Articles de revues sur le sujet « Aèdes (animaux) – Comportement animal »

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VEISSIER, I., et M. MIELE. « Petite histoire de l’étude du bien-être animal : comment cet objet sociétal est devenu un objet scientifique transdisciplinaire ». INRA Productions Animales 28, no 5 (14 janvier 2020) : 399–410. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.5.3042.

Texte intégral
Résumé :
Les origines des sciences du bien-être animal peuvent être trouvées dans le débat sur le statut moral des animaux en philosophie, l’introduction de la notion de stress en physiologie et la description du comportement des animaux par les éthologues. Dans les années 1970, le bien-être animal est devenu un objet pour la recherche appliquée dans le but d’améliorer la qualité de vie des animaux domestiques. Il a été d’abord étudié au sein de disciplines, par exemple les éthologues ont comparé le comportement des animaux domestiques à celui de leurs homologues sauvages et des besoins comportementaux ont été identifiés. Il est ensuite apparu que le stress est plus un concept psychologique que physiologique. Des liens entre le stress, les besoins comportementaux et les préférences ont été établis. De même, les liens entre le bien-être et la santé animale ont été étudiés : un comportement de malaise a été identifié et des relations entre stress et immunité ont été relevées. Plus récemment, les cadres élaborés en psychologie humaine ont été appliqués aux animaux afin d’identifier les émotions qu’ils peuvent éprouver. Cela a nécessité que les chercheurs d’une discipline interagissent avec des chercheurs d’autres disciplines, ce qui a permis une fertilisation croisée des concepts. Les chercheurs en bien-être animal ont rapidement compris l’intérêt d’utiliser une gamme d’indicateurs couvrant un large éventail de troubles possibles tels que les comportements anormaux, les maladies, les défauts de production, les états émotionnels, etc. L’approche interdisciplinaire est illustrée par le projet Welfare Quality® au sein duquel un outil d’évaluation globale du bien-être animal a été élaboré sur la base de ce qui importe aux animaux, tel qu’identifié par les chercheurs en sciences animales, et de ce que la société considère comme un bon traitement des animaux, étudié par les chercheurs en sciences sociales. Nous pensons que la question du bien-être animal nécessite de briser les frontières entre disciplines et, au-delà des disciplines, d’engager les porteurs d’enjeux et la société dans son ensemble, afin de construire une approche holistique et être en mesure d’améliorer efficacement le bien-être des animaux.
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Oliveira, Patricia Aguiar de, Gil Dutra Furtado et Magnolia Ouriques de Oliveira. « RAPPORT DES ACTIVITES DE TERRAIN : COMPORTEMENT DES ANIMAUX ». ENVIRONMENTAL SMOKE 2, no 1 (7 mai 2019) : 1–20. http://dx.doi.org/10.32435/envsmoke.2019211-20.

Texte intégral
Résumé :
L’éthique est une branche de la biologie consacrée à l’étude du comportement animal. Historiquement, l'homme a toujours eu un intérêt pour le comportement des animaux pour plusieurs raisons, notamment la domestication, la défense ou simplement l'appréciation de la nature animale. Le Parc Zoobotanique Arruda Câmara est inclus dans la zone spéciale de conservation, dans le respect des conditions d'utilisation particulières, telles que la conservation, l'éducation et les loisirs. L'observation comportementale a été utilisée lors de leçons sur le terrain en tant qu'outil d'éducation aux loisirs.L’activité sur le terrain était très importante pour analyser l’influence des concepts de comportement animal sur les aspects pratiques de l’élevage d’animaux en captivité. La salle de classe a permis d'effectuer une analyse critique de ces concepts, en sensibilisant l'importance de ces études sur le plan théorique et pratique, ce qui a permis de mieux comprendre le bien-être des animaux.
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TALLET, Céline, Valérie COURBOULAY, Nicolas DEVILLERS, Marie-Christine MEUNIER-SALAÜN, Armelle PRUNIER et Avelyne VILLAIN. « Mieux connaître le comportement du porc pour une bonne relation avec les humains en élevage ». INRAE Productions Animales 33, no 2 (15 septembre 2020) : 81–94. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2020.33.2.4474.

Texte intégral
Résumé :
La relation entre les porcs et les humains est au centre de l’élevage et est un des piliers du bien-être animal. L’humain, par son comportement et ses choix de pratiques, de conditions de logement et de gestion du troupeau va influencer l’état mental de ses animaux. Cette synthèse propose un bilan des travaux sur la relation humain-animal en élevage porcin. Les pratiques et les modes d’élevage ont un impact sur la relation à l’humain. Certaines pratiques sont source de douleur et de peur pour les porcelets, et provoquent des réactions ultérieures de peur vis-à-vis des humains, même inconnus. Inversement, des pratiques ayant pour but de développer une relation de proximité diminuent la peur des humains et favorisent une relation de confiance. En effet, les interactions humaines modifient le comportement des porcs. La présence humaine suffit à habituer un porcelet aux humains, même quelques minutes par jour. Parler aux animaux est primordial, y compris in utero. Les porcelets apprécient les contacts tactiles doux, caresses ou grattages. L’humain, ainsi associé à des interactions positives, prend une valeur positive, ce qui permet d’instaurer un climat de confiance et peut susciter des émotions positives favorables au bien-être animal. Créer une bonne relation en élevage est donc essentiel. Ceci sera bénéfique non seulement au bien-être des porcs, mais aussi à la sécurité et la satisfaction au travail des éleveurs. Cela nécessite de mieux connaître le comportement des porcs pour davantage le prendre en compte. Le conseil et la formation aux éleveurs doivent intégrer ces connaissances.
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Renoue, Marie, et Pascal Carlier. « Entre éthologie et sémiotique : Mondes animaux, compétences et accommodation ». Semiotica 2018, no 225 (6 novembre 2018) : 197–212. http://dx.doi.org/10.1515/sem-2015-0096.

Texte intégral
Résumé :
Résumé Notre projet est, depuis une dizaine d’années, de proposer une approche du comportement animal alternative à celle, quinquagénaire, ubiquitaire et féconde, inaugurée par Thomas A. Sebeok. Née de la rencontre entre l’éthologie cognitive et la sémiotique greimassienne, cette éthosémiotique, moins attentive à la communication, au « paradigme peircien » (Brier 2008), aux signes ou à une modélisation systématique et englobante (comme celle de la biosémiotique de Kull), essaie plutôt de rendre compte de la diversité et d’une altérité animale qui ne soit ni totalement hermétique ni réductrice ni hiérarchique (anthropotéléologique). À partir d’une reprise critique de la notion uexküllienne d’Umwelt, trop fixiste et close, et d’une sémiotisation des notions de compétences phylogénétiques et ontogénétiques, nous proposons de considérer des modèles alternatifs, en particulier : celui du phénoménologue Maurice Merleau-Ponty qui propose en 1942 de distinguer des formes de comportement animal à partir des degrés d’adhérence du sujet à son milieu et celui du psychologue Jean Piaget traitant d’accommodation et d’assimilation, deux notions-clés pour rendre compte de la perméabilité et de la variabilité des sujets animaux. Même si l’exemple final d’une inter-accommodation et intercompréhension possible entre l’homme et son chien peut apparaître comme une invitation ou une incitation à reprendre les derniers travaux de Sebeok sur la communication interspécifique, à croiser un regard déjà formé et une approche en cours d’élaboration, il faut néanmoins noter les difficultés terminologiques, donc conceptuelles et interprétatives que pose toute approche interdisciplinaire.
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BOUISSOU, M. F. « La relation Homme-Animal. Conséquences et possibilités d’amélioration ». INRAE Productions Animales 5, no 5 (2 décembre 1992) : 303–18. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.5.4245.

Texte intégral
Résumé :
La qualité de la relation Homme-Animal et le comportement de l’éleveur sont des facteurs importants à prendre en compte dans les différents systèmes de production, car ils ont un impact sur la productivité, la santé et le bien-être des animaux. Une mauvaise qualité de la relation Homme-Animal se traduit en particulier par des réactions de peur des animaux. Différentes méthodes ont été proposées pour évaluer ces réactions en présence d’un humain ; elles reposent sur des critères comportementaux (distance de fuite, latence d’approche, temps passé à proximité, réaction à la contention, etc...) et physiologiques (fréquence cardiaque, cortisolémie). La qualité de la relation Homme-Animal est influencée par les conditions d’élevage, d’entretien, la personnalité et l’attitude de l’éleveur, l’expérience de l’animal, la nature des contacts antérieurs et enfin par le patrimoine génétique. Elle a pour conséquence des réactions de stress qui, à leur tour, entraînent des baisses de performances dans des domaines divers (production, reproduction). Il est possible d’améliorer la relation Homme-Animal en modifiant l’attitude de l’éleveur, par des techniques d’habituation, d’apprentissage, par l’établissement de liens privilégiés grâce à des manipulations neutres ou plaisantes à des périodes particulières de la vie de l’animal.
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BOCQUIER, F., N. DEBUS, A. LURETTE, C. MATON, G. VIUDES, C. H. MOULIN et M. JOUVEN. « Elevage de précision en systèmes d’élevage peu intensifiés ». INRAE Productions Animales 27, no 2 (2 juin 2014) : 101–12. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.2.3058.

Texte intégral
Résumé :
Les fortes contraintes d’élevage dans les systèmes peu intensifiés (grands troupeaux, larges surfaces, alimentation au pâturage, voire faible productivité par animal) laissent tout de même entrevoir des formes originales d’élevage de précision. Cet élevage de précision peut notamment s’appuyer sur l’identification électronique des animaux qui permet de les reconnaitre et de les localiser. Selon que les lecteurs d’identifiants sont utilisés manuellement, à poste fixe, ou portés par un mâle, il est possible de réaliser, respectivement, des inventaires, des opérations automatisées de tri ou la détection des femelles en chaleurs. C’est au pâturage que la maîtrise du comportement des animaux est la plus délicate car un positionnement judicieux de points d’attraction des animaux (abreuvement, pierres à sel, complémentation) ne suffit pas toujours à maîtriser la répartition de la pression de pâturage pour répondre aux objectifs pastoraux et environnementaux. Dans les situations où la pose de clôtures fixes n’est pas possible ou pas souhaitable et que le gardiennage n’est pas envisageable, les clôtures virtuelles, basées sur un apprentissage comportemental spécifique des animaux, pourraient constituer une aide précieuse à l’utilisation durable des parcours. Dans ces systèmes d’élevage, la précision visée ne se situe pas à l’échelle des individus mais plutôt sur des conduites ajustées à des lots virtuels d’animaux homogènes, qui sont séparés et regroupés grâce à des dispositifs de tri efficaces. L’utilisation de systèmes automatisés de suivi du troupeau où chaque animal est identifié génère une grande quantité de données. Quels que soient les capteurs utilisés, les données recueillies doivent être stockées dans un système d’information et traitées avec des méthodes d’analyse adaptées (algorithmes, statistiques…) pour être ensuite transformées en indicateurs d’aide à la décision ou en action exécutée par des automates (porte de tri, pesées, distributions d’aliments). En alternative à des suivis individuels, une utilisation parcimonieuse des capteurs peut être envisagée pour délivrer des alertes (intrusion, attaque de prédateur, sortie d’une zone géographique définie) ; la quantité de données produites est alors minimisée. Un travail de recherche important reste à mener pour proposer des méthodes d’analyse des données et des règles de décisions pertinentes, basées sur une modélisation du comportement animal. Dans les systèmes d’élevage peu intensifiés, la place de l’éleveur est essentielle car au sein d’un grand troupeau et face à de larges surfaces de parcours les dispositifs électroniques sont à envisager comme des aides spécifiques, à intégrer dans une stratégie de conduite plus large. Notamment, il s’agit pour l’éleveur de choisir quels animaux équiper et où positionner des capteurs, relais ou clôtures virtuelles, et à choisir de le faire aux périodes critiques. Actuellement l’offre matérielle et logicielle est freinée par le manque de souplesse des solutions proposées.
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VEISSIER, I., C. BEAUMONT et F. LEVY. « Les recherches sur le bien-être animal : buts, méthodologie et finalité ». INRAE Productions Animales 20, no 1 (6 mars 2007) : 3–10. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.1.3426.

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Résumé :
La protection des animaux est inscrite dans la réglementation française et européenne. Elle répond à une attente sociétale majeure dans nos pays occidentaux, attente qui part du principe que les animaux que nous utilisons sont des êtres vivants sensibles à qui l’homme doit assurer un minimum de bien-être. La façon dont un animal appréhende son environnement va influencer son état de bien-être et ce, positivement si l’environnement satisfait ses besoins et ses motivations, mais négativement si l’environnement est perçu comme menaçant, désagréable. Le niveau de bien-être d’un animal est apprécié au travers de nombreuses observations portant sur son comportement, l’état d’activation des systèmes physiologiques, et son état général. Les conditions d’élevage, généralement choisies en fonction d’objectifs de production, peuvent également influencer le bien-être d’un animal. En retour, un bien-être dégradé peut entraîner une moindre productivité. Aussi des solutions d’élevage permettant de concilier production et bien-être animal doivent-elles être mises au point. Ce numéro spécial vise à mieux cerner la notion de bien-être animal et rassemble les principaux travaux entrepris par les membres du réseau Agri Bien-être Animal dans les différentes productions. Les résultats des recherches en bien-être animal sont utilisés lors de l’élaboration de réglementations. Ils doivent également servir au conseil en élevage.
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ROGUET, C., B. DUMONT et S. PRACHE. « Sélection et utilisation des ressources fourragères par les herbivores : théories et expérimentations à l’échelle du site et de la station alimentaires ». INRAE Productions Animales 11, no 4 (3 octobre 1998) : 273–84. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.4.3954.

Texte intégral
Résumé :
Mieux comprendre la relation animal-végétation est nécessaire pour développer des systèmes de gestion qui favorisent le maintien par le pâturage d’une ressource suffisamment riche et abondante. Dans ces conditions, l’animal peut couvrir ses besoins nutritionnels et assurer une productivité suffisante, tout en participant à l’entretien du milieu. L’article fait le point, à partir d’un grand nombre de travaux expérimentaux, sur les facteurs qui influencent la sélection et l’utilisation des sites et stations alimentaires par les herbivores. La première partie est consacrée au cadre théorique dans lequel sont discutées les observations expérimentales. Le contexte général de la Théorie de l’Alimentation Optimale (TAO) et ses prédictions, sont décrits. L’’applicabilité’, l’utilité et la validité des modèles d’optimisation dans l’étude du comportement alimentaire des herbivores sont tout particulièrement considérées. Ensuite, est étudiée l’influence des différents facteurs, trophiques (quantité et qualité des ressources fourragères, espèce végétale), environnementaux (topographie, distance aux points d’eau, présence d’abris et risques de prédation) et animaux (capacités cognitives et organisation sociale) sur la sélection et l’utilisation des sites et des stations alimentaires par les herbivores. La TAO permet d’expliquer les stratégies alimentaires des herbivores. Cependant, les choix des animaux ne sont en général pas aussi absolus que ceux prédits. En conditions naturelles, les animaux répondent non seulement à la ressource alimentaire, mais aussi à différentes contraintes externes (environnement non alimentaire) et internes (mémoire, discrimination). D’autres approches complémentaires, telles l’’hédonisme’ et la ’sagesse nutritionnelle’, susceptibles d’influencer les choix des animaux, sont brièvement analysées.
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RICHARD, S., C. ARNOULD, D. GUÉMENÉ, C. LETERRIER, S. MIGNON-GRASTEAU et J. M. FAURE. « Etude de la réactivité émotionnelle chez la caille : une approche intégrée du bien-être animal ». INRAE Productions Animales 21, no 1 (22 avril 2008) : 71–78. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.1.3377.

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Résumé :
Certaines réactions émotionnelles, telles que les réactions de peur, peuvent être inadaptées en élevage, sources d’atteintes au bien-être des animaux. Chez la caille, l’obtention de lignées génétiques divergentes sélectionnées d’une part sur un comportement de peur, d’autre part sur la motivation sociale, a démontré la faisabilité de sélections sur des composantes de la réactivité émotionnelle. Les cailles sélectionnées sur un comportement de peur diffèrent non seulement par leur propension générale à exprimer des comportements de peur, mais aussi en termes de qualité de la viande, de réactivité de l’axe corticotrope, d’activité du système nerveux autonome et au niveau neurobiologique. Une région du génome a été identifiée comme potentiellement impliquée dans les différences observées entre les lignées. Par ailleurs, les cailles sélectionnées pour leur faible motivation sociale se sont montrées plus indifférentes à leur environnement social que les cailles sélectionnées pour leur forte motivation sociale. Ces lignées de cailles se sont révélées comme de puissants modèles d’étude des mécanismes sous-tendant la réactivité émotionnelle chez les oiseaux. Les travaux pluridisciplinaires engagés sur ces cailles ont pour buts d’évaluer les conséquences de ces sélections, non seulement pour le bien-être animal mais aussi en termes de production, et d’identifier des indicateurs de bien-être qui pourront servir à comparer différents systèmes d’élevage des volailles.
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VIEUILLE-THOMAS, C., et J. P. SIGNORET. « Comportement de truies en groupe lors de la réalisation d’un apprentissage : utilisation d’un système alimentaire informatisé ». INRAE Productions Animales 4, no 5 (2 décembre 1991) : 383–87. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.5.4352.

Texte intégral
Résumé :
Chez les truies gestantes, la conduite d’élevage, qui implique une alimentation individualisée, n’est plus limitée aux systèmes de contention depuis que les distributeurs informatisés se sont développés. Les femelles sont en liberté et alimentées à l’aide d’un appareil complexe délivrant des rations individuelles programmées. Ce type de système d’élevage répond ainsi aux exigences de la réglementation européenne récemment mise en place en matière de bien-être animal. Cependant, les animaux s’adaptent parfois difficilement à cette technique : les résultats obtenus sur 13 groupes de dix truies montrent que 55,4 % des femelles seulement apprennent spontanément l’utilisation de l’appareil en 24 heures. 16,2 % le font après avoir été séparées des premières, alors que 18,5 % ne réussissent à réaliser cet apprentissage qu’avec l’aide de l’éleveur qui les y attire par la distribution d’aliments. Enfin les 10 % restant demandent un apprentissage plus prolongé. Les différences observées dépendent de caractéristiques individuelles : les truies utilisant facilement l’appareil ont un profil comportemental opposé à celles qui posent des problèmes d’apprentissage. Ces dernières apparaissent comme des individus initiateurs de déplacements provoqués, peu explorateurs et non dominants en situation de compétition alimentaire. Les conditions d’apprentissage sont donc liées à des paramètres individuels difficilement modifiables par des techniques d’élevage. Un moyen de faciliter la tâche des éleveurs serait de familiariser les animaux au stade "cochette" à des dispositifs alimentaires proches de ce type de distributeur. Cette solution permettrait de réduire les réactions de crainte vis-à-vis de l’appareil et des bruits qui résultent de son utilisation.
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Tassone, Claudia. « Du liniere au lièvre chez Geoffroi de la Tour Landry, Caxton et Marquard vom Stein ». Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 34 (31 décembre 2022) : 140–54. http://dx.doi.org/10.1075/rein.00063.tas.

Texte intégral
Résumé :
Résumé Cette étude se pose le but d’examiner le cas spécifique d’un animal ‘mystérieux’ dans un des livres de conduite les plus célèbres du Moyen Âge, le Livre du Chevalier de la Tour Landry pour l’enseignement de ses filles. L’auteur, Geoffroi de la Tour Landry, instruit ses filles à vivre dans le monde, et il le fait en leur montrant les mauvais comportements à éviter et en leur proposant différents modèles à suivre. Dans un de ses chapitres, il mentionne quatre animaux, dont trois servent à illustrer un comportement à refuser et un, dont le nom varie dans les manuscrits, est en revanche proposé comme modèle de vertu. Dans la tentative d’identifier ce dernier animal, nous avons consulté plusieurs manuscrits ainsi que les traductions médiévales en anglais et en allemand du Livre du Chevalier de la Tour Landry, ce qui témoigne de l’importance d’une étude interlinguistique même pour les textes médiévaux.
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Fransolet, M. C., P. Horlait et Jacques Hardouin. « Elevage expérimental du cobaye Cavia porcellus en région équatoriale au Gabon ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 47, no 1 (1 janvier 1994) : 107–11. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9121.

Texte intégral
Résumé :
L'élevage du cobaye Cavia porcellus comme animal de boucherie a été étudié pendant deux ans et demi sous forme expérimentale au Gabon où il est déjà élevé au niveau familial, quoique de façon peu répandue. Le cobaye est un animal prolifique : 3,4 jeunes en moyenne par portée, et bien que sa durée de gestation soit relativement longue (2 mois), il reste un animal intéressant par sa rusticité et son aptitude à consommer les déchets végétaux de l'alimentation humaine. Les animaux à l'engraissement atteignent 750 g de poids vif en 6 mois avec un gain moyen quotidien de 4 g. Les rendements en carcasse sont de 47,9 %. Peu d'affections graves ont été rencontrées, si ce n'est des cas de pneumonies mortelles. Le comportement est très pacifique. Seule la mise en présence de mâles pubères étrangers dans le même enclos pose parfois des problèmes d'agressivité. Cette première étude est encourageante car en raison des besoins, une telle source de protéines n'est pas à dédaigner du point de vue de l'élevage familial d'appoint, ou même dans l'optique d'un élevage commercial.
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JEZ, C., B. COUDURIER, M. CRESSENT, F. MÉA et P. PERRIER-CORNET. « Prospective de la filière équine française à l’horizon 2030. Quatre scénarios contrastés pour éclairer la décision ». INRAE Productions Animales 26, no 1 (16 mars 2013) : 51–64. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.1.3136.

Texte intégral
Résumé :
Pour programmer les besoins de connaissances et d’innovations de demain, mais aussi aider les professionnels à anticiper les évolutions à venir, l’Institut national de la recherche agronomique et l’Institut français du cheval et de l’équitation se sont investis dans une exploration de l’avenir de la filière équine française grâce à la construction de scénarios contrastés à l’horizon 2030. L’exploration des différents futurs possibles apporte un regard nouveau et original dans un contexte où s’opposent une dynamique de développement liée à l’engouement des français pour les activités équestres et hippiques et une forme de fragilité du fait du recul des soutiens de l’Etat, du renforcement de la concurrence internationale, des évolutions de la société vis-à-vis du bien-être des animaux et de l’harmonisation des réglementations à l’échelle européenne. L’analyse des évolutions passées, des tendances en cours et des ruptures possibles a abouti à la construction de quatre scénarios caractérisés par des usages, des effectifs d’équidés et des emplois très différents. Ceux-ci soulèvent cependant des préoccupations communes en termes de i) relation de l’homme au cheval, ii) d’efficacité économique, iii) d’enjeux environnementaux, iv) de préservation des races et de pression sur les surfaces, et v) de santé, de bien-être animal et de gestion de la fin de vie des animaux. Ces questions appellent un développement des recherches dans les domaines du comportement animal, des sciences économiques et sociales, de la conduite d’élevage et de l’amélioration génétique. Elles soulignent également la nécessité de repenser et d’améliorer le transfert des connaissances et des innovations.
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Kodera, Sergius. « Bestiality and Gluttony in Theory and Practice in the Comedies of Giovan Battista Della Porta ». Renaissance and Reformation 38, no 4 (9 février 2016) : 89–120. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v38i4.26375.

Texte intégral
Résumé :
Giovan Battista Della Porta (1535–1615), Neapolitan nobleman, scholar/scientist, and writer famed for books on natural magic and physiognomy, expressed quite explicit views on bestiality—that is, on human beings having sex with animals. Della Porta populated his plays with characters who allude to their desire both to have sex with animals and to assume animal shapes in order to satisfy their yearnings; the gulone (the glutton), an archetypal character that was a cultural relic from Roman comedy, is a case in point. According to Della Porta, eating habits are indicative of other habits that can be expressed in a person’s physical appearance; his fascination with monstrous bodies and their concomitant bizarre sexual desires betrays a tendency to understand human beings as akin to animals, and indicates the porosity, as he saw it, of boundaries between these two worlds. Le noble napolitain Giovan Battista Della Porta (1535–1615), chercheur, scientifique et écrivain, connu pour ses ouvrages sur la magie naturelle et la physiognomonie, s’est exprimé de façon explicite au sujet de la bestialité, c’est-à-dire au sujet d’humains ayant des rapports sexuels avec des animaux. Les pièces de théâtre de Della Porta sont habitées par de nombreux personnages qui font allusion à la fois à leur désir d’avoir des contacts sexuels avec des animaux, et de prendre une forme animale pour assouvir ces désirs. Le gulone (le glouton) en est un cas, tout en étant un personnage archétypal issu de la comédie romaine. D’après Della Porta, le comportement à table pouvait indiquer la présence d’autres habitudes, parfois visibles dans l’aspect physique d’une personne. Sa fascination pour les corps monstrueux et leurs désirs sexuels étranges trahit sa tendance à considérer les humains comme apparentés aux animaux, et met en lumière la perméabilité telle qu’il la concevait de la limite entre ces deux règnes.
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CHEMINEAU, P., B. MALPAUX, J. P. BRILLARD et A. FOSTIER. « Saisonnalité de la reproduction et de la production chez les poissons, oiseaux et mammifères d’élevage ». INRAE Productions Animales 22, no 2 (15 février 2009) : 77–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.2.3336.

Texte intégral
Résumé :
Les diverses productions issues d’animaux d’élevage sont fréquemment saisonnières, et par là même leur disponibilité en produits frais sur les marchés (viandes, lait et fromages, oeufs). Ceci relève, en partie, de la décision de l’éleveur qui vise à commercialiser ses produits à la période la plus favorable. Cette saisonnalité peut être aussi imposée par l’accès à des ressources alimentaires saisonnières, comme chez les herbivores, ou par des contraintes biologiques spécifiques, comme celle de la température de l’eau pour les poissons. Les variations saisonnières de la disponibilité en produits animaux sont aussi la conséquence de contraintes résultant d’une saison de reproduction plus ou moins marquée des animaux d’élevage qu’il s’agisse de poissons, d’oiseaux ou de mammifères. Sous des latitudes moyennes et hautes, la plupart des animaux d’élevage, comme leurs «cousins» sauvages, donnent en effet naissance à leurs petits en fin d’hiver et/ou au début du printemps, période souvent la plus favorable pour la survie des jeunes et la mise en place d’une nouvelle génération. En conséquence, la plupart des espèces manifestent des variations saisonnières de la fréquence d’ovulation (présence ou absence d’ovulations chez les mammifères et les poissons ; variations ou suppression des taux de ponte chez les oiseaux), de la qualité des gamètes (variations des taux de fécondation et de survie embryonnaire), mais aussi du comportement sexuel. Parmi les espèces d’intérêt en production animale, les oiseaux et les poissons sont généralement considérés comme plus directement sensibles aux facteurs externes (majoritairement température, mais aussi photopériode, pour les poissons et photopériode pour les oiseaux). Cependant, chez de nombreuses espèces incluant des mammifères, il est intéressant de constater que des traitements photopériodiques artificiels consistant en un éclairement supplémentaire pendant les jours courts naturels (chez le poulet, la dinde, la pintade, le mouton et la chèvre) ou de la mélatonine pendant les jours longs (chez le mouton et la chèvre), sont utilisés largement pour ajuster la période de reproduction aux souhaits de l’éleveur et/ou pour abolir complètement les variations saisonnières de la production spermatique dans les centres producteurs de semence destinée à l’insémination artificielle (mammifères), et dans les élevages (volaille, poissons). Par ailleurs, des traitements photopériodiques « purs » (sans mélatonine), en particulier lorsqu’ils sont appliqués en bâtiments ouverts, sont non invasifs et donc respectent pleinement le bien-être animal.
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Guérin, Hubert, Dominique Friot, Nd Mbaye, Didier Richard et A. Dieng. « Régime alimentaire de ruminants domestiques (bovins, ovins, caprins) exploitant des parcours naturels sahéliens et soudano-sahéliens. Il. Essai de description du régime par l’étude du comportement alimentaire. Facteurs de variation des choix alimentaires et conséquences nutritionnelles ». Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 41, no 4 (1 avril 1988) : 427–40. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8668.

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Résumé :
La connaissance des relations « animal-pâturage naturel » est essentielle pour aboutir à des références techniques de gestion des écosystèmes pastoraux et à des modèles de prévision des productions animales. Dans ce but, la composition botanique du régime des ruminants a été décrite sur plusieurs types de parcours. Les suivis ont eu lieu, de 1980 à 1983, sur deux sites de la zone sylvo-pastorale du Ferlo (Sénégal). La strate herbacée a fait l’objet de descriptions qualitatives et quantitatives. Les ligneux ont été identifiés et leur densité a été estimée. Le régime des animaux a été étudié par la méthode de la « collecte du berger ». La productivité et la composition botanique des parcours ont beaucoup varié en fonction de l’année et du site. Généralement, les légumineuses et certaines autres herbacées sont plus appétées que les graminées. La composition du régime ne reflète pas celle du pâturage. La première est cependant influencée par la seconde. Les zébus consomment toujours plus de graminées que les moutons et les chèvres. Inversement, les chèvres consomment plus de ligneux que les autres espèces. Les ovins ont un régime intermédiaire entre les bovins et les caprins. Des équations de prévision de la composition botanique des régimes à partir de celles des pâturages sont données.
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Saka, A. A., O. O. Awodola-Peters, T. A. Olaniyi, O. Y. Adedeji, M. O. Bolarinwa, M. O. Yahaya, G. L. Adebisi et M. A. Popoola. « Climate change and its impact on livestock : A review ». Nigerian Journal of Animal Production 48, no 4 (8 mars 2021) : 185–93. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i4.2993.

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Résumé :
As the demand for livestock products is on the increase due to improved standard of living, the fear of its negative effect of climate is also on the increase. The impact of climate change on livestock production was reviewed in this study. Livestock through contributes to the emissions which in turn has negative impact on livestock production. Humans, animals and mixed farming, produce emissions which contribute so much to the change in climate. Heat stress associated with climate change has an enormous effect on poultry production as it affects chicken growth and productivity as poultry meat and eggs play an important food security role across Africa and world at large. Understanding how farmers deal with the realities of poultry production due to climate change is critical. In pig production the influence of climate change may differ slightly depending on the breed types and locality but common problems are lack of water, pests and diseases, death of the animal at extreme heat stress and possible alteration in grazing behavior which will lead ultimately to decrease in feed intake and feed digestibility and efficiency of feed utilization which can be seen in terms of growth, pork yield and milk production. Ruminants which are the primary producers of methane (CH4) has many factors influencing these emissions such as level of feed intake, type of carbohydrate in the diet and feed processing. Manipulation of these factors can reduce methane emissions from cattle. La demande de produits de bétail étant en agrandissement en raison de l'amélioration du niveau de vie, la crainte de son effet négatif sur le climat est également en augmentation. L'impact du changement climatique sur la production animale a été examiné dans cette étude. L'élevage contribue aux émissions qui à leur tour ont un impact négatif sur la production animale. Les humains, les animaux et l'agriculture mixte, produisent des émissions qui contribuent beaucoup au changement climatique. Le stress thermique associé au changement climatique a un effet énorme sur la production de volaille car il affecte la croissance et la productivité des poulets, car la viande et les œufs de volaille jouent un rôle important dans la sécurité alimentaire en Afrique et dans le monde en général. Il est essentiel de comprendre comment les agriculteurs gèrent les réalités de la production de volaille en raison du changement climatique. Dans la production porcine, l'influence du changement climatique peut différer légèrement selon le type de race et la localité, mais les problèmes courants sont le manque d'eau, les ravageurs et les maladies, la mort de l'animal en cas de stress thermique extrême et une éventuelle modification du comportement de pâturage qui entraînera finalement une diminution dans l'ingestion et la digestibilité des aliments et l'efficacité de l'utilisation des aliments qui peuvent être vus en termes de croissance, de rendement de porc et de production de lait. Les ruminants qui sont les principaux producteurs de méthane (CH4) ont de nombreux facteurs influençant ces émissions tels que le niveau de consommation alimentaire, le type de glucides dans l'alimentation et la transformation des aliments. La manipulation de ces facteurs peut réduire les émissions de méthane des bovins.
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FAVERDIN, P. « Dossier : Palatabilité et choix alimentaires - Avant-propos ». INRAE Productions Animales 9, no 5 (20 octobre 1996) : 337–38. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.5.4072.

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Résumé :
Les trois articles qui suivent retracent le contenu de trois exposés présentés dans le cadre du groupe de réflexion sur le thème ingestion au sein du département Elevage et Nutrition des Animaux de l’INRA. Ce groupe "Ingestion", qui existe depuis environ une dizaine d’année maintenant, se réunit une ou deux fois par an autour d’un thème particulier dont les différents aspects sont traités par des membres du groupe ou invités par le groupe. Il nous est apparu que ce travail pouvait intéresser un public francophone plus large que les seuls participants à ces réunions. A l’avenir, des dossiers seront donc ainsi proposés à la revue Productions Animales en fonction des activités du groupe. Le premier dossier a pour thème "Palatabilité et choix alimentaires". Avant même d’essayer d’en définir les termes, le titre posait problème : fallait- il parler de palatabilité ou d’appétibilité ? Si palatabilité nous apparaît aujourd’hui comme un néologisme, Gallouin et Le Magnen (1987) nous ont rassurés en nous apprenant que les Anglais l’ont importé de France il y a plusieurs siècles. Quant au mot appétibilité, il n’a été proposé qu’il y a un peu moins d’un demi-siècle pour traduire "palatability" de l’anglais. Malheureusement, résoudre ce différend linguistique ne permet pas de définir facilement et précisément ce terme. L’estimation de la palatabilité est généralement décrite par la notion de préférence alimentaire, donc de choix, sans que les deux soient équivalents. Enfin, ce critère de palatabilité est très couramment associé aux qualités organoleptiques des aliments. Différences de définitions, de méthodes de caractérisation, de mécanismes impliqués pour expliquer ces phénomènes, il est apparu important de clarifier la situation et de faire le point sur ce sujet. Les finalités des travaux sur la prise alimentaire chez les monogastriques et les ruminants sont généralement différentes. La nature de la ration (des aliments concentrés jusqu’aux prairies naturelles), mais également le type de production qui recouvre des échelles de temps très variées (de quelques semaines à 10 ans) posent des problèmes de prise alimentaire très différents. Les travaux sur les monogastriques (porcs et volailles) et les ruminants sont donc traités dans des articles séparés. Ces textes permettent de mieux percevoir la spécificité d’approche pour chaque espèce, mais soulignent les points communs quant aux mécanismes associés au concept de palatabilité. Pour les espèces à cycle court, les problèmes d’apprentissage et les choix alimentaires peuvent affecter rapidement la productivité des systèmes. Le refus par des jeunes d’un nouvel aliment pendant quelques jours va affecter leur croissance, même si, a priori, dans l’aliment rien de perceptible par l’homme ne permet de comprendre ce comportement. La synthèse de Marie- Christine Meunier-Salaün et Michel Picard essaye donc de préciser les relations entre ces problèmes de choix alimentaires, de préférence ou d’aversion, et la notion de palatabilité chez le porc et les volailles et discute les moyens d’étudier ces problèmes. Les ruminants disposent souvent de fourrages à volonté. Les fourrages étant généralement, en France, d’un coût plus faible que les autres aliments, l’éleveur souhaite en maximiser l’utilisation. Ceci suppose que le fourrage soit bien ingéré par l’animal. La palatabilité d’un aliment interfère-t-elle avec le niveau d’ingestion de cet aliment ? Comment apprécier objectivement cette notion de palatabilité ? Quel est le rôle des sens dans les préférences alimentaires des ruminants ? La revue de René Baumont essaye de répondre à ces questions à l’aide de nombreux exemples. Les ruminants d’élevage disposent généralement pendant plus de la moitié de l’année d’un accès au pâturage. Dans ces conditions d’alimentation très particulières l’animal va être amené à gérer lui-même ses prises alimentaires avec des situations de choix parfois très complexes. Cette complexité au pâturage est accrue par la dispersion de l’offre alimentaire. Les choix comportementaux ne sont donc pas que le reflet des préférences alimentaires strictes pour telle ou telle espèce ou partie de végétal, mais le résultat d’une stratégie de pâturage complexe qui pourrait chercher à maximiser le bénéfice énergétique. Ces relations entre les préférences alimentaires des ruminants et les choix alimentaires effectués au pâturage sont étudiées par Bertrand Dumont qui en présente une synthèse dans le dernier article de ce dossier. Bien que recouvrant des approches et des points de vue très divers, ces trois articles partagent certaines conclusions sur la notion de palatabilité. En particulier, on peut difficilement la dissocier d’une notion d’apprentissage si l’on veut en comprendre les rouages. Essayer de s’en défaire ne fait que renforcer le poids des apprentissages précédents (souvent inconnus) au détriment de la propre expérience de l’animal sur tel aliment. Les choix d’un animal peuvent donc évoluer pour prendre en compte des signaux post-ingestifs. L’utilisation de tests en tout genre pour apprécier la palatabilité doit donc se faire avec discernement. Néanmoins, une meilleure connaissance des mécanismes d’apprentissage et d’identification de l’aliment permettrait de limiter les problèmes lors des transitions alimentaires et de mieux comprendre comment l’animal équilibre sa ration. Un travail de réflexion important reste donc à réaliser pour mettre en place des méthodologies adaptées afin de mieux expliquer les choix alimentaires des animaux domestiques. Gallouin F., Le Magnen J., 1987. Evolution historique des concepts de faim, satiété et appétit. Reprod. Nutr. Dévelop., 27, 109-128.
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Zaidi, S., A. Amara Korba, A. Bessas, A. Bouzenad, N. K. Hamnoune, Dj Hezil et I. Bitam. « Serological study of leptospirosis in cats from Algeria ». African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 23, no 4 (25 octobre 2022) : 416–25. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v23i4.10.

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Résumé :
Background: By the nature of their environment and behavior, stray cats are at risk of exposure to leptospirosis. Leptospirosis is an emerging zoonotic disease with worldwide distribution. The prevalence of leptospirosis in the feline species in Algeria is unknown. The main objectives of this study are to determine the seroprevalence and identify the most common Leptospira serovars in stray cats in the Algiers region.Methodology: Serum samples from 144 randomly selected healthy stray cats from 57 municipalities of the Algiers region were analyzed by the microscopic agglutination test (MAT). The MAT was performed to determine the antibody titers against nine Leptospira serovars (Canicola, Copenhageni, Icterohaemorrhagiae, Autumnalis, Grippotyphosa, Bratislava, Pomona, Pyrogenes, Patoc). The age of each cat was estimated based on dentition and physical appearance, and information on cat sex, breed and clinical status were collected. Data were analysed using the Statistical Package for the Social Sciences (SPSS) version 17.0Results: Leptospira antibodies were detected in 8 of 144 healthy stray cats, giving a seroprevalence rate of 5.6% [95% confidence interval (CI)=1.814-9.297]. The antibody titers ranged from 1:100 to 1:3200. Serovars Pyrogenes (1:100) and Patoc (1:100) were the most prevalent serovars detected in 2.8% (4/144) of the cats, followed by serovars Icterohaemorrhagiae (1:100) and Bratislava (1:100) detected in 2.1% (3/144) of the cats. The seroprevalence of 7.8% (7/90) in the male cats was higher than 1.9% (1/54) in the female cats but this did not reach a significant difference (OR=4.47, 95% CI=0.5344-37.387, p=0.2586). All the positive cats were over one year of age.Conclusion: This study showed that stray cats in Algiers are exposed to leptospirosis. In addition, the serovars detected are very common serovars in dogs and humans. The control of leptospirosis is largely dependent on general hygiene measures and the control of animal reservoirs. Additional investigations are necessary to clarify the epidemiology of the disease in the different regions of Algeria. Contexte: De par la nature de leur environnement et de leur comportement, les chats errants sont à un risque d'exposition à la leptospirose. La leptospirose est une maladie zoonotique émergente de distribution mondiale. La prévalence de la leptospirose chez l’espèce féline en Algérie est inconnue. Les principaux objectifs de cette étude sont de déterminer la séroprévalence et d'identifier les sérovars de Leptospira les plus fréquents chez leschats errants de la région d'Alger.Méthodologie: Des échantillons de sérum de 144 chats errants sanitaires sélectionnés au hasard dans 57 communes de la région d'Alger ont été analysés par le test d'agglutination microscopique (MAT). Le MAT a été réalisé pour déterminer les titres d'anticorps contre neuf sérotypes de Leptospira (Canicola, Copenhageni, Icterohaemorrhagiae, Autumnalis, Grippotyphosa, Bratislava, Pomona, Pyrogenes, Patoc). L'âge de chaque chat a été estimé sur la base de la dentition et de l'apparence physique, et des informations sur le sexe, la race et l'état clinique du chat ont été collectées. Les données ont été analysées à l'aide du package statistique pour les sciences sociales (SPSS) version 17.0Résultats: Des anticorps contre Leptospira ont été détectés chez 8 des 144 chats errants sanitaires, donnant un taux de séroprévalence de 5,6% [intervalle de confiance (IC) à 95%=1,814-9,297]. Les titres d'anticorps variaient de 1:100 à 1:3200. Les sérovars Pyrogenes (1:100) et Patoc (1:100) étaient les sérovars les plus prévalents détectés chez 2,8 % (4/144) des chats, suivis des sérovars Icterohaemorrhagiae (1:100) et Bratislava (1:100) détectés chez 2,1% (3/144) des chats. La séroprévalence de 7,8 % (7/90) chez les chats mâles était supérieure à 1,9 % (1/54) chez les chattes, mais cela n'a pas atteint une différence significative (OR=4,47, IC 95%=0,5344-37,387, p=0,2586). Tous les chats positifs avaient plus d'un an.Conclusion: Cette étude a montré que les chats errants d'Alger sont exposés à la leptospirose. De plus, les sérovars détectés sont des sérovars très répandus chez le chien ou chez l'homme. Le contrôle de la leptospirose est largement tributaire des mesures d'hygiène générales et de la lutte contre les réservoirs animaux. Des investigations complémentaires sont nécessaires pour préciser l'épidémiologie de la maladie dans les différentesrégions de l'Algérie.
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VEISSIER, Isabelle, Florence KLING-EVEILLARD, Marie-Madeleine MIALON, Mathieu SILBERBERG, Alice DE BOYER DES ROCHES, Claudia TERLOUW, Dorothée LEDOUX, Bruno MEUNIER et Nathalie HOSTIOU. « Élevage de précision et bien-être en élevage : la révolution numérique de l’agriculture permettra-t-elle de prendre en compte les besoins des animaux et des éleveurs ? » INRA Productions Animales, 24 avril 2019, 281–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2019.32.2.2478.

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Résumé :
Les techniques d'élevage de précision ont été développées essentiellement pour augmenter la rentabilité et réduire la charge de travail en appliquant des processus automatiques de surveillance des animaux et de leur environnement. Par exemple la détection de l'œstrus permet une insémination rapide, tandis que la détection des boiteries à un stade précoce ou d’un déséquilibre nutritionnel ou même des paramètres d'ambiance anormaux dans l'étable peuvent aider à prendre des mesures correctives rapidement. Les données générées par les capteurs pourraient également contribuer au bien-être des animaux. Un système détectant les problèmes de santé (par exemple, mammite ou cétose chez les vaches laitières) peut faire partie de la gestion du bien-être. En plus et surtout, certains dispositifs de l’élevage de précision sont basés sur la détection du comportement animal directement ou indirectement par la position des animaux : temps passé à se nourrir, ruminer, se reposer, marcher, etc. Des changements subtils de comportement peuvent indiquer l'état mental d'un animal : hyper-réactivité vs apathie, isolement social, modification du rythme quotidien d'activité, réduction du comportement de jeu ou du toilettage, hyper-agressivité. Ces changements peuvent être autant de signes de malaise dus à la maladie, au stress, à l'instabilité sociale, etc. Ainsi les techniques de l’élevage de précision offrent un large éventail de possibilités d'utiliser des signes de comportement animal pour aborder le bien-être dans des élevages modernes, qu’il s’agisse du bien-être lié à l'état de santé, aux relations sociales, aux relations homme-animal ou à un environnement quelconque stressant. À l'heure actuelle, ces possibilités sont peu explorées. Par ailleurs, l’élevage de précision modifie le travail des agriculteurs et potentiellement leurs interactions avec les animaux. Il est nécessaire que les animaux restent au centre de l'attention si l'on veut respecter leur bien-être et ce en harmonie avec celui de l’éleveur.
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Le Neindre, Pierre. « Dossier : Recherches sur la question animale : entre mobilisations sociétales et innovations technologiques – Quelques évolutions des idées autour du comportement animal et du bien-être animal : un éthologue face à la société ». Natures Sciences Sociétés, 2023. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2023028.

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Résumé :
L’auteur porte son regard sur son implication à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE) dans le développement de l’éthologie appliquée au cours des cinq dernières décennies. Cette discipline accompagnait à l’origine des études zootechniques pour améliorer la productivité des animaux. Progressivement, l’animal et son ressenti ont été pris comme objets d’attention et de recherche du fait de l’avancement des connaissances mais surtout de l’intérêt de la société pour les conditions de vie des animaux, pour ce qui est désormais appelé leur « bien-être ». Le premier objectif des chercheurs a été de chercher à minimiser les douleurs et les souffrances générées par les techniques d’élevage. Par la suite, les plaisirs ont été également pris en compte. Pour cela, il a été nécessaire de comprendre le ressenti des animaux et la conscience qu’ils avaient de la situation qu’ils vivaient. Ce travail a été souvent conduit dans le cadre de réflexions pluridisciplinaires, en particulier d’expertises collectives.
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Bourbon, Sébastien. « La rente cognitive, une valeur refuge en temps de crise ». Management & ; Data Science, mai 2020. http://dx.doi.org/10.36863/mds.a.13255.

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Résumé :
Les périodes de crise renforcent le caractère irrationnel du comportement des acteurs économiques. Elles exacerbent leur « esprit animal ». Leurs capacités de discernement et cognitives s’estompent. Ils se mettent alors désespérément en quête de valeur refuge. Dans ce contexte, l’agent devient un « leader de l’incertitude » qui va rassurer ces acteurs économiques confrontés à une forte incertitude informationnelle et cognitive. Il va alors valoriser un capital immatériel intégrant un ensemble de savoir et de savoir-faire : la « rente cognitive ». Elle apparaît comme une valeur refuge originale pour des « esprits animaux » en temps de crise.
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