Thèses sur le sujet « Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Contribution à la rhétorique »

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Aluze, Vincent. « Rhétorique et politique dans les "Librorum deperditorum Fragmenta" d'Aristote : avec présentation, édition, traduction, annotations et commentaire des fragments relatifs à la rhétorique, à l'éthique et à la politique ». Electronic Thesis or Diss., Aix-Marseille, 2016. http://www.theses.fr/2016AIXM3111.

Texte intégral
Résumé :
La thèse examine la relation de la rhétorique, de l’éthique et de la politique dans les fragments des œuvres perdues d’Aristote, et la recherche porte plus largement sur le lien de cette relation avec l’ensemble de la philosophie d’Aristote. Cette étude tente donc de savoir si Aristote, par opposition à ses prédécesseurs, est bien « l’inventeur » de la rhétorique – à laquelle il confère le rang de technique avec une méthode et un objet propres dans le traité éponyme – dès ses premières œuvres de jeunesse, ou bien si sa conception a évolué au cours du temps. Ce faisant et en considérant les aspects éthico-politiques des ces œuvres perdues, l’examen discute les grandes hypothèses interprétatives qui ont été proposées à ce sujet pour soutenir la thèse d’une cohérence de la pensée d’Aristote plutôt que celle d’une évolution. L’étude comporte deux grands moments. Le premier consiste en l’édition, la traduction parfois inédite en langue française, et l’annotation des fragments des Librorum deperditorum relatifs à la rhétorique et la politique, avec la présentation des apparats critiques correspondants. Le second se consacre à l’examen de la cohérence de la pensée aristotélicienne au moyen du commentaire des fragments et de leur comparaison aux œuvres des sophistes (Protagoras, Gorgias, Isocrate, Lycophron), de Platon (Gorgias, Phèdre) et des traités aristotéliciens. Pour ce faire, le travail propose une étude lexicale du vocabulaire employé par Aristote, une analyse philosophique de certains concepts importants (andreia, eleutheriotês, eugeneia, metron, orgê, phronêsis) justifiée par leur emploi dans les fragments et le reste du Corpus aristotelicum, et une exégèse d’ensemble
The thesis investigates the relationship between rhetoric, ethics and politics in the fragments of Aristotle’s lost works, and more globally its relation in Aristotle’s entire philosophy. This study intends to understand if Aristotle, in opposition to his predecessors, is the « inventor » of the rhetoric – to which he awards the value of technique with a proper methodology and object in the eponym treatise – from is early years works, or if his conception of it evolved in time. In doing so, and considering the ethico-political aspects of these lost works, the thesis discusses the main interpretative hypothesis that have been proposed on this subject in order to support the theory of Aristotle’s thought consistency, more than its evolution. The study stands in two main parts. The first one consists in the edition, the translation sometimes unprecedented in French language, and the annotation of Librorum deperditorum’s fragments related to rhetoric and politics, including the corresponding critical apparatus. The second inspects the consistency of Aristotle’s thought using the fragments’ comments and in comparison to the works of the sophists (Protagoras, Gorgias, Isocrates, Lycophron), of Plato (Gorgias, Phaedrus) and of the aristotelian treatises. To proceed, a lexical study of the vocabulary used by Aristotle, a philosophic analysis of a few main concepts (andreia, eleutheriotês, eugeneia, metron, orgê, phronêsis) justified by their presence in the fragments and the rest of the Corpus aristotelicum, and a comprehensive textual exegesis have been undertaken
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Aluze, Vincent. « Rhétorique et politique dans les "Librorum deperditorum Fragmenta" d'Aristote : avec présentation, édition, traduction, annotations et commentaire des fragments relatifs à la rhétorique, à l'éthique et à la politique ». Thesis, Aix-Marseille, 2016. http://www.theses.fr/2016AIXM3111.

Texte intégral
Résumé :
La thèse examine la relation de la rhétorique, de l’éthique et de la politique dans les fragments des œuvres perdues d’Aristote, et la recherche porte plus largement sur le lien de cette relation avec l’ensemble de la philosophie d’Aristote. Cette étude tente donc de savoir si Aristote, par opposition à ses prédécesseurs, est bien « l’inventeur » de la rhétorique – à laquelle il confère le rang de technique avec une méthode et un objet propres dans le traité éponyme – dès ses premières œuvres de jeunesse, ou bien si sa conception a évolué au cours du temps. Ce faisant et en considérant les aspects éthico-politiques des ces œuvres perdues, l’examen discute les grandes hypothèses interprétatives qui ont été proposées à ce sujet pour soutenir la thèse d’une cohérence de la pensée d’Aristote plutôt que celle d’une évolution. L’étude comporte deux grands moments. Le premier consiste en l’édition, la traduction parfois inédite en langue française, et l’annotation des fragments des Librorum deperditorum relatifs à la rhétorique et la politique, avec la présentation des apparats critiques correspondants. Le second se consacre à l’examen de la cohérence de la pensée aristotélicienne au moyen du commentaire des fragments et de leur comparaison aux œuvres des sophistes (Protagoras, Gorgias, Isocrate, Lycophron), de Platon (Gorgias, Phèdre) et des traités aristotéliciens. Pour ce faire, le travail propose une étude lexicale du vocabulaire employé par Aristote, une analyse philosophique de certains concepts importants (andreia, eleutheriotês, eugeneia, metron, orgê, phronêsis) justifiée par leur emploi dans les fragments et le reste du Corpus aristotelicum, et une exégèse d’ensemble
The thesis investigates the relationship between rhetoric, ethics and politics in the fragments of Aristotle’s lost works, and more globally its relation in Aristotle’s entire philosophy. This study intends to understand if Aristotle, in opposition to his predecessors, is the « inventor » of the rhetoric – to which he awards the value of technique with a proper methodology and object in the eponym treatise – from is early years works, or if his conception of it evolved in time. In doing so, and considering the ethico-political aspects of these lost works, the thesis discusses the main interpretative hypothesis that have been proposed on this subject in order to support the theory of Aristotle’s thought consistency, more than its evolution. The study stands in two main parts. The first one consists in the edition, the translation sometimes unprecedented in French language, and the annotation of Librorum deperditorum’s fragments related to rhetoric and politics, including the corresponding critical apparatus. The second inspects the consistency of Aristotle’s thought using the fragments’ comments and in comparison to the works of the sophists (Protagoras, Gorgias, Isocrates, Lycophron), of Plato (Gorgias, Phaedrus) and of the aristotelian treatises. To proceed, a lexical study of the vocabulary used by Aristotle, a philosophic analysis of a few main concepts (andreia, eleutheriotês, eugeneia, metron, orgê, phronêsis) justified by their presence in the fragments and the rest of the Corpus aristotelicum, and a comprehensive textual exegesis have been undertaken
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Couillaud, Bruno. « Le discours rhétorique et le bien de la cité selon Aristote ». Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040186.

Texte intégral
Résumé :
La rhétorique, arme habituelle du démagogue ou de l'ambitieux, peut-elle être utile au politique? Platon est sévère et semble indiquer, à la différence de son disciple Aristote, qu'on ne peut poursuivre le bien commun en l'utilisant. Premièrement, il faut donc établir la légitimité de la rhétorique comme raisonnement. La raison humaine l'utilise en matière probable, dans le domaine de l'agir, moral ou politique, la dialectique étant directement utile, elle, dans le domaine de la pensée. L'une et l'autre se distinguent cependant de la sophistique et de l'éristique qui visent l'apparence ou l'erreur. Deuxièmement, on recherche la nature du raisonnement pratique au terme duquel on s'ordonne au bien. La lumière apportée par Aristote nous fait alors distinguer entre la politique comme connaissance certaine qui formule les principes communs de l'agir et principalement le bien commun comme fin de la cite, et la prudence qui s'appuie, elle, sur l'expérience et qui formule des principes plus circonstancies. En exemple de raisonnement pratique, on étudie deux discours de Périclès et d’Isocrate. La troisième partie enfin tente d'apporter une solution : spéculative et commune d'abord, en distinguant le jugement pratique du jugement auquel conduit l'orateur; pratique et appliquée ensuite, en montrant comment la rhétorique, subordonnée a la prudence politique peut servir au bien commun d'une cite. Cela sous trois aspects : celui de l'argumentation ou l'on montre la valeur et l'efficacité de l'exemple et de l'enthymème; celui des passions de l'auditoire, engagées dans les sujets abordés par l'orateur (éducateur, plaideur ou conseiller); il doit, lui, s'en faire des alliées; celui, enfin, de la valeur morale de l'orateur qui apporte a l'art oratoire l'argument de sa personne elle-même. La maitrise de ces trois richesses, rationnelle, affective et morale, peut alors servir le bien commun, pour cette part de sa poursuite ou la parole est déterminante
Rhetoric, usual weapon of the demagogues or the ambitious, be useful to the politicians? Plato is severe and appears to mean, very unlike his disciple, Aristotle, that we cannot seek for common good using it. Thus we must first settle the legitimacy of rhetoric as a reasoning. Human reason uses it in probable matter, in the field of human conduct, moral or politic, dialectics being directly useful in thought field. However, one and the other are distinct from sophistic and eristic which aim at appearance or error. Then we look for the nature of the practical reasoning at the end of which we apply us to good. The light brought by Aristotle makes us distinguish between politics as certain knowledge which formulates common principles of human conduct and, first of all, common good as end of the city, and prudence which leans upon experience and formulates principles more circumstantial. As examples of practical reasoning, we study two discourses of Pericles and Isocrates. The third part tries at last to bring a solution : speculative and common first, distinguishing practical judgment from the judgment to which the orator leads; practical and applicated then, showing how rhetoric, subordinated to political prudence can serve to the common good of a city. This under three aspects: the one of argumentation where value and efficacy of example and enthymeme are shown; the one of the passions of the hearers, bound to the subjects entered upon by the orator (educator, suitor or counsellor); he must have them become his allies; at last, the one of the moral virtue of the orator who brings the argument of his person itself to oratorical art. Thus, mastering these three gifts, rational, affective and moral, may help serving common good in this part of its quest where speech is conclusive
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Kim, Heon. « Logoi devant la foule : la rhétorique et la poétique selon Aristote ». Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2004. http://www.theses.fr/2004STR20002.

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Résumé :
"Dans le cadre de la philosophie d'Aristote, la rhétorique et la poétique appartiennent à la science poi͏̈étique (productrice). En mettant en relief la " faculté (dunamis) " des deux " arts (tekhnai) ", le philosophe s'efforce de donner une base théorique à la pratique dans les deux créations verbales. En dépit des ressemblances du point de vue de la définition, les deux arts se distinguent l'un de l'autre par la différence de leur fin : le plaisir procuré par la représentation (mimêsis) dans la poétique et la persuasion réalisée par la " preuve (pistis) " dans la rhétorique. Tandis qu'on observe des rubriques semblables dans la méthodologie, qui résultent de la ressemblance des termes utilisés pour la définition, les méthodes concrètes de la composition des " intrigues (muthoi) " d'une part, des discours oratoires d'autre part, sont différentes. D'abord, les niveaux du traitement des rubriques semblables ne se confondent pas l'un avec l'autre : la rhétorique consiste à synthétiser la démonstration logique, les caractères et les émotions au titre de la " pensée (dianoia) ", qui constitue le fond du discours ; la poétique considère les termes semblables - à savoir la logique du déroulement des faits, les caractères et les émotions - sur un autre plan, en renvoyant totalement le traitement de la pensée à la rhétorique. En outre, quant à l'" expression (lexis) ", qui est en général considérée comme un point commun à la poétique et à la rhétorique, la poétique se distingue nettement de la rhétorique par la différence des fins. En soulignant la différence plutôt que la ressemblance entre ces deux arts créateurs (sans ignorer toutefois cette dernière), on est à même de faire apparaître les aspects autonomes des deux arts, qui ne se confondent pas et qui possèdent chacun leur propre domaine - la rhétorique qui n'est pas encore un moyen littéraire ainsi que la poétique dans laquelle la rhétorique n'est pas encore transposée. Dans le cadre de la philosophie d'Aristote, la rhétorique et la poétique appartiennent à la science poi͏̈étique (productrice). En mettant en relief la " faculté (dunamis) " des deux " arts (tekhnai) ", le philosophe s'efforce de donner une base théorique à la pratique dans les deux créations verbales. En dépit des ressemblances du point de vue de la définition, les deux arts se distinguent l'un de l'autre par la différence de leur fin : le plaisir procuré par la représentation (mimêsis) dans la poétique et la persuasion réalisée par la " preuve (pistis) " dans la rhétorique. Tandis qu'on observe des rubriques semblables dans la méthodologie, qui résultent de la ressemblance des termes utilisés pour la définition, les méthodes concrètes de la composition des " intrigues (muthoi) " d'une part, des discours oratoires d'autre part, sont différentes. D'abord, les niveaux du traitement des rubriques semblables ne se confondent pas l'un avec l'autre : la rhétorique consiste à synthétiser la démonstration logique, les caractères et les émotions au titre de la " pensée (dianoia) ", qui constitue le fond du discours ; la poétique considère les termes semblables - à savoir la logique du déroulement des faits, les caractères et les émotions - sur un autre plan, en renvoyant totalement le traitement de la pensée à la rhétorique. En outre, quant à l'" expression (lexis) ", qui est en général considérée comme un point commun à la poétique et à la rhétorique, la poétique se distingue nettement de la rhétorique par la différence des fins. En soulignant la différence plutôt que la ressemblance entre ces deux arts créateurs (sans ignorer toutefois cette dernière), on est à même de faire apparaître les aspects autonomes des deux arts, qui ne se confondent pas et qui possèdent chacun leur propre domaine - la rhétorique qui n'est pas encore un moyen littéraire ainsi que la poétique dans laquelle la rhétorique n'est pas encore transposée. "
In the Aristotelian philosophy, the rhetoric and the poetics are part of the productive science. The philosopher endeavars to give the theoretical base to the practice in the two verbal creations. .
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Guremen, Refik. « L'homme, le plus politique des animaux : essai sur les "Politiques" d'Aristote, livre I, chapitre 2 ». Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA010678.

Texte intégral
Résumé :
Cette étude est entièrement consacrée à un examen du deuxième chapitre du premier livre des "Politiques" d'Aristote. Elle vise à analyser l'affirmation aristotélicienne selon laquelle l'homme est un animal plus politique que les autres animaux politiques (Pol., I, 1, 1253a7-9). Tous les commentateurs d'Aristote expliquent cette affirmation par référence à la rationalité, ou à la moralité ou encore à la capacité langagière de l'homme. Selon l'idée soutenue dans cette étude, bien que ces traits exclusivement humains ne soient pas impertinents à la forme spécifique que prend la vie politique de l'homme, le plus haut degré de son caractère politique ne peut pas s'expliquer en fonction d'eux. Après un examen détaillé des plusieurs difficultés que l'on rencontre dans les commentaires contemporains des Politiques, 1,2, nous avons développé la thèse que selon Aristote l'homme est le plus politique des animaux politiques parce qu'il est un animal grégaire à multiple communautés. D'après Aristote, l'homme développe cette multiplicité de communautés en vue de l'autosuffisance. Pour pouvoir montrer que cette interprétation est en conformité avec une autre affirmation d'Aristote selon laquelle la polis existe en vue du bien-vivre, nous avons aussi démontré qu'il existe chez le Stagirite des éléments d'une notion de bien-vivre qui relève moins de la moralité que des conditions animales de l'homme et que c'est dans ce dernier sens que l'existence de la polis en vue du bien-vivre doit être comprise
This dissertation is dedicated to an exclusive study of Aristotle's "Politics", I, 2. It aims at analyzing Aristotle's affirmation that human beings are more political than the other political animals (Pol., I, 1, 1253a7-9). According to the most widely shared views about Aristotle's argument here, human beings would be more political either because they are rational, or because they have a natural capacity for speech or because they are perceptive about questions of morality. According to the idea defended in this study, although these exclusively human features are not impertinent to the specific form that human beings' political life takes, human beings' higher degree of politicalness cannot be explained on the basis of them. After a detailed examination of certain difficulties and shortcomings in contemporary commentaries on Politics, l, 2, we develop the thesis that according to Aristotle, the human being is more political because it is a gregarious animal of multiple communities. For Aristotle, human beings develop this multiplicity of communities for the sake of self-sufficiency. In order to show that this thesis is in conformity with Aristotle's other main idea that the polis exists for the sake of living-well, we demonstrate that elements of a different conception of living-well, based more on human being's animality than its rnorality, are present in Aristotle’s work. Aristotle's affirmation that the polis exists for the sake of living-well must be understood in this rather zoological sense of living-well
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Torrente, Luca. « Génération, nature et individuation chez Aristote ». Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2022. https://accesdistant.sorbonne-universite.fr/login?url=https://theses-intra.sorbonne-universite.fr/2022SORUL015.pdf.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse se propose d’examiner le problème de l’individuation chez Aristote à partir d’une étude sur la génération des êtres vivants. Ce choix a permis d’aborder un problème controversé selon une perspective quasiment inédite. La première partie de la thèse est une analyse de la génération des substances physiques dans le corpus aristotélicien. Ce chapitre vise à mettre en évidence les caractères propres de la génération absolue des substances par rapport aux autres types de devenir. La deuxième partie étudie l’embryogenèse des vivants dans une perspective qui cherche à intégrer le modèle hylémorphique dans un autre modèle, plus complexe et exhaustif, qui est celui du développement dynamique. Dans la troisième partie, c’est le problème de l’individuation qui est visé. On achève l’analyse de la génération animale jusqu’à sa fin : le développement des caractères héréditaires et particuliers de chaque individu. Les deux thèses les plus connues – l’identification du principe d’individuation avec la matière ou la forme – sont discutées et critiquées. On propose enfin une solution qui établit trois causes particulières capables d’expliquer la génération d’un individu en tant qu’individu, en s’appuyant sur un passage de Métaphysique Λ 5. La quatrième partie prend en compte la spécificité de l’être humain dans la question de l’individuation. Il est question de l’individualisation de l’homme, c’est-à-dire du processus par lequel un certain individu cherche à se constituer comme sujet agent et personne morale autonome à l’intérieur d’une communauté donnée
My thesis proposes to examine the problem of individuation in Aristotle’s philosophy from a study on the generation of living beings. This choice has made possible to approach a controversial problem from an almost unprecedented perspective. The first part of the thesis is an analysis of the generation of physical substances in the Aristotelian corpus. This chapter aims to highlight the specific characteristics of the absolute generation of substances in relation to other types of becoming. The second part studies the embryogenesis of the living beings from a perspective that seeks to integrate the hylomorphic model into another, more complex and exhaustive model, which is that of dynamic development. In the third part, the problem of individuation is addressed. We complete the analysis of the animal generation to its end: the development of the hereditary and particular characteristics of each individual. The two best-known theses – the identification of the principle of individuation with matter or form – are discussed and criticized. Finally, a solution is proposed that establishes three particular causes capable of explaining the generation of an individual as an individual, based on a passage from Metaphysics Λ 5. The fourth part considers the specificity of the human being in the question of individuation. It is a question of the individualization of man, the process by which a certain individual seeks to constitute himself as an agent subject and autonomous legal person within a given community
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Dos, Santos Nélio Gilberto. « Préservation et Usage. Le dualisme de la fin chez Aristote ». Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL142.

Texte intégral
Résumé :
Selon Aristote, la cause finale est double, suivant ce qu’il indique en cinq endroits stratégiques du corpus : à propos de la relation causale entre la finalité et la matière, dans Physique II ; par rapport à la finalité de la reproduction animale, dans De Anima II ; et un peu plus loin, dans cette même ouvrage, le dualisme est affirmé pour éclairer la manière dont l’âme est fin pour le corps ; dans l’Éthique à Eudème, où il s’agit de préciser la façon dont le dieu est fin pour la sagesse pratique ; enfin, concernant la causalité téléologique du Premier Moteur, dans Métaphysique Λ. Ce dualisme téléologique, formulé dans les occurrences du De Anima II à travers l’expression technique τὸ οὗ et τὸ ᾧ, ayant été développée dans une étude qui ne nous est pas parvenue, est fréquemment comprise en fonction de la finalité de la production technique et traduite par « le but visé » et « le bénéficiaire ». Toutefois, cette tentative d’éclaircir cette expression laconique pose des problèmes assez importants, dont celui de sa pertinence pour l’approche des phénomènes naturels qu’elle est censée expliquer. Cette étude cherche à restituer ce dualisme de la fin au centre de la compréhension aristotélicienne de la téléologie. L’examen des occurrences, ainsi que l’étude des thèmes majeurs de la finalité dans la philosophie de la nature d’Aristote, nous conduisent à mettre en avant deux notions qui permettent expliciter ce à quoi fait référence le dualisme téléologique : la notion d’usage, χρῆσις, et celle de préservation, σωτηρία
According to Aristotle, the final cause is twofold, as it indicates in five strategic places of the corpus: concerning the causal relation between finality and matter, in Physics II; with respect to the purpose of animal reproduction, in De Anima II; and a little further on, in this same work, this dualism is affirmed to enlighten the way in which the soul is end for the body; in Eudemian Ethics, where is it to specify the way in which the god is an end for practical wisdom; finally, concerning the teleological causality of the Prime Mover, in Metaphysics Λ. This teleological dualism, formulated in the occurrences of De Anima II through the technical expression τὸ οὗ and τὸ ᾧ, having been developed in a study that has not survived to our times, is frequently understood in terms of purpose in technical production and translated by "purpose" and "beneficiary". However, this attempt to clarify this laconic expression raises quite significant problems, including that of its relevance for the approach of the natural phenomena that it is supposed to explain. This study attempts to restore this dualism of the end at the centre of Aristotelian understanding of teleology. The examination of occurrences, as well as the study of the major themes of finality in Aristotle's philosophy of nature, lead us to put forward two notions that make explicit what the teleological dualism refers to: the notion of usage, χρῆσις, and that of preservation, σωτηρία
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Guérin, Charles. « L'élaboration de la notion rhétorique de "persona" au Ier siècle av. J. -C. : antécédents grecs et enjeux cicéroniens ». Paris 12, 2006. https://athena.u-pec.fr/primo-explore/search?query=any,exact,990002535200204611&vid=upec.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse se propose d’étudier la manière dont la rhétorique latine du Ier siècle av. J. -C. Est parvenue à formaliser l’aspect éthique de la pratique oratoire par l’élaboration progressive d’une catégorie adaptée aux enjeux de la République romaine : celle de persona, notion qui désigne, dans son acception rhétorique, l’image que l’orateur projette de lui-même à travers son discours, tant par l’énonciation directe de ses propres mérites que, de façon indirecte, par son argumentaire, son style (elocutio), sa voix et ses gestes (actio). Cette étude entend mettre en évidence la spécificité latine de la notion (par opposition à la notion grecque d’h\qo") et cherche à inscrire la pensée rhétorique dans l’environnement idéologique dont elle dépend étroitement dès qu’entrent en jeu l’apparence et le comportement de l’orateur. Une première partie fait de la théorie athénienne de l’h\qo" et de ses implications politiques un point de comparaison permettant d’appréhender les spécificités de la persona. Il est alors possible d’étudier la difficile émergence, dans l’anonyme Rhétorique à Herennius et le De inuentione de Cicéron, d’une notion dégagée des stricts enjeux de la rhétorique grecque et embrassant les dimensions symboliques, idéologiques et pratiques propres au contexte aristocratique romain. Est enfin analysée la manière dont Cicéron, dans ses œuvres de maturité, parvient à donner à la persona un statut théorique véritable et à utiliser cette notion au sein d’un projet rhétorique et philosophique large
This thesis intends to study the theoretical means by which the Latin rhetoric of the first century BCE has understood the ethical aspect of rhetorical performances and has progressively built a category suited to the peculiarities of the late Roman republic : the notion of persona, which, in its rhetorical meaning, corresponds to the merits mentioned by the orator in his own speech and to the ethos he conveys through his argumentation, style, voice and gestures. This work seeks to demonstrate that the notion of persona is no strict equivalent of the Greek notion of h\qo". It emphasizes therefore how historical and ideological contexts must be taken into account when rhetorical theory tries to deal with oratorical ethos. The first part of this study uses the Athenian theory of h\qo" and its political value as a reference in order to give the notion of persona its particular rhetorical meaning. It then becomes possible to study how this notion slowly emerges, detaches itself from Greek rhetorical tradition and takes into account the symbolical, ideological and practical realities of the Roman aristocratic environment in the anonymous Rhetorica ad Herennium and Cicero’s De inuentione. The last part of this study analyzes how Cicero gives a true theoretical status to the notion of persona in his mature works and uses it for philosophical and rhetorical purposes that are wider than they were in the first Latin rhetorical texts
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Colle, Philippe. « Traduction du De inventione dialectica de Rodolphe Agricola ». Electronic Thesis or Diss., Université Grenoble Alpes, 2020. http://www.theses.fr/2020GRALL027.

Texte intégral
Résumé :
Traduction du De l’Invention dialectique, de Rodolphe Agricola (1483) : première traduction intégrale en français. Le Moyen Age a surtout pratiqué la dialectique : art de l’emporter, dans un débat, sur l’adversaire. Pour Agricola, il s’agit aussi d’enseigner (docere) : développer un exposé devant un auditoire sans prévention, mais peu formé. Il cherche, auprès des auteurs et des maîtres de rhétorique de l’Antiquité, les moyens d’obtenir l’abondance nécessaire (copia). Le traité poursuit ces deux objectifs. La traduction essaie de rendre la différence de style qui résulte de ce double projet : plus rigoureux et dépouillé dans les chapitres centrés sur la dialectique ; plus fluide et imagé dans les passages où c’est la rhétorique qui domine
Translation of Rodolphe Agricola's De Inventione dialectica (1483). First full translation into French. The Middle Ages practised above all dialectic, i.e. the art of winning in a debate over an adversary. But for Agricola, it's also about teaching (docere), i.e. developing a presentation in front of an audience without prevention, but little initiated. Agricola seeks, from the authors and masters of the Antiquity, to obtain "abundance" (copia). These are the two goals of this treaty.The translation tries to make the difference in style associated with these two objectives : more rigorous in the dialectical chapters, but more fluid and imaged in passages where rhetoric dominates
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Cherif, Zahar Farah. « Le traité d’Aristote sur l’éternité du mouvement. Traduction et commentaire de Physique VIII ». Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040186.

Texte intégral
Résumé :
La thèse consiste en une nouvelle traduction du livre VIII de la Physique d’Aristote, suivie d’un commentaire linéaire et problématisé du traité. Ce travail propose de repérer et d’analyser aussi bien les difficultés d’interprétation que les problèmes philosophiques internes au système aristotélicien en prenant appui sur les apports de la riche littérature secondaire et en se nourrissant de l’exégèse ancienne grecque et arabe. Il montre que le livre VIII est consacré de bout en bout à la question de l’éternité du mouvement et est susceptible de trois interprétations très différentes en fonction de la manière dont on identifie la nature de cette éternité. Après avoir présenté la première lecture, commune à la tradition néoplatonicienne (Philopon et Simplicius) et à la première réception arabe du traité (Fārābī, Ibn Bāǧǧa et le jeune Averroès), puis la seconde interprétation, propre à l’Averroès tardif, cette recherche met à distance ces deux interprétations historiques pour déployer une nouvelle lecture, « sous-déterminée », du traité, plus fidèle à sa lettre
The dissertation consists of a new translation of the eighth book of Aristotle’s Physics followed by a linear and analytical commentary of the treatise. Based on a study of the contemporary secondary literature and a close examination of the Greek and Arabic exegesis, the aim of this work is to identify and analyse the difficulties of interpretation as well as the philosophical problems that arise inside the Aristotelian system. It demonstrates that Book VIII is all the way long a study of the eternity of motion and gives rise to three very different interpretations according to the way one understands the nature of this eternity. After a presentation of the first reading of the treatise, common to the Neoplatonist tradition (Philoponus and Simplicius) and the first Arabic reception of the text (Fārābī, Ibn Bāǧǧa and the young Averroes), and of the second reading, specific to the late works of Averroes, this research distances itself from both historical interpretations and develops a new reading of the treatise closer to the Aristotelian text
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Yokoyama, Yoshiji. « La grâce et l’art du comédien : conditions théoriques de l’exclusion de la danse et du chant dans le théâtre des Modernes ». Paris 10, 2008. http://www.theses.fr/2008PA100018.

Texte intégral
Résumé :
Depuis la Renaissance, les Modernes - notamment les Français - ont élaboré une forme théâtrale singulière dans le monde : un théâtre sérieux excluant la danse et le chant. Le but de notre étude est d'éclaircir les motivations et les significations de cette exclusion à travers l'analyse du développement historique de la notion de grâce, notion clé de l'art du comédien moderne. Au niveau sociologique, la conclusion est simple : le comédien du théâtre des Modernes s'interdit de chanter et de danser, car son modèle est l'orateur romain, et non le comédien romain dansant et chantant. La gratia représente une corporalité de l'orateur romain qui doit s'écarter le plus possible de celle des professionnels des techniques physiques. L'idéologie de la rhétorique romaine a pénétré dans l'art du comédien moderne à travers les pratiques théâtrales exécutées dans le cadre de l'éducation humaniste - ces pratiques ont fait « renaître » le théâtre des Anciens, mais sous une forme scénique totalement différente. Cependant l'histoire de l'idée est plus complexe. Alors qu'à l'époque archaïque, la notion de grâce - khans en grec représentait le charme de la danse et du chant, elle finit par incarner la critique aristotélicienne du spectaculaire dans la rhétorique hellénistique. La gratia dans la rhétorique romaine est héritière de cette histoire paradoxale. Le théâtre des Modernes assimile l'idéologie aristotélicienne à travers la rhétorique romaine. La grâce des Modernes représente le modèle théâtral de la vérité qu'a établi Aristote. Dans ce sens, le théâtre des Modernes fonctionne comme vecteur de la morphologie aristotélicienne de la vérité : la vérité se dit quand le corps se tait
After the Renaissance a unique theatre genre gradually developed in certain modern societies (in particular in France) which excluded singing and dancing. The aim of my study is to clarify the motivations and significance of this exclusion through an analysis of the historical development of the notion of "grace", a central concept in the modern actor's art. In sociological terms, my conclusion is simple: an actor in modern theatre refrained from dancing and singing because his mode) was the Roman orator, not ancient Roman actors who sang and danced. The Roman notion of gratia represented the orator's body, which strived to be as far removed as possible from that of professionals of physical techniques. The ideology of Roman rhetoric made its way into the modern actor's art through theatrical practices that were carried out in the framework of a humanist education, "reviving" ancient theatre in a totally different form. The history of the idea is more complex, however. Whereas, in the Archaic Period, the notion of grace - kharis in Greek - represented the charm of dance and song, in the later Hellenistic Period it embodied the Aristotelian critique of the spectacular. Gratia in Roman rhetoric received this paradoxical history as its legacy. "Grace" to the moderns was based on the theatrical mode) of truth established by Aristotle. In this sense, modern theatre is a vector of the Aristotelian morphology of the truth: the truth is told when the body remains Bilent
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Ribas, Marie-Noëlle. « EMPEIRIA. La querelle de l'expérience (Aristote, Platon, Isocrate) ». Electronic Thesis or Diss., Lyon, École normale supérieure, 2015. https://acces.bibliotheque-diderot.fr/login?url=https://doi.org/10.15122/isbn.978-2-406-08717-5.

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Résumé :
Cette thèse de doctorat étudie la manière dont Aristote, Platon et Isocrate font du recours à la notion d’empeiria et de la promotion d’une certaine conception de l’expérience, le moyen de se défendre contre l’accusation d’inexpérience qui les vise et de polémiquer entre eux sur la question de l’excellence, dans les domaines théorique, technique et pratique. Cet examen permet d’éclairer sous un jour nouveau la question de l’empirisme antique, en considérant, d’une part, la critique que Platon et Aristote adressent à une certaine conception empirico-sophistique des savoirs et de la pratique, en reconsidérant de l’autre, le supposé empirisme d’Aristote. Si la notion d’empirisme n’a pas d’équivalent en grec, Platon fait de la notion d’empeiria, désignant une forme de pratique non-technique ignorant les causes, un instrument polémique permettant de souligner le défaut de technicité des différentes techniques, que les sophistes se font forts de transmettre. En mettant l’accent sur « l’expérience de la vérité », Platon remet en question l’empirisme de ceux qui ignorent la valeur théorique et pratique de la connaissance des réalités intelligibles. Aristote poursuit la réflexion, en reconsidérant le rôle positif, cognitif et pratique, de l’empeiria comme connaissance acquise à partir de la sensation. Aristote poursuit la critique d’un certain empirisme, dont se rendent coupables tous ceux qui échouent à s’élever à la connaissance de l’universel, tout en déplorant le défaut d’empeiria de ceux dont le savoir est purement théorique. Si comme Platon, Aristote n’est pas un empiriste, parce qu’il refuse de faire de la sensation le principe de la connaissance et le critère du vrai, son rationalisme diffère de celui de Platon, par le rôle reconnue à la sensation et l’expérience dans les domaines théorique, technique et pratique. Cette étude entend révéler l’urgence de distinctions en philosophie de la connaissance dans le cadre des études anciennes, comme la distinction entre le rationalisme logique de Platon et le rationalisme empirique d’Aristote, par exemple, permettant de mesurer l’originalité des doctrines antiques sur des problèmes aussi fondamentaux que l’origine et le principe de la connaissance et de l’action bonne
This dissertation investigates how Aristotle, Plato and Isocrates use the notion of empeiria and promote a certain conception of experience, in order to defend themselves from the charge of inexperience made against them, and also in order to debate about the question of excellence in the theoretical, technical and practical fields. This study sheds some new lights on ancient empiricism, by investigating, on one hand, Plato’s and Aristotle’s criticism against an empiricist sophistic approach of knowledge and action, and, on the other hand, the so-called Aristotelian empiricism. Although the concept of ‘empiricism’ has no equivalent in Greek, Plato uses the notion of empeiria to designate a non-technical form of action, in order to underlie a lack of technicality and to question the value of what some sophists claim to teach under the name of technai. While insisting on a philosophical kind of experience of truth, Plato criticizes what appears to be the empiricism of those who ignore the theoretical and practical value of the knowledge of intelligible realities. Aristotle goes beyond this stance by re-evaluating positively the role of empeiria, both in its cognitive and practical aspects, as a specific kind of knowledge, derived from sense-perception. He still criticizes the empiricism of those who fail to reach a certain kind of knowledge, namely the knowledge of universals, but also adds a criticism against those who lack the knowledge of particulars acquired through sense-perception and experience.If Aristotle is no more an empiricist than Plato, since he does not recognize sense-perception as the principle of knowledge and as the criterion of the truth, his rationalism is quite different from Plato’s, because of the important role he gives to sense-perception and experience in all areas. This study intends to break through in the direction of some distinctions in ancient philosophy, such as the distinction between Plato’s logical rationalism and Aristotle’s empirical rationalism, which would enable us to re-evaluate the originality of the Ancients on some fundamental issues like the problem of the origin and principle of knowledge and of good action
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Dehut, Julien. « Rhétorique et informatique : à la source des humanités numériques ». Electronic Thesis or Diss., Normandie, 2023. http://www.theses.fr/2023NORMR084.

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Résumé :
Cette étude est consacrée aux liens entre l'informatique et la rhétorique, et plus particulièrement à la manière dont nous interagissons avec les interfaces. À cette fin, nous avons mobilisé une partie du corpus rhétorique antique que nous avons essayé de faire dialoguer avec certains écrits contemporains sur la question de l'interaction avec les interfaces informatiques. Nous avons ainsi d'abord interrogé la notion de rhétorique elle-même pour savoir s'il était envisageable de l'appliquer à l'informatique. Une fois ce cadre déterminé, nous avons cherché avec Cicéron, mais plus encore avec Aristote en quoi la perspective antique pouvait nous permettre de mettre en évidence certains mécanismes qui sont en jeu lors de notre utilisation des ordinateurs. Nous avons ainsi examiné le rôle du _decorum_, mais aussi de l'enthymème et de la métaphore. Chacune de ces notions que nous avons tenté d'approcher au plus près de la pensée de leurs auteurs nous permet d'éclairer la manière dont les utilisateurs comprennent quoi faire avec les interfaces des ordinateurs. Cette perspective nous permet également de mettre en évidence la présence de mécanismes implicites en leur sein, mais aussi certaines limites et même d'expliquer un certain nombre d'échecs à partir d'exemples. Une interface qui s'apparente à un traitement de texte a été ainsi réalisée dans le cadre de cette étude. Celle-ci permet notamment de produire des documents complexes indépendamment du format des fichiers. Il s'agit pour nous de valider un certain nombre de nos hypothèses et de proposer une application à notre démarche
This study is dedicated to the links between computing and rhetoric, and more particularly to the way we interact with interfaces. To this end, we have mobilized a part of the ancient rhetoric's corpus which we have tried to create a discussion with some contemporary writing on this issue. We first questioned the notion of rhetoric itself to see if it was possible to apply it to computer science. Once a framework was determined, we looked with Cicero, but even more with Aristotle to apprehend in what the ancient perspective could allow us to highlight some mechanisms that are at stake when using computers. We examined the role of the _decorum_, but also of the enthymeme and metaphor. We have tried to approach each of these notions as closely as possible to the thinking of their authors in order to allow us to shed light on how users understand what to do with computer interfaces. This perspective also allows us to highlight implicit mechanism, but also limitations and even failures from a number of examples. An interface similar to a word processor has been created in this study. This makes it possible to produce complex documents independently of the file format. It is for us to validate a number of our hypotheses and to propose an application to our approach
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Valdivia, Fuenzalida José Antonio. « La démonstration selon Thomas d’Aquin. Une étude sur la réception des Seconds Analytiques au XIIIème siècle ». Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL004.

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Résumé :
Le but de cette thèse est de reconstruire l’ensemble des questionnements théoriques qui sont présupposés par les auteurs qui participent de la réception des Seconds Analytiques au XIIIème siècle. Étant donné que la doctrine contenue dans cet ouvrage d’Aristote est difficile à interpréter de manière systématique, il est inévitable que sa réception progressive ait été guidée par des questionnements métaphysiques et gnoséologiques plus ou moins partagés par les auteurs mentionnés. Ma recherche est une tentative pour retracer ces questionnements, le but étant de proposer une reconstruction systématique de l’ensemble de la théorie contenue dans les commentaires des Seconds Analytiques de la période mentionnée. Cette reconstruction systématique offre une vision unifiée de l’ensemble des thèmes traités grâce à l’identification d’une question générale qui déterminerait l’orientation des questions spécifiques. L’auteur sur lequel la plupart des analyses sont concentrées est Thomas d’Aquin, mais le but étant de comprendre les questions qui guident la tradition des commentaires du XIIIème, Robert Grosseteste et Albert le Grand ont une place spéciale dans cette recherche. La thèse proposée est que la question précise qui est censée être répondue par ces commentaires est celle de savoir quelles doivent être les caractéristiques d’une connaissance parfaite. Par conséquent, les doctrines développées dans ces commentaires ne chercheraient pas à proposer une méthode de connaissance certaine de la réalité. Les propriétés d’une démonstration concernant sa forme et le contenu des propositions qui la composent se limiteraient à décrire un idéal de connaissance parfaite
The aim of this thesis is to reconstruct the set of theoretical questionings supposed by the authors who participate in Posterior Analytics’ reception during the 13th century. Considering that the doctrine contained in this Aristotle’s work is difficult to interpret in a systematical approach is inevitable that its progressive reception would have been guided by metaphysics and epistemological questionings, partially shared by these authors. The present research is an attempt to track down these questionings, with the objective of proposing a systematic reconstruction of the theory contained in the commentaries of the Posterior Analytics during that period. This systematic reconstruction offers a unified vision of the aspects assessed in this investigation. This due to the identification of a general question which would determine the orientation of specific ones. Thomas Aquinas is the author about whom most of the analyses are focused. But always considering the aim of comprehending questions which guide all this tradition of comments, two other comments have been studied: Robert Grosseteste and Alberto the Great. The thesis proposed is that the Posterior Analytics’ reception during the 13th century, reflects an attempt to answer the following question: which characteristics must a perfect knowledge possess? In accordance with this thesis, the doctrines developed in commentaries regarding this Aristotle’s work did not seek to propose a method of true knowledge of reality. The properties of a demonstration, regarding its shape and content of the propositions that compose it, would describe an ideal of perfect knowledge
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Lamrani, Lila. « La psychologie aristotélicienne dans l'Islam classique : traduction et commentaire de l'Épître sur le retour d'Avicenne ». Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2014. http://www.theses.fr/2014PA040199.

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Résumé :
La Risala al-adhawiya fi al-ma`ad d’Avicenne, portant sur la question du Retour à la vie une fois la mort survenue, présente un certain nombre de thèses originales par rapport aux autres écrits de ce philosophe. Le Retour ne peut concerner les corps : il est en effet réserver aux âmes dans la mesure où l’essence de l’homme réside dans son âme. Les corps se corrompent définitivement au moment de la mort. Le Coran n’a rien d’un texte démonstratif, il s’agit d’un texte rhétorique visant à susciter chez ses lecteurs le comportement moral approprié. On ne peut donc déduire de l’affirmation coranique répétée selon laquelle les corps reviendront à la vie que les corps seront effectivement ressuscités. Par ailleurs, si dans le monde physique il existe une pluralité d’âmes, c’est uniquement en raison de la multiplicité de la matière corporelle qui les accueille. Si les âmes doivent survivre indépendamment des corps qui assurent leur individuation, comment pourraient-elles exister individuellement ? Il n’y aura pas d’existence individuelle des âmes après la mort, mais un Retour de ces âmes au Principe (l’Intellect Agent, ou, en dernière instance, le Principe Premier, Dieu) dont elles émanent : les âmes se résorbent donc dans leur origine et n’ont plus d’existence séparée. Le Retour est absolu
Avicenna’s Risala al-adhawiya fi al-ma`ad, dealing with the question of Return to life once death has occurred, comes up with various original theses that do not appear in Avicenna’s other writings. The Return cannot affect the body : it is indeed dedicated to souls inasmuch as the essence of man lies in his soul. Bodies get corrupted once and for all when death occurs. The Quran has nothing to do with a demonstrative text, it is a rhetorical text that aims at provoking in its readers the appropriate moral behaviour. It is therefore impossible to deduce from the repeated coranic assertion saying that bodies will come back to life that bodies will effectively resurrect. If in the physical world there is a plurality of souls, it is only because of the multiplicity of the corporeal matter that receives them. If souls have to survive independently from bodies that allow their individuation, how then could they individually exist ? There will not be any individual existence of souls in the hereafter, but a Return of these souls to the Principle (the Agent Intellect, or, at last, the First Principle, God) from which they emanate : therefore souls resorb in their origin and do not have any separate existence. It is an absolute Return
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