Thèses sur le sujet « Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Influence »

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1

Brague, Rémi. « Aristote et la question du monde ». Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040002.

Texte intégral
Résumé :
Plusieurs aspects de la métaphysique, de la physique, de l'éthique et de la psychologie d’Aristote peuvent s'interpréter comme des affleurements d'un concept non-thématisé, celui d'être-dans-le-monde (l'in-der-welt-sein de heidegger). L’ensemble de la pensée grecque classique, même si elle était fascinée par l'ordre du cosmos, ne s'est guère demande ce que signifiait "être-dans-le-monde". L’expérience de la facticité, qui est un des traits fondamentaux de celle-ci, est ce qui permet à Aristote dans le protreptique, de justifier la vie philosophique ; mais il conçoit celle-ci comme culminant dans la contemplation, c'est-à-dire l'accès a ce qui est au plus haut point (ch. 2). Aristote est toujours resté pris dans cette ambiguïté, qui provient de ladite transposition : son éthique révèle ses hésitations entre deux sujets de l'agir moral : le "je" à qui il incombe d'agir de par ce qu'il a d'unique, le cédé a l'homme, tel qu'il est défini par sa place parmi les autres parties de l'univers (ch. 3 & 4). Par suite, il lui faut définir l'homme comme le plus mondain des êtres sublunaires : l'homme imite l'univers grâce à son universalité, et parce qu'il est capable de saisir les réalités les plus élevées (ch. 5). Cependant, Aristote ne peut définir le topos - ce dans quoi sont les choses- sans renvoyer à notre façon particulière d'être-là, même s'il réintroduit ensuite l'idée d'univers grâce à sa théorie des dimensions du corps humain comme fondées dans la structure objective du cosmos (ch. 6). Les difficultés de la définition aristotélicienne de l'âme ainsi que celles de la doctrine de l'intellect agent proviennent de la tentative d'Aristote pour transposer ce qu'il pense implicitement comme l'ouverture même du monde à travers notre présence dans le registre de la réalité mondaine-ce qui l'oblige à réduire l'âme à la conscience de ce qui se produit parmi les choses du monde (ch. 7). Il conçoit celui-ci d'une manière telle qu'elle l'amène à exclure le mouvement spécifiquement humain au profit de la continuité absolue des corps célestes. Cependant, la contemplation de soi du premier moteur reflète l'ambiguïté non résolue de l'energeia humaine : le pur acte d'être-là et l'activité de contempler le plus haut de tous les êtres s'y fondent (ch. 8). Malgré tout, l'energeia comme concept ontologique fondamental ne peut pas se définir en dehors de l'expérience humaine de l'être-là (ch. 9)
Some aspects of aristotle's metaphysics, physics, ethics and psychology can be accounted for as dim echoes of a concept a. Never dealt with thematically : being-in-theworld (heidegger's in-der-welt-sein). Classical greek though as a whole, although it was fascinated by the orderliness of the cosmos, hardly asked what being-in-the world means (ch. 1). The experience of facticity, which is one of its main features, enables a. To justify philosophical life in the protrepticus, but he conceives of this life as focussing on contemplation, i. E. Access to what emphatically is (ch. 2). A. Never got rid of this ambiguity, which arises from such a transposition : his ethics bear witness of his hesitating between two subjects of moral life : the i whom it behoves to act, because of his uniqueness, gives way to man as defined by his place among other parts of the universe (ch. 3 & 4). A. Therefore has to define man as the worldliest of all sublunar beings : he imitates the universe thanks to his universality and because he can grasp the highest beings (ch. 5). Nevertheless, a. Cannot define topos - the place in which things are - without his referring to our paculiar way of being there, although he later brings back the idea of universe through his theory of the dimensions of human body as rooted in the objective structure of the cosmos (ch. 6). The difficulties in a. "s definition of the soul as well as in his doctrine of the active intellect stem from his attempt at translating what he silently conceives of as the vey openness of the world through our presence, into the optics of worddly realitywhat compels him to reduce soul to consciousness of what takes place among things of the world. (ch. 7). A. Conceives the universe in a way which leads him to dis- card specifically human motion on behalf of the heavenly beings' absolute continuity. However, the first mover's self-contemplation mirrors the unresolved ambiguity of hu- man energeia : both the pure act of being there and the activity of contemplating the highest being coalesce in it (ch. 8). However, a. 's central ontological concept, en- ergeia, cannot be defined apart from the experience of our being there (ch. 9)
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2

Viano, Cristina. « Héraclite dans Aristote ». Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040138.

Texte intégral
Résumé :
L'objet de cette recherche est la source aristotelicienne d'heraclite. Les schemas conceptuels a travers lesquels aristote expose la doctrine de l'ephesien se ramenent a deux grands themes qu'on retrouve aussi chez platon : l'etre et le devenir heraclite fait partie du groupe des anciens physiologues qui reconnurent la seule cause materielle. L'arche (le principe des etres) est pour lui le feu et ce choix semble le distinguer, parmi les autres monistes, comme"le plus coherent" a cause des caracteristiques extremes de cet element, qui relevent plus de la forme que de la matiere : finesse, autonomie, mi-incorporeite. Toutes les choses prennent origine du feu et reviennent a lui selon un devenir perpetuel, comme si elles etaient plongees dans un courant de fleuve. La seule chose qui "persiste" est le feu. Les elements gnoseologiques et ethiques de la pensee d'heraclite semblent se rapporter a la physiologie du feu et l'image qui en resulte est celle d'une pensee totale sans coupures qualitatives. Aristote fait souvent allusion a la mediation des heracliteens dont cratyle est le representant par excellence. L'heracliteisme apparait comme une involution theorique : cratyle oublie le repere ontologique de l'arche et rend absolue la vitesse du devenir, sa derniere position est le refus de la connaissance et de la parole. L'interpretation sceptique d'heraclite commence a se dessiner dans le temoignage d'aristote. La doctrine du devenir semble suivre une ligne ideale qui surgit du passe poetique, atteint son plus haut niveau speculatif chez heraclite et devient absolue dans l'agnosticisme des heracliteens dont les echos parviendront jusqu'aux sceptiques
The subject of this research is heraclitus' aristotelician source. The conceptual schemas through which aristotle exposes the ephesian's doctrine consist of two main themes one can also find in plato : being and becoming. Heraclitus is an ancient physiologist and according to him fire is the material cause and the arche (the principe of all beings). The choice of fire seems to distinguish him as "the most coherent" with monist vision of reality. In fact aristotle says that caracteristics of fire are extreme and belont more to form than to matter. Continuously all things have their origin in fire and come back to him. This becoming looks like a river stream. The only "persisting" thing is fire. Heraclitus' knowledge and ethics are in his physiology of fire. The resulting image is a total thought without qualitative breaks. Aristotle offen alludes to the heracliteans' mediation, of whose cratylus is the most representative. Heraclitismus appears as a theoretical involution : cratylus forgets ontological element of arche and makes absolue the river's speed and renonces to knowledge and to words. Heraclitus' sceptical interpretation begins in aristotle's source. The doctrine of becoming follows an ideal line which begins in poetical past, reaches his hight speculative level in heraclitus, and falls into decline with heracliteans' agnosticism, the echos of whose will get to sceptics
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3

Zhu, Weijia. « La diffusion et l'influence de la philosophie d'Aristote en Chine à partir des dynasties Ming et Qing ». Electronic Thesis or Diss., Limoges, 2015. http://www.theses.fr/2015LIMO0014.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse porte sur la diffusion et l’influence des idées d’Aristote en Chine de la fin de la dynastie Ming jusqu’à la période contemporaine. Le but de cette recherche consiste à cerner les impacts interculturels et à favoriser la compréhension des dialogues et des échanges entre la culture d’origine européenne et chinoise. Il était important de découvrir la traduction des oeuvres et les recherches spécialisées concernant la philosophie d’Aristote en Chine. Il semblait aussi pertinent de se pencher sur l’étude comparative entre la philosophie d’Aristote et quelques courants de pensée principaux de la Chine dans certains domaines, comme l’éthique et l’éducation de Confucius, la philosophie naturelle de Lao zi, la logique de Mo zi et la pensée politique de Han Feizi. Et pour conclure, il fallait reconnaître les influences considérables d’Aristote dans ces domaines en Chine. Cette étude s’appuie sur une base documentaire large et variée que j’ai dépouillée en France et en Chine
This thesis focuses on the spread and the influence of Aristotle¡¯s ideas in China from the end of the Ming`s Dynasty to the contemporary period. The purpose of this research is to identify the interculturals impacts and to promote the understanding of the dialogues and the exchanges between European and Chinese native culture. It was of great importance to find out the translation of the works and also the specialized research on the philosophy of Aristotle in China. In addition, a comparative study on the philosophy of Aristotle and several major schools of thought in China in some areas, such as the ethics and the education of Confucius, the natural philosophy of Laozi, the logic of Mo Zi and the political thought of Han Feizi. At the end, we try to conclude with the considerable influence of Aristotle in several areas in China. This study is based on a wide series of documents we have got through in France and in China
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4

Girard, Charles. « Le réalisme des relations : étude des réponses apportées au problème de la différence entre la relation et son fondement (1250-1350) ». Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040047.

Texte intégral
Résumé :
La question de savoir si la relation est différente réellement de son fondement se rencontre fréquemment dans les textes médiévaux à partir du milieu du treizième siècle. Elle se pose avant tout dans un cadre aristotélicien de discussion des catégories et revient à se demander si la catégorie de relation ajoute véritablement une chose supplémentaire, la relation, dans la réalité. Cette question s'inscrit dans une représentation réaliste des relations : pour la plupart des auteurs du treizième et du quatorzième siècle, le fait que des choses soient réellement reliées entre elles ne fait pas de doute. Deux hommes de même taille sont bel et bien égaux, c'est-à-dire réellement reliés entre eux par une relation d'égalité. La difficulté est alors de comprendre comment ces choses sont reliées entre elles, ou encore, ce qu'est exactement cette relation dont il est alors question. Faut-il dire que l'égalité dans chacun des hommes de même taille est une nouvelle chose qui s'ajoute à la substance de chacun d'eux et aux accidents de taille, appartenant à la catégorie de quantité, sur lesquels ces relations d'égalité sont fondées ? Ou faut-il dire que l'égalité est réelle d'une autre manière, c'est-à-dire sans pour autant ajouter une nouvelle chose à ce à quoi elle advient ? Ce problème, qui se rencontre déjà dans les tensions existant entre les différents exposés qu'Aristote a consacrés à cette catégorie, a reçu de multiples réponses. Celles-ci nous éclairent sur la manière dont le réel est appréhendé au Moyen-Âge et sur les débats ontologiques de l'époque. Le travail ici résumé entreprend de délimiter précisément ces réponses et propose une manière de les classer
Whether relation is really distinct from its foundation or not is a question that can easily be found in medieval texts from the mid-thirteenth century onwards. It comes from an aristotelian background, the discussion about the categories, and asks if the category of relation really posits another thing, i.e. a relation, in reality. It results from a realist perspective on relations. In fact, most thirteenth and fourteenth century thinkers held without doubt that things outside the mind are really connected between them. Two men sharing the same height are really equal, that is, really linked to each other by a relation of equality. What is then left to understand is how these things are linked between them, or the exact nature of the aforementioned relation. Should we say that the equality in each of the equally sized men is a new thing that adds to the substance of each of them and to the accidents of height, belonging tho the category of quantity, on which these relations are founded? Or should we say that equality is real in another way, that is, without adding a new thing to the subject acquiring it? We can already find this issue in Aristotle himself, emerging from disagreeing texts devoted to this category. It received various answers that enable us to understand better how reality was defined in the Middle Age and some of the ontological debates of the time. The work that is here summed up attempts to precisely delineate these various answers and to provide a way of classifying them
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Manzini, Frédéric. « Spinoza : lecteur d'Aristote ». Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040157.

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Vernier, Jean-Marie, et Albert le Grand. « Le Livre sur la nature et l'origine de l'âme d'Albert le Grand : introduction, traduction et notes, suivies de notes complémentaires et de traduction de lieux parallèles pris des Commentaires d'Albert sur la Métaphysique, Le traité de l'âme et la Physique d'Aristote ». Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040230.

Texte intégral
Résumé :
Le livre sur la nature et l'origine de l'âme de Saint-Albert le Grand. Introduction, traduction et notes, suivies de notes complémentaires et de la traduction de lieux parallèles pris des Commentaires d'Albert sur la Métaphysique, le Traite de l'âme et la Physique d'Aristote. Époque concernée : XIIIème siècle. Genre de l’œuvre : traite de philosophie naturelle (au sens aristotélicien). Auteur :Albert le Grand (dominicain et évêque du XIIIème siècle, docteur de l'église). Langue : latin médiéval. Thèmes étudiés : traité I : La causalité de l'intellect sur la nature; l'être et le devenir naturels (diversité des formes, inchoation des Formes, éduction des formes de la matière); la génération et la nature de l'âme végétative, sensitive et rationnelle; les puissances cognitives (intellect possible, intellect agent) et motrices de l'âme rationnelle. Traite II : la séparation et l'immortalité personnelle de l'âme, l'état et le lieu de l'âme séparée selon les philosophes, l'état de l'âme après la mort. Sources principales rencontrées : Platon (Timee, Phèdre), Aristote (Traite de l'âme, Métaphysique, Physique), Macrobe (Sur le songe de Scipion), Calcidius (commentaire sur le Timee), pseudo-denys L'aréopagite (traite des noms divins), Liber de causis, Avicenne (livre sur l'âme), Averroes (grand Commentaire sur le traité de l'âme). Cette thèse manifeste, au terme de l'introduction, l'influence de cette oeuvre sur Dante (banquet), Berthold de Moosburg (Commentaire sur les éléments de théologie de Proclus), Guillaume de Vaurouillon (Livre sur l'âme), Marsile Ficin (Théologie platonicienne de l'immortalité des âmes)
The Albert the Great's book on nature and origin of the soul: introduction, translation and footnotes, followed by complementary notes and translation of paralell texts taken from Albert the Great's commentaries on Aristotle's Metaphysics, Treatise on the soul and Physics. Age : XIIIth century. Type : Treatise of natural philosophy (in an Aristotelian meaning). Author : Albert the Great (dominican and bishop, Doctor of the Church). Language : medieval latin. Themes : First Treatise : The Intellect's causality on the Nature, the natural being and gradual change; the generation and nature of the vegetative, sensitive and rational soul; the cognitive and motor faculties of the rational soul. Second Treatise : the separation and personal immortality of the soul, the state and the place of the separated soul according to the philosophers, the state of the soul after the death. Main authorities : Plato, Aristotle, Macrobius, Calcidius, Pseudo-Dionysius, Liber De Causis, Avicenna, Averrois. The introduction of this doctoral thesis shows the influence of this Albert's book on Dante (Convivio), Berthold von Moosburg, Guillaume de Vaurouillon, Marsile Ficin
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Zhu, Weijia. « La diffusion et l'influence de la philosophie d'Aristote en Chine à partir des dynasties Ming et Qing ». Thesis, Limoges, 2015. http://www.theses.fr/2015LIMO0014.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse porte sur la diffusion et l’influence des idées d’Aristote en Chine de la fin de la dynastie Ming jusqu’à la période contemporaine. Le but de cette recherche consiste à cerner les impacts interculturels et à favoriser la compréhension des dialogues et des échanges entre la culture d’origine européenne et chinoise. Il était important de découvrir la traduction des oeuvres et les recherches spécialisées concernant la philosophie d’Aristote en Chine. Il semblait aussi pertinent de se pencher sur l’étude comparative entre la philosophie d’Aristote et quelques courants de pensée principaux de la Chine dans certains domaines, comme l’éthique et l’éducation de Confucius, la philosophie naturelle de Lao zi, la logique de Mo zi et la pensée politique de Han Feizi. Et pour conclure, il fallait reconnaître les influences considérables d’Aristote dans ces domaines en Chine. Cette étude s’appuie sur une base documentaire large et variée que j’ai dépouillée en France et en Chine
This thesis focuses on the spread and the influence of Aristotle¡¯s ideas in China from the end of the Ming`s Dynasty to the contemporary period. The purpose of this research is to identify the interculturals impacts and to promote the understanding of the dialogues and the exchanges between European and Chinese native culture. It was of great importance to find out the translation of the works and also the specialized research on the philosophy of Aristotle in China. In addition, a comparative study on the philosophy of Aristotle and several major schools of thought in China in some areas, such as the ethics and the education of Confucius, the natural philosophy of Laozi, the logic of Mo Zi and the political thought of Han Feizi. At the end, we try to conclude with the considerable influence of Aristotle in several areas in China. This study is based on a wide series of documents we have got through in France and in China
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Yokoyama, Yoshiji. « La grâce et l’art du comédien : conditions théoriques de l’exclusion de la danse et du chant dans le théâtre des Modernes ». Paris 10, 2008. http://www.theses.fr/2008PA100018.

Texte intégral
Résumé :
Depuis la Renaissance, les Modernes - notamment les Français - ont élaboré une forme théâtrale singulière dans le monde : un théâtre sérieux excluant la danse et le chant. Le but de notre étude est d'éclaircir les motivations et les significations de cette exclusion à travers l'analyse du développement historique de la notion de grâce, notion clé de l'art du comédien moderne. Au niveau sociologique, la conclusion est simple : le comédien du théâtre des Modernes s'interdit de chanter et de danser, car son modèle est l'orateur romain, et non le comédien romain dansant et chantant. La gratia représente une corporalité de l'orateur romain qui doit s'écarter le plus possible de celle des professionnels des techniques physiques. L'idéologie de la rhétorique romaine a pénétré dans l'art du comédien moderne à travers les pratiques théâtrales exécutées dans le cadre de l'éducation humaniste - ces pratiques ont fait « renaître » le théâtre des Anciens, mais sous une forme scénique totalement différente. Cependant l'histoire de l'idée est plus complexe. Alors qu'à l'époque archaïque, la notion de grâce - khans en grec représentait le charme de la danse et du chant, elle finit par incarner la critique aristotélicienne du spectaculaire dans la rhétorique hellénistique. La gratia dans la rhétorique romaine est héritière de cette histoire paradoxale. Le théâtre des Modernes assimile l'idéologie aristotélicienne à travers la rhétorique romaine. La grâce des Modernes représente le modèle théâtral de la vérité qu'a établi Aristote. Dans ce sens, le théâtre des Modernes fonctionne comme vecteur de la morphologie aristotélicienne de la vérité : la vérité se dit quand le corps se tait
After the Renaissance a unique theatre genre gradually developed in certain modern societies (in particular in France) which excluded singing and dancing. The aim of my study is to clarify the motivations and significance of this exclusion through an analysis of the historical development of the notion of "grace", a central concept in the modern actor's art. In sociological terms, my conclusion is simple: an actor in modern theatre refrained from dancing and singing because his mode) was the Roman orator, not ancient Roman actors who sang and danced. The Roman notion of gratia represented the orator's body, which strived to be as far removed as possible from that of professionals of physical techniques. The ideology of Roman rhetoric made its way into the modern actor's art through theatrical practices that were carried out in the framework of a humanist education, "reviving" ancient theatre in a totally different form. The history of the idea is more complex, however. Whereas, in the Archaic Period, the notion of grace - kharis in Greek - represented the charm of dance and song, in the later Hellenistic Period it embodied the Aristotelian critique of the spectacular. Gratia in Roman rhetoric received this paradoxical history as its legacy. "Grace" to the moderns was based on the theatrical mode) of truth established by Aristotle. In this sense, modern theatre is a vector of the Aristotelian morphology of the truth: the truth is told when the body remains Bilent
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El, Hachimi Lucile. « Métaphysique et perfection : l’articulation fārābīenne du théorique et du pratique ». Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL111.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse présente la pensée d’al-Fārābī, premier des grands philosophes arabes aristotéliciens, comme une philosophie systématique de la réalisation. En partant du nœud problématique de l’articulation du théorique et du pratique, il s’agit d’interroger l’unification totalisante qui caractérise l’œuvre du « Second Maître ». Notre hypothèse est que cette réalisation, aussi bien intensive, comme parachèvement, qu’extensive comme intégration, s’opère grâce à une redéfinition de deux concepts (néo-)aristotéliciens : la métaphysique et la perfection. Ces deux notions qu’al-Fārābī transforme, afin de proposer des résolutions à des tensions propres aux positions aristotéliciennes, conduisent à un système philosophique original. La notion de fiṭra, qui définit la figure fārābīenne de l’homme, s’appuie sur l’interprétation essentialiste de la perfection d’Alexandre d’Aphrodise et permet de construire une nature humaine comme disposition prise dans une logique de substantialisation. Avec ce nouveau concept, al-Fārābī inscrit au cœur de la substance un dynamisme, tout en rendant essentiel son parachèvement. De cette étape fondationnelle, il fait émerger une véritable science pratique autour la vertu délibérative et des règles qu’elle produit. Or cela n’est possible que sur le fond de transformations ontologiques majeures : apparaît alors la chose, l’ontologie formelle qu’elle permet et la distinction entre l’essence et l’existence qu’elle présuppose. L’action politique du philosophe qui, par sa substantialisation, offre à tous, sous forme religieuse, leur réalisation permet l’intégration architectonique de l’ensemble des existants manifestant par là ce que c’est qu’être principe
This PhD thesis is a study of the thought of al-Fārābī, the first of the main Aristotelian Arabic philosophers, and presents it as a systematic philosophy of realisation. Starting with the problematic crux of the articulation between the theoretical and the practical, it questions the totalizing unification that characterizes the “Second Master’s” work. Our hypothesis is that this realisation, both in its intensive form as completion and its extensive form as integration, takes place through a redefinition of two (neo-)Aristotelian concepts: metaphysics and perfection. These two notions, that al-Fārābī transforms in order to offer answers to tensions proper to the Aristotelian positions, lead to an original philosophical system. The notion of fiṭra, which defines the Fārābīan human figure, is based on Alexander of Aphrodisias’ essentialist interpretation of perfection. It enables an elaboration of human nature as a disposition in the logic of substantialization. With this new concept, al-Fārābī inscribes a dynamic at the heart of the substance while rendering its completion essential. From this foundational step, he erects a genuine practical science built around the deliberative virtue and the rules it produces. This is only possible through major ontological transformations: thus the concept of thing appears, as well as the formal ontology it enables and the distinction between essence and existence which it presupposes. Through his substantialization, the philosopher offers everyone their realisation in the form of religion, so that his political action enables the architectonic integration of all existents, hence showing what it is to be a principle
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Rua, Zarauza Begoña. « Ricoeur. L'historicité de la liberté ». Paris, EHESS, 2015. http://www.theses.fr/2015EHES0185.

Texte intégral
Résumé :
Ce travail s'ouvre sur une ample préface en explicitant les présupposés majeurs de la pensée de Ricceur autour de question de la liberté. Ensuite, on distinguera deux parties : 1 ) les Chapitres I et II sont consacrés à montrer les présupposés théoriques de Ricœur autour de la liberté ; et 2) les Chapitres III, IV et V constituent le développement et l'application de ces présupposés. Puis, une partie importante du travail est construite autour de ce que je considère comme ses chef-d'œuvre : la Métaphore vive, Temps et Récit, Soi- même comme un autre. C'est en partant des présupposés traités dans les Prolégomènes et les Chapitres I et II que ces œuvres prendront une unité autour de l'historicité de la liberté. On comprend alors qu'il ne s'agit pas seulement de l'idée de liberté d'après ses caractères essentiels, mais de ce qu'est la liberté dans le monde, dans les œuvres humaines (parmi lesquelles les plus importants les œuvres écrites comme les lois, la littérature, l'histoire, ies livres sacrés. . . ), et dans le temps. On comprend aussi le retournement décisif de la philosophie contemporaine vers l'herméneutique, dans le cas de Ricœur, vers l'herméneutique textuelle, et comment l'on arrive à la conviction que les récits ont un aspect cognitif tout à fait légitime. Enfin, s'il y a une expression de Ricœur lui-même qui évoque la densité de cette question c'est la suivante : « Tout ce que l'on raconte arrive dans le temps, prend son temps, se déroule temporellement. » (« De l'Interprétation », recueil Du texte à l'action, Éd. Poche "Points-Essais, 377". Paris, Seuil, 1998)
A wide preface opens this work, therefore, to explain Ricceur's major philosophical presuppositions about the question of freedom. 1) Chapters I and II are devoted to show the theoretical assumptions of Ricosur about freedom and 2) Chapters III, IV and V are the development and implementation of such presuppositions. Moreover, an important part of the work is built around what I consider as his three masterpieces: The Rule of Metaphor, Time and Narrative and Oneself as Another. Starting from the presuppositions treated on the preface and on chapters I and II, these works attain its unity in relation to historicity of freedom. It is thus concluded that it is not a matter of freedom restricted to its essential characteristics, but to the understanding of what freedom is in the world, among human works (namely the most important, the work's written such as laws, literature, history, holy books. . . ), and what it is in time. It is also understood the turning point of contemporary philosophy to hermeneutics, to textual hermeneutics in the case of Ricceur, and how convincing is that stories have a cognitive aspect completely legitimate. Finally, if there is an expression of Ricceur that evokes this issue in all its density is as follows: "Everything that is recounted occurs in time, takes time and unfolds temporally. " ("De l'lnterpretation" Du texte a Taction, Ed. Poche "Points-Essais, 377", Paris, Seuil, 1998)
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Di, Martino Carla. « "Ratio particularis". Immaginazione, cogitativa ed estimativa da Ibn Sînâ a Tommaso d'Aquino : Contributo allo studio della tradizione arabo-latina della psicologia di Aristotele ». Paris, EPHE, 2003. http://www.theses.fr/2003EPHE5015.

Texte intégral
Résumé :
Cette étude, par un choix méthodologique conscient, s’est organisée suivant deux voies différentes : une voie d’histoire des textes, en suivant la transmission arabo-latine des textes psychologiques d’Aristote, à savoir, le « De anima » et les « Parva Naturalia », et une voie d’histoire doctrinale, en étudiant la réception de ces œuvres et la réaction, direct (exégèse) et indirecte (traité de psychologie), aux doctrines contenues. La détermination précise de l’apport de la science psychologique arabe, en particulier de Ibn Sînâ / Avicenne et de Ibn Rushd / Averroès, à l’attitude et aux thématiques de la tradition psychologique latine, d’abord augustinienne, puis de l’intégration, sur des sujets donnés, des trois traditions augustinienne, arabe et aristotélicienne dans l’œuvre d’Albert et de Thomas, représentants excellents de la pensée philosophique latine du XIIIe siècle, me semble un premier résultat important. Le fait d’avoir placé dans leur cadre historique et doctrinal des concepts capitaux du lexique arabo-latin, comme intentio, mémoire, forme spirituelle, reditio, ratio particularis, et leur intégration dans la philosophie latine, me semblent en être un second. Cette étude, d’ailleurs, ne ‘est voulu être qu’une contribution à l’étude de la tradition arabo-latine de la psychologie d’Aristote. C’est là ma première contribution, dans le cadre plus général du courant, auquel j’espère continuer à apporter mon concours, d’une redécouverte de nos racines médiévales, qu’elles soient chrétiennes, islamiques et judaïques, car l’histoire de la pensée est surtout une histoire humaine, on ne peut lui imposer un cours, tout comme l’arrêter
Through an aware methodological choice, this study has been organized following two different ways: the first one deals with the history of texts, and it studies the Arabic and Latin tradition of Aristotle’s psychological works, i. E. “De Anima” and “Parva Naturalia” ; the second way deals with a doctrinal history and it studies how these works were interpreted and both the direct (exegesis) and indirect (psychological traits) reactions to the doctrines that were in these works. The precise awareness of the influence of the Arabic psychological science, especially Ibn Sînâ / Avicenna and Ibn Rushd / Averroes, to the themes of the Latin psychological tradition, originally Augustinian, and also of the integration of the three traditions, i. E. The Augustinian one, the Arabic ones and that of Aristotle, in the Albert and Aquina’s works, which are two excellent representatives of the Latin philosophical theories of the 13th century, is the first important result of this work. The historical and doctrinal framing of very important concepts in the arabo-latin lexicon that is “intention”, memory, Spiritual Form, “reditio”, “ratio particularis” and the study of their integration onto the Latin philosophy is the second result. This study is nothing but a contribution to the study of the arabo-latin tradition of the Aristotle’s psychology. It is the first contribution to a more general picture, to which I hope to keep on contributing with my own studies, to rediscover our medieval origins both Christian, Jewish or Islamic, since the history of thought is above al a human history: we cannot channel it in a fixed route and, least of all, try to stop it
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Arli, Merve. « La matière, l'âme et le monde dans la critique aristotélicienne du Timée de Platon ». Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2021. http://www.theses.fr/2021PA01H205.

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Résumé :
Cette étude vise à examiner la lecture du Timée de Platon par Aristote. Conformément à cet objectif, les nombreuses questions abordées dans le Timée sont reprises dans les principaux domaines d'études d'Aristote, au fur et à mesure de sa lecture : l’univers, la nature, la matière, l’âme, le mouvement. Nous avons accordé donc une large place à l’analyse de chacune de ces notions. Il s’agit de comparer le Timée tel qu’Aristote le présente et le texte de Platon, pour analyser et exposer la manière dont Aristote se rapporte à Platon dans l’élaboration de sa propre philosophie. Ces références sont parfois de l’ordre de la citation ; parfois aussi de l’ordre de la critique explicite, mais aussi implicite, quand le texte aristotélicien s’appuie sur ce que Platon a déjà exprimé sans le citer, ni le critiquer ouvertement. Selon l’idée soutenue dans cette étude, le Stagirite ne procède pas systématiquement à une lecture littérale du Timée. Lorsqu’il critique Platon, ce n’est pas toujours afin de confirmer sa propre position philosophique. Cette lecture est avant tout un travail de distinction entre les concepts essentiels tels que la matière, le lieu, etc. Ce faisant, il systématise la pensée de Platon, lequel s'appuyait sur le discours vraisemblable portant sur la genesis du cosmos
This dissertation aims to examine Aristotle’s reading of Plato's Timaeus. In accordance with this objective, many questions on universe, nature, matter, soul, movement, already addressed in the Timaeus, are re-raised in the main areas of Aristotle’s studies. We therefore devote a great deal of attention to the analysis of each of these concepts. It deals with the comparison between the Timaeus as Aristotle presents it and the text of Plato, in order to analyze and expose the way in which Aristotle relates to Plato in the development of his own philosophy. These references are sometimes in the order of citation; sometimes also of the order of explicit criticism, but also implicit, when the Aristotelian text is based on what Plato has already expressed without citing it, nor criticizing it openly. According to the idea held in this study, the Stagirite does not systematically read the Timaeus literally. When he criticizes Plato, it is not always in order to confirm his own philosophical position. We have shown that this reading is above all a work of distinction between essential concepts such as matter, place, etc. In doing so, Aristotle systematizes Plato's thought, which was based on the likely account about the genesis of the cosmos
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Nūṣīrī, Muḥammad. « Le Burhān d'Avenpace ». Bordeaux 3, 2000. http://www.theses.fr/2000BOR30010.

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Résumé :
Le burhan d'avenpace gloses d'ibn bagga au commentaire de al farabi aux seconds analytiques d'aristote le manuscrit d'ibn bagga intitule : ta'aliq ibn bagga ala burhan al farabi (gloses d'avenpace au commentaire de al farabi constitue une partie impor-tante du manuscrit gloses d'ibn bagga a la logique de al farabi. Les deux manuscrits disponibles de ces ta'a liq sont le manuscrit de l'escu-rial et celui de la bibliotheque d'oxford. Ne en 475h/1082 a saragosse ibn bagga est mort en 533h/1138 a fes. Il vivait vers la fin du regne des almoravides et au debut des almohades. La question du burhan (la demonstration) dans les debats d'idees au sein de la pensee arabo-musulmane par le passe comme aujourd'hui et plus particulierement a l'epoque ou ibn bagga a ecrit son traite a connu un interet particulier dans l'ideologie almohade : la demonstration a joue un role important dans l'epa-nouissement de la raison demonstrative par opposition a la raison r hetoricienne. De nos jours, ce debat est a nouveau repris de plus belle. Il est interessant de comprendre pourquoi un tel sujet est actualise et dans quels aspects il est aborde. Notre etude se repartit sur une introduction et sept chapitres. Le premier est consacre a la presentation du manuscrit. Le second chapitre etudie la transmission du burhan dans le monde arabo-musulman. Les termes techniques et les expressions du burhan constituent l'objet du troisieme chapitre. Quant au quatrieme chapitre, il etudie la theorie de la 'illa dans le burhan. Le cinquieme chapitre aura pour titre l'analyse des ta aliq d'ibn bagga. Une comparaisonentre les ta'aliq d'ibn bagga au burhan de al farabi mettra en valeur leurs caracteristiques. Le chapitre six aura pour objet l'impact du barhan de al farabi a ibn rusd. Enfin dans le septieme chapitre, l'edition critique du ta'liq constitue l'analyse des deux publications du burhan d'ibn bagga disponibles pour pouvoir etablir une prochaine edition.
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Boulègue, Laurence, et Agostino Nifo. « Le De amore d'Agostino Nifo : édition, traduction et commentaire ». Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040188.

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Résumé :
Philosophe aristotélicien célèbre à son époque dans les universités italiennes les plus prestigieuses, Agostino Nifo (1469-1538) reste méconnu. Le De amore, écrit en 1529, est l'un de ses derniers ouvrages. Derrière un traitement original et séduisant du thème platonicien de l'amour, Nifo propose une nouvelle métaphysique aristotélicienne, en opposition au commentaire sur le banquet de Platon (1469) de Marsile Ficin. En un expose nourri de sources multiples, le De amore, au croisement de la tradition philosophique péripatéticienne et de celle, plus littéraire, des traites d'amour, révèle une pensée aboutie et cohérente qui illustre une page importante de l'évolution de l'aristotélisme au XVIème siècle. Cette thèse présente dans le premier volume une Edition et une traduction française annotées du De amore accompagnées d'un commentaire dans le second volume. Ce commentaire se propose d'éclairer le contexte dans lequel s'inscrit l'ouvrage afin d'en dégager les enjeux véritables, philosophiques et sociaux. Apres l'étude historiographique de la critique et la biographie de l'auteur, nous analysons la tradition philosophico-littéraire des traites d'amour qui fleurissent dans l’Italie du XVIème siècle. Nous dégageons, dans ce courant, la spécificité du De amore de Nifo et l'originalité de ses positions. D'un nouvel aristotélisme à un platonisme revisité, les thèses du De amore offrent une nouvelle conception du thème de l'amour qui, tout en se nourrissant des courants qui l'ont précédée, apporte une réflexion aristotélicienne jusqu'ici absente sur le sujet.
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Angelis, Nicolas K. « L'être et la justice chez Aristote ». Paris 2, 1989. http://www.theses.fr/1989PA020008.

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L'etre et la justice selon aristote sont etudies sous l'angle du rapport existant entre sujet-connaissant (homme) et objet de connaissance. La connaissance rend capable le sujet connaissant de s'approprier de proprietes de son objet et elle se divise en theoretique et pratique selon qu'elle porte sur l'univers ou l'homme respectivement. Ainsi le mot etre designe-t-il soit l'univers soit la societe humaine. L'univers est un tout dans lequel sont compris des etres individuels, soit des substances: dieu, substances du ciel (planetes) et substances naturelles (corps naturels). Les elements constitutifs des substances naturelles sont la matiere passive et la forme active, cause du changement et du mouvement. La justice s'applique a la societe humaine politique. L'ensemble des relations sociales constitue l'objet propre de la justice. La relation du gouvernement au gouverne est l'objet de la justice politique distributive. D'apres aristote le gouvernement de l'etat doit etre confie aux meilleurs. Les rapports economiques et la repartition des richesses est l'objet de la justice corrective. Enfin, la justice totale ou parfaite examine la formation du charactere des citoyens selon les preceptes de la loi morales (ethique)
The being and the justice in accordance with aristotle are examined under the angle of the relationship existing between the knowing subject (man) and the object of knowledge. The knowledge enables the knowing subject to appropriate the qualities of its object and is divided in theory and in practice, in proportion to whether it refers to the universe or the man respectively. Thus the word being means either the universe or the human society. The universe is a total within which are included certain being, i. E. , the substances: god, substances of the heaven (planets) and natural substances (natural bodies). The component elements of the natural substances are the passive material and the active form the cause of the change and movement. The justice refers to the human political society. The unit of social relationships constitutes the particular object of justice. The relationship of governorgoverned is the object of distributive political science. In accordance with aristotle the governing of the state must be committed to the best citizen. The financial relationships and the distribution of wealth is the object of corrective justice
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Cordonier, Valérie. « Les formes de l'auctoritas : lieux d'émergences d'un "averroïsme théologique" dans la lecture thomasienne de Maïmonide, d'Avicenne et d'Averroès sur la science du premier moteur ». Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040011.

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Résumé :
L'étude propose une analyse détaillée et complète des formes diverses adoptées au fil des oeuvres thomasiennes, par les autorités d'Aristote, d'Avicenne, d'Averroès et de Maïmonide en matière de science, de providence et de gouvernement divins. En analysant, dans l'ensemble du corpus thomasien, l'évolution des “erreurs” combattues et la manière même dont elles sont reconstruites, je mets au jour différents types de “rapport aux sources” et je montre comment le traitement complexe imposé par Thomas aux textes à sa disposition, donne lieu à la formation de certaines erreurs doctrinales qui seront interdites quelques années plus tard par l'évêque de Paris. En comparant un tel traitement avec l'approche des mêmes auctoritates chez Albert de Cologne, je montre que c'est, chez son élève, une vision particulière des rapports entre foi et raison qui a provoqué, dans sa doxographie, la “précipitation” de certaines thèses que les censures allaient définitivement “figer” en 1270 et en 1277
This study gives a detailed analysis of the various forms adopted by the authorities of Aristotle, Avicenna, Averroes and Maimonides in the work of Thomas Aquinas. A particularly interesting topic for such an analysis is that of the divine science. So, as starting point of my study, i compile a full list of texts related to this question. On this basis, i proceed to analyse these passages, comparing them with its implicit or explicit sources by the Greek, Arabic and Jewish predecessors of Thomas in the aristotelian tradition. The particular treatment imposed on these texts displays significant differences in various phases of Aquinas' career, that i try to compare with the very different approach of such authorities by Albertus Magnus. In this way, this study will establish an evolution in the thomasian attitude toward these thinkers, and try to relate it to the intellectual context of this time, particularly to the articles in the condemnations of 1270 and 1277 concerning divine science, providence and knowledge of the future contingents
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Guerbet, Marine. « Thomas d'Aquin et le Manichéisme ». Electronic Thesis or Diss., Université Paris sciences et lettres, 2024. http://www.theses.fr/2024UPSLP007.

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Résumé :
St Thomas d'Aquin pouvait avoir de nombreuses raisons de s'intéresser au manichéisme. Le XIIIè est le temps des Cathares, considérés en un sens comme des “néo-manichéens” ; Thomas mentionne parfois aussi des « hérétiques contemporains » de type dualiste qu'il rapproche et distingue des anciens manichéens, et parle même d'un auteur cathare. Le manichéisme est très important dans la tradition patristique, surtout augustinienne, reprise par l'Aquinate. Enfin, les enjeux liés au manichéisme sont parmi les plus importants de la philosophie : le premier principe, le mal, la liberté, le corps, etc. Pourtant ce thème n'a jamais été étudié pour lui-même, même si les allusions soulignant le rapport de Thomas aux manichéens et aux cathares sont régulières sous la plume des spécialistes. Cette thèse étudie le manichéisme dans l'œuvre de Thomas d'Aquin à travers ses 250 occurrences explicites et de nombreuses autres mentions indirectes, en le comparant avec ses prédécesseurs depuis l'aube du XIIIè. Comment, d'une part, Thomas identifie et réfute-t-il les grandes thèses manichéennes ? D'autre part, pourquoi s'intéresse-t-il au manichéisme ? S'agit-il d'un courant encore actif qu'il combat directement ? D'un héritage patristique convoqué pour la réflexion théologique ? D'un enjeu conceptuel servant à structurer sa pensée ?L'étude montre que le manichéisme est vu comme un ensemble cohérent par St Thomas mais qu'il faut reconstruire cette cohérence à partir de questions traitées séparément dans son œuvre. Les enjeux sont variés, le manichéisme étant avant tout une « figure de pensée », reprise aux pères de l'Église qu'il utilise à des fins spéculatives. Thomas connaît avec précision les Cathares contemporains mais ne semble pas s'y intéresser beaucoup. Pour contrer le manichéisme, Thomas d'Aquin reprend généralement St Augustin et les Pères mais substitue à la philosophie employée par Augustin une philosophie qui doit beaucoup à Aristote, notamment sur le premier principe, la nature et la cause du mal, la place du corps et des passions dans l'homme, l'analyse du choix, des inclinations naturelles et des habitus par rapport à la bonté de l'homme et de son agir. Mais surtout, les concepts et thèses travaillés pour répondre au manichéisme sont développés d'abord pour répondre à des problèmes différents du manichéisme et qui l'intéressent davantage : répondre à des interprétations faussées d'Aristote, contrer ceux qui attaquent la légitimité des mendiants, ou tout simplement trouver une réponse plus équilibrée à des problèmes philosophiques et/ou théologiques importants, à propos du corps ou de l'agir humain par exemple. Cette étude permet aussi de voir comment, sur de nombreux points, Thomas fait évoluer sa pensée grâce à une lecture approfondie d'Aristote et d'Augustin : il intègre de nouvelles thèses et analyses de ces derniers pour transformer sa propre théologie. C'est sans doute dans la place qu'il accorde à la chair et à la consistance de l'ordre naturel qu'il se distingue le plus d'Augustin et qu'il répond le plus directement à un contexte théologique, spirituel et culturel qui a engendré une résurgence de mouvements gnostiques. L'enjeu n'est pas de fuir le monde, mais de le restaurer dans toutes ses dimensions et de le rendre à lui-même. Augustin a parlé du péché et de la rédemption, deux clés fondamentales pour expliquer comment le mal est entré dans le monde et comment il en sort ; les êtres ne sont pas mauvais par leur nature mais en tant qu'ils se corrompent. Cependant c'est Aristote qui permet à Thomas de rendre raison de façon concrète de la bonté de la nature et de ses dynamismes qui n'ont pas été détruits par le péché, en honorant davantage ce qui relève du corps
Thomas Aquinas may have had many reasons to be interested in Manichaeism. The 13th century was the time of the Cathars, considered in a sense as "neo-Manichaeans"; Thomas also sometimes mentions dualist "contemporary heretics" whom he brings closer to and distinguishes from the ancient Manichaeans, and even speaks of a Cathar author. Manichaeism is very important in the patristic tradition, especially Augustinian, taken up by Aquinas. Finally, the issues linked to Manichaeism are among the most important in philosophy: the first principle, evil, freedom, the body and so on. Yet this theme has never been studied for its own sake, even though allusions to Thomas's connection with the Manichaeans and Cathars are regular in the writings of scholars.This thesis studies Manichaeism in the works of Thomas Aquinas through its 250 explicit occurrences and numerous other indirect mentions, comparing it with his predecessors since the dawn of the 13th century. How does Thomas identify and refute the major Manichaean theses? And why is he interested in Manichaeism? Was it a current that was still active and that he directly opposed? Was it a patristic heritage that he used for theological reflection? A conceptual issue used to structure his thought?The study shows that Manichaeism is seen as a coherent whole by St Thomas, but that this coherence needs to be reconstructed on the basis of questions treated separately in his work. The issues are varied, as Manichaeism is above all a "figure of thought", taken from the Church Fathers, which he uses for speculative purposes. Thomas knows the contemporary Cathars well, but doesn't seem to have much interest in them.To counter Manichaeism, Thomas Aquinas generally takes up St. Augustine and the Fathers, but substitutes the philosophy employed by Augustine with one that owes much to Aristotle, notably on the first principle, the nature and cause of evil, the place of the body and passions in man, the analysis of choice, natural inclinations and habitus in relation to the goodness of man and his actions. But above all, the concepts and theses developed in response to Manichaeism are developed first and foremost in response to problems that are different from and of greater interest to Manichaeism: responding to distorted interpretations of Aristotle, countering those who attack the legitimacy of beggars, or simply finding a more balanced response to important philosophical and/or theological problems, concerning the body or human action for example. This study also shows how, on many points, Thomas evolves his thinking thanks to an in-depth reading of Aristotle and Augustine: he integrates new theses and analyses from the latter to transform his own theology.It is undoubtedly in the place he accords to the flesh and the consistency of the natural order that he differs most from Augustine, and that he responds most directly to a theological, spiritual and cultural context that has given rise to a resurgence of Gnostic movements. The challenge is not to flee the world, but to restore it in all its dimensions and return it to itself. Augustine spoke of sin and redemption, two fundamental keys to explaining how evil entered the world and how it leaves it; beings are not evil by their very nature, but insofar as they corrupt themselves. However, it is Aristotle who enables Thomas to give a concrete account of the goodness of nature and its dynamisms, which have not been destroyed by sin, by giving greater honor to what belongs to the body
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Raffray, Matthieu. « « De Relativis » : La doctrine des relatifs jusqu’aux synthèses d’Albert le Grand et de Thomas d’Aquin ». Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040095.

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Résumé :
Le primat de la relation est une caractéristique fondamentale des philosophies contemporaines comme des évolutions récentes de la théologie : le but de cette étude est de retracer les développements de la notion de relation jusqu’aux grandes synthèses théologiques du 13è siècle, afin d’évaluer les fondements historiques et la légitimité conceptuelle des relationalismes contemporains. Après avoir étudié la naissance d’une ontologie des êtres relatifs chez Platon et Aristote, ainsi qu’à travers les ambiguïtés de leurs transmissions, nous montrons comment les théologiens de l’Antiquité ont exploité ces fondements philosophiques, autour des modèles de « l’attribution différenciée » chez Augustin et de « l’accidentalité différenciée » chez Boèce. Au 12è siècle, ces modèles antiques ont à leur tour donné lieu à un changement de paradigme, au sujet de la predicatio in divinis, de Gilbert de Poitiers jusqu’à Pierre Lombard. Nous centrons alors notre étude sur les synthèses sententiaires d’Albert le Grand et de Thomas d’Aquin, qui exploitent l’un et l’autre la notion comme l’élément clef d’une description unitaire et structurée de l’édifice théologique. Albert emploie une notion typiquement aristotélicienne de la relation comme instrument pour édifier une théologie cohérente et rationnelle ; Thomas développe ces intuitions albertiennes et met en œuvre une vue ordonnée du Monde dans ses rapports avec Dieu, dont la condition, contrairement à de nombreuses lectures thomistes, est la stricte accidentalité de l’être relatif. A l’issue de ce parcours historique, on aura donc mis en évidence la tentation platonisante qui constitue la source conceptuelle des relationalismes contemporains
The primacy of relation is a fundamental characteristic of contemporary philosophies as well as recent evolutions of Christian theology: the goal of this study is to describe the first developments of the notion of relation up to the great theological synthesis of the 13th century, in order to evaluate the historical foundations and the conceptual validity of the contemporary “relationalisms”. After studying the birth of the ontology of relative beings by Plato and Aristotle, as well as through the ambiguities of their transmissions, we show how the theologians of Antiquity exploited those philosophical sources using two models: the “differentiated attribution” with Augustine, and the “differentiated accidentality” with Boethius. During the 12th century, those two antique models became in their turns the origin of a change of paradigm on the problem of predicatio in divinis, from Gilbert of Poitiers to Peter Lombard. We then center our study on the sentential synthesis of Albert the Great and Thomas Aquinas, who both exploited the notion of relation as a key-element of a united and well-structured description of their theological thought. Albert uses a typical Aristotelian notion of relation as a tool for building a coherent and rational theology; Thomas develops those albertian intuitions and organizes a well-ordered view of the World in its relations to God, whose condition, contrary to many thomistic interpretations, is a strictly accidental conception of the relative beings. At the end of this historical path, we will then have shown the Platonist temptation which constitutes the conceptual source of the contemporary “relationalisms”
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Châteauvieux, Marie de. « Justice et amitié selon Aristote ». Paris 4, 1985. http://www.theses.fr/1985PA040100.

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Bégorre-Bret, Cyrille. « Aristote et la définition de l'homme ». Paris 10, 2004. http://www.theses.fr/2004PA100167.

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Résumé :
Contrairement à ce que tous ses lecteurs affirment, Aristote ne formule pas de définition de l'homme. Un énoncé est définitionnel s'il explique l'essence de l'être sur lequel il porte. Pour cela, il doit remplir plusieurs conditions logiques et épistémologiques. Or, aucune des formules d'Aristote sur l'homme ne satisfait à toutes ces conditions. Les célèbres énoncés qui décrivent l'homme comme l'animal qui se tient droit, l'animal politique ou encore comme l'animal doté du logos n'exposent pas l'essence de l'homme et ne sont donc pas définitionnelles pour Aristote. Les thèses aristotéliciennes sur l'homme ne sont donc pas unifiées par un énoncé définitionnel architectonique car elles ont elles-mêmes deux destinations différentes. Soit elles expliquent la nature de l'homme. Mais, dans ce cas, elles ne conviennent pas seulement aux hommes. Soit elles mettent en valeur ce qu'il y a de meilleur en l'homme. Mais, dans ce cas, elles ne conviennent pas à tous les hommes
Scholars usually think that Aristode makes a de finition of man. But they don't analyze the different phrases made by Aristode on man through his own conception of de finition. Definition is a very specific kind of sentence which offers the most fondamental scientific knowledge about a being. It must comply certain characteristics. It must in particular be universal, i. E. Hold for ail the deftniendum. But if one tries to collect, compare and scrutinize these different formulas, one can unexpectedly see that none of them can be considered as the definition of man by the Philosopher. The famous phrases describing men as politicaI or rationaI animaIs can't be definitionnal in Aristode's view because they don't fit his own definitional standards: they don't show a characterist universally owned by men and by men only. Aristode's conception of man is not aimed at deflning him but at describing his naturaI features or at showing his dignity
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Murgier, Charlotte. « Recherches sur le platonisme d'Aristote et ses limites en philosophie pratique ». Lille 3, 2009. http://www.theses.fr/2009LIL30052.

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Résumé :
Ce travail entend remettre en question l'idée que le rapport d'Aristote au platonisme serait une question réglée, parce qu'il se réduirait ou bien à une opposition frontale à la théorie des idées, ou bien à une démarcation progressive vis-à-vis des thèses platoniciennes suivant un schéma évolutionniste. L'hypothèse d'un Aristote fin lecteur de Platon s'avère bien plus féconde : problématique plutôt que doctrinal, son platonisme hérite moins de thèses que d'apories. On accède ainsi à l'intelligibilité des concepts fondamentaux de l'éthique aristotélicienne (plaisir, bonheur, amitié, phronesis) dont la construction est redevable des questions ouvertes par les Dialogues. On y saisit ensuite le fil conducteur de la confrontation d'Aristote avec l'éthique platonicienne. Loin de se limiter au refus de la métaphysique des Idées, sa critique s'explique plus positivement par son effort pour dépasser les limites rencontrées par la conception platonicienne de l'action, qu'elles prennent la forme aiguë d'apories concernant l'amitié ou le savoir pratique, ou le visage de condamnations éthiques et ontologiques pesant sur le plaisir, la tragédie ou la démocratie. En redonnant au plaisir sa dignité et sa place dans la vie heureuse, en rendant raison du rôle de l'amitié dans la vie vertueuse, en repensant le savoir nécessaire à l'action, Aristote redonne sens et consistance aux différentes facettes de notre vie pratique. Son débat avec le platonisme donne ainsi à comprendre comment l'action donne forme à un agent , dont elle constitue l'accomplissement, éclairant par là ce fait simple et singulier, qui justifie le besoin humain d'une éthique, à savoir qu'il nous faut agir pour être
This dissertation challenges the view that the question of Aristotle's relationship to Platonism has been settled, being reduced either to a strong opposition to the theory of Ideas or, following the developmental account, to a progressive departure from platonic views. The notion of Aristotle as a close reader of Plato proves far more enlightening : being problematical rather than doctrinal, his Platonism inherits aporiai rather than claims. This approach gives greater intelligibility to the main concepts of Aristotelian ethics (pleasure, happiness, friendship, phronesis) the genesis of which is indebted to the questions raised in the Dialogues. Furthermore, it enables us to grasp the thread that runs through Aristotle's confrontation with Platonic ethics. Far from being reductible to a simple dismissial of the metaphysics of Ideas, his criticism proceeds more positively, attempting to go beyond the limits of the Platonic account of action, wether they be manifested in the aporiai of friendship or practical knowledge, or in the ethical and ontological condemnation of pleasure, tragedy or democracy. By giving pleasure its dignity and status in the happy life, by accounting for the role of friendship in the virtuous life and by rethinking the kind of knowledge required for acting. Aristotle gives sense and consistency to the various aspects of our practical life. His debate with Platonism enables us to understand how action gives shape to an agent, in that it allows him to fulfil himself. Thus, it elucidates the simple and singular fact that justifies the human need of ethics, namely that a human being has to act in order to be
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Pellegrin, Pierre. « Biologie et politique chez Aristote ». Paris 1, 1988. http://www.theses.fr/1988PA010517.

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Jaulin, Annick. « Genre, genèse et génération : de l'ousia prôtè chez Aristote ». Paris 1, 1995. http://www.theses.fr/1995PA010529.

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Lefebvre, René. « La ressemblance chez Aristote ». Paris 4, 1993. http://www.theses.fr/1993PA040115.

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La ressemblance parait occuper une place moins importante chez Aristote que chez Platon ou les présocratiques : paradigmatisme, cratylisme, dynamique de la ressemblance, fascination pour le pseudos et les eidola sont morts. Pourtant, même en position de rupture, Aristote continue de parler de la ressemblance entre les opposes, ou de la similitude des formes dans le perçu et le percevant. Surtout, il fait de la ressemblance un thème sémantique de l'hénologie, et la laisse continuer à essayer d'unifier le monde, en tant qu'analogie dans l'horizontalité, et mimesis verticale en cosmo-théologie. La dialectique voit en elle un indispensable instrument de la définition, de l'induction et du raisonnement hypothétique. Les pensées sont dites des homoiomata, et Aristote découvre la phantasia. Contre Platon, il comprend ce qui fait la valeur de la mimétique poétique. Comme biologiste, il insiste sur la ressemblance des enfants aux parents, considérant que la reproduction est la perpétuation d'un type
It seems that the place of likeness is less important in Aristotle than in Plato and pre-Socratic philosophy: paradigmatism, cratylism, presocratic dynamics or fascination for pseudos and eidola are dead. However, even while breaking, Aristotle goes on speaking of the resemblance of the opposites, and of the likeness of forms in the perceived thing and the perceiving mind. More, he makes likeness become a semantic theme of henology, and lets it go on trying to unify the world, qua analogy in horizontality, and vertical mimesis in cosmo-theology. Dialectic considers it as an indispensable organon of definition, induction and hypothetical reasoning. Thoughts are called homoiomata, and Aristotle discovers phantasia. Contra Plato, he understands what is valuable in poetical mimesis. As a biologist, he stresses upon the resemblance between parents and children, because he considers that reproduction is the perpetuation of a type
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Lamrani, Lila. « La psychologie aristotélicienne dans l'Islam classique : traduction et commentaire de l'Épître sur le retour d'Avicenne ». Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2014. http://www.theses.fr/2014PA040199.

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La Risala al-adhawiya fi al-ma`ad d’Avicenne, portant sur la question du Retour à la vie une fois la mort survenue, présente un certain nombre de thèses originales par rapport aux autres écrits de ce philosophe. Le Retour ne peut concerner les corps : il est en effet réserver aux âmes dans la mesure où l’essence de l’homme réside dans son âme. Les corps se corrompent définitivement au moment de la mort. Le Coran n’a rien d’un texte démonstratif, il s’agit d’un texte rhétorique visant à susciter chez ses lecteurs le comportement moral approprié. On ne peut donc déduire de l’affirmation coranique répétée selon laquelle les corps reviendront à la vie que les corps seront effectivement ressuscités. Par ailleurs, si dans le monde physique il existe une pluralité d’âmes, c’est uniquement en raison de la multiplicité de la matière corporelle qui les accueille. Si les âmes doivent survivre indépendamment des corps qui assurent leur individuation, comment pourraient-elles exister individuellement ? Il n’y aura pas d’existence individuelle des âmes après la mort, mais un Retour de ces âmes au Principe (l’Intellect Agent, ou, en dernière instance, le Principe Premier, Dieu) dont elles émanent : les âmes se résorbent donc dans leur origine et n’ont plus d’existence séparée. Le Retour est absolu
Avicenna’s Risala al-adhawiya fi al-ma`ad, dealing with the question of Return to life once death has occurred, comes up with various original theses that do not appear in Avicenna’s other writings. The Return cannot affect the body : it is indeed dedicated to souls inasmuch as the essence of man lies in his soul. Bodies get corrupted once and for all when death occurs. The Quran has nothing to do with a demonstrative text, it is a rhetorical text that aims at provoking in its readers the appropriate moral behaviour. It is therefore impossible to deduce from the repeated coranic assertion saying that bodies will come back to life that bodies will effectively resurrect. If in the physical world there is a plurality of souls, it is only because of the multiplicity of the corporeal matter that receives them. If souls have to survive independently from bodies that allow their individuation, how then could they individually exist ? There will not be any individual existence of souls in the hereafter, but a Return of these souls to the Principle (the Agent Intellect, or, at last, the First Principle, God) from which they emanate : therefore souls resorb in their origin and do not have any separate existence. It is an absolute Return
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Souchard, Bertrand. « Aristote, de la physique à la métaphysique, réceptivité et causalité ». Dijon, 2002. http://www.theses.fr/2002DIJOL004.

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Lemaire, Juliette. « La contradiction chez Aristote : analyse et problèmes ». Paris 10, 2005. http://www.theses.fr/2005PA100088.

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Résumé :
Aristote serait l'inventeur du concept de contradiction : la contradiction est l'opposition d'énoncés. Pourtant, l'analyse du Corpus Aristotélicien révèle que la contradiction est guettée par l'équivocité : la contradiction est l'une des quatre façons de dire être opposé, et la contradiction est une des façons dont les énoncés s'opposent. Comment articuler la classification quadripartite de l'opposition avec la distinction des propositions opposées ? S'agit-il de divisions complémentaires ou concurrentes ? Pourquoi la contrariété est-elle si proche de la contradiction ? Après l'étude des textes définissant et utilisant la contradiction, cette thèse contient une analyse de Métaphysique Gamma. Aristote affronte les négateurs du principe de non contradiction. Le point de départ de l'argumentation d'Aristote est la signification des mots. Outre la nature et les étapes de cette argumentation, son analyse conduit à poser la question d'une pluralité de principes de non-contradiction
Aristotle is supposed to be the inventor of the concept of contradiction: contradiction is the opposition between propositions. But, the analysis of the Aristotelian Corpus shows that contradiction may be close to equivocity: contradiction is one of the four ways of saying " to be opposite ", and contradiction is one of the ways propositions oppose each other. How to link the fourfold classification of the different meanings of opposition with the distinction between opposing propositions? Are they complementary or competing divisions? Why is contrariety so close to contradiction? After the study of the texts using and defining contradiction, this thesis presents an analysis of Metaphysics Gamma. Aristotle is facing those who deny the principle of noncontradiction. Besides the nature and the different stages of his argumentation, its analysis leads to discuss the question of a plurality of principles of non-contradiction
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Borel, Denis. « L'habitus des principes selon aristote ». Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/1999PA040213.

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Résumé :
Un habitus intellectuel decouvert par aristote n'a pas eu droit de la part de l'histoire de la philosophie a toute l'attention qu'il merite. L'habitus des principes, qui porte curieusement chez aristote le meme nom que la puissance de connaitre, le nous, reste silencieux dans la tradition peripateticienne. Il fallait reprendre l'enquete a son sujet a de nouveaux frais a partir des fondements scientifiques et epistemologiques de la saisie des principes mise en lumiere par le passage de l'ethique a nicomaque vi, 6, 1140 a 31-1141 b 8. Une premiere partie envisage les divers rapports de la science aristotelicienne aux principes decouverts par celui-ci. Une seconde partie s'attache ensuite a degager le realisme au sein du jugement aristotelicien, autant dans l'histoire du commentaire aristotelicien que dans les textes memes du stagirite. Le levier d'analyse en est le premier jugement (hupolepsis), operation de l'intelligence prescientifique dont l'activite s'exerce en deca et a l'interieur de la science. Une derniere partie s'attaque enfin a resoudre diverses questions posees par le systeme aristotelicien autour des quatre grands habitus intellectuels (art, prudence, science, sagesse)pour en reveler l'etroite coherence autour de la question technique de l'habitus des principes. L'habitus des principes se revele ainsi non seulement au coeur de la vie scientifique de l'intelligence, mais de toute la vie de l'esprit, comme le noyau commun qui permet a la nature de l'intelligence, avant toute operation en acte, de s'ordonner dans la realite a ce qui est premier et simple. C'est donc a une nouvelle caracterisation du realisme que convie cette enquete.
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Martínez, Lucía. « La théorie du rêve chez Aristote : principes physiologiques et psychologiques ». Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1998PA040152.

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Résumé :
Aristote est le premier penseur de la civilisation occidentale à refuser l'interprétation surnaturelle du phénomène du rêve, dominante dans la culture grecque, et à offrir une théorie cohérente et rationnelle sur ce sujet. Aussi a-t-il marqué de son empreinte l'étude de ce phénomène, de sorte que les marques de son influence peuvent être suivies jusqu'à nos jours. Il a, pour la première fois, marqué les limites de ce sujet qu'il situe aux frontières de la biologie et de la psychologie, à un moment du développement de la science où l'on a coutume de faire appel à une cause surnaturelle. Avec lui, le rêve cesse d'être présenté comme un phénomène d'origine métaphysique, pour être décrit comme un phénomène endogène, de nature psychophysiologique appartenant tout entier à l'être sensible. Aristote inaugure ainsi une tradition psychologique qui définit toujours le rêve comme une image engendrée par l'imagination, dans le contexte psychophysiologique du sommeil. La théorie sur le rêve d’Aristote représente en même temps l'achèvement et la synthèse de tout le savoir aristotélicien. Car Aristote s'est intéressé au phénomène du rêve lors de sa maturité. Dans trois traités des parva naturalia : du sommeil et de la veille, des rêves, de la divination dans le sommeil, après avoir précisé tout son système philosophique et lui avoir donné une forme définitive. Nous nous sommes proposé d'étudier dans ce travail la théorie sur le rêve telle qu'elle est développée dans ces trois traités, en exposant les principes physiologiques et psychologiques qui constituent son fondement - l'âme comme entéléchie, l'âme sensitive et la sensation, le sens commun et son organe le cœur, la @ ou imagination - à travers une analyse du lexique et des fonctions qu’Aristote leur attribue.
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Fouoména. « Relativité de l'axiomatisation et vues logistiques de l'ancienne logique : essai sur les restrictions des systèmes d'axiomes formalisés de la syllogistique d'Aristote et de la dialectique des Stoi͏̈ciens en logique formelle contemporaine ». Lyon 3, 1989. http://www.theses.fr/1989LYO31012.

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Résumé :
Notre essai analyse les limitations des interpretations formalisees et axiolatiques des theories de l'ancienne logique, notamment du systeme d'aristote:-d'une part, en rapport aux presupposes philosophique qui fondent epistemologiquement les besoins theoriques et la nature semantique des systemes de logique ancienne. Car, ces systemes s'inscrivant dans des trames philosophiques de leur auteur qui les orientent, leur formalisation et leur axiomatisation operent une sorte d'abstraction methodique a l'interieur des problematiques philosophiques qui dirigent leur portee. D'autre part, en fonction de la relativite des notions et des propositions premieres choisies facultativement comme des indefinissables (notions) et des indemontrables 'axiomes) dans l'exposition formalisee et axiomatique du systeme d'aristite. Pour conclure que la syllogistique d'aristote n'etant pas un systeme de lois logiques, serait comme la dialectique des stoiciens, un systeme d'inference prescrivant des regles logiques assurant la securite du raisonnement. De ce fait, leurs lectures modernes comme des systemes de lois ou theses logiques, n'auraient qu'une valeur reductrice corrigeant et adaptant approximativement les theories de l'ancienne logique aux concepts et methodes logistiques de la pensee logique contemporaine s'inspirant des demarches mathematiques
Our essay analyses the limitations of the formalized and axiomatic interpretations of the theories of the ancient logic, spcially the aristotle's system. On one hand, in relation with the philosophical purposes which found epistemologically the theorical requirements and the semantical nature of the systems of the ancient logic. For, these systems coming within their author's pjilosophical conceptions, their formalization and axiomatization produce a kind of methodical abstraction inside the philosophical doctrines which express their reach. On the other hand, according to the relativity of the foremost notions and axioms which are freely choosen as the indefinable concepts and undemonstrable theorems in the formalized and axiomatic presentation of the aristotle's system. Thus, we settle that, the aristotle's syllogistic could not be interpreted as a formal axiomatic system which brings to the notion of thelogical law. So, like the stoic logic, it should be considered as a inferential system built on the formal inference rules which warrant the security of reasoning. Thereby, their modern readings as the systems of logical laws or thesis, would only have a reducing value which rectify and roughly adapt them to the methods of new logic
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Journée, Gérard. « "Rien ne saurait naître de rien" : l'émergence du problème de l'être dans la philosophie préplatonicienne ». Lille 3, 2007. http://www.theses.fr/2007LIL30005.

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Résumé :
D'après Aristote, que rien ne naît du non étant constituerait l'opinion commune des physiciens, affirmation qui semble recroiser celle selon laquelle tous les anciens physiciens, de Thalès à Démocrite, ont renoncé à la génération proprement dite. Une bonne partie de l'interprétation moderne reconnaît cependant dans le principe l'œuvre de Parménide, qui l'aurait énoncé pour la première fois, dans son Poème, s'en servant pour abolir précisément la génération. Cette conception a contribué à changer profondément l'approche moderne concernant les penseurs venant avant Parménide, en particulier les Milésiens. Peut-on toutefois refuser à ceux-ci le respect au moins implicite du principe ? Et si tel n'est pas le cas, peut-on encore maintenir que le principe rien ne naît du non étant constitue immédiatement un principe de non devenir ? La thèse s'interroge sur les schèmes relevant de la causalité naturelle mis en avant par les Milésiens, et sur leurs rapports avec le problème classique de la conservation, et donc de l'absence de génération à proprement parler. Repartant d'Aristote, elle s'interroge ensuite sur les conceptions raisonnablement attribuables aux Milésiens, avant d'étudier les occurences du principe chez Parménide, et chez les physiciens du Vème siècle Anaxagore, Empédocle et Démocrite
According to Aristotle, "nothing should come from what-is-not" had constituted the physicians' common opinion. This claim seems to be linked to his other idea that all physicians, from Thales to Democritus, had renounced the notion of coming-to-be in the strict sense. Many modern scholars want yet to see in this principle the work of Parmenides : he would indeed have enounced it for the first time in his Poem in view to destroy precisely coming-to-be. This conception has made a lot to change the modern perception of the thinkers before Parmenides, especially the Milesians. However, is it possible to deny them an implicit respect, at least, for the principle ? And if it is not the case, is it possible to claim that the principle constitutes immediately a principle of no-becoming ? In this study, we will wonder about the schemes linked to natural causality in Milesian philosophy, about their relations with the classical problem of conservation and the absence of coming-to-be in the strict sense. From Aristotle, we will wonder about the conceptions which are reasonably ascribable to Milesians. We will then study the occurences of the principle in the work of Parmenides and in the physics of the fifth century B. C. : Anaxagoras, Empedocles and Democritus
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Guremen, Refik. « L'homme, le plus politique des animaux : essai sur les "Politiques" d'Aristote, livre I, chapitre 2 ». Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA010678.

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Résumé :
Cette étude est entièrement consacrée à un examen du deuxième chapitre du premier livre des "Politiques" d'Aristote. Elle vise à analyser l'affirmation aristotélicienne selon laquelle l'homme est un animal plus politique que les autres animaux politiques (Pol., I, 1, 1253a7-9). Tous les commentateurs d'Aristote expliquent cette affirmation par référence à la rationalité, ou à la moralité ou encore à la capacité langagière de l'homme. Selon l'idée soutenue dans cette étude, bien que ces traits exclusivement humains ne soient pas impertinents à la forme spécifique que prend la vie politique de l'homme, le plus haut degré de son caractère politique ne peut pas s'expliquer en fonction d'eux. Après un examen détaillé des plusieurs difficultés que l'on rencontre dans les commentaires contemporains des Politiques, 1,2, nous avons développé la thèse que selon Aristote l'homme est le plus politique des animaux politiques parce qu'il est un animal grégaire à multiple communautés. D'après Aristote, l'homme développe cette multiplicité de communautés en vue de l'autosuffisance. Pour pouvoir montrer que cette interprétation est en conformité avec une autre affirmation d'Aristote selon laquelle la polis existe en vue du bien-vivre, nous avons aussi démontré qu'il existe chez le Stagirite des éléments d'une notion de bien-vivre qui relève moins de la moralité que des conditions animales de l'homme et que c'est dans ce dernier sens que l'existence de la polis en vue du bien-vivre doit être comprise
This dissertation is dedicated to an exclusive study of Aristotle's "Politics", I, 2. It aims at analyzing Aristotle's affirmation that human beings are more political than the other political animals (Pol., I, 1, 1253a7-9). According to the most widely shared views about Aristotle's argument here, human beings would be more political either because they are rational, or because they have a natural capacity for speech or because they are perceptive about questions of morality. According to the idea defended in this study, although these exclusively human features are not impertinent to the specific form that human beings' political life takes, human beings' higher degree of politicalness cannot be explained on the basis of them. After a detailed examination of certain difficulties and shortcomings in contemporary commentaries on Politics, l, 2, we develop the thesis that according to Aristotle, the human being is more political because it is a gregarious animal of multiple communities. For Aristotle, human beings develop this multiplicity of communities for the sake of self-sufficiency. In order to show that this thesis is in conformity with Aristotle's other main idea that the polis exists for the sake of living-well, we demonstrate that elements of a different conception of living-well, based more on human being's animality than its rnorality, are present in Aristotle’s work. Aristotle's affirmation that the polis exists for the sake of living-well must be understood in this rather zoological sense of living-well
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Ducos, Joëlle. « La météorologie en français : réception des Météorologiques d'Aristote (XIIIe et XIVe siècles) ». Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1993PA040305.

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Résumé :
L'objet de ce travail est la réception médiévale en français des Météorologiques d’Aristote. Une analyse préliminaire porte sur les difficultés de la traduction aristotélicienne, en confrontant les pratiques des traducteurs français et latins au treizième et quatorzième siècles. La définition médiévale d'un texte aristotélicien s'en dégage. Un lexique météorologique se fixe peu à peu et le champ sémantique de l'air met à jour les modifications dans la langue suscitées par ces traductions. La lecture scolastique des Météorologiques révèle des interrogations très diverses et la météorologie semble une préoccupation marginale. Pourtant une réflexion rationnelle sur les hydrométéores et le vent se précise et intègre des développements originaux mais aussi, peu à peu, l'observation du réel. Au contraire, l'Encyclopédie française ne vulgarise apparemment pas les connaissances les plus récentes, en construisant une synthèse de toutes les cultures. En fait, écho des débats de la scolastique, elle exige une lecture à plusieurs niveaux. La météorologie française est donc davantage le résultat d'une rencontre culturelle que le reflet d'un savoir populaire. Elle prouve la difficulté de l'assimilation des théories aristotéliciennes à cause d'obstacles épistémologiques et d'un symbolisme toujours sous-jacent. Pourtant, grâce à Aristote, se constitue un discours français sur la météorologie
The object of this research is to investigate the mediaeval reception in French of Aristotle’s Meteorologica. Through a comparative examination of French and Latin translators ‘practices in the 13th and 14th centuries, a preliminary analysis of the difficulties of the translation from Aristotle is carried out, bringing to light the mediaeval definition of an Aristotelian text. A lexis of meteorology gradually forms up and the semantic field of air exemplifies the alterations in the language induced by those translations. The scholastic reading of Meteorologica reveals a multifarious questioning, while meteorology seems a merely marginal concern. Rational reflection on hydrometeors and wind however takes shape, involving original developments, and indue course, the observation of the real as well. On the contrary, the French Encyclopaedia, in constructing a synthesis of all cultures, apparently does not popularize the newest advances of knowledge. In fact, as an echo of the disputes of scholastics, it requires several levels of reading. French meteorology thus appears as the outcome of a cultural encounter rather than the reflection of popular lore. It evidences how difficult it was for Aristotelian theories to be assimilated, on account of epistemological obstacles and of a still present underlying symbolism. Nevertheless, thanks to Aristotle, a French discourse on meteorology was building up
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Zingano, Marco Antonio de Avila. « Vertu et délibération : une étude de la notion de prohairesis chez Aristote ». Paris, EHESS, 1993. http://www.theses.fr/1993EHESA311.

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Résumé :
La notion de prohairesis (choix delibere) est une notion centrale dans l'ethique aristotelicienne. La these se divise en trois parties : la premiere introduit les notions de raison et de raison pratique, la deuxieme partie touche directement les concepts de choix delibere et de vertu ethique, et la troisieme partie, en guise e conclusion, porte sur le bonheur et les genres de vie chez aristote
The concept of prohairesis (choice) is one of the most important in aristotle's ethics. This thesis is divided into three chapters : the first one introduces the concepts of reason and practical reason; the second one discusses ethical choice and ethical virtue; the third and last one, which serves as a conclusion, deals with the meaning of happiness and the types of life in aristotle's ethics
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Crubellier, Michel. « Il libro Lambda della Metafisica di Aristotele ». Lille 3, 2009. http://www.theses.fr/2009LIL30082.

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Bataillard, Marie-Christine. « La structure de la doctrine aristotélicienne des vertus éthiques ». Paris 4, 1993. http://www.theses.fr/1993PA040116.

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Résumé :
La doctrine des vertus ethiques n'est pas imparfaite illustration de la these de la vertu-mediete, mais problematisation de la morale d'aristote elle-meme. En effet, l'analyse successive de la methode d'exemen des vertus, de leurs aspects objectifs (domaine de chaque vertu, nombre, ordre), puis subjectifs (juste milieu, vices, exces et defaut) permet de degager deux modeles de la moralite : d'une part les vertus ethiques exprement la valeur d'une affectivite ramenee a la mesure, et par consequent soumise aux regles politiques; d'autre part elles unissent desir et raison pour realiser le juste milieu objectif, c'est-a-dire des actes equilibrant parfaitement les circonstances, ce en quoi elles ne sont plus seulement bonnes, mais belles. Cette dualite n'est ni contradiction ni expression d'une evolution de la pensee d'aristote; elle doit etre conservee sous la forme de la feconde distance entre la lettre et l'esprit, opposition en accord avec la structure meme du discours moral d'aristote
Aristotle's doctrine of the moral virtues is not a confuse illustration of his theory that virtue is a mean, but a problematisation of his ethics. The successive analysis of the method in which the virtues are exposed, then of the objective aspects (sphere of each virtue, nomber, ordrer), lastly of the subjective aspects (nature of the mean, vices, excess and defect) leads indeed to determinate two patterns of morality : on the one hand, the moral virtues point out the praise of a well-tempered character, disposed to fulfil the political rules ; on the other hand, they combine desire and reason so that they produce the objective mean (that is a perfect balance of circumstances) and so become not only good, but also noble. This double conception is neither a contradiction nor the sign of an evolution of aristotle's thought ; it must be conserved in the form of the fecund opposition between letter and spirit, this according to the structure of the aristotelian moral doctrine
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Sohn, Yun-Rak. « Hylê au seuil de l’ontologie : une recherche sur l’Etre et la matière chez Aristote ». Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040098.

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Résumé :
Abordant la notion de la matière chez Aristote, cette recherche porte un regard critique sur la lecture traditionnelle qui juge que le problème de la matière pèse sur la validité de l’ontologie aristotélicienne. En effet, le poids sur cette théorie ne vient pas seulement de la part de matière, mais de ce qu’elle a un cadre hylémorphique. Le travail commence par saisir en Métaphysique Z 3 un concept étrange, celui de matière en tant que sujet, et cela en tant que substance, d’où vient deux problèmes : ceux de la matière première et de la prédication substantielle. On analyse les Catégories, puis continue la recherche dans des oeuvres d’Aristote de la philosophie naturelle comme la Physique, Du ciel, et De la génération et de la corruption avant de revenir en Métaphysique pour essayer de répondre à des importantes questions ontologiques
Dealing with the notion of matter in Aristotle, this thesis takes a critical regard to the traditional interpretation that considers the problem of matter as a burden on the Aristotelian ontology. In effect, the charge on this theory is caused not only by matter but by the fact that it has a frame of hylomorphism. The study begins by seizing a strange concept in Metaphysics Z 3, the matter qua subject, and this qua substance, from which issue two puzzling questions : that of prime matter and of substantial predication. The author makes an analysis on passages of the Categories, and enlarges his research in Aristotle’s texts of natural philosophy such as the Physics, On the Heavens, and On generation and corruption, and will return in the Metaphysics for an attempt to answer some important ontological questions
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Mittelmann, Jorge. « La cohérence de l'hylémorphisme : problèmes d’ontologie soulevés par la conception aristotélicienne de l’âme ». Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040018.

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Résumé :
Cette étude examine les tensions que l’énoncé aristotélicien de l’âme introduit dans les catégories fondamentales de la philosophie naturelle, contrariant l’expectative d’un transfert littéral de ces catégories à l’éclairage du rapport entre corps et âme. L’analyse standard du composé en matière et forme est ébranlée par l’irruption d’un substrat animé per se, lequel est censé avoir, en même temps, la vie « en puissance ». Cette difficulté suscite l’examen des articulations compromises, et demande l’introduction de quelques aménagements, dans le but de sauver la cohérence globale de l’entreprise définitionnelle. L’exposé des ennuis que soulève le projet général d’énoncer les composés sensibles est suivi d’une hypothèse interprétative, concernant le statut ontologique devant être accordé à chacun des deux termes du lien hylémorphique. De ce fait, la distinction catégorielle entre fonction et objet est mise au service d’un éclairage rétrospectif du binôme forme–matière, dans le but d’exploiter certains parallélismes remarquables. Un examen des diverses façons d’« avoir la vie en puissance » complète cette étude, qui conclut à une analogie entre la potentialité problématique du corps, et le rapport ambigu que le sang entretient à sa chaleur naturelle, dans le traité sur les Parties des Animaux
The dissertation discusses the strain that the Aristotelian formula of soul imposes on the basic categories of natural philosophy, challenging the expectations of a literal transposition of those categories to the explanation of the relationship between body and soul. The usual analysis of a hylomorphic composite into matter and form is disturbed by the irruption of a substrate which is animate per se, whereas it is supposed to have life potentially. This difficulty invites an examination of those usual articulations called into question by psychology, and requires bringing in some adjustments, in order to save the coherence of the whole definitional enterprise. Following the exposition of the troubles which faces the general project of defining sensible composites, the dissertation suggests an interpretative hypothesis as to the ontological status that should be bestowed on the relata of a matter–form relationship. Accordingly, the categorical demarcation between function and object is taken into account, given that it displays certain conceptual features that could help to clear up some of the issues involved in the Aristotelian distinction. A discussion of the different ways of “having life potentially” closes the work, which proposes to read the seemingly awkward potentiality of the body in the light of the connection between blood and its natural heat, sketched in the treatise on the Parts of Animals
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Magoulas, Charalampos. « Aristote dans les théories sémiotiques contemporaines ». Besançon, 2006. http://www.theses.fr/2006BESA1001.

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Résumé :
La philosophie aristotélicienne a été le champ des débats scientifiques de l'Antiquité jusqu'à nos jours dans plusieurs disciplines. L'étude de la réception de la pensée du philosophe et la manière dont celle-ci fait l'objet d'interprétations, d'appropriations et de transformations dans les théories sémiotiques a été choisie dans le cadre de cette recherche pour devenir l'éclairage sous lequel sont examinés certains domaines de la problématique sémiotique moderne comme l'analyse du discours quotidien, littéraire, la sémiotique de la réception et le rapport entre la sémiotique et la philosophie du langage. L'hypothèse fondatrice est que l'examen des références à Aristote dans les textes sémiotiques peut révéler la différenciation entre les sémioticiens de l'Ecole de Paris et Eco en ce qui concerne les bases méthodologiques sur lesquelles ils fondent leur sémiotique (linguistique pour l'Ecole de Paris et philosophie pour Eco), ainsi que les filtres avec lesquels ils traitent la problématique sémiotique actuelle comme le discours littéraire et quotidien, l'image et l'art. De ce débat découle la question épistémologique qui concerne la connexion et la continuité des disciplines dans l'espace scientifique (ontologie, philosophie du langage, sémiotique, sémantique, rhétorique) et le temps (Antiquité, Moyen Age, aujourd'hui). La recherche aboutit à démontrer l'exigence de l'approche interdisciplinaire des phénomènes de communication en employant cette optique méthodologique dans l'examen des deux champs de la problématique sémiotique contemporaine, la théorie du signe et la sémiotique de la réception. La collaboration interdisciplinaire entre les sciences de l'homme et de la société doit être évaluée dans les recherches sur la communication humaine à venir
Aristotle's philosophy has given the ground to scientific debates since the antiquity. We have chosen to study the reception of the philosopher's thought and the means of its interpretation, appropriation and transformation in the modern semiotic theories in order to illuminate some specific domains of the modern semiotic theory such as discourse analysis, semiotics of reception and the relation between semiotics and philosophy of language. The founding hypothesis of this research is that the investigation of the references to Aristotle in the semiotic texts can bring to light the differences between the Paris School of semiotics and Eco as far as it concerns the methodological basis on which they found their semiotics (linguistics for the Paris School and philosophy for Eco) and the filters they use in the treatment of modern semiotic questions such as everyday and literary speech, the image and art. From this differentiation derives the epistemological question about the connection and the continuity of the disciplines of language in the scientific area (ontology, philosophy of language, semiotics, semantics, rhetorics) and time (antiquity, the middle ages, today). This thesis demonstrates the necessity of an interdisciplinary approach of communicatory activities by applying this methodological point of view to the examination of two fields of the modern problematics in semiotics, the theory of sign and the semiotics of reception. The interdisciplinary work in humanities and social sciences should be valued in the future research on human communication
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Hatakeyama, Kana. « La faute dans la tragédie française du XVIIe siècle ». Electronic Thesis or Diss., Bordeaux 3, 2016. http://www.theses.fr/2016BOR30007.

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Cette thèse a pour objectif d’étudier la tragédie du XVIIe siècle en France avec la notion de faute tragique, hamartia, et de montrer l’originalité et la diversité des tragédies classiques. Commentée dans la Poétique d’Aristote, l’hamartia se définit comme une notion médiane entre un délit volontaire et une malchance. Coupable d’une hamartia, le héros n’en est pas pour autant entièrement responsable malgré sa prise d’initiative, dans la mesure où la faute n’est pas due à l’intention perverse. Parce que le malheur déclenché par une hamartia, apparaît disproportionné à l’intention du coupable, les spectateurs éprouvent de la compassion envers le héros infortuné. Dans la mesure où la compassion est une des émotions essentielles de la tragédie au même titre que la terreur – en effet, la catharsis consiste en l’épuration de ces émotions –, la faute tragique constitue à cet égard un des composants sine qua non de la tragédie. Mais arrivée au XVIIe siècle en France, la faute garde-t-elle le même statut ? Pour répondre à cette question, nous examinons les tragédies de sept dramaturges, Alexandre Hardy, Pierre Du Ryer, Jean Rotrou, Tristan L’Hermite, Pierre Corneille, Jean Racine et Jean-Galbert de Campistron, ce qui permet d’étudier le XVIIe siècle en entier. Le premier chapitre sera consacré à l’examen de la notion de faute dans les écrits théoriques. Dans le deuxième chapitre, nous nous intéresserons à la fabrique du héros coupable. Le troisième chapitre portera sur la nature de la faute. Et nous étudierons, dans le quatrième chapitre, le statut de la faute sur le plan dramaturgique, avant d’examiner, dans le dernier chapitre, les problèmes moraux. Ce travail révèlera l’importance de la Poétique d’Aristote dans la tragédie du XVIIe siècle en France
The purpose of this doctoral thesis is to study the French tragedy in the seventeenth century researching into the notion of tragic flaw, hamartia, and to show the originality and the diversity of the French classical tragedy. This notion, commented by Aristotle in "Poetics" originally differs from either an intentional crime or an accidental one. The tragic flaw presupposes the participation of an agent without denying the presence of fortuity. Although a tragic hero is responsible for his misfortune, as it proceeded from his fault, the result exceeds his intention. And this disparity between intention and misfortune makes the audience feel compassion for the hero suffering from his misfortune. If this compassion is one of the emotions caused only by tragedies, the tragic flaw constitutes in this respect an essential element of tragedy. But is the concept of fault identical in the Christendom society of the seventeenth century? To answer this question, I deal with the tragedies of seven dramaturges, Alexandre Hardy, Pierre Du Ryer, Jean Rotrou, Tristan L’Hermite, Pierre Corneille, Jean Racine and Jean-Galbert de Campistron, to cover the seventeenth century. In the first section of this work, I examine the notion of fault in the theoretical texts. The second section consists in studying the tragic figure. The third section is about the nature of the fault, the private fault and the politic fault. The fourth section concerns the status of fault on the dramaturgical level, before examining moral questions in the final section. This work reveals the importance of Aristotle’s Poetics in the French tragedy of the seventeenth century
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Xiao, Lin. « Confucius et Aristote : éléments d'un essai de comparaison -le "Ren", la vertu, le juste milieu- à partir des textes originaux et de traductions françaises ». Limoges, 2013. http://www.theses.fr/2013LIMO2002.

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Confucius et Aristote sont deux grands penseurs de "l'âge axial" selon Karl Jaspers. Les systèmes de valeurs édifiés durant cette période construisent et nourrissent les pensées de l'humanité jusqu'à aujourd'hui. Quelles sont alors les conceptions de l'homme chez ces deux sages? Comment conçoivent-ils l'idéal des relations humaines? Quelles sont les données contextuelles qui sous-tendent leurs pensées? A travers une nouvelle analyse comparative et contrastive des pensées de Confucius et d'Aristote sur les concepts et les mots chinois et grecs, nous essayons par ce présent travail de faire ressortir les éléments communs et/ou en complémentarité dans ces deux pensées au-delà de leurs différences
Confucius and Aristote are among the great thinkers of the "axial age" (Karl Jaspers). Value systems built during this period found and nurture the thoughts of humanity until today. So what are the conceptions of men for this two sages? How do they build the ideals of human relations? What are the contextual factors that underlie their thoughts? Through a new and constrastive analysis of the thoughts of Confucius and Aristote, concepts and words, Chinese and Greek, we try to present this work to highlight what are their common and complementary ideas beyond their differences
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Cordell, Paris Crystal. « La science politique d'Aristote : la cité et son régime ». Paris, EHESS, 2009. http://www.theses.fr/2009EHES0021.

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Résumé :
Cette thèse porte sur la science politique d'Aristote. Dans la Première partie, il s'agit de considérer la relation entre la science politique moderne et la science politique aristotélicienne. Cette partie comporte trois développements: une comparaison entre la conception ancienne de l'animal politique et la conception moderne de l'individu à partir d'un état de nature pré-politique; un examen du rejet moderne de la téléologie aristotélicienne; et une analyse des usages contemporains de la science politique d'Aristote. La Deuxième partie est consacrée à une interprétation de la pensée politique d'Aristote et, notamment, de la science aristotélicienne du régime politique, science qui est examinée à partir des notions de communauté (koinônia), de gouvernement politique (archè politikè) et de prudence (phronèsis). Ces notions permettent de comprendre des analyses clés concernant la nature politique de l'homme; le régime le meilleur; et le statut de la science pratique et politique
This doctoral thesis is an examination of Aristotle's political science. In the first part, the relation between modern political science and Aristotelian political science will be considered. This part includes three lines of argument: a comparison between the ancient conception of the political animal and the modern conception of the individual, originating in a pre-political state of nature; an examination of the modern rejection of Aristotelian teleology; and an analysis of contemporary uses of Aristotle's political science. The second part is devoted to an interpretation of Aristotle's political thought, and to the Aristotelian science of the political regime, in particular. This science is examined through the notions of community (koinônia), political rule (archè politikè), and prudence (phronèsis). These notions will enable us to elucidate crucial analyses concerning the political nature of man; the best regime; and the status of practical and political science
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Couillaud, Bruno. « Le discours rhétorique et le bien de la cité selon Aristote ». Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040186.

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Résumé :
La rhétorique, arme habituelle du démagogue ou de l'ambitieux, peut-elle être utile au politique? Platon est sévère et semble indiquer, à la différence de son disciple Aristote, qu'on ne peut poursuivre le bien commun en l'utilisant. Premièrement, il faut donc établir la légitimité de la rhétorique comme raisonnement. La raison humaine l'utilise en matière probable, dans le domaine de l'agir, moral ou politique, la dialectique étant directement utile, elle, dans le domaine de la pensée. L'une et l'autre se distinguent cependant de la sophistique et de l'éristique qui visent l'apparence ou l'erreur. Deuxièmement, on recherche la nature du raisonnement pratique au terme duquel on s'ordonne au bien. La lumière apportée par Aristote nous fait alors distinguer entre la politique comme connaissance certaine qui formule les principes communs de l'agir et principalement le bien commun comme fin de la cite, et la prudence qui s'appuie, elle, sur l'expérience et qui formule des principes plus circonstancies. En exemple de raisonnement pratique, on étudie deux discours de Périclès et d’Isocrate. La troisième partie enfin tente d'apporter une solution : spéculative et commune d'abord, en distinguant le jugement pratique du jugement auquel conduit l'orateur; pratique et appliquée ensuite, en montrant comment la rhétorique, subordonnée a la prudence politique peut servir au bien commun d'une cite. Cela sous trois aspects : celui de l'argumentation ou l'on montre la valeur et l'efficacité de l'exemple et de l'enthymème; celui des passions de l'auditoire, engagées dans les sujets abordés par l'orateur (éducateur, plaideur ou conseiller); il doit, lui, s'en faire des alliées; celui, enfin, de la valeur morale de l'orateur qui apporte a l'art oratoire l'argument de sa personne elle-même. La maitrise de ces trois richesses, rationnelle, affective et morale, peut alors servir le bien commun, pour cette part de sa poursuite ou la parole est déterminante
Rhetoric, usual weapon of the demagogues or the ambitious, be useful to the politicians? Plato is severe and appears to mean, very unlike his disciple, Aristotle, that we cannot seek for common good using it. Thus we must first settle the legitimacy of rhetoric as a reasoning. Human reason uses it in probable matter, in the field of human conduct, moral or politic, dialectics being directly useful in thought field. However, one and the other are distinct from sophistic and eristic which aim at appearance or error. Then we look for the nature of the practical reasoning at the end of which we apply us to good. The light brought by Aristotle makes us distinguish between politics as certain knowledge which formulates common principles of human conduct and, first of all, common good as end of the city, and prudence which leans upon experience and formulates principles more circumstantial. As examples of practical reasoning, we study two discourses of Pericles and Isocrates. The third part tries at last to bring a solution : speculative and common first, distinguishing practical judgment from the judgment to which the orator leads; practical and applicated then, showing how rhetoric, subordinated to political prudence can serve to the common good of a city. This under three aspects: the one of argumentation where value and efficacy of example and enthymeme are shown; the one of the passions of the hearers, bound to the subjects entered upon by the orator (educator, suitor or counsellor); he must have them become his allies; at last, the one of the moral virtue of the orator who brings the argument of his person itself to oratorical art. Thus, mastering these three gifts, rational, affective and moral, may help serving common good in this part of its quest where speech is conclusive
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Kim, Heon. « Logoi devant la foule : la rhétorique et la poétique selon Aristote ». Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2004. http://www.theses.fr/2004STR20002.

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Résumé :
"Dans le cadre de la philosophie d'Aristote, la rhétorique et la poétique appartiennent à la science poi͏̈étique (productrice). En mettant en relief la " faculté (dunamis) " des deux " arts (tekhnai) ", le philosophe s'efforce de donner une base théorique à la pratique dans les deux créations verbales. En dépit des ressemblances du point de vue de la définition, les deux arts se distinguent l'un de l'autre par la différence de leur fin : le plaisir procuré par la représentation (mimêsis) dans la poétique et la persuasion réalisée par la " preuve (pistis) " dans la rhétorique. Tandis qu'on observe des rubriques semblables dans la méthodologie, qui résultent de la ressemblance des termes utilisés pour la définition, les méthodes concrètes de la composition des " intrigues (muthoi) " d'une part, des discours oratoires d'autre part, sont différentes. D'abord, les niveaux du traitement des rubriques semblables ne se confondent pas l'un avec l'autre : la rhétorique consiste à synthétiser la démonstration logique, les caractères et les émotions au titre de la " pensée (dianoia) ", qui constitue le fond du discours ; la poétique considère les termes semblables - à savoir la logique du déroulement des faits, les caractères et les émotions - sur un autre plan, en renvoyant totalement le traitement de la pensée à la rhétorique. En outre, quant à l'" expression (lexis) ", qui est en général considérée comme un point commun à la poétique et à la rhétorique, la poétique se distingue nettement de la rhétorique par la différence des fins. En soulignant la différence plutôt que la ressemblance entre ces deux arts créateurs (sans ignorer toutefois cette dernière), on est à même de faire apparaître les aspects autonomes des deux arts, qui ne se confondent pas et qui possèdent chacun leur propre domaine - la rhétorique qui n'est pas encore un moyen littéraire ainsi que la poétique dans laquelle la rhétorique n'est pas encore transposée. Dans le cadre de la philosophie d'Aristote, la rhétorique et la poétique appartiennent à la science poi͏̈étique (productrice). En mettant en relief la " faculté (dunamis) " des deux " arts (tekhnai) ", le philosophe s'efforce de donner une base théorique à la pratique dans les deux créations verbales. En dépit des ressemblances du point de vue de la définition, les deux arts se distinguent l'un de l'autre par la différence de leur fin : le plaisir procuré par la représentation (mimêsis) dans la poétique et la persuasion réalisée par la " preuve (pistis) " dans la rhétorique. Tandis qu'on observe des rubriques semblables dans la méthodologie, qui résultent de la ressemblance des termes utilisés pour la définition, les méthodes concrètes de la composition des " intrigues (muthoi) " d'une part, des discours oratoires d'autre part, sont différentes. D'abord, les niveaux du traitement des rubriques semblables ne se confondent pas l'un avec l'autre : la rhétorique consiste à synthétiser la démonstration logique, les caractères et les émotions au titre de la " pensée (dianoia) ", qui constitue le fond du discours ; la poétique considère les termes semblables - à savoir la logique du déroulement des faits, les caractères et les émotions - sur un autre plan, en renvoyant totalement le traitement de la pensée à la rhétorique. En outre, quant à l'" expression (lexis) ", qui est en général considérée comme un point commun à la poétique et à la rhétorique, la poétique se distingue nettement de la rhétorique par la différence des fins. En soulignant la différence plutôt que la ressemblance entre ces deux arts créateurs (sans ignorer toutefois cette dernière), on est à même de faire apparaître les aspects autonomes des deux arts, qui ne se confondent pas et qui possèdent chacun leur propre domaine - la rhétorique qui n'est pas encore un moyen littéraire ainsi que la poétique dans laquelle la rhétorique n'est pas encore transposée. "
In the Aristotelian philosophy, the rhetoric and the poetics are part of the productive science. The philosopher endeavars to give the theoretical base to the practice in the two verbal creations. .
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Brière, Véronique. « Langage, sémantique et ontologie : une étude de la problématique catégoriale dans l'oeuvre d'Aristote (Des Catégories aux catégories) ». Paris 10, 2006. http://www.theses.fr/2006PA100171.

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Résumé :
Cette thèse se propose d'étudier la notion de catégorie dans les oeuvres d'Aristote, à travers les différentes formulations et problématiques dans lesquelles la notion s'inscrit ; la notion traverse les champs de la physique, de la métaphysique, autant que la dialectique ou l'analytique ; à partir d'une relecture détaillée du texte dit des Catégories, nous tentons de saisir une stratégie philosophique destinée à déconstruire des apories du platonisme notamment, fondée sur l'interprétation par Aristote des causes de ces apories ontologiques. C'est la constitution d'une réflexion sur le caractère sémantique qui est fondatrice, confirmée par les lectures des Réfutations sophistiques, Topiques, Analytiques. Mais la sémantique n'est pas réduite ni à l'ontologie qui la fonde, elle est plutôt le moyen d'en fonder une nouvelle ;les catégories sont ainsi les formes d'unité, et de la détermination qui supplante la domination du schème substantiel. La métaphysique pour sa part n'en fait pas seulement des « genres » qui se substituent à ceux du platonisme (Sophiste) ni des accidents ontologiques de la substance. Il faut réinterpréter l'ensemble de l'enquête sur l'ousia en métaphysique, autant que le statut supposé des « catégories ». On peut ainsi dégager la force de la réflexion aristotélicienne sur le langage, irréductible à la perspective d'une réduction formaliste, autant qu'à une régulation du langage courant : la perspective apophantique, des sciences, de la démonstration elle-même ne fait pas l'économie du caractère sémantique du langage, et de ce qui vient mettre en question la fonction symbolique qui lui est conventionnellement assurée. Notre lecture consiste à relier la compréhension de l'acte de katêgorein à une manière aristotélicienne d'interpréter les apories du Platonisme, des Éléates et des physiologues, autant qu'à ce qui fait la force de la sophistique : l'absence d'une sémantique, une saturation essentialiste, qui s'appuie sur une manière de confondre toute unité signifiée, et toute unité déterminée avec la forme de la substance, le ceci -C'est contre ce schème, jugé dominant et catastrophique pour le langage comme pour l'ontologie qu'Aristote fabrique les concepts catégoriels, qu'il faut donc interpréter autrement que comme les formes imposées au logos dans la prédication, ou que les types de « choses » manifestées nécessairement par la signification (réduite alors à une phénoménologie naïve). Cela n'interdit pas, au contraire, de suivre aussi, entre les textes, et dans certains point textuels en particulier, des glissements, des effets de métaphore, qui participe à la transformation ontologique des notions
This dissertation interrogates the notion of categories in Aristotle's work in ils various formulations as it ranges across the registers of physics and metaphysics, dialectics, and logic. A detailed rereading of Categories that focuses on Aristotle's interpretation of the origins of the ontological aporias -- of Platonism in particular-- reveals how the text adumbrates a philosophical strategy meant to deconstruct such aporias. A reading of On Sophistical Refutations, of Topics, and Prio rAnalytics confirms that at the basis of ibis strategy is a reflection on semantics. Semantics, however, cannot be reduced to ontology, although it is founded upon it. Rather, it represents the means to establish a new ontology. Consequently, categories should be understood as unity forms, and forms for determination, which supplant the domination of the logic of substance. As for metaphysics, it does not reduce categories to "genres" that would replace platonic ones (Sophist) nor to ontological accidents of substance. At stake here is the reinterpretation of the entire study of ousia in metaphysics as much as the supposed status of « categories. » My aim is to foreground the full scope of Aristotle's conceptualization of language, for it is neither a work of strict formalism nor simply a work on the rules of common speech. Not even the apophantic perspective of the sciences can ignore the semantic nature of language and the fact that the symbolic function it supposedly guarantees is thrown into question. This dissertation connects the understanding of katêgorein to Aristotle's interpretation of the aporias of Platonism, of the Eleates and of the physiologues. It connects it as well to what constitutes sophistics, i. E. The absence of semantics, a saturation based on the conflation of all units of meaning as well ac of any determined unit, with the form of substance, tode it. It is precisely against this dominant scheme, thought to be deleterious for language and ontology both, that Aristotle generates the concepts of categories. For this reason, I argue, we must no longer interpret categories as forms imposed on logos in predication or as types of "things" reduced to a naïve phenomenology. This new approach, rather, invites us to trace, from one text to another and within given texts, metaphorical slippages responsible for the ontological transformation of certain notions
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Girard, Charles. « Le réalisme des relations : étude des réponses apportées au problème de la différence entre la relation et son fondement (1250-1350) ». Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040047.

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Résumé :
La question de savoir si la relation est différente réellement de son fondement se rencontre fréquemment dans les textes médiévaux à partir du milieu du treizième siècle. Elle se pose avant tout dans un cadre aristotélicien de discussion des catégories et revient à se demander si la catégorie de relation ajoute véritablement une chose supplémentaire, la relation, dans la réalité. Cette question s'inscrit dans une représentation réaliste des relations : pour la plupart des auteurs du treizième et du quatorzième siècle, le fait que des choses soient réellement reliées entre elles ne fait pas de doute. Deux hommes de même taille sont bel et bien égaux, c'est-à-dire réellement reliés entre eux par une relation d'égalité. La difficulté est alors de comprendre comment ces choses sont reliées entre elles, ou encore, ce qu'est exactement cette relation dont il est alors question. Faut-il dire que l'égalité dans chacun des hommes de même taille est une nouvelle chose qui s'ajoute à la substance de chacun d'eux et aux accidents de taille, appartenant à la catégorie de quantité, sur lesquels ces relations d'égalité sont fondées ? Ou faut-il dire que l'égalité est réelle d'une autre manière, c'est-à-dire sans pour autant ajouter une nouvelle chose à ce à quoi elle advient ? Ce problème, qui se rencontre déjà dans les tensions existant entre les différents exposés qu'Aristote a consacrés à cette catégorie, a reçu de multiples réponses. Celles-ci nous éclairent sur la manière dont le réel est appréhendé au Moyen-Âge et sur les débats ontologiques de l'époque. Le travail ici résumé entreprend de délimiter précisément ces réponses et propose une manière de les classer
Whether relation is really distinct from its foundation or not is a question that can easily be found in medieval texts from the mid-thirteenth century onwards. It comes from an aristotelian background, the discussion about the categories, and asks if the category of relation really posits another thing, i.e. a relation, in reality. It results from a realist perspective on relations. In fact, most thirteenth and fourteenth century thinkers held without doubt that things outside the mind are really connected between them. Two men sharing the same height are really equal, that is, really linked to each other by a relation of equality. What is then left to understand is how these things are linked between them, or the exact nature of the aforementioned relation. Should we say that the equality in each of the equally sized men is a new thing that adds to the substance of each of them and to the accidents of height, belonging tho the category of quantity, on which these relations are founded? Or should we say that equality is real in another way, that is, without adding a new thing to the subject acquiring it? We can already find this issue in Aristotle himself, emerging from disagreeing texts devoted to this category. It received various answers that enable us to understand better how reality was defined in the Middle Age and some of the ontological debates of the time. The work that is here summed up attempts to precisely delineate these various answers and to provide a way of classifying them
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Timbert, Anne. « Individuations manières d'être ». Nice, 1994. http://www.theses.fr/1994NICE2004.

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Comment parler de l'individuation ? Jusqu'où peut-on aller dans les individuations ? Vingt-quatre siècles séparent ces deux manières d'envisager la même question. A travers ces deux modes d'interrogation, Aristote et G. Deleuze semblent rapporter tous deux la question de l'individuation à celle de la consistance, mais par des voies très différentes. Si le problème de la consistance fait sens encore en dehors d'une pensée de la substance, que recouvre alors cette sorte de consistance non substantielle ? Certes, les individus diffèrent, se distinguent les uns des autres. Mais ce constat intéresse-t-il au plus profond la question de l'individuation ? Des philosophes (H. Bergson, M. Merleau-Ponty, G. Simondon), mais aussi des écrivains (A. Artaud, M. Blanchot), des peintres (P. Cézanne, P. Klee) nous aideront sans doute à tracer les enjeux essentiels d'une telle interrogation. On peut se demander, en effet, si l'on ne diffère pas toujours de quelqu'un ou de quelque chose en fonction de différences extrinsèques, tandis qu'on devient le patient d'une différence individuante à mesure qu'on actualise un fond, ou bien qu'on résolve une certaine configuration de régions problématiques suivant l'envergure d'une certaine capacité ou manière d'être singulière
How can we speak of individuation? How far can we go into individuations? Twenty four centuries separate these two ways of considerating the same question. Through those two interrogation means Aristote and G. Deleuze seem both to refer the question of individuation to that of consistency, but through very different ways. If the problem of consistency has still a sens outside the thought of substance, then what does that kind of non-substantial consitency cover? Indeed, individuals differ, distinguish themselves the one from the other. But does this statement concern the question of individuation to such an extent? Philosophers (like H. Bergson, M. Merleau-ponty, G. Simondon) but artists as well (P. Cezanne, P. Klee, A. Artaud, M. Blanchot) will help us no doubt to lay out the essential stakes of such an interrogation. In fact, we can wonder wether we do not always differ from someone or something according to extrinsic differences - whereas we become the patient of an individuating difference as we actualize a background or as we resolve a given configuration of problematic regions according to the scope of a certain ability or singular way of being
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Martini, Bernard. « Les éléments d'Euclide et l'épistémologie aristotélicienne ». Aix-Marseille 1, 2010. http://www.theses.fr/2010AIX10029.

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Résumé :
Nous sommes partis du constat qu'il existe des correspondances entre les notions cardinales qui gouvernent la science aristotélicienne (définitions, hypothèqes, axiomes) et les énoncés liminaires des Eléments d'Euclide (définitions, postulats, notions communes). Nous avons voulu confronter la somme euclidienne prise dans son ensemble à la théorie aristotélicienne de la science et des mathématiques. Pour ce faire, nous avons exploré les directions suivantes : nous avons étudié la conception des mathématiques d'Aristote en l'opposant à des doctrines antérieures et en la situant dans le cadre de sa philosophie générale ; nous avons chercé ensuite à définir ce que pourrait être l'"aristotélisme" d'Euclide ; nous nous sommes employés enfin à repérer des écarts entre les préconisaions d'Aristote en matière de science et la synthèse euclidienne ; nous avons recherché quelles significations il était possible de donner à ces différences.
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Richard, Christophe. « La théorie aristotélicienne de la mimesis poétique ». Paris 1, 1992. http://www.theses.fr/1992PA010562.

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Résumé :
Étude la poétique d’Aristote visant à faire apparaitre l'originalité de la conception aristotélicienne de la "mimesis"poétique et ce en comparaison avec l'approche platonicienne de la question. Seront analysés dans ce but : l'origine (nature), les différents lieux d'intervention (éducation, expression poétique, peinture, musique) ainsi que les effets principaux (plaisir, purification) propres à la "mimesis" telle qu'Aristote l’a déterminé
Study of Aristotle's poetics aiming at showing the original feature of the Aristotelian conception of the poetical "mimesis" and this, in comparison with the platonic approach of the question. Tn this aim, the following points will be analyzed : the origin (nature), the different domains where it can be found (education, poetical expression, painting, music) as well as the main effects (pleasure, purification) characteristic of the "mimesis" determined by Aristotle
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Dorion, Louis-André. « Les réfutations sophistiques d'Aristote : introduction, traduction et commentaire ». Paris 1, 1991. http://www.theses.fr/1991PA010535.

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Résumé :
Cette thèse sur les réfutations sophistiques d’Aristote comporte trois grandes parties : une introduction, une traduction et un commentaire. L'introduction se subdivise elle-même en deux: premièrement, nous retraçons l'évolution sémantique du terme elenchos ("réfutation"). Cette évolution est tout à fait remarquable puisque ce terme signifie, a l'origine, "honte". Nous tentons de montrer que la définition aristotélicienne de l'elenchos marque une rupture très nette avec la conception traditionnelle de l'elenchos qui a prévalu depuis Homère jusqu'à Platon inclusivement. La définition aristotélicienne, qui est purement logique, s'oppose en effet à la conception éthique de l'elenchos. Deuxièmement, nous proposons un expose d'ensemble des réfutations sophistiques, ou nous examinons en détail les principaux problèmes d'interprétation soulevés par cette œuvre. Notre traduction des réfutations sophistiques se démarque en plusieurs passages des deux seules autres traductions françaises de ce traite, soit celle de J. Barthelemy Saint-Hilaire (1843) et celle de J. Tricot (1939). Quant au commentaire, il est composé de 472 notes qui s'efforcent de conférer le maximum d'intelligibilité au texte, souvent difficile, d’Aristote. Ce commentaire vient combler un vide flagrant, puisque la dernière étude d'ensemble sur les réfutations sophistiques remonte à 1866
This thesis on the sophistical refutations of Aristotle is divided into three main sections: an introduction, a translation and a commentary. The introduction subdivides itself in two parts; in the first part we relate the semantic evolution of the term elenchus ("refutation"). This evolution is altogether remarkable as this word originally signifies "shame". We attempt to demonstrate that Aristotle’s' definition of elenchus is a radical break from the traditional conception that had prevailed from homer to Plato inclusively. Aristotle’s' definition, which is purely logical, is in fact opposed to an ethical conception of elenchus. Next we submit an overall view of the sophistical refutations and examine in detail the main interpretative problems that arise in this text. Our translation of the sophistical refutations differs in several places from the two other French translations of this essay, both the one by J. Barthelemy Saint-Hilaire (1843) and the one by J. Tricot (1939). The commentary is composed of 472 notes attempting to confer a maximum of clarity to this often difficult text by Aristotle. It fills a blatant void, since the last overall study of the sophistical refutations goes back to 1866
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