Literatura académica sobre el tema "Sortie entrepreneuriale"

Résumé En utilisant les données individuelles de 30 329 ex-entrepreneurs1 provenant de la base de données du GEM entre 2007 et 2013, nous avons testé l’impact des raisons de sortie volontaires et involontaires ainsi que d’autres déterminants (les capitaux humain et social ainsi que la peur de l’échec) sur l’intention de recréer après une sortie d’entreprise. Nos résultats montrent que, contrairement aux individus ayant cessé volontairement leurs activités, les individus (issus des pays membres de l’OCDE) ayant quitté involontairement leur entreprise précédente sont plus susceptibles de retenter leur chance. Ils peuvent percevoir cette expérience comme un premier essai, grâce auquel ils ont acquis des connaissances qu’ils pourront utiliser dans une prochaine entreprise.

Le financement des entreprises en croissance demeure un problème très important qui, dans de nombreux pays, dont le Canada, met en jeu des politiques publiques multiples et des montants considérables. Les résultats des efforts des pouvoirs publics ne semblent cependant pas toujours être à la hauteur des attentes. En avril 2010, un symposium sur la finance entrepreneuriale et le capital de risque a rassemblé, à Montréal, 60 experts venus de 18 pays. Nous résumons ici les présentations, discussions et propositions faites lors de cette activité. Nous avons choisi trois dimensions particulièrement importantes du point de vue des politiques publiques au Canada. La rentabilité de l’industrie du placement privé et du capital de risque est faible et les investisseurs institutionnels en ont pris conscience. Les émissions initiales sont en forte diminution, ce qui limite les possibilités de sortie très profitable du capital de risque. La conception et l’implantation de politiques publiques en faveur du capital de risque sont difficiles.

Cette recherche a pour objectif d’aborder les stratégies d’entrée et de sortie d’un secteur économique en observant les trajectoires théoriques et pratiques réelles suivies par les différents groupes composant l’artisanat. Après une modélisation du secteur des métiers et des populations référentes, il s’agit de proposer une démarche exploratoire afin de comprendre les trajectoires des artisans et donc de saisir leur comportement. Dans cette perspective méthodologique qualitative, nous procédons à la réalisation d’entretiens sous la forme de récits de vie et à une étude documentaire, bénéficiant d’un corpus de 24 entreprises artisanales. L’analyse de contenu dévoile une validation empirique de notre cadre conceptuel sous la forme d’une typologie, dont chacun des « idéaux-types » (artisan traditionnel de succession, artisan traditionnel de promotion sociale, artisan d’installation en logique entrepreneuriale et artisanat d’installation en logique d’insertion sociale) met en exergue l’histoire de leur trajectoire telle qu’ils la racontent, une interprétation et une modélisation de leur parcours passé, présent et futur. Les trajectoires professionnelles illustrent parfaitement les stratégies des artisans. Il apparaît notamment une prééminence des stratégies réactives lors de la création ou de la reprise de l’entreprise, phase cruciale pour un changement de secteur ou de statut.

Entreprendre sur une île signifie composer avec l’isolement géographique et économique. Longtemps spécialisée dans l’agriculture et le tourisme, la Guadeloupe se diversifie pour se développer. L’économie du numérique y constitue une réponse sociale, économique et technique pertinente. Depuis 2013, le cluster GuadeloupeTech mobilise pour accompagner cette transformation. Le bilan de l’association est l’opportunité de mesurer l’ampleur des actions menées et leur impact sur le paysage entrepreneurial guadeloupéen. En liant contraintes territoriales et modalités d’action, cette contribution offre un nouvel angle d’observation de l’entrepreneuriat guadeloupéen, porté par un fort engagement. En adaptant une grille d’évaluation de cluster, nous proposons un modèle qui permettra aux acteurs publics comme privés de comprendre la façon dont les initiatives portées peuvent constituer une correction du cadre de contraintes.

Les actions de soutien vers les PME se sont renforcées ces dernières années, mais nous constatons que ces efforts n’ont pas toujours un écho favorable. Une hypothèse tient au manque d’adaptation des programmes d’accompagnement, en termes de savoirs et de construction de relations. Dans cet article, nous proposons une réflexion complémentaire sur les voies que l’accompagnement entrepreneurial doit poursuivre pour être plus efficace. Nous mobilisons le concept de rapport de prescription d’Hatchuel (2001). Ce cadre théorique permet de représenter les continuums ouverts de l’accompagnement sur lesquels se construisent les savoirs et les relations, en considérant d’une part la singularité des situations de changement auxquelles est confronté l’entrepreneur dirigeant de PME et d’autre part les besoins de ce dernier (adaptation, projection, résolution de problèmes, problématisation…). Dans ce cadre, nous étudions un cas particulier de programme d’accompagnement : « France Investissement. LeClub » à destination de PME à fort potentiel. L’étude montre que l’accompagnant peut sortir de cette relation unilatérale d’expert pour aller vers une relation d’animateur, traducteur et de catalyseur des apprentissages, dans le cadre de réseaux par exemple. L’article propose un regard novateur sur le métier de l’accompagnement et incite les intervenants à adopter une vision élargie de leur mission.

Les universitaires reconnaissent de plus en plus la nécessité de mener des recherches sur les grands défis mondiaux. Parmi ceux-ci, le changement climatique est l'une des préoccupations les plus menaçantes. En conséquence, les spécialistes de l'entrepreneuriat considèrent l'entrepreneuriat durable - qui maintient parallèlement des avantages économiques, sociaux et environnementaux - comme une solution à de nombreux défis environnementaux. Cependant, l'entrepreneuriat durable comporte de nombreux défis supplémentaires par rapport aux autres opportunités de recherche de profit, car il doit créer des valeurs sociales et environnementales. Par conséquent, l'objectif de la thèse est d'examiner les dynamiques d'entrée et de sortie de l'entrepreneuriat durable. Pour ce faire, nous avons mené trois études. Premièrement, nous étudions comment les attributs perçus du marché vert médiatisent la relation entre l'orientation de durabilité des individus et les intentions entrepreneuriales. Deuxièmement, nous examinons si les décisions de sortie dépendent de l'interconnexion des facteurs personnels et environnementaux. Troisièmement, nous étudions comment les obstacles perçus provoquent les intentions de sortie de l'entreprise au cours d'un engagement entrepreneurial. Dans les trois études, nous avons trouvé un soutien cohérent que, que ce soit l'entrée ou la sortie, l'entrepreneuriat durable implique des facilitateurs et des inhibiteurs spécifiques qui entraînent l'action ou l'inaction pour les efforts entrepreneuriaux durables. La thèse contribue à faire progresser les connaissances théoriques sur l'entrepreneuriat durable
Scholars increasingly recognize the need to conduct research on grand global challenges. Among them, climate change is one of the most threatening concerns. Accordingly, entrepreneurship scholars consider sustainable entrepreneurship – which is parallelly maintaining economic, social, and environmental benefits – as a solution to many environmental challenges. However, sustainable entrepreneurship encompasses many additional challenges compared to other profit-seeking opportunities because it has to create social and environmental values. Therefore, the objective of the dissertation looks at sustainable entrepreneurship's entry and exit dynamics. To do so, we conducted three studies. First, we investigate how perceived attributes of the green market mediate the relationship between individuals’ sustainability orientation and entrepreneurial intentions. Second, we examine whether exit decisions depend upon the interconnectedness of personal and environmental factors. Third, we investigate how perceived barriers provoke entrepreneurial exit intentions during an entrepreneurial engagement. Across three studies, we found consistent support that whether entry or exit, sustainable entrepreneurship involves specific enablers and inhibitors that result in action or inaction for sustainable entrepreneurial endeavors. The dissertation contributes to advancing the theoretical knowledge about sustainable entrepreneurship by determining entrepreneurial behavior at the intersection of personal and environmental facets

But-La sortie entrepreneuriale est une activité intégrante du processus entrepreneurial. Un entrepreneur peut sortir de son entreprise à n’importe quel moment dans sa carrière entrepreneuriale et pour différentes raisons. Toutefois, le phénomène de sortie entrepreneuriale qui suscite beaucoup d’intérêt dans les dernières années est surtout associé à la vague de retraite massive anticipée chez les « boomers ». Plusieurs études d’organismes publics et privés ont d’ailleurs sonné l’alarme concernant le manque de préparation de ces entrepreneurs à leur éventuel retrait de la tête d’un grand nombre de PME. De ces études, on constate toutefois qu’il existe un manque de compréhension des décisions associées à la sortie éventuelle de ces entrepreneurs. Le champ de la sortie entrepreneuriale s’intéresse aux différentes options offertes au dirigeant lorsqu’il sort de son entreprise : la vente publique, la vente à un compétiteur, la liquidation/cession et la transmission à un tiers. Toutefois, la transmission d’une entreprise à un tiers (famille, employé, externe) est le mode de sortie privilégié par les entrepreneurs et aussi un processus complexe. Or, il existe des lacunes importantes dans cette littérature émergente. Le champ de la sortie entrepreneuriale s’intéresse principalement à la décision, une fois qu’elle a été prise, et non à son processus. L’objectif de cette thèse par article est donc de combler cette lacune en s’intéressant au processus décisionnel des entrepreneurs sortants lorsqu’ils choisissent de transmettre leur entreprise. Méthodologie- Une approche qualitative est privilégiée dans le cadre de cette recherche afin d’approfondir le contexte, le processus et les interactions du processus décisionnel. Une étude de cas multiple a été réalisée auprès de 15 dirigeants de PME. Des entretiens semi-dirigés ont été conduits tant avec les dirigeants qu’avec des informateurs afin de valider les propos et les évènements liés au processus de décision du dirigeant. Contributions- La proposition d’un modèle issu du management stratégique, dans le premier article, procure une base scientifique ainsi qu’un nouvel angle d’exploration dans la poursuite de recherches qualitatives du phénomène, complémentant ainsi les constats majoritairement issus d’études quantitatives dans le champ de la sortie entrepreneuriale. Le deuxième article explore les trajectoires possibles que peut prendre le processus décisionnel en fonction d’un cheminement causal versus effectual. Alors que la causalité renvoie à la rationalité et l’analyse, l’effectuation pour sa part est dans une approche plus créative où l’entrepreneur laisse plus de place à son jugement et son intuition. Pour ce faire, notre étude théorise les comportements de sortie entrepreneuriale (causal et effectual), proposant ainsi une typologie en fonction du modèle de processus décisionnel de sortie. Une validation de ce modèle est effectuée à partir des données collectées. Bien que les résultats démontrent une manifestation plus grande de comportements de type « effectual » dans le processus de décision de sortie, il existe toutefois une complémentarité des deux types de logiques c’est-à-dire que les entrepreneurs sortants font appel autant à la rationalité qu’à la créativité/intuition pour prendre leur décision. Particulièrement dans un processus de décision axé sur la transmission éventuelle de l’entreprise, puisqu’ils sont souvent prêts à faire des concessions, à s’adapter pour arriver à leur fin. Cependant, il ressort également qu’ils ont un fort désir de faire les choses à leur façon incluant le fait de rester actif dans leur entreprise. Ces constats permettent d’affirmer qu’il existe plus qu’une façon de faire lorsqu’ils s’apprêtent à sortir de leur entreprise. Finalement, les résultats du troisième article ont permis d’identifier une série de facteurs (individuels, organisationnels et environnementaux) ainsi que la façon dont ces derniers agissent sur le processus décisionnel. Cette étude contribue à faire ressortir l’influence de certains facteurs presque inexistants dans la littérature sur la sortie entrepreneuriale et associe certains déterminants à des étapes spécifiques du processus. Globalement les résultats de cette recherche supportent la nécessité de s’adapter à l’individu, à la structure de l’entreprise et au contexte de l’environnement. Originalité- L’angle de la décision, ou plutôt du processus de décision, est une perspective novatrice qui a été peu utilisée pour comprendre de quelle façon les dirigeants de PME prennent leur décision de sortir de leur entreprise. Les trois articles constituant le coeur de la thèse présentent différentes facettes contribuant à la compréhension du phénomène. Le champ de la sortie entrepreneuriale est encore très peu développé et comporte majoritairement des recherches quantitatives. L’approche qualitative utilisée ici est non seulement originale, mais enrichit autant le domaine de la sortie entrepreneurial que celui de la décision entrepreneuriale
Purpose- Entrepreneurial exit is an integral part of the entrepreneurial process. Entrepreneurs may exit their business at any given time in their entrepreneurial career and for a variety of reasons. Although the phenomenon of entrepreneurial exit has raised much interest in recent years, focus has mainly been on the anticipated massive retirement of baby boomers. Accordingly, many studies by public and private organisations have expressed concern at the lack of preparation of these entrepreneurs as their retirement from a large number of SMEs approaches. An examination of these studies reveals a lack of understanding of the decisions associated with entrepreneurial exit. The current literature on entrepreneurial exit is interested in the different options open to owners when exiting their business: public sale, sale to a competitor, liquidation/ceding, and the transmission to a third party. The latter, whether to family members, employees, or external parties, remains the preferred exit mode by entrepreneurs. Business transmission is a complex process and important gaps exist in this emergent literature. The field of entrepreneurial exit is mainly interested in decisions once already made, and not in the process itself. The objective of this thesis by article is therefore, to fill this gap by focusing on the decision-making process of exiting entrepreneurs when choosing to transmit their business. Design- A qualitative approach was privileged for this research to deepen the context, process and interaction of the decision-making process. A multiple case study was conducted with 15 SME owner-managers. Semi-structured interviews were conducted with owners and other informants in order to validate the statements and events linked to the manager’s decision-making process. Findings- The first article proposes a model inspired by strategic management literature that sets a scientific basis and new exploration angle for conducting qualitative research on the phenomenon. The insight provided complements the results obtained through quantitative research in the entrepreneurial exit field. The second article explores the possible trajectories that the decision-making process may take according to a causal versus effectual path. While causality implies rationality and analysis, effectuation, on the other hand, is a more creative approach where entrepreneurs make more space for intuition and personal judgement. To do so, this study theorizes exit behavior (causal and effectual), thus proposing a typology according to the model of the exit decision-making process. The model is validated using the collected data. Although results show the predominance of « effectual » behaviours within the exit decision-making process, complementarity between both logics does exist. Exiting entrepreneurs use both rationality and creativity/intuition to make decisions, particularly during the decision-making process leading to the transmission of their business. They are often willing to make concessions and adapt in order to reach their goal. However, results also show that exiting entrepreneurs have strong desires to things their own way, including the option of remaining active within their business. It is thus possible to state that there is more than one way to exit a business. Finally, the third article identifies a series of factors (individual, organizational, and environmental) as well as how such factors impact the decision-making process. This study reveals influence factors scarcely identified in exit literature, as well as associates determinants to specific process steps. As a whole, results support the necessity of adapting to individuals, the business structure and the environmental context. Originality – The angle used to make decisions, or the decision-making process, is a novel perspective that has been used to explain how SME managers decide to exit their business. The three articles at the heart of the thesis present different facets that help comprehend the phenomenon. Entrepreneurial exit is still emerging as a field of research and is mainly composed of quantitative studies. The qualitative method used here is not only original but also enriches both the field of entrepreneurial exit and entrepreneurial decision-making

Cette thèse rédigée sous la forme de trois articles explore les antécédents de l’entrepreneuriat, c’est à dire le choix d’individus de quitter leur travail salarié pour créer leur propre entreprise. Le premier chapitre examine les raisons pour lesquelles les entreprises les plus performantes génèrent plus d’entrepreneurs que leurs compétiteurs ne le font. Le deuxième chapitre étudie la relation entre l’appariement salarié-organisation sur le marché du travail et la transition vers l’entrepreneuriat. Au plan empirique, ces deux premiers chapitres exploitent une base de données sur le lien employeurs-employés en Suède (1990-2007) et s’appuient sur une méthodologie originale pour différencier les effets dus à la qualité individuelle du salarié, à la qualité de l’entreprise, et à l’appariement salarié-entreprise. Le troisième chapitre de cette thèse étudie au niveau organisationnel les effets des stratégies d’exploration/d’exploitation dans l’industrie des appareils médicaux. Cette thèse tend à montrer que le contexte ainsi que le processus d’appariement et de sélection jouent un rôle important dans le choix de devenir entrepreneur
This dissertation consists of three essays on employee entrepreneurship where some employees leave paid employment to start their own business. In particular I examine the antecedents of such entrepreneurial transitions from contextual and individual perspectives. In the first essay I examine why historically best performing firms generate more entrepreneurs than other firms. In thesecond essay I investigate the relationship between matching in the labor market and entrepreneurial transition of employees. The empirical setting of the first two essays is the whole population of Swedish workers from 1990 to 2007. In the third essay I investigate the effect of organizational exploration and exploitation on employee entrepreneurship in medical devices industry. The overall conclusion of this dissertation is that context matters for entrepreneurship. In addition, sorting in the labor market and fit between an employer and employee determine who becomes an entrepreneur

We look into the relationship between business practices and enterprise productivity using panel data with matched employer and employee information from Myanmar. The data show that micro, small, and medium-size enterprises in Myanmar typically do only a few modern business practices. Even so, through estimates of value-added functions and labour demand relations we find a positive and economically important association between business practices and productivity. The results are confirmed when we utilize employer–employee information to estimate Mincer-type wage regressions. In combination, the value-added functions and the Mincer regressions show that at least half of the productivity gain from improved business practices stems from selection effects of employment of more productive workers. This sorting channel is important to keep in mind when supporting enterprises in Myanmar’s manufacturing sector through entrepreneurial training activities. While our results indicate that implementation of more structured business practices could be a key ingredient of a private sector development strategy in Myanmar, the full effect of such a strategy may take time to materialize. Moreover, entrepreneurial training should be accompanied by labour market initiatives aimed at improving productive matches of employers and employees.

This chapter explores the long-standing puzzle of the optimal role and impact of private business in public life based on evidence from a healthcare entrepreneur in India. To realize its goal of delivering affordable, high-quality care to the indigent population in India, Narayana Health (NH) had to address a number of voids created by the absence of supporting market institutions. This was done with entrepreneurial aplomb, sometimes even catalysing governmental action, by becoming a trusted intermediary to providers of all sorts of factor inputs who would otherwise not make their services available. This partial private provision of public infrastructure by NH illustrates how social investments by resource-constrained entrepreneurs in emerging markets can yield both private and public benefits.

The chapter examines strategic orientation in small and medium-sized enterprises (SMEs) in response to the growing demand for the generation of new knowledge concerning strategic behaviours of SMEs. Drawing from both strategic management and entrepreneurial marketing literature and using models and recent theoretical developments from published research based in small firms, it explains the sorts of activities, attitudes and behaviours which occur in SMEs and suggests that different strategic orientations generate either increased or decreased profitability and firm growth. It also presents a conceptual model which serves to illustrate the competitive strategic typologies adopted by SMEs and the interrelationship between these strategic typologies and an Entrepreneurial Marketing Orientation (EMO) dimension of SMEs. The authors propose that the dominant strategic orientations of SMEs could be predicted by application of this model in future studies. The chapter concludes with ecommendations and suggestions for future research directions.

Consistent with prior research on start-up entrepreneurship in this era of digitalization, this chapter is a theoretical study which aims at an in-depth understanding of the main specifics of start-ups. It mainly focuses on those ones localized in resource-constrained environments, by exploring the most relevant and effective competencies for them. The literature review enables the authors to identify five relevant kinds of skills which are related not only to specific social abilities, but also to other sorts of capabilities such as effectual and ambidextrous logics or resilience. Previous works have underlined that these skills have considerable and significant effects on the startups' entrepreneurial success. Consequently, it is recommanded that startup entrepreneurs develop them and learn how to foster them.

The entrepreneurial opportunity is found in the different segments such as accommodation, recreation and entertainment, transportation, and travel services. Hotels, restaurants, tour operators, and travel agents have been providing direct business opportunities to people at different levels of the local community. Bihar is a land of enlightenment and salvation. Bihar occupied an important position in the early history of India. Bihar is the birthplace of two religions (i.e., Buddhism and Jainism) and the birthplace of Guru Govind Singh, the 10th guru of the Sikh religion. There are many holy places for Hindus and important places for the Gandhian movement. Bihar is rich in spiritual, heritage, cultural, and recreation places. The total share of tourism is 11.99% of Bihar SGDP and the 11th largest wage earner in revenue with $3.13 billion in 2017. Tourism is one of the economic areas where the entrepreneurial sector requires a high level of involvement: diversification of tourism products and services is required to meet the rising demand for new sorts of tourism demands.

Consistent with prior research on start-up entrepreneurship in this era of digitalization, this chapter is a theoretical study which aims at an in-depth understanding of the main specifics of start-ups. It mainly focuses on those ones localized in resource-constrained environments, by exploring the most relevant and effective competencies for them. The literature review enables the authors to identify five relevant kinds of skills which are related not only to specific social abilities, but also to other sorts of capabilities such as effectual and ambidextrous logics or resilience. Previous works have underlined that these skills have considerable and significant effects on the startups' entrepreneurial success. Consequently, it is recommanded that startup entrepreneurs develop them and learn how to foster them.

In the literature, it is strongly claimed by some studies that the content of a vision statement may be an appropriate mean to reach some desired individual, group and organizational level results. In addition, the idea relating to vitality of various types of innovation for different sorts of organizations has been supported by findings of many empirical studies. However, these studies that focus on the concept organizational innovation are based on large-sized organization to a great extent. Therefore, this study empirically investigates the effects of vision statements' content on the amount of innovation in the context of Turkish “Small and Medium Sized Enterprises (SMEs). The findings of study indicated that there aren't statistically significant differences between SMEs with innovation oriented vision statement and other SMEs in terms of amount of product innovation. A possible reason behind this finding may be inadequate vision communication. During the chapter, first, the literatures on organizational innovation, vision statements and SMEs are reviewed briefly. Then, these reviews will be followed by the sections of methodology and the findings. The chapter will be ended with the parts of future directions and conclusions that include the originalities and several limitations of this study.

The COVID-19 pandemic has caused diverse sorts of disruption across the globe. The pandemic has drastically impacted the economies of almost every country of the world. The international economic scenario is full of despair as the entrepreneurs and business leaders find it hard to come to terms with the extent of damage caused by the pandemic. In view of largely prevalent gloom and despair, it is imperative that certain resilience strategies are worked out so that global economic crisis can be stemmed from further escalation. The gig economy has been viewed as a powerful resilience mechanism to tide over the economic crisis caused the world over by COVID-19. Entrepreneurial leadership can also make significant difference in providing a paddle-push to the pandemic-struck world by reactivating the engines of economic growth. The nature of this chapter is qualitative, and it seeks to theoretically work out certain strategies that can help various economies of the world to stand up and be resilient in the face of complex challenges that the pandemic has thrown before us.

Literature relating to personality and entrepreneurship has focused primarily on personality characteristics of traditional entrepreneurs. The focus of this study was on personality characteristics and temperaments of potential ICT entrepreneurs. The main objective of the study was to evaluate the impact of personality characteristics as identifiers of potential ICT entrepreneurship. In order to meet this objective, the personality characteristics of the participants had to be determined. The Keirsey Temperament Sorter was used as a personality indicator, as it is a proven research instrument. Two entrepreneurial tests were used to determine entrepreneurial ability. The temperament of the individuals was ascertained, and compared to their entrepreneurial ability. The population sample used for this study was comprised of third year and honours information systems students from the University of Cape Town, and current ICT entrepreneurs. A positive relationship between the “Martian” temperaments and potential ICT entrepreneurs was found. No significant relationship between specific personality types and potential entrepreneurial ability were evident in the study. A positive connection was noticed between potential ICT entrepreneurs, and being male. Unfortunately the number of female respondents was insufficient, leading to an inconclusive result.

Cultural systems are grouped into high culture, folk culture and popular culture. High cultural, scientific, philosophical, aesthetic information, etc. Folk culture is based on folklore information from the past day. Popular culture represents the degraded and dissolved state of traditional cultures, various subculture areas, which have failed after modernization efforts. The aim of the study is to reveal the influence of young musical genres on the entrepreneurial tendencies. The first method used in the research is the questionnaire survey for senior students studying in the university business and economics. According to the survey data, questionnaires were distributed out of a total of 350 students, only to the evaluation of the survey of 311 eligible. The most important findings of the research can be summarized as follows. While 6,1% of the "youth of higher education" who participated in the survey preferred "high culture product" music; 10,6% were "folk culture products" music; and 83,3% preferred "popular culture product" music. The "entrepreneurship tendencies", which are the main aim of the subjects of "education for young people" receiving basic courses in economics and business administration, were found to be 131,5 (Min 36, Max.180). According to the research findings, in the direction of the basic assumption of the study, "entrepreneurial tendencies" of students who prefer music, which is a high cultural product, are higher than others. The sort of "entrepreneurial tendencies" is followed by popular genres and popular music genres.

In developed countries, aging, chronic diseases, and preventive health management have been important topics of concern. Many entrepreneurial have entered the start-up market, trying to integrate design concepts related to medical institutions, wearable devices, health services, cloud computing to build a better and more convenient platform. How to realize online medical services of traditional medical institutions through a handheld user interface and provide users with friendly and reassuring medical services is a thorny problem faced by interactive designers. This study focuses on telecare systems' user experience and service mode with handheld devices. The research methodology uses the concepts of co-creation workshops and the discount usability engineering. In this study, six experts with relevant telecare or interaction knowledge were invited to participate in a co-creation workshop. A persona and customer journey map were created after the workshop. Existing applications were then used to integrate typical tasks. Participants would use the think-aloud technique to simultaneously manipulate the tasks and speak their thoughts when conducting heuristic evaluations. Researchers recorded their task operations and conduct brief interviews to help investigate their internal feelings. This stage is to sort out the relationship between the relevant stakeholders in the service process and help summarize the user's in-depth interaction needs in terms of user experience.