Articles de revues sur le sujet « Antigènes T »

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1

Delafosse, Arnaud, Zakaria Bengaly et Gérard Duvallet. « Absence d'interaction des infections à Trypanosoma theileri avec le diagnostic des trypanosomoses animales par détection des antigènes circulants ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 48, no 1 (1 janvier 1995) : 18–20. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9480.

Texte intégral
Résumé :
Ce travail reprend des données accumulées au centre international de recherche-développement sur l'élevage en zone subhumide (CIRDES) lors de suivis épidémiologiques. Les prévalences de Trypanosoma vivax, Trypanosoma congolense et Trypanosoma brucei obtenues à l'aide du test ELISA de détection des antigènes circulants ont été comparées chez des animaux infectés ou non par Trypanosoma theileri. Le but était de mettre en évidence l'existence d'éventuelles réactions sérologiques croisées entre T. theileri et les trypanosomes pathogénes. Les résultats obtenus montrent l'absence d'interaction des infections à T. theileri avec le diagnostic des trypanosomes pathogènes par détection des antigènes circulants.
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2

Desquesnes, Marc, et Stéphane De La Rocque. « Comparaison de la sensibilité du test de Woo et d'un test de détection des antigènes de Trypanosoma vivax chez deux moutons expérimentalement infectés avec une souche guyanaise du parasite ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 48, no 3 (1 mars 1995) : 247–53. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9454.

Texte intégral
Résumé :
Un ELISA de détection des antigènes circulants de Trypanosoma vivax mis au point par Nantulya et Lindqvist en 1989, a été comparé à celle du test de Woo lors d'infections expérimentales de deux moutons avec une souche guyanaise de T. vivax. Quelle que soit la période d'infection, que la parasitémie soit détectable ou non, la sensibilité du test ELISA a été très basse. L'association des deux techniques n'apporte aucune sensibilité supplémentaire. Déjà observé au Burkina Faso et en Gambie, ce défaut de sensibilité risque d'affecter fortement les résultats des enquêtes épidémiologiques entreprises avec ces réactifs en Afrique. Il est nécessaire de développer de nouveaux anticorps monoclonaux afin de mettre au point un test de détection des antigènes de T. vivax dont la sensibilité soit plus satisfaisante.
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3

Diall, O., V. M. Nantulya, Antony George Luckins, B. Diarra et Boubacar Kouyaté. « Evaluation des tests immune-enzymatiques de détection des antigènes au moyen des anticorps mono- et polyclonaux pour le diagnostic de l’infection à Trypanosoma evansi chez le dromadaire (Camelus dromedarius) ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 45, no 2 (1 février 1992) : 149–53. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8941.

Texte intégral
Résumé :
L'aptitude de deux tests ELISA d'absorption immuno-enzymatique utilisant, l'un un anticorps monoclonal spécifique anti-Trypanosoma brucei obtenu sur souris, l'autre des anticorps polyclonaux spécifiques de Trypanosoma evansi produits sur lapin, a été évaluée en vue de la détection des antigènes circulants comme méthode de diagnostic des infections à Trypanosoma evansi dans le sérum des dromadaires. Quatre vingt onze sérums d'un troupeau camelin témoin au Kenya indemne de T. evansi ont tous donné des résultats négatifs au test ELISA des anticorps monoclonaux et seuls deux d'entre eux (2,2 p. 100) ont donné des résultats faussement positifs avec les anticorps polyclonaux. Lors d'analyses ultérieures des sérums d'animaux infectés, les anticorps monoclonaux ont décelé les antigènes dans 90 sérums sur 108 testés (83,3 p. 100). Cette proportion s'est révélée inférieure pour les polyclonaux qui ont détecté les antigènes dans 67 des 110 sérums testés soit 60,9 p. 100. Dans une enquête portant sur 316 sérums provenant des régions de Gao et Nara au Mali, une forte proportion a réagi positivement aux antigènes (43,5 p. 100 pour le monoclonal et 42,9 p. 100 pour le polyclonal). Les tests ELISA se sont montrés au moins six fois plus sensibles que la technique de centrifugation de l'hématocrite.
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4

Brown, W. C., S. Zhao, V. M. Woods, D. A. E. Dobbelaere et A. C. Rice Ficht. « Des clones de cellules T CD4+ spécifiques pour Babesia bovis, de bovins immunisés, expriment le profil de cytokines des cellules Th0 ou des Th1 ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 46, no 1-2 (1 janvier 1993) : 65–69. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9400.

Texte intégral
Résumé :
Le rôle central des cellules T dans la réponse immunitaire contre les hémoprotozooaires, aussi bien comme cellules "helper" pour la production d'anticorps sous dépendance de cellules T que comme cellules effectrices agissant directement ou indirectement sur les parasites intracellulaires par l'élaboration de cytokines, a conduit les auteurs à examiner la réponse immunitaire cellulaire chez les bovins aux antigènes de Babesia bovis.
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5

Doko, A., A. Verhulst, V. S. Pandey, Philippe Büscher et Veerle Lejon. « Détection d'antigènes circulants au cours d'une infection expérimentale à T. brucei brucei chez des bovins Borgou, Lagunaire et zébus Bororo blancs ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 49, no 3 (1 mars 1996) : 207–11. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9514.

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Résumé :
Des bovins Borgou (n = 10), Lagunaire (n = 10) et zébus Bororo blancs (n = 10) du Bénin ont été infectés expérimentalement avec un clone de Trypanosoma brucei brucei en vue d'évaluer le test ELISA de détection d'antigènes circulants. Aucun des trois témoins non inoculés de chacune des races n'a développé d'infection. Les bovins Lagunaire et Borgou ont développé une maladie bénigne suivie de guérison spontanée, les zébus Bororo blancs une maladie typique à allure chronique et fatale après plusieurs mois. Pour tous les animaux confondus, la sensibilité du test de détection des antigènes circulants de T. brucei a été de 20,46 %, nettement inférieure à celle de la détection des parasites par la méthode du buffy coat (40,24 %). La sensibilité du test varie fortement en fonction du type d'animaux infectés et de l'allure de l'infection; elle est la plus élevée chez les bovins Borgou aux parasitémies élevées mais de durée plus courte (44,44 %) et la plus faible chez les zébus Bororo blancs aux parasitémies faibles et intermittentes (4,09 %). Augmenter la sensibilité du test de détection des antigènes circulants en abaissant la densité optique de 0,050 (seuil de positivité) à 0,025 paraît impossible sans altérer sa spécificité. Comparés au buffy coat, les faux négatifs du début d'infection et les faux positifs d'après la guérison spontanée compromettent également la valeur du test pour le diagnostic des infections actives à T. brucei.
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6

Barry, A. M., François Roger, M. B. Diallo et S. Geerts. « Evaluation de la séroprévalence de la trypanosomose bovine en Guinée ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 61, no 3-4 (1 mars 2008) : 177. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9985.

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Résumé :
Une évaluation de la prévalence de la trypanosomose a été menée en Guinée sur des sérums issus de la sérothèque du laboratoire vétérinaire de la Direction nationale de l’Elevage. Neuf cent vingt-huit sérums provenant de bovins N’dama ont été sélectionnés par randomisation et analysés par le test de détection d’anticorps et d’antigène de Trypanosoma spp. Les résultats obtenus par le premier test ont révélé la présence d’anticorps de Trypanosoma spp. chez 67 p. 100 des bovins, avec des taux de 72 p. 100 dans la région de la Haute Guinée, de 68 p. 100 en Basse Guinée, de 63 p. 100 en Guinée forestière et de 62 p. 100 en Moyenne Guinée. Parmi les animaux, 69 p. 100 des femelles étaient infectées ou avaient été en contact avec l’agent infectieux, contre 62 p. 100 des mâles. Les animaux étaient infectés indépendamment de leur âge. Les proportions d’infections ont été de 71, 43, 61, 63, 59, et 74 p. 100, respectivement chez les bovins âgés de moins d’un an, de 1 à 2 ans, 2 à 3 ans, 3 à 4 ans, 4 à 5 ans, et plus de 5 ans. Le second test a montré la présence d’antigènes de T. brucei (16 p. 100 des sérums), de T. congolense (11 p. 100) et de T. vivax (2 p. 100). La répartition et la combinaison des résultats ont montré que 2 p. 100 des animaux étaient positifs à un, deux, ou trois antigènes sans trace d’anticorps ; 17 p. 100 des animaux ont été positifs aux antigènes et aux anticorps et 50 p. 100 ont eu des anticorps seuls.
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7

Laetitia, Delort, Hermine Billard, Marie-Paule Vasson et Florence Caldefie-Chézet. « 42 : Glycosylations aberrantes et cancer du sein : évaluation in vitro de l’expression des antigènes Tn et T ». Bulletin du Cancer 97, no 1 (mars 2010) : S37. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-4551(15)31135-8.

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Sanfo, N., A. Ciree, C. Giraut, P. Diot, H. Watier, S. Marchand-Adam et G. Desoubeaux. « Antigènes recombinants d’Aspergillus fumigatus : existe-t-il des corrélations cliniques, biologiques et radiologiques chez les patients présentant une hypersensibilité aspergillaire ? » Revue des Maladies Respiratoires 36 (janvier 2019) : A42. http://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2018.10.075.

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Tartour, Eric. « Vaccins anti-cancer : quel avenir dans les stratégies d’immunothérapie anti-cancéreuse ? » Biologie Aujourd'hui 212, no 3-4 (2018) : 69–76. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2019002.

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Résumé :
Les cellules tumorales peuvent être reconnues par le système immunitaire et notamment par les lymphocytes T (LT)-CD8 cytotoxiques. Cette observation a permis d’envisager le concept d’une vaccination ciblant les molécules associées aux tumeurs. Différents types de vaccins anti-tumoraux ont été développés. Les vaccins préventifs contre le cancer (vaccins anti-papillomavirus oncogéniques, vaccin contre le virus de l’hépatite B) visent à empêcher l’introduction dans l’organisme de virus jouant un rôle dans l’oncogénèse et ont démontré leur efficacité. Au contraire, en cas de tumeur déjà présente dans l’organisme, les vaccins thérapeutiques anti-cancer n’ont eu, jusqu’à ce jour, que peu d’impact sur la prise en charge des patients. Néanmoins, ces vaccins connaissent un regain d’intérêt, car de nouvelles cibles antigéniques sont apparues et ont été incorporées dans le design des vaccins, tels que les antigènes mutés ou les molécules associées au stroma du microenvironnement tumoral. De nouveaux critères d’efficacité des vaccins ont été identifiés, comme la nécessité d’induire des lymphocytes T résidents intratumoraux, pouvant conduire au développement d’une vaccination muqueuse (voie nasale, voie orale…) pour les amplifier. Enfin, en raison de l’immunosuppression du microenvironnement tumoral et de l’expression de récepteurs inhibiteurs sur les LT-CD8 dans la tumeur, différentes stratégies d’association thérapeutique entre les vaccins anti-cancer et des molécules levant ces phénomènes d’inhibition sont en cours de développement sur le plan clinique.
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Desquesnes, Marc, Jean-François Michel, Stéphane De La Rocque, Philippe Solano, Leopold Millogo, Zakaria Bengaly et I. Sididé. « Enquête parasitologique et sérologique (Elisa-indirect) sur les trypanosomoses des bovins dans la zone de Sidéradougou, Burkina Faso ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 52, no 3-4 (1 mars 1999) : 223–32. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9667.

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Résumé :
Une enquête parasitologique et sérologique sur les trypanosomoses des bovins a été réalisée dans le secteur nord de la zone de Sidéradougou (Burkina Faso), en novembre et décembre 1997. Partant d'un recensement terrestre exhaustif, un millier de bovins ont été examinés sur la base d'un échantillonnage stratifié aléatoire. L'âge et la race des animaux, la nature et la date du dernier traitement trypanocide ont été enregistrés. Les examens parasitologiques ont été effectués par la méthode du "buffy coat", la mesure de l'hématocrite a été recueillie et les tests Elisa-indirect ont été réalisés dans trois systèmes différents, avec sensibilisation des plaques par les antigènes solubles de Trypanosoma vivax, T. brucei ou T. congolense (type savane). La technique parasitologique a fourni 5,3 % d'échantillons positifs, dominés par l'espèce T. congolense. Les examens sérologiques ont indiqué une séroprévalence de 81,7 % (± 2,4 %) les trois tests confondus et, sur la base des résultats chez les animaux âgés d'un an, une incidence annuelle moyenne de 52 % (± 11 %). L'étude du score maximum de positivité aux trois tests a permis d'estimer les séroprévalences par espèce à 79 % pour T. vivax, 3 % pour T. brucei, et 28 % pour T. congolense. L'analyse des données sérologiques et parasitologiques, selon la date du dernier traitement trypanocide indiqué par l'éleveur, montre que ces traitements ont peu d'effet sur le taux de portage des anticorps et des parasites, ce dernier est présumé assez proche de la séroprévalence observée. La méthode du "buffy coat" est insuffisamment sensible pour mesurer la prévalence des infections dans ce type de situation enzootique, mais, associée à la valeur de l'hématocrite, elle a permis d'estimer l'importance des cas de trypanosomose maladie à environ 15 %. Les trypanosomoses bovines demeurent une préoccupation majeure de l'élevage dans la zone agropastorale de Sidéradougou. elles sévissent de manière enzootique avec une prédominance nette des infections par T. vivax, une prévalence et un impact clinique élevés de T. congolense. Les données générées par cette enquête seront intégrées dans un système d'information géographique (Sig) mis en place dans la zone pour l'évaluation du risque trypanosomien.
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Alessi, Marie-Christine. « t-PA antigène ». EMC - Biologie Médicale 1, no 1 (janvier 2006) : 1–3. http://dx.doi.org/10.1016/s2211-9698(06)76185-4.

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Ravel, Jean-Marie, et Emmanuel J. M. Mignot. « Narcolepsie : une maladie auto-immune affectant un peptide de l’éveil liée à un mimétisme moléculaire avec des épitopes du virus de la grippe ». Biologie Aujourd’hui 213, no 3-4 (2019) : 87–108. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2019026.

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Résumé :
La narcolepsie et la cataplexie sont décrites pour la première fois à la fin du XIXe siècle en Allemagne et en France. La prévalence de la maladie est établie à 0,05 % et un modèle canin est découvert dans les années 1970. En 1983, une étude japonaise révèle que les patients narcoleptiques sont porteurs d’un marqueur génétique unique, l’antigène leucocytaire HLA-DR2, suggérant l’auto-immunité comme cause de la maladie. Il faudra attendre 1992 pour qu’il soit montré, grâce à une étude chez des patients afro-américains, que DQ0602, un autre gène HLA, est la véritable cause de cette association. Des études pharmacologiques conduites sur le modèle canin établissent que la stimulation dopaminergique est le mode d’action des stimulants sur l’éveil, tandis que les antidépresseurs suppriment la cataplexie en inhibant la recapture adrénergique. Aucune association HLA n’est cependant mise en évidence chez les chiens, suggérant une cause distincte de la maladie humaine. Une étude de liaison génétique chez les chiens, initiée en 1988, révèle en 1999 que la narcolepsie canine est causée par des mutations du récepteur 2 de l’hypocrétine (orexine). En 2000, l’hypocrétine-1/orexine A est mesurée dans le liquide céphalo-rachidien (LCR) et on découvre qu’elle est indétectable chez la plupart des patients narcoleptiques, établissant qu’un déficit hypocrétinergique est la cause de la narcolepsie humaine. La diminution de l’hypocrétine-1 dans le LCR, secondaire à la perte des 70 000 neurones hypothalamiques produisant l’hypocrétine, est démontrée, ce qui, avec l’association au locus HLA, suggère qu’une destruction immunitaire de ces cellules est la cause de la maladie. D’autres études génétiques, notamment d’association à l’échelle du génome (GWAS), révèlent l’existence de nombreux facteurs génétiques prédisposant à la narcolepsie, la plupart étant également impliqués dans d’autres maladies auto-immunes. Une association forte et unique avec les loci des récepteurs lymphocytaires T (TCR) alpha et bêta est aussi observée, suggérant un rôle prépondérant des lymphocytes T. En dépit de nombreux efforts, toutes les tentatives visant à démontrer la présence d’auto-anticorps contre les cellules à hypocrétine dans la narcolepsie échouent, et la cause auto-immune présumée de cette maladie reste à l’état d’hypothèse. À la suite de la grippe pandémique influenza A pH1N1 en 2009, de nombreux cas de narcolepsie apparaissent, suggérant un mimétisme moléculaire avec le virus de la grippe qui pourrait déclencher la maladie auto-immune. Cette hypothèse est confirmée par un criblage peptidique montrant une plus grande réactivité des lymphocytes T CD4+ à un segment spécifique de l’hypocrétine (HCRTNH2) et une réactivité croisée des TCR correspondants à un segment d’hémagglutinine de pH1N1 qui partage une homologie avec HCRTNH2. De façon remarquable, le TCR le plus fréquent dans la population et qui reconnaît ces antigènes contient des séquences TRAJ24 ou TRVB4-2, segments modulés par des polymorphismes génétiques associés à la narcolepsie dans les études GWAS. Il est probable que les lymphocytes T CD4+ autoréactifs avec HCRTNH2 recrutent par la suite des lymphocytes T CD8+ qui détruisent les cellules à hypocrétine. On peut s’attendre à ce que d’autres séquences mimiques grippales inconnues soient découvertes prochainement puisque la narcolepsie existait avant 2009. Ces découvertes démontrent enfin la cause auto-immune de la narcolepsie. Les travaux menés au cours des années sur la narcolepsie offrent une perspective unique sur la conduite de la recherche sur l’étiopathogénie d’une maladie bien identifiée.
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Bocquentin, R., et Gérard Duvallet. « Amélioration de la reproductibilité du test ELISA adapté à la détection d'anticorps anti-Trypanosoma congolense chez les bovins ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, no 2 (1 février 1990) : 179–86. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8844.

Texte intégral
Résumé :
La simplicité et l'automatisation possible du test ELISA en font un outil très répandu pour la détection d'anticorps et, plus récemment, d'antigènes. Cependant, la reproductibilité des résultats pose toujours des problèmes, les causes de variabilité étant nombreuses. On a cherché à améliorer la reproductibilité du test ELISA dans un système de détection d'anticorps anti-Trypanosoma congolense chez les bovins. Les tampons sont toujours amenés à température ambiante pour éviter les gradients de température. Tous les volumes sont portés à 200 æl par puits. L'utilisation de sérum de lapin décomplémenté permet de réduire le bruit de fond en saturant les sites non spécifiques. T. congolense, utilisé comme antigène homologue, a donné des résultats légèrement supérieurs à un antigène hétérologue (T. evansi). Le titrage de la concentration d'antigène à utiliser doit être réalisé à chaque nouvelle préparation d'antigène. Un agencement est proposé afin de tester chaque sérum quatre fois par plaque, ce qui permet d'obtenir pour chaque sérum une moyenne et un écart-type. Enfin, la lecture ne se fait plus en fonction d'une durée écoulée depuis la mise en contact de l'enzyme et du substrat, mais du degré d'avancement réel de la réaction grâce à un sérum cible. Les résultats obtenus montrent une excellente reproductibilité; une gestion par ordinateur est proposée.
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McKeever, Declan J. « Le progrès vers un vaccin contre Theileria parva : Pertinence pour la recherche sur la cowdriose ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 46, no 1-2 (1 janvier 1993) : 231–35. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9370.

Texte intégral
Résumé :
Beaucoup de progrès ont été enregistrés durant les 10 dernières années en ce qui concerne la caractérisation de l'immunité bovine contre Theileria parva. Il n'est plus à démontrer que les bovins devenus immunisés après infection peuvent se débarrasser d'infections ultérieures par le déploiement de lymphocytes T cytotoxiques (LTC) spécifiques pour le parasite. De plus, des anticorps neutralisants sont produits à des titres élevés contre la surface du sporozoïte après des infections multiples par le parasite, et peuvent neutraliser l'infection in vitro. Bien que cela ne soit vraisemblablement pas significatif dans les circonstances naturelles, on a tiré profit de cette dernière observation pour créer un candidat prometteur pour un vaccin neutralisant basé sur une forme recombinante de l'antigène de surface majeur des sporozoïtes de T. parva. On essaie actuellement d'identifier le(s) antigène(s) cible(s) des LTC spécifiques pour T. parva et, après réussite, un vaccin amélioré visant aussi bien les stades infectieux que pathogènes sera à portée. L'élucidation de la base de l'immunité des ruminants contre Cowdria ruminantium est encore à un stade relativement peu avancé. Néanmoins, on applique déjà à la cowdriose des techniques ayant mené à la compréhension de l'immunologie de T. parva.
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Ikeme, M. M., et A. O. Adelaja. « Effet du moment de la stimulation antigénique sur le déroulement de la parasitémie et immunodépression consécutive lors d’une infection expérimentale à Trypanosoma brucei ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, no 3 (1 mars 1990) : 331–36. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8806.

Texte intégral
Résumé :
L'influence de l'administration de globules rouges de mouton comme antigène, avant ou après l'exposition trypanosomienne, sur le profil parasitémique et la réponse immunitaire de rats albinos Wistar est étudiée. Des taux élevés de parasitémie, en association avec une diminution significative des anticorps et de la valeur de l'hématocrite (PCV), ont été observés lorsque l'infection trypanosomienne a précédé la stimulation antigénique. A l'inverse, un net retard a été observé dans l'apparition et le développemen t de la parasitémie quand l'imprégnation antigénique précédait l'infection. Au début, les valeurs de l'hématocrite et la réponse immunitaire à l'antigène ont soutenu favorablement la comparaison avec les taux décelés sur les rats témoins; mais, au cours de l'infection, la parasitémie a augmenté et une réponse de type hypoimmunitaire est apparue. Avec le temps, elle a rejoint les taux trouvés chez les rats qui avaient été touchés par l'infecti on trypanosomienne avant la stimulation antigénique. Les auteurs suggèrent que de tels résultats soient retenus lors de l'évaluation des tests sérologiqu es pour mettre en évidence les réponses à des vaccinations spécifiques ou pour le diagnostic d'infections basé sur l'élévation des titres d'anticorps chez l'hôte
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Giraud, S., M. Samimi, P. Gaboriaud, F. Arnold, T. Kervarrec, E. Wierzbicka-Hainaut, G. Bens et al. « Sérologie anti-antigène T du polyomavirus de Merkel dans la surveillance des patients ayant un carcinome de Merkel : étude rétrospective multicentrique ». Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 145, no 12 (décembre 2018) : S127—S128. http://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2018.09.144.

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Stocker, Nicolas. « Combinaison thérapeutique par cellules T à récepteurs antigéniques chimériques anti-CD19 et anti-antigène de maturation des cellules B du myélome multiple en rechute ou réfractaire ». Hématologie 25, no 6 (décembre 2019) : 285. http://dx.doi.org/10.1684/hma.2019.1502.

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Mas-Orea, X., S. Maurel et G. Dietrich. « Régulation de la douleur inflammatoire viscérale par les opioïdes d’origine lymphocytaire ». Douleur et Analgésie, 2022. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2022-0223.

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Résumé :
La sensation douloureuse est une caractéristique de l’inflammation aiguë qui se développe lors d’une infection. Cette douleur s’estompe quelques jours après l’infection, lorsque les lymphocytes T effecteurs générés en réponse aux antigènes microbiens gagnent le site inflammatoire. Cette régulation de la douleur inflammatoire est tributaire de la libération locale d’opioïdes endogènes par les lymphocytes T et de leur action sur les nocicepteurs en périphérie. Ce phénomène pourrait expliquer pourquoi un certain nombre de patients atteints de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin ne ressentent pas systématiquement des douleurs abdominales ou qu’elles ne font pas toujours partie du tableau clinique initial.
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