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Thèses sur le sujet « Académie française. – History »

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Salama, Benjamin. « Gabriel François Doyen (1726-1806), peintre du roi ». Thesis, Sorbonne université, 2020. http://www.theses.fr/2020SORUL007.

Texte intégral
Résumé :
Acteur pionnier au sein du mouvement de régénération de la peinture d’histoire dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, Gabriel François Doyen (1726-1806) doit sans aucun doute être considéré comme l’un des artistes les plus importants de sa génération. Elève de Carle Vanloo puis à l’École royale des élèves protégés, il s’illustre avec un premier grand chef d’œuvre présenté au Salon de 1759, La Mort de Virginie, qui le fit considérer par la critique comme l’un des espoirs du renouveau de la peinture française. Sa gloire culmine avec une grande commande religieuse, Le Miracle des ardents, exposé au Salon de 1767 et resté célèbre grâce à une longue critique que lui consacra Diderot, dans laquelle il opposera le style puissamment lyrique de l’artiste à la manière de Vien, annonçant de l’esthétique néoclassique. Chargé d’importantes commandes royales au cours des années 1770, apprécié pour ses œuvres puissamment poétiques inspirées par l’Iliade, Doyen finit néanmoins par perdre la faveur du public dans les années 1780, au moment même où s’impose la génération de David. Sous la Révolution, l’artiste sera chargé d’importantes fonctions au sein de la Commission des monuments et œuvrera pour la préservation du patrimoine français aux côtés d’Alexandre Lenoir, son ancien élève. En 1792, il choisira finalement de partir en Russie pour achever sa carrière ; il y occupera la charge de professeur à l’Académie impériale des Beaux-arts de Saint-Pétersbourg, mais aussi la place de peintre de l’impératrice Catherine II et de son fils Paul Ier
As one of main pioneer in the regeneration movement of history painting in the second half of the eighteenth century, Gabriel François Doyen (1726-1806) must undoubtedly be considered one of the most important artists of his generation. Student of Carle Vanloo and then at the École royale des élèves protégés, he is illustrated with a first great masterpiece presented at the Salon of 1759, La mort de Virginie, which made him consider by critics as one of the new hopes of the renewal of French painting. His glory culminates with a great religious command, Le Miracle des Ardents exposed to the Salon of 1767 and remained famous thanks to a long criticism that Diderot dedicated to him, in which he contrasted the powerful lyric style of the artist like Vien, announcer of neoclassical aesthetics. He was in charged with important royal commands in the 1770s, appreciated for his powerful poetic works inspired by the Iliad, Doyen eventually lost the public 's favor in the 1780s, at the very same moment when the generation of David is needed . Under the French Revolution, the artist will be in charged with important functions within the Comission des monuements and will work for the preservation of French heritage alongside Alexandre Lenoir, his former student. In 1792, he finally chose to go to Russia to complete his career ; he held the position of professor at the Imperial Academy of Fine Arts in St. Petersburg, but also the rank of painter of the Empress Catherine II and his son Paul I
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Sapiro, Gisèle. « Complicités et anathèmes en temps de crise : modes de survie du champ littéraire et de ses institutions, 1940-1953 (Académie française, Académie Goncourt, Comité national des écrivains) ». Paris, EHESS, 1994. http://www.theses.fr/1994EHES0323.

Texte intégral
Résumé :
La crise que traverse le champ litteraire francais sous l'occupation allemande (1940-1944) entraine une perte de son autonomie relative, qui se traduit non seulement par la mainmise des pouvoirs d'occupation et du regime autoritaire de v ichy sur son infrastructure et par son eclatement geographique, mais aussi par l'imposition du politique: les positions les plus "apolitiques" auront des effets politiques. En revanche, les "reponses" politiques a cette imposition ne trouvent pas leur principe dans une rationalite propre aux individus, mais dans des rapports de force structures et preexistants. L'etude des attitudes des institutions de la vie litteraire officielles comme l'academie francaise et l'academie goncourt, dont les membres contribuent a la legitimation du regime de vichy, revele ce que les prises de position collectives ou individuelles doivent a l'histoire structurale du champ. C'est en vue de la reconquete d'une autonomie proprement litteraire que se rallient dans la clandestinite quelques ecrivains reconnus ayant subi un declasse ment du fait de la conjoncture (aragon, paulhan, mauriac), rejoints par de "nouveaux entrants". Le regroupement s'effectue a l'initiative du parti communiste, dans le cadre de l'organisation d'un front national
The crisis that french "literary field" has passed through during german occupation (1940-1944) has induced a loss of its autonomy. This results not only from the controle that the occupying powers and the vichy regime exercised on its infra-structure, and from geographic dispersion of writers, but also from the imposing of politics : non political attit udes would have political effects. On the other side, the most political "responses" to this imposing cannot be understo od in terms of individuals' rationality, but as a result of preexisting structured power relations. The study of the attitudes of official literary institutions as the french academy or the academie goncourt, the members of which contributed to legitimate vichy ideology, reverals the links between collective or individual political positions and th e structural history of the literary field. The clandestine struggle for reconquering a literary autonomy was lead by so me known writers who have lost their status because of the circumstances (aragon, paulhan, mauriac), followed by young poets, who occupied, therefore, a function of "avant-garde". The group was created on the initiative of the communist party, within the organization of a front national
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3

Braz-Botelho, Marilia. « Le peintre brésilien Rodolpho Amoêdo (1857-1941) et l'expérience de la peinture française : académisme ou innovation ? » Thesis, Paris 1, 2015. http://www.theses.fr/2015PA010582/document.

Texte intégral
Résumé :
Analyse du parcours et de la production du peintre brésilien Rodolpho Amoêdo (1857-1941), pensionnaire de l’Académie Impériale (brésilienne) des Beaux-Arts à Paris, entre les années 1879 et 1887. Au contact avec l’art français contemporain, mais aussi celui du XVIIIème siècle, Amoêdo va d’abord subir l’influence de certains peintres français, comme Gustave Boulanger et Alexandre Cabanel, ses premiers maîtres. Mais vers la fin de son séjour parisien, il passe à s’intéresser à l’art de Puvis de Chavannes. Ses toiles deviennent alors plus claires et se rapprochent maintes fois d’un style pré-symboliste. De retour au Brésil en 1888, il s’intéresse à la littérature de son temps et il participe à divers cercles formés par de célèbres hommes de lettres à Rio de Janeiro. Sa peinture toujours académique dans la facture et romantique dans son contexte va évoluer vers un style réaliste plus intimiste et psychologique. Souvent la femme actuelle prenait une œuvre place importante dans ses représentations. Dans ce sens, il devient très à l’écoute de l’art de James Tissot. Toutefois, ses œuvres imprégnées de théâtralité font preuve d’originalité : tant au niveau de la composition comme de la mise-en-scène des personnages. Sa science des techniques de peinture et les idées positivistes ont aussi joué un rôle dans sa conception de l’art. Commentaires et critiques sur les œuvres présentées par l’artiste lors des Salons parisiens, des expositions brésiliennes et internationales. Comme enseignant dévoué à l’école des Beaux-Arts de Rio de Janeiro, il a collaboré directement au développement de l’art au Brésil, en particulier dans la période de transition entre l’art académique du XIXème et l’art moderne du XXème siècle
Analysis of Brazilian painter Rodolpho Amoêdo’s (1857-1941) career path and works who earned a grant from Brazilian Imperial Academy of Fine Arts to stay in Paris between 1879 and 1887. Exposure to French contemporary art but also to that of the XVIIIth century, at the beginning, Amoêdo is influenced by French painters like Gustave Boulanger and Alexandre Cabanel, his first professors. At the end of his Paris stay, he gets closer to Puvis de Chavannes. His paintings become lighter, in a pre-symbolist style. Back to Brazil, in 1888, he is fond of literature and takes part to several societies founded by famous writers in Rio de Janeiro. His paintings, academic in their style but romantic in their environment, become more realistic and include greater personal and psychological dimensions. Occurrences of modern ladies in his works are more frequent : his works are closer to James Tissot’s ones. However, they encompass theatrical aspects which make them unique at the general organization level as well as at the direction of characters. His views about art were also founded on his deep knowledge of painting techniques and on positivism. Comments and critical analysis of works presented by the artist at exhibitions in Paris or at local or international exhibitions in Brazil. As a devoted professor at Rio de Janeiro School of Fine Arts, he worked directly for developing art in Brazil, especially during the transition period between XIXth century academic art and XXth century modern art
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Siniscalco, Marie. « Les bibliothèques militaires dans la formation académique des officiers français au XIX siècle (1789-1914) ». Phd thesis, Université du Maine, 2012. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00793661.

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Résumé :
Les bibliothèques militaires se définissent par un patrimoine intellectuel, artistique et social propre à la société française. Ce sujet aborde leur étude à travers le prisme de la formation des officiers au sein de cinq écoles militaires majeures entre 1789 et 1914 : Polytechnique, Saint-Cyr, l'Ecole navale de Brest, l'école de médecine navale de Rochefort et l'école de cavalerie de Saumur. Le premier objectif de cette étude est de comprendre en quoi les bibliothèques militaires sont un outil pédagogique participant à l'élaboration de la notion de " Nation " au sein des armées françaises entre 1789 et 1914. Le second est d'établir s'il existe à cette période un véritable modèle de bibliothèque militaire. Pour répondre à ces problématiques, l'étude explicite le lien entre la naissance de ces bibliothèques et les nouvelles missions des écoles militaires entre 1789 et 1830 ; Dans une seconde partie, les particularismes et l'identité de chaque bibliothèque sont analysés. La construction de l'armée grâce au renforcement de la formation technique des officiers est également abordée ; Enfin, l'étude met en lumière l'émergence d'un acteur majeur des bibliothèques militaires : le bibliothécaire. En parallèle, les thèmes propres à la bibliothéconomie sont étudiés : organisation matérielle, intellectuelle, richesse des fonds ou encore, outils de transmission du savoir. Même si elles ne sont pas les seules bibliothèques du monde militaire, les bibliothèques des écoles en sont un élément riche et complexe. Elles ont su développer une proximité particulière avec les nouveautés de l'enseignement militaire ; proximité qui fait des bibliothèques un outil pédagogique fédérateur.
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Savary, Karine. « Le scandale dans l'univers littéraire français à la fin du XVIIIe siècle le témoignage des "Annales politiques, civiles et littéraires du dix-huitième siècle " de Linguet ». Mémoire, Université de Sherbrooke, 2011. http://hdl.handle.net/11143/5664.

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Résumé :
L'imprimerie est une révolution en soi qui engendra de multiples conséquences. Les autorités, tout spécialement ecclésiastiques, voyant les impacts majeurs de cette diffusion, ne tardèrent pas à règlementer [i.e. réglementer] l'univers des lettres par le biais de la censure, créant ainsi une scission entre les écrits respectables et ceux à caractères scandaleux. Au cours du siècle des Lumières, les philosophes plaçant la raison au centre de leurs réflexions prennent d'assaut l'appareil censorial, ils attaquent ses fondements et ses conséquences. Ce mouvement idéologique n'est pas étranger à la chute de l'appareil censorial qui perd de son efficacité, même s'il persiste à durer. Cette mutation n'est pas non plus étrangère à l'expression du scandale qui fait courir les plumes au XVIIIe siècle. Il s'agit pour nous d'observer, précisément dans ce contexte d'ouverture intellectuelle, qu'est-ce qui fait scandale dans l'univers littéraire parisien et comment celui-ci s'exprime-t-il. On remarque dans un premier temps que c'est moins le sujet en lui-même qui sème l'indignation que la manière d'écrire et de traiter la langue française. On constate ensuite, qu'en dehors de propos scabreux, le fait de les présenter dans l'espace public contribue à accentuer l'éclat du scandale, sans doute plus que le sujet en lui-même. Finalement, à la source du scandale se situent les intentions indécentes qui motivent les différents acteurs de la Librairie. Au-delà des règlements de compte, l'Académie française apparaît comme l'une des institutions littéraires les plus scandaleuses à la fin du XVIIIe siècle puisqu'elle incarne justement à elle seule les trois moteurs du scandale.
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Joly, Morwena. « La polémique anatomique dans les arts visuels français du XVIIIe siècle ou l'imaginaire de l'intérieur du vivant ». Paris 1, 2005. http://www.theses.fr/2005PA010653.

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Résumé :
Dans un siècle où prolifèrent les images anatomiques scientifiques, la France manifeste un intérêt pour l'anatomie artistique unique en Europe. Cependant l'enseignement de l'anatomie artistique au sein de l'Académie royale de peinture et de sculpture est resté marginal. Les images anatomiques produites, oscillant entre didactisme et art, génèrent un malaise lié à l'ambiguïté de leur destination. L'étude anatomique s'intègre mal au discours artistique comme le montre les polémiques développées au long du siècle. Au-delà des enjeux pédagogiques, la connaissance anatomique va être utilisée au sein de débats très divers: celui sur le dessin et la couleur, sur l'héritage de Michel-Ange, sur le modèle antique ou sur le jugement de l'amateur. Malgré les efforts théoriques des partisans du beau idéal comme ceux du beau réel, les images anatomiques demeurent autonomes et s'appuient sur la conscience, propre au XVIIIe siècle, qu'un imaginaire anatomique spécifique aux artistes s'est constitué.
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Nestola, Barbara. « L'air italien sur la scène des théâtres parisiens (1687-1715) ». Thesis, Tours, 2015. http://www.theses.fr/2015TOUR2026.

Texte intégral
Résumé :
La thèse traite la réception de l’air italien à Paris 1687 et 1715. Elle est structurée en deux parties : la première est consacrée à l’analyse des recueils d’airs italiens, manuscrits et imprimés, produits et circulant à Paris entre les deux siècles la seconde, à la pratique des airs dans le contexte du théâtre parisien (Comédie Italienne, Comédie Française et Opéra) entre la mort de LuIIy (1687) et celle de Louis XIV (1715). En complément du travail de réflexion, on présente le catalogue du corpus étudié. Le corpus choisi place l’air italien du dernier quart du siècle au cœur du phénomène de la réception et de son impact sur le monde théâtral parisien. Le travail d'identification des sources, pour la plupart anonymes, montre qu’il s’agit d’extraits d’opéras. Quant au périmètre géographique des sources, l’axe Versailles-Paris a paru comme le plus logique pour suivre la circulation d’un répertoire apanage dans un premier temps des élites et ensuite, en conséquence de la décentralisation artistique qui investit la cour à la fin du règne de Louis XIV, touchant davantage la ville. L’analyse des œuvres représentées aux deux Comédies ci à l’Opéra à la fin de règne en illustre les modalités d’appropriation par les interprètes, les poètes et les compositeurs, renfermant ainsi le cercle idéal du parcours de l’air d’opéra italien de sa scène d’origine à celle d’accueil. La continuité dans la pratique des airs italiens sur la scène parisienne en ces décennies témoigne de l’intérêt grandissant du public pour ce répertoire, anticipant les Goûts réunis et l’inclinaison pour la musique italienne de la Régence
The study concerns the reception of Italian airs in Paris between 1687 and 1715. It consists of two parts: the first one is devoted to the analysis of French volumes containing Italian airs, manuscript and printed, circulating in Paris among the two centuries; the second one concerns the performance of the repertoire of Italian airs in Parisian theatres (Comédie Italienne, Comédie Française and Opera) between the death of Lully (1687) and the death of Louis XIV (1715). As a complementary part of this work, a catalogue of the sources has also been constituted. The documentary corpus consists of Italian airs of the last quarter of the l7th century as the core of the reception of the Italian repertoire and of its impact on the Parisian theatrical world. The identification of the sources, mainly anonymous at the beginning, shows that the airs are Italian opera excerpts. As far as the geographical area concerned. the axis Versailles-Paris appeared as the most appropriate for following the circulation of this repertoire: firstly known by the élite (aristocracy. collectors), it subsequently reached Paris as the consequence of the artistic decentralization from the court to the city at the end of the reign of Louis XIV. The analysis of the Italian airs sung at the Comédie Italienne, the Comédie Française and the Opera show how performers, poets and composers seized this repertoire, closing the ideal cercle of the path of the Italian opera excerpt from its originary stage to the French stage. The continuity of this practice in Parisian theatres during several decades shows the growing interest of the public for this repertoire, anticipating the Goûts réunis and the inclination towards Italian music of the Regency
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Lechleiter, France. « Les envois de Rome des pensionnaires peintres de l’Académie de France à Rome de 1863 à 1914 ». Thesis, Paris 4, 2008. http://www.theses.fr/2008PA040175/document.

Texte intégral
Résumé :
La direction artistique de l’Académie de France à Rome et de ses pensionnaires est placée sous le patronage de l’Académie des beaux-arts. Elle détermine et réglemente les conditions de séjour et le programme des travaux annuels, les envois de Rome. Ce privilège est interrompu le 13 novembre 1863 par un décret qui lui retire sa tutelle pour la confier à l’Etat. Cette rupture est révélatrice d’une crise majeure de l’enseignement des beaux-arts en France et bien que l’Académie récupère la totalité de ses prérogatives huit ans plus tard, elle devra désormais composer avec les exigences que l’époque lui imposera, entre tradition et modernité. C’est dans cette perspective que vienne s’inscrire les pensionnaires peintres et leurs envois de Rome. Tributaires d’un enseignement et d’un système académique des beaux-arts, les lauréats des grands prix de Rome de peinture sont le symbole de la tradition. Ils sont peintres d’histoire et achèvent leur formation artistique en Italie, à Rome, au contact des grands maîtres de la Renaissance et des chef-d’œuvres de l’antiquité. Mais ils sont aussi enfants de leur siècle et à ce titre partagent les problématiques artistiques contemporaines. La question est de savoir dans quelle mesure cette présence au monde se manifeste dans leurs envois et de quelle nature sont les formes qu’elle revêt
The artistic direction of the Académie de France à Rome and its artists in residence is placed under the patronage of the Academy of fine arts. The Academy determines and regulates the conditions of stay and the programme of annual work, the « envois de Rome ». This privilège is interrupted on the 13th November 1863 by a decree witch withdraws its guardianship to entrust it to the government. This rupture shows major crisis in fine arts education in France. even though the Academy recovers the totality of its prerogatives eight years later, from then on it has to take into account the demands that epoch imposes, oscillatin between tradition and modernity. It is in this perspective that the painters in residents and their « envois de Rome » position themselves. tributaries of the education and of the academic system of fine arts, laureates of the prix de Rome in painting are the symbol of the tradition. They are history painters and complete their artistic training in Italy, in Rome, in touch with the old masters of the Renaissance and the masterpiecies of antiquity. But they are also children of their century and for this reason they share the contemporary artistic issues . The point is to know to what extent this presence in world is manifested in their work and what is the nature of the forms it takes on
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Leterrier, Sophie-Anne. « Les sciences morales et politiques a l'institut de France (1795-1850) ». Paris 1, 1992. http://www.theses.fr/1992PA010621.

Texte intégral
Résumé :
Les sciences morales et politiques (philosophie, morale, histoire, économie, droit) reçoivent en France un statut officiel lors de la création de l'institut national par la convention. La deuxième classe de cet institut doit porter dans ces domaines les méthodes qui ont permis le progrès des sciences physiques et naturelles, et créer une véritable science de la société. Ce projet avorte par la réorganisation institutionnelle de 1803, est repris sous la monarchie de juillet par les libéraux au pouvoir. L'étude de l'a. S. M. P. Est à la fois celle de l'institution, de ses membres, de ses pratiques, et l'histoire de cette science sociale officielle qui se construit a l'intérieur d'un projet politique et scientifique dont la révolution de 1848 marque les limites
Moral and political sciences receive an official position in France with the creation of the national institute, under convention. The second class must transport in their field the methods of the physical sciences, their progress, and create an original science of society. The project, first interrupted in 1803 by the reorganisation of the institute, finds a second start with the liberals of 1830, under Guizot's ministry of education. The study of the academy of moral and political sciences examines the institution itself, its members, its ways; it is also the story of the french social science, within the political ans scientific project of the generation, until 1848
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Leribault, Christophe. « Jean-François de Troy (1679-1752) ». Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1998PA040312.

Texte intégral
Résumé :
Cette thèse tente de présenter l'ensemble de la carrière et de l'œuvre de Jean-François de Troy (Paris, 1679 - Rome, 1752), sous la forme d'un catalogue raisonne de ses nombreuses peintures et quelques dessins, précède d'un premier volume biographique. Cette introduction met en valeur le déroulement de sa carrière, de son long séjour de jeunesse en Italie à ses premiers succès parisiens pour une clientèle de financiers, jusqu'aux prestigieuses commandes pour Versailles et Fontainebleau. Elle permet de définir la place originale de son œuvre notamment dans le domaine de la scène de genre, mais aussi dans le développement de la peinture d'histoire nationale et dans celui de la tapisserie. Son rôle à la tête de l'Académie de France à Rome, de 1738 à sa mort, est ensuite plus particulièrement étudié ainsi que son insertion dans le milieu artistique romain, à travers ses relations avec l'académie de Saint-Luc dont il fut élu prince. Cette étude est complétée par un chapitre consacré à la fortune du peintre et par un autre dédié à ses rapports avec l'estampe, qui définit sa stratégie d'éditeur aussi bien que la postérité qu'elle a assurée à son œuvre.
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Walkowska-Boiteux, Joanna. « Auguste Couder, peintre d’histoire (1790-1873). Catalogue raisonné de l'oeuvre ». Thesis, Paris 4, 2010. http://www.theses.fr/2010PA040093.

Texte intégral
Résumé :
Peintre d’histoire actif dès le début de la Restauration jusqu’au Second Empire, membre de l’Académie des beaux-arts et officier de la Légion d’honneur, Auguste Couder représente parfaitement toute une génération d’artistes reconnus de leur vivant, mais oubliés par la suite. Méconnue de nos jours, son œuvre, riche et variée, mérite pourtant d’être redécouverte. Elève fidèle de David, fortement marqué par l’enseignement de son maître, Couder se distingua en tant qu’un excellent dessinateur qui ne négligeait pas pour autant la couleur. Sollicité pour de nombreuses commandes officielles et privées, il réalisa un grand nombre d’œuvres inspirées tantôt de l’histoire – aussi bien antique que nationale, tantôt de la religion ou de la littérature. Peintre prolifique, exposant régulièrement aux Salons des années 1814-1848, il participa également à plusieurs travaux de décoration d’édifices civils et religieux. Pourtant, jusqu’à présent, sa création ne fit l’objet d’aucune étude. Cette thèse a pour objectif de combler cette lacune, en retraçant la carrière de Couder d’une part, et en établissant le premier catalogue raisonné de son œuvre, d’autre part. Comprenant près de 400 peintures et dessins, dont plusieurs sont inédits, ce catalogue met en évidence la richesse de la création artistique de Couder laquelle retrouve ainsi sa place dans l’histoire de la peinture du XIXe siècle
Auguste Couder, a historical painter active from the outset of the French Restauration to the Second Empire, a member of the Académie des beaux-arts (Academy of Fine Arts) and an Officer of the Legion of Honour, is a true representative of a whole generation of painters who were recognised as such during their lifetime but forgotten afterwards. Little known today, his works, abundant and varied, well deserve to be rediscovered. As a loyal student of David whose teaching greatly influenced him, Couder stood out as an excellent drawer but was nevertheless much interested in colours. He was commissioned numerous orders, from official and private sources, for paintings of a historical nature – both ancient and national – and inspired by religion and literature. A prolific artist, he participated regularly in the Salon held between 1814 and 1848 ; he also took part in several decorative works for official and religious edifices. Yet, his works have never been the subject of any study. The object of the present thesis is to remedy this situation by reviewing his whole career as well as drawing up, for the first time, a full descriptive catalogue of his works. This catalogue, which comprises some 400 paintings and drawings – several of which are unpublished, highlights the rich creation of Couder, reinstating him in the history of the 19th century arts
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Serié, Pierre. « La peinture d'histoire en France (1867-1900) ». Paris 4, 2008. http://www.theses.fr/2008PA040229.

Texte intégral
Résumé :
En 1867 la peinture d’histoire peut sembler sur le déclin, mais, à la vérité, elle n’aura probablement jamais été, au XIXe siècle tout du moins, si dynamique qu’entre cette date et 1900. Théoriquement d’abord, ce genre assailli par la modernité ne cesse de se redéfinir puisqu’il s’est déjà ouvert au paysan (1830-1860) et qu’il englobe bientôt l’ouvrier (1880-1890). Surtout, l’émergence progressive de la notion de décoration le mine dans ses fondements en même temps qu’elle tend à lui disputer sa préséance : un combat est livré au terme duquel le tableau d’histoire, recentré sur le contenu (le sujet, l’histoire) voit lui échapper sa raison d’être formelle – le style, la plastique – échue à la décoration. À l’heure du retour de la peinture sur elle-même, sur ce qui la constitue, voilà qui revient à définitivement déclasser le tableau d’histoire dans la création contemporaine. La richesse de ces questionnements sur les prémices du grand genre se traduit pourtant aussi, pratiquement, au niveau des formes – ce que Matisse aurait appelé le « sens majeur » –, par une prolifération de tendances stylistiques contradictoires : entre 1860 et 1880, au classicisme raphaélien de Bouguereau et de Cabanel répond l’anticlassicisme de Moreau et de ses fils spirituels coloristes ou dessinateurs ; tandis que, de 1875 à 1900, le réalisme de metteur en scène développé par Gérôme, Laurens puis Rochegrosse et Tattegrain est systématiquement désavoué par une tendance plus élégiaque (Henner), littéraire (Fantin-Latour), voire murale (Martin). Les ultimes contributeurs à la peinture d’histoire semblent avoir déjà l’âme de décorateurs – c’est effectivement comme tel que Martin passera à la postérité –, mais, en définitive, ces décorateurs du début du XXe siècle pourraient bien être compris comme les héritiers directs de ceux que, quelques décennies plus tôt, on qualifiait de « peintres d’histoire » : dans les deux cas on aspire à la synthèse et l’on perpétue la tradition fresquiste italienne. Le « grand goût » aura survécu à sa cause
In 1867, history painting may seem to be on the decline but, actually, it may have never been, in the XIXth century at the very least, so dynamic than it was between this date and 1900. In theory first, this genre assailed by modernity is constantly redefining itself since it has already opened to the peasant (1830-1860) and soon includes the labour (1880-1890). Above all , the progressive emergence of the notion of decoration saps its foundations as well as it aims at robbing it of its precedence : at the end of the battle which is fought, history painting, reoriented towards its content (the topic, the story) experiences the loss of its formal raison d’être –style, plastic- fallen to decoration. At the time of the return of painting towards itself, towards its constituents, this comes down to definitely downgrading history painting in contemporary creation. The richness of these questionings about the beginning of the great genre is also conveyed, in practice, at forms level - what Matisse would have called the “sens majeur”, by a proliferation of conflicting stylistic trends : between 1860 and 1880, Bouguereau and Cabanel’s Raphaelesque classicism responds to the anti-classicism of Moreau and his spiritual sons, colourists or drawers ; whilst, from 1875 to 1900, the director-like realism developed by Gérôme, Laurens then by Rochegrosse and Tattegrain is systematically disavowed by a more elegiac (Henner), literary (Fantin-Latour) indeed mural trend (Martin). The final contributors to history painting already seem to have decorator souls - and it is as such that Martin will actually go down to posterity, but finally, these decorators of the early part of the XXth century could definitely be seen as the direct heirs of those who, a few decades earlier, were called “history painters” : in both cases one aspires to a synthesis and the Italian tradition of fresco painters is perpetuated. The “grand goût” will have survived its cause
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Mathis, Véronique. « Louis Lafitte : un peintre d'histoire de la Révolution à la Restauration ». Thesis, Normandie, 2020. http://www.theses.fr/2020NORMR081.

Texte intégral
Résumé :
Louis Lafitte (1770-1828) a tenu toute sa vie à se présenter, avec fierté, comme peintre d’histoire, ce que sa formation artistique justifie pleinement. Après un apprentissage chez le graveur Gilles-Antoine Demarteau, il entre dans l’atelier de Jean-Baptiste Regnault, concurrent et rival de celui de Jacques Louis David dans les années 1780. Présenté par ce maître, il est inscrit à l’Académie royale de peinture, sculpture et architecture en 1784 ; son cursus y est honorable : première médaille au quartier d’octobre 1788, et surtout grand prix de peinture, lors de sa première participation au concours en 1791. Ce parcours d’excellence lui vaut une place à l’Académie de France à Rome, mais il ne peut guère profiter de ce privilège, la situation politique de la France ne trouvant pas grâce aux yeux du gouvernement romain. La population supporte de plus en plus mal la présence française et en janvier 1793, c’est l’explosion ; le Palais Mancini siège de l’Académie est incendié, les pensionnaires dispersés. Tous rentrent plus ou moins rapidement en France ; certains comme Lafitte iront se réfugier à Florence jusqu’à la rupture de la neutralité de la Toscane en octobre 1793. De retour en France, commence une période paradoxale : pensionnaire de la République sur le papier jusqu’en septembre 1800, il en perçoit les modestes indemnités, compte peut-être sur un nouveau séjour romain qui ne viendra pas, mais ne parvient pas à « faire la peinture » à laquelle il aspire, faute d’obtenir un atelier, malgré des demandes répétées. Il n’entre pas non plus dans le cénacle des artistes sollicités régulièrement par les gouvernements successifs, mais il donne parfois de timides signes d’assentiment au régime en place, de l’an II jusqu’à l’Empire où il bénéficie alors de commandes officielles plus importantes, comme le simulacre de l’Arc de triomphe de l’Etoile pour le mariage de Napoléon et Marie-Louise. Son ralliement enthousiaste à la Restauration montre sans doute le vrai visage de Lafitte quant à ses affinités politiques. Il en résulte une place très officielle de dessinateur du Cabinet du Roi, qui conclut avec panache une carrière dont le parcours est souvent difficile à reconstituer. La plus grande partie de sa vie, il n’est pas dans la lumière, car faute de clients publics, il s’est tourné très vite vers une clientèle privée, que son titre de peintre d’histoire, inlassablement mis en avant, n’a pas manqué d’attirer et que ses réels talents de dessinateur ont fixé. On lui demande surtout des travaux en rapport avec les goûts du temps, décors intérieurs pompéiens, ou portraits, tous objets qui malheureusement n’ont que très exceptionnellement laissé des traces. Son crayon sûr et incisif travaille pour les graveurs d’estampes, avec des morceaux célèbres comme les figures du calendrier républicain, ainsi que pour les éditeurs de belles éditions illustrées, dont les lecteurs de l’époque sont friands. On pense notamment à la luxueuse édition Didot de Paul et Virginie, orchestré de bout en bout par Bernardin de Saint Pierre lui-même. Il s’est taillé dans ce dernier domaine une réputation telle, qu’il est resté comme un illustrateur de livres pour une part non négligeable d’auteurs du XIXe siècle. Il n’a pas manqué non plus d’être intéressé par les arts appliqués et de fournir des dessins aussi bien pour de l’orfèvrerie que pour des papiers peints ; des objets de luxe, produits en petit nombre certes, mais industriellement quand même, qui montre un artiste ne dédaignant pas les demandes d’une société de consommation exigeante. Comme on le voit, il ne fait pas œuvre de peintre d’histoire ; mais ce parcours très diversifié, faisant feu de tout bois, montre une adaptation originale à la situation nouvelle que rencontrent les artistes dans une période particulièrement troublée. Elle permit à Louis Lafitte, peintre d’histoire, sinon d’atteindre la gloire, au moins de vivre correctement de son art
All his life Louis Lafitte (1770-1828) insisted on introducing himself, with pride, as a history painter, a statement which his artistic training fully justified. After an apprenticeship with the engraver Gilles-Antoine Demarteau, he was the pupil of Jean-Baptiste Regnault, a competitor and rival of Jacques Louis David's in the 1780s. Introduced by his master, he was enrolled at the Royal Academy of Painting, Sculpture and Architecture in 1784; his studies there were honourable: first medal in October 1788, and above all the grand prize in painting, when he first took part in the competition in 1791. This course of excellence earned him a place at the Académie de France in Rome, but he could hardly take advantage of this privilege, as the political situation in France was not acceptable to the Roman authorities. The population could not stand the French presence and in January 1793, it was mayhem; the Mancini Palace, the seat of the Academy, was burnt down and the residents dispersed. All of them returned to France more or less quickly; some, like Lafitte, took refuge in Florence until the neutrality of Tuscany was ruptured in October 1793. On his return to France, a period of uncertainty began: an official resident of the Republic until September 1800, he received modest compensation. His desire to return to Rome was unfulfilled as was his aspiration to become a history painter, as he was unable to obtain a studio, despite repeated requests. Nor did he enter the cenacle of artists regularly solicited by successive governments, but he sometimes gave timid signs of assent to the regime in power, from the year II to the Empire, where he received more important official commissions, such as the simulacrum of the Arc de Triomphe de L'Etoile for the wedding of Napoleon and Marie-Louise. His enthusiastic rallying to the Restoration undoubtedly shows the true face of Lafitte's political affinity. The result was a very official position as draughtsman in the King's Cabinet, which concluded his artistic career which is often difficult to reconstruct. For most of his life, he was not in the limelight, lacking public clients, he very quickly turned to a private clientele, which he obtained by using his title of a history painter. He was mainly asked to paint works in line with the tastes of the time, Pompeian interior decorations, or portraits, which we have little trace of today. A skilled draughtsman, he worked for print engravers, producing famous pieces such as figures from the republican calendar, but also for publishers of refined illustrated editions, very appreciated by the readers of the time. One thinks, in particular, of the luxurious Didot edition of Paul and Virginie, directed from beginning to end by Bernardin de Saint Pierre himself. In the publishing field, he earned such a reputation that he remained a book illustrator for a large number of 19th-century authors. He was also interested in the applied arts and provided drawings for both the goldsmiths and wallpaper trade. These were luxury objects, produced in small numbers but mechanically manufactured. As an artist, Louis Lafitte accepted the demands of consumer society, his eclectic career showed his constant ability to adapt during the revolution and although he is not remembered as a history painter, he succeeded in making a living from his trade
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Lablanche, Julie. « Éloges inédits de l'académie des sciences, belles-lettres et arts de Besançon (1752-1789) ». Thesis, Bourgogne Franche-Comté, 2017. http://www.theses.fr/2017UBFCC021.

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Résumé :
Au milieu du XVIIIe siècle, la Franche-Comté rejoint le réseau des sociétés savantes qui ont pour objectif de contribuer « au progrès des sciences et à la perfection des talents » : une académie des sciences, belles-lettres et arts est établie à Besançon. Les académiciens comtois entreprennent dès lors de nombreux travaux et s’emploient à favoriser l’émulation de leurs concitoyens en organisant régulièrement des concours. De cette activité qui perdure jusqu’en 1789 témoignent les archives manuscrites de la compagnie, aujourd’hui conservées à la Bibliothèque municipale de Besançon et consultables en ligne sous forme numérisée. Menée avec un regard littéraire, l’exploration de ce vaste fonds d’archives a permis de sélectionner un échantillon de discours restés inédits et d’en proposer une édition critique. Le genre de l’éloge, très lié à l’institution académique, méritait que l'on entreprenne ce travail de transcription et d’annotation : on trouvera ainsi dans cet ouvrage une série de pièces épidictiques, composées par les académiciens eux-mêmes ou provenant d’individus étroitement liés à l’académie par leur fonction de prédicateurs ou leur participation aux concours. On a en particulier cherché à démêler quelles étaient les sources et les influences de ces différentes productions comtoises, à analyser l’originalité et le style de celles-ci, tout en apportant les éclaircissements historiques utiles à leur compréhension, le genre épidictique procédant volontiers par allusions. L’étude met ainsi en avant la présence de l’éloquence littéraire en Franche-Comté à la veille de la Révolution, et les efforts d’appropriation de ses codes génériques par les lettrés de la province
In the middle of the 18th century, la Franche-Comté joined the network of learned societies whose objective was to contribute “to the progress of science and to the perfection of talents”: an academy of sciences, belles lettres and arts was established in Besançon. Comtois academicians thus undertook many works and were committed to promoting the emulation of their fellow citizens by regularly organizing competitions. The company’s handwritten archives, which today are kept in the Besançon municipal library and may be consulted on line in digitized form, bear witness to this activity, which continued until 1789. Conducted from a literary viewpoint, the exploration of these vast archival collections has made it possible to select a sample of previously unpublished speeches and to propose a critical edition of them. The encomium genre, closely linked to the academic institution, was worthy of our undertaking this transcription and annotation work : thus, we find in this work a series of epideictic plays, composed by the academicians themselves or by individuals having close ties to the academy through their role as clergymen or their participation in competitions. We sought in particular to unravel the sources and the influences of these various productions, to analyze their originality and style, while providing the historical clarification needed to understand them, the epideictic genre lending itself freely to the use of allusions. The study thus highlights the presence of literary eloquence in Franche-Comté on the eve of the French revolution, and the efforts to appropriate its general codes by the scholars of the province
Im mittleren XVIII. Jahrhundert schließt sich die Franche-Comté dem Kreis der Gelehrtengesellschaften an, die « zu dem Fortschritt der Wissenschaften und der Vervollkommnung der Talente » beitragen sollen : zu dieser Zeit wird in Besançon eine Akademie der Wissenschaften, der schönen Literatur und der Künste gegründet. Ihre Mitglieder unternehmen von diesem Moment an zahlreiche Forschungen und organisieren regelmäßig Wettbewerbe, um unter ihren Mitbürgern die wissenschaftliche Wetteifer zu fördern. Diese bis zur Revolution hindauerndeTätigkeit bezeugen heute die akademischen, von der Stadtbibliothek Besançon aufbewahrten und nunmehr on-line erhältlichen Handschriften. Die aus einem literarischen Aussichtspunkt geführte Erforschung dieses umfangreichen Archivguts ermittelte eine Auswahl unveröffentlicht gebliebener Reden und ermöglichte, davon eine kritische Auflage vorzulegen. Gewiß waren die hier vorgeführten akademischen Lobreden, insofern als sie zu einem mit der Institution eng verbundenen literarischen Genre gehören, einer gedruckten Übertragung und einer kritischen Ausgabe würdig. Dieses Werk schlägt also eine Folge von epidiktischen Stücken vor, die entweder von Akademikern selbst verfaßt wurden, oder von Einzelnen, die als Prediger oder als Wettbewerber ein enges Verhältnis zur Akademie hatten. In der vorliegenden Studie werden ins besondere die Urquellen und Einflüsse nachgeforscht, welche die Schriften der Akademiker von Besançon geprägt haben, und die Eigenart und der eigentümliche Stil dieser Schriften untersucht. Nützliche bzw. notwendige historische Erläuterungen werden dem Leser zu einer besseren Verständnis der Texte helfen, die – dem epidiktischen Genre gemäß – oft anspielungsreich sind. Hervorgebracht wird, wie die literarische Redekunst sich in der Franche-Comté am Vorabend der französischen Revolution entwickelt hat, und wie sich die Gelehrten dieser Provinz bemüht haben, sich die Merkmale des Genres anzueignen
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EDWARDS, Martin David. « A l'immortalité : the pursuit of status and the Academie francaise in France, 1635-1789 ». Doctoral thesis, 1997. http://hdl.handle.net/1814/5762.

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Résumé :
Defence date: 4 December 1997
Examining board: Prof. John Brewer, European University Institute, Florence ; Prof. Anne Goldgar, University of London ; Prof. Olwen Hufton, European University Institute (Supervisor) ; Prof. Dena Goodman, Louisiana State University
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zhu, cui. « Symbolique florale dans le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV (1687) ». Thèse, 2012. http://hdl.handle.net/1866/8412.

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Résumé :
Le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay intitulé Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV est le morceau de réception que le peintre a présenté à l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1687. Malheureusement peu étudié, ce tableau n’en comporte pas moins trois problématiques très intéressantes. Tout d’abord, il rassemble trois genres de peinture dans une seule composition : la nature morte, le portrait et la peinture d’histoire, illustrés respectivement par les fleurs, le buste du roi et la pièce d’armure. L’association de ces trois genres dans un tableau de nature morte est peu commune dans la peinture française du 17e siècle. Il est donc nécessaire de vérifier s’il existe un lien entre les fleurs, l’image de Louis XIV et l’armure. Ensuite, le contraste entre la polychromie des fleurs et la monochromie de la sculpture et de l’ameublement est frappante ; il est possible de lier ce contraste au phénomène des débats entre le dessin et la couleur de l’Académie royale de peinture et de sculpture à la deuxième moitié du 17e siècle. D’ailleurs, les fleurs, qui n’étaient pas le sujet central dans le programme original de Le Brun, deviennent le sujet principal du tableau et occupent une place plus importante que le buste de Louis XIV. Cette modification n’a cependant pas choqué les juges de l’Académie puisque la toile a été acceptée sans contestation. Elle amène donc à s’interroger sur la hiérarchie des genres de peinture qui est la doctrine officielle de l’Académie royale de peinture et de sculpture de l’époque. Le noyau de la recherche consiste à vérifier si les fleurs n’occupent qu’une simple fonction décorative ou si elles peuvent être associées à des symboles. Notre recherche examine d’abord l’utilisation des symboles floraux dans la culture française du 17e siècle. Par la suite, elle étudie cette utilisation dans le domaine politique, à savoir que les fleurs pourraient être liées à la louange de Louis XIV. Enfin, elle analyse les domaines artistiques et esthétiques, c’est-à-dire la façon dont le tableau reflète, par l’utilisation des symboles floraux, l’évolution des théories de l’art, la hiérarchie des genres de peinture et les débats du dessin et de la couleur, en France, durant la deuxième moitié du 17e siècle.
The painting by Jean-Baptiste Belin de Fontenay, Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV, is a reception piece of the french academician painter to the Académie royale de peinture et de sculpture in 1687. Unfortunately having been little studied, this painting reveals three very interesting issues. First of all, it contain three kind of painting in one composition: still life, portrait and history painting, illustrated respectively by the flowers, the bust of Louis XIV and the piece of armor. The combination of these three types in a still life is uncommon in the 17th century French painting. It is therefore necessary to check if there is a link between the flowers, the picture of Louis XIV and the armor. Then, the contrast between the polychrome of the flowers and the monochrome of the sculpture and furniture is striking, it is possible to associate this contrast to the phenomenon of the debates between drawing and color of the Académie royale de peinture et de sculpture during the second half of the 17th century. Moreover, the flowers, which were not the central subject in the original program of Le Brun, become the main subject of the table and occupy a more important place than the bust of Louis XIV. This change has not shocked the judges of the Academy since the painting was accepted without question. It therefore leads to think about the hierarchy of genres of painting, which was the official doctrine of the Académie royale de peinture et de sculpture at the time. The core of this research is to see if the flowers occupy a mere decorative function, or whether they may be associated with symbols. Our research will verify the employ of floral symbols in French culture of the 17th century and then developed this employ not only in the political field, which means the flowers are in praise of Louis XIV, but also in the aesthetics domain, that is to say how the painting reflects by employing floral symbols the evolution of the theories of art in France during the second half of the 17th century, the hierarchy of genres of painting and the debates between drawing and color.
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Zhu, Cui. « Symbolique florale dans le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV (1687) ». Thèse, 2012. http://hdl.handle.net/1866/8412.

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Résumé :
Le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay intitulé Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV est le morceau de réception que le peintre a présenté à l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1687. Malheureusement peu étudié, ce tableau n’en comporte pas moins trois problématiques très intéressantes. Tout d’abord, il rassemble trois genres de peinture dans une seule composition : la nature morte, le portrait et la peinture d’histoire, illustrés respectivement par les fleurs, le buste du roi et la pièce d’armure. L’association de ces trois genres dans un tableau de nature morte est peu commune dans la peinture française du 17e siècle. Il est donc nécessaire de vérifier s’il existe un lien entre les fleurs, l’image de Louis XIV et l’armure. Ensuite, le contraste entre la polychromie des fleurs et la monochromie de la sculpture et de l’ameublement est frappante ; il est possible de lier ce contraste au phénomène des débats entre le dessin et la couleur de l’Académie royale de peinture et de sculpture à la deuxième moitié du 17e siècle. D’ailleurs, les fleurs, qui n’étaient pas le sujet central dans le programme original de Le Brun, deviennent le sujet principal du tableau et occupent une place plus importante que le buste de Louis XIV. Cette modification n’a cependant pas choqué les juges de l’Académie puisque la toile a été acceptée sans contestation. Elle amène donc à s’interroger sur la hiérarchie des genres de peinture qui est la doctrine officielle de l’Académie royale de peinture et de sculpture de l’époque. Le noyau de la recherche consiste à vérifier si les fleurs n’occupent qu’une simple fonction décorative ou si elles peuvent être associées à des symboles. Notre recherche examine d’abord l’utilisation des symboles floraux dans la culture française du 17e siècle. Par la suite, elle étudie cette utilisation dans le domaine politique, à savoir que les fleurs pourraient être liées à la louange de Louis XIV. Enfin, elle analyse les domaines artistiques et esthétiques, c’est-à-dire la façon dont le tableau reflète, par l’utilisation des symboles floraux, l’évolution des théories de l’art, la hiérarchie des genres de peinture et les débats du dessin et de la couleur, en France, durant la deuxième moitié du 17e siècle.
The painting by Jean-Baptiste Belin de Fontenay, Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV, is a reception piece of the french academician painter to the Académie royale de peinture et de sculpture in 1687. Unfortunately having been little studied, this painting reveals three very interesting issues. First of all, it contain three kind of painting in one composition: still life, portrait and history painting, illustrated respectively by the flowers, the bust of Louis XIV and the piece of armor. The combination of these three types in a still life is uncommon in the 17th century French painting. It is therefore necessary to check if there is a link between the flowers, the picture of Louis XIV and the armor. Then, the contrast between the polychrome of the flowers and the monochrome of the sculpture and furniture is striking, it is possible to associate this contrast to the phenomenon of the debates between drawing and color of the Académie royale de peinture et de sculpture during the second half of the 17th century. Moreover, the flowers, which were not the central subject in the original program of Le Brun, become the main subject of the table and occupy a more important place than the bust of Louis XIV. This change has not shocked the judges of the Academy since the painting was accepted without question. It therefore leads to think about the hierarchy of genres of painting, which was the official doctrine of the Académie royale de peinture et de sculpture at the time. The core of this research is to see if the flowers occupy a mere decorative function, or whether they may be associated with symbols. Our research will verify the employ of floral symbols in French culture of the 17th century and then developed this employ not only in the political field, which means the flowers are in praise of Louis XIV, but also in the aesthetics domain, that is to say how the painting reflects by employing floral symbols the evolution of the theories of art in France during the second half of the 17th century, the hierarchy of genres of painting and the debates between drawing and color.
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