to virtue by thereby guaranteeing its stability, its durability and its justice. It is on this pedagogical function of the politician that the present work focuses, which tries to bring to light "the circle of political action" by which good education produces good rulers who, in return, establish a political and pedagogical system favoring the diffusion of virtue in the city. The main challenge of the reflection is to determine the purposes of the action of the true politician and the privileged modalities of his intervention in the city in order to understand how, for Aristotle, a man becomes virtuous. Our intuition is as follows: the pedagogical perspective that can be brought to bear on the political work of Aristotle, from the point of view of the nomothete, makes it possible to understand its coherence and, if not to dissipate, at least to enlighten a certain number of the traditional difficulties encountered by exegesis. This intuition unfolds through three main axes relating to the nature and meaning of Aristotle's political and philosophical project, the purpose of education and the means and modalities of a true paideia
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4

Couillaud, Bruno. « Le discours rhétorique et le bien de la cité selon Aristote ». Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040186.

Texte intégral
Résumé :
La rhétorique, arme habituelle du démagogue ou de l'ambitieux, peut-elle être utile au politique? Platon est sévère et semble indiquer, à la différence de son disciple Aristote, qu'on ne peut poursuivre le bien commun en l'utilisant. Premièrement, il faut donc établir la légitimité de la rhétorique comme raisonnement. La raison humaine l'utilise en matière probable, dans le domaine de l'agir, moral ou politique, la dialectique étant directement utile, elle, dans le domaine de la pensée. L'une et l'autre se distinguent cependant de la sophistique et de l'éristique qui visent l'apparence ou l'erreur. Deuxièmement, on recherche la nature du raisonnement pratique au terme duquel on s'ordonne au bien. La lumière apportée par Aristote nous fait alors distinguer entre la politique comme connaissance certaine qui formule les principes communs de l'agir et principalement le bien commun comme fin de la cite, et la prudence qui s'appuie, elle, sur l'expérience et qui formule des principes plus circonstancies. En exemple de raisonnement pratique, on étudie deux discours de Périclès et d’Isocrate. La troisième partie enfin tente d'apporter une solution : spéculative et commune d'abord, en distinguant le jugement pratique du jugement auquel conduit l'orateur; pratique et appliquée ensuite, en montrant comment la rhétorique, subordonnée a la prudence politique peut servir au bien commun d'une cite. Cela sous trois aspects : celui de l'argumentation ou l'on montre la valeur et l'efficacité de l'exemple et de l'enthymème; celui des passions de l'auditoire, engagées dans les sujets abordés par l'orateur (éducateur, plaideur ou conseiller); il doit, lui, s'en faire des alliées; celui, enfin, de la valeur morale de l'orateur qui apporte a l'art oratoire l'argument de sa personne elle-même. La maitrise de ces trois richesses, rationnelle, affective et morale, peut alors servir le bien commun, pour cette part de sa poursuite ou la parole est déterminante
Rhetoric, usual weapon of the demagogues or the ambitious, be useful to the politicians? Plato is severe and appears to mean, very unlike his disciple, Aristotle, that we cannot seek for common good using it. Thus we must first settle the legitimacy of rhetoric as a reasoning. Human reason uses it in probable matter, in the field of human conduct, moral or politic, dialectics being directly useful in thought field. However, one and the other are distinct from sophistic and eristic which aim at appearance or error. Then we look for the nature of the practical reasoning at the end of which we apply us to good. The light brought by Aristotle makes us distinguish between politics as certain knowledge which formulates common principles of human conduct and, first of all, common good as end of the city, and prudence which leans upon experience and formulates principles more circumstantial. As examples of practical reasoning, we study two discourses of Pericles and Isocrates. The third part tries at last to bring a solution : speculative and common first, distinguishing practical judgment from the judgment to which the orator leads; practical and applicated then, showing how rhetoric, subordinated to political prudence can serve to the common good of a city. This under three aspects: the one of argumentation where value and efficacy of example and enthymeme are shown; the one of the passions of the hearers, bound to the subjects entered upon by the orator (educator, suitor or counsellor); he must have them become his allies; at last, the one of the moral virtue of the orator who brings the argument of his person itself to oratorical art. Thus, mastering these three gifts, rational, affective and moral, may help serving common good in this part of its quest where speech is conclusive
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Pellegrin, Pierre. « Biologie et politique chez Aristote ». Paris 1, 1988. http://www.theses.fr/1988PA010517.

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Aluze, Vincent. « Rhétorique et politique dans les "Librorum deperditorum Fragmenta" d'Aristote : avec présentation, édition, traduction, annotations et commentaire des fragments relatifs à la rhétorique, à l'éthique et à la politique ». Electronic Thesis or Diss., Aix-Marseille, 2016. http://www.theses.fr/2016AIXM3111.

Texte intégral
Résumé :
La thèse examine la relation de la rhétorique, de l’éthique et de la politique dans les fragments des œuvres perdues d’Aristote, et la recherche porte plus largement sur le lien de cette relation avec l’ensemble de la philosophie d’Aristote. Cette étude tente donc de savoir si Aristote, par opposition à ses prédécesseurs, est bien « l’inventeur » de la rhétorique – à laquelle il confère le rang de technique avec une méthode et un objet propres dans le traité éponyme – dès ses premières œuvres de jeunesse, ou bien si sa conception a évolué au cours du temps. Ce faisant et en considérant les aspects éthico-politiques des ces œuvres perdues, l’examen discute les grandes hypothèses interprétatives qui ont été proposées à ce sujet pour soutenir la thèse d’une cohérence de la pensée d’Aristote plutôt que celle d’une évolution. L’étude comporte deux grands moments. Le premier consiste en l’édition, la traduction parfois inédite en langue française, et l’annotation des fragments des Librorum deperditorum relatifs à la rhétorique et la politique, avec la présentation des apparats critiques correspondants. Le second se consacre à l’examen de la cohérence de la pensée aristotélicienne au moyen du commentaire des fragments et de leur comparaison aux œuvres des sophistes (Protagoras, Gorgias, Isocrate, Lycophron), de Platon (Gorgias, Phèdre) et des traités aristotéliciens. Pour ce faire, le travail propose une étude lexicale du vocabulaire employé par Aristote, une analyse philosophique de certains concepts importants (andreia, eleutheriotês, eugeneia, metron, orgê, phronêsis) justifiée par leur emploi dans les fragments et le reste du Corpus aristotelicum, et une exégèse d’ensemble
The thesis investigates the relationship between rhetoric, ethics and politics in the fragments of Aristotle’s lost works, and more globally its relation in Aristotle’s entire philosophy. This study intends to understand if Aristotle, in opposition to his predecessors, is the « inventor » of the rhetoric – to which he awards the value of technique with a proper methodology and object in the eponym treatise – from is early years works, or if his conception of it evolved in time. In doing so, and considering the ethico-political aspects of these lost works, the thesis discusses the main interpretative hypothesis that have been proposed on this subject in order to support the theory of Aristotle’s thought consistency, more than its evolution. The study stands in two main parts. The first one consists in the edition, the translation sometimes unprecedented in French language, and the annotation of Librorum deperditorum’s fragments related to rhetoric and politics, including the corresponding critical apparatus. The second inspects the consistency of Aristotle’s thought using the fragments’ comments and in comparison to the works of the sophists (Protagoras, Gorgias, Isocrates, Lycophron), of Plato (Gorgias, Phaedrus) and of the aristotelian treatises. To proceed, a lexical study of the vocabulary used by Aristotle, a philosophic analysis of a few main concepts (andreia, eleutheriotês, eugeneia, metron, orgê, phronêsis) justified by their presence in the fragments and the rest of the Corpus aristotelicum, and a comprehensive textual exegesis have been undertaken
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Campbell, Matthieu. « Le plaisir dans la pensée d’Aristote : physiologie, essence, valeur et usage ». Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040069.

Texte intégral
Résumé :
Cette étude réexamine la théorie aristotélicienne du plaisir en analysant les textes qui s’approchent au plus près d’une définition du concept, et en mesurant les présupposés et les enjeux de leur contenu doctrinal dans l’ensemble de la philosophie d’Aristote. Elle est organisée autour d’un commentaire suivi de Ethique à Nicomaque X 3-4, où le statut du plaisir se trouve précisément déterminé : au sein d’un unique acte cognitif pensé comme une activité continuellement parfaite, le plaisir est à la fois la satisfaction avérée de notre bon exercice, et l’incitation à le continuer tel quel. Cette étude exige une élucidation de l’opposition entre « activité » (energeia) et mouvement, mais aussi un examen préalable de certains présupposés : nous reconsidérons, notamment à partir des traités de psychologie, les caractéristiques formelles de la sensation, paradigme de l’activité plaisante, et montrons que les plaisirs n’obéissant pas au même paradigme, et d’abord les satisfactions des appétits corporels, ne sont pas pour Aristote des plaisirs effectifs. Le dernier moment de notre étude est consacré à évaluer la théorie par rapport à sa destination, le savoir dont doit disposer l’éducateur pour produire les vertus et le bonheur : à partir des éléments fournis par Aristote, il s’avère difficile, bien que nécessaire, de distinguer le plaisir du bien auquel on doit tendre ; il est également malaisé de penser et d’évaluer les plaisirs que l’éducation doit réguler, mais aussi ceux qu’elle doit atteindre (celui de la meilleure pratique et celui de la meilleure contemplation)
I scrutinize Aristotle’s theory of pleasure by analysing the texts that define the concept as closely as can be, and by assessing the presuppositions and the stakes of this definition within Aristotle’s philosophy as a whole. My study is centred upon a commentary of Nicomachean Ethics X, 3-4 where the status of pleasure is enlightened with precision: located within a unique act of cognition (which is essentially a perfect and perpetual activity), pleasure is both an aspect that reveals our good functioning, and an incentive for us to keep it working in the exact same way. I explore the elements presupposed by this account, elucidating the opposition between “activity” (energeia) and process, and before, giving a new light to the formal features of the paradigm of a pleasant activity, i. e. perception, as it is conceived in the psychological treatises. I also explain how pleasures that do not follow this paradigm, i. e. bodily pleasures, are not seen by Aristotle as some effective pleasures at all. The last phase in this work is devoted to an assessment of the discourse on pleasure according to its aim: delivering to a teacher the knowledge he needs in order to produce virtues and happiness. I underline that, from the elements given by Aristotle, it is difficult, but necessary, to make a distinction between the pleasure one can feel at goodness and this very same goodness towards which one must strive. It is quite as difficult to conceive and evaluate all the forms of pleasure education has to regulate, as well as those that it must lead one to feel (pleasure deriving from the best practice, or from the best contemplation)
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Maskaleut, Steve. « Έξις (état) et πως έχειv (se-conduire-d'une certaine-manière) dans la pensée d'Aristote : attitude subjective, forme de l'action et du mouvement ». Paris 1, 2007. http://www.theses.fr/2007PA010628.

Texte intégral
Résumé :
Chez Aristote, l'Έξις (état) est stable parce qu'elle est un principe formel. On en a pour preuve les faits suivants: (1) La théorie du changement fait de l' είδος (forme) un état particulier opposé à la privation. (2) Celle de l'altération la présente comme un achèvement, c'est-à-dire la forme d'une chose. (3) L'état est aussi un principe formel comme relatif. L'altération étant un mouvement selon la qualité, il faut examiner la théorie de la qualité dans laquelle s'insère l'état et comment il se distingue des πάθη (affections) et de la δύυαμις (puissance/capacité). Or, tout état n'est fondamentalement ni une capacité active, ni une disposition à agir. Autrement, ce serait ne pas reconnaître l'originalité de la notion d'« état ». L'état est forme du mouvement, principe du même dans l'humain. Le πωςέχειν (se- conduire-d'une-certaine-manière) est la manière de l'acte consentie relativement aux passisons. Sa stabilité réside alors dans le choix délibéré, non dans l'habitude.
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Goncalves, de Oliveira Eraci. « Membre articulé : modèle anatomique de l'automotricité dans le De motu animalium d'Aristote : un opérateur de la pensée de l'immanence ». Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2017. http://www.theses.fr/2017PA01H233.

Texte intégral
Résumé :
La présente thèse se propose de réfléchir sur le caractère cinétique de la méthode analogique adopté dans le De motu animalium d’Aristote. En considèrant que l'objet du traité est la cause commune du mouvement et qu'Aristote en adopte une solution du type paradigmatique, d'une manière générale l'automotricité est le thème pendant que le membre articulé est le phore dans le raisonnement analogique du DMA. Nous considérons hypothétiquement que les stratégies plastiques sont le fil conducteur du raisonnement suivi par la recherche de la cause commune de la motricité pour tout mouvement. Notre double objectif général est, d’une part de tirer les acquis philosophiques sur le caractère immanent du principe du mouvement de la recherche menée dans le DMA et, d’autre part de percevoir le caractère cinétique et plastique de sa démarche, qui comporte des procédés méthodologiques dynamiques dans le but de s’adapter à l’objet. Ce que nous faisons en deux pas : premièrement par l’analyse des étapes de l’établissement du paradigme du membre articulé ; et en suite par l’analyse de l’analogie entre le membre articulé et l’automotricité animée. Les deux analyses visent saisir des éléments pour confronter les deux termes de l'analogie et vérifier la validité de toute la thèse et de la considération selon laquelle, la méthode analogique est un l'instrument plastique de la pensée de l'immanence
This thesis proposes to reflect on the kinetic character of the analogical method adopted in De Motu Animalium of Aristotle. Considering that the object of the treatise is the common cause of the movement of animais, in general, automotricity is the "thème" while the articulated member is the ''phore" in De Motu's analogical reasoning. Hypothetically we consider that the plastic strategies of the analogical method of De motu are the guiding thread of the reasoning undertaken in the research on the common cause of the motility of ail animal movements. Our general double aim is: on the one hand, to take philosophical acquisitions on the immanent character of the principle of movement, and on the other hand, to grasp the kinetic and plastic character of this philosophical enterprise, which involves dynamic methodological procedures in view of the adaptation of the method to the object. We seek to achieve these objectives through two analyses: first, the analysis of the stages of the establishment of the articulated member paradigm (AMP), and then the analysis of the main analogy of the treatise, between the articulated limb and the animated automotricity. Through the two analyses we must gather the necessary elements to confront the two tenns of the main analogy, as well as to verify the general validity of the thesis and also the consideration according to which the analogical method of De Motu Animalium is a plastic instrument of the thought of immanence
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10

Graziani, Françoise. « La pensée fossile mythe et poésie : d’Aristote a Vico ». Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2010. http://www.theses.fr/2010PA040187.

Texte intégral
Résumé :
Le vieux différend entre le philosophe et le poète, entre logos et mythos, peut être converti en accord à condition de changer de point de vue. Alors que Platon n’a voulu voir dans leurs différences qu’une source de discorde et de division, Aristote en a tiré une poétique et une rhétorique, les poètes de la Renaissance une philosophie poétique et Vico une anthropologie du langage et une archéologie de la pensée. Ce qui est pour les modernes une « pensée sauvage » a longtemps été considéré par les anciens comme une sagesse archaïque, qui s’exprimait par figures et « traduisait en langue des dieux » les voix de la nature.On se propose ici de réévaluer les notions de pensée poétique et de pensée mythique en adoptantle point de vue des poètes de la Renaissance et de l’âge baroque, qui identifièrent l’une et l’autre à la pensée ingénieuse productrice de métaphores, de figures et de fictions. Mais il faut remonter aux sources antiques pour pouvoir rendre compte de l’active polysémie des anciennes méthodes d’interprétation des mythes qui, loin de séparer les points de vue de la physique, de la morale et de la théologie, les associaient en une « science poétique » qui faisait la synthèse de tous les savoirs du monde, et qui est désormais une science fossile
The old dispute between the Philosopher and the Poet, which leads to the dichotomy betweenLogos and Mythos, can be turned into a settlement as long as one changes one’s viewpoint. WhilePlato only considered their difference as a source of discord and division, Aristotle drew from it aPoetic and a Rhetoric, the Renaissance poets a Poetical Philosophy, and Vico a language’sAnthropology and an Archeology of the Thought. What is considered by the Moderns to be a « wildthinking » was seen by the Ancients as an archaic wisdom, expressed through figures and« translating the voices of nature into the language of gods ».The purpose here is to reassess the concepts of Poetic and Mythic thought by adopting theviewpoint of the poets of the Renaissance and the Baroque era. Those cleary identified these twospecific thinkings with the wit’s power to produce metaphors, figures and fictions. In order to achievethis research, it is important to revisit the antic sources, so as to enlight the effective polysemysupporting the ancient ways used to interpret myths. Far from categorising the stance of the physics,the morals and the theology, the Ancients used to gather them into a comprehensive « poeticscience » : it reunited the synthesis of all knowledge but has become a fossilised science
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