Artículos de revistas sobre el tema "Séquençage de cellules uniques"

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Dariane, Charles, Manon Baures, Julien Anract, Nicolas Barry Delongchamps, Jacques-Emmanuel Guidotti y Vincent Goffin. "Progéniteurs luminaux prostatiques". médecine/sciences 39, n.º 5 (mayo de 2023): 429–36. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2023058.

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Resumen
Les traitements médicaux de l’hyperplasie bénigne et du cancer de la prostate reposent essentiellement sur l’inhibition de la signalisation androgénique. Bien qu’initialement efficaces, ces traitements sont tôt ou tard confrontés à une résistance thérapeutique. Des données récentes de séquençage d’ARN sur cellules uniques montrent que les cellules luminales survivant à la déprivation androgénique dans ces contextes pathologiques présentent un profil moléculaire semblable à celui de cellules luminales progénitrices, présentes en faible quantité dans un contexte physiologique. Ce profil moléculaire pourrait constituer un hub de résistance à la castration et résulter, en partie, de la reprogrammation des cellules luminales tumorales. L’inhibition thérapeutique de cette plasticité cellulaire constitue une piste prometteuse pour limiter la progression du cancer prostatique.
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2

Grandjean-Closson, Eva, Camille Heckmann, Corentin Le Coz, Isaline Louvet, Matthieu Neri y Corine Bertolotto. "L’analyse des mélanomes uvéaux primaires à l’aide de la technique de séquençage d’ARN de cellules uniques". médecine/sciences 38, n.º 8-9 (agosto de 2022): 737–39. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2022113.

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Mathieu, Maxime, Amandine Girousse y Coralie Sengenès. "Et si l’origine des progéniteurs fibro-adipeux contribuait à leur hétérogénéité dans le muscle ?" médecine/sciences 39 (noviembre de 2023): 15–21. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2023129.

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Resumen
Les progéniteurs fibro-adipogéniques (FAPs), cellules stromales mésenchymateuses (CSMs) résidentes du muscle squelettique, jouent un rôle crucial dans l’homéostasie et la régénération musculaire via leur activité paracrine. Les avancées technologiques récentes dans le domaine du séquençage de l’ARN en cellule unique ont permis la description de l’hétérogénéité de cette population cellulaire. Dans cet article, nous présenterons les différentes sous-populations de FAPs en condition basale, lésionnelle ou de dégénérescence, ainsi que leurs fonctions associées chez la souris et l’homme. Nous discuterons ensuite de l’origine extra-musculaire possible d’une population de FAPs post-lésionnelle. En effet, nos travaux récents démontrent que des CSMs provenant du tissu adipeux et infiltrées dans le muscle pourraient participer à l’hétérogénéité des FAPs.
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Jordan, Bertrand. "Hétérogénéité des tumeurs : l’apport du séquençage sur cellules individuelles". médecine/sciences 30, n.º 12 (diciembre de 2014): 1184–86. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20143012023.

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Quesada, Stanislas y Philippe Jay. "De nouveaux types cellulaires identifiés par séquençage haut débit sur cellule unique". médecine/sciences 32, n.º 5 (mayo de 2016): 447–49. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20163205007.

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Isaac, Juliane, Mélodie M. Clerc, François C. Ferré y Benjamin P. J. Fournier. "Les cellules mésenchymateuses orales, une niche spécifique, du développement à la régénération". médecine/sciences 40, n.º 1 (enero de 2024): 24–29. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2023191.

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Resumen
Les tissus muqueux et osseux oraux présentent des propriétés uniques. Les fibroblastes de la muqueuse orale et les ostéoblastes des mâchoires, issus des crêtes neurales crâniennes, jouent un rôle clé dans la cicatrisation/réparation. Ces cellules expriment un répertoire spécifique de gènes associés à leurs propriétés régénératives, mais aussi liés aux maladies rares crâniofaciales. La connaissance de ces tissus ouvre des perspectives cliniques pour la régénération tissulaire et la réparation des défauts osseux et muqueux. Ces avancées multidisciplinaires ont aussi un impact prometteur sur la prise en charge des maladies liées au parodonte et sur l’amélioration de la santé bucco-dentaire.
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Burgaud, Mathilde, Betty Bretin, Arnaud Reignier, John De Vos y Laurent David. "Du nouveau dans les modèles d’étude de l’embryon humain". médecine/sciences 39, n.º 2 (febrero de 2023): 129–36. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2023018.

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Resumen
Depuis 2021, l’assistance médicale à la procréation (AMP) est accessible aux couples infertiles, mais aussi aux femmes seules et aux couples de femmes. Le processus de fécondation in vitro (FIV) a permis de franchir le seuil de cinq millions de naissances dans le monde, entre 1978 et 2013. Cependant, le taux d’échec à chaque cycle est évalué à environ 75 %. Il est donc nécessaire de mieux comprendre le développement embryonnaire humain afin d’améliorer le taux de succès des FIV. Les modèles d’étude ont beaucoup évolué ces dernières années : mise au point de la culture embryonnaire, séquençage du transcriptome de cellules individualisées, découverte des conditions de culture de cellules souches pluripotentes naïves et génération de blastoïdes. Nous revenons dans cette revue sur ces avancées récentes concernant la modélisation de l’embryon humain, qui établissent un nouveau socle de connaissances pour améliorer l’AMP.
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Remacle, Françoise y Raphael D. Levine. "Prédiction de la réponse moléculaire à des perturbations mesurée sur des cellules uniques". médecine/sciences 30, n.º 12 (diciembre de 2014): 1129–35. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20143012016.

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Lardenois, A., B. Evrard, A. Suglia, S. Léonard, L. Lesné, I. Coiffec, B. Jégou, S. Mazaud-Guittot, F. Chalmel y A. D. Rolland. "Nouveaux acteurs de la différenciation gonadique normale et pathologique, approches cellules uniques chez l’Homme". Annales d'Endocrinologie 82, n.º 5 (octubre de 2021): 225. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2021.07.020.

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Lacoux, C., M. Truchi, J. Fassy, I. Manosalva-Pena, M. Gautier, V. Magnone, K. Lebrigand et al. "Analyse des longs ARN non codants régulés par l’hypoxie dans les cellules d’adénocarcinome pulmonaire à l’aide d’un crible basé sur l’interférence CRISPR sur cellules uniques". Revue des Maladies Respiratoires 40, n.º 2 (febrero de 2023): 122–23. http://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2022.11.029.

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Goter, T., Y. Le Guen, M. D. Galibert, H. Léna, M. De Tayrac, A. Lespagnol y C. Ricordel. "Évaluation prospective du profil génomique des cancers bronchiques non à petites cellules par séquençage nouvelle génération de l’ADN tumoral circulant: résultats de l’étude ANTiCIPe". Revue des Maladies Respiratoires Actualités 14, n.º 1 (enero de 2022): 193–94. http://dx.doi.org/10.1016/j.rmra.2021.11.341.

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Gouton, E., A. Mogenet, E. Simon, J. Pluvy, L. Greillier y P. Tomasini. "Séquençage moléculaire (SM) à haut débit sur biopsies liquides (BL) dans le cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) et impact sur la décision thérapeutique". Revue des Maladies Respiratoires Actualités 15, n.º 1 (enero de 2023): 238. http://dx.doi.org/10.1016/j.rmra.2022.11.433.

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Ghalloussi, H., J. Doyen, A. Leysalle, M. Poudenx, H. Bérard, N. Venissac y P. Bondiau. "Étude de l’efficacité à 3ans du CyberKnife® dans les carcinomes bronchiques non à petites cellules de stade I uniques ou multiples chez 289 patients". Cancer/Radiothérapie 19, n.º 6-7 (octubre de 2015): 642. http://dx.doi.org/10.1016/j.canrad.2015.07.012.

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Pinsolle, J., M. Duruisseaux, J. Mondet, M. Phillips Houlbracq, N. Magnat, J. Fauré, A. Chatagnon et al. "Détection des variants de fusion du gène ALK par séquençage massif parallèle ciblé à partir d’ARN et réponse au crizotinib dans les cancers pulmonaires non à petites cellules". Revue des Maladies Respiratoires 35 (enero de 2018): A7—A8. http://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2017.10.019.

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Pirola, L., A. Balcerczyk, R. Tothill, I. Haviv, A. Kaspi, S. Tonna, A. Kowalczyk et al. "P03 L’étude par séquençage à haut débit des modifications épigénétiques dans les cellules endothéliales primaires démontre des changements majeurs sur la méthylation de l’ADN et l’acetylation des histones après exposition à l’hyperglycémie." Diabetes & Metabolism 38 (marzo de 2012): A22. http://dx.doi.org/10.1016/s1262-3636(12)71065-0.

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MULSANT, P. "Glossaire général". INRAE Productions Animales 24, n.º 4 (8 de septiembre de 2011): 405–8. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.4.3273.

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Resumen
Allèle : une des formes alternatives d'un locus. Dans une cellule diploïde, il y a deux allèles pour chaque locus (un allèle transmis par chaque parent), qui peuvent être identiques. Dans une population, on peut avoir plusieurs allèles pour un locus.Annotation structurale : repérage des coordonnées des diverses structures dans le génome, telles que les gènes.Annotation fonctionnelle : renseignements sur les fonctions des séquences, le plus souvent pour les gènes.BAC : Bacterial Artificial Chromosome. Vecteur de clonage permettant l’obtention de clones bactériens contenant un grand fragment d’ADN génomique (taille > 100 kb*). Les BAC assemblés en contigs* sont à la base des cartes physiques du génome.Carte cytogénétique : carte des chromosomes. Réalisée par localisation visuelle (FISH*) au microscope de fragments d’ADN sur les chromosomes au stade métaphase de la mitose.Carte d’hybrides irradiés : réalisée en testant par PCR la présence ou l’absence de fragments d’ADN dans une collection de clones d’hybrides irradiés (RH*). Deux fragments d’ADN sont proches sur le génome s’ils sont trouvés fréquemment dans les mêmes clones.Carte génétique : obtenue par l’étude de la ségrégation dans des familles ou des populations, de marqueurs polymorphes, soit moléculaires, soit phénotypiques, deux séquences étant d’autant plus proches qu’elles sont souvent transmises ensemble lors de la méiose.Clonage positionnel : stratégie visant à identifier un gène responsable de l’expression d’un phénotype en utilisant des informations de position sur le génome.Contig : ensemble de clones (le plus souvent des BAC*) ou de lectures de séquence ordonnés grâce à des informations sur leur parties chevauchantes.Cosmide : vecteur de clonage permettant l’obtention de clones bactériens contenant des fragments d’ADN génomique de taille avoisinant les 50 kb*.CNV : Copy Number Variation ; polymorphisme du génome correspondant à la variation du nombre de copies d’une séquence, pouvant dans certains cas contenir un ou plusieurs gènes.Déséquilibre gamétique : pour deux loci quelconques, c'est le fait que la fréquence des haplotypes* estimée pour tous les gamètes est différente de celle attendue à partir du produit des fréquences alléliques de chaque locus. Synonyme : déséquilibre de liaison. Contraire de : équilibre gamétique.Dominance : qualificatif de l’effet d'un allèle, dont une copie suffit à l'expression du phénotype* approprié. L’allèle A est dominant sur l’allèle a si l’hétérozygote* Aa a le même phénotype* que l’homozygote AA.EST : Expressed Sequence Tag : séquences étiquettes (partielles) de transcrit, obtenues par séquençage aléatoire d’ARN.Evaluation génomique : évaluation de la valeur génétique d’individus d’après leurs génotypes pour un ensemble de loci distribués sur le génome, d’après des équations établies à partir des performances d’individus de référencephénotypés et génotypés.Expression génique : études visant à estimer le niveau de production (expression) des gènes en fonction d’états physiologiques ou de tissus différents.Exon : fraction de la partie codante d’un gène eucaryote. Les gènes des organismes eucaryotes sont le plus souvent fractionnés en plusieurs séquences d’ADN dans le génome, les exons, séparés entre eux par d’autres séquences (introns*).FISH : Fluorescent In Situ Hybridisation. Hybridation de sondes d’ADN marquées à l’aide d’un fluorochrome, sur des chromosomes au stade métaphase de la mitose. Permet la réalisation de la carte cytogénétique.Fingerprinting : technique permettant d’estimer très grossièrement la similarité entre des séquences d’ADN sans les séquencer, par la comparaison des longueurs de bandes produites par des enzymes de restriction coupant l’ADN à des sites précis.Fosmide : vecteur de clonage permettant l’obtention de clones bactériens contenant des fragment d’ADN génomique de taille déterminée et égale à 40 kb*.FPC : FingerPrint Contig* ; contig* de clones (généralement des BAC*) ordonnés par la technique du fingerprinting, afin d’obtenir une carte physique du génome.Génotype 1 : constitution génétique d'un individu. 2. Combinaison allélique* à un locus particulier, ex: Aa ou aa.Haplotype : combinaison allélique spécifique pour des loci appartenant à un fragment de chromosome défini.Héritabilité au sens strict : proportion de la variance phénotypique due à la variabilité des valeurs génétiques = proportion de la variance phénotypique due à la variance génétique additive.Hétérozygote : individu ayant des allèles non identiques pour un locus* particulier ou pour plusieurs loci. Cette condition définit l’ «hétérozygotie». Contraire de: homozygote.Homologues : séquences similaires en raison d’une origine évolutive commune.Hybride irradié : cellule hybride obtenue par fusion entre cellules hôte d’une espèce et donneuse d’une autre espèce, contenant une fraction aléatoire du génome de l’espèce donneuse, après cassures par irradiation, reconstitution aléatoire de chromosomes ou insertion dans des chromosomes de la cellule hôte et rétention partielle. Deux séquences proches sur le génome sont en probabilité dans les mêmes clones RH*, tandis que deux séquences distantes ont une probabilité faible d’être conservées ensemble.IBD : pour identity by descent. Identité entre deux chromosomes (ou parties de chromosomes), liée à leur descendance d’un même chromosome ancestral.Indel : Insertion – deletion ; polymorphisme de présence ou absence d’un ou plusieurs nucléotides.Intron : séquence non-codante dans les gènes, séparant les exons, qui codent pour une protéine.Kb : kilobase ; séquence de mille paires de bases (pb*).Locus (pl. : loci) : Site sur un chromosome. Par extension, emplacement d’un gène ou d’un marqueur génétique sur un chromosome.Marqueur génétique : séquence d'ADN dont le polymorphisme est employé pour identifier un emplacement particulier (locus) sur un chromosome particulier.Mate-pair : séquences appariées (1 à 10 kb* de distance), produites en circularisant les fragments d’ADN, puis par séquençage à travers le point de jointure.Mb : mégabase ; séquence d’un million de paires de bases (pb*) de longueur.Orthologues : séquences homologues* entre deux espèces.Paired-end : séquences appariées produites par la lecture des deux extrémités de courts fragments d’ADN (moins de 500 pb*) dans le cas des nouvelles technologies de séquençage.Paralogues : séquences homologues* résultat de la duplication d’une séquence ancestrale dans le génome. Il s’agit de deux (ou plus) séquences similaires par homologie dans un même génome.Pb : paire de base ; unité de séquence d’ADN, représentée par une base et sa complémentaire-inverse sur l’autre brin.Phénotype : caractère observable d'un individu résultant des effets conjugués du génotype et du milieu.Phylogénomique : utilise les méthodes de la génomique et de la phylogénie. Par la comparaison de génomes entiers, permet de mettre en évidence des pertes et gains de gènes dans les génomes, ainsi que leur variabilité moléculaire, afin (entre autres buts) d’aider à prédire leur fonctions.Plasmide : vecteur de clonage permettant l’obtention de clones bactériens contenant des fragment d’ADN génomique de taille allant de 500 pb* à 10 kb* environ.Polymorphisme d'ADN : existence de deux ou de plusieurs allèles* alternatifs à un locus.Puce à ADN ou puce pangénomique : Système permettant pour un individu le génotypage simultané de très nombreux marqueurs génétiques (de quelques milliers à quelques centaines de milliers).QTL : abréviation de locus à effets quantitatifs (de l’anglais Quantitative Trait Locus).Récessivité : qualificatif de l’effet d'un allèle, où l'homozygotie* est nécessaire pour l'expression du phénotype* approprié. opposé de : dominance*.RH : Radiation Hybrid (hybride irradié*)Sanger (méthode de) : méthode de séquençage publiée en 1977 (Sanger et al 1977) et encore utilisée de nos jours avec les séquenceurs à électrophorèse capillaire.Scaffold : ensemble de contigs* de séquence reliés entre eux par des informations apportées par des lectures appariées (mate-pairs* ou paired-ends*).Sélection assistée par marqueurs (abréviation : SAM) : utilisation d’un jeu restreint de marqueurs de l'ADN pour améliorer la réponse à la sélection dans une population : les marqueurs sont choisis comme étroitement liés à un ou plusieurs loci cibles, qui sont souvent des loci à effets quantitatifs ou QTL*.SNP : polymorphisme d'un seul nucléotide à une position particulière de la séquence d’ADN (abréviation de l’anglais Single Nucleotide Polymorphism).Supercontig : nom alternatif pour les scaffolds*.WGS : Whole Genome Shotgun ; production de lectures de séquence d’un génome entier de manière aléatoire.
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A. I., Onyeabor, Uwalaka E. C., Onunkwo D. C. y Ugwuzor E. "A comparative study on the concurrent infections with Ascaridia galli and Eimeria in broiler chickens". Nigerian Journal of Animal Production 50, n.º 2 (28 de febrero de 2024): 152–62. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v50i2.3973.

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Resumen
This study was conducted to investigate the response of two week old broiler chickens to single and concurrent infections with Ascaridia galli and Eimeria spp and the influence of timing of the infections with the hope that the results would greatly inform the improvement of control measures of the infections for better productivity of the birds. Six groups of 7 broiler chickens each were used. Five of the groups were either infected with A. galli only, caecal eimeria only, A. galli and caecal eimeria (A+E) at the same time, A. galli and later caecal eimeria (AE) or caecal eimeria isolate and later A. galli (EA). The sixth groupremained as the uninfected control birds. The dose levels were 1000 embryonated A. galli eggs and 12,000 sporulated Eimeria oocysts per chicken. Packed cell volume (PCV), body weight (BWt), faecal egg counts (EPG), faecal oocyst counts (OPG), caecal gross lesion score (GLS), and worm burden (WB). The infections had a negative impact on the birds evidenced by low PCV, low weight gain, reduced feed intake, dullness, bloody diarrhea and mortalities when compared with their uninfected controls. A drop in the PCV from day 8 to day 12 of the birds infected with AE. The AE group also had the least weight gain and least feed intake in comparison with all the other infected and the uninfected control birds. The greatest mortalities occurred in the AE group. It was concluded that the poor performance of the chickens was due to the infections, however, the severity of the infections was greatest in the AE group. It was suggested that A. galli caused immune downregulation of the chicken allowing the Eimeria to exert maximally its pathogenic effects on the birds. It is therefore strongly recommended that the infections should be diagnosed and controlled promptly particularly if they are concurrent as the effects can be disastrous especially when A. galli infection precedes Eimeria infection. Cette étude a été menée pour étudier la réponse de poulets de chair âgés de deux semaines à des infections uniques et concomitantes à Ascaridia galli et Eimeria spp et l'influence du moment des infections dans l'espoir que les résultats contribueraient grandement à l'amélioration des mesures de contrôle des infections. pour une meilleure productivité des oiseaux. Six groupes de 7 poulets de chair chacun ont été utilisés. Cinq des groupes étaient soit infectés par A. galli uniquement, par eimeria caecal uniquement, par A. galli et par eimeria caecal (A+E) en même temps, par A. galli et plus tard par eimeria caecal (AE) ou par un isolat d'eimeria caecal et plus tard par A. .galli (EA). Le sixième groupe est resté constitué d'oiseaux témoins non infectés. Les niveaux de dose étaient de 1 000 œufs embryonnés d'A. galli et de 12 000 oocystes d'Eimeria sporulés par poulet. Volume de cellules concentrées (VCC), poids corporel (PC), nombre d'œufs fécaux (NŒF), nombre d'oocystes fécaux (NOF), score de lésion brute cæcale (LBC) et charge de vers (CV). Les infections ont eu un impact négatif sur les oiseaux, comme en témoignent un faible VCC, un faible gain de poids, une consommation alimentaire réduite, une matité, une diarrhée sanglante et une mortalité par rapport à leurs témoins non infectés. Une baisse du VCC du jour 8 au jour 12 des oiseaux infectés par AE. Le groupe AE présentait également le gain de poids le plus faible et la consommation alimentaire la plus faible par rapport à tous les autres oiseaux témoins infectés et non infectés. Les mortalités les plus importantes sont survenues dans le groupe AE. Il a été conclu que les mauvaises performances des poulets étaient dues aux infections, cependant, la gravité des infections était la plus élevée dans le groupe AE. Il a été suggéré qu'A. galli provoquait une régulation immunitaire négative du poulet, permettant à l'Eimeria d'exercer au maximum ses effets pathogènes sur les oiseaux. Il est donc fortement recommandé que les infections soient diagnostiquées et contrôlées rapidement, en particulier si elles sont concomitantes, car les effets peuvent être désastreux, en particulier lorsque l'infection par A. galli précède l'infection par Eimeria.
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GUY, G. y L. FORTUN-LAMOTHE. "Avant-propos". INRAE Productions Animales 26, n.º 5 (19 de diciembre de 2013): 387–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.5.3167.

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Resumen
Ce numéro de la revue INRA Productions Animales contient un dossier consacré aux dernières avancées de la recherche sur le foie gras. En effet, la démocratisation de la consommation de ce produit haut de gamme a été permise notamment par les efforts de recherche et développement sur l’élevage des palmipèdes à foie gras et la maîtrise de la qualité du produit. Ce dossier est l’occasion de faire en préalable quelques rappels sur cette belle histoire ! Un peu d’histoire La pratique du gavage est une tradition très ancienne, originaire d’Egypte, dont les traces remontent à 2 500 avant JC. Elle avait pour objectif d’exploiter la capacité de certains oiseaux à constituer des réserves énergétiques importantes en un temps court pour disposer d’un aliment très riche. Si les basreliefs datant de l’ancien empire égyptien attestent de la pratique du gavage, il n’existe pas de preuves que les égyptiens consommaient le foie gras ou s’ils recherchaient la viande et la graisse. Ces preuves sont apparues pour la première fois dans l’empire romain. Les romains gavaient les animaux avec des figues et pour eux le foie constituait le morceau de choix. Le nom de jecur ficatum, signifiant « foie d’un animal gavé aux figues », est ainsi à l’origine du mot foie en français. La production de foie gras s’est développée dans le Sud-ouest et l’Est de la France aux XVIIe et XVIIIe siècles avec le développement de la culture du maïs. Le foie gras est aujourd’hui un met inscrit au patrimoine culturel et gastronomique français (article L. 654-27-1 du code rural défini par la Loi d’Orientation Agricole de 2006). Le contexte de la production de foie gras Avec près de 72% de la production mondiale en 2012, la France détient le quasi monopole de la production de foie gras. Les autres pays ayant des productions significatives sont la Hongrie et la Bulgarie en Europe Centrale, avec environ 10% pour chacun de ces pays, mais aussi l’Espagne avec 3% de la production. L’Amérique du nord et la Chine représentent les deux autres pôles de production les plus significatifs, mais avec moins de 2% du marché. La production française a connu un essor considérable, sans doute le plus important de toutes les productions agricoles, passant de 5 880 tonnes en 1990 à plus de 19 000 tonnes en 2012. A l’origine, le foie gras était principalement obtenu par gavage des oies, longtemps considérées comme l’animal emblématique de cette production. Aujourd’hui, le canard mulard, hybride d’un mâle de Barbarie (Cairina Moschata) et d’une cane commune (Anas Platyrhynchos), est plus prisé (97% des palmipèdes gavés en France). En France, l’oie a vu de ce fait sa part relative pour la production de foie gras diminuer, et c’est la Hongrie qui contrôle 65% de la production mondiale de foie gras d’oie. Toutefois, cette espèce ne représente que 10% de la production mondiale. La France est également le principal pays consommateur de foie gras avec 71% du total, l’Espagne se classant au second rang avec environ 10%. Compte tenu de son image de produit de luxe et d’exception, le foie gras est consommé un peu partout dans le monde lors des repas de haute gastronomie. Les grandes avancées de connaissance et l’évolution des pratiques d’élevage L’amélioration des connaissances sur la biologie et l’élevage des palmipèdes à foie gras a permis de rationnaliser les pratiques d’élevage et d’améliorer la qualité du produit. Plusieurs laboratoires de recherche et structures expérimentales, ayant leurs installations propres et/ou intervenant sur le terrain, ont contribué à l’acquisition de ces connaissances : l’INRA avec l’Unité Expérimentale des Palmipèdes à Foie Gras, l’UMR Tandem, le Laboratoire de Génétique Cellulaire, la Station d’Amélioration Génétique des Animaux et l’UR Avicoles, l’Institut Technique de l’AVIculture, la Ferme de l’Oie, le Centre d’Etudes des Palmipèdes du Sud Ouest, le LEGTA de Périgueux, l’ENSA Toulouse, l’ENITA Bordeaux et l’AGPM/ADAESO qui a mis fin en 2004 à ses activités sur les palmipèdes à foie gras. Aujourd’hui ces structures fédèrent leurs activités dans un but de rationalité et d’efficacité. Les avancées des connaissances et leur transfert dans la pratique, associés à une forte demande du marché, sont à l’origine de l’explosion des volumes de foie gras produits. Ainsi, la maîtrise de la reproduction couplée au développement de l’insémination artificielle de la cane commune et à la sélection génétique (Rouvier 1992, Sellier et al 1995) ont permis la production à grande échelle du canard mulard adapté à la production de foie gras. En effet, ses géniteurs, le mâle de Barbarie et la femelle Pékin, ont fait l’objet de sélections spécifiques basées sur l’aptitude au gavage et la production de foie gras de leurs descendants. La connaissance des besoins nutritionnels des animaux et le développement de stratégies d’alimentation préparant les animaux à la phase de gavage ont également été des critères déterminants pour la rationalisation d’un système d’élevage (Robin et al 2004, Bernadet 2008, Arroyo et al 2012). La filière s’est par ailleurs structurée en une interprofession (le Comité Interprofessionnel du Foie Gras - CIFOG) qui soutient financièrement des travaux de recherches et conduit des actions (organisation de salons du foie gras par exemple) visant à rendre accessibles toutes les avancées de la filière. Ainsi, l’amélioration du matériel d’élevage (gaveuse hydraulique et logement de gavage) a engendré des gains de productivité considérables (Guy et al 1994). Par exemple, en 20 ans, la taille d’une bande de gavage est passée de deux cents à mille individus. Enfin, la construction de salles de gavage, dont l’ambiance est parfaitement contrôlée autorise désormais la pratique du gavage en toute saison. Des études ont aussi permis de déterminer l’influence des conditions d’abattage et de réfrigération sur la qualité des foies gras (Rousselot-Pailley et al 1994). L’ensemble de ces facteurs a contribué à ce que les possibilités de production soient en cohérence avec la demande liée à un engouement grandissant pour le foie gras. Les pratiques d’élevage actuelles Aujourd’hui, le cycle de production d’un palmipède destiné à la production de foie gras comporte deux phases successives : la phase d’élevage, la plus longue dans la vie de l’animal (11 à 12 semaines chez le canard ou 14 semaines chez l’oie) et la phase de gavage, d’une durée très courte (10 à 12 jours chez le canard ou 14 à 18 jours chez l’oie). La phase d’élevage se décompose elle même en trois étapes (Arroyo et al 2012). Pendant la phase de démarrage (de 1 à 4 semaines d’âge) les animaux sont généralement élevés en bâtiment clos chauffé et reçoivent à volonté une alimentation granulée. Pendant la phase de croissance (de 4 à 9 semaines d’âge), les animaux ont accès à un parcours extérieur. Ils sont nourris à volonté avec un aliment composé de céréales à 75% sous forme de granulés. La dernière phase d’élevage est consacrée à la préparation au gavage (d’une durée de 2 à 5 semaines) grâce à la mise en place d’une alimentation par repas (220 à 400 g/j). Son objectif est d’augmenter le volume du jabot et de démarrer le processus de stéatose hépatique. Pendant la phase de gavage les animaux reçoivent deux (pour le canard) à quatre (pour l’oie) repas par jour d’une pâtée composée à 98% de maïs et d’eau. Le maïs est présenté soit sous forme de farine (productions de type standard), soit sous forme d’un mélange de graines entières et de farine, soit encore sous forme de grains modérément cuits (productions traditionnelles ou labellisées). En France, on distingue deux types d’exploitations. Dans les exploitations dites en filière longue et de grande taille (au nombre de 3 000 en France), les éleveurs sont spécialisés dans une des phases de la production : éleveurs de palmipèdes dits « prêt-à-gaver », gaveurs ou éleveurs-gaveurs. Ce type de production standard est sous contrôle d’un groupe ou d’une coopérative qui se charge des opérations ultérieures (abattage, transformation, commercialisation ou diffusion dans des espaces de vente à grande échelle). Il existe également des exploitations en filière courte qui produisent les animaux, transforment les produits et les commercialisent directement à la ferme et qui sont généralement de plus petite taille. Ces exploitations « fermières » ne concernent qu’une petite part de la production (10 à 15%), mais jouent un rôle important pour l’image de production traditionnelle de luxe qu’elles véhiculent auprès des consommateurs. Pourquoi un dossier sur les palmipèdes à foie gras ? Au-delà des synthèses publiées précédemment dans INRA Productions Animales, il nous a semblé intéressant de rassembler et de présenter dans un même dossier les avancées récentes concernant la connaissance de l’animal (articles de Vignal et al sur le séquençage du génome du canard et de Baéza et al sur les mécanismes de la stéatose hépatique), du produit (articles de Théron et al sur le déterminisme de la fonte lipidique du foie gras à la cuisson et de Baéza et al sur la qualité de la viande et des carcasses), ainsi que les pistes de travail pour concevoir des systèmes d’élevage innovants plus durables (article de Arroyo et al). L’actualité et les enjeux pour demain La filière est soumise à de nombreux enjeux sociétaux qui demandent de poursuivre les efforts de recherche. En effet, pour conserver son leadership mondial elle doit rester compétitive et donc maîtriser ses coûts de production tout en répondant à des attentes sociétales et environnementales spécifiques telles que la préservation de la qualité des produits, le respect du bien-être animal ou la gestion économe des ressources. Ainsi, la production de foie gras est parfois décriée eu égard à une possible atteinte au bien-être des palmipèdes pendant l’acte de gavage. De nombreux travaux ont permis de relativiser l’impact du gavage sur des oiseaux qui présentent des prédispositions à ce type de production : la totale réversibilité de l’hypertrophie des cellules hépatiques (Babilé et al 1998) ; l’anatomie et la physiologie des animaux de même que l’absence de mise en évidence d’une élévation du taux de corticostérone (considéré comme marqueur d’un stress aigu) après l’acte de gavage (Guéméné et al 2007) et plus récemment la mise en évidence de l’aptitude à un engraissement spontané du foie (Guy et al 2013). Le conseil de l’Europe a toutefois émis des recommandations concernant le logement des animaux qui préconisent, la disparition des cages individuelles de contention des canards pendant le gavage au profit des cages collectives. Par ailleurs, il recommande la poursuite de nouvelles recherches pour développer des méthodes alternatives au gavage. Parallèlement, à l’instar des autres filières de productions animales, la filière foie gras doit aussi maîtriser ses impacts environnementaux (voir aussi l’article d’Arroyo et al). Les pistes de recherches concernent prioritairement la maîtrise de l’alimentation, la gestion des effluents et des parcours d’élevage. Il reste donc de grands défis à relever pour la filière foie gras afin de continuer à proposer un produitqui conjugue plaisir et durabilité.Bonne lecture à tous !
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Saunier, Bertrand y Nicolas Maillet. "Séquençage de novo de la région variable (FV) des anticorps circulants : objectif d’un logiciel de réassemblage". Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France 176 (2023). http://dx.doi.org/10.3406/bavf.2023.71035.

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L’immunité humorale est essentielle à la réponse adaptative aux infections et à leur prévention par la vaccination. La diversité des cellules productrices d’anticorps a été bien mieux étudiée que celle des anticorps proprement-dits, alors qu’ils constituent la pièce maitresse de la réponse humorale. Or, un décalage important a été récemment observé entre le répertoire des récepteurs antigéniques des lymphocytes B circulants et celui des anticorps du sérum. En permettant le séquençage de-novo d’anticorps, la protéomique en bottom-up présente de nombreux atouts pour combler cette lacune. Les clivages protéiques utilisés par cette méthode augmentent nettement la couverture de séquençage. Ceux-ci impliquent néanmoins de reconstruire a posteriori la séquence des chaines lourdes et légères des immunoglobulines et de les rapparier. Cette procédure devient rapidement complexe avec des mélanges d’anticorps, comme ceux issus du sérum. C’est pourquoi nous développons un logiciel pour évaluer le taux maximum de séquençage d’anticorps atteignable par l’approche bottom-up. Mots-Clés : Immunité humorale ; anticorps sériques ; spectrométrie de masse ; séquençage de novo ; reconstruction de séquences ; « One Health ».
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Amina Mama Boubekeur, Lotfi Louhibi, Khadidja Mahmoudi, Fatima Zohra Moghtit, Meriem Aberkane, Rym Khadidja Abderrahmane, Abdi Meriem, Aness Kouar y Nadhira Mehtar. "Analyse du gène RB1 chez des patients atteints de rétinoblastome dans la population Algérienne". Journal de la faculté de médecine d'Oran 1, n.º 2 (30 de junio de 2017). http://dx.doi.org/10.51782/jfmo.v1i1.23.

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Une mutation des deux allèles du gène Rb durant le développement rétinien norma est responsable de l’apparition du rétinoblastome. La recherche de mutations au niveau du gène Rb reste difficile, car la majorité des altérations sont uniques et dispersées tout au long du gène. Nous rapportons dans notre étude le résultat de l’analyse du gène Rb au niveau constitutionnel et tumoral dans la population algérienne.Notre étude a porté sur un échantillon de 21 patients atteints de rétinoblastome. Le promoteur et les 27 exons avec leurs séquences introniques flanquantes composant le gène Rb ont été amplifiés et analysés par HPLC (chromatographie liquide à haute performance) suivie d’un séquençage. Les variations de bases identifiées au niveau constitutionnel et tumoral sont au nombre de 7 dont 3 mutations non sens, une mutation affectant le site d’épissage, une délétion et 2 polymorphismes. L’analyse du gène Rb a été réalisée chez des enfants atteints de rétinoblastome ne présentant aucun antécédent familial de la maladie. Par cette étude, nous avons pu identifier deux cas sur les 21 étudiés ayant un rétinoblastome pouvant être transmissible.Deux mutations rapportées n’ont jamais été décrites dans la littérature.
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