Thèses sur le sujet « Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Métaphysique »

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1

Souchard, Bertrand. « Aristote, de la physique à la métaphysique, réceptivité et causalité ». Dijon, 2002. http://www.theses.fr/2002DIJOL004.

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2

Kapadais, Doukas. « Quelques paradoxes du non-être chez Aristote ». Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040013.

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Résumé :
Comment la notion de l'étant se déplace (dans le sophiste) des objets singuliers à leurs relations? Pourquoi ce déplacement entraine-t-il la solution du paradoxe du non-être selon le discours faux? Dans quel sens Aristote reste-t-il fidèle à cette résolution du paradoxe, et comment cette "fidélité" pourrait-elle permettre d'interpréter un passage central du livret de la métaphysique? Que se passe-t-il quand celui qui veut suivre le programme de recherche des analytiques secondes ii, cherche un objet qui n'existe pas? Peut-il mener à bien sa recherche? Comment chercher un objet qui ne dispose pas de définition? Peut-on se baser sur la signification du terme qui l'aurait dénoté, s'il avait existé? Puisque tous les étants sont générés à partir d'un autre étant, aucun étant ne peut se générer à partir du non-être absolu. Ceci veut-il dire que quelques-uns parmi les aspects de l'objet existaient même avant sa génération? Le chapitre 46 des analytiques premiers i est-il vraiment une défense de l'existence du non-être absolu, ou, est-il plutôt l'établissement d'une convention quant à l'usage de la négation? Aristote a-t-il raison de critiquer, dans les topiques, la définition de l'être par l’étranger dans les sophistes quoi qu'il en soit, quelles raisons l'ont-ils amené à cette critique? Cette thèse consiste en une tentative pour répondre à ces questions.
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3

Guyomarc'h, Gweltaz. « Aux origines de la métaphysique : l’interprétation par Alexandre d’Aphrodise de la Métaphysique d’Aristote ». Electronic Thesis or Diss., Lille 3, 2012. http://www.theses.fr/2012LIL30004.

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Résumé :
Le terme de "métaphysique" ne se lit pas chez Aristote. Les livres rassemblés sous ce titre ne cessent d'interroger leurs lecteurs quant à leur unité. La science ainsi désignée, enfin, semble contrevenir aux règles communes de la scientificité aristotélicienne. Désigner Aristote comme le "fondateur de la métaphysique" fait dès lors problème. L'hypothèse du présent travail est que cette fondation engage l'oeuvre des commentateurs d'Aristote, au premier chef desquels se situe Alexandre d'Aphrodise. L'Exégète par excellence aurait ouvert la possibilité de "faire de la métaphysique", sans que cela signifie seulement commenter Aristote. Alexandre travaille à faire de la "Métaphysique" un livre, et à instituer la métaphysique en une science une. Selon l'Aphrodisien, la métaphysique est cette science à la fois universelle et première, à la fois science modèle et fondatrice des autres sciences. Elle s'articule en trois programmes principaux : l'étude générale de l'étant en tant qu'étant, celle de la substance et celle enfin de la cause première. Ces trois programmes sont distincts, mais coordonnés et suffisamment proches pour ne pas pouvoir être étudiés par une autre science, ni éclatés entre diverses sciences. Ils progressent à chaque fois par un passage d'une généralité à son maximum et sa cause. Ainsi la substance est-elle cause de l'être des autres étants et étant au maximum. Ainsi la cause première est-elle intelligible au plus haut point et cause de l'intelligibilité du monde. L'Exégète offre une interprétation forte de l'unité de la Métaphysique et de celle de la science correspondante. C'est dans et par cette reprise que les écrits du Stagirite sont devenus proprement fondateurs
Aristotle does not use the word "metaphysics". The books called "Metaphysics" clearly lack unity. The science called "metaphysics" seems to break the common epistemological rules set by Aristotle himself. From that point of view, it seems problematic to consider Aristotle as the "founding father of metaphysics". The present dissertation aims to show that the foundation of metaphysics as a science is also based on the work of the Ancient Commentators, especially Alexander of Aphrodisias (fl. 200 AD). Paradoxically, the "Exegete par excellence" makes it possible to be engaged in metaphysics without limiting metaphysics to explaining Aristotle's books. The reason is that he tries in fact to makes explicit and to enhance the unity of this work as well as to establish the unity of the corresponding science. According to him, metaphysics is both universal and the first true science. As such it constitutes the condition for any type of knowledge to be established as a science. Metaphysics is devoted to three main programs : the general study of being, the study of substance, the study of the first cause. These different programs are closed enough to be carried out within one single science. The passage from one level to another is guided by what I propose to call the Principle of Maximum Casuality. In this way, the substance is the higher being and the cause of being for all the rest ; the first cause is the higher and most thinkable substance, the cause of the order on the world, and what makes it intelligible. So the Exegete offers a strong view of the unity of metaphysics and thanks to this reappropriation Aristotle's work became the origin of a long-lasting tradition
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4

Timbert, Anne. « Individuations manières d'être ». Nice, 1994. http://www.theses.fr/1994NICE2004.

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Résumé :
Comment parler de l'individuation ? Jusqu'où peut-on aller dans les individuations ? Vingt-quatre siècles séparent ces deux manières d'envisager la même question. A travers ces deux modes d'interrogation, Aristote et G. Deleuze semblent rapporter tous deux la question de l'individuation à celle de la consistance, mais par des voies très différentes. Si le problème de la consistance fait sens encore en dehors d'une pensée de la substance, que recouvre alors cette sorte de consistance non substantielle ? Certes, les individus diffèrent, se distinguent les uns des autres. Mais ce constat intéresse-t-il au plus profond la question de l'individuation ? Des philosophes (H. Bergson, M. Merleau-Ponty, G. Simondon), mais aussi des écrivains (A. Artaud, M. Blanchot), des peintres (P. Cézanne, P. Klee) nous aideront sans doute à tracer les enjeux essentiels d'une telle interrogation. On peut se demander, en effet, si l'on ne diffère pas toujours de quelqu'un ou de quelque chose en fonction de différences extrinsèques, tandis qu'on devient le patient d'une différence individuante à mesure qu'on actualise un fond, ou bien qu'on résolve une certaine configuration de régions problématiques suivant l'envergure d'une certaine capacité ou manière d'être singulière
How can we speak of individuation? How far can we go into individuations? Twenty four centuries separate these two ways of considerating the same question. Through those two interrogation means Aristote and G. Deleuze seem both to refer the question of individuation to that of consistency, but through very different ways. If the problem of consistency has still a sens outside the thought of substance, then what does that kind of non-substantial consitency cover? Indeed, individuals differ, distinguish themselves the one from the other. But does this statement concern the question of individuation to such an extent? Philosophers (like H. Bergson, M. Merleau-ponty, G. Simondon) but artists as well (P. Cezanne, P. Klee, A. Artaud, M. Blanchot) will help us no doubt to lay out the essential stakes of such an interrogation. In fact, we can wonder wether we do not always differ from someone or something according to extrinsic differences - whereas we become the patient of an individuating difference as we actualize a background or as we resolve a given configuration of problematic regions according to the scope of a certain ability or singular way of being
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Guéguen, Haud. « La mesure du possible chez Aristote : étude sur la notion aristotélicienne de "dunaton" ». Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010692.

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Résumé :
Cette thèse se propose de montrer que la notion aristotélicienne de dunaton, que l'on peut traduire à la fois par capable, possible et potentiel, se trouve au croisement du logique et du réel, précédant et coupant ainsi court à la séparation, opérée par la scolastique puis reprise par les modernes, du possible logique et du possible réel. La première partie analyse la façon dont les différents sens du dunaton s'articulent entre eux et entend montrer que la notion se fonde en réalité sur une structure tripartite : le logos, la relation et le temps comme conditions ou principes du dunaton. La seconde partie étudie ensuite la notion dans la sphère pratique pour montrer la façon dont cette structure apparaît tout à la fois fondatrice de la praxis et de son inversion dans la the6ria comme dans l' action tragique.
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Joachim, Henri-Gaël. « Heidegger et Aristote : pour une métaphysique de l'être-en-acte ». Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1997PA010538.

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Résumé :
La confrontation entre Heidegger et Aristote permet de poser le problème de l'être-en-acte. Car, selon Heidegger, le sommet de la pensée d’Aristote réside dans la découverte de l'être comme energeia. Au cours de ses travaux sur Aristote, Heidegger a souligné avec une grande perspicacité l'importance de la conception aristotélicienne de l'antériorité de l'acte sur la puissance. Pourtant, dans sa propre philosophie, il a inversé ce rapport hiérarchique en accordant le primat au possible sur l'actuel. Du point de vue Heideggerien, ce renversement s'explique par le refus de toute forme d'onto-théologie. Mais d'un point de vue aristotélicien, Il s'explique par l'"oubli" de la distinction entre la détermination et le conditionnement. En effet, négliger cette distinction, c'est s'empêcher de découvrir l'acte comme principe et cause finale de ce-qui-est ; c'est passer d'une recherche de la finalité dans l'ordre de l'être à une quête du fondement ou de la condition de possibilité. De fait, dans ses commentaires de la métaphysique d’Aristote, Heidegger n'a rien dit de l'induction de l'être-en-acte au chapitre 6 du livre 9. Une redécouverte de l'être-en-acte s'avère donc nécessaire. Le chemin d'une telle redécouverte doit partir du jugement d'existence et rechercher les principes propres de ce-qui-est. Mais après être et temps, il n'est plus possible de négliger l'étude du dasein. C'est pourquoi il faut aujourd'hui prolonger la perspective d'Aristote en pensant le "je suis" dans la lumière de l'être-en-acte. M. D. Philippe a déjà tenté cette entreprise. Sa réflexion philosophique nous semble ainsi permettre de dépasser le débat entre Aristote et Heidegger et d'élaborer une métaphysique de l'être-en-acte
The confrontation between Heidegger and Aristotle allows to raise the problem of being in act. According to Heidegger, the apex of Aristotle’s thought lies in the discovery of being as energeia. In the course of his works on Aristotle, Heidegger has underlined the importance of the Aristotelian conception of the anteriority of actuality over potentiality. However, in his own philosophy, he has reversed this hierarchical relation by giving primacy to the possible over the actual. From the Heideggerian point of view, this inversion can be explained by his rejection of any form of onto-theo-logy. Now, from an Aristotelian point of view, it can also be explained by the "forgetting" of the distinction between the determination and the conditioning. Neglecting this distinction makes it impossible to discover actuality as principle and final cause of that which is. This amounts to a move from a theological inquiry in the order of being to a quest for the foundation or condition of possibility. As a matter of fact, Heidegger, in his commentaries on Aristotle’s metaphysics says nothing of the induction of being in act of book 9 chapter 6. It appears then that a rediscovery of being in act is necessary. The way leading to such a discovery must start from the judgment of existence, and go on with the inquiry into the principles of that which is. But after being and time, it is impossible to neglect the study of dasein. This is why, today, it is necessary to develop Aristotle’s perspective with a thinking of the "i am", in the light of being in act. M. D. Philippe has already attempted such an endeavor. It seems to us that his philosophical reflection enables us to go beyond the dilemma between Aristotle and Heidegger, and to articulate a metaphysics of being in act
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7

Triantaphyllou, Stavroula. « La causalité chez Hegel et Aristote ». Paris 1, 2003. http://www.theses.fr/2003PA010525.

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Résumé :
Selon Hegel, la Métaphysique ne suit pas le modèle démonstratif des Seconds Analytiques: il n 'y a pas une première ousia à partir de laquelle il serait possible de développer les déterminations du niveau sublunaire (l'unité catégoriale de l'être -l'être selon les figures de la prédication, et l'unité dans la substance sensible -l'être 'selon l'energeia et la dynamis) comme la conséquence à partir de son principe. Le principe selon lequel sont articulées les déterminations particulières (le premier moteur immobile) leur est juxtaposé. S'il en est ainsi, en quoi il est un principe de compréhension pour la Métaphysique, en l'occurrence pour la notion de cause en tant que notion qui est dite en plusieurs sens, irréductibles les uns aux autres? Il est besoin de voir la manière dont fonctionne l'interprétation hégélienne, aussi bien dans le contexte aristotélicien que dans le contexte hégélien. C'est ainsi que s'explicite à la fin, la différence entre eux: chez Hegel, l'analyse de la causalité est purement logique alors que chez Aristote, elle ne perd jamais sa référence au réel.
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Torrente, Luca. « Génération, nature et individuation chez Aristote ». Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2022. https://accesdistant.sorbonne-universite.fr/login?url=https://theses-intra.sorbonne-universite.fr/2022SORUL015.pdf.

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Résumé :
Cette thèse se propose d’examiner le problème de l’individuation chez Aristote à partir d’une étude sur la génération des êtres vivants. Ce choix a permis d’aborder un problème controversé selon une perspective quasiment inédite. La première partie de la thèse est une analyse de la génération des substances physiques dans le corpus aristotélicien. Ce chapitre vise à mettre en évidence les caractères propres de la génération absolue des substances par rapport aux autres types de devenir. La deuxième partie étudie l’embryogenèse des vivants dans une perspective qui cherche à intégrer le modèle hylémorphique dans un autre modèle, plus complexe et exhaustif, qui est celui du développement dynamique. Dans la troisième partie, c’est le problème de l’individuation qui est visé. On achève l’analyse de la génération animale jusqu’à sa fin : le développement des caractères héréditaires et particuliers de chaque individu. Les deux thèses les plus connues – l’identification du principe d’individuation avec la matière ou la forme – sont discutées et critiquées. On propose enfin une solution qui établit trois causes particulières capables d’expliquer la génération d’un individu en tant qu’individu, en s’appuyant sur un passage de Métaphysique Λ 5. La quatrième partie prend en compte la spécificité de l’être humain dans la question de l’individuation. Il est question de l’individualisation de l’homme, c’est-à-dire du processus par lequel un certain individu cherche à se constituer comme sujet agent et personne morale autonome à l’intérieur d’une communauté donnée
My thesis proposes to examine the problem of individuation in Aristotle’s philosophy from a study on the generation of living beings. This choice has made possible to approach a controversial problem from an almost unprecedented perspective. The first part of the thesis is an analysis of the generation of physical substances in the Aristotelian corpus. This chapter aims to highlight the specific characteristics of the absolute generation of substances in relation to other types of becoming. The second part studies the embryogenesis of the living beings from a perspective that seeks to integrate the hylomorphic model into another, more complex and exhaustive model, which is that of dynamic development. In the third part, the problem of individuation is addressed. We complete the analysis of the animal generation to its end: the development of the hereditary and particular characteristics of each individual. The two best-known theses – the identification of the principle of individuation with matter or form – are discussed and criticized. Finally, a solution is proposed that establishes three particular causes capable of explaining the generation of an individual as an individual, based on a passage from Metaphysics Λ 5. The fourth part considers the specificity of the human being in the question of individuation. It is a question of the individualization of man, the process by which a certain individual seeks to constitute himself as an agent subject and autonomous legal person within a given community
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Gauthier-Muzellec, Marie-Hélène. « Eidos et ousia : les rapports de la forme et de la substance dans les livres centraux de la métaphysique (Z-H-O) : le cas particulier de l'âme ». Paris 4, 1991. http://www.theses.fr/1991PA040038.

Texte intégral
Résumé :
Il s'agit, à partir de l'étude de l'élaboration d'une structure minimale des rapports de la forme et de la substance, de mette en évidence, le statut véritablement central du groupe de livres z-h-o, qui contribue fondamentalement a cette élaboration tout en définissant les conditions d'application et de légitimation de la structure un examen systématique des exemples utilises doit servir de preuve à l'appui de cette hypothèse, et révéler en même temps la pertinence d'une référence croissante au cas particulier de l'âme, prise dans une perspective métaphysique mais aussi "psycho-physiologique". Le privilège de l'âme est alors double, en ce qu'elle dirige l'achèvement de la structure, devenue modèle général d'analyse de l'être et du devenir, tout en échappant irréductiblement à l'efficacité du modèle qu'elle conditionne. La psycho-physiologie des facultés devient l'impensé d'un système qu'elle fonde, ce qui désigne peut-être une origine silencieuse de toute métaphysique rigoureuse
The aim is to demonstrate, using as one's starting point, the study of the elaboration of a minimal structure of relations between form and substance, the truly central role of books z-h-o, which play a fundamental part in the elaboration, while at the same time defining the conditions for applying and legitimating the structure involved. A systematic appraisal of the examples used by Aristotle may serve as a proof of this hypothesis and, at once, reveal the judiciousness of a graded scale of reference to the specific case of the soul, considered from a metaphysical point a view, but also from a psycho-physiological one. There are, therefore, two reasons for the privileged case of the soul, in so far as it governs the achievement of the structure, which has become a general model for the analysis of being and natural evolution, as well as resisting validity of the model it has permitted. Psycho-physiology of faculties becomes the unthinkable of the system it founds, which may coincide with the silent premiss of any rigorous metaphysic
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Lefebvre, David. « Capacité, force et puissance, sur la genèse et les sens de la notion aristotélicienne de dynamis ». Paris 1, 2000. http://www.theses.fr/2000PA010512.

Texte intégral
Résumé :
La différence de la puissance et de l'acte constitue l'une des marques propres de la philosophie d’Aristote. Si energeia et entelecheia sont des néologismes formés par le philosophe, dynamis, terme très ancien appartenant au vocabulaire grec courant, comporte, au contraire, une variété de sens qui rend la compréhension de son usage philosophique chez Aristote souvent difficile. Est-il possible d'articuler ces sens, dont certains sont considérés comme métaphoriques par Aristote ? La différence traditionnelle entre la puissance comme principe du changement et comme sens de l'être ne recouvre-t-elle pas d'autres articulations ? Une étude des principaux textes, poétiques, médicaux, historiques et philosophiques, ou dynamis était directement impliqué, a été entreprise en suivant un fil conducteur dicte par un emploi dominant de ce terme. Il a été également nécessaire de mesurer l'héritage platonicien, pour mieux comprendre la critique aristotélicienne de la puissance, qui met en valeur l'indétermination de la puissance, sans pour autant renoncer aux sens de capacité et de force.
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Elsakhawi, Ahmed Nabil. « Étude du livre Zāy (Dzêta) de la Métaphysique d'Aristote dans sa version arabe et son commentaire par Averroès ». Paris 1, 1995. http://www.theses.fr/1995PA010543.

Texte intégral
Résumé :
Traduction annotée de la version arabe de la métaphysique d'Aristote (livre E) et de son commentaire par Averroès. Recherches sur la terminologie de la version arabe et du commentaire. Recherches sur la doctrine de la substance dans le livre Z de la métaphysique et dans son commentaire par Averroès. D'autres questions connexes à celle de la substance sont également abordées, à savoir la génération, la critique par Aristote de la théorie platonicienne des idées et la définition
Annotated translation of the arabic version of Aristotle's metaphysics (book z) and of its commentary by Averroès. Research on the terminology of the arabic version and on its commentary. Research on the doctrine of substance in Aristotle's metaphysics (book z) and in its commentary by Averroès. Other issues related to the one on substance are also considered, i. E. Generation, Aristotle's criticism of Plato's theory of ideas and definition
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Lurson, Guillaume. « Ravaisson et le problème de la métaphysique ». Electronic Thesis or Diss., Toulouse 2, 2019. http://www.theses.fr/2019TOU20054.

Texte intégral
Résumé :
Le spiritualisme ravaissonien, loin d’être une étiquette répondant à des besoins de classification historique, ouvre l’horizon d’une refondation de la métaphysique au cœur du XIXe siècle français. A partir de la lecture de la Métaphysique d’Aristote, Ravaisson élabore une critique de ce que l’on peut nommer les « métaphysiques de la séparation », dont le point de départ se trouve dans les écrits du stagirite. Il s’agira dès lors de déployer une philosophie qui affirme l’identité de l’être et de la pensée, par-delà toute transcendance et tout dualisme. C’est ainsi que le problème de la métaphysique peut être posé : peut-on surmonter les apories léguées par la Métaphysique d’Aristote, et suturer la disjonction de l’être et de l’étant, de la nature et de l’esprit, ou encore de l’homme et de Dieu ? Faut-il au contraire considérer que la séparation définit le geste inaugural de la métaphysique ? Ravaisson, en refusant cette dernière possibilité, élabore une philosophie qui s’inscrit contre l’idéalisme transcendantal de Kant ou le positivisme de Comte, et plus largement, contre toute tendance matérialiste de la pensée. Ainsi, l’unité perdue de la métaphysique, soit sa possibilité, doivent être recherchées en questionnant l’héritage d’Aristote, afin de déterminer s’il s’agit de penser avec, ou contre celui-ci
Far from a mere label created for the purpose of historical classification, Ravaisson’s spiritualism opens the horizon of a refoundation of metaphysics at the heart of the French 19th century. From Aristotle’s Metaphysics, Ravaisson puts together a critique of what can be called “the metaphysics of separation”, the starting point of which is to be found in the writings of the Stagira-born philosopher. From there, he will endeavor to elaborate a philosophy that affirms the identity of Being and Thought far from any transcendence or dualism. That is how the question of metaphysics can be posed: can one overcome the aporia inherited from Aristotle’s Metaphysics, and stitch up the gap between the entity and the Being, Nature and the Spirit, or even Man and God? Or should one, on the contrary, consider that separation defines the inaugural gesture of metaphysics? By refusing this latter possibility, Ravaisson builds a philosophy that entirely refutes Kant’s transcendental idealism, or Comte’s positivism and, more broadly even, any materialistic way of thinking. The lost unity of metaphysics, that is, its possibility, must thus be sought by questioning Aristotle’s heritage, in order to determine whether one should think with, or against it
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Vanandruel, Jean-Pierre. « L'analyse du mouvement dans les traités de philosophie de la nature et dans les traités métaphysiques d'Aristote ». Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2019. http://www.theses.fr/2019PA01H230.

Texte intégral
Résumé :
Les traités des Métaphysiques d’Aristote contiennent des analyses du mouvement. Ce travail cherche à déterminer la raison de leur présence dans ces textes, ainsi que le point de vue propre – différent de celui des études physiques – sous lequel Aristote y étudie ce que sont les causes et les principes des mouvements naturels. Une étude des opinions antérieures et de la construction des apories corrélatives, montre qu’Aristote situe les recherches des Métaphysiques en continuité avec celles des autres philosophes : il s’agit de concevoir ce que sont les premiers principes de toutes choses, ou de tous les étants, mieux que ne l’on fait les physiciens et les platoniciens. Or, puisqu’il reproche aux principes de ses prédécesseurs d’être incapables d’expliquer les mouvements naturels, on peut en conclure que les solutions conçues par Aristote fournissent des principes premiers aptes à rendre compte de ces mouvements. La sagesse et la science première des Métaphysiques est donc, pensons-nous, cette recherche des premiers principes et des premières causes ; cette science est une science de la substance et elle se distingue ainsi de la science physique, en établissant que les substances sont les premiers principes de toutes choses, et cela en trois sens différents : (1) les substances sont principes de toutes choses, puisque sans elles, il n’y a aucun autre étant, ni aucun mouvement ; (2) la forme est substance première, principe des substances composées ; et elle est, avec la matière, un principe inengendré pour leurs générations et leurs mouvements ; (3) il y a des substances antérieures aux substances naturelles : les moteurs ordonnés des mouvements des sphères célestes
Aristotle's Metaphysics contains analyses of movement. The present thesis seeks to determine the reasons for their presence in these texts, and the point of view - different from that of physics - under which Aristotle studies what the causes and principles of natural movements are. A study of previous opinions and the construction of correlative aporias shows that Aristotle situates the inquiry of the Metaphysics in continuity with those of other philosophers: the aim is to conceive what the first principles of all things, or of all beings, are, in a way that improves on the Physicists and the Platonists. Now, since he criticises his predecessors’ principles on the ground that they are incapable of explaining natural movements, we can conclude that the solutions conceived by Aristotle do provide first principles capable of accounting for natural movements. The wisdom and the first science of the Metaphysics is, in my view, this search for the first principles and the first causes. This science is the science of substance, and so is distinguished from physical science, in that it establishes that substances are the first principles of all things, and this in three different senses: (1) substances are principles of all things, since without them there can be no other beings and no movement; (2) the form is first substance and principle of compound substances; and, with matter, it is an ungenerated principle for their generations and their movements; (3) there are substances that are prior to natural substances: the ordered movers of the movements of the celestial spheres
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Maskaleut, Steve. « Έξις (état) et πως έχειv (se-conduire-d'une certaine-manière) dans la pensée d'Aristote : attitude subjective, forme de l'action et du mouvement ». Paris 1, 2007. http://www.theses.fr/2007PA010628.

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Résumé :
Chez Aristote, l'Έξις (état) est stable parce qu'elle est un principe formel. On en a pour preuve les faits suivants: (1) La théorie du changement fait de l' είδος (forme) un état particulier opposé à la privation. (2) Celle de l'altération la présente comme un achèvement, c'est-à-dire la forme d'une chose. (3) L'état est aussi un principe formel comme relatif. L'altération étant un mouvement selon la qualité, il faut examiner la théorie de la qualité dans laquelle s'insère l'état et comment il se distingue des πάθη (affections) et de la δύυαμις (puissance/capacité). Or, tout état n'est fondamentalement ni une capacité active, ni une disposition à agir. Autrement, ce serait ne pas reconnaître l'originalité de la notion d'« état ». L'état est forme du mouvement, principe du même dans l'humain. Le πωςέχειν (se- conduire-d'une-certaine-manière) est la manière de l'acte consentie relativement aux passisons. Sa stabilité réside alors dans le choix délibéré, non dans l'habitude.
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Ogien, Ruwen. « La faiblesse de la volonté : (Aristote, Davidson) ». Paris 1, 1991. http://www.theses.fr/1991PA010648.

Texte intégral
Résumé :
Trois types d'explication de l'action humaine sont soumis au test aristolecien de l'acrasia (faiblesse de la volonté ou action intentionnelle contraire au meilleur jugement de l'agent) : causal, logique (le syllogisme pratique) et mixte (la théorie aristotélicienne de la phorésies et la théorie davidsonnienne du raisonnement pratique). La conclusion est sceptique ou négative nous ne disposons d'aucune explication convaincante ou d'aucune justification rationnelle de nos façons ordinaires de parler du pouvoir de nos croyances et de nos désirs dans la production et l'orientation de nos actions
Three types of esplanation of human action are submitted to the aristotelician test of acrasia (weakness of will, intentional action aginst one's own better judgement) : the causal, the logical (the so-called practical syllogism) and the mixed (the aristotelician theory of phronesis or the davidsonian theory of practical reasoning). The conclusion is sceptical or negative. We don't have any convincing explantation or any good rational justification for our ordinary talk about the power of our desires and beliefs in the production and orientation of our actions
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Manzini, Frédéric. « Spinoza : lecteur d'Aristote ». Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040157.

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Vernier, Jean-Marie, et Albert le Grand. « Le Livre sur la nature et l'origine de l'âme d'Albert le Grand : introduction, traduction et notes, suivies de notes complémentaires et de traduction de lieux parallèles pris des Commentaires d'Albert sur la Métaphysique, Le traité de l'âme et la Physique d'Aristote ». Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040230.

Texte intégral
Résumé :
Le livre sur la nature et l'origine de l'âme de Saint-Albert le Grand. Introduction, traduction et notes, suivies de notes complémentaires et de la traduction de lieux parallèles pris des Commentaires d'Albert sur la Métaphysique, le Traite de l'âme et la Physique d'Aristote. Époque concernée : XIIIème siècle. Genre de l’œuvre : traite de philosophie naturelle (au sens aristotélicien). Auteur :Albert le Grand (dominicain et évêque du XIIIème siècle, docteur de l'église). Langue : latin médiéval. Thèmes étudiés : traité I : La causalité de l'intellect sur la nature; l'être et le devenir naturels (diversité des formes, inchoation des Formes, éduction des formes de la matière); la génération et la nature de l'âme végétative, sensitive et rationnelle; les puissances cognitives (intellect possible, intellect agent) et motrices de l'âme rationnelle. Traite II : la séparation et l'immortalité personnelle de l'âme, l'état et le lieu de l'âme séparée selon les philosophes, l'état de l'âme après la mort. Sources principales rencontrées : Platon (Timee, Phèdre), Aristote (Traite de l'âme, Métaphysique, Physique), Macrobe (Sur le songe de Scipion), Calcidius (commentaire sur le Timee), pseudo-denys L'aréopagite (traite des noms divins), Liber de causis, Avicenne (livre sur l'âme), Averroes (grand Commentaire sur le traité de l'âme). Cette thèse manifeste, au terme de l'introduction, l'influence de cette oeuvre sur Dante (banquet), Berthold de Moosburg (Commentaire sur les éléments de théologie de Proclus), Guillaume de Vaurouillon (Livre sur l'âme), Marsile Ficin (Théologie platonicienne de l'immortalité des âmes)
The Albert the Great's book on nature and origin of the soul: introduction, translation and footnotes, followed by complementary notes and translation of paralell texts taken from Albert the Great's commentaries on Aristotle's Metaphysics, Treatise on the soul and Physics. Age : XIIIth century. Type : Treatise of natural philosophy (in an Aristotelian meaning). Author : Albert the Great (dominican and bishop, Doctor of the Church). Language : medieval latin. Themes : First Treatise : The Intellect's causality on the Nature, the natural being and gradual change; the generation and nature of the vegetative, sensitive and rational soul; the cognitive and motor faculties of the rational soul. Second Treatise : the separation and personal immortality of the soul, the state and the place of the separated soul according to the philosophers, the state of the soul after the death. Main authorities : Plato, Aristotle, Macrobius, Calcidius, Pseudo-Dionysius, Liber De Causis, Avicenna, Averrois. The introduction of this doctoral thesis shows the influence of this Albert's book on Dante (Convivio), Berthold von Moosburg, Guillaume de Vaurouillon, Marsile Ficin
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El, Hachimi Lucile. « Métaphysique et perfection : l’articulation fārābīenne du théorique et du pratique ». Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL111.

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Résumé :
Cette thèse présente la pensée d’al-Fārābī, premier des grands philosophes arabes aristotéliciens, comme une philosophie systématique de la réalisation. En partant du nœud problématique de l’articulation du théorique et du pratique, il s’agit d’interroger l’unification totalisante qui caractérise l’œuvre du « Second Maître ». Notre hypothèse est que cette réalisation, aussi bien intensive, comme parachèvement, qu’extensive comme intégration, s’opère grâce à une redéfinition de deux concepts (néo-)aristotéliciens : la métaphysique et la perfection. Ces deux notions qu’al-Fārābī transforme, afin de proposer des résolutions à des tensions propres aux positions aristotéliciennes, conduisent à un système philosophique original. La notion de fiṭra, qui définit la figure fārābīenne de l’homme, s’appuie sur l’interprétation essentialiste de la perfection d’Alexandre d’Aphrodise et permet de construire une nature humaine comme disposition prise dans une logique de substantialisation. Avec ce nouveau concept, al-Fārābī inscrit au cœur de la substance un dynamisme, tout en rendant essentiel son parachèvement. De cette étape fondationnelle, il fait émerger une véritable science pratique autour la vertu délibérative et des règles qu’elle produit. Or cela n’est possible que sur le fond de transformations ontologiques majeures : apparaît alors la chose, l’ontologie formelle qu’elle permet et la distinction entre l’essence et l’existence qu’elle présuppose. L’action politique du philosophe qui, par sa substantialisation, offre à tous, sous forme religieuse, leur réalisation permet l’intégration architectonique de l’ensemble des existants manifestant par là ce que c’est qu’être principe
This PhD thesis is a study of the thought of al-Fārābī, the first of the main Aristotelian Arabic philosophers, and presents it as a systematic philosophy of realisation. Starting with the problematic crux of the articulation between the theoretical and the practical, it questions the totalizing unification that characterizes the “Second Master’s” work. Our hypothesis is that this realisation, both in its intensive form as completion and its extensive form as integration, takes place through a redefinition of two (neo-)Aristotelian concepts: metaphysics and perfection. These two notions, that al-Fārābī transforms in order to offer answers to tensions proper to the Aristotelian positions, lead to an original philosophical system. The notion of fiṭra, which defines the Fārābīan human figure, is based on Alexander of Aphrodisias’ essentialist interpretation of perfection. It enables an elaboration of human nature as a disposition in the logic of substantialization. With this new concept, al-Fārābī inscribes a dynamic at the heart of the substance while rendering its completion essential. From this foundational step, he erects a genuine practical science built around the deliberative virtue and the rules it produces. This is only possible through major ontological transformations: thus the concept of thing appears, as well as the formal ontology it enables and the distinction between essence and existence which it presupposes. Through his substantialization, the philosopher offers everyone their realisation in the form of religion, so that his political action enables the architectonic integration of all existents, hence showing what it is to be a principle
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Charfeddine, Slim. « Immédiateté et médiation dans le discours sur l'être chez Aristote et Hegel ». Electronic Thesis or Diss., Lille 3, 2014. http://www.theses.fr/2014LIL30044.

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Résumé :
Telle la nature qui aime à se cacher, la médiation apparaît d’abord comme médiation absente ou oubliée. L’ontologie se développe spontanément comme discours qui affirme l’immédiateté de l’être. Mais si l’être est immédiateté, c’est-à-dire identité simple à soi-même, alors le discours sur l’être est impossible. Seule la médiation, qui est l’identité négative, ou encore l’identité qui se réalise par le truchement de l’altérité, de la différence permet à l’ontologie de se réaliser comme discours sur l’être. Mais non seulement le concept de médiation rend possible l’ontologie, mais elle éclaire de manière remarquable la Métaphysique d’Aristote. C’est pourquoi nous proposons une lecture de la Métaphysique qui montre son unité thématique via le concept de médiation.Ensuite, le coeur de la médiation est la logique que nous saisissons dans ces principaux moments : tout d’abord comme philosophie platonicienne du langage qui saisit la prédication comme unité du même et de l’autre, puis véritablement comme logique syllogistique fondée sur le moyen-terme, véritable médiateur des termes de la conclusion, et enfin comme logique spéculative hégélienne. Pour terminer, le concept de médiation permet de rendre raison d’une certaine cohérence de l’histoire de la philosophie, et notamment de classer les réponses types(au sens d’un idéal-type) concernant le problème central de l’ontologie à savoir le rapport entre l’être et le discours. Notamment nous étudierons deux périodes de l’histoire de la philosophie :l’antiquité de l’affirmation parménidienne de l’immédiateté de l’être à la médiation aristotélicienne conçue comme finalité ou actualisation d’une puissance, ou entéléchie, et la modernité de Descartes à Hegel qui voit un mouvement analogue s’opérer en son sein mais à partir du concept d’Infini en acte et non plus à partir de l’être
As Nature - which loves to hide - mediation appears at first as missing or forgotten. Ontology develops spontaneously as a discourse affirming the immediacy of being. But if being is immediate, that is to say simple identity in itself, then no discourse on being is possible. Only mediation, which is negative identity, or even identity which exists through the articulation of otherness, enables ontology to exist as a discourse on being. But not only does the concept ofmediation enable ontology, but it also remarkably enlightens Aristotle’s Metaphysics. That is why we suggest an interpretation of Aristotle’s Metaphysics which shows its thematical unity through the concept of mediation.Then, the core of mediation is logic grasped thanks through the following steps : first of all through Plato’s philosophy of language, that interprets predicating as unity of the same nessand of the difference, then through Aristotle’s syllogistic logic based on the middle term, the true mediator of the terms of the conclusion, and finally through Hegel’s speculative logic.Finally, the concept of mediation enables the reader to somewhat make sense of the Historyof Philosophy and especially to sort typical answers (that is ideal types) regarding ontology’sforemost disputed point i.e. the relationship between being and discourse. Moreover, we will study two periods in the History of Philosophy : ancient philosophy starting from Parmenides’claim that being is immediate to Aristotle’s mediation, perceived as a purpose or the actualization of a potentiality or even entelechy and modern History from Descartes to Hegel during which a similar movement occurs but with a different starting point : the concept of actual infinity vs the concept of being
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Doumic, Jacques. « La substance sensible : unicité de la forme substantielle et position de la substance. Essai de philosophie de la nature ». Electronic Thesis or Diss., Université de Lorraine, 2023. https://docnum.univ-lorraine.fr/ulprive/DDOC_T_2023_0121_DOUMIC.pdf.

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Résumé :
La notion de substance emporte avec elle divers traits connus : c’est le sous-jacent aux changements de faible ampleur ; c’est le sujet existant en lui-même et capable d’accueillir des accidents ; c’est l’individu par excellence. Non sans vigoureuse simplification, on peut faire remonter ce modèle sommaire à Aristote et Thomas d’Aquin, et en déduire diverses conséquences : omniprésence (tout est substance, partie de substance, ou accident rattaché à une substance) ; unicité de la forme substantielle (un ensemble de substances ou une partie de substance ne sont pas des substances) ; univocité (la notion de substance n’est pas susceptible de plus et de moins).Une belle vivacité éditoriale témoigne que les travaux de conceptualisation relatifs à la substance se poursuivent, avec de fréquentes références à des auteurs anciens et notamment à Aristote. Une cartographie orientée des travaux notamment contemporains, constitue en soi un important travail de synthèse philosophique, et l’un des objectifs de la présente thèse. En pratique, vu l’ampleur de ce que l’on peut tirer du corpus aristotélicien et de ses exégèses, une partie très importante du mémoire sera consacrée à l’approche aristotélicienne de la substance (plus de 400 pages). Cette approche sera complétée, de manière plus succincte, par les apports propres de l’école thomiste : notion de création (qui, par contraposition, éclaire celle de changement), doctrine de l’analogie, distinction réelle de l’essence et de l’esse et identification de la substance à travers une relation.particulière de l’essence et de l’esse.Cette synthèse orientée sur la nature de la substance ne constituera toutefois qu’un objectif auxiliaire. Notre ambition consistera principalement à explorer un problème aussi ancien mais plus rarement étudié, du moins sous la forme brutale que nous lui avons donnée. Les conceptions de la substance, telles qu’esquissées ci-dessus, sont très générales. Résistent-elles à une confrontation à la réalité sensible ? Tel pan de la réalité concrète (nuage, goutte d’eau, océan, cellule, animal…) est-il ou n’est-il pas une substance ? Et si ce n’est pas une substance, de quelle substance dépend-il, de quelle substance est-il une partie ou un accident ?En faisant porter ainsi notre effort sur la position de la substance, nous pensons indiquer l’extrême tension inhérente à la notion même de substance, au moins dans son modèle sommaire. Cette tension se retrouve avec toute sa force dans la difficulté à concilier l’unicité de la forme substantielle, son univocité et son omniprésence, et ce particulièrement lorsque l’on se confronte au réel concret, et à la hiérarchie quotidienne des êtres qui nous entourent. Notre objectif final sera d’explorer une voie d’apaisement. Moyennant enrichissement et dépassement de ce modèle sommaire, peut-on dégager une notion de substance susceptible d’une prédication en un sens univoque, en un sens analogique, et à même d’aborder la question de la position de manière opératoire ? Notre réponse, bien qu’encore incomplète, sera largement positive, mais nécessitera des explicitations nouvelles, d’origine épistémologique, en particulier pour souligner l’existence objective et mathématisable d’une causalité du tout sur ses parties, en lien avec la question (souvent jugée aporétique) de l’émergence à laquelle nous proposons une solution
The idea of substance is associated to various well-known features: it is the underlying of small-scale changes; it is the subject existing in itself and able to host accidents; it is the individual of choice. Against the price of a vigorous simplification, one can trace this basic model back to Aristotle and Aquinas, and deduce various consequences from it: omnipresence (everything is substance, part of substance, or accident attached to a substance); uniqueness of the substantial form (a set of substances or a part of substance are not substances); univocity (the notion of substance is not susceptible of more and less).A beautiful editorial vivacity can testify that the conceptualization works relating to the substance goes on, with frequent references to ancient authors and in particular to Aristotle. In itself, an oriented cartography of works, especially contemporary ones, constitutes an important task of philosophical synthesis, and one of the objectives of the present thesis. In practice, given the extent of what can be drawn from the Aristotelian corpus and its exegeses, a very important part of the thesis will be devoted to the Aristotelian approach to substance (more than 400 pages). This approach will be completed, in a more succinct way, by the contributions of the Thomistic school : the notion of creation (which, by contraposition, sheds light on the notion of change), the doctrine of analogy, the real distinction between essence and esse and the identification of substance through a particular relation between essence and esse
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Pralon, Didier. « Les témoignages d'Aristote sur les atomistes anciens dans le fragment 208, dans les traités de la Métaphysique, de la Physique, du De Caelo et du De Generatione et Corruptione ». Aix-Marseille 1, 1995. http://www.theses.fr/1996AIX10016.

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Les temoignages, explicites et implicites, qu'aristote donne de la doctrine des atomistes anciens (35 dans le corpus retenu, variant de quelques lignes a plusieurs pages), presentent des exemples significatifs de la methode d'aristote en histoire de la philosophie. Ils donnent aussi une image coherente des principes d'une doctrine originale, que distinguent radicalement des autres doctrines ses postulats fondamentaux : l'infinitude et la discontinuite, d'une part, s'opposent au monisme fini d'aristote, quoi qu'il doive par ailleurs a democrite ; le materialisme et le sensualisme, d'autre part, separent tout aussi radicalement l'atomisme abderitain du platonisme.
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Moulin, Isabelle. « La question aristotélicienne de Dieu et sa réception chez les commentateurs grecs et médiévaux ». Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010671.

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Aucun livre d'Aristote n'a suscité de commentaires aussi divers que le livre Lambda de la Métaphysique. Convenait-il de présenter encore la doctrine aristotélicienne du premier moteur ? L'objet de cette étude consiste à discerner si la question de Dieu se pose dans le système aristotélicien, s'il est possible d'en construire une image cohérente, ainsi qu'à montrer comment s'est élaborée la réception de la question aristotélicienne de Dieu sur une période couvrant plus d'un millénaire. Au confluent de sources variées, Albert le Grand semble le commentateur privilégié. Grand lecteur avant d'être un grand interprète, il récapitule l'ensemble de la tradition tout en ouvrant la voie à un nouvel aristotélisme. D'Aristote à Albert, le premier principe, avant de devenir l'image d'un Dieu compatible avec la tradition chrétienne, s'est d'abord développé dans le monde grec et arabe. De commentaires en commentaires, c'est ce parcours que nous proposons au lecteur.
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Boccaccini, Frederico. « Franz Brentano et le principe de référence intentionnelle : une étude sur la métaphysique et la philosophie de l'esprit de Brentano à la lumière des derniers écrits (1905-1917) ». Paris 1, 2011. http://www.theses.fr/2011PA010521.

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Résumé :
Dans ma thèse, je montre comment la notion d'intentionnalité chez Brentano est liée à une forme d'aristotélisme platonisante. Dans la première partie, je montre que la notion d'intentionnalité se trouve déjà dans sa dissertation De la diversité des acceptions de l'être d'après Aristote (1862), où Brentano adopte la distinction ontologique entre en soi/en l'autre, d'origine plus platonicienne qu'aristotélicienne, pour en déduire, suivant un seul principe, les catégories d'Aristote. La deuxième partie de mon travail est consacrée à la représentation et ses modes : l'intuitif et le conceptuel. La relation entre le sensible et l'entendement, absente dans sa première production, gagne dans les derniers écrits une attention plus particulière, même si fragmentaire. La troisième partie, Apparence et réalité, traite de la structure du jugement et de la théorie brentanienne de la vérité. Cette dernière partie est consacrée à son épistémologie et métaphysique. On y montre comment les principes brentaniens de la connaissance s'opposent à toute théorie épistémologique fondée sur la justification des nos croyances.
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Kevorkian, Gilles-Alexandre. « L'essentialisme platonicien : la perspective fondationnelle ». Electronic Thesis or Diss., Paris, EHESS, 2019. http://www.theses.fr/2019EHES0087.

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Résumé :
Quelle est la nature des entités métaphysiques premières que la tradition a retenues sous le nom de Formes platoniciennes ? À cette question, en s’inscrivant dans les pas de la critique aristotélicienne des Formes, la tradition de commentaire majoritaire a répondu de façon catégorielle : les Formes platoniciennes sont des universaux prédicatifs. Cette tradition, qui réduit les essences à des prédicats, ne rend pas justice au texte platonicien. Platon répond à la question de la nature des Formes de façon principielle : les essences platoniciennes sont des principes qui ont une double fonction définitionnelle et fondationnelle. Il y a deux voies de l’essentialisme platonicien, une voie définitionnelle, bien connue, une voie fondationnelle, ignorée. C’est pourquoi on défend ici l’hypothèse d’un essentialisme fondationnel, introduit par Platon dans le "Phédon", mis au défi dans le "Parménide". En suivant le concept de fondation, marqué dans le texte platonicien par les opérateurs "en vertu de" (διὰ+accusatif), "pourquoi" (διὰ τί), "parce que" (δι' ὃτι), on montre qu’il est l’ancêtre du concept contemporain de fondation, théorisé en philosophie analytique par la logique des expressions « in virtue of », « because ». On met en évidence, ce faisant, la différence de l’essentialisme fondationnel platonicien avec l’essentialisme aristotélicien. Cet essentialisme fondationnel ouvre un nouvel espace logique pour l’essentialisme platonicien, eidétique, à côté d’autres formes de l’essentialisme contemporain (objectuel ou générique). En articulant examen des textes antiques et des concepts de la métaphysique contemporaine, le présent travail propose une défense possible de la métaphysique platonicienne
What is the nature of the primary beings which a long-standing tradition has studied under the name of Platonic Forms ? To this « nature question », following Aristotle’s criticisms of Forms, the majority view has given an answer in terms of metaphysical categories: Platonic Forms are universals of a predicative kind. This latter view is reductionist: Plato’s essences are not predicates. Plato answers the « nature question » about the Forms on a foundational basis: Platonic Forms are essences which perform both a definitional function and a grounding function. Plato’s definitional essentialism is well known ; Plato’s caracterization of essences as grounds has not yet been studied. That is the reason why we focus on defending a grounding view of Plato’s essentialism : essences as grounds are set forth by Plato in the "Phaedo" and criticized in the "Parmenides". This grounding view is expressed by the terms "in virtue of" (διὰ+accusatif), "why" (διὰ τί) and "because" (δι' ὃτι) in the platonic corpus, and thus anticipates the metaphysics and logic of the contemporary concept of ground. While focusing on the nature of essences as grounds, we also show how Plato’s eidetic essentialism has its own conceptual space, how it is different from both objectual and generic essentialisms. By combining the study of ancient philosophy and contemporary metaphysics, we try to defend Plato’s essentialism as a viable metaphysical option
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Angelis, Nicolas K. « L'être et la justice chez Aristote ». Paris 2, 1989. http://www.theses.fr/1989PA020008.

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L'etre et la justice selon aristote sont etudies sous l'angle du rapport existant entre sujet-connaissant (homme) et objet de connaissance. La connaissance rend capable le sujet connaissant de s'approprier de proprietes de son objet et elle se divise en theoretique et pratique selon qu'elle porte sur l'univers ou l'homme respectivement. Ainsi le mot etre designe-t-il soit l'univers soit la societe humaine. L'univers est un tout dans lequel sont compris des etres individuels, soit des substances: dieu, substances du ciel (planetes) et substances naturelles (corps naturels). Les elements constitutifs des substances naturelles sont la matiere passive et la forme active, cause du changement et du mouvement. La justice s'applique a la societe humaine politique. L'ensemble des relations sociales constitue l'objet propre de la justice. La relation du gouvernement au gouverne est l'objet de la justice politique distributive. D'apres aristote le gouvernement de l'etat doit etre confie aux meilleurs. Les rapports economiques et la repartition des richesses est l'objet de la justice corrective. Enfin, la justice totale ou parfaite examine la formation du charactere des citoyens selon les preceptes de la loi morales (ethique)
The being and the justice in accordance with aristotle are examined under the angle of the relationship existing between the knowing subject (man) and the object of knowledge. The knowledge enables the knowing subject to appropriate the qualities of its object and is divided in theory and in practice, in proportion to whether it refers to the universe or the man respectively. Thus the word being means either the universe or the human society. The universe is a total within which are included certain being, i. E. , the substances: god, substances of the heaven (planets) and natural substances (natural bodies). The component elements of the natural substances are the passive material and the active form the cause of the change and movement. The justice refers to the human political society. The unit of social relationships constitutes the particular object of justice. The relationship of governorgoverned is the object of distributive political science. In accordance with aristotle the governing of the state must be committed to the best citizen. The financial relationships and the distribution of wealth is the object of corrective justice
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Spaak, Claude Vishnu. « Interprétations phénoménologiques de la Physique d'Aristote chez Heidegger et Patočka ». Thesis, Paris 4, 2014. http://www.theses.fr/2014PA040171.

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Résumé :
L’ambition de cette thèse est de confronter les interprétations heideggérienne et patočkienne des concepts fondamentaux de la Physique d’Aristote. Un point d’accord relie les deux philosophes : Aristote conçoit le mouvement comme une détermination ontologique fondamentale. Le mouvement (κίνησις/μεταβολή) se conçoit fondamentalement en effet comme un procès d’éclosion, d’advenue au paraître des étants dans la présence manifeste. Cependant, Heidegger et Patočka ne comprennent pas de la même manière le sens de ce mouvement ontologique au cœur de la nature (φύσις) : c’est à examiner ces différences que cette thèse est consacrée, de sorte à faire ressortir, à la faveur de l’interprétation d’Aristote, deux conceptions distinctes et à bien des égards opposées chez ces deux auteurs du sens et du statut de l’ontologie phénoménologique elle-même. Cette thèse conclut à l’idéalisme philosophique de Heidegger, ainsi qu’à la tendance contraire chez Patočka à un réalisme cosmologique qui conteste, jusqu’à un certain point, l’identité de l’être et du sens. Dans le cadre de cette thèse, une attention toute particulière est accordée au concept qui concentre en lui toute la charge de la tension : à savoir le concept de matière (ὕλη)
This thesis confronts the Heideggerian and Patočkian interpretations of the fundamental concepts of Aristotelian Physics. Both interpretations share a point in common: according to Heidegger and Patočka, Aristotle conceives movement as a fundamental ontological determination of Being. Indeed, movement (κίνησις/μεταβολή) is conceived by Aristotle as a process of unconcealment, of coming into presence of entities in the openness of manifest being. Nevertheless, Heidegger and Patočka disagree on the way that one should understand the meaning of this ontological movement at the core of nature (φύσις). This thesis is entirely dedicated to examining these differences. Our aim is to show, through Heidegger’s and Patočka’s interpretations of Aristotle, that there are two distinct and by all means opposed conceptions of the meaning and status of phenomenological ontology itself. This thesis concludes both to Heidegger’s philosophical idealism, and to Patočka’s contrary attempt to build a cosmological realism that challenges to a certain extent the identity between Being and meaning. In the working out of this thesis, a very particular focus is drawn on the concept that concentrates the entire charge of the tension, i.e. the concept of matter (ὕλη)
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Baghdassarian, Fabienne. « La question du divin dans la philosophie aristotélicienne ». Thesis, Lyon 3, 2011. http://www.theses.fr/2011LYO30060/document.

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Résumé :
Poser la question du divin chez Aristote, c’est déterminer à quelle question la conception aristotélicienne du divin est censée répondre. L’examen méthodique de l’intégralité du corpus aristotelicum et, tout particulièrement, des trois textes dans lesquels Aristote place l’étude des réalités divines au centre de son enquête (Physique, VII-VIII ; De Cœlo, I-II, Métaphysique, Lambda) permet de formuler deux conclusions principales. En premier lieu, il apparaît clairement que la question du divin n’est pas, aux yeux d’Aristote, de nature théologique, mais archologique. Nulle part, en effet, l’étude du divin n’est menée pour elle-Même ; elle s’ancre, au contraire, dans un examen explicitement dédié aux principes premiers de la phusis ou des ousiai. La conception aristotélicienne du divin et des dieux est ainsi le produit d’un examen méthodique des êtres premiers et des principes, examen grâce auquel Aristote espère produire une détermination rigoureuse du mode d’être du principe en tant que tel et résoudre, par là même, certaines apories relatives à la question de l’archè. En second lieu, il convient de noter que les principaux textes dévolus à l’étude des êtres divins se distinguent les uns des autres par des nuances méthodologiques significatives. Selon que la question du divin prend naissance au sein de la science naturelle ou de la science des substances, selon qu’elle appartient à la physique ou à l’ousiologie, la preuve de l’existence des réalités divines, de même que la description de leur nature et de leurs fonctions, font l’objet de formulations diverses, toutes inféodées à la logique conceptuelle de la science qui les rend possibles. En somme, chaque examen des réalités divines se distingue par sa tournure singulière, qui n’est autre que le produit de la régionalisation des discours, c’est-À-Dire de leur adaptation méthodologique aux outils de la science qui les engendre
Studying the question of the divine in Aristotle implies to determine to which problem the Aristotelian conception of the divine is supposed to answer. Two conclusions can be drawn from close examination of the corpus aristotelicum in its entirety, and particularly of these texts in which the study of divine realities is Aristotle’s major concern (Physics, VII-VIII; De Cœlo, I-II, Metaphysics, Lambda). In the first place, it clearly appears that, according to Aristotle, the question of the divine is not a theological question, but an archological one. Indeed, nowhere Aristotle studies the divine beings in order to explore deeply the nature of the gods, but rather with the intention of investigating the first principles of phusis and ousiai. The Aristotelian conception of the divine is thus the consequence of the detailed examination of the first principles, thanks to which Aristotle thinks he will be able to define precisely the nature of the principle qua principle and then to solve some aporia about the archè. In the second place, it is worth noting that each of the three main texts in which Aristotle develops his conception of the divine is characterized by slight but significant differences in method. Depending on whether the question of the divine belongs to the science of nature (physics) or to the science of ousia (ousiology), the demonstration of the existence of divine beings and the description of their nature and causality are expressed in different ways, in accordance with the concepts employed in each science. In short, each investigation about divine beings is characterized by its singular form, which is the product of the regionalization of each inquiry, i.e. of its methodical adaptation to the conceptual tools of the science to which it belongs
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Raffray, Matthieu. « « De Relativis » : La doctrine des relatifs jusqu’aux synthèses d’Albert le Grand et de Thomas d’Aquin ». Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040095.

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Résumé :
Le primat de la relation est une caractéristique fondamentale des philosophies contemporaines comme des évolutions récentes de la théologie : le but de cette étude est de retracer les développements de la notion de relation jusqu’aux grandes synthèses théologiques du 13è siècle, afin d’évaluer les fondements historiques et la légitimité conceptuelle des relationalismes contemporains. Après avoir étudié la naissance d’une ontologie des êtres relatifs chez Platon et Aristote, ainsi qu’à travers les ambiguïtés de leurs transmissions, nous montrons comment les théologiens de l’Antiquité ont exploité ces fondements philosophiques, autour des modèles de « l’attribution différenciée » chez Augustin et de « l’accidentalité différenciée » chez Boèce. Au 12è siècle, ces modèles antiques ont à leur tour donné lieu à un changement de paradigme, au sujet de la predicatio in divinis, de Gilbert de Poitiers jusqu’à Pierre Lombard. Nous centrons alors notre étude sur les synthèses sententiaires d’Albert le Grand et de Thomas d’Aquin, qui exploitent l’un et l’autre la notion comme l’élément clef d’une description unitaire et structurée de l’édifice théologique. Albert emploie une notion typiquement aristotélicienne de la relation comme instrument pour édifier une théologie cohérente et rationnelle ; Thomas développe ces intuitions albertiennes et met en œuvre une vue ordonnée du Monde dans ses rapports avec Dieu, dont la condition, contrairement à de nombreuses lectures thomistes, est la stricte accidentalité de l’être relatif. A l’issue de ce parcours historique, on aura donc mis en évidence la tentation platonisante qui constitue la source conceptuelle des relationalismes contemporains
The primacy of relation is a fundamental characteristic of contemporary philosophies as well as recent evolutions of Christian theology: the goal of this study is to describe the first developments of the notion of relation up to the great theological synthesis of the 13th century, in order to evaluate the historical foundations and the conceptual validity of the contemporary “relationalisms”. After studying the birth of the ontology of relative beings by Plato and Aristotle, as well as through the ambiguities of their transmissions, we show how the theologians of Antiquity exploited those philosophical sources using two models: the “differentiated attribution” with Augustine, and the “differentiated accidentality” with Boethius. During the 12th century, those two antique models became in their turns the origin of a change of paradigm on the problem of predicatio in divinis, from Gilbert of Poitiers to Peter Lombard. We then center our study on the sentential synthesis of Albert the Great and Thomas Aquinas, who both exploited the notion of relation as a key-element of a united and well-structured description of their theological thought. Albert uses a typical Aristotelian notion of relation as a tool for building a coherent and rational theology; Thomas develops those albertian intuitions and organizes a well-ordered view of the World in its relations to God, whose condition, contrary to many thomistic interpretations, is a strictly accidental conception of the relative beings. At the end of this historical path, we will then have shown the Platonist temptation which constitutes the conceptual source of the contemporary “relationalisms”
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Brown, Julius. « Penser le corps, sa puissance et sa destinée chez Spinoza : aux sources de son anthropologie ». Electronic Thesis or Diss., Strasbourg, 2015. http://www.theses.fr/2015STRAK012.

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Résumé :
Spinoza évaluera la révolution copernicienne et prônera un naturalisme rationaliste et matérialiste contre la tradition onto-théologique, Aristote et Descartes en étant les deux figures clés, sans parler des théologiens et de la Bible. Spinoza interprète l’erreur du géocentrisme comme signalant deux autres erreurs : le dualisme anthropologique classique qui inféodait le corps à l’âme et l’illusion du libre-arbitre. Par la réhabilitation gnoséologique, psychophysique et socio-affective du corps, il prétend conduire l’homme au salut présent, non eschatologique, le réconciliant avec lui-même et avec le Dieu-Nature. La permanence d’une sensibilité anthropologique hébraïque y est prégnante, ce qui n’annule pas des disparités conceptuelles, métaphysiques, sotériologiques et éthiques entre lui et l’Écriture. Ces disparités pourraient rapprocher Spinoza plus d’Aristote que de Descartes. Le projet spinozien tiendra-t-il ses promesses sans retomber dans les travers du mythique et du mystique ?
Spinoza assesses the Copernican revolution and advocates a rationalist and materialistic naturalismagainst the onto-theological tradition, Aristotle and Descartes as the two main figures thereof,theologians and the Bible not to mention. Spinoza interprets the error of geocentrism as indicating twoother errors: classical anthropological dualism which subjugated the body to the soul and the illusion offree-will. By gnoseological, psychophysical and socio-emotional rehabilitation of the body, he claims tolead man to present salvation, not eschatological, reconciling him with himself and with God as Nature.The permanence of Hebraic anthropological sensibility is pregnant, which does not cancel metaphysical,soteriological and ethical disparities between him and the Bible. These disparities could bring Spinozacloser to Aristotle than to Descartes. Will the spinozian project keep its promises without relapsing intothe traps of the mythical and the mystical ?
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El, Hachimi Lucile. « Métaphysique et perfection : l’articulation fārābīenne du théorique et du pratique ». Thesis, Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL111.

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Résumé :
Cette thèse présente la pensée d’al-Fārābī, premier des grands philosophes arabes aristotéliciens, comme une philosophie systématique de la réalisation. En partant du nœud problématique de l’articulation du théorique et du pratique, il s’agit d’interroger l’unification totalisante qui caractérise l’œuvre du « Second Maître ». Notre hypothèse est que cette réalisation, aussi bien intensive, comme parachèvement, qu’extensive comme intégration, s’opère grâce à une redéfinition de deux concepts (néo-)aristotéliciens : la métaphysique et la perfection. Ces deux notions qu’al-Fārābī transforme, afin de proposer des résolutions à des tensions propres aux positions aristotéliciennes, conduisent à un système philosophique original. La notion de fiṭra, qui définit la figure fārābīenne de l’homme, s’appuie sur l’interprétation essentialiste de la perfection d’Alexandre d’Aphrodise et permet de construire une nature humaine comme disposition prise dans une logique de substantialisation. Avec ce nouveau concept, al-Fārābī inscrit au cœur de la substance un dynamisme, tout en rendant essentiel son parachèvement. De cette étape fondationnelle, il fait émerger une véritable science pratique autour la vertu délibérative et des règles qu’elle produit. Or cela n’est possible que sur le fond de transformations ontologiques majeures : apparaît alors la chose, l’ontologie formelle qu’elle permet et la distinction entre l’essence et l’existence qu’elle présuppose. L’action politique du philosophe qui, par sa substantialisation, offre à tous, sous forme religieuse, leur réalisation permet l’intégration architectonique de l’ensemble des existants manifestant par là ce que c’est qu’être principe
This PhD thesis is a study of the thought of al-Fārābī, the first of the main Aristotelian Arabic philosophers, and presents it as a systematic philosophy of realisation. Starting with the problematic crux of the articulation between the theoretical and the practical, it questions the totalizing unification that characterizes the “Second Master’s” work. Our hypothesis is that this realisation, both in its intensive form as completion and its extensive form as integration, takes place through a redefinition of two (neo-)Aristotelian concepts: metaphysics and perfection. These two notions, that al-Fārābī transforms in order to offer answers to tensions proper to the Aristotelian positions, lead to an original philosophical system. The notion of fiṭra, which defines the Fārābīan human figure, is based on Alexander of Aphrodisias’ essentialist interpretation of perfection. It enables an elaboration of human nature as a disposition in the logic of substantialization. With this new concept, al-Fārābī inscribes a dynamic at the heart of the substance while rendering its completion essential. From this foundational step, he erects a genuine practical science built around the deliberative virtue and the rules it produces. This is only possible through major ontological transformations: thus the concept of thing appears, as well as the formal ontology it enables and the distinction between essence and existence which it presupposes. Through his substantialization, the philosopher offers everyone their realisation in the form of religion, so that his political action enables the architectonic integration of all existents, hence showing what it is to be a principle
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Brague, Rémi. « Aristote et la question du monde ». Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040002.

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Résumé :
Plusieurs aspects de la métaphysique, de la physique, de l'éthique et de la psychologie d’Aristote peuvent s'interpréter comme des affleurements d'un concept non-thématisé, celui d'être-dans-le-monde (l'in-der-welt-sein de heidegger). L’ensemble de la pensée grecque classique, même si elle était fascinée par l'ordre du cosmos, ne s'est guère demande ce que signifiait "être-dans-le-monde". L’expérience de la facticité, qui est un des traits fondamentaux de celle-ci, est ce qui permet à Aristote dans le protreptique, de justifier la vie philosophique ; mais il conçoit celle-ci comme culminant dans la contemplation, c'est-à-dire l'accès a ce qui est au plus haut point (ch. 2). Aristote est toujours resté pris dans cette ambiguïté, qui provient de ladite transposition : son éthique révèle ses hésitations entre deux sujets de l'agir moral : le "je" à qui il incombe d'agir de par ce qu'il a d'unique, le cédé a l'homme, tel qu'il est défini par sa place parmi les autres parties de l'univers (ch. 3 & 4). Par suite, il lui faut définir l'homme comme le plus mondain des êtres sublunaires : l'homme imite l'univers grâce à son universalité, et parce qu'il est capable de saisir les réalités les plus élevées (ch. 5). Cependant, Aristote ne peut définir le topos - ce dans quoi sont les choses- sans renvoyer à notre façon particulière d'être-là, même s'il réintroduit ensuite l'idée d'univers grâce à sa théorie des dimensions du corps humain comme fondées dans la structure objective du cosmos (ch. 6). Les difficultés de la définition aristotélicienne de l'âme ainsi que celles de la doctrine de l'intellect agent proviennent de la tentative d'Aristote pour transposer ce qu'il pense implicitement comme l'ouverture même du monde à travers notre présence dans le registre de la réalité mondaine-ce qui l'oblige à réduire l'âme à la conscience de ce qui se produit parmi les choses du monde (ch. 7). Il conçoit celui-ci d'une manière telle qu'elle l'amène à exclure le mouvement spécifiquement humain au profit de la continuité absolue des corps célestes. Cependant, la contemplation de soi du premier moteur reflète l'ambiguïté non résolue de l'energeia humaine : le pur acte d'être-là et l'activité de contempler le plus haut de tous les êtres s'y fondent (ch. 8). Malgré tout, l'energeia comme concept ontologique fondamental ne peut pas se définir en dehors de l'expérience humaine de l'être-là (ch. 9)
Some aspects of aristotle's metaphysics, physics, ethics and psychology can be accounted for as dim echoes of a concept a. Never dealt with thematically : being-in-theworld (heidegger's in-der-welt-sein). Classical greek though as a whole, although it was fascinated by the orderliness of the cosmos, hardly asked what being-in-the world means (ch. 1). The experience of facticity, which is one of its main features, enables a. To justify philosophical life in the protrepticus, but he conceives of this life as focussing on contemplation, i. E. Access to what emphatically is (ch. 2). A. Never got rid of this ambiguity, which arises from such a transposition : his ethics bear witness of his hesitating between two subjects of moral life : the i whom it behoves to act, because of his uniqueness, gives way to man as defined by his place among other parts of the universe (ch. 3 & 4). A. Therefore has to define man as the worldliest of all sublunar beings : he imitates the universe thanks to his universality and because he can grasp the highest beings (ch. 5). Nevertheless, a. Cannot define topos - the place in which things are - without his referring to our paculiar way of being there, although he later brings back the idea of universe through his theory of the dimensions of human body as rooted in the objective structure of the cosmos (ch. 6). The difficulties in a. "s definition of the soul as well as in his doctrine of the active intellect stem from his attempt at translating what he silently conceives of as the vey openness of the world through our presence, into the optics of worddly realitywhat compels him to reduce soul to consciousness of what takes place among things of the world. (ch. 7). A. Conceives the universe in a way which leads him to dis- card specifically human motion on behalf of the heavenly beings' absolute continuity. However, the first mover's self-contemplation mirrors the unresolved ambiguity of hu- man energeia : both the pure act of being there and the activity of contemplating the highest being coalesce in it (ch. 8). However, a. 's central ontological concept, en- ergeia, cannot be defined apart from the experience of our being there (ch. 9)
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Châteauvieux, Marie de. « Justice et amitié selon Aristote ». Paris 4, 1985. http://www.theses.fr/1985PA040100.

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Bégorre-Bret, Cyrille. « Aristote et la définition de l'homme ». Paris 10, 2004. http://www.theses.fr/2004PA100167.

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Résumé :
Contrairement à ce que tous ses lecteurs affirment, Aristote ne formule pas de définition de l'homme. Un énoncé est définitionnel s'il explique l'essence de l'être sur lequel il porte. Pour cela, il doit remplir plusieurs conditions logiques et épistémologiques. Or, aucune des formules d'Aristote sur l'homme ne satisfait à toutes ces conditions. Les célèbres énoncés qui décrivent l'homme comme l'animal qui se tient droit, l'animal politique ou encore comme l'animal doté du logos n'exposent pas l'essence de l'homme et ne sont donc pas définitionnelles pour Aristote. Les thèses aristotéliciennes sur l'homme ne sont donc pas unifiées par un énoncé définitionnel architectonique car elles ont elles-mêmes deux destinations différentes. Soit elles expliquent la nature de l'homme. Mais, dans ce cas, elles ne conviennent pas seulement aux hommes. Soit elles mettent en valeur ce qu'il y a de meilleur en l'homme. Mais, dans ce cas, elles ne conviennent pas à tous les hommes
Scholars usually think that Aristode makes a de finition of man. But they don't analyze the different phrases made by Aristode on man through his own conception of de finition. Definition is a very specific kind of sentence which offers the most fondamental scientific knowledge about a being. It must comply certain characteristics. It must in particular be universal, i. E. Hold for ail the deftniendum. But if one tries to collect, compare and scrutinize these different formulas, one can unexpectedly see that none of them can be considered as the definition of man by the Philosopher. The famous phrases describing men as politicaI or rationaI animaIs can't be definitionnal in Aristode's view because they don't fit his own definitional standards: they don't show a characterist universally owned by men and by men only. Aristode's conception of man is not aimed at deflning him but at describing his naturaI features or at showing his dignity
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Murgier, Charlotte. « Recherches sur le platonisme d'Aristote et ses limites en philosophie pratique ». Lille 3, 2009. http://www.theses.fr/2009LIL30052.

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Résumé :
Ce travail entend remettre en question l'idée que le rapport d'Aristote au platonisme serait une question réglée, parce qu'il se réduirait ou bien à une opposition frontale à la théorie des idées, ou bien à une démarcation progressive vis-à-vis des thèses platoniciennes suivant un schéma évolutionniste. L'hypothèse d'un Aristote fin lecteur de Platon s'avère bien plus féconde : problématique plutôt que doctrinal, son platonisme hérite moins de thèses que d'apories. On accède ainsi à l'intelligibilité des concepts fondamentaux de l'éthique aristotélicienne (plaisir, bonheur, amitié, phronesis) dont la construction est redevable des questions ouvertes par les Dialogues. On y saisit ensuite le fil conducteur de la confrontation d'Aristote avec l'éthique platonicienne. Loin de se limiter au refus de la métaphysique des Idées, sa critique s'explique plus positivement par son effort pour dépasser les limites rencontrées par la conception platonicienne de l'action, qu'elles prennent la forme aiguë d'apories concernant l'amitié ou le savoir pratique, ou le visage de condamnations éthiques et ontologiques pesant sur le plaisir, la tragédie ou la démocratie. En redonnant au plaisir sa dignité et sa place dans la vie heureuse, en rendant raison du rôle de l'amitié dans la vie vertueuse, en repensant le savoir nécessaire à l'action, Aristote redonne sens et consistance aux différentes facettes de notre vie pratique. Son débat avec le platonisme donne ainsi à comprendre comment l'action donne forme à un agent , dont elle constitue l'accomplissement, éclairant par là ce fait simple et singulier, qui justifie le besoin humain d'une éthique, à savoir qu'il nous faut agir pour être
This dissertation challenges the view that the question of Aristotle's relationship to Platonism has been settled, being reduced either to a strong opposition to the theory of Ideas or, following the developmental account, to a progressive departure from platonic views. The notion of Aristotle as a close reader of Plato proves far more enlightening : being problematical rather than doctrinal, his Platonism inherits aporiai rather than claims. This approach gives greater intelligibility to the main concepts of Aristotelian ethics (pleasure, happiness, friendship, phronesis) the genesis of which is indebted to the questions raised in the Dialogues. Furthermore, it enables us to grasp the thread that runs through Aristotle's confrontation with Platonic ethics. Far from being reductible to a simple dismissial of the metaphysics of Ideas, his criticism proceeds more positively, attempting to go beyond the limits of the Platonic account of action, wether they be manifested in the aporiai of friendship or practical knowledge, or in the ethical and ontological condemnation of pleasure, tragedy or democracy. By giving pleasure its dignity and status in the happy life, by accounting for the role of friendship in the virtuous life and by rethinking the kind of knowledge required for acting. Aristotle gives sense and consistency to the various aspects of our practical life. His debate with Platonism enables us to understand how action gives shape to an agent, in that it allows him to fulfil himself. Thus, it elucidates the simple and singular fact that justifies the human need of ethics, namely that a human being has to act in order to be
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Pellegrin, Pierre. « Biologie et politique chez Aristote ». Paris 1, 1988. http://www.theses.fr/1988PA010517.

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Jaulin, Annick. « Genre, genèse et génération : de l'ousia prôtè chez Aristote ». Paris 1, 1995. http://www.theses.fr/1995PA010529.

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Lefebvre, René. « La ressemblance chez Aristote ». Paris 4, 1993. http://www.theses.fr/1993PA040115.

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Résumé :
La ressemblance parait occuper une place moins importante chez Aristote que chez Platon ou les présocratiques : paradigmatisme, cratylisme, dynamique de la ressemblance, fascination pour le pseudos et les eidola sont morts. Pourtant, même en position de rupture, Aristote continue de parler de la ressemblance entre les opposes, ou de la similitude des formes dans le perçu et le percevant. Surtout, il fait de la ressemblance un thème sémantique de l'hénologie, et la laisse continuer à essayer d'unifier le monde, en tant qu'analogie dans l'horizontalité, et mimesis verticale en cosmo-théologie. La dialectique voit en elle un indispensable instrument de la définition, de l'induction et du raisonnement hypothétique. Les pensées sont dites des homoiomata, et Aristote découvre la phantasia. Contre Platon, il comprend ce qui fait la valeur de la mimétique poétique. Comme biologiste, il insiste sur la ressemblance des enfants aux parents, considérant que la reproduction est la perpétuation d'un type
It seems that the place of likeness is less important in Aristotle than in Plato and pre-Socratic philosophy: paradigmatism, cratylism, presocratic dynamics or fascination for pseudos and eidola are dead. However, even while breaking, Aristotle goes on speaking of the resemblance of the opposites, and of the likeness of forms in the perceived thing and the perceiving mind. More, he makes likeness become a semantic theme of henology, and lets it go on trying to unify the world, qua analogy in horizontality, and vertical mimesis in cosmo-theology. Dialectic considers it as an indispensable organon of definition, induction and hypothetical reasoning. Thoughts are called homoiomata, and Aristotle discovers phantasia. Contra Plato, he understands what is valuable in poetical mimesis. As a biologist, he stresses upon the resemblance between parents and children, because he considers that reproduction is the perpetuation of a type
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Lemaire, Juliette. « La contradiction chez Aristote : analyse et problèmes ». Paris 10, 2005. http://www.theses.fr/2005PA100088.

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Résumé :
Aristote serait l'inventeur du concept de contradiction : la contradiction est l'opposition d'énoncés. Pourtant, l'analyse du Corpus Aristotélicien révèle que la contradiction est guettée par l'équivocité : la contradiction est l'une des quatre façons de dire être opposé, et la contradiction est une des façons dont les énoncés s'opposent. Comment articuler la classification quadripartite de l'opposition avec la distinction des propositions opposées ? S'agit-il de divisions complémentaires ou concurrentes ? Pourquoi la contrariété est-elle si proche de la contradiction ? Après l'étude des textes définissant et utilisant la contradiction, cette thèse contient une analyse de Métaphysique Gamma. Aristote affronte les négateurs du principe de non contradiction. Le point de départ de l'argumentation d'Aristote est la signification des mots. Outre la nature et les étapes de cette argumentation, son analyse conduit à poser la question d'une pluralité de principes de non-contradiction
Aristotle is supposed to be the inventor of the concept of contradiction: contradiction is the opposition between propositions. But, the analysis of the Aristotelian Corpus shows that contradiction may be close to equivocity: contradiction is one of the four ways of saying " to be opposite ", and contradiction is one of the ways propositions oppose each other. How to link the fourfold classification of the different meanings of opposition with the distinction between opposing propositions? Are they complementary or competing divisions? Why is contrariety so close to contradiction? After the study of the texts using and defining contradiction, this thesis presents an analysis of Metaphysics Gamma. Aristotle is facing those who deny the principle of noncontradiction. Besides the nature and the different stages of his argumentation, its analysis leads to discuss the question of a plurality of principles of non-contradiction
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Borel, Denis. « L'habitus des principes selon aristote ». Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/1999PA040213.

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Résumé :
Un habitus intellectuel decouvert par aristote n'a pas eu droit de la part de l'histoire de la philosophie a toute l'attention qu'il merite. L'habitus des principes, qui porte curieusement chez aristote le meme nom que la puissance de connaitre, le nous, reste silencieux dans la tradition peripateticienne. Il fallait reprendre l'enquete a son sujet a de nouveaux frais a partir des fondements scientifiques et epistemologiques de la saisie des principes mise en lumiere par le passage de l'ethique a nicomaque vi, 6, 1140 a 31-1141 b 8. Une premiere partie envisage les divers rapports de la science aristotelicienne aux principes decouverts par celui-ci. Une seconde partie s'attache ensuite a degager le realisme au sein du jugement aristotelicien, autant dans l'histoire du commentaire aristotelicien que dans les textes memes du stagirite. Le levier d'analyse en est le premier jugement (hupolepsis), operation de l'intelligence prescientifique dont l'activite s'exerce en deca et a l'interieur de la science. Une derniere partie s'attaque enfin a resoudre diverses questions posees par le systeme aristotelicien autour des quatre grands habitus intellectuels (art, prudence, science, sagesse)pour en reveler l'etroite coherence autour de la question technique de l'habitus des principes. L'habitus des principes se revele ainsi non seulement au coeur de la vie scientifique de l'intelligence, mais de toute la vie de l'esprit, comme le noyau commun qui permet a la nature de l'intelligence, avant toute operation en acte, de s'ordonner dans la realite a ce qui est premier et simple. C'est donc a une nouvelle caracterisation du realisme que convie cette enquete.
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Martínez, Lucía. « La théorie du rêve chez Aristote : principes physiologiques et psychologiques ». Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1998PA040152.

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Résumé :
Aristote est le premier penseur de la civilisation occidentale à refuser l'interprétation surnaturelle du phénomène du rêve, dominante dans la culture grecque, et à offrir une théorie cohérente et rationnelle sur ce sujet. Aussi a-t-il marqué de son empreinte l'étude de ce phénomène, de sorte que les marques de son influence peuvent être suivies jusqu'à nos jours. Il a, pour la première fois, marqué les limites de ce sujet qu'il situe aux frontières de la biologie et de la psychologie, à un moment du développement de la science où l'on a coutume de faire appel à une cause surnaturelle. Avec lui, le rêve cesse d'être présenté comme un phénomène d'origine métaphysique, pour être décrit comme un phénomène endogène, de nature psychophysiologique appartenant tout entier à l'être sensible. Aristote inaugure ainsi une tradition psychologique qui définit toujours le rêve comme une image engendrée par l'imagination, dans le contexte psychophysiologique du sommeil. La théorie sur le rêve d’Aristote représente en même temps l'achèvement et la synthèse de tout le savoir aristotélicien. Car Aristote s'est intéressé au phénomène du rêve lors de sa maturité. Dans trois traités des parva naturalia : du sommeil et de la veille, des rêves, de la divination dans le sommeil, après avoir précisé tout son système philosophique et lui avoir donné une forme définitive. Nous nous sommes proposé d'étudier dans ce travail la théorie sur le rêve telle qu'elle est développée dans ces trois traités, en exposant les principes physiologiques et psychologiques qui constituent son fondement - l'âme comme entéléchie, l'âme sensitive et la sensation, le sens commun et son organe le cœur, la @ ou imagination - à travers une analyse du lexique et des fonctions qu’Aristote leur attribue.
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Fouoména. « Relativité de l'axiomatisation et vues logistiques de l'ancienne logique : essai sur les restrictions des systèmes d'axiomes formalisés de la syllogistique d'Aristote et de la dialectique des Stoi͏̈ciens en logique formelle contemporaine ». Lyon 3, 1989. http://www.theses.fr/1989LYO31012.

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Résumé :
Notre essai analyse les limitations des interpretations formalisees et axiolatiques des theories de l'ancienne logique, notamment du systeme d'aristote:-d'une part, en rapport aux presupposes philosophique qui fondent epistemologiquement les besoins theoriques et la nature semantique des systemes de logique ancienne. Car, ces systemes s'inscrivant dans des trames philosophiques de leur auteur qui les orientent, leur formalisation et leur axiomatisation operent une sorte d'abstraction methodique a l'interieur des problematiques philosophiques qui dirigent leur portee. D'autre part, en fonction de la relativite des notions et des propositions premieres choisies facultativement comme des indefinissables (notions) et des indemontrables 'axiomes) dans l'exposition formalisee et axiomatique du systeme d'aristite. Pour conclure que la syllogistique d'aristote n'etant pas un systeme de lois logiques, serait comme la dialectique des stoiciens, un systeme d'inference prescrivant des regles logiques assurant la securite du raisonnement. De ce fait, leurs lectures modernes comme des systemes de lois ou theses logiques, n'auraient qu'une valeur reductrice corrigeant et adaptant approximativement les theories de l'ancienne logique aux concepts et methodes logistiques de la pensee logique contemporaine s'inspirant des demarches mathematiques
Our essay analyses the limitations of the formalized and axiomatic interpretations of the theories of the ancient logic, spcially the aristotle's system. On one hand, in relation with the philosophical purposes which found epistemologically the theorical requirements and the semantical nature of the systems of the ancient logic. For, these systems coming within their author's pjilosophical conceptions, their formalization and axiomatization produce a kind of methodical abstraction inside the philosophical doctrines which express their reach. On the other hand, according to the relativity of the foremost notions and axioms which are freely choosen as the indefinable concepts and undemonstrable theorems in the formalized and axiomatic presentation of the aristotle's system. Thus, we settle that, the aristotle's syllogistic could not be interpreted as a formal axiomatic system which brings to the notion of thelogical law. So, like the stoic logic, it should be considered as a inferential system built on the formal inference rules which warrant the security of reasoning. Thereby, their modern readings as the systems of logical laws or thesis, would only have a reducing value which rectify and roughly adapt them to the methods of new logic
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Journée, Gérard. « "Rien ne saurait naître de rien" : l'émergence du problème de l'être dans la philosophie préplatonicienne ». Lille 3, 2007. http://www.theses.fr/2007LIL30005.

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D'après Aristote, que rien ne naît du non étant constituerait l'opinion commune des physiciens, affirmation qui semble recroiser celle selon laquelle tous les anciens physiciens, de Thalès à Démocrite, ont renoncé à la génération proprement dite. Une bonne partie de l'interprétation moderne reconnaît cependant dans le principe l'œuvre de Parménide, qui l'aurait énoncé pour la première fois, dans son Poème, s'en servant pour abolir précisément la génération. Cette conception a contribué à changer profondément l'approche moderne concernant les penseurs venant avant Parménide, en particulier les Milésiens. Peut-on toutefois refuser à ceux-ci le respect au moins implicite du principe ? Et si tel n'est pas le cas, peut-on encore maintenir que le principe rien ne naît du non étant constitue immédiatement un principe de non devenir ? La thèse s'interroge sur les schèmes relevant de la causalité naturelle mis en avant par les Milésiens, et sur leurs rapports avec le problème classique de la conservation, et donc de l'absence de génération à proprement parler. Repartant d'Aristote, elle s'interroge ensuite sur les conceptions raisonnablement attribuables aux Milésiens, avant d'étudier les occurences du principe chez Parménide, et chez les physiciens du Vème siècle Anaxagore, Empédocle et Démocrite
According to Aristotle, "nothing should come from what-is-not" had constituted the physicians' common opinion. This claim seems to be linked to his other idea that all physicians, from Thales to Democritus, had renounced the notion of coming-to-be in the strict sense. Many modern scholars want yet to see in this principle the work of Parmenides : he would indeed have enounced it for the first time in his Poem in view to destroy precisely coming-to-be. This conception has made a lot to change the modern perception of the thinkers before Parmenides, especially the Milesians. However, is it possible to deny them an implicit respect, at least, for the principle ? And if it is not the case, is it possible to claim that the principle constitutes immediately a principle of no-becoming ? In this study, we will wonder about the schemes linked to natural causality in Milesian philosophy, about their relations with the classical problem of conservation and the absence of coming-to-be in the strict sense. From Aristotle, we will wonder about the conceptions which are reasonably ascribable to Milesians. We will then study the occurences of the principle in the work of Parmenides and in the physics of the fifth century B. C. : Anaxagoras, Empedocles and Democritus
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Guremen, Refik. « L'homme, le plus politique des animaux : essai sur les "Politiques" d'Aristote, livre I, chapitre 2 ». Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA010678.

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Résumé :
Cette étude est entièrement consacrée à un examen du deuxième chapitre du premier livre des "Politiques" d'Aristote. Elle vise à analyser l'affirmation aristotélicienne selon laquelle l'homme est un animal plus politique que les autres animaux politiques (Pol., I, 1, 1253a7-9). Tous les commentateurs d'Aristote expliquent cette affirmation par référence à la rationalité, ou à la moralité ou encore à la capacité langagière de l'homme. Selon l'idée soutenue dans cette étude, bien que ces traits exclusivement humains ne soient pas impertinents à la forme spécifique que prend la vie politique de l'homme, le plus haut degré de son caractère politique ne peut pas s'expliquer en fonction d'eux. Après un examen détaillé des plusieurs difficultés que l'on rencontre dans les commentaires contemporains des Politiques, 1,2, nous avons développé la thèse que selon Aristote l'homme est le plus politique des animaux politiques parce qu'il est un animal grégaire à multiple communautés. D'après Aristote, l'homme développe cette multiplicité de communautés en vue de l'autosuffisance. Pour pouvoir montrer que cette interprétation est en conformité avec une autre affirmation d'Aristote selon laquelle la polis existe en vue du bien-vivre, nous avons aussi démontré qu'il existe chez le Stagirite des éléments d'une notion de bien-vivre qui relève moins de la moralité que des conditions animales de l'homme et que c'est dans ce dernier sens que l'existence de la polis en vue du bien-vivre doit être comprise
This dissertation is dedicated to an exclusive study of Aristotle's "Politics", I, 2. It aims at analyzing Aristotle's affirmation that human beings are more political than the other political animals (Pol., I, 1, 1253a7-9). According to the most widely shared views about Aristotle's argument here, human beings would be more political either because they are rational, or because they have a natural capacity for speech or because they are perceptive about questions of morality. According to the idea defended in this study, although these exclusively human features are not impertinent to the specific form that human beings' political life takes, human beings' higher degree of politicalness cannot be explained on the basis of them. After a detailed examination of certain difficulties and shortcomings in contemporary commentaries on Politics, l, 2, we develop the thesis that according to Aristotle, the human being is more political because it is a gregarious animal of multiple communities. For Aristotle, human beings develop this multiplicity of communities for the sake of self-sufficiency. In order to show that this thesis is in conformity with Aristotle's other main idea that the polis exists for the sake of living-well, we demonstrate that elements of a different conception of living-well, based more on human being's animality than its rnorality, are present in Aristotle’s work. Aristotle's affirmation that the polis exists for the sake of living-well must be understood in this rather zoological sense of living-well
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Crubellier, Michel. « Les livres "Mu" et "Nu" de la Métaphysique d'Aristote : traduction et commentaire ». Lille 3, 1994. http://www.theses.fr/1994LIL30041.

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Résumé :
Commentaire philologique, philosophique et historique des livres "Mu" an "Nu". Au niveau philologique, le commentaire s'appuie sur une révision du texte à partir des éditions critiques existantes ; il discute et tente de résoudre les problèmes posés localement par les passages difficiles. Le commentaire philosophique met l'accent sur l'analyse de la structure des arguments et de leur signification, et sur les questions épistémologiques abordées par le texte, notamment en ce qui concerne la philosophie des mathématiques. Le commentaire historique esquisse une reconstruction de la doctrine platonicienne des principes, en décrit l'attitude d'Aristote vis-à-vis de la philosophie de Platon et de ses successeurs de l'Académie
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Ducos, Joëlle. « La météorologie en français : réception des Météorologiques d'Aristote (XIIIe et XIVe siècles) ». Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1993PA040305.

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Résumé :
L'objet de ce travail est la réception médiévale en français des Météorologiques d’Aristote. Une analyse préliminaire porte sur les difficultés de la traduction aristotélicienne, en confrontant les pratiques des traducteurs français et latins au treizième et quatorzième siècles. La définition médiévale d'un texte aristotélicien s'en dégage. Un lexique météorologique se fixe peu à peu et le champ sémantique de l'air met à jour les modifications dans la langue suscitées par ces traductions. La lecture scolastique des Météorologiques révèle des interrogations très diverses et la météorologie semble une préoccupation marginale. Pourtant une réflexion rationnelle sur les hydrométéores et le vent se précise et intègre des développements originaux mais aussi, peu à peu, l'observation du réel. Au contraire, l'Encyclopédie française ne vulgarise apparemment pas les connaissances les plus récentes, en construisant une synthèse de toutes les cultures. En fait, écho des débats de la scolastique, elle exige une lecture à plusieurs niveaux. La météorologie française est donc davantage le résultat d'une rencontre culturelle que le reflet d'un savoir populaire. Elle prouve la difficulté de l'assimilation des théories aristotéliciennes à cause d'obstacles épistémologiques et d'un symbolisme toujours sous-jacent. Pourtant, grâce à Aristote, se constitue un discours français sur la météorologie
The object of this research is to investigate the mediaeval reception in French of Aristotle’s Meteorologica. Through a comparative examination of French and Latin translators ‘practices in the 13th and 14th centuries, a preliminary analysis of the difficulties of the translation from Aristotle is carried out, bringing to light the mediaeval definition of an Aristotelian text. A lexis of meteorology gradually forms up and the semantic field of air exemplifies the alterations in the language induced by those translations. The scholastic reading of Meteorologica reveals a multifarious questioning, while meteorology seems a merely marginal concern. Rational reflection on hydrometeors and wind however takes shape, involving original developments, and indue course, the observation of the real as well. On the contrary, the French Encyclopaedia, in constructing a synthesis of all cultures, apparently does not popularize the newest advances of knowledge. In fact, as an echo of the disputes of scholastics, it requires several levels of reading. French meteorology thus appears as the outcome of a cultural encounter rather than the reflection of popular lore. It evidences how difficult it was for Aristotelian theories to be assimilated, on account of epistemological obstacles and of a still present underlying symbolism. Nevertheless, thanks to Aristotle, a French discourse on meteorology was building up
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Zingano, Marco Antonio de Avila. « Vertu et délibération : une étude de la notion de prohairesis chez Aristote ». Paris, EHESS, 1993. http://www.theses.fr/1993EHESA311.

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Résumé :
La notion de prohairesis (choix delibere) est une notion centrale dans l'ethique aristotelicienne. La these se divise en trois parties : la premiere introduit les notions de raison et de raison pratique, la deuxieme partie touche directement les concepts de choix delibere et de vertu ethique, et la troisieme partie, en guise e conclusion, porte sur le bonheur et les genres de vie chez aristote
The concept of prohairesis (choice) is one of the most important in aristotle's ethics. This thesis is divided into three chapters : the first one introduces the concepts of reason and practical reason; the second one discusses ethical choice and ethical virtue; the third and last one, which serves as a conclusion, deals with the meaning of happiness and the types of life in aristotle's ethics
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Crubellier, Michel. « Il libro Lambda della Metafisica di Aristotele ». Lille 3, 2009. http://www.theses.fr/2009LIL30082.

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Bataillard, Marie-Christine. « La structure de la doctrine aristotélicienne des vertus éthiques ». Paris 4, 1993. http://www.theses.fr/1993PA040116.

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Résumé :
La doctrine des vertus ethiques n'est pas imparfaite illustration de la these de la vertu-mediete, mais problematisation de la morale d'aristote elle-meme. En effet, l'analyse successive de la methode d'exemen des vertus, de leurs aspects objectifs (domaine de chaque vertu, nombre, ordre), puis subjectifs (juste milieu, vices, exces et defaut) permet de degager deux modeles de la moralite : d'une part les vertus ethiques exprement la valeur d'une affectivite ramenee a la mesure, et par consequent soumise aux regles politiques; d'autre part elles unissent desir et raison pour realiser le juste milieu objectif, c'est-a-dire des actes equilibrant parfaitement les circonstances, ce en quoi elles ne sont plus seulement bonnes, mais belles. Cette dualite n'est ni contradiction ni expression d'une evolution de la pensee d'aristote; elle doit etre conservee sous la forme de la feconde distance entre la lettre et l'esprit, opposition en accord avec la structure meme du discours moral d'aristote
Aristotle's doctrine of the moral virtues is not a confuse illustration of his theory that virtue is a mean, but a problematisation of his ethics. The successive analysis of the method in which the virtues are exposed, then of the objective aspects (sphere of each virtue, nomber, ordrer), lastly of the subjective aspects (nature of the mean, vices, excess and defect) leads indeed to determinate two patterns of morality : on the one hand, the moral virtues point out the praise of a well-tempered character, disposed to fulfil the political rules ; on the other hand, they combine desire and reason so that they produce the objective mean (that is a perfect balance of circumstances) and so become not only good, but also noble. This double conception is neither a contradiction nor the sign of an evolution of aristotle's thought ; it must be conserved in the form of the fecund opposition between letter and spirit, this according to the structure of the aristotelian moral doctrine
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Viano, Cristina. « Héraclite dans Aristote ». Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040138.

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L'objet de cette recherche est la source aristotelicienne d'heraclite. Les schemas conceptuels a travers lesquels aristote expose la doctrine de l'ephesien se ramenent a deux grands themes qu'on retrouve aussi chez platon : l'etre et le devenir heraclite fait partie du groupe des anciens physiologues qui reconnurent la seule cause materielle. L'arche (le principe des etres) est pour lui le feu et ce choix semble le distinguer, parmi les autres monistes, comme"le plus coherent" a cause des caracteristiques extremes de cet element, qui relevent plus de la forme que de la matiere : finesse, autonomie, mi-incorporeite. Toutes les choses prennent origine du feu et reviennent a lui selon un devenir perpetuel, comme si elles etaient plongees dans un courant de fleuve. La seule chose qui "persiste" est le feu. Les elements gnoseologiques et ethiques de la pensee d'heraclite semblent se rapporter a la physiologie du feu et l'image qui en resulte est celle d'une pensee totale sans coupures qualitatives. Aristote fait souvent allusion a la mediation des heracliteens dont cratyle est le representant par excellence. L'heracliteisme apparait comme une involution theorique : cratyle oublie le repere ontologique de l'arche et rend absolue la vitesse du devenir, sa derniere position est le refus de la connaissance et de la parole. L'interpretation sceptique d'heraclite commence a se dessiner dans le temoignage d'aristote. La doctrine du devenir semble suivre une ligne ideale qui surgit du passe poetique, atteint son plus haut niveau speculatif chez heraclite et devient absolue dans l'agnosticisme des heracliteens dont les echos parviendront jusqu'aux sceptiques
The subject of this research is heraclitus' aristotelician source. The conceptual schemas through which aristotle exposes the ephesian's doctrine consist of two main themes one can also find in plato : being and becoming. Heraclitus is an ancient physiologist and according to him fire is the material cause and the arche (the principe of all beings). The choice of fire seems to distinguish him as "the most coherent" with monist vision of reality. In fact aristotle says that caracteristics of fire are extreme and belont more to form than to matter. Continuously all things have their origin in fire and come back to him. This becoming looks like a river stream. The only "persisting" thing is fire. Heraclitus' knowledge and ethics are in his physiology of fire. The resulting image is a total thought without qualitative breaks. Aristotle offen alludes to the heracliteans' mediation, of whose cratylus is the most representative. Heraclitismus appears as a theoretical involution : cratylus forgets ontological element of arche and makes absolue the river's speed and renonces to knowledge and to words. Heraclitus' sceptical interpretation begins in aristotle's source. The doctrine of becoming follows an ideal line which begins in poetical past, reaches his hight speculative level in heraclitus, and falls into decline with heracliteans' agnosticism, the echos of whose will get to sceptics
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Sohn, Yun-Rak. « Hylê au seuil de l’ontologie : une recherche sur l’Etre et la matière chez Aristote ». Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040098.

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Résumé :
Abordant la notion de la matière chez Aristote, cette recherche porte un regard critique sur la lecture traditionnelle qui juge que le problème de la matière pèse sur la validité de l’ontologie aristotélicienne. En effet, le poids sur cette théorie ne vient pas seulement de la part de matière, mais de ce qu’elle a un cadre hylémorphique. Le travail commence par saisir en Métaphysique Z 3 un concept étrange, celui de matière en tant que sujet, et cela en tant que substance, d’où vient deux problèmes : ceux de la matière première et de la prédication substantielle. On analyse les Catégories, puis continue la recherche dans des oeuvres d’Aristote de la philosophie naturelle comme la Physique, Du ciel, et De la génération et de la corruption avant de revenir en Métaphysique pour essayer de répondre à des importantes questions ontologiques
Dealing with the notion of matter in Aristotle, this thesis takes a critical regard to the traditional interpretation that considers the problem of matter as a burden on the Aristotelian ontology. In effect, the charge on this theory is caused not only by matter but by the fact that it has a frame of hylomorphism. The study begins by seizing a strange concept in Metaphysics Z 3, the matter qua subject, and this qua substance, from which issue two puzzling questions : that of prime matter and of substantial predication. The author makes an analysis on passages of the Categories, and enlarges his research in Aristotle’s texts of natural philosophy such as the Physics, On the Heavens, and On generation and corruption, and will return in the Metaphysics for an attempt to answer some important ontological questions
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