Littérature scientifique sur le sujet « Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Critique et interprétation – 13e siècle »

Créez une référence correcte selon les styles APA, MLA, Chicago, Harvard et plusieurs autres

Choisissez une source :

Sommaire

Consultez les listes thématiques d’articles de revues, de livres, de thèses, de rapports de conférences et d’autres sources académiques sur le sujet « Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Critique et interprétation – 13e siècle ».

À côté de chaque source dans la liste de références il y a un bouton « Ajouter à la bibliographie ». Cliquez sur ce bouton, et nous générerons automatiquement la référence bibliographique pour la source choisie selon votre style de citation préféré : APA, MLA, Harvard, Vancouver, Chicago, etc.

Vous pouvez aussi télécharger le texte intégral de la publication scolaire au format pdf et consulter son résumé en ligne lorsque ces informations sont inclues dans les métadonnées.

Thèses sur le sujet "Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Critique et interprétation – 13e siècle"

1

Cordonier, Valérie. « Les formes de l'auctoritas : lieux d'émergences d'un "averroïsme théologique" dans la lecture thomasienne de Maïmonide, d'Avicenne et d'Averroès sur la science du premier moteur ». Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040011.

Texte intégral
Résumé :
L'étude propose une analyse détaillée et complète des formes diverses adoptées au fil des oeuvres thomasiennes, par les autorités d'Aristote, d'Avicenne, d'Averroès et de Maïmonide en matière de science, de providence et de gouvernement divins. En analysant, dans l'ensemble du corpus thomasien, l'évolution des “erreurs” combattues et la manière même dont elles sont reconstruites, je mets au jour différents types de “rapport aux sources” et je montre comment le traitement complexe imposé par Thomas aux textes à sa disposition, donne lieu à la formation de certaines erreurs doctrinales qui seront interdites quelques années plus tard par l'évêque de Paris. En comparant un tel traitement avec l'approche des mêmes auctoritates chez Albert de Cologne, je montre que c'est, chez son élève, une vision particulière des rapports entre foi et raison qui a provoqué, dans sa doxographie, la “précipitation” de certaines thèses que les censures allaient définitivement “figer” en 1270 et en 1277
This study gives a detailed analysis of the various forms adopted by the authorities of Aristotle, Avicenna, Averroes and Maimonides in the work of Thomas Aquinas. A particularly interesting topic for such an analysis is that of the divine science. So, as starting point of my study, i compile a full list of texts related to this question. On this basis, i proceed to analyse these passages, comparing them with its implicit or explicit sources by the Greek, Arabic and Jewish predecessors of Thomas in the aristotelian tradition. The particular treatment imposed on these texts displays significant differences in various phases of Aquinas' career, that i try to compare with the very different approach of such authorities by Albertus Magnus. In this way, this study will establish an evolution in the thomasian attitude toward these thinkers, and try to relate it to the intellectual context of this time, particularly to the articles in the condemnations of 1270 and 1277 concerning divine science, providence and knowledge of the future contingents
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
2

Mora, Márquez María. « Théories de la signification dans la deuxième moitié du XIIIe siècle : le portrait d'une rupture dans la tradition interprétative du peri hermeneias ». Paris 1, 2009. http://www.theses.fr/2009PA010690.

Texte intégral
Résumé :
Dans le passage 1. 6a3-9 du "Traité sur !'interprétation" (Peri hermeneias), Aristote esquisse une théorie de la signification qui sera longuement discutée dans les traditions des commentaires grecs et latins. Il est courant que les commentateurs de ce passage nous offrent des élucidations plus au moins développées sur la signification : c'est le cas, entre autres, de Anicius Manlius Severinus Boethius qui, en commentant ce passage, ébauche sa propre théorie de la signification. Le commentaire de Boèce a longtemps servi comme modèle pour la tradition interprétative du passage en question; jusqu'a ce que, dans la deuxième moitie du XIII e siècle, nous assistions à une rupture de cette tradition. Certains auteurs scolastiques parlent même d'un grand débat qui se serait tenu a ce sujet dans cette période. Cette rupture sera mise en place par deux camps différents aux thèses diverses : d'une part, certains modistes; d'autre part, des théologiens franciscains. Il s'agit dans cette étude de montrer comment cette rupture a été amorcée dans chaque camp, dans le but d'établir un portrait, quoique partiel, de la dispute sur la signification qui a eu lieu dans l'Université de Paris au XIIIe siècle. Il s'agit aussi d'indiquer certaines pistes sur la genèse de l'interrogation critique a laquelle a été soumise la tradition sémantique aristotélo-boécienne dans cette même période
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
3

Valdivia, Fuenzalida José Antonio. « La démonstration selon Thomas d’Aquin. Une étude sur la réception des Seconds Analytiques au XIIIème siècle ». Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL004.

Texte intégral
Résumé :
Le but de cette thèse est de reconstruire l’ensemble des questionnements théoriques qui sont présupposés par les auteurs qui participent de la réception des Seconds Analytiques au XIIIème siècle. Étant donné que la doctrine contenue dans cet ouvrage d’Aristote est difficile à interpréter de manière systématique, il est inévitable que sa réception progressive ait été guidée par des questionnements métaphysiques et gnoséologiques plus ou moins partagés par les auteurs mentionnés. Ma recherche est une tentative pour retracer ces questionnements, le but étant de proposer une reconstruction systématique de l’ensemble de la théorie contenue dans les commentaires des Seconds Analytiques de la période mentionnée. Cette reconstruction systématique offre une vision unifiée de l’ensemble des thèmes traités grâce à l’identification d’une question générale qui déterminerait l’orientation des questions spécifiques. L’auteur sur lequel la plupart des analyses sont concentrées est Thomas d’Aquin, mais le but étant de comprendre les questions qui guident la tradition des commentaires du XIIIème, Robert Grosseteste et Albert le Grand ont une place spéciale dans cette recherche. La thèse proposée est que la question précise qui est censée être répondue par ces commentaires est celle de savoir quelles doivent être les caractéristiques d’une connaissance parfaite. Par conséquent, les doctrines développées dans ces commentaires ne chercheraient pas à proposer une méthode de connaissance certaine de la réalité. Les propriétés d’une démonstration concernant sa forme et le contenu des propositions qui la composent se limiteraient à décrire un idéal de connaissance parfaite
The aim of this thesis is to reconstruct the set of theoretical questionings supposed by the authors who participate in Posterior Analytics’ reception during the 13th century. Considering that the doctrine contained in this Aristotle’s work is difficult to interpret in a systematical approach is inevitable that its progressive reception would have been guided by metaphysics and epistemological questionings, partially shared by these authors. The present research is an attempt to track down these questionings, with the objective of proposing a systematic reconstruction of the theory contained in the commentaries of the Posterior Analytics during that period. This systematic reconstruction offers a unified vision of the aspects assessed in this investigation. This due to the identification of a general question which would determine the orientation of specific ones. Thomas Aquinas is the author about whom most of the analyses are focused. But always considering the aim of comprehending questions which guide all this tradition of comments, two other comments have been studied: Robert Grosseteste and Alberto the Great. The thesis proposed is that the Posterior Analytics’ reception during the 13th century, reflects an attempt to answer the following question: which characteristics must a perfect knowledge possess? In accordance with this thesis, the doctrines developed in commentaries regarding this Aristotle’s work did not seek to propose a method of true knowledge of reality. The properties of a demonstration, regarding its shape and content of the propositions that compose it, would describe an ideal of perfect knowledge
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
4

Hatakeyama, Kana. « La faute dans la tragédie française du XVIIe siècle ». Electronic Thesis or Diss., Bordeaux 3, 2016. http://www.theses.fr/2016BOR30007.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse a pour objectif d’étudier la tragédie du XVIIe siècle en France avec la notion de faute tragique, hamartia, et de montrer l’originalité et la diversité des tragédies classiques. Commentée dans la Poétique d’Aristote, l’hamartia se définit comme une notion médiane entre un délit volontaire et une malchance. Coupable d’une hamartia, le héros n’en est pas pour autant entièrement responsable malgré sa prise d’initiative, dans la mesure où la faute n’est pas due à l’intention perverse. Parce que le malheur déclenché par une hamartia, apparaît disproportionné à l’intention du coupable, les spectateurs éprouvent de la compassion envers le héros infortuné. Dans la mesure où la compassion est une des émotions essentielles de la tragédie au même titre que la terreur – en effet, la catharsis consiste en l’épuration de ces émotions –, la faute tragique constitue à cet égard un des composants sine qua non de la tragédie. Mais arrivée au XVIIe siècle en France, la faute garde-t-elle le même statut ? Pour répondre à cette question, nous examinons les tragédies de sept dramaturges, Alexandre Hardy, Pierre Du Ryer, Jean Rotrou, Tristan L’Hermite, Pierre Corneille, Jean Racine et Jean-Galbert de Campistron, ce qui permet d’étudier le XVIIe siècle en entier. Le premier chapitre sera consacré à l’examen de la notion de faute dans les écrits théoriques. Dans le deuxième chapitre, nous nous intéresserons à la fabrique du héros coupable. Le troisième chapitre portera sur la nature de la faute. Et nous étudierons, dans le quatrième chapitre, le statut de la faute sur le plan dramaturgique, avant d’examiner, dans le dernier chapitre, les problèmes moraux. Ce travail révèlera l’importance de la Poétique d’Aristote dans la tragédie du XVIIe siècle en France
The purpose of this doctoral thesis is to study the French tragedy in the seventeenth century researching into the notion of tragic flaw, hamartia, and to show the originality and the diversity of the French classical tragedy. This notion, commented by Aristotle in "Poetics" originally differs from either an intentional crime or an accidental one. The tragic flaw presupposes the participation of an agent without denying the presence of fortuity. Although a tragic hero is responsible for his misfortune, as it proceeded from his fault, the result exceeds his intention. And this disparity between intention and misfortune makes the audience feel compassion for the hero suffering from his misfortune. If this compassion is one of the emotions caused only by tragedies, the tragic flaw constitutes in this respect an essential element of tragedy. But is the concept of fault identical in the Christendom society of the seventeenth century? To answer this question, I deal with the tragedies of seven dramaturges, Alexandre Hardy, Pierre Du Ryer, Jean Rotrou, Tristan L’Hermite, Pierre Corneille, Jean Racine and Jean-Galbert de Campistron, to cover the seventeenth century. In the first section of this work, I examine the notion of fault in the theoretical texts. The second section consists in studying the tragic figure. The third section is about the nature of the fault, the private fault and the politic fault. The fourth section concerns the status of fault on the dramaturgical level, before examining moral questions in the final section. This work reveals the importance of Aristotle’s Poetics in the French tragedy of the seventeenth century
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
5

Boulègue, Laurence, et Agostino Nifo. « Le De amore d'Agostino Nifo : édition, traduction et commentaire ». Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040188.

Texte intégral
Résumé :
Philosophe aristotélicien célèbre à son époque dans les universités italiennes les plus prestigieuses, Agostino Nifo (1469-1538) reste méconnu. Le De amore, écrit en 1529, est l'un de ses derniers ouvrages. Derrière un traitement original et séduisant du thème platonicien de l'amour, Nifo propose une nouvelle métaphysique aristotélicienne, en opposition au commentaire sur le banquet de Platon (1469) de Marsile Ficin. En un expose nourri de sources multiples, le De amore, au croisement de la tradition philosophique péripatéticienne et de celle, plus littéraire, des traites d'amour, révèle une pensée aboutie et cohérente qui illustre une page importante de l'évolution de l'aristotélisme au XVIème siècle. Cette thèse présente dans le premier volume une Edition et une traduction française annotées du De amore accompagnées d'un commentaire dans le second volume. Ce commentaire se propose d'éclairer le contexte dans lequel s'inscrit l'ouvrage afin d'en dégager les enjeux véritables, philosophiques et sociaux. Apres l'étude historiographique de la critique et la biographie de l'auteur, nous analysons la tradition philosophico-littéraire des traites d'amour qui fleurissent dans l’Italie du XVIème siècle. Nous dégageons, dans ce courant, la spécificité du De amore de Nifo et l'originalité de ses positions. D'un nouvel aristotélisme à un platonisme revisité, les thèses du De amore offrent une nouvelle conception du thème de l'amour qui, tout en se nourrissant des courants qui l'ont précédée, apporte une réflexion aristotélicienne jusqu'ici absente sur le sujet.
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
6

Châteauvieux, Marie de. « Justice et amitié selon Aristote ». Paris 4, 1985. http://www.theses.fr/1985PA040100.

Texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
7

Jaulin, Annick. « Genre, genèse et génération : de l'ousia prôtè chez Aristote ». Paris 1, 1995. http://www.theses.fr/1995PA010529.

Texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
8

Souchard, Bertrand. « Aristote, de la physique à la métaphysique, réceptivité et causalité ». Dijon, 2002. http://www.theses.fr/2002DIJOL004.

Texte intégral
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
9

Lemaire, Juliette. « La contradiction chez Aristote : analyse et problèmes ». Paris 10, 2005. http://www.theses.fr/2005PA100088.

Texte intégral
Résumé :
Aristote serait l'inventeur du concept de contradiction : la contradiction est l'opposition d'énoncés. Pourtant, l'analyse du Corpus Aristotélicien révèle que la contradiction est guettée par l'équivocité : la contradiction est l'une des quatre façons de dire être opposé, et la contradiction est une des façons dont les énoncés s'opposent. Comment articuler la classification quadripartite de l'opposition avec la distinction des propositions opposées ? S'agit-il de divisions complémentaires ou concurrentes ? Pourquoi la contrariété est-elle si proche de la contradiction ? Après l'étude des textes définissant et utilisant la contradiction, cette thèse contient une analyse de Métaphysique Gamma. Aristote affronte les négateurs du principe de non contradiction. Le point de départ de l'argumentation d'Aristote est la signification des mots. Outre la nature et les étapes de cette argumentation, son analyse conduit à poser la question d'une pluralité de principes de non-contradiction
Aristotle is supposed to be the inventor of the concept of contradiction: contradiction is the opposition between propositions. But, the analysis of the Aristotelian Corpus shows that contradiction may be close to equivocity: contradiction is one of the four ways of saying " to be opposite ", and contradiction is one of the ways propositions oppose each other. How to link the fourfold classification of the different meanings of opposition with the distinction between opposing propositions? Are they complementary or competing divisions? Why is contrariety so close to contradiction? After the study of the texts using and defining contradiction, this thesis presents an analysis of Metaphysics Gamma. Aristotle is facing those who deny the principle of noncontradiction. Besides the nature and the different stages of his argumentation, its analysis leads to discuss the question of a plurality of principles of non-contradiction
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
10

Brague, Rémi. « Aristote et la question du monde ». Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040002.

Texte intégral
Résumé :
Plusieurs aspects de la métaphysique, de la physique, de l'éthique et de la psychologie d’Aristote peuvent s'interpréter comme des affleurements d'un concept non-thématisé, celui d'être-dans-le-monde (l'in-der-welt-sein de heidegger). L’ensemble de la pensée grecque classique, même si elle était fascinée par l'ordre du cosmos, ne s'est guère demande ce que signifiait "être-dans-le-monde". L’expérience de la facticité, qui est un des traits fondamentaux de celle-ci, est ce qui permet à Aristote dans le protreptique, de justifier la vie philosophique ; mais il conçoit celle-ci comme culminant dans la contemplation, c'est-à-dire l'accès a ce qui est au plus haut point (ch. 2). Aristote est toujours resté pris dans cette ambiguïté, qui provient de ladite transposition : son éthique révèle ses hésitations entre deux sujets de l'agir moral : le "je" à qui il incombe d'agir de par ce qu'il a d'unique, le cédé a l'homme, tel qu'il est défini par sa place parmi les autres parties de l'univers (ch. 3 & 4). Par suite, il lui faut définir l'homme comme le plus mondain des êtres sublunaires : l'homme imite l'univers grâce à son universalité, et parce qu'il est capable de saisir les réalités les plus élevées (ch. 5). Cependant, Aristote ne peut définir le topos - ce dans quoi sont les choses- sans renvoyer à notre façon particulière d'être-là, même s'il réintroduit ensuite l'idée d'univers grâce à sa théorie des dimensions du corps humain comme fondées dans la structure objective du cosmos (ch. 6). Les difficultés de la définition aristotélicienne de l'âme ainsi que celles de la doctrine de l'intellect agent proviennent de la tentative d'Aristote pour transposer ce qu'il pense implicitement comme l'ouverture même du monde à travers notre présence dans le registre de la réalité mondaine-ce qui l'oblige à réduire l'âme à la conscience de ce qui se produit parmi les choses du monde (ch. 7). Il conçoit celui-ci d'une manière telle qu'elle l'amène à exclure le mouvement spécifiquement humain au profit de la continuité absolue des corps célestes. Cependant, la contemplation de soi du premier moteur reflète l'ambiguïté non résolue de l'energeia humaine : le pur acte d'être-là et l'activité de contempler le plus haut de tous les êtres s'y fondent (ch. 8). Malgré tout, l'energeia comme concept ontologique fondamental ne peut pas se définir en dehors de l'expérience humaine de l'être-là (ch. 9)
Some aspects of aristotle's metaphysics, physics, ethics and psychology can be accounted for as dim echoes of a concept a. Never dealt with thematically : being-in-theworld (heidegger's in-der-welt-sein). Classical greek though as a whole, although it was fascinated by the orderliness of the cosmos, hardly asked what being-in-the world means (ch. 1). The experience of facticity, which is one of its main features, enables a. To justify philosophical life in the protrepticus, but he conceives of this life as focussing on contemplation, i. E. Access to what emphatically is (ch. 2). A. Never got rid of this ambiguity, which arises from such a transposition : his ethics bear witness of his hesitating between two subjects of moral life : the i whom it behoves to act, because of his uniqueness, gives way to man as defined by his place among other parts of the universe (ch. 3 & 4). A. Therefore has to define man as the worldliest of all sublunar beings : he imitates the universe thanks to his universality and because he can grasp the highest beings (ch. 5). Nevertheless, a. Cannot define topos - the place in which things are - without his referring to our paculiar way of being there, although he later brings back the idea of universe through his theory of the dimensions of human body as rooted in the objective structure of the cosmos (ch. 6). The difficulties in a. "s definition of the soul as well as in his doctrine of the active intellect stem from his attempt at translating what he silently conceives of as the vey openness of the world through our presence, into the optics of worddly realitywhat compels him to reduce soul to consciousness of what takes place among things of the world. (ch. 7). A. Conceives the universe in a way which leads him to dis- card specifically human motion on behalf of the heavenly beings' absolute continuity. However, the first mover's self-contemplation mirrors the unresolved ambiguity of hu- man energeia : both the pure act of being there and the activity of contemplating the highest being coalesce in it (ch. 8). However, a. 's central ontological concept, en- ergeia, cannot be defined apart from the experience of our being there (ch. 9)
Styles APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
Nous offrons des réductions sur tous les plans premium pour les auteurs dont les œuvres sont incluses dans des sélections littéraires thématiques. Contactez-nous pour obtenir un code promo unique!

Vers la bibliographie