Littérature scientifique sur le sujet « Activisme climatique »

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Articles de revues sur le sujet "Activisme climatique"

1

Frei, Max. « Activisme climatique illégal : vaincre sans convaincre ». Le Regard Libre N° 98, no 7 (3 juillet 2023) : 10–11. http://dx.doi.org/10.3917/regli.098.0010.

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2

Fontanel, Jacques. « La mondialisation privatisée : une impasse du multilatéralisme ». Questions internationales 105, no 1 (3 février 2021) : 101–14. http://dx.doi.org/10.3917/quin.105.0101.

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Résumé :
La globalisation implique l’interconnexion des agents économiques et la mise en place d’un multilatéralisme intergouvernemental, qui demeure fortement influencé par les doctrines libérales. Elle repose sur l’idée selon laquelle la liberté des marchés conduit à l’optimum économique qui profiterait, par ruissellement, à tous les acteurs concernés. Dans ce contexte, les États subissent une réduction de leurs compétences et de leurs prérogatives. Les organisations économiques internationales, quant à elles, font preuve d’un activisme qui s’avère souvent bénéfique aux seules entreprises multinationales. Ce faisant, le système s’inscrit en porte-à-faux avec les défis fondamentaux du xxi e siècle, comme le changement climatique, la pollution, la liberté de l’information ou les inégalités sociales .
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3

Christie, Sheila, Beth Osnes, David W. Geary, Dennis D. Gupa, Ian Garrett, Jordan Hall, Katie Welch, Kendra Fanconi, Kimberly Skye Richards et Scott Sharplin. « Theatrical Calls to Climate Action : Excerpts of a Conversation ». Theatre Research in Canada 43, no 1 (1 avril 2022) : 125–36. http://dx.doi.org/10.3138/tric.43.1.f02.

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Résumé :
Cet article est extrait d’une discussion sur la performance et l’action en faveur du climat qui a eu lieu à l’occasion du colloque annuel de l’Association canadienne de la recherche théâtrale (ACRT), Partition/Ensemble 2020. Dix artistes, activistes et universitaires rapportent leur expérience de la performance comme outil dans la lutte contre les changements climatiques. Leurs difficultés et leurs tactiques sont abordées, des exemples détaillés d’actions climatiques théâtrales sont exposés et la nécessité pour les autres artistes et activistes d’employer les outils du théâtre et de la performance pour raconter les récits de la crise climatique est soulignée de manière pressante. L’article, qui rend compte de la lame de fond d’énergie créative consacrée à la crise climatique, servira du même coup d’inspiration à celles et ceux qui veulent mettre leurs talents artistiques au service de la lutte contre les changements climatiques.
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4

Pène, Sophie. « Fixeurs des luttes climatiques. Altérité, altruisme, alternatives ». Communication et organisation 65 (2024) : 71–84. http://dx.doi.org/10.4000/11yyy.

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Résumé :
Les fixeurs sont des guides qui aident les informateurs en terrain risqué. Par analogie, les fixeurs sont ici les entrepreneurs activistes qui cherchent un impact pour enrayer le dérèglement climatique. Ils créent des organisations en réseaux caractérisées par des modes de décision consensuelle, des alliances transnationales et un art des campagnes de mobilisation. Deux organisations sont principalement observées, makesense et la Fabrique de l’époque. L’analyse tend à démontrer que l’on peut qualifier ces entités d’alter-organisations, alter s’entendant avec les connotations d’alternative, d’altermondialisme, et d’altérité, au sens de la reconnaissance des pensées autres, y compris antagonistes.
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5

Charléty, Patricia. « Les investisseurs financiers : des activistes efficaces face aux risques climatiques ? » Revue d'économie financière N°138, no 2 (2020) : 139. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.138.0139.

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6

Aykut, Stefan C., et Lucile Maertens. « The climatization of global politics : introduction to the special issue ». International Politics 58, no 4 (26 juillet 2021) : 501–18. http://dx.doi.org/10.1057/s41311-021-00325-0.

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Résumé :
AbstractClimate change now constitutes a major issue in world politics, intersecting with and shaping many other political domains, and wider patterns of social and economic life. Global climate governance is also no longer restricted to multilateral negotiations under the UN Climate Convention: it increasingly extends beyond the international climate regime to climatize other areas of global politics. This concept of climatization points to a powerful but uneven process of extension, translation, and social coordination, as climate change becomes the frame of reference through which other policy issues and forms of global activism are mediated and hierarchized. This special issue brings together contributions on both theoretical aspects and empirical cases of the climatization process. The introduction sets out a conceptual framework to systematize these observations and guide further research. First, we identify the preconditions for, and driving forces behind, climatization. We then sketch the contours of an emergent ‘climate logic’ that reshapes affected domains, and examine the wider implications of climatization for global politics. Beyond the climate case, we hope this will provide new ways to observe and understand contemporary transformations of global society and global governance.
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7

Gagné, Karine. « Climat ». Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.110.

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Résumé :
Comment les cultures attribuent-elles sens et valeur à leurs interprétations du temps atmosphérique et du climat? Comment les gens s'adaptent-ils au climat local, à la température, aux inondations et aux précipitations – ou à leur absence? Comment les changements climatiques contemporains affectent-ils les communautés? Comment le savoir sur les changements climatiques est-il construit? Comment l’anthropologie peut-elle contribuer à l’élaboration de politiques liées au climat? L’archéologie a une longue tradition d'investigation sur les dynamiques culturelles liées au climat – en particulier, les changements concomitants entre sociétés humaines et environnement naturel, que ce soit sur le plan de la résilience ou du déclin de civilisations des suites d’événements climatiques (Weiss and Bradley 2001 ; McGovern. 1994 ; Rosen 2007). Cependant, il s’agit pour l’anthropologie culturelle d’un objet d’étude relativement récent. Bien que les études émergeant du matérialisme culturel et de l’écologie culturelle se soient penchées sur les interrelations entre culture et écologie, incluant les dimensions du climat, comme le note Susan Crate (2011 : 178) dans sa recension sur le climat et la culture, ces dernières fournissaient des explications déterministes et laissent peu de place au réseau mondial de connexions que le changement climatique contemporain invoque. Depuis le tournant du 21e siècle, l’anthropologie culturelle multiplie ses enquêtes sur les dimensions sociales et culturelles du climat et la question des changements climatiques occupe une place importante dans ces travaux. Cet intérêt a donné lieu à la publication d’importantes monographies et collections éditées (Cruikshank 2005 ; Crate and Nuttall 2009 ; Dove 2014 ; Hsu and Low 2008 ; Marino 2015 ; Strauss and Orlove 2003). Les ethnographies sur le climat se distinguent bien souvent par leur approche multisite. Elle se penchent à la fois sur les diverses dimensions locales de phénomènes climatiques globaux et la manière dont ceux-ci sont vécus et perçus, non seulement au sein de communautés locales (Crate 2008 ; Brugger et al. 2012) mais aussi en lieux non traditionnels comme les institutions tel le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) (O’Reilly 2012) ou dans le cadre de congrès internationaux visant à définir des questions et mettre en place des initiatives politiques liées aux changements climatiques (Doolittle 2010 ; Skrydstrup 2009). Ces études s’appuient sur une variété de méthodes, que ce soit l’enquête ethnographique ou l’histoire orale (Cruikshank 2001). Les anthropologues qui s’intéressent au climat se démarquent souvent par l’adoption d’une approche collaborative alors qu’ils œuvrent au sein d’équipes pluridisciplinaires (Bauer and Bhan 2018 ; Orlove, Wiegandt, et Luckman 2008 ; Ribot, Magalhães, et Panagides 1995). Comme l’invoquent par ailleurs Castree et ses collègues (2014), la question du changement climatique doit devenir une arène pour l’intégration des sciences naturelles, humaines et sociales. L’anthropologie s’intéresse aux perceptions, connaissances, évaluations et réponses liées au climat et à son changement. Elle apporte un éclairage sur les dimensions locales de processus globaux et sur comment ceux-ci sont articulés par le biais de systèmes de connaissances locaux. Les questions examinées sont multiples. En lien avec l’intérêt de l’anthropologie pour les savoirs locaux et les modèles culturels de cognition, l'ethnoclimatologie a fourni, dans de premiers efforts, des études émergeant de l’Inde sur la prévision de la sécheresse (Bharara 1982) et sur les multiples dimensions de la mousson (Zimmermann 1987). Plus récemment, des anthropologues se sont penchés sur les modèles locaux de prévisions météorologiques en Papouasie-Nouvelle-Guinée (Sillitoe 1994), dans les Andes (Orlove, Chiang et Cane 2002) et au Burkina Faso (Roncoli, Ingram and Kirshen 2002). Les modèles de connaissances liés aux perturbations climatiques sont également examinés par les anthropologues et chercheurs qui adoptent une approche ethnographique (Schneider 1957 ; Carey 2008). L’anthropologie se penche également sur les catastrophes climatiques et leurs conséquences. Dans une étude précurseuse, James Spillius (1957) examine la réponse aux ouragans chez les habitants de l’île de Tikopia et revendique une plus grande inclusion par les administrateurs locaux des connaissances qui découlent d’études anthropologiques. Solway (1994) montre comment les sécheresses dans la région du Kalahari au Botswana catalysent des changements sociaux. Shaw (1992) et Scheper-Hughes (2005) considèrent les dimensions de genre et les questions raciales liées aux désastres. Les conséquences des désastres climatiques, notamment les déplacements de populations et les mouvements migratoires, sont également examinées (Olivier-Smith 2009 ; Oliver-Smith and Shen 2009). La reconnaissance de la réalité locale du changement climatique amène les anthropologues à examiner la résilience et l’adaptation des populations. L’anthropologie fournit ainsi des analyses ethnographiques sur les questions de risque et de vulnérabilité chez les communautés littorales et insulaires (Lazrus 2012), chez les populations montagnardes (Rasmussen 2015) et en milieu arctique (Crate 2008 ; Nuttal 2010). Par ailleurs, les anthropologues jettent un regard critique sur le caractère universalisant des concepts liés aux changements climatiques, tel celui de l’adaptation (Finan and Nelson 2001 ; Orlove 2009). La connaissance, la science et la compréhension du changement climatique sont en soi des phénomènes sociaux et les anthropologues s’interrogent sur la manière dont les variables sociales, culturelles, économiques et politiques affectent l’interprétation et l’expérience des événements climatiques extrêmes et des changements climatiques. Ils étudient ainsi la question des communications, se penchant sur la réception et la traduction locale (Rudiak-Gould 2012), l’attention du public (Broad and Orlove 2007), ainsi que sur le scepticisme public (Diemberger et al. 2012). Les chercheurs portent également un regard critique sur la construction scientifique des scénarios liés aux changements climatiques (Lahsen 2005 ; Hastrup and Skrydstrup 2013). La recherche anthropologique sur le climat se fait également activiste. Ainsi, de nombreux anthropologues plaident pour un plus grand engagement de l’anthropologie dans l’élaboration de politiques liées au climat, mettant de l’avant le rôle clé que peut jouer leur discipline dans la quête de solutions au changement climatique et à ses effets (Barnes et al. 2013 ; Batterbury 2008 ; Fiske 2009 ; Rayner & Malone 1998).
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Thèses sur le sujet "Activisme climatique"

1

Marty, Laurence. « Apprendre et lutter au bord du monde : récits de mouvements pour la justice climatique en France et en Europe (2014-2017) ». Electronic Thesis or Diss., Paris, EHESS, 2021. http://www.theses.fr/2021EHES0143.

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Résumé :
Cette thèse porte sur les mouvements français et européens contre le dérèglement climatique et sur les tensions qui les caractérisent : qu’est-ce que lutter quand l’envergure de la catastrophe, l’urgence, et le sentiment d’impuissance prévalent ? Comment continue-t-on à lutter dans un monde en ruines qu’on ne croit plus pouvoir sauver ? Et comment le fait-on lorsqu’on se sait appartenir aux pays responsables (historiquement et encore aujourd’hui) des bouleversements environnementaux sans précédent qui nous arrivent ? L’ethnographie au cœur de cette thèse suit des activistes et collectifs dans la préparation des mobilisations qui ont eu lieu autour de la COP21 (Paris, décembre 2015) ainsi que dans la décomposition-recomposition des luttes climatiques qui l’ont suivie. Ces activistes et collectifs ont pour spécificité d’appartenir à l’espace du mouvement écologiste le moins institutionnalisé : leurs engagements dessinent un continuum d’agirs allant de l’agriculture vivrière à l’action directe. Ils relèvent par ailleurs de la partie du mouvement qui a participé à importer et nourrir un certain cadrage de l’enjeu climatique en France à compter de 2015 : celui de la justice climatique. A partir d’une ethnographie qui s’est aussi vécue comme une expérience à la première personne et un partage de vie aux côtés de ces activistes et collectifs, j’ai cherché à rendre sensibles les cheminements et apprentissages qui se déploient au sein des mouvements climat, comme les essoufflements, les doutes, les joies et les puissances qui s’y éprouvent. Le manuscrit est organisé en deux « volumes » qui correspondent chacun à une grande question adressée aux mouvements contre le dérèglement climatique qui relaie celles que se posent les militant.e.s elleux-mêmes : « quel est le "bon moyen" pour lutter contre le dérèglement du climat ? », et « quel est le "bon sujet politique" du mouvement pour la justice climatique ? ». A rebours de réponses univoques et absolues, je propose de penser ces questions comme des pharmaka au sens d’Isabelle Stengers : en fonction de leur dosage, elles peuvent rendre puissant.e.s comme elles peuvent affaiblir, empoisonner. Chacun des deux volumes est lui-même composé de plusieurs « récits » qui font le travail de décaler ces questions et de montrer leurs effets en situation. Enfin, entre ces « récits » sont intercalés des « ateliers » qui sont la reprise de notes de formations auxquelles j’ai participé dans les mouvements climat depuis 2015
This dissertation focuses on the French and European movements against climate change and on the tensions that characterize them: what does it mean to fight when the scale of the disaster, the sense of urgency and the feeling of powerlessness prevail? How does one keep fighting in a world in rubble, which we do not believe we can save anymore? And how do we do so when we know that we belong to the countries responsible (historically and still today) for the unprecedented environmental disruptions that are happening to us? This ethnography explores the actions of activists and collective groups in the preparation of the mobilizations that took place around the COP21 (Paris, December 2015). It examines the decomposition and re-composition of the struggles against climate change that ensued. The specificity of these activists and collectives is that they belong to the least institutionalized space of the environmental movement: their commitments rested on a continuum of collective actions ranging from food farming to direct action. Moreover, they belong to the part of the movement that has participated in importing and developing the climate justice framing in France since 2015. From this ethnography, which was also lived as a personal experience, whereby I shared moments of life with these activists and collectives, I sought to make tangible the pathways and learnings that unfolded within the climate movements, as well as the breathlessness, doubts, joys and empowerment, which have been experienced in these movements.The manuscript is organized in two "volumes", each of which corresponds to a major question addressed to the movements against climate disruption and which relays those asked by the activists themselves: “What is the ‘right way’ to fight against climate disruption?” and “What is the ‘right political subject’ of the movement for climate justice?” In contrast to univocal and absolute answers, I propose to think about these questions as pharmaka in the sense of Isabelle Stengers: depending on their dosage, they can empower or weaken, poison. Each of the two volumes is itself composed of several “stories”, which are used to shift these questions and showing their effects in situation. Finally, between these stories I have interspersed “workshops”, which are the summary of notes I took during trainings, in which I participated in the climate movements since 2015
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Livres sur le sujet "Activisme climatique"

1

Ecologie en résistance : Stratégies pour une Terre en péril. 2e éd. Éditions LIBRE, 2018.

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Chapitres de livres sur le sujet "Activisme climatique"

1

Mahaim, Raphaël, Marie-Pomme Moinat et Irène Wettstein. « 36 | Activistes climatiques c. Crédit suisse et le ministère public (2020) ». Dans Les grandes affaires climatiques, 575–86. DICE Éditions, 2020. http://dx.doi.org/10.4000/books.dice.11383.

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